Nothing veut investir le terrain des smartphones abordables avec sa sous-marque CMF. Comme à l’accoutumé avec les noms minimalistes de l’entreprise, le premier téléphone de la marque se nommera CMF Phone 1. Mais au lieu d’aller chercher la compétition chinoise qui inonde le marché d’appareils Android à prix cassés, Nothing compte bien se démarquer avec un avantage unique : un degré de personnalisation encore inédit sur un téléphone.
The engineer’s aesthetic.
CMF Phone 1 celebrates technical craftsmanship with its uniquely adaptable nature. Customisable. Functional. Yours.
Learn everything at the next Nothing Community Update on 8 July 2024, 10:00 BST. pic.twitter.com/0fqYkaf4OX
Les panneaux arrières du CMF Phone 1 seront interchangeables
Nothing prévoit de dévoiler ce premier smartphone de la sous-marque CMF le 8 juillet. Mais avant cette présentation, l’entreprise fait monter l’attente avec une série de teasers. Ces publications sur X révèlent à quel point ce CMF Phone 1 est modulable. C’est notamment la plaque arrière du téléphone qui pourra facilement être changée, grâce à des vis apparentes.
La marque compte là sur la possibilité de changer la couleur du téléphone. Fatigué d’avoir un téléphone noir ? Il sera possible en cours de route d’opter pour du bleu, du orange et du vert pâle. L’entreprise évoque également la possibilité pour ses clients d’imprimer en 3D des panneaux arrières différents !
yes mr. wayne, it does come in black… and also in blue, light green, and orange. pic.twitter.com/BZFZbfZfu1
Une courte vidéo montre également rotatif à l’arrière, similaire au cadran du boitier des CMF Buds (à ne pas confondre avec les Nothing Ear). Celui-ci permet d’attacher une lanière à l’étui de chargement des écouteurs. Par ailleurs la molette du téléphone devrait fonctionner de la même manière que les écouteurs pour accueillir les accessoires. Celle-ci pourra être dévissée et remplacée par des accessoires optionnels, notamment une béquille pliante, bien pratique pour regarder des vidéos sur le smartphone.
Le compte sur X de CMF avait précédemment partagé des images de la face arrière du téléphone. Celles-ci révélaient des vis facilement accessibles et un petit tournevis correspondant à l’esthétique de la marque.
Il y a bientôt un an sortait le Nothing Phone (2) au design si séduisant. Notre test révélait un téléphone qui avait tout pour plaire, notamment grâce à une étiquette contenue par rapport aux flagships de la concurrence. Espérons que la marque saura reproduire cette performance avec le CMF Phone 1.
Nothing va sortir un nouveau smartphone abordable sous le marque CMF.
Cet téléphone se démarque par un haut degré de personnalisation pour l’utilisateur.
Il sera ainsi possible de lui mettre un béquille et de changer la plaque arrière du téléphone.
Tous les matins, on revient sur les actualités les plus importantes de la veille. Hier, on découvrait les premières images de Gladiator 2, pourquoi la pourquoi la PS5 surpasse la Xbox Series en jeu et que Apple avait officiellement déclaré certains de ses produits “anciens” avec des conséquences pour leurs propriétaires. Ce jeudi, c’est Netflix, Renault et GPT-5. Bonne lecture !
GPT-5 sera bien plus performant dans les tâches de raisonnement
Crédit : Envato
Depuis la sortie de GPT-4 en mars 2023, son successeur se fait attendre.Si la firme de Sam Altman prend son temps, c’est parce qu’elle compte frapper un grand coup avec GPT-5. En effet, en attendant sa sortie, OpenAI fait monter la sauce. Sam Altman participait à une conférence au Aspen Ideas Festival, où était également invité le PDG de AirBnB. Interrogé sur l’évolution de l’intelligence artificielle, le PDG d’OpenAI déclarait que GPT-5 marquera “un bon en avant significatif“.
Les voleurs subtilisent les caméras de recul des véhicules Renault
Le Groupement des assureurs français pour l’identification et la restitution des véhicules volés (GIE Argos) révélait en début d’année que les Renault Clio IV et Mégane IV étaient les voitures les plus volées en France en 2023. De quoi logiquement inquiéter les possesseurs des véhicules de cette marque. En effet, si vous êtes propriétaire d’une voiture Renault équipée d’une caméra de recul, il vaut mieux aussi rester sur vos gardes. Les malfaiteurs s’en prennent particulièrement à eux ces dernières semaines.
Netflix demande aux abonnés Essentiel de changer de formule
Mauvaise surprise pour les abonnés britanniques et canadiens à l’offre Essentiel de Netflix. Un message à l’ouverture de la plateforme de streaming les prévient que leur abonnement va disparaître le 13 juillet prochain. Malheureusement pour eux, Netflix leur demande de choisir une nouvelle formule immédiatement, sans quoi ils ne peuvent pas accéder au catalogue. BritestBowlingBall, un utilisateur Reddit, montre qu’il doit désormais choisir entre les formules Standard avec pub, Standard et Premium pour continuer à regarder Netflix, à son plus grand désarroi.
Le mois dernier, le gouvernement américain ordonnait à tous ses employés utilisant un téléphone Pixel d’installer la dernière mise à jour de sécurité avant le 4 juillet ou de cesser d’utiliser leur smartphone. Cet ordre était communiqué en urgence à cause de la vulnérabilité CVE-2024-32896.
Le service Cyberveille du CERT, leportail de gestion des menaces de cybersécurité pour les établissements de santé, indique que CVE-2024-32896 est “une vulnérabilité dans le micrologiciel Pixel de Google [qui] permet à un attaquant authentifié, en persuadant une victime d’interagir, d’élever ses privilèges.” Mais en réalité, la menace ne concerne pas que les smartphones Pixel.
Tous les téléphones Android sont menacés par CVE-2024-32896
Google annonce que les téléphones Samsung Galaxy ainsi que les téléphones de toutes les autres marques Android sont également exposé à la vulnérabilité CVE-2024-32896. Son exploitation permet à un attaquant d’obtenir des privilèges d’administrateur sur le téléphone. Les cybercriminels peuvent alors accéder aux données sensibles de leur victime.
Cette vulnérabilité permet également à l’attaquant de prendre des mesures non autorisées. C’est un problème grave et défini comme un exploit de type “zero-day” : aucun correctif n’était disponible au moment de la découverte du problème.
Auprès de Forbes, Google assure que les équipes de sécurité d’Android sont au courant du problème. “Après un examen plus approfondi, ce problème a un impact sur la plateforme Android, indique la firme. Nous donnons maintenant la priorité aux correctifs applicables aux autres partenaires Android et nous les déploierons dès qu’ils seront disponibles.“
Malheureusement, Samsung a déjà publié sa mise à jour de sécurité habituelle pour le mois de juillet. Ce patch corrige trois vulnérabilités critiques des puces Qualcomm, résolues chez Google déjà un mois auparavant : Samsung montre encore un certain retard.
Ce patch des téléphone Galaxy n’incluait pas de correctif pour CVE-2024-32896. Les smartphones Pixel ont de leur côté pu bénéficier de la main-mise de Google pour obtenir un correctif de sécurité rapide. En résumé : tous les smartphones Android sauf les Pixel sont exposés à cette vulnérabilité.
La vulnérabilité “zero-day” CVE-2024-32896 expose quasient tous les smartphones Android.
Cette menace est maintenant corrigée sur les smartphones Pixel de Google.
Chez Samsung, la mise à jour de sécurité de juillet n’a pas corrigé le problème.
