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Vue lecture

Silvère Jarrosson, un ancien danseur à l’Opéra de Paris devenu peintre, à la frontière entre l’art et la science

L’artiste, dont huit toiles sont présentées dans la Grande Galerie de l’évolution, à Paris, rejoue sur la toile les processus de genèse des formes de la nature, s’appuyant sur une démarche scientifique.

© Julien Benhamou

Silvère Jarrosson, dans son atelier à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), en mai 2025.
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A Londres, les pêcheurs de trésors de la Tamise

Sur les rives du fleuve de la capitale britannique, les « mudlarks » sont à la recherche des fragments du passé : poteries antiques, pièces de monnaies anciennes, dés en os… Ces passionnés sont moins guidés par la valeur des objets que par les histoires qu’ils racontent. Au point que leurs trouvailles finissent parfois au musée, comme le montre actuellement une exposition au London Museum.

© Jo Metson Scott pour M Le magazine du Monde

Sean Clarke, retraité, est devenu « mudlark » à la mort de sa femme, il y a cinq ans. Ici, en octobre, sur le rivage nord du fleuve, à marée descendante ; au fond, le Southwark Bridge et le gratte-ciel The Shard.
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James Watson, codécouvreur de la structure en double hélice de l’ADN, est mort à l’âge de 97 ans

Colauréat du Nobel 1962 pour une découverte qui a donné le coup d’envoi de la révolution génétique, l’Américain avait terni son image en minimisant le travail de la cristallographe Rosalind Franklin et par ses sorties racistes, sexistes et eugénistes. Le généticien et biochimiste américain est mort jeudi à East Northport, dans l’Etat de New York.

© Bettmann Archive/Getty Images

James Watson, professeur de biologie à Harvard, présente un modèle d’ADN dans son laboratoire, le 18 octobre 1962.
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Dix ans après, un accord de Paris aux résultats mitigés

En 2015, l’accord de Paris, signé par 195 pays, visait à limiter le réchauffement du climat à 2 °C. Dix ans après, les résultats se font attendre. De quoi interroger l’efficacité des COP, ces grand-messes climatiques, dont la trentième édition s’ouvre ce lundi au Brésil.

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« La machine ne se trompe pas. Celui qui est faillible, c’est le cobaye » : Arnaud Robert, tétraplégique, raconte l’étude clinique neurotechnologique qui a tenté de le réparer

Paralysé des quatre membres en 2022 après avoir glissé sur une plaque de glace, ce journaliste suisse de 48 ans a accepté, l’année suivante, de participer à un protocole de recherche fascinant, mêlant neurochirurgie et intelligence artificielle. Il en tire, pour « Le Monde », un témoignage très personnel.

© Titwane

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Le tremblement de terre en Birmanie en mars a permis d’affiner les modèles des scientifiques

En plus d’être particulièrement étendu, ce séisme a présenté un front en « supercisaillement », lié à une vitesse de rupture très élevée. Dans « Science », une édition spéciale présente une série d’articles étudiant cet événement.

© SAI AUNG MAIN / AFP

Des habitants déblaient les décombres d’une statue de Bouddha endommagée à la pagode Lawkatharaphu d’Inwa, en périphérie de Mandalay, le 12 avril 2025.
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Dans la fabrique cérébrale de la résilience

Une petite zone du cerveau appelée insula semble jouer un rôle notable dans nos capacités à surmonter les chocs, explique la chercheuse en psychologie Sylvie Chokron dans sa Carte blanche au « Monde ».

© CHEZ GERTRUD

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« Le recours aux bases de données génétiques commerciales pour résoudre les affaires criminelles nécessiterait de multiples garanties »

Jusqu’ici interdit en France, le recours aux informations généalogiques collectées via des entreprises, proposé par le ministre de la justice, en banaliserait l’accès par la police et constitue un nouveau contournement de la législation française, avertissent les chercheuses Catherine Bourgain et Elsa Supiot dans une tribune au « Monde ».

© « Le Monde »

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Monde : des citoyens plus altruistes qu’on le croit

Pour la première fois, des scientifiques mesurent l’avis des citoyens sur les politiques de redistribution mondiale des richesses et de lutte contre le dérèglement climatique. Ces mesures reçoivent un soutien quasi général et massif, mais plus important en Europe qu’aux États-Unis.

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Des néandertaliens utilisaient de l’ocre en Crimée il y a plus de 50 000 ans

Certains fragments de cette roche colorée ont été délibérément grattés ou épointés en forme de crayon. Une seconde étude suggère des liens génétiques entre Néandertaliens de Crimée et de Sibérie.

© Université de Bordeaux/CNRS

Macrophotographies des quatre faces de l’extrémité d’un fragment d’ocre provenant de Crimée, délibérément gratté ou épointé en forme de crayon par des néandertaliens.
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