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Hideki Kamiya voudrait bien faire P.T. à la place de Kojima, sauf qu'il "déteste l'horreur"

La franchise Silent Hill est belle et bien ressuscitée : le remake du 2 fut un joli succès, Silent Hill f s'apprête à sortir, et d'autres projets sont en cours de route. De quoi se réjouir pour une saga disparue des radars pendant presque une décennie, mais un amer regret demeure : Silent Hills, dirigé par Hideo Kojima et Guillermo Del Toro, est toujours enterré profondément dans le cimetière de Konami. Hideki Kamiya serait toutefois prêt à l'exhumer et le ressusciter.

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[PREVIEW] Wrack Remake : Un FPS arcade rapide et brutal… mais encore un peu bancal

Sorti en 2014, Wrack proposait un gameplay original et arcade, mais avait eu un accueil mitigé auprès du public et de la rédaction de NoFrag. Peut-être était-il trop en avance sur son temps ? C’est la réflexion de Final Boss Entertainment, qui prépare Wrack Remake, une version revisitée du jeu original, qu’une partie des joueurs considère aujourd’hui comme le premier boomer shooter, avant même qu’on définisse le genre. La version bêta que l’équipe de développement m’a proposé de tester est une vraie modernisation aussi bien visuelle que sur le gameplay.


Genre :
Rétro-FPS | Développeur : Final Boss Entertainment | Éditeur : Final Boss Entertainment. | Plateforme : Steam | Prix : Non communiquée | Configuration recommandée : Processeur 2,5 GHz, 16 GB de RAM, DirectX 12 | Langues : Anglais | Date de sortie : Non communiquée | Durée de vie : Environ 6 à 8 heures en difficulté moyenne si vous aimez chercher tous les secrets. 

Test effectué sur une version bêta fournie par le développeur.

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Dans le tas, dans le tas !

Vous avez demandé un scénario ?

Wrack Remake dispose d’une narration minimaliste : on incarne Kain, un héros chargé de sauver le monde d’une invasion alien. Pourquoi ? Comment ? Qui sont ces ennemis ? On ne sait pas, et les dialogues ou les cinématiques façon bande dessinée ne semblent pas pressés de nous l’expliquer. Qu’est ce qu’on attend d’un FPS arcade ? On est là pour courir, viser, tirer, crever et recommencer, et c’est très bien comme ça. Le reste — narration, lore, dialogues — c’est du bruit de fond.

Un FPS arcade rapide et brutal

Si les assets, les modèles, les animation et les cinématiques ont bénéficié d’un gros travail – parfois issu de Wrack Exoverse –, c’est surtout du côté du gameplay qu’on voit l’évolution. Final boss Entertainment assume encore plus le côté arcade du jeu, et ça se sent dans le feeling des armes et la manière de parcourir les niveaux, pour le meilleur et pour le pire. Wrack Remake va vite. Très vite. J’ai joué en difficulté Hardcore, et passé le deuxième niveau, on passe un cap : on y enchaîne les frags, les éliminations à coups de combos, d’exécutions ou de parade dans un rythme soutenu, le tout avec une bande son de Michael Markie qui succède la tête haute à Bobbie Prince, qui s’était occupé du jeu original. Le gameplay arcade fonctionne plutôt bien dans l’ensemble. Ça apporte même un peu de fraîcheur et de dynamisme aux joueurs qui comme moi, ont plutôt l’habitude de foncer dans le tas sans trop réfléchir. Mais quelques défauts gâchent parfois l’expérience…

Ultrakill scaled
Ultrakill ! et hop, pulvérisé.

On meurt vite, très vite, c’est le revers de cette mécanique. La jauge de combo se charge trop rapidement, rendant les attaques spéciales trop fréquentes pour être utilisées stratégiquement. On se retrouve à nouveau à foncer dans le tas en essayant de faire une série de combos d’éliminations. Le feeling est plutôt correct, c’est rapide, fluide, avec juste ce qu’il faut de frustration. Les mouvements sont agréables, le sprint est bien calibré, les sauts sont réactifs, et le dash est vraiment utile pour esquiver et se sortir de situations un peu délicates. Les armes, quant à elles, sont globalement réussies. Mention spéciale pour le railgun et le plasma : ça claque, ça perce, et ça nettoie les niveaux. En revanche, le switch d’armes est un peu trop lent, et quelques animations comme l’Hyperblast manquent encore de réactivité. D’autre part, le sword deflect est trop puissant : on peut renvoyer presque tout sans effort, ce qui casse le challenge, là où à l’inverse, le pistolet de départ et le shotgun manquent encore cruellement de sensations.

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Le sword deflect est trop puissant.