Depuis la sortie de GPT-4 en mars 2023, son successeur se fait attendre. OpenAI a bien dévoilé une nouveauté avec GPT-4o, mais il ne s’agit que d’une version gratuite pour tous de son dernier grand modèle de langage. Si la firme de Sam Altman prend son temps, c’est parce qu’elle compte frapper un grand coup avec GPT-5.
En effet, en attendant la sortie de GPT-5, OpenAI fait monter la sauce. Sam Altman participait à une conférence au Aspen Ideas Festival, où était également invité le PDG de AirBnB. Interrogé sur l’évolution de l’intelligence artificielle, le PDG d’OpenAI déclarait que GPT-5 marquera “un bon en avant significatif“.
GPT-5 sera bien plus performant dans les tâches de raisonnement
Sam Altman contient ses propos, en procédant surtout à la comparaison avec GPT-4. Contrairement au modèle qui alimente ChatGPT actuellement, pour GPT-5, aucun problème ne sera vraiment insoluble :
La plupart des erreurs commises par GPT-4 sont dues au fait qu’il ne peut pas faire grand-chose en matière de raisonnement, qu’il déraille parfois complètement et qu’il commet une erreur stupide, comme même un enfant de six ans n’en commettrait jamais.
Le PDG d’OpenAI compare ainsi son modèle actuel à un enfant, quand GPT-5 serait devenu grand. Pour lui, l’IA n’en est encore à ses débuts, comme “aux premiers jours de l’iPhone“. Si les modèles actuels sont utiles, ils sont loin d’avoir encore atteindre leur potentiel. Selon Sam Altman, GPT-5 lui-même ne constituera qu’une petite évolution par rapport à ce que le futur nous réserve en matière d’IA générative.
Ces commentaires montrent un changement de position radical de la part de Sam Altman. L’année dernière, il suggérait que l’ère des modèles géants était déjà sur le point de s’achever. Aujourd’hui, le fondateur d’OpenAI pense plutôt que les modèles comme ceux de son entreprise, Google ou Anthropic vont continuer à se développer grâce aux investissements en matière de puissance de calcul.
Ces déclarations font écho à celles de Mira Murati la semaine dernière. La directrice de la technologie d’OpenAI indiquait que GPT-5 aurait l’intelligence d’un doctorant. Mais tout comme son patron, Mira Murati indiquait qu’il faudrait patienter longtemps avant de pouvoir utiliser le nouveau modèle : rendez-vous fin 2025, voire début 2026.
Sam Altman anticipe un bond en avant significatif en matière d’IA générative grâce à GPT-5.
Le prochain modèle d’IA d’OpenAI réglerait la plupart des problèmes de raisonnement connus par GPT-4.
Il faudra attendre un moment avant de voir le déploiement de ce successeur : fin 2024 au plus tôt.
Rien ne va plus pour Temu, ni pour Shein et AliExpress. Les trois grands sites de e-commerce chinois sont dans le collimateur des autorités européennes. La Commission veut imposer des droits de douane supplémentaires pour les sites de e-commerce chinois rapporte le Financial Times, citant trois personnes informées sur le sujet. Ces taxes auraient pour conséquence une augmentation immédiate des prix pour les consommateurs.
Vers des droits de douane supplémentaires pour Temu, Shein et AliExpress ?
Actuellement, les colis achetés en ligne dans des pays extérieurs à l’Union européenne (UE) ne sont pas soumis à des droits de douane, si leur valeur est inférieure à 150 euros. L’UE veut maintenant mettre fin à ce généreux plafond, dans le cadre d’un projet de réforme douanière. La Commission chercherait à accélérer son adoption pour contrer l’afflux de ces importations hors de contrôle.
En effet, 2 milliards de colis d’une valeur déclarée inférieure à 150 euros sont arrivés dans l’UE en provenance de pays tiers en 2023, selon la Commission. L’organe exécutif de l’UE affirme que “les volumes considérables du commerce électronique mettent à l’épreuve les limites des douanes“.
Les critiques de Temu soulignent que l’actuelle exonération des taxes permet de proposer des produits beaucoup moins chers. Surtout, elle évite aux plateformes chinoises les inspections douanières, qui pourraient mettre au jour les produits de contrefaçon très répandus. Si des inspections venaient à être mises place, cela signifierait également un rallongement des délais de livraison.
Les problèmes s’accumulent pour Temu
La semaine dernière, Temu et Shein semblaient sous la menace d’énormes sanctions. En vertu de la loi sur les services numériques (DSA), ceux-ci doivent implémenter des mécanismes de “Notice and Action”, qui permettent aux utilisateurs de signaler des produits illégaux. Bruxelles leur a communiqué des demandes d’informations officielles, pour que les plateformes précisent leurs mesures prises pour ne pas tromper les utilisateurs, protéger les mineurs ou encore tracer les vendeurs.
Cette demande fait également suite à des plaintes d’associations de consommateurs contre Temu, comme celle de l’UFC-Que Choisir. Désormais considérée comme une grande plateforme de e-commerce par l’Union européenne, Temu a davantage d’obligations légales, tout comme ses compères AliExpress et Shein. Les géants chinois ont jusqu’à septembre pour s’assurer qu’ils ne vendent pas de la contrefaçon ou des produits dangereux.
La Commission européenne veut accélérer l’adoption d’une réforme douanière.
Les sites de e-commerce chinois Temu, AliExpress et Shein en serait les premières cibles.
L’adoption du projet pourrait mener à une augmentation importante des prix des produits sur ces plateformes.
Lors de la WWDC 2024, Apple annonçait son entrée dans la course à l’IA pour l’automne, avec iOS 18. Ce n’est pas trop tôt : ses principaux concurrents Samsung et Google déploient des fonctionnalités dopées à l’IA dans leurs smartphones depuis plusieurs mois. Alors pour rattraper ce retard, la firme à la pomme doit frapper fort avec Apple Intelligence, le nom englobant toute l’IA de son écosystème.
Dans cet objectif, Apple négocie avec ses concurrents depuis mars pour intégrer leurs puissants chatbots au système d’exploitation l’iPhone. Première entreprise à être arrivé à un accord : OpenAI, l’entreprise derrière le célèbre ChatGPT.
Des négociations étaient également en cours avec Google pour intégrer Gemini dans iOS 18, ainsi qu’avec Anthropic pour utiliser Claude. La signature de l’accord avec OpenAI aurait pu faire croire que ces discussions étaient donc logiquement terminées. Il semblerait que non : Apple voudrait également intégrer les services d’autres de ses concurrents dans iOS 18.
iOS 18 intègrera aussi les chatbots Gemini et Claude à terme
Dans sa newsletter Power On de ce dimanche, Mark Gurman nous a une fois de plus régalés de nombreuses informations glanées chez Apple. En parlant de l’intégration de l’IA dans iOS 18, le journaliste de Bloomberg indique que Meta et Apple avaient également eu une courte discussion concernant LLaMA 2, le chatbot de la maison-mère de Facebook. Malheureusement pour Mark Zuckerberg, son IA n’aurait pas convaincu Tim Cook.
Surtout, dans le paragraphe suivant, Mark Gurman indique :
Quant à un accord entre Apple et Google ou Anthropic, je m’attends à ce que le premier soit annoncé au moment du lancement d’Apple Intelligence à l’automne
ChatGPT ne sera donc pas le seul chatbot proposé dans iOS 18. Gemini et Claude devraient eux aussi arriver à terme dans l’iPhone, à commencer par le premier. Pour l’instant, l’intégration des chatbots de la concurrence n’a rien d’officiel : dans l’aperçu d’iOS 18 sur le site d’Apple, ChatGPT n’est même pas mentionné. Il faudra donc faire preuve de patience.
