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Google ne va pas abandonner Fitbit et promet de nouveaux produits en 2026
Tout n’est pas terminé pour Fitbit. Alors qu’elle étouffe depuis quelques années la marque qu’elle a rachetée en 2021, Google vient de confirmer à 9to5Google qu’il y aurait du nouveau matériel Fitbit l’année prochaine. Une annonce surprenante alors que les sorties se sont raréfiées sur ces dernières années.

Cela fait quelque temps qu’on a l’impression que Google aimerait bien débrancher Fitbit sans avoir le courage de tirer sur la prise. L’entreprise a commencé par supprimer certains services aux utilisateurs avant de fermer plusieurs filiales européennes. La marque a ensuite été retirée d’une trentaine de marchés avant de voir son site officiel fermé. Plusieurs fonctionnalités ont été retirées par la suite, comme Fitbit Pay ou même Google Assistant.
Les sorties de nouveaux produits se sont également réduites. Le dernier tracker remonte à 2023 (le Charge 6) et les montres à 2022 (Sense 2 et Versa 4). Techniquement, le dernier produit Fitbit est… une montre pour enfants lancée l’année dernière, qui vise donc un public très restreint. De plus, l’accessoire n’est proposé qu’aux États-Unis.
Google lance une montre connectée pour les enfants, la Fitbit Ace LTE
Si rien n'a été précisé, on peut imaginer que Google ne lancera pas une nouvelle tocante afin de ne pas cannibaliser les ventes de sa Pixel Watch. Un bracelet connecté pourrait intéresser certains clients et être facturé moins cher que la montre, au tarif plus salé (279 €). Le produit garderait également pour avantage sa compatibilité avec iOS.
Google n’abandonne pas complètement Fitbit et s’apprête à lancer un aperçu pour une nouvelle version de son coach… carburant à Gemini. Celui-ci analyse le sommeil, la fréquence cardiaque et les entraînements pour créer un programme sportif qui s’ajuste selon la progression et l’énergie du moment. Il est pour l'instant réservé aux abonnés américains à la formule Premium. Apple préparerait un système similaire surtout axé sur la santé.
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Spotify s’améliore enfin sur Apple TV, mais Apple Music mène toujours la danse
Délaissée depuis bien trop longtemps, l’application Spotify pour Apple TV bénéficie enfin d’une mise à jour majeure. De quoi réduire un petit peu le fossé béant qui la séparait d’Apple Music sur la même plateforme.

Entièrement revue, l’application doit offrir une expérience utilisateur « plus rapide, plus intelligente et plus visuelle », d’après le service suédois. L’interface reste simple, avec trois sections principales (Accueil, Rechercher et Bibliothèque), là où Apple Music distingue plus finement ses contenus. On note quand même des améliorations dans la navigation. On peut revenir rapidement au morceau en cours de lecture grâce à un raccourci en haut à gauche de l’écran.

Incroyable mais vrai, on a accès à la file d’attente pour sauter des morceaux qu’on ne veut pas écouter. Par contre, impossible de réorganiser cette file comme on le ferait sur iPhone ou Mac. Ne vous attendez pas non plus à pouvoir parcourir facilement la discographie d’un artiste ou à accéder aux fonctions avancées disponibles sur les autres plateformes.

Les paroles arrivent enfin sur l’Apple TV. Il était temps, car elles sont disponibles depuis trois ans sur Android TV ! C’est pratique pour chanter lors des soirées entre amis… mais ça ne vaut toujours pas le mode karaoké d’Apple Music, qui synchronise les paroles, coupe le micro du chanteur et propose même des traductions et prononciations pour certaines langues étrangères depuis iOS 26.

Autre ajout bienvenu : des commandes spécifiques pour les podcasts et les vidéos, permettant d’avancer ou reculer de 15 secondes et d’ajuster la vitesse de lecture (de 0,5x à 3x). En parlant de vidéo, les clips et les podcasts vidéo qui étaient inexistants ou introuvables sont maintenant bien mis en avant.

La fonction Spotify Connect permet quant à elle de contrôler la lecture sur l’Apple TV depuis un autre appareil relié au même compte. Et pour les mélomanes exigeants, cette version prend en charge la qualité lossless récemment déployée pour les abonnés premium.