Mais avec la même IA et le même level design

Les ennemis, eux, foncent tête baissée. Pas de tactique, pas de placement : ils arrivent en ligne droite, ou parfois en cortège, et tirent jusqu’à ce que mort s’ensuive. L’équilibrage est encore à travailler, car certaines araignées encaissent plus que d’autres ennemis plus puissants, et les snipers punissent sans sommation. On est donc loin d’une IA parfaite, mais ça suffit pour maintenir la pression. Les combats contre les boss – point de passage obligé de tout bon jeu arcade – sont encore de la partie, obligeant le joueur à apprendre les mouvements et attaques de ceux-ci par cœur à la manière d’un Mega-Man ou d’un Metroid. L’autre choix assumé par l’équipe, c’est de ne pas s’éloigner du level design du jeu original. Hélas, son modèle ne brillait pas particulièrement de ce côté-là. Les niveaux sont construits comme des couloirs et une succession de salles : on fonce, on tourne, on nettoie, on active des interrupteurs. Certains niveaux tentent des variations de rythme, notamment avec quelques zones secrètes et raccourcis bien planqués, mais globalement, ça manque toujours de verticalité.

Bye Bye le Wrack Engine

Le Wrack Engine (développé par Carnevil, créateur de Skulltag, un port du Doom engine qui deviendra le fork Zandronum) a fait place à l’Unreal Engine 5. Sur ma configuration (AMD Ryzen 7 5700X, Radeon 6700XT, 32go de ram), la bêta de Wrack Remake que j’ai eu entre les mains tourne correctement. Pas de crashs majeurs, pas de stuttering, quelques petites chutes de framerate dans les arènes surchargées, mais dans l’ensemble, une moyenne à 140 FPS. Les temps de chargement sont rapides, et l’interface est claire. En revanche, pas de réglages avancés. De ce coté là, c’est comme pour le reste : minimaliste.

Une modernisation qui manque encore de polish

Wrack Remake est un rétro-FPS correct, sans être exceptionnel. Son univers et ses références aux jeux d’arcade, ainsi que son gameplay simple et efficace, ont tout pour séduire. Les sensations sont bonnes, et même si certaines armes et quelques mécaniques ne sont pas encore au point, les rencontres avec des groupes importants d’ennemis offrent un challenge sympathique. Les combats de boss, quant à eux, ont le mérite d’être originaux. L’équipe nous a expliqué travailler d’arrache-pied sur l’équilibrage des armes et de l’IA, et semble être à l’écoute des feedbacks des joueurs. Espérons que ces petits défauts soient corrigés pour la sortie prévue normalement le mois prochain. En attendant, vous pouvez vous faire un avis en testant la démo qui vient de paraître sur la page Steam du jeu.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

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SEGA : retour sur le crunch des années 90, où les employés dormaient directement sous leur bureau

Si le crunch est aujourd'hui allègrement pointé du doigt, il faut savoir qu'il n'était pas seulement toléré dans l'industrie du jeu vidéo : il était une norme il y a encore quelques décennies. Chez Sega, cette culture du surmenage a marqué plusieurs générations de développeurs, dont trois d'entre eux se sont laissés aller à quelques déclarations.

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Nintendo arrête pour de bon le service après-vente de la 3DS

Voilà, c'est dit et c'est officiel : Nintendo a mis un terme au support de réparation pour la New Nintendo 2DS XL, soit le dernier modèle de 3DS qui bénéficiait encore d'un service-après vente. Jusqu'à présent, les possesseurs de la console pouvaient encore faire réparer leurs consoles avec des pièces officielles ou obtenir un remplacement matériel… mais vont devoir se débrouiller autrement.

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Sucker Punch (Ghost of Yotei) n'est tout simplement pas chaud pour un nouveau Sly Cooper

Il y a des news qui donnent le smile et il y a les autres. Si vous avez été bercé aux jeux de plateforme et d'aventure dans les années 2000, peut-être nouez-vous une attache toute particulière à Sly Cooper et sa bande cleptomane, chaleureusmeent guidés par Sucker Punch. Ce dernier studio vous incite hélas à tourner la page ; en tout cas, ça semble déjà fait de son côté.

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Le rétro-FPS PIGFACE sortira en accès anticipé le 18 septembre

Initialement prévu pour le mois d’août, le dev solo titolovesyou, désormais édité par DreadXP, a publié une billet de blog Steam pour dévoiler la date de sortie en accès anticipé de son rétro-FPS PIGFACE. Ce sera donc le 18 septembre prochain que vous pourrez remplir des contrats sanglants à l’aide d’armes et de capacités variées, pour ne pas vous retrouver décapité. À la rédac, on est toujours aussi impatients de pouvoir mettre la main dessus.

En attendant sa sortie, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, et également jouer à la démo pour vous faire votre propre avis.

