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Katsuhiro Harada quitte Bandai Namco

C’est par un simple message sur Twitter, que Katsuhiro Harada annonce son départ de Bandai Namco d’ici la fin de l’année 2025, donc ce mois-ci. Pour les deux au fond de la salle qui ne connaissent pas ce nom, il s’agit du principal visage de la série Tekken, donc pas un lapin de trois semaines.  L’homme aux lunettes noires et au poing fermé n’a cependant pas commencé directement au poste de directeur chez Namco, mais plutôt en tant...

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Yuji Horii (Dragon Quest) veut des PNJs qui vous parlent vraiment, et tant pis si ça passe par l'IA

Depuis près de quarante ans, Yuji Horii joue à rendre les mondes de Dragon Quest un peu plus vivants et un peu plus bavards. Sauf qu'à l’occasion du salon G-Star 2025 en Corée du Sud, le vétéran du RPG japonais a laissé entendre que les dialogues scriptés et les PNJ à la mémoire de poisson rouge pourraient bientôt appartenir au passé : l’auteur historique de la série s’est montré ouvertement fasciné par les possibilités offertes par les IA conversationnelles, qu’il imagine volontiers s’immiscer dans les mécaniques de jeu.

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Cachez vos incels, l’épileptique Don’t Stop, Girlypop! sortira le 29 janvier 2026

Alors que les vidéos de présentation laissaient penser que Don’t Stop, Girlypop! n’avait aucun feeling et allait être nul à chier, on avait été surpris par la qualité de la démo – toujours disponible. Les sensations étaient finalement excellentes, grâce à des mouvements très vifs, un bon air control et un gunfeel très correct. La semaine dernière, le studio australien Funny Fintan Softworks a publié une nouvelle vidéo pour annoncer la date de sortie : ce sera le 29 janvier 2026.

Comme vous pouvez le constater, la direction artistique n’a pas changé : le côté girly est toujours un poil exagéré. Le parti pris est radical, mais on avait trouvé ça très amusant. Évidemment, si vous pensez que le rose, c’est pour les filles, et qu’elles devraient retourner à la cuisine plutôt que de développer des FPS, on vous déconseille formellement ne serait-ce que de regarder le trailer. En effet, il est fortement probable que votre pénis se nécrose et que vous développiez une grosse paire de loches.

En attendant la sortie de Don’t Stop, Girlypop! prévue pour le 29 janvier prochain, vous pouvez toujours tester la démo depuis sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.

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Game awards 2025 - Gamekult Awards 2025 : il vous reste une semaine pour élire la meilleure manette de tous les temps

Après trois années d'absence, les Gamekult Awards ont fait leur retour cette année pour coïncider avec le 25e anniversaire de votre site de jeux vidéo. L'occasion s'est présentée d'élargir un peu la portée des votes. En plus des catégories habituelles (jeu de l'année, plus belle direction artistique, meilleure bande originale...), nous vous proposons de voter pour votre manette préférée, toutes générations confondues.

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Le DLC d'Elden Ring : Nightreign, The Forsaken Hollows, dépasse déjà les 2 millions d'exemplaires vendus

Décidément, tout ce qui porte Elden Ring dans le nom se transforme en or : l'extension d’Elden Ring : Nightreign, The Forsaken Hollows, lancée le 4 décembre, vient a franchi la barre des 2 millions d’exemplaires distribués dans le monde ce week-end. Autant dire qu'il s'agit là d'un démarrage fulgurant pour une extension qui confirme le succès du spin-off multijoueur.

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Minute test : Junji Ito Maniac: An Infinite Gaol

Junji Ito Maniac: An Infinite Gaol est arrivé sans prévenir le 11 novembre dernier. Softstar Entertainment l’a même sorti à petit prix, ce qui laissait supposer un titre sans grandes ambitions, malgré le fait que l’œuvre de Junji Itō quant à elle ne l’est vraiment pas. Alors, est-ce que ce jeu d’horreur en vue subjective mérite qu’on lui laisse une chance, ou bien vaut-il mieux passer son chemin ?

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Mémoire cash - Violence, drame et V-Cinema : 20 ans après sa sortie sur PS2, Yakuza frappe toujours aussi fort

En 20 ans d'existence, la franchise Yakuza a vécu toutes les transformations possibles et imaginables - des spin-offs aux adaptations cinéma, télévisée et théâtrale, jusqu'à devenir l'une des IP les plus précieuses de SEGA. Le jeu par lequel tout à commencé, lui, ne s'entichait pas de telles considérations. Son but était de faire un jeu pour daron, coûte que coûte.

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[TEST] The Berlin Apartment : un joli walking sim empreint de nostalgie

Dans la frénésie de toutes les sorties des AAA et autres rétro-FPS sanglants, il arrive qu’un petit walking sim fasse son trou, en proposant un concept intéressant. The Berlin Apartment est l’un d’entre eux, et il nous avait déjà fait de l’œil lors de la sortie d’une démo en début d’année. Sans grande surprise, le reste de la production est tout aussi réussi et on a passé un bon moment à suivre ces différentes tranches de vie.