En résumé, cette nouvelle application Spotify pour tvOS est bien meilleure que la précédente — ce n’était pas difficile — et rattrape son homologue sur Android TV. Néanmoins, elle est encore très loin du niveau d’Apple Music, plus complète, plus fluide et plus élégante sur les téléviseurs.
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X se prépare à effacer la dernière trace de Twitter en supprimant son ancien nom de domaine
X prévoit de s’éloigner un peu plus de son passé : si le nom Twitter avait déjà largement disparu, on pouvait encore accéder au réseau social d’Elon Musk avec le nom de domaine twitter.com. Depuis son acquisition en 2022, le milliardaire a tout fait pour effacer l’ancien réseau social, ce qu’il a fait de manière très symbolique en le renommant X. Par défaut, le site est ainsi accessible à l’adresse x.com et ce sera peut-être la seule méthode très prochainement. En effet, un changement aura lieu le 10 novembre 2025, dans deux semaines, qui semble indiquer que l’ancien nom de domaine s’apprête à disparaître.
En tout cas, c’est à cette date que les clés d’accès (passkeys) et autres clés de sécurité physique type Yubikeys enregistrées du temps de twitter.com cesseront de fonctionner sur le réseau social. Comme l’a souligné le compte officiel @Safety, ce n’est pas un problème de sécurité, c’est lié à l’implémentation de ces clés de sécurité en guise de deuxième facteur. Pour faire simple, elles sont associées à un nom de domaine unique et puisque celui de X a changé, il faudra supprimer les clés avant de les enregistrer à nouveau avec x.com. Les clés créées avec le nom de domaine actuel ne sont pas concernées.
Les utilisateurs qui doivent faire la procédure recevront une alerte avant l’échéance. Si vous utilisez une clé d’accès ou clé de sécurité physique en guise de deuxième facteur, vous pouvez vérifier ce qu’il en est à cette adresse, qui devrait vous mener directement au bon endroit dans les réglages de votre compte X. L’équipe du service précise que le deuxième facteur délivré par les apps sous la forme d’un code numérique n’est pas touché, puisque cette méthode n’est pas associée à un nom de domaine.
On ne sait pas encore si le nom de domaine historique sera entièrement supprimé le 10 novembre. Le plus logique serait de le conserver, ne serait-ce que pour rediriger tous les anciens liens publiés vers Twitter. Depuis sa création en 2006, ce sont des centaines de milliers, probablement des millions, d’URL en twitter.com qui ont été disséminées sur le web et supprimer la redirection n’a rationnellement aucun sens. On ne sait jamais ce qui peut se passer avec Elon Musk, alors il faudra attendre de voir ce qui arrive le 10 novembre.
Comme le relève The Verge, twitter.com n’a pas encore disparu partout. C’est ce nom de domaine qui reste notamment utilisé si on veut intégrer un message publié sur X sur un autre site web.
Promo : 30 € les quatre traceurs Ugreen compatibles Localiser et rechargeables en USB-C
Pour le prix d’un seul AirTag, vous pouvez acquérir quatre traceurs Bluetooth qui s’intègrent également à l’application Localiser d’Apple. Le lot de quatre balises Ugreen FineTrack est en effet en promotion sur Amazon à 30,99 € au lieu de 42,99 € pour une durée limitée.

Ces trackers ressemblent beaucoup à un autre modèle de Ugreen que nous avons testé récemment, mais il y a une différence majeure : pas de pile ici, c’est une batterie qui alimente le petit carré. Le fabricant promet une autonomie d’un an et la recharge s’effectue via un simple câble USB-C — un petit câble USB-A vers USB-C est d’ailleurs fourni.
Chaque traceur dispose d’une encoche pour porte-clés et d’une alarme sonore de 80 dB. Ils permettent donc de retrouver des objets depuis l’application Localiser disponible sur iPhone, iPad ou encore Mac. Par rapport aux AirTags, il leur manque juste la localisation précise (pour être guidé exactement vers eux quand on se trouve à proximité), qui est une exclusivité d’Apple. Pour retrouver une valise ou une voiture, par exemple, cette lacune n’est pas gênante.
Apple préparerait une version iPad de Pixelmator Pro

