Adobe commence à faire grimper les prix de ses fonctions d’IA génératives. L’entreprise a ajouté différentes utilisations de la technologie dans ses applications Creative Cloud, permettant par exemple d’étendre une image ou d’y ajouter des éléments à partir d’une description textuelle. Tout cela ne tourne pas en local mais bien sur les serveurs de l’entreprise. Son utilisation est donc facturée sous forme de « crédits génératifs », renouvelés chaque mois et arrivant en nombre varié selon la formule d’abonnement. Si vous découvrez cette nouveauté, pas de bol : Adobe a réduit le nombre de crédits octroyés aux abonnés inscrits après le 17 juin 2025 sur certaines formules. Ils payent donc autant que les autres, mais pour moins.
Les détails des changements ont été donnés sur la FAQ d’Adobe. Si les abonnés payant pour une seule application Creative Cloud (Photoshop, Illustrator, Premiere Pro…) disposent de 500 crédits, ceux ayant rejoint le navire à la mi-juin n’en ont plus que… 25. Même chose pour les nouveaux clients de Lightroom là où les « anciens » ont droit à 100 crédits. Cette nouvelle dotation est très limitée : si les fonctionnalités d’IA « standard » comme le remplissage génératif dans Photoshop utilisent 1 crédit par opération, il en faut 100 pour créer une seconde de vidéo 1 080p à 24 i/s. On comptera également 20 crédits par image avec le modèle Firefly Image 4 Ultra.
Adobe n’est pas la seule entreprise à revoir à la hausse les tarifs de ses fonctions d’IA. L’application pour coder sans mettre les mains dans le cambouis Cursor a visiblement revu ses tarifs : de nombreux utilisateurs se plaignent d’atteindre très rapidement leur limite mensuelle depuis quelques jours. Les plaintes s’accumulent également sur le subreddit de Replit, un programme similaire qui a revu ses prix il y a peu. Une stratégie qui n’est pas surprenante dans le monde du service en ligne (on propose quelque chose de très abordable avant de graduellement monter les prix), mais qui pourrait aller plus vite dans le monde de la très coûteuse IA générative. En janvier dernier, Sam Altman avait déclaré que même l’offre à 200 $ par mois pour ChatGPT n’était pas rentable : il va pourtant bien falloir faire du bénéfice à un moment ou un autre….
Apple a lancé l'iMac M4 actuel en octobre 2024, aux côtés du Mac mini M4 et du MacBook Pro M4. Environ un an plus tard, les premiers Macs de génération M5 sont attendus pour cet automne 2025. C'est surtout le MacBook Pro qui a fait l'objet de rumeurs jusqu'ici, mais il est tout à fait possible...
Des Galaxy pliants toujours plus fins aux écrans encore plus grands et des montres avec un nouveau design de boitier, Samsung s'apprête à dévoiler sa collection d'été.
Le second grand rendez-vous annuel de Samsung aura lieu ce mercredi avec la présentation d'une nouvelle collection de téléphones pliants et des dernières Galaxy Watch. Après les Galaxy S et Edge du premier semestre, c'est au tour des Galaxy Z Fold 7, Z Flip 7 et Flip 7E de prendre la lumière, accompagnés par des Galaxy Watch.
Le Fold de cette année ne devrait pas trop évoluer dans son design avec toujours ce format livre. Mais Samsung est parvenu à l'amincir encore, comme l'indiquent des fuites de documents marketing, à le rendre plus léger et à agrandir ses écrans. L'appareil aurait un grand écran externe de 6,5" et un interne de 8" lorsqu'il est déplié, contre 6,3" et 7,6" sur le Fold 6.
L'épaisseur passerait à 4,2 mm une fois les écrans ouverts et 8,9 mm lorsque refermés, au lieu de 5,6 et 12,1 mm précédemment. Le poids baisserait de 239 grammes à 216 grammes. On peut faire une autre comparaison pour mesurer le chemin parcouru. Le premier Fold de 2019 était fin de 6,9 mm ouvert, 15,5 mm fermé et il pesait 276 grammes.
Pour référence, un iPhone 16 Plus avec son écran de 6,7" fait 7,8 mm d'épaisseur et pèse 199 grammes. Le nouveau Fold s'annonce comme un poids plume dans sa catégorie. Samsung devrait le pourvoir d'une batterie de même capacité que l'ancien (4 400 mAh) et du dernier Snapdragon.
Son cousin, le Z Flip 7 ne changera pas de formule, il se replie sur lui-même pour un encombrant minimal. Samsung l'aurait tout de même aminci également tandis que son écran extérieur aurait une diagonale de 4,1" au lieu de 3,4" sur le 6. Car la dalle de l'écran entourerait les 2 objectifs et le flash, alors que cette zone était en dehors de l'écran sur le Z Flip 6.
Le Flip 7E serait une version plus économique avec un tout petit peu moins de batterie et des capacités de 128 et 256 Go plutôt que 256 et 512 Go.
Enfin, il y aura des montres, les Galaxy Watch8, Watch8 Classic et Watch Ultra. Les deux premières verraient le design de leur boitier inspiré de l'Ultra. À savoir, un écran rond posé sur un cadre en forme de Squircle.
Ces modèles Watch8 pourraient aussi voir leurs tarifs augmenter de 20 %, c'est ce qu'ont indiqué des tarifs pour la France qui ont circulé. Cela s'expliquerait entre autres par des capacités de stockage en hausse. La disponibilité serait prévue pour le 23 juillet.