Genre : Walking sim narratif | Développeurs : btf | Éditeurs : btf, ByteRockers’ Games, PARCO GAMES Plateforme : Steam | Prix : 25,50 € | Langues : Anglais, Allemand, sous-titres en français | Configuration minimale : Core i5-2300 2.8 GHz / AMD Phenom II X4 3.4 GHz, RX 560 / GTX 950, 4 Go de RAM  | Date de sortie : 17/11/2025 | Durée : un peu moins de 4 heures

Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.

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Un concept original

Dans The Berlin Apartment, on incarne une petite fille accompagnant son père, qui restaure un appartement berlinois, situé dans l’ancienne RDA (Allemagne sous domination soviétique). L’histoire est divisée en plusieurs chapitres, qui démarrent de la même manière : notre protagoniste trouve un vestige des précédents habitants, ce qui nous propulse dans un souvenir. On change alors de point de vue, puisqu’on incarne un personnage d’une autre époque. On commence avec des échanges épistolaires via des avions en papier envoyés au-dessus du mur de Berlin, peu avant sa chute, on continue avec un vieux monsieur en 1933 qui rassemble ses affaires pour fuir les nazis, puis c’est au tour d’une famille le soir de Noël 1945, et enfin, d’une écrivaine à la fin des années 60. Toutes les histoires sont intéressantes, et abordent des sujets rarement vus dans les jeux vidéo. L’ambiance est globalement chaleureuse, mais on sent tout de même beaucoup de nostalgie, voire des regrets au travers des différents récits. Et même s’il est parfois frustrant d’attendre la fin d’une tirade avant de pouvoir interagir avec un nouvel objet, la narration est assez efficace pour faire ressentir de l’empathie pour les personnages. D’autre part, le doublage anglais est d’excellente facture.

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À l’Est, rien de nouveau

Du côté du gameplay, le jeu propose de fouiller à gauche et à droite, mais jamais vraiment de réfléchir. Il y a parfois quelques choix à réaliser, mais cela reste anecdotique : on est dans un walking sim narratif, sans plus de prétention, et ce n’est pas un point négatif. C’est calme, mais pas si lent, compte tenu de la taille finalement assez restreinte des environnements. Ils sont d’ailleurs très jolis, car la direction artistique avec son effet dessiné, un peu pastel, est franchement réussie. Du côté des performances, il n’y a évidemment rien à dire, ça tournera normalement sur n’importe quelle patate, sachant qu’un framerate à 60 FPS sera largement suffisant pour profiter du titre.

Une chouette expérience

The Berlin Apartment est un walking sim narratif plutôt classique dans son gameplay, mais original dans sa narration. La visite de plusieurs époques à travers des personnages ayant vécu dans un même lieu est vraiment réussie. On ressent la nostalgie et les regrets des protagonistes qui vivent à l’est du mur de Berlin. En plus, l’esthétique est très chouette, et ce n’est pas très long. Alors si vous appréciez le genre, c’est sans doute une bonne idée de tenter l’expérience.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

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Tripwire tente d’améliorer les performances de Killing Floor 3 avec Operation Breakout, mais c’est toujours insuffisant

Malgré des avis toujours très mitigés et une base de joueurs très instable — moins de 1000 joueurs simultanés en moyenne — Tripwire Interactive tente tant bien que mal de maintenir Killing Floor 3 en vie, en publiant le 4 décembre la mise à jour Operation Breakout.

Au programme de ce patch, on notera le retour du Stalker — vous savez, le Zed camouflé — une nouvelle map (la prison), un nouveau personnage, des modes de jeu hebdomadaires, ainsi qu’une nouvelle SMG. Si vous vous sentez le courage de lire l’intégralité du patch notes, c’est par ici. La mise à jour semble également se focaliser sur une tentative d’amélioration des performances, qui restent le gros point noir de Killing Floor 3 à l’heure actuelle. D’après les premiers retours de la communauté, les performances seraient légèrement meilleures, mais ça serait toujours insuffisant pour tenir la comparaison face à Killing Floor 2On aurait bien du mal à vous recommander de passer à la caisse en l’état.

Mais si vous voulez soutenir les développeurs ou tenter votre chance malgré l’état discutable du jeu, une promotion de -33 % est en cours jusqu’au 18 décembre, ce qui fait tomber son prix à 27 € environ.

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Unreal Tournament 2004 revient, et Epic valide

Le jeu vidéo, c'est un peu comme tout : ça veillit et parfois, ça n'est tout simplement plus utilisable avec nos outils d'aujourd'hui. Prenez Unreal Tournament 2004, par exemple : mythique FPS des années 2000, le pauvre bougre n'est plus tellement compatible avec nos systèmes d'exploitation actuels et pour ceux qui se frotteraient à l'exercice, ils se heurteraient à pléthore de bugs et autres problèmes d'adaptation.

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