D’ailleurs en France, il est possible que les fonctionnalités d’IA de l’iPhone ne voient jamais le jour. À l’automne, Apple Intelligence restera absent des iPhone dans l’Union européenne. Apple affirme que la réglementation actuelle ne lui permet pas de déployer ces fonctionnalités dans la légalité.
iOS 18 va accueillir de nombreuses fonctionnalités d’IA, notamment ChatGPT en partenariat avec OpenAI.
Apple ne ferme pas la porte à l’intégration d’autres chatbots, notamment Google Gemini et Claude d’Anthropic.
En France, ces chatbots pourraient tout simplement ne jamais arriver.
Tous les matins, on revient sur les actualités les plus importantes de la veille. Hier, on découvrait que OpenDNS quittait la France, que Helldivers 2 avait perdu 90 % de ses joueurs sur PC, et que le Google Pixel 9 aurait le même écran fourni par Samsung que l’iPhone 16 Pro. Ce mercredi, c’est Apple, PS5 et Gladiator 2. Bonne lecture !
Apple déclare l’iPhone X, le HomePod et les AirPods obsolètes
Le 1er juillet 2024, Apple a officiellement classé l’iPhone X, le HomePod de première génération et les AirPods de première génération comme des produits « anciens ». Selon les normes d’Apple, cette étiquette est attribuée aux produits qui ne sont plus fabriqués depuis plus de cinq ans, mais moins de sept ans. Cette décision entraîne ainsi la fin prochaine (dans deux ans) de la prise en charge technique et des réparations pour ces appareils emblématiques.
Pourquoi la PS5 dépasse les performances de la Xbox Series X ?
DR
Alors que la neuvième génération de consoles approche de sa quatrième année, le constat est sans appel : la PS5 a écrasé la Xbox Series X/S. Si Sony a gagné cette longue manche, c’est notamment parce que des jeux comme GTA V tournent bien souvent mieux sur sa console que sur celle de Microsoft. Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance. Sur le papier, la Xbox Series X semble plus puissante que la PS5. Alors comment expliquer ce phénomène ?
Gladiator 2 : les premières images de la suite tant attendue
L’attente touche à sa fin pour les fans de Gladiator, le film culte de Ridley Scott sorti en 2000. Les premières images de la suite, sobrement intitulée Gladiator 2, ont enfin été dévoilées, révélant une reconstitution épique de la Rome antique. Même si cette suite n’était pas forcément réclamée par les spectateurs, elle suscite néanmoins une vive curiosité. Ridley Scott, réalisateur emblématique, reprend les rênes pour ce nouveau chapitre. Après avoir remporté six Oscars avec le premier opus, Scott a longuement mûri ce projet, qui a traversé diverses phases de production et de réécriture avant d’aboutir.
Globalement, l’adoption de Windows 11 reste berne. Pas plus tard qu’hier, on apprenait que le dernier système d’exploitation de Microsoft pour PC s’approchait enfin de la barre des 30 % d’utilisateurs. L’OS reste toutefois bien en deça de son aîné, l’indéboulonnable Windows 10. Mais ces résultats au global rapportés par Statista ne sont pas exactement les mêmes que ceux de Steam.
La magasin en ligne de jeux vidéo est une bonne source d’information sur le matériel usité par les joueurs PC. Chaque mois, la plateforme de Valve mène l’enquête auprès de ses utilisateurs en scannant leur machine, avec leur consentement bien sûr. Ses chiffres montrent que les joueurs sont de plus nombreux à utiliser Windows 11, qui est en passe de dépasser Windows 10. C’est pas trop tôt.
Windows 11 va-t-il enfin réussir à dépasser son prédécesseur ?
La dernière enquête sur le matériel et les logiciels Steam indique que Windows 11 est sur le point d’y devenir le système d’exploitation le plus populaire. En juin 2024, la part de marché de l’OS a augmenté de 0,55 point. Il se situe désormais à 46,63 %. C’est à moins de 3 % de Windows 10, toujours plébiscité malgré son grand âge.
Ce dernier a perdu 0,93 point et ne détient “plus que” 49,42 % de parts de marché sur Steam. D’autres versions de Windows plus anciennes encore montrent une vitalité toute relative. En effet, Windows 7 64 bits détient encore 0,4 % de parts et Windows 8.1 0,08 %.
Dans l’ensemble, 96,61 % des participants à l’enquête déclarent utiliser Windows pour jouer à des jeux sur Steam (+0,40 %). Linux, malgré une popularité en hausse ces derniers temps, est en légère baisse et maintient sa deuxième position avec 2,08 % (-0,24). macOS est en troisième position avec 1,31 % (-0,16) : il faudra attendre avant de voir les efforts d’Apple en matière de gaming porter leurs fruits.
Windows 11 finira de toutes façons par être imposés à tous. La version 10 de l’OS est maintenant vouée à s’éteindre, avec la fin des mises à jour de sécurité. Cette date fatidique est maintenant fixée, sous réserve que Microsoft ne change pas d’avis d’ici là.
Windows 11 talonne Windows 10 de peu dans la dernière enquête sur le matériel et les logiciels de Steam.
Cet échantillon représentatif des joueurs PC montre que 46,63 % utilisent la dernière version de l’OS.
Windows 11 est de toutes façons voué à être imposé à tous avec la fin des mises à jour de sécurité de 10.
Depuis le 26 juin 2024, vos données personnelles sont utilisées par Meta pour entraîner ses modèles d’intelligence artificielle (IA). Cela signifie qu’automatiquement, tout ce que vous faites sur les réseaux sociaux de l’entreprise se retrouveront dans les résultats recrachés éventuellement par son chatbot. Ainsi, tous les usagers d’Instagram, Facebooket Threadssont concernés.
Heureusement, l’Union européenne (UE) veille au grain. Avec l’adoption de lois de plus en plus restrictives à l’égard des entreprises technologiques comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD), nous pouvons prétendre à une meilleure protection qu’aux Etats-Unis. Les habitants de ce pays n’ont en effet pas eu d’autre choix que de voir leur données avalées dans les modèles d’IA de Meta.
Il est donc possible de refuser que l’entreprise de Mark Zuckerberg emploie vos données. Pour l’instant, tous les utilisateurs ont opté pour ce choix par défaut, avec la dernière mise à jour de la politique de confidentialité de Meta. Bien sûr, il faudra aller lire ce document en détail pour découvrir le pot aux roses. Heureusement, il est toujours possible de se rétracter a posteriori.
Comment empêcher Meta d’utiliser vos données dans son IA ?
Il faudra vous rendre dans le centre de confidentialité de Meta. Là, il faudra accéder à cette page, dédiée à expliquer tous les projets de l’entreprise en matière d’intelligence artificielle. Ici, Meta cache un lien vers une page d’aide de Facebook, où il est possible de refuser “l’utilisation de vos informations partagées sur les produits et services Meta dans le but de développer et d’améliorer AI at Meta (sic)”.
Capture d’écran pages d’aide Facebook
L’entreprise y explique en détail quelles données elle emploie pour entraîner son modèle. Pour refuser l’emploi de vos données personnelles, il faudra vous rendre en bas de page. Puis répondre à toutes les questions, c’est à dire :
Votre pays
Votre adresse mail
Là, Meta vous oblige étrangement à expliquer les raisons de votre demande. Après avoir appuyé sur le bouton “Envoyer”, un code d’authentification vous sera envoyé à l’adresse mail indiquée dans le formulaire. Attention, ce mail peut se retrouver dans vos spams. Heureusement, peu importe les raisons exposés dans votre demande, Meta acceptera automatiquement votre rétractation. Et voilà : vos données ne seront pas intégrées dans l’IA.
