Des rassemblements sont attendus, jeudi, lors de la journée de grève nationale contre les mesures budgétaires annoncées par François Bayrou, en juillet. La circulation des trains sera perturbée dans toute la France, et aucun métro parisien ne circulera en dehors des heures de pointe.
Laurent Nuñez dit craindre la présence de casseurs infiltrés dans le cortège syndical pour « en découdre et casser », il conseille aux commerces de « fermer boutique ».
Des groupes pourraient tenter de « commettre des exactions visant des marqueurs du capitalisme, des symboles de l’autorité publique ou des établissements assimilés au gouvernement israélien », met en garde le préfet de police de Paris.
Dix militants identitaires ont été condamnés mercredi à des amendes de 1 000 à 3 000 euros pour avoir posté sur les réseaux sociaux une photo d'une banderole à connotation raciste protestant contre la participation de la chanteuse Aya Nakamura à la cérémonie d'ouverture des JO de Paris.
Les députés de la commission des affaires économiques de l’Assemblée, saisie de la pétition contre la loi Duplomb sur l’agriculture qui a recueilli, cet été, plus de deux millions de signatures, ont unanimement voté, ce mercredi, pour son examen en commission.
Les responsables syndicaux interrogés par « Le Monde » témoignent des traces laissées chez les salariés par la réforme des retraites de 2023, adoptée grâce au 49.3, malgré 14 journées de mobilisation.
Un ancien surveillant d’un collège normand a été condamné, ce mercredi, à six ans de prison ferme pour agressions sexuelles et corruption de mineurs sur 21 victimes.
Le mouvement « Bloquons tout » est-il un moteur ou un concurrent pour les syndicats de salariés traditionnels, organisateurs, jeudi 18 septembre, d’une mobilisation s’annonçant massive ? Éléments de réponse avec Denis Gravouil, secrétaire confédéral de la CGT.
« Pour les syndicats, la configuration apparaît plus favorable qu’en 2023, avec un pouvoir politique affaibli et une colère sociale qui s’est exacerbée », estime le politologue rennais Pierre Rouxel, spécialiste du monde syndical.
Dix militants identitaires ont été condamnés, ce mercredi, à des amendes de 1 000 à 3 000 euros pour des « injures publiques aggravées » sur les réseaux sociaux.
La France affiche l’un des taux de syndicalisation les plus faibles d’Europe. Depuis le début des années 1990, les organisations syndicales peinent à attirer de nouveaux adhérents.
Sébastien Lecornu poursuit ses consultations. Il a reçu les socialistes à Matignon qui, à la sortie du rendez-vous, ont estimé que "le Premier ministre était resté flou sur ses intentions". Les socialistes sont devenus la clé de la non-censure et le Premier ministre espère trouver des compromis avec la gauche pour faire passer le budget. Un accord est-il possible ? Roselyne Febvre pose la question à Alix Bouilhaguet et Stéphane Vernay, éditorialistes politiques.
L’ancien secrétaire général de la CFDT a de nouveau été questionné, mardi 16 septembre, sur l’hypothèse d’un engagement en politique, en marge de la projection en avant-première d’un film sur lui.
Les groupes publics France Télévisions et Radio France dénoncent une « campagne de dénigrement » des médias Bolloré au sujet de l’affaire Legrand-Cohen.
Les forces de l’ordre qui ont déjoué plusieurs tentatives de blocage à Rennes ; Bruno Retailleau qui s’attend à « une mobilisation hybride et forte » ce jeudi ; un accident qui a fait un mort à La Motte (22)… Ce qu’il faut retenir de cette matinée du mercredi 17 septembre 2025 est à découvrir ici.
Selon Olivier Faure, patron du PS, Sébastien Lecornu est « très flou sur ses intentions ». Il est ressorti de son entretien avec le Premier ministre « sur sa faim ».
Le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, a demandé aux forces de l’ordre la plus grande fermeté pour ce jeudi. En distinguant les cortèges officiels des blocages ou sabotages, il demande d’agir avec autorité.
Après le refus répété du milliardaire conservateur Pierre-Édouard Stérin de se rendre devant une commission d’enquête de l’Assemblée nationale, une enquête a été ouverte, confiée à la police judiciaire parisienne.
« Quand il y a des blocages, on débloque » et « dès qu’il y a dégradation, on va au contact très vite », a promis le ministre de l’Intérieur, qui donne déjà le ton pour la journée de jeudi.
Victime de harcèlement homophobe répété, l’institutrice à bout s’était donné la mort après avoir répertorié tout ce qu’elle subissait dans son village du Cantal.
Dans la nuit de lundi à mardi, le Muséum national d’Histoire naturelle de Paris a été cambriolé. Des spécimens d’or natif y ont été volés, pour un préjudice d’environ 600 000 €.