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Incogni : vos données protégées avec cette offre Cyber Monday immanquable
Avec l’explosion des cybermenaces et le poids croissant des collecteurs de données personnelles, Incogni s’impose comme une solution presque indispensable pour regagner le contrôle sur nos informations privées. Et à l’occasion du Cyber Monday, l’entreprise propose une promotion exceptionnelle qui en fait une opportunité à ne pas manquer.
Incogni simplifie un problème complexe : la suppression de vos données personnelles des bases de données de tiers. Vous le savez bien, ces dernières sont souvent partagées ou vendues sans votre consentement. Avec Incogni, cette tâche fastidieuse est automatisée, vous épargnant un temps précieux.
Pourquoi choisir Incogni maintenant ?
Cette promotion Cyber Monday permet de profiter du service à un tarif exceptionnel : moins de 6 € par mois pour une protection renforcée. Ce tarif rend le service très attractif, que ce soit pour ceux souhaitant protéger leurs données personnelles ou pour des petites familles (avec plusieurs comptes e-mail par exemple).
En activant le code promo MBFCM24 vous accédez à une année complète de services pour un coût réduit. La possibilité d’annuler à tout moment et la garantie de remboursement de 30 jours offrent une flexibilité supplémentaire.
Des défis de taille pour la vie numérique
Picard, Molotov TV, SFR, Auchan... L'importance de protéger ses données personnelles est devenue évidente dans un moment où les atteintes à la vie privée se multiplient. Les cybercriminels et les courtiers en données collectent, utilisent et revendent des informations sensibles comme des adresses e-mail, des numéros de téléphone et même des coordonnées bancaires. Cela peut entraîner une exposition à des campagnes de spam, des tentatives de phishing et, dans les cas les plus graves, des vols d’identité.
La suppression manuelle de ces données auprès de centaines de courtiers est une tâche titanesque qui décourage même les plus motivés. C’est précisément là qu’Incogni intervient. Grâce à des algorithmes avancés et une approche proactive, le service identifie les bases de données tierces qui détiennent vos informations et gère directement les demandes de suppression. Vous n’avez qu’à configurer votre compte et laisser Incogni s’occuper du reste.
Comment profiter de l’offre ?
Pour bénéficier de cette réduction de 58 %, le processus est simple :
- Rendez-vous sur le site d’Incogni ici.
- Sélectionnez le plan individuel annuel.
- Entrez le code promo BFCM24 lors de la validation de votre achat.
En quelques clics, vous activez un service qui vous accompagnera toute l’année, avec une gestion entièrement automatisée et des résultats mesurables dès les premières semaines.
Comment suivre l’avancée du travail d’Incogni ?
L’un des atouts majeurs d’Incogni réside dans la transparence de son fonctionnement. Une fois votre abonnement activé, vous avez accès à un tableau de bord minimaliste qui vous permet de suivre chaque étape du processus.
Le tableau de bord liste toutes les demandes de suppression de données en cours. Vous pouvez voir quelles entreprises ont été contactées et lesquelles ont confirmé la suppression de vos informations.
Incogni vous informe en temps réel de l’état d’avancement de chaque demande. Vous êtes averti lorsque vos données ont été supprimées ou si des démarches supplémentaires sont nécessaires. Vous recevez aussi des e-mails mensuels pour vous résumer l'avancée, comme ici que nous avons reçu début décembre :
Pour les plus soucieux des résultats, le tableau de bord fournit des statistiques claire sur chaque courtier contacté.
En cas de question ou de problème, vous pouvez facilement contacter le support depuis votre espace client. Les équipes d’Incogni sont là pour vous guider et vous assurer une expérience sans accroc.
L'offre Cyber Monday, c'est maintenant !
La protection des données personnelles n’est pas un luxe, mais une nécessité : avec Incogni, vous bénéficiez d’un outil puissant pour contrer tous ces collecteurs en données et retrouver une tranquillité d’esprit en ligne. N'oubliez pas le code promo MBFCM24 !