Depuis le 26 juin 2024, Meta utilise les données de ses utilisateurs européens pour entraîner son IA.
Les utilisateurs de Instagram, Facebook et Threads ont la possibilité de refuser l’emploi de leur données.
La démarche est assez simple, à condition de savoir où trouver le formulaire cachés dans les pages d’aide.
L’Autorité de la concurrence ne voit pas d’un bon œil l’ascension fulgurante de Nvidia. L’entreprise avec la plus grosse capitalisation boursière au monde serait bientôt visé par une plainte en France, selon des informations obtenues par l’agence de presse Reuters. Les enquêteurs de l’Autorité de la concurrence auraient trouvé de quoi incriminer le fabricant de cartes graphiques.
Nvidia aurait des pratiques anticoncurrentielles dans le secteur des cartes graphiques
Bien sûr, il ne s’agit pas de prouver les pratiques anticoncurrentielles de Nvidia uniquement en matière de gaming, face à AMD. Ce domaine est désormais quasiment insignifiant pour l’entreprise, qui compte désormais davantage sur l’intelligence artificielle générative. En effet, des entreprises comme Microsoft ou OpenAI sont extrêmement demandeuses en puces dédiées, comme le tout récent GPU B200 de Nvidia à 40 000 dollars.
L’Autorité de la concurrence aurait maintenant des éléments prouvant les pratiques anticoncurrentielles de Nvidia. Celles-ci auraient étés obtenues au cours d’une enquête menée en septembre visant plus globalement l’industrie du cloud. À l’époque, le gendarme des entreprises s’était contenté de signaler avoir mené des perquisitions dans « une entreprise dans le secteur des cartes graphiques ». La presse nationale s’était alors empressée de rapporter que cette intervention avait eu lieu au petit matin du 26 septembre, au siège de Nvidia France à Courbevoie.
Nvidia visé par les autorités de la concurrence de toute la planète
Pour l’instant, l’Autorité de la concurrence s’est refusé à commenter les informations de Reuters. L’institution publie habituellement ses communiqués de griefs aux entreprises : une fois la plainte officiellement déposée devant la justice, nous aurons peut être davantage éléments sur ces accusations. Cela ferait de notre pays le premier à ester en justice contre l’entreprise de Jensen Huang, le PDG devenu quasiment superstar.
Des éléments de réponse quant aux raisons de cette plainte pourraient se trouver dans un rapport publié vendredi dernier par l’Autorité de la concurrence. Dans ce document portant sur le domaine de l’IA générative, l’institution évoquait le risque d’abus de la part des fournisseurs de GPU. Surtout, il s’inquiétait notamment de la dépendance du secteur à l’égard du logiciel de programmation des puces CUDA de Nvidia, essentielles pour l’accélération des calculs.
L’Autorité de la concurrence voudrait bientôt porter plainte contre Nvidia, le fabricant de cartes graphiques.
L’institution régulatrice aurait trouvé des éléments prouvant de pratiques anticoncurrentielle de l’entreprise.
Ces preuves auraient été trouvées durant une perquisition au siège de Nvidia en septembre 2023.
Alors que la neuvième génération de consoles approche de sa quatrième année, le constat est sans appel : la PS5 a écrasé la Xbox Series X/S. Si Sony a gagné cette longue manche, c’est notamment parce que des jeux GTA V tournent bien souvent mieux sur sa console que sur celle de Microsoft. Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance. Sur le papier, la Xbox Series X semble plus puissante que la PS5. Alors comment expliquer ce phénomène ?
La Xbox Series X est plus puissante que la PS5 sur le papier
Tout d’abord, voici un petit récapitulatif des fiches techniques de la PS5 et de la Xbox Series X. Toutes deux sont équipées de puces AMD conçues spécialement pour chaque console, avec un CPU Zen 2 et un GPU RDNA 2. La Xbox Series X est équipée de :
Un CPU à huit cœurs cadencés à 3,8 GHz (3,6 GHz avec le multithreading simultané activé)
Un GPU alimenté par 52 unités de calcul cadencées à 1,825 GHz
16 Go de SDRAM GDDR6 en design divisé : 10 Go avec un bus 320 bits avec une bande passante de 560 Go/s, et 6 Go avec un bus 192 bits avec une bande passante de 336 Go/s.
Tout ceci pour une puissance de calcul estimée à 12,6 TeraFLOPS. La PS5 quant à elle est équipée de :
Un CPU à huit cœurs à fréquence variable plafonnée à 3,5 GHz
un GPU alimenté par 36 unités de calcul à fréquence variable jusqu’à 2,23 GHz
16 Go de SDRAM GDDR6 avec un bus de 256 bits et 448 Go/s de bande passante.
Elle atteint ainsi le chiffre inférieur de 10,13 TeraFLOPS estimés.
Le compilateur de shaders et l’API de la PlayStation 5 sont supérieurs
Dans le dernier épisode hebdomadaire de son podcast Direct, le média Digital Foundry a tenté de parvenir a une conclusion définitive sur la question. L’un des journalistes, John Linneman, affirme avoir eu cet élément de réponse de la part de développeurs de jeux vidéo : la partie logicielle de PlayStation 5 serait tout simplement bien meilleure que celle de la Xbox Series X.
Plusieurs développeurs auraient déclaré que le compilateurs de shaders de la PS5 est “plutôt complexe“, mais qu’il est “tout simplement extrêmement rapide et optimisé“. De même, l’API principale de la PS5 serait également “plus rapide que ce que fait Microsoft avec DirectX“. De quoi beaucoup mieux exploiter les capacités hardware de la console donc.
Mais tout n’est pas rose au Japon. Selon Alex Battaglia, la console américaine exploiterait mieux l’Unreal Engine 5 d’Epic. Les jeux tournant sous ce moteur graphique très répandu bénéficient généralement du nombre plus élevé d’unités de calcul de la Xbox Series X. La guerre des consoles n’est donc pas tout à fait terminée.
La PS5 fait tourner mieux certains jeux que la Xbox Series X, pourtant plus puissante sur le papier.
Selon les développeurs de jeux vidéo, cela s’expliquerait par sa partie logicielle plus performante.
Le compilateur de shaders serait mieux optimisé et l’API de la PS5 plus rapide que DirectX de Microsoft.
BYD commence à se faire connaître chez nous avec ses ambitions démesurées. Le constructeur automobile chinois est l’un des partenaire officiel de l’Euro 2024 et son logo de plus en plus reconnu figure à tous les matchs. Car la domination de Tesla, c’est terminé. Alors que le constructeur automobile texan a connu des ventes en baisse pour le deuxième trimestre d’affilé, BYD a battu un nouveau record de ventes en juin 2024.
BYD a vendu 340 211 voitures dans le monde rien qu’en juin
BYD a battu en juin son précédent résultat le plus élevé, datant de décembre 2023. Ses ventes de véhicules à batterie ont atteint 340 211 exemplaires le mois dernier. Le précédent record mensuel s’établissait à 340 178. C’est normal : par rapport à l’année dernière, ses ventes totales ont augmenté de 35 % ! Ce résultat n’est atteint pas seulement grâce aux voitures de marque BYD comme la Seagull. En effet, le constructeur d’abord spécialisé dans les batteries peut compter sur trois sous-marques :
Denza
Yangwang
Fangchengbao
C’est surtout grâce aux hybrides rechargeables que BYD atteint de tels chiffres. Le constructeur chinois a vendu 195 032 de ces véhicules décriés par certains, soit 58 % de plus qu’il y a un an. Ses ventes d’hybrides établissent ainsi un quatrième record mensuel consécutif. Avec sa dernière présentation d’hybrides capables de rouler 2000 km sans faire le plein, BYD veut visiblement continuer dans cette veine.