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Apple préparerait finalement l’arrivée de Pixelmator Pro sur iPad (mais pas que)
Apple pourrait publier des versions iPad de quatre de ses apps Mac, dont Pixelmator Pro
Apple pourrait préparer des versions pour iPad de quatre de ses apps réservées au Mac jusque-là, d’après MacRumors. L’éditeur d’images Pixelmator Pro, l’outil de compression vidéo Compressor, le créateur d’effets vidéo Motion et enfin MainStage, compagnon de l’éditeur musical Logic Pro destiné à la scène, pourraient être adaptées à iPadOS à l’avenir. Apple n’a encore rien annoncé : la création d’identifiants sur l’App Store laisse penser que ces apps pourraient arriver sur la tablette après des années exclusivement sur le Mac.
Cet indice suffit à laisser penser qu’Apple envisage une version iPadOS, mais c’est à peu près tout. On n’a pas la certitude que ces apps sortiront sur l’iPad et même si c’est le cas, on ne sait pas quand cela arrivera, ni sous quelles modalités. En particulier, on ne connaît pas le prix de vente ou la forme, sachant que les quatre apps sont actuellement vendues sur le Mac App Store pour 35 € (MainStage) ou 60 € (Pixelmator Pro, Compressor et Motion).
Ce serait en tout cas assez logique qu’Apple crée des versions iPad de ces apps, surtout pour les trois qui sont liées à Final Cut Pro et Logic Pro. Ces deux dernières existent sur la tablette depuis 2023, avec des variantes optimisées pour iPadOS. Si elles ont moins de fonctionnalités que les versions pour Mac, elles restent de solides exemples des outils professionnels que l’on peut proposer sur un iPad.
Logic Pro sur iPad : aperçu avec les yeux et les oreilles
Aperçu de Final Cut Pro pour iPad
Au passage, Final Cut Pro comme Logic Pro ont changé de modèle économique sur iPadOS avec un abonnement à la place de l’achat unique. Est-ce le modèle qu’Apple voudrait proposer également pour ces quatre nouvelles apps ? On pourrait même envisager un abonnement unique dans l’esprit du Creative Cloud d’Adobe, avec un accès à toutes les apps créatives de l’entreprise, sur l’iPad et sur le Mac. Si cette idée aboutissait, ce serait la première fois qu’Apple propose un abonnement sous macOS pour ses éditeurs vidéo et audio, ils ont toujours été vendus avec une licence finale jusque-là.
L’ajout de Pixelmator Pro, concurrent de Photoshop, serait à cet égard parfaitement logique. Quasiment un an après l’annonce de son acquisition, ce serait la première mise à jour significative apportée à l’éditeur photo et on commençait justement à vraiment se demander ce qu’Apple allait faire de sa nouvelle app. On aura peut-être un élément de réponse dans les semaines ou mois à venir.
Mais qu’est-ce qu’Apple va donc faire de Pixelmator ?
Qu'attendre de l'iPhone 18 ?
TerraMaster F2-425 Plus et F4-425 Plus : deux nouveaux NAS équipés de deux ports 5 Gb/s
Qui dit NAS, ne dit pas forcément Synology ou QNAP. Outre Ugreen qui commence à se faire une place sur le marché, il ne faut pas oublier TerraMaster, qui continue son petit bonhomme de chemin. Le fabricant chinois vient de lancer deux nouveaux modèles qui retiennent l’attention.
Les F2-425 Plus et F4-425 Plus partagent la même base matérielle, à commencer par un processeur Intel N150 à quatre cœurs, cadencé jusqu’à 3,6 GHz. Ce n’est pas une puce taillée pour les calculs intensifs, mais elle a l’avantage d’être économe et de disposer d’un GPU intégré capable de transcoder des vidéos.

Côté connectique, les deux modèles sont identiques et bien dotés :
- 3 ports USB 3.2 Gen 2 Type-A, dont un en façade
- 1 port USB 3.2 Gen 2 Type-C
- 1 sortie HDMI
- 2 ports réseau 5 Gb/s
La présence de non pas un, mais deux ports Ethernet 5 Gb/s est suffisamment rare pour être soulignée.
Le F2-425 Plus comprend deux baies pour disques durs (jusqu’à 30 To par disque), tandis que le F4-425 Plus en offre quatre. Tous deux disposent aussi de trois emplacements M.2 NVMe (jusqu’à 8 To chacun), qui peuvent servir de cache SSD ou de volumes indépendants selon les besoins. Le F2-425 Plus embarque 8 Go de DDR5, tandis que le F4-425 Plus en a le double. Dans les deux cas, la RAM peut être portée jusqu’à 32 Go via un seul module.

