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Splitgate 2 marche tellement bien qu’il retourne en bêta et les serveurs de Spligate ferment dans un mois

En ce début de semaine, nos confères de chez Polygon ont publié un article concernant la situation désastreuse du studio 1047 games et de sa licence Splitgate. Si vous viviez au fond d’une caverne ces derniers temps, voici les temps à fort à retenir :

Pour enfoncer le clou dans le cercueil, on apprend désormais que Splitgate 2 retourne en bêta pour tenter de rectifier le tir et de proposer une meilleur expérience au peu de joueurs encore présents sur les serveurs. En parlant de ça, si vous étiez un fan inconditionnel du premier opus, sachez que les serveurs vont être fermés dans le mois qui suit afin de préserver les postes actuels et de ne plus dépenser un pognon monstre dans la maintenance.

Si vous aimez les discours larmoyants, le studio s’est fendu d’un billet de blog Steam pour s’expliquer. En gros, les devs ont besoin de vous pour plus de playtests et autres enquêtes pour peaufiner leur jeu. Le jeu restera malgré tout jouable et le chapitre 3 de la saison 1 est toujours prévu, au cas où vous voudriez dépenser de l’argent en skins incroyables.

En attendant le prochain épisode et vu que vous n’aurez rien à perdre, vous pouvez toujours intégrer la team de beta tester du free to play Splitgate 2 sur Steam ou l’Epic Games Store, si vous avez espoir de voir le jeu « finalisé »  ressortir un jour. Également, si vous êtes un peu maso, le jeu est inclus dans le game pass.

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Après la débâcle technique sur PC, Wuchang Fallen Feathers souhaite corriger le tir

Sorti cette semaine sur PC, PS5 et Xbox Series, Wuchang : Fallen Feathers suscite déjà un important engouement : il faut dire que le jeu est bon, très bon même et qu'il a d'ailleurs écopé d'une bien jolie note dans nos colonnes. Ce Souls-like développé par le studio chinois Leenzee et édité par 505 Games soufre toutefois d'un gros caillou dans sa botte : de sérieux problèmes techniques sur PC qui lui ont d'ailleurs valu un certain lynchage sur Steam.

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New World : des joueurs manifestent in-game et se font entendre par Amazon

Dans un contexte pas des plus réjouissants - celui d'un déclin progressif de sa fréquentation - le MMO New World a annoncé, via Amazon Games, la fermeture de plusieurs serveurs régionaux, notamment dans les zones d'Asie du Sud-Est et d'Amérique du Sud. De quoi pousser une petite partie de joueurs à protester contre cette décision.

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Final Fantasy Tactics : le code source a été supprimé, obligeant à repartir de zéro pour le remake

On le sait : préserver le jeu vidéo devient de plus en plus urgent, mais la tâche n'est parfois pas facile. Entre les méthodes peu sécurisées de l'époque et la dégradation naturelle de DVD et Blu-Ray, certains titres peuvent carrément disparaître de la nature : pour Final Fantasy Tactics par exemple, son code source a purement et simplement… été effacé.

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Mémoire cash - Avec MOTHER, Shigesato Itoi dévoilait, il y a 36 ans, le RPG le plus intime de la Nintendo Famicom

Si EarthBound et MOTHER 3 sont des jeux désormais bien connus des amateurs de RPG, le titre qui les précède l'est beaucoup moins. Pourtant culte au Japon, MOTHER fête aujourd'hui ses 36 ans. L'occasion de revenir sur ce qui rend ce jeu de rôle si particulier dans la ludothèque de la Famicom.

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PlayStation en route vers une plus grande ouverture

Avec 78,4 milliards d'euros de chiffre d’affaires sur l’exercice 2023-2024 pour 5,9 milliards d'euros de bénéfice net, il semblerait que Sony Group se porte plutôt bien. En regardant d’un peu plus près les chiffres de cette énorme société chez Ludostrie (le site d’Oscar Lemaire), on peut remarquer que la branche jeux vidéo prend de plus en plus de place.  Si elle était le résultat de 12 % du chiffre d’affaires en 2013-2014, elle a fortement augmenté...

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Dying Light: The Beast recule pour mieux sauter

On l'attendait pour le 11 août puis pour le 22 août mais ce devrait finalement être le 18 septembre que sortira Dying Light: The Beast. La raison de ce report est d'en faire "le meilleur des Dying Light". On attend donc et on verra si cet épisode propose un peu plus que du "more of the same" du précédent.
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Les furrys de l’espace débarquent avec la sortie de Wildgate

Sorti le 22 juillet, Wildgate, l’extraction shooter PvP avec des vaisseaux spatiaux, semble être plutôt apprécié par les 1 440 fursuits qui ont laissé un avis positif. Néanmoins, le succès de ce Sea of Thieves de l’espace est à relativiser, car ce dernier s’est malheureusement retrouvé face à la déferlante de Zeds de Killing Floor 3 qui a dû capter l’attention d’une bonne partie de joueurs. Même si Wildgate a atteint un pic maximum d’environ 7 800 joueurs sur ces trois derniers jours, cela paraît peu pour un jeu multijoueur, mais rien n’est encore joué.