Cette offre Cyber Monday est limitée dans le temps. Ne laissez pas passer cette opportunité !
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OpenAI envisage d’ajouter des pubs à ChatGPT
ChatGPT est pour le moment accessible gratuitement et sans publicités, mais cela pourrait changer : la CTO d’OpenAI Sarah Friar a confirmé au Financial Times qu’elle n’écartait pas la possibilité d’ajouter des réclames ici ou là. Cette stratégie pourrait permettre de rentabiliser le service, dont les serveurs sont très coûteux à faire tourner. Sarah Friar a toutefois garanti que l’intégration se ferait de manière « réfléchie », au niveau du timing comme sur la forme.
OpenAI compte quelques profils spécialisés sur la publicité dans ses rangs. Le Chief Product Officer Kevin Weil s’est occupé de la mise en place des pubs dans de grandes plateformes comme Instagram ou Twitter. L’entreprise a également recruté Shivakumar Venkataraman, l’ancien vice-président de l’équipe gérant la réclame dans les outils de recherche de Google. Les pubs ne devraient toutefois pas être en ligne demain : Sarah Friar a déclaré ne pas avoir « de projet actif » en matière de publicité.
Par le passé, Sam Altman avait expliqué ne pas être un fan de ce modèle économique. « Je déteste les publicités », avait-t-il déclaré lors d’une rencontre à Harvard. S’il y voyait à l’époque une solution de dernier recours, les sources du Financial Times affirment que le CEO serait de plus en plus ouvert à l’idée.
OpenAI doit trouver un moyen de mettre du beurre dans les épinards. Son produit phare ChatGPT est disponible gratuitement et sans inscription. L’entreprise propose bien un abonnement ChatGPT+ à 20 $ par mois et vend un accès à ses API aux développeurs, mais cela ne compense pas les frais. OpenAI affiche des revenus d’environ 4 milliards de dollars sur une base annuelle, mais en aurait dépensé 5 pour l’entraînement de nouveaux modèles.
iOS 18.2 va laisser une partie des utilisateurs d’iPhone accéder à ChatGPT via Siri, ici aussi sans créer de compte. Un lien permettant de s’abonner à ChatGPT+ sera proposé directement depuis les Réglages de l’iPhone, ce qui devrait donner une belle visibilité à l’abonnement. La mise à jour est actuellement en bêta et sortira dans le courant du mois.
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MAX ouvre la chasse aux comptes partagés
Warner Bros Discovery va démarrer doucement sa chasse aux comptes partagés de son service de streaming MAX. Les premiers messages apparaîtront à partir de la semaine prochaine chez des abonnés dont l'utilisation du service paraît anormalement élevée. Il s'agira de notifications « très gentilles » pour cette première vague. Car il est compliqué de déterminer avec certitude si un usage est dans les clous (l'abonné peut voyager beaucoup, par exemple) ou si le compte est partagé, a souligné Jean-Briac Perrette, le responsable de la plateforme.
À partir du prochain trimestre, MAX proposera une option d'ajout d'un abonné extérieur à un compte, comme le font déjà Netflix ou Disney+. Cela revient à 5,99 € chez Netflix pour rejoindre l'une des formules payantes et 4,99 € ou 5,99 € chez Disney selon qu'on ajoute la personne à la formule avec pub ou sans.
MAX diffuse en France à partir de 5,99 €
Disney+ a mis en place cette possibilité de créer un compte supplémentaire pour un abonné hors du foyer depuis la fin septembre. Plusieurs pays européens ont désormais cette option dans leur grille tarifaire, mais la France fait toujours exception.