145 179 des exemplaires écoulés sont totalement électrifiés : une hausse de 13 % par rapport aux 128 196 véhicules vendus en juin dernier, mais pas assez pour dépasser les 146 395 véhicules vendus en mai. Difficile d’augmenter les ventes de voiture électriques électrique sur le marché actuel.
Google Pixel 9 utilisera le même écran que l’iPhone 16 Pro
Crédit : TT Technology / YouTube
En plus de fabriquer plusieurs des meilleurs smartphones Android, Samsung fabrique également des dalles OLED de haute qualité. Pourtant, la division smartphone du géant-sud coréen n’a pas la primeur de ces écrans. Selon le média sud-coréen ETNews, le meilleur affichage OLED de l’entreprise est d’abord destiné aux Pixel 9. Samsung aurait également prévu de fournir Apple de ses dalles OLED M14. La firme à la pomme est plus parcimonieuse que son concurrent Google : elle n’emploiera cette technologie que dans ses modèles haut de gamme, l’iPhone 16 Pro et 16 Pro Max.
Helldivers 2 a 90 % de joueurs en moins sur Steam
Helldivers 2, le shooter spatial d’Arrowhead, a connu un début de carrière fracassant sur PlayStation 5, s’érigeant comme le titre Sony le plus vendu à sa sortie. Sur PC via Steam, l’histoire est tout autre : le nombre de joueurs simultanés a dégringolé à seulement 10 % de son pic historique de 458 709 joueurs. Déjà en mai dernier, la plateforme Steam enregistrait une baisse de 64 % du nombre de joueurs simultanés, tombant à 166 305. Aujourd’hui, ce chiffre atteint une moyenne mensuelle de 41 860 joueurs. Cette donnée ne concerne toutefois que la version Steam : le jeu pourrait rencontrer un succès plus durable sur PS5, plateforme sur laquelle il est publié par Sony.
OpenDNS quitte la France sous la pression de Canal+
Canal+ a subi un revers inattendu dans sa lutte contre le piratage sportif. En effet, leur stratégie de censure DNS, visant à bloquer l’accès aux sites de streaming illégaux, s’est retournée contre eux. Face à l’exigence de bloquer ces sites sur des serveurs DNS publics comme OpenDNS, ce dernier a purement et simplement suspendu son service en France et certaines régions du Portugal. Cette décision d’OpenDNS a privé les usagers français d’un service DNS fiable, et ce, du jour au lendemain. Un message fort.
Le PSN ne se contente pas de forcer les joueurs PC à se créer un compte pour jouer à God of War Ragnarök : occasionnellement, le réseau multijoueur de Sony tombe en panne. L’entreprise japonaise a confirmé qu’un tel épisode est actuellement en cours après les retours de nombreux joueurs. Ces derniers signalent ne pas être en mesure de se connecter.
Le PlayStation Network est en panne, une fois de plus
Sur son site officiel, Sony révèle que plusieurs parties du service connaissent des problèmes. Sur la page d’état du PSN, l’éditeur de jeux vidéo indique plus précisément les suivants :
Gestion du compte
Jeux et réseaux sociaux
PlayStation Video
PlayStation Store
Capture d’écran du site du PSN
Il est donc pour l’instant impossible pour la plupart des joueurs d’accéder à leur profil, d’acheter des jeux ou même de jouer à des jeux en ligne sur PS4 et PS5. Un seul service reste accessible, le PlayStation Direct, c’est-à-dire la boutique en ligne officielle de Sony, où est vendue uniquement le matériel PlayStation : en attendant de jouer à des jeux, c’est le moment de vous acheter un PlayStation Portal ou le casque PSVR2, bientôt compatible avec les PC.
Pourtant, aucune maintenance du PSN n’était prévue pour aujourd’hui. Il s’agit selon toute vraisemblance d’un problème technique imprévu côté serveurs. Tous les joueurs ne semblent pas impactés toutefois.
Sur les réseaux sociaux, les internautes ont commencé à affluer pour avoir confirmation que le PSN est bien en panne. La plupart des témoignages semblent en japonais pour l’instant, mais certains anglophones signalent les mêmes problèmes.
Sur Downdetector, les signalements connaissent un pic depuis 16h07. Sony indique pour sa part que le problème à commencé. Les signalements sont maintenant en baisse, mais ce n’est probablement que le signe que les joueurs PlayStation attendent une solution de la part de Sony.
Le fabricant de console indique de son côté que les problèmes du PSN ont commencé vers 16h46. La dernière fois que Sony avait connu une panne de son service, le downtime avait duré longtemps, très longtemps. En effet, le PSN était resté hors ligne le 21 mars, de 15h30 à 21h30, avec des problèmes résiduels toute la nuit. Espérons que cette fois-ci ce sera plus court.
Le PSN est tombé en panne depuis à peu près 16h07 selon les utilisateurs, 16h46 selon Sony.
Tous les éléments du service sont en panne à part la boutique de matériel PlayStation.
Sony s’efforce maintenant résourdre le problème pour remettre le PSN en ligne au plus vite.
Après la sortie de la gamme iPhone 15, Apple se projette vers la prochaine version de son smartphone qui sortira dans quelques mois. L’iPhone 16 devrait introduire plusieurs innovations, notamment en matière d’IA. Comme d’habitude, les informations officieuses se révèlent au compte-gouttes à mesure que nous nous approchons du lancement. Pour vous aider à y voir plus clair, la rédaction a regroupé sur cette page tout ce que nous savons à ce stade sur l’iPhone 16.
L’iPhone 16 devrait être présenté en septembre 2024, à la rentrée comme Apple en a l’habitude. A titre de comparaison, la firme à la pomme a officiellement dévoilé la gamme iPhone 15 le 12 septembre 2023, pour une sortie le 22 septembre. Une fenêtre de sortie similaire est attendue pour la prochaine génération.
Selon ETNews, l’iPhone 16 pourrait même sortir avant la mi-septembre : plus tôt que son prédécesseur donc. Le média sud-coréen tiendrait cette information de sources sévissant chez les opérateurs du pays de Samsung, où il se murmure que le nouveau téléphone d’Apple sortira en même temps que dans le reste du monde, contrairement à d’habitude.
L‘iPhone 16 risque de coûter beaucoup plus cher que les précédentes gammes. En effet, les coûts de production de l’iPhone 15 ont augmenté de 10 % par rapport au cru 2022. L’inflation galopante depuis un an est passée par là. Pourtant, Apple a fait le choix d’absorber l’augmentation des coûts et d’épargner le consommateur. Ainsi, les prix n’ont pas bougé en 2023, faisant de l’iPhone 15 l’itération la moins chère depuis 2007, ramené à l’inflation.
Il est peu probable qu’Apple décide de réitérer l’expérience pour l’iPhone 16. La firme pourrait davantage refléter ses coûts sur le prix du téléphone et retourner aux marges des précédents smartphones. Une augmentation de 10 % du tarif du modèle de base de l’iPhone 15 à 969 euros nous donne 1065 euros : une indication approximative du prix que pourrait afficher l’iPhone 16 à sa sortie.
Le constructeur pourrait cependant gratter çà et là pour garder la facture à un niveau raisonnable. Digitimes rapporte ainsi qu’Apple serait passé d’une technologie de mémoire flash à une autre, moins chère. Celle-ci impliquerait toutefois des performances réduites pour les modèles d’iPhone 16 Pro de 1 To.