Du côté des commentaires Steam, il est souligné la mauvaise optimisation du jeu, le manque de contenu, le matchmaking foireux, le déséquilibre dans le loot et le concept trop répétitif, voire ennuyeux. De plus, certains s’accordent même à dire que le jeu aurait dû être free to play vu la présence de monnaie virtuelle et microtransactions pour nos amis les baleines… de l’espace.

Si vos amis et vous-même souhaitez rejoindre un équipage de furrys avides d’artefacts perdus aux confins de l’univers, vous pouvez vous procurer Wildgate et son édition Rebelle sur Steam, soit une trentaine d’euros pour le premier et une cinquantaine d’euros pour le second.

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Test : Shadow Labyrinth : le retour de Pac-Man par la grande porte du jeu d'auteur

Pac-Man, le glouton jaune aux courbes pures, n'était pas prédestiné à l'introspection métaphysique ou à la tragédie cyberpunk. Et pourtant, avec Shadow Labyrinth, ce sont bien les vestiges froids d'un mythe du jeu vidéo que l'on déterre et qu'on reconstruit à coups d'esquives tendues et de parades millimétrées. En confiant les clés de la maison à Seigo Aizawa, Bandai Namco a signé une réinvention culottée de son patrimoine. Shadow Labyrinth est un jeu d'auteur déguisé en produit de catalogue, qui déroute autant qu'il captive. Si son gameplay ne bouleverse pas l'ordre établi, il parvient à imposer une véritable personnalité par la richesse de son univers, ses choix esthétiques radicaux et son respect profond de l'histoire de l'éditeur. Et dans un secteur qui recycle à la chaîne, ça suffit déjà à faire la différence.

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The Elder Scrolls Legends s'apprête à être ressuscité… par les fans

Officiellement abandonné par Bethesda en 2019, puis définitivement fermé en 2024, The Elder Scrolls Legends semblait destiné à disparaître dans l’oubli, non sans une certaine amertume de la part des fans. Ces derniers ont justement décidé de prendre le taureau par les cornes et de travailler eux-mêmes sur une nouvelle version jouable.

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Evolve 2 était bel et bien en développement : en voici une flopée d'images

Sorti en 2015, Evolve avait suscité un certain enthousiasme autour de son concept multijoueur asymétrique : il faut dire qu'il s'agissait de la toute nouvelle franchise de Turtle Rock, studio derrière les vénérés Left 4 Dead, et les premiers retours étaient bons… avant de s’écrouler complètement. Son modèle économique, jugé trop axé sur les DLC, et la répétitivité de son gameplay avaient précipité la chute de sa fréquentation, menant à la fermeture des serveurs en 2018.

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Pour Fumito Ueda (Ico, Shadow of the Colossus), "l'ère du gameplay est déjà terminée"

Fumito Ueda et Keita Takahashi sont deux grands bonhommes du jeu vidéo : on doit au premier Ico, Shadows of the Colossus ou encore The Last Guardian et, au second, les complètements délurés Katamari Damacy ou le récent To a T. Ueda est notamment revenu sur une philosophie vidéoludique qu'il partage visiblement avec Takahashi : la valorisation de l'univers ou d'une histoire par rapport au gameplay.

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Mémoire cash - En 2019 sortait Fire Emblem Three Houses, l'école des maux et merveilles

Entre leçons de stratégie et tragédies adolescentes, Fire Emblem: Three Houses marquait en 2019 une double révolution pour la série de Nintendo. Ambitieux, déroutant et imparfait, l'épisode Switch oscille entre visual novel impérial et simulateur de champ de bataille, au risque de perdre son âme tactique dans les couloirs d’un monastère trop bavard.

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Satya pas vraiment debout

Si vous voulez lire le plus gros tissu d'absurdités jamais écrit par un PDG, on vous conseille la lettre ouverte de Satya Nadella aux employés de Microsoft. C'est un savant mélange de lieux communs, d'acronymes barbares et de métaphores vaseuses, le tout probablement relu par des avocats et par Copilot. Le but était de rassurer les gens après QUATRE séries de licenciements et le message est le suivant : "On a viré plein de monde mais on en embauche plein aussi et tout cela...

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