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Les Google Pixel peuvent désormais vous donner leur température exacte
Cela fait maintenant deux générations que les téléphones Pixel embarquent un thermomètre permettant de prendre la température d’un objet ou d’une personne (aux États-Unis tout du moins). Google ne compte pas s’arrêter la et veut également vous permettre de rapidement connaître la température de votre téléphone. 9to5Google a remarqué une mise à jour récente des services « Pixel Troubleshooting » ajoutant cette donnée dans les paramètres des différents Pixel à partir du 6.
L’information est à aller chercher dans la rubrique « Batterie » - « Diagnostic de batterie », où il faudra appuyer sur « Mon téléphone est très chaud ». Une petite courbe indique ensuite la température du téléphone, allant du bleu au rouge. Android indique qu’un smartphone légèrement chaud peut bloquer la charge et limiter la luminosité de l’écran ou les performances réseau. Un appareil trop chaud pourra voir ses performances bridées, tandis que certaines fonctions seront inaccessibles.
Google indique que la température est mesurée à l'aide de différents capteurs. Plusieurs astuces sont données pour l’aider à refroidir, par exemple en assurant une bonne circulation de l’air ou en fermant les applications intensives. Le système rappelle qu’un téléphone trop froid peut s’éteindre inopinément. La Pixel Tablet n’est pas compatible avec cette nouveauté.
Apple ne propose aucun réglage de la sorte sur ses iPhone. Elle affiche cependant un avertissement lorsque les iPhone deviennent trop chauds. Cela a pour conséquence de brider certains paramètres, voire de bloquer temporairement le smartphone.
Google est-il en train de devenir le Facebook des moteurs de recherche ?
« Si Google était un bateau, il serait le Titanic quelques heures avant de heurter un iceberg ». Voilà comment débute un récent article publié par le Wall Street Journal ayant pour titre : « Googler est pour les personnes âgées. C’est un problème pour Google ».
La comparaison avec le Titanic n’est pas mauvaise tant Google parait insubmersible. Pourtant, depuis quelque temps, les nuages s’amoncellent pour le géant de l’Internet. Si Sundar Pichai, agacé par les bisbilles juridiques que connait son groupe, cherche à se rassurer, il doit sans doute se répéter cette maxime — quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console — tant les problèmes d’Alphabet sont grands. En effet, depuis quelques mois, le département de la Justice des États-Unis (DoJ) milite pour qu’Alphabet se débarrasse de Chrome et éventuellement d’Android. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg…
Mais le temps judiciaire est extrêmement long. Avant qu’une décision soit prise, il se pourrait bien que les problèmes pointés par les autorités de la concurrence puissent être réglés par le déclin du moteur de recherche d’Alphabet acculé de toute part.
Google n’est plus un réflexe
Voilà plusieurs années que Google n’est plus forcément le réflexe unique quand un internaute se décide à faire une recherche sur Internet. Par la force des choses, de plus en plus de gens font des requêtes sur Amazon lorsqu’ils sont à la recherche d’un produit. Résultat, le groupe de Jeff Bezos s’octroie aux États-Unis une part de marché toujours plus importante du gâteau publicitaire des recherches en ligne. Amazon a plus que doublé sa part en quelques années, alors que Google devrait passer pour la première fois sous les 50 % en 2025. Ce serait tout simplement une première. Aux États-Unis, un autre acteur émerge et pourrait bel et bien lui tailler des croupières : il s’agit de TikTok. Selon une étude, 23 % des utilisateurs de ce réseau social font une recherche dans les 30 secondes après avoir lancé l’application.
La qualité du moteur de recherche de Google est en baisse
La situation est déjà préoccupante pour Alphabet, mais il manque peut-être le principal. L’iceberg de Google pourrait bel et bien être l’intelligence artificielle générative, qui a relancé l’intérêt et les investissements dans les moteurs de recherche. ChatGPT incorpore depuis peu un moteur de recherche. Mais le pire est à venir pour Alphabet, OpenAI étudie la possibilité de lancer une version gratuite de son service financé par la publicité. La concurrence promet d’être intense. Meta travaille également sur le sujet depuis des mois tandis que Microsoft et Apple cherchent à intégrer ces technologies au plus profond de leurs systèmes d’exploitation.