Ces nouveaux NAS fonctionnent sous TOS 6, le système maison de TerraMaster. Il couvre l’essentiel des usages, propose une boutique d’applications et prend en charge Docker pour les utilisateurs avancés.
Les deux modèles sont disponibles dès à présent. Le F2-425 Plus est affiché à 429 €, avec un prix de lancement de 365 € sur Amazon. Le F4-425 Plus, lui, est proposé à 599 €.
Pour en apprendre plus sur les NAS, consultez notre série d’articles :
Pourquoi utiliser un NAS ? Tout ce qu'il faut savoir sur les fonctions de sauvegarde, synchronisation, VPN…
Chargeurs et batteries : notre sélection pour vos nouveaux iPhone, Mac et iPad !
Fin de Twitter.com : que faut-il faire avant le 10 novembre ?
Rumeurs photo : l’objectif à ouverture variable réservé à l’iPhone 18 Pro Max, le capteur d’Apple en 2027 ?
Deux rumeurs concernent la photographie à venir dans de futurs iPhone, à commencer par les modèles de l’an prochain. Cela fait quasiment un an que Ming-Chi Kuo a prédit l’ajout d’un objectif à ouverture dans la gamme de 2026, un changement qui devrait apporter une nette amélioration des photos prises avec le téléphone en ajustant mieux la quantité de lumière qui atteint le capteur. Il y a deux semaines, l’information était corroborée par le site coréen bien renseigné ETNews, qui prévoyait son arrivée sur les deux iPhone 18 Pro et 18 Pro Max. La rumeur du jour va dans le même sens, avec toutefois une nuance de taille : seul le plus grand modèle pourrait y avoir droit.
C’est en tout cas ce qu’affirme Digital Chat Station sur Weibo (via 9To5 Mac), une source qui a eu de bonnes informations sur le plateau des iPhone 17 Pro ou avant cela l’arrivée du téléobjectif 5x sur le 16 Pro. Dans sa publication, il confirme l’arrivée d’un objectif à ouverture variable, mais le réserve au 18 Pro Max, ce qui voudrait dire que l’iPhone 18 Pro n’y aurait pas droit. C’est peut-être par manque de place, ou plus vraisemblablement pour redonner au grand téléphone d’Apple un peu plus d’arguments face au modèle de base.
Associé à ce changement, il envisage une ouverture maximale plus grande pour le téléobjectif, ce qui serait essentiel pour améliorer les photos avec peu de lumière, un point faible de cet objectif. Ces deux changements pourraient permettre d’offrir une bien meilleure qualité en photo, même s’il faudra attendre les premiers retours dans un an pour juger si c’est vraiment significatif à l’arrivée. On parle d’un smartphone et un objectif, même à ouverture variable, restera extrêmement compact et de qualité médiocre, face à celui d’un appareil photo dédié.
Le capteur maison pourrait débuter avec l’iPhone 20
L’autre rumeur du jour dans le domaine voit plus loin, puisque l’on parle cette fois de l’iPhone 20, le modèle phare qui pourrait sortir en 2027. Si vous savez compter et que vous avez un doute sur les aptitudes de l’auteur de ces lignes, rappelons qu’Apple voudrait sauter l’iPhone 19 pour sortir un modèle événement pour les 20 ans de l’iPhone. Cet appareil radicalement nouveau arborerait un tout nouveau design, avec l’écran qui remplacerait les bordures et la sensation de tenir une plaque de verre et non un téléphone.
Apple sauterait l’iPhone 19, pour atteindre l’iPhone 20 à temps pour le vingtième anniversaire
Apple pourrait lancer un tout nouvel iPhone chaque année pendant trois ans
Le design devrait être l’élément le plus marquant sur ce modèle, bien plus que les composants internes. Cela étant, l’iPhone 20 pourrait être parmi les premiers à adopter un autre composant conçu par Apple, cette fois le capteur photo. C’est le fuiteur coréen yeux1122 qui rapporte l’information (via MacRumors) et même si ses rumeurs ne sont pas toujours fiables, il a vu juste à quelques reprises, suffisamment pour lui accorder de l’attention. Il n’est pas le premier à évoquer l’arrivée d’un capteur maison de toute manière, c’est un bruit de couloir qui était apparu pendant l’été.
Apple prépare-t-elle ses propres capteurs photo ?
Ses informations évoquent plus largement l’arrivée des capteurs dits LOFIC, pour Lateral Overflow Integration Capacitor, ce qui devrait amener de gros gains en matière de qualité photo. Pour faire très simple, cela permet à chaque pixel sur le capteur de stocker une quantité variable de lumière, ce qui se concrétise à l’arrivée par une meilleure gestion des scènes avec de grands écarts lumineux. Grâce à cette technologie, on devrait notamment pouvoir se passer des techniques actuelles pour créer du HDR, à savoir l’assemblage d’une photo unique à partir de multiples poses avec des expositions différentes, des techniques qui ont de nombreux défauts avec les sujets en mouvement.
Ce sera sans doute une étape majeure pour la photographie sur smartphone et tout le monde devrait rapidement y passer. D’ailleurs, le fuiteur coréen envisage l’arrivée de capteurs LOFIC dès 2026 dans des smartphones chinois, alors qu’il faudrait attendre 2027 pour l’iPhone, sachant qu’il ne précise pas si toute la gamme y aurait droit, ou plus vraisemblablement une partie des modèles seulement. Les concurrents d’Apple devraient utiliser des capteurs Sony qui pourraient être prêts dans les prochains mois, alors que la Pomme veut développer sa propre technologie, ce qui expliquerait son retard.
Sony est justement le fournisseur des capteurs photo de tous les iPhone depuis le tout premier en 2007. Sortir son propre capteur photo vingt ans après, voilà qui serait un symbole fort. L’entreprise a commercialisé cette année des iPhone et iPad équipés d’un modem cellulaire maison ainsi que sa propre puce Wi-Fi et Bluetooth. Le capteur photo serait la prochaine grosse étape pour distinguer les produits Apple des autres produits sur le marché, une vieille idée.
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Apple condamnée pour clauses abusives auprès des opérateurs français
Le tribunal des activités économiques de Paris a le 10 octobre condamné Apple à payer 48 millions d'euros pour un ensemble de clauses abusives dans ses contrats imposés aux opérateurs téléphoniques français, rapporte l'Informé (via iGeneration). L'affaire remonte à 2013 et oppose Apple à...