Ces dalles plus grandes pourraient être équipées d’une technologie micro-LED révolutionnaire conçue par Apple, selon un rapport tiré de la chaîne d’approvisionnement. Cette technologie d’affichage lui conférerait une luminosité plus élevée, une consommation d’énergie réduite et un rapport de contraste amélioré. Cependant, ce sera d’abord l’Apple Watch Ultra qui aura d’abord droit au microLED. De plus, il est possible que le premier iPhone à en être équipé soit le 17, et non le 16.
Selon la publication coréenne Sisa Journal-E, l’iPhone 16 Pro mesurera 149,6 x 71,45 x 8,25 mm, et le Pro Max 163 x 77,58 x 8,25 mm. Cela représente une augmentation d’environ 3 mm en hauteur et 1 mm en largeur par rapport aux modèles actuels. En revanche, grâce à une nouvelle technologie baptisée Border Reduction Structure (BRS), les bordures seront amincies. Selon le leaker Setsuna Digital, le smartphone aura des bordures de 1,2 mm et celles de sa déclinaison Pro Max seront d’à peine 1,15 mm.
Apple aurait également prévu de changer la disposition du module photo de l’iPhone 16, qui ressemblerait à celui de l’iPhone 12. Au lieu d’être positionnés en diagonale comme sur l’iPhone 15, les capteurs seraient disposés verticalement, l’un en dessous de l’autre, selon le leaker Unknownz21.
Sur ce dernier point, MacRumors abonde dans le même sens. Le média spécialiste d’Apple affirme avoir mis la main sur les prototypes du téléphone, révélant également le choix des couleurs. Il a ainsi pu établir un aperçu en 3D de leur apparence.
En jaune, un premier design avec le bouton action, un bouton de volume unifié et un appareil photo similaire à celui de l’iPhone X.
En rose, un bouton action et des boutons de volume mécaniques séparés.
En noir, un plus grand bouton d’action et le fameux bouton capture. A priori ce sera ce dernier prototype qui ressemblera le plus au produit final.
Tous ces modèles envisagés ont en commun une nouvelle disposition verticale des capteurs photo. Si cet alignement est une constante, Apple envisage toutefois deux conceptions différentes de la bosse de la caméra :
L’une dans le style de l’iPhone 12, avec deux objectifs situés l’un au-dessus de l’autre. Celle-ci se retrouverait dans davantage de prototypes, signe d’un plus grand intérêt.
L’autre dans le style de l’iPhone X, avec une bosse unique à forme ovale.
Des modèles factices du téléphone, servant aux fabricants de coques en amont du lancement, montrent également la même disposition des capteurs. Le leaker Majin Bu confirme en partageant des moules présumés d’iPhone 16. Ceux-ci montrent une apparence similaire à l’iPhone 12, avec les deux capteurs superposés. Le doute n’est (quasiment) plus permis.
Majin Bu affirme connaître aussi les couleurs de l’iPhone 16 Pro. Selon ses informations, le téléphone sera proposé en Jaune Désert ou Gris Ciment. Concernant les autres teintes au menu, il estime qu’il n’y aura pas de rouge ni de vert. Le bleu pourrait en revanche être conservé. Certains comptes Weibo le contredisent et parient plutôt sur l’arrivée du rose, une couleur également mentionnée par MacRumors. À cette occasion, le bleu de l’iPhone 16 Pro serait abandonné.
Pour l’analyste de la chaîne d’approvisionnement Ming Chi-Kuo, ces changements de design ne sont pas suffisants pour relancer les ventes face à l’IA et les pliables de la concurrence. Au-delà de la supériorité d’un design sur un autre, il est attendu qu’un smartphone apporte des nouveautés pour se démarquer de ses prédécesseurs. Difficile de croire que les acheteurs potentiels d’iPhone 16 seront séduits par un appareil ressemblant comme deux gouttes d’eau à l’iPhone 15.
Concept de design de l’iPhone 16
Quel appareil photo sur l’iPhone 16 ?
La plupart des améliorations de l’appareil photo dont nous avons eu vent jusqu’ici concernent l’iPhone 16 Pro et 16 Pro Max. A priori, les modèles de base devraient profiter des innovations des modèles Pro 2023 tandis que l’iPhone 16 Pro devrait faire le plein de nouveautés.
C’est tout d’abord l’analyste Ming-Chi Kuo qui l’a affirmé à plusieurs reprises : l’iPhone 16 Pro aura droit au téléobjectif à tétraprisme de l’iPhone 15 Pro Max. Celui-ci indique que Largan, l’entreprise sous-traitante d’Apple qui fabrique ce composant, affichera de beaux résultats en 2024. Pourquoi ? En grande partie grâce à “deux modèles iPhone 16 Pro adoptant des objectifs tétraprisme“.
Pour Apple, cette décision aurait beaucoup de sens : l’accueil réservé au zoom 5x par les critiques et les clients a été très chaleureux. Dans notre test de l’iPhone 15 Pro Max, nous écrivons ainsi que le cru 2023 a “enfin un téléobjectif digne de ce nom“, précisément grâce à cette technologie.
Un indice de plus vient confirmer davantage cette hypothèse : l’iPhone 16 Pro serait doté d’objectifs en verre moulé. Ces lentilles offrent un plus grand grossissement par rapport à leur taille. Ainsi, Apple pourrait choisir de conserver des longueurs de focales de 24 mm et 120 mm, tout en économisant de l’espace sur le 16 Pro, déjà chargé par l’objectif à tétraprisme qui requiert beaucoup de place.
Ces capteurs seraient recouverts d’un revêtement antireflets déposé par ALD. Ce procédé industriel de dépôt des couches du revêtement à l’échelle atomique permettrait un contrôle accru sur sa finesse et sa composition. L’un des principaux gain serait de faire disparaître l’apparition d’artefacts de lumière et de reflets lors de la capture photo, même par grand soleil.
Revegnus affirme également sur X (Twitter) que l’iPhone 16 Pro sera équipé d’un appareil photo principal de 48 mégapixels. Un saut de résolution important par rapport au capteur de 12 mégapixels de la gamme iPhone 15. Plus précisément, l’informateur souligne que le nouveau capteur offrira la même taille de pixel de 1,22 micron, mais avec un design empilé. Cette technologie de Sony permet d’obtenir une plage dynamique plus large et un bruit plus faible.
C’est un schéma de transmission des puces qui se répète d’une année à l’autre depuis un moment chez Apple. Logiquement, l’iPhone 16 devrait avoir droit à la puce A17 Bionic qui équipe actuellement les 15 Pro, selon l’analyste Jeff Pu. Les modèles Pro verraient quant à eux l’introduction de l’A18, avec un SoC d’une finesse de gravure en 3 nm, une première pour un smartphone.
Sauf que selon le site wccftech, le prochain iPhone briserait cette habitude bien ancrée. Apple aurait demandé à TSMC de concevoir de nouvelles puces pour l’iPhone 16, basées sur le processus N3E en 3 nm. La nouvelle puce A18 viendrait donc équiper aussi bien le modèle de base que les modèles Pro de l’iPhone 2024.
D’après le site taïwanais Economic Daily News, cette puce serait équipée d’un nombre considérablement supérieur de cœurs dédiés aux calculs d’IA, qui permettraient l’intégration des fonctionnalités d’IA génératives du futur iOS 18.
Concernant la RAM, Jeff Pu indique que le modèle de base viendra avec 8 Go de mémoire flash. Une amélioration en vue : seuls les modèles Pro sortis en 2023 étaient aussi bien fournis. Dans un énième rapport, l’analyste de Haitong International Securities assure que l’iPhone 16 profitera de 8 Go de RAM et d’au moins 256 Go de stockage.