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Pacific Drive prolonge son roadtrip en dévoilant son DLC Whispers in the Woods

Dans le courant de la semaine, lronwood, le studio derrière Pacific Drive, le jeu mêlant le plaisir de la conduite et la dangerosité d’anomalies, a annoncé l’arrivée prochaine du DLC Whispers in the Woods. Dans ce dernier, vous pourrez profiter d’une nouvelle zone où se terre un groupe de fanatiques obsédés par des anomalies. Toujours avec votre fidèle break personnalisable, vous repartirez à l’aventure pour découvrir de puissants artefacts influant sur l’environnement, de précieuses ressources, des accessoires pour votre véhicule et des stations de ravitaillement.

Whispers in the Woods est prévu avant fin 2025. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez toujours ajouter ce DLC à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

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Nintendo ressort son pire échec : Le Virtual Boy arrive sur Switch et Switch 2

S’il y a bien un retour sur lequel nous n’aurions pas parié, c’est bien celui du Virtual Boy. Alors que l’appareil a été un échec commercial à sa sortie, Nintendo vient de trouver le moyen de redonner de la légitimité à cet accessoire devenu culte ainsi qu’à ses jeux.

En bref

  • Nintendo va ressortir une partie des jeux du catalogue du Virtual Boy le 17 février 2026,
  • Il faudra posséder un abonnement Nintendo Switch Online + Pack additionnel pour en profiter,
  • L’achat de l’accessoire Virtual Boy – vendu 79,99 € – ou Virtual Boy (modèle en carton) – vendu 19,99 € – est indispensable afin de pouvoir jouer à ce catalogue de jeux,
  • Seuls 22 jeux Virtual Boy sont sortis à l’époque : On ne sait pas combien ni quels jeux seront inclus dans le catalogue.

On a toujours un peu de mal à croire que l’on rédige actuellement ces lignes, et c’est sans doute une excellente nouvelle pour la préservation du jeu vidéo (quoique temporaire). Une partie du catalogue du Virtual Boy sera disponible à partir du 17 février 2026 pour les abonnés Nintendo Switch Online + Pack Additionnel. Un ajout sympathique qui témoigne d’une certaine envie de faire découvrir au grand public une console méconnue.

En effet, le Virtual Boy est une console de jeu sous la forme d’un casque, sortie en 1995 au Japon et aux États-Unis. L’objectif était d’essayer de créer un effet de profondeur à une époque où certains des plus grands constructeurs avaient pour ambition de mettre sur pied la réalité virtuelle. Inutile de vous refaire toute l’histoire : si la VR est encore aujourd’hui peu reconnue par le grand public, la sauce n’a évidemment pas pris trente ans auparavant.

La console aura eu l’une des durées de vie les plus courtes de l’histoire du jeu vidéo, puisque sa production a cessé cinq mois après le début de sa commercialisation au Japon (contre un peu plus de sept mois aux États-Unis). Peu de jeux sont sortis sur cette console avant-gardiste, qui s’est vendue à seulement 770 000 unités. Entre ses graphismes ne proposant que deux couleurs (rouge et noir), un effet de cinétose marqué et un confort de jeu presque inexistant (le casque ne peut pas être porté : il est posé sur un pied et il faut donc y appuyer le visage), le public n’aura pas été séduit par la proposition. Pourtant, sa manette fut plébiscitée par les utilisateurs, considérée comme une réussite.

Pour avoir eu l’occasion de l’essayer, il faut effectivement reconnaître que la console n’a pas grand-chose pour elle. Passé l’effet de surprise, les sessions de jeu font mal aux yeux, et cinq minutes passées la tête dans le casque suffisent à donner envie de le ranger définitivement. Parmi les vingt-deux jeux de son catalogue, le Virtual Boy propose toutefois des titres intéressants, tels que Mario’s Tennis, Mario Clash ou encore Virtual Boy Wario Land.

Modèle Virtual Boy Plastique Nintendo Switch 2
Le modèle du Virtual Boy qui s’inspire de l’original devra se jouer de la sorte, sans la manette historique donc

Cela étant dit, l’expérience Virtual Boy sur Nintendo Switch ne s’adressera malheureusement pas à tous. En effet, pour jouer, l’accessoire dédié inspiré du Virtual Boy original sera nécessaire. Une réplique de la console est d’ores et déjà en vente à 79,99 €, mais pour ceux qui souhaiteraient se laisser tenter à moindre coût, une version en carton existe également pour 19,99 €. Notez que la manette originale n’est pas incluse, quelle que soit la réplique du Virtual Boy choisie.

C’est particulièrement décevant pour la version à 79,99 €, déjà onéreuse compte tenu du fait que cette réplique n’embarque aucune technologie particulière. Si la Nintendo Switch, la Nintendo Switch OLED et la Nintendo Switch 2 sont compatibles avec les deux versions, notez que la Nintendo Switch Lite ne pourra pas être utilisée avec le Virtual Boy pour Nintendo Switch.