Pourquoi les écrans 32 pouces s'imposent sur Mac
Quand on travaille sur Mac, la question de l'écran externe revient sans cesse. Quelle diagonale choisir ? Le 27 pouces s'est longtemps imposé comme une évidence, presque par défaut. Pourtant, cette convention mérite qu'on la bouscule sérieusement.

Le format 32 pouces ne représente pas une simple variation du 27", mais bien une autre façon de concevoir son espace de travail. BenQ l'a compris et propose avec ses séries PD et PV des moniteurs qui exploitent pleinement ce format pour les créatifs qui passent leurs journées devant l'écran.
Le 32 pouces : arrêter de se battre contre son interface
Entre un 27 et un 32 pouces, la surface d'affichage bondit de quarante pourcent. Ce n'est pas anodin. Sur un 32 pouces 4K, Photoshop respire enfin : les panneaux latéraux cohabitent avec une zone de travail exploitable, sans devoir replier frénétiquement les menus pour voir son image. Final Cut Pro dévoile sa timeline en entier, permettant de visualiser la structure d'une séquence d'un coup d'œil au lieu de naviguer au kilomètre. Lightroom affiche simultanément histogrammes, curseurs et vignettes des préréglages. Sur du 27 pouces, on passe sa vie à jongler, masquer, réduire, déplacer. C'est épuisant et improductif. Le 32 pouces élimine cette lutte permanente contre l'interface.
La densité de pixels joue également un rôle crucial. Un écran 4K de 32 pouces affiche environ 140 pixels par pouce, précisément le seuil où macOS peut exploiter la définition native sans mise à l'échelle excessive. Le texte reste parfaitement net, les icônes demeurent lisibles, et surtout, on dispose d'un véritable espace de travail exploitable. Cette densité permet de travailler en résolution native sans plisser les yeux après trois heures de session, ce qui devient déterminant quand on retouche des photos ou qu'on monte des vidéos toute la journée.
Le BenQ PV3200U : penser le montage vidéo différemment
Sorti en août 2025, le PV3200U vise directement les monteurs, créateurs vidéo et YouTubeurs. Sa caractéristique la plus inhabituelle ? Un système audio intégré 2.1 avec deux haut-parleurs de 2 watts et un subwoofer de 5 watts. Ça peut sembler dérisoire face à des enceintes de monitoring dédiées, mais le mode studio de ce moniteur préserve un son non traité, suffisamment fidèle pour juger rapidement d'un mixage ou repérer un souffle parasite sans systématiquement enfiler un casque.

Quand on passe huit heures par jour en montage, pouvoir alterner entre casque et enceintes intégrées change vraiment le quotidien. L'oreille fatigue moins, on garde une perspective plus fraîche sur son travail.
Le PV3200U couvre intégralement le Rec.709 et atteint 95 pourcent du DCI-P3, avec un Delta E inférieur ou égal à 2 garanti par un calibrage d'usine individuel. Ces chiffres correspondent exactement aux espaces colorimétriques qu'utilisent YouTube, Vimeo et la plupart des plateformes de diffusion.