Certains auraient déjà mis la main sur les résultats de cette combinaison explosive au cœur de la bête. Des tests de performances du modèle Pro en fuite révèlent pour certains un bond de performances significatif, avec un résultat de 3570 en single-core et 9310 en multi-core contre 2890 et 7914 pour l’iPhone 15 Pro.
En revanche, d’autres fuites provenant de la même source présentent des scores moins impressionnants, à savoir 2822 en single-core et 8571 en multi-core. Ces résultats dépassent légèrement ceux de l’A17 Pro, mais souffrent de la comparaison face au grand rival, le Snapdragon 8 Gen 4.
Grâce à un matériau spécial, Apple pourrait corriger problèmes de surchauffe de l’iPhone. Sur X, l’utilisateur @KosutamiSan, celui qui avait rapporté le fait qu’Apple allait passer à l’USB-C, dit que la firme de Cupertino envisagerait d’utiliser un dissipateur thermique en graphène et un boîtier de batterie métallique pour favoriser un meilleur transfert de chaleur.
Apple is actively working on graphene thermal system of iPhone 16 Series to solve the heating problem existing before. And the battery of Pro series would change to metal shell, for the same reason.
Comme mentionné précédemment, une technologie d’écran micro-OLED permettrait de démultiplier l’autonomie de l’iPhone 16. Ces dalles utilisent de minuscules lentilles pour modifier le trajet de la lumière vers la surface de l’affichage et les yeux de l’utilisateur, au lieu de la réfracter dans d’autres directions. Outre les améliorations en luminosité, elle permet de consommer beaucoup moins d’énergie.
D’autres rapports tendent également vers une amélioration notable de l’autonomie. Notamment pour le modèle le plus premium. D’après le leaker yeux1122, l’iPhone 15 Pro Max disposerait d’une autonomie encore jamais vue sur un iPhone. Alors que son prédecesseur peut aller jusqu’à 29 h en lecture vidéo, il se pourrait que le futur flagship dépasse le seuil des 30 heures d’autonomie.
Cela serait permis par de nouveaux modèles de batterie, dont parle le leaker Majin Bu. Celui-ci affirme que l’iPhone 16 Pro Max disposerait d’une batterie de 4 676 mAh (contre 4 422 mAh pour l’iPhone 15 Pro Max). En revanche, ces nouvelles batteries ne profiteraient pas à tous les modèles : l’iPhone 16 Plus aurait une autonomie en chute libre, avec une capacité en baisse de 8,6% par rapport à celle du 15 Plus.
Quelles nouvelles fonctionnalités sur l’iPhone 16 ?
Toute la gamme iPhone 16 accueillerait le bouton Action des iPhone 15 Pro. Selon les informations de Macrumors, tous les prototypes du téléphone en sont équipés et la documentation en interne d’Apple en atteste. La firme aurait prévu de le transformer en bouton capacitif et d’y apporter de nombreuses améliorations comme la reconnaissance de la pression appliquée sur le bouton.
Apple préparerait aussi un nouveau bouton Capture. Il s’agirait là d’un bouton supplémentaire au bouton action, déjà implémenté dans les modèles 15 Pro. Auréolé du nom de code “Project Nova”, il permettrait de prendre des photos, des captures d’écran, des vidéos, tout en manipulant différents paramètres comme le zoom ou la focale. Il représenterait ainsi une nouvelle manière de prendre les photos sur l’iPhone.
La gamme iPhone 16 pourrait inclure le nouveau modèle Ultra
C’était une rumeur insistante avant la sortie de l’iPhone 15 : l’arrivée d’une nouveau modèle Ultra, qui se placerait tout en haut de la gamme, devant le Pro Max. Prix mirobolant, capacités démultipliées… ce modèle nourrit les fantasmes des fans d’Apple. Et ce fameux iPhone Ultra pourrait même arriver en 2024, selonMark Gurman, source de référence sur Apple.
Celui-ci indique que pour justifier son prix plus élevé, l’iPhone 16 Ultra pourrait avoir un meilleur appareil photo, un écran encore plus grand et une puce plus rapide pour des performances améliorées.
C’est pourquoi le géant du jeu vidéo anticipe déjà l’éventuelle apparition de scalpers, ces revendeurs peu scrupuleux qui mettent la main sur un maximum de consoles dès leur sortie, pour créer une pénurie et ensuite les revendre à prix d’or. Lors d’une conférence avec les actionnaires de Nintendo, la direction expliquait comment elle avait d’ores et déjà établit un plan pour lutter contre les scalpers.
Nintendo prévoit une production adéquate pour la Switch 2
Pour éradiquer le phénomène, le PDG de Nintendo expliquait aux propriétaires de l’entreprise qu’il compte sur une solution très simple. Pour lui, il s’agit fournir suffisamment d’exemplaires de la Switch 2 pour s’assurer de répondre à la demande : “Pour contrer la revente, nous pensons que la chose la plus importante est de produire un nombre suffisant pour répondre à la demande des clients, et cette idée n’a pas changé depuis l’année dernière“.
Mais ce n’est pas tout. “En plus de cela, nous examinons s’il existe d’autres mesures qui peuvent être prises dans la mesure permise par les lois et les règlements, en tenant compte des circonstances de chaque région” déclare Shuntaro Furukawa. Nintendo pourrait décider d’implémenter des clauses dans ses contrats d’utilisation particulièrement contraignantes contre la revente, de la même manière que les premiers propriétaires de Cybertruck n’ont pas le droit de le revendre.
Le dirigeant de l’entreprise en profite pour faire son mea culpa : “Bien que nous n’ayons pas été en mesure de produire des quantités suffisantes de Nintendo Switch l’année dernière et l’année précédente en raison d’une pénurie de semi-conducteurs, cette situation est désormais résolue“. Celui-ci indique qu’aucun problème de production n’est donc à prévoir pour le modèle suivant.
La Nintendo Switch n’était pas la première affectée par ce problème. C’est surtout la PS5 qui en avait fait les frais : avec une sortie à la veille du Covid, les revendeurs avait régné pendant une longue période sur le marché. Nous en aurons le cœur net concernant la prochaine console Nintendo lors de sa sortie, dont on a maintenant une idée assez précise.
Nintendo veut éviter le phénomène des scalpers, ces revendeurs peu scrupuleux, pour la sortie de la Switch 2.
L’entreprise compte inonder le marché de suffisamment de consoles pour répondre à la demande.
D’autres mesures contraignantes pourraient être prises grâce au contrat d’utilisation selon les régions.
Depuis la WWDC 2024, iOS 18 fait les gros titres de la presse. Avec ses nouvelles fonctionnalités phares, le prochain système d’exploitation mobile de l’iPhone a de quoi séduire. C’est notamment grâce à Apple Intelligence, l’IA de la firme à la pomme, qui promet notamment un assistant Siri totalement revisité à la sauce chatbot.
Pendant ce temps, Android 15 continue son petit bout de chemin, se révélant petit à petit via les mises à jours apportées aux smartphones Pixel. Lors du Google I/O 2024, Mountain View a préféré parler davantage de l’IA. Le système d’exploitation n’a reçu quant à lui que quelques minutes de parole. Pourtant, ses fonctionnalités se révèlent tout autant voire plus significatives que celles qui arrivent sur iOS.
Android 15 a perdu la bataille de la communication
Alors que Google a parlé d’Android 15 dans le contexte de l’IA aux consommateurs, Apple a montré concrètement les possibilités offertes par les nouvelles fonctionnalités d’iOS 18. C’eut été compréhensible s’il n’y avait pas de grandes nouveautés dans Android 15.