Virtual Boy Nintendo Switch modèle carton
Le Virtual Boy modèle carton est vendu moins cher, mais a aussi beaucoup moins d’allure

Passée l’excitation de la nostalgie, on en vient tout de même à se demander si cette initiative n’aurait pas plutôt tendance à pencher davantage vers le mercantilisme que vers l’envie de faire découvrir une console qui fut un échec en son temps. Si l’achat d’un des modèles de Virtual Boy avait été facultatif et si les jeux avaient été adaptés pour être joués normalement sur l’écran de la Switch/Switch 2, nous n’aurions évidemment rien trouvé à redire. Mais dans le cas présent, compte tenu du fait que seule une partie du catalogue des jeux Virtual Boy sera disponible dans l’abonnement Nintendo Switch Online + Pack Additionnel, la pilule est un peu dure à avaler.

Gardons nos réserves pour l’instant et attendons de voir ce que le 17 février nous réservera, afin de déterminer si cet achat se révèle indispensable pour les fans de la marque.

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Nintendo Direct du 12/09/2025 : le gros résumé

Les rumeurs et les attentes étaient grandes pour ce Nintendo Direct de septembre. Et pour cause, avec les 40 ans de Mario, un planning Nintendo Switch 2 un peu faible pour la fin d’année, des jeux annoncés mais sans dates, il fallait frapper un grand coup. Et comme bien souvent, Nintendo a répondu très largement aux attentes. C’est parti pour un très gros résumé ! 

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Dreamhaven se sépare d’une partie de ses développeurs après l’échec de Wildgate

Vous souvenez-vous de Wildgate, l’extraction shooter PvP avec des vaisseaux spatiaux ? Il est probable que non, puisqu’à sa sortie au milieu de l’été, moins de 8 000 personnes s’étaient retrouvées simultanément sur le jeu. Plutôt décevant pour un AA uniquement basé sur le multijoueur, dont la principale publicité relayée dans la presse était qu’il avait été développé par des ex-Blizzard. Pourtant, les avis étaient tout de même assez bons, mais il est possible que les 30 € demandés en aient refroidi plus d’un. À la rédac, la direction artistique et surtout, le gameplay, nous avait rebutés dès sa première présentation. Il faut croire qu’on n’était pas seuls à trouver le concept complètement inintéressant, car la chute de joueurs a continué jusqu’à un niveau difficilement exploitable.

Wildgate fail
Des performances très décevantes pour un jeu multijoueur uniquement.

En début de semaine dernière, Mike Morhaime, le PDG de Dreamhaven (et ex-fondateur de Blizzard), a annoncé via LinkedIn que le groupe allait devoir se séparer d’une partie de ses salariés, sans préciser leur nombre. Il faut dire que les projets maison n’ont pas eu le succès escompté. Outre Wildgate, développé par la filiale Moonshot Games, Sunderfolk, un RPG au tour par tour développé par leur autre studio Secret Door, avait eu grand-peine à trouver son public, malgré de bons retours. On comprend alors parfaitement qu’il est difficile de maintenir une centaine d’employés si les rentrées d’argent ne suivent pas.

Malgré cela, Mike indique qu’ils maintiennent leur support sur les jeux qu’ils éditent. Si, au regard des chiffres Steam, cela peut paraître étonnant, il ne faut pas oublier qu’on ne voit pas le côté console, qui pourrait regrouper plus de joueurs. Certains commentateurs espèrent un passage de Wildgate en free-to-play pour permettre un sursaut, alors qu’il aurait sans doute dû l’être dès le départ, au vu de la boutique in-game bien merdique. Mais même avec ça, il y a peu d’espoir que la courbe de joueurs s’inverse. Alors certes, le jeu est a priori plutôt correct – sauf si on apprécie le bon gunfeel –, mais il ne s’étouffe pas dans l’originalité.

Quoi qu’il en soit, il ne semble pas que ce soit le bon moment pour se lancer dans Wildgate, tant qu’on n’en sait pas plus sur la suite. Si vous voulez néanmoins tenter l’aventure, le jeu est disponible sur Steam pour 29 €.

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Borderlands 4 se traîne

Borderlands 4 est sorti et on vous conseille d'attendre quelques patchs si vous voulez y jouer sur PC : le jeu se fait allumer sur Steam. Il y a quelques plantages, mais surtout, l'optimisation est totalement aux fraises avec de grosses saccades et un framerate anémique. En réponse, Gearbox a publié un guide d'optimisation. Pas mal de joueurs pointent du doigt le fait qu'il s'agit encore d'un jeu UE5 mal optimisé. Néanmoins, ceux qui peuvent le faire tourner dans des...
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