Le moniteur intègre des modes de prévisualisation iPhone et iPad, permettant de vérifier le rendu final sur mobile avant d'exporter. Ça évite cette déconvenue classique où l'on découvre après publication que les couleurs virent complètement sur smartphone.
Le mode M-book synchronise automatiquement la colorimétrie entre l'écran du MacBook et le moniteur externe. On ne mesure l'utilité de cette fonction qu'au moment où l'on passe trois heures à monter une séquence sur l'écran externe, pour constater en refermant l'ordinateur portable que rien ne correspond. BenQ règle ce problème irritant de façon transparente.

Côté connectique, le port USB-C délivre 65 watts de charge, suffisant pour un MacBook Air ou un MacBook Pro 14 pouces en usage normal. Trois ports HDMI 2.0 permettent de brancher caméra, console ou second ordinateur sans jongler constamment avec les câbles. Le Hotkey Puck sans fil facilite le passage entre sources et modes colorimétriques.

À 800 euros environ, le PV3200U se positionne exactement là où les créateurs vidéo en ont besoin : performant sans ruiner le budget d'équipement.
Le BenQ PD3225U : ne plus transiger sur la couleur
Le PD3225U s'adresse aux photographes, designers et créatifs qui ne peuvent pas se permettre d'approximation colorimétrique. Son atout principal réside dans sa dalle IPS Black. Les dalles IPS classiques affichent généralement un contraste de 1000:1, avec ce voile grisâtre caractéristique sur les noirs profonds. L'IPS Black double ce ratio à 2000:1, offrant des noirs réellement denses tout en conservant les angles de vision et la précision colorimétrique de l'IPS. Pour qui travaille sur des visuels destinés à des environnements sombres, cette amélioration change concrètement la perception du rendu final.

La couverture colorimétrique atteint 98 pourcent du DCI-P3, 100 pourcent du sRGB et 100 pourcent du Rec.709, avec un Delta E inférieur ou égal à 2. Chaque écran sort d'usine accompagné d'un rapport de calibration individuel, attestant des mesures effectuées sur cette dalle précise.

Pour un photographe professionnel ou un graphiste qui prépare des fichiers pour l'impression, ces garanties ne relèvent pas du marketing technique : elles assurent que les couleurs affichées correspondent fidèlement aux fichiers sources. À environ 1050 euros, le PD3225U positionne la rigueur colorimétrique dans une fourchette accessible pour un indépendant.

La connectique Thunderbolt 3 délivre 85 watts de charge sur le port principal. Un seul câble relie le MacBook à l'écran, transfère la vidéo 4K, alimente l'ordinateur et transforme les ports USB de l'écran en hub fonctionnel. Cette configuration permet même de connecter un second écran 4K via le daisy chain Thunderbolt. Le switch KVM intégré autorise le contrôle de deux ordinateurs distincts avec un seul clavier et une seule souris. Pour qui travaille sur Mac personnel et PC professionnel, ça supprime un boîtier externe encombrant.

L'ergonomie physique du PD3225U mérite qu'on s'y attarde. Le pied ajuste la hauteur sur quinze centimètres, bascule, pivote et permet même le mode portrait complet. Ces fonctionnalités sont intégrées de base, sans supplément tarifaire. Un photographe qui traite régulièrement des images en format portrait ou un designer qui doit montrer son travail à un client assis à côté apprécie immédiatement cette flexibilité.
L'intégration Mac : les détails qui comptent
BenQ ne s'est pas contenté de proposer des écrans techniquement corrects. Le logiciel Display Pilot 2, disponible gratuitement pour macOS, permet de contrôler luminosité et volume directement depuis les touches du clavier Apple.

L'ICCsync synchronise automatiquement les profils ICC entre le système et le moniteur lors des changements de mode colorimétrique. Ces détails d'intégration font qu'on oublie rapidement qu'on n'utilise pas un écran Apple. L'expérience reste fluide, cohérente avec les habitudes macOS.
Les écrans BenQ en 32 pouces ne cherchent pas à séduire par leur design. Leur esthétique reste fonctionnelle, leur finition pragmatique... Mais pour qui cherche des outils de travail performants, précis colorimétriquement et ergonomiques sans vider son compte professionnel, ils constituent une proposition sérieuse et aboutie.