Tout ceci en toute logique pourrait aboutir à moins de recherche sur Google et donc moins de revenus. Or, Google Search est à Alphabet ce que l’iPhone est à Apple. Cette activité génère encore la moitié du chiffre d’affaires d’Alphabet. Enfin, Google doit faire face à un dernier problème à savoir la baisse de qualité de son moteur de recherche : résultats de moins en moins précis, publicités en hausse, mise en avant d'articles générés par l’IA…
Google remplace le responsable de son moteur de recherche
Ce n’est sans doute pas une coïncidence si Prabhakar Raghavan, vice-président en charge de la recherche et des pubs, a été invité à prendre un autre poste au sein d’Alphabet tout récemment. La partie est cependant loin d’être perdue pour Google. Elle n’est pas en reste dans le domaine de l’intelligence artificielle, mais pour surmonter ces obstacles, le géant de l’internet devra avoir l’intelligence de se réinventer.
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Hyundai ne compte pas abandonner CarPlay et Android Auto… pour le moment
Contrairement à Tesla, Rivian et surtout à GM qui a fait beaucoup parler à ce sujet l’an dernier, Hyundai entend bien intégrer les interfaces des smartphones de ses clients dans ses voitures. Le constructeur sud-coréen compte ainsi conserver son intégration actuelle de CarPlay et Android Auto jusqu’à nouvel ordre… même si cela pourrait changer à l’avenir. Pas de panique toutefois, l’entreprise adopte une stratégie prudente et cherche à éviter au maximum de froisser ses clients.
C’est en tout cas ce qu’a promis Olabisi Boyle, senior vice-présidente en charge du développement produit et de la stratégie mobile pour Hyundai en Amérique du Nord, dans une interview accordée au site InsideEVs. « Pour le moment, nous comptons conserver Android Auto et CarPlay. C’est un petit peu comme sur la charge des voitures électriques. En avançant sur cette voie, nous voulons laisser toutes les options. », a-t-elle expliqué, en faisant référence à l’adoption du connecteur NACS créé par Tesla et qui s’impose comme standard en Amérique du Nord. Hyundai offre ce que le client attend que ce soit en matière de charge pour les clients nord-américains, de motorisation1 ou encore d’infodivertissement.
C’est une distinction bien nette avec le groupe GM qui s’est mis à dos une partie de sa clientèle en abandonnant CarPlay et Android Auto. S’il est plus facile pour un constructeur automobile de ne jamais adopter les interfaces projetées par les smartphones, comme Tesla et dans une moindre mesure Rivian ont pu le prouver, c’est plus compliqué pour un acteur bien établi de retirer une fonctionnalité aussi populaire. Hyundai compte sur cet argument pour vendre ses voitures, une stratégie assez évidente suivie également par Ford, entre autres. Ce qui ne veut pas dire que le constructeur compte reposer exclusivement et perpétuellement sur les fonctions proposées par Apple et Google.
Au contraire, la responsable explique bien que son entreprise développe des fonctions plus avancées pour ses voitures. À terme, il pourrait y avoir des fonctionnalités encore meilleures que ce que CarPlay et Android Auto peuvent offrir, auquel cas un abandon pourrait être envisagé. Il devra toutefois se faire de manière naturelle, sans froisser les clients et leurs demandes. En clair, même si Hyundai pourrait finir par abandonner ces fonctions, ce n’est pas au programme à court terme et il n’y a pas de raison que cela change avant un long moment.
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Comme bon nombre de constructeurs, ses plans pour passer exclusivement à l’électrique ont été retardés suite au contexte actuel, surtout aux États-Unis et au Canada, où le thermique pur et l’hybride devraient rester populaires un bon moment. ↩︎