Pourtant, dans un billet de blog récapitulatif de l’I/O 2024, Google mentionne pas moins de 24 nouvelles fonctionnalités notables. Lors de la keynote d’ouverture de son évènement, la plupart ont été passées sous silence. Et c’est sans compter les fonctionnalités apportée plus largement à l’écosystème de Google, par exemple celles apportées à Gemini ou au Play Store.
Un exemple criant étant celui de l’espace privé d’Android 15. Il permet de cacher des applications et des fichiers des regards indiscrets dans une section dédiée de l’accueil, verrouillée par un mot de passe ou la détection biométrique. Dans iOS 18, Apple introduit une fonctionnalité similaire, qui a pourtant fait l’objet d’une couverture par la presse beaucoup plus large depuis la WWDC.
De même avec la connectivité satellite. Apple propose seulement des SOS grâce aux satellites : iOS ne permettra pas d’envoyer des messages texte en dehors des situations d’urgence. De son côté, Android 15 proposera cette fonctionnalité à tout utilisateur disposant d’un forfait mobile la prenant en charge.
Ce n’est pas rien, mais Apple a encore une fois remporté la bataille de la communication sur ce round. Pourtant, iOS 18 restera dénué de la plupart de ses fonctionnalités phares au lancement. Aux Etats-Unis, Apple Intelligence restera au stade de bêta même après l’automne et la refonte de Siri se fera attendre jusqu’en 2025. En France, les fonctionnalités d’IA pourrait tout simplement ne jamais arriver.
Android 15 n’a pas eu droit à une couverture digne de ce nom lors du Google I/O 2024.
Apple a beaucoup mieux présenté l’utilité concrète des fonctionnalités d’iOS 18 lors de la WWDC.
Pourtant, la plupart seront absentes d’iOS 18 à l’automne alors qu’Android 15 propose d’autres fonctionnalités plus avancées.
Demandeur d’emploi, vous vous êtes rendu ce matin sur le site de France Travail pour consulter d’éventuels messages dans votre espace personnel. Première bizarrerie, le site de l’ex-Pôle Emploi est étrangement lent. Puis une fois la page d’authentification passée, le site affiche “Service Indisponible” sur Google Chrome. Pire, sur Firefox, la page continue de se charger jusqu’à montrer un écran blanc. Mais que se passe-t-il chez France Travail ?
Crédit : France Travail
Les serveurs de France Travail seraient-ils victimes d’une cyberattaque ?
On ne sait pour l’instant pas précisément ce qu’il se trame dans les serveurs du service public. France Travail n’a pas communiqué sur le sujet. Sur les réseaux sociaux, les témoignages commencent à affluer d’utilisateurs qui n’ont pas réussi à se connecter. Les bugs ne sont pas tous les mêmes : certains (comme nous) voient s’afficher “Service Indisponible”, mais d’autres également “Accès non-autorisé” ou tout simplement une erreur 404.
Un internaute voit quant à lui s’afficher le message suivant de France Travail :
En raison d’un incident technique, nos services connaissent des perturbations. Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour la gêne occasion.
Car la gêne est de taille. Impossible pour les demandeurs d’emploi d’accéder à leur messages de France travail sans leur espace personnel. De même, les rendez-vous prévus avec leurs conseillers, ni les informations concernant l’assurance chômage et les éventuels versements auxquels les demandeurs d’emploi peuvent prétendre ne sont accessibles.
Pour l’instant, on ne peut que spéculer sur les causes de cette étrange panne en ce lundi matin. L’hypothèse d’une cyberattaque n’est pas interdite. En mars, France Travail était déjà victime d’une attaque qui avait vu la fuite des données de 43 millions de Français. Les hackers auraient depuis commencé à exploiter ces données.
D’autres services publics français ont étés victimes de pirates ces derniers temps. C’est notamment le cas de la CAF en février, qui avait confirmé une intrusion d’acteurs de la menace. Depuis, la Caisse avait incité ses usagers à changer leur mot de passe au plus vite, pour éviter les désagréments suite à la mise en vente de leurs identifiants sur le Dark Web. Dans le cas de France Travail, il est toutefois encore trop tôt pour en être certain.
L’espace personnel ne répond plus sur France Travail, ancien nom de Pôle Emploi.
Sans l’espace personnel, les demandeurs d’emploi ne peuvent plus accéder aux fonctions les plus importantes.
L’hypothèse d’un incident technique dû à une cyberattaque n’est pas interdite.
En plus de fabriquer plusieurs des meilleurs smartphones Android et d’avoir de nombreuses activités liées aux hautes technologies, Samsung fabrique également des dalles OLED de haute qualité. Pourtant, la division smartphone du géant-sud coréen n’a pas la primeur de ces écrans. Selon le média sud-coréen ETNews, le meilleur affichage OLED de l’entreprise est d’abord destiné aux Pixel 9.
Samsung fournit en priorité Google en écrans de haute qualité
Pour le cru 2024 du Pixel, toutes les déclinaisons du smartphone intègrerait la technologie OLED M14. Les écrans les plus avancés de Samsung font partie de la série M. Dans la nomenclature de l’entreprise, un numéro de modèle plus élevé indique logiquement un écran de meilleure qualité. En tant que leader du secteur, Samsung devrait signer avec le M14 la dalle OLED le plus performant du marché.
Cette technologie devrait donc être montrée publiquement lors de la conférence de présentation des Pixel 9, prévue pour le 13 août. Pour rappel cette génération accueillera une nouvelle déclinaison : le Pixel 9 Pro XL, en plus des modèles vanilla et Pro habituels. Outre ces trois téléphones, la deuxième génération du Pixel Fold qui devrait être également présentée, le pliable rejoignant pour l’occasion l’affiche en tant que Pixel 9 Fold.
Tous seront équipés d’écrans OLED M14. Ce sera la première fois que cette technologie équipera des smartphones, promettant une luminosité et une durée de vie incomparable.
Le OLED M14 est également destiné aux iPhone 16 Pro
Mais ce ne sont pas seulement les Pixel 9 qui auront droit à cette nouvelle technologie. Samsung aurait également prévu de fournir Apple en panneaux OLED M14. La firme à la pomme est plus parcimonieuse que son concurrent Google : elle n’emploiera cette technologie que dans ses modèles haut de gamme, l’iPhone 16 Pro et 16 Pro Max.
Les variantes standard et Plus continueront à utiliser les mêmes affichages M12 que la génération actuelle, l’iPhone 15. Ce n’était pas une nouveauté en 2023 : chez Apple, l’intégration d’écrans M12 était vue pour la première fois avec l’iPhone 14 Pro Max sorti en septembre 2022.
Visiblement, la production de masse n’était pas prête pour le Galaxy S24 Ultra. Le smartphone le plus haut de gamme de Samsung est resté cette année équipé d’un affichage M13. L’attente ne sera toutefois pas longue avant que son successeur, le Galaxy S25 Ultra, ne soit équipé également d’un écran M14.
Samsung est le leader du marché en matière de production d’écrans OLED haute qualité.
Le géant sud-coréen va d’abord fournir le Google Pixel 9 et l’iPhone 16 Pro avec ses derniers écrans.
Le Galaxy S24 Ultra sera ainsi devancé par la concurrence, jusqu’à la sortie de son successeur le S25 Ultra.
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(@ChristSaves33) 
Quelle date de sortie possible pour l’iPhone 16 ?
Quel prix possible pour l’iPhone 16 ?
Quel écran pour l’iPhone 16 ?
Quel design pour l’iPhone 16 ? 
Quel appareil photo sur l’iPhone 16 ?
Quelles performances pour l’iPhone 16 ?
À quelle autonomie s’attendre sur l’iPhone 16 ?
Quelles nouvelles fonctionnalités sur l’iPhone 16 ?
(@sosergent) 