Apple a dévoilé le Mac mini M4 en octobre 2024, aux côtés de l'iMac M4 et du MacBook Pro M4. Un an plus tard, les premiers Macs de génération M5 sont attendus pour cet automne. Si les rumeurs de ces derniers mois concernent principalement le MacBook Pro, Apple pourrait parfaitement renouveler...
Windows 11 est enfin le système d’exploitation pour ordinateur le plus utilisé au monde. Cette révision lancée il y a bientôt 4 ans restait à la traîne face au très populaire Windows 10. Windows Central a remarqué que l’élève avait dépassé le maître sur StatCounter, un site recensant différentes statistiques d’utilisation des services numériques. Windows 11 est repassé deuxième quelques temps après, mais Windows 10 vit sans doute ses derniers jours en haut du podium .
Windows 11 aura pris son temps pour déployer ses ailes. Microsoft n’a pas aidé son poulain en imposant d’avoir une puce TPM (module de plateforme sécurisée) pour l’installer. De nombreux utilisateurs ont donc préféré rester sur Windows 10 plutôt que de renouveler leur machine ou de changer leur carte mère. Le système est devenu le plus installé sur les PC de joueurs en juin dernier selon une étude Steam. Le taux d’adoption a été bien moins rapide que pour Windows 10 : cette version avait mis seulement un an pour dépasser la barre des 400 millions d’installations, contre deux ans pour Windows 11.
L’écart devrait continuer de se creuser au fur et à mesure que l’on approche du 14 octobre, date à laquelle Microsoft cessera la prise en charge de Windows 10. Le système ne sera pas complètement abandonné, Microsoft ayant prévu d’« offrir » un an de mises à jour aux utilisateurs de OneDrive ou à ceux ayant 1 000 points Microsoft Rewards. Les autres pourront choisir de payer 30 $ pour une année de sursis. En entreprise, Windows 10 va être pris en charge aussi jusqu'en octobre 2028 contre un paiement annuel.
Les clients Orange peuvent désormais payer moins cher leur abonnement ChatGPT Plus. L’opérateur a lancé une offre permettant à ses clients d’obtenir 50 % de remise pendant 6 mois à l’abonnement « Plus » du tchatbot, soit 11,50 € au lieu de 23 €. La formule donne accès à certains modèles et fonctions avancées, en plus d’offrir un accès prioritaire pendant les périodes de forte demande. La génération d’image n’est plus limitée, et il est possible d’essayer Sora pour générer des vidéos.
Cette offre est valable pour les clients Orange mobile et Internet. La remise est réservée aux nouveaux titulaires d'un compte ChatGPT ou à ceux n'ayant jamais souscrit à l'offre ChatGPT Plus. Pour en profiter, il faut remplir un formulaire avant de cliquer sur un lien envoyé sous 8 jours permettant de s’abonner à moitié prix. Une FAQ est disponible pour cette offre qui restera en place jusqu’au 8 octobre. Les clients Sosh ne sont pas éligibles.
L’offre est intéressante, mais peut paraître radine face à ce que propose la concurrence. Free offre depuis février un an d’accès gratuit au service Le Chat Pro de Mistral, tandis que Bouygues propose la même chose avec Perplexity Pro. De plus, Orange a déjà offert un an d’abonnement à ChatGPT Plus pour les nouveaux clients ayant souscrit à une Série Spéciale en début d’année.
Apple a officiellement fait appel de l'amende de 500 millions d'euros infligée par la Commission européenne fin avril pour non respect du Digital Markets Act (DMA), a indiqué l'entreprise à MacRumors : « Nous avons déposé notre appel aujourd'hui, car nous estimons que la décision de la...
Apple ne compte pas payer l’amende de 500 millions d’euros que lui a infligée l’Union européenne en avril dernier. Celle-ci est liée à la manière dont elle applique les règles du Digital Market Act : l’UE reproche à Cupertino de ne pas avoir laissé assez de marge aux développeurs pour promouvoir leurs offres d'abonnement disponibles en dehors de l’App Store. L’entreprise a confirmé avoir fait appel, décrivant la sanction comme « sans précédent » et les modifications de l'App Store exigées comme « illégales ».
« Nous pensons que la décision de la Commission européenne - et son amende sans précédent - vont bien au-delà de ce que la loi exige », a déclaré Apple dans un communiqué. « Comme le montrera notre appel, la Commission européenne impose la manière dont nous gérons notre magasin et impose des conditions commerciales qui sont source de confusion pour les développeurs et néfastes pour les utilisateurs ». Pour rappel, la Maison-Blanche avait qualifié l’amende « d’extorsion économique ».
La Maison-Blanche qualifie « d'extorsion économique » l’amende de l’UE infligée à Meta et Apple
Apple continue d’affirmer que l’UE redéfinit ses obligations liées au DMA au fil de l’eau. Elle déclare ainsi que la Commission européenne a changé les règles en cours de route pour ce qui est lié aux méthodes de paiements externes et aux vues web in-app. La possibilité d’ajouter des liens vers des boutiques d’apps alternatives aurait également été ajoutée par la suite.
Cupertino avait pourtant lâché du lest le mois dernier, annonçant qu’elle allait laisser les développeurs faire la pub de leurs abonnements et autres achats ne passant pas par l’App Store. Elle avait aussi annoncé de nouvelles commissions allant de 5 % à 13 % selon les différents outils utilisés. Apple a affirmé que l’UE avait demandé la mise en place de cette nouvelle approche, qu’elle considère confuse pour les développeurs comme pour les utilisateurs. Le régulateur aurait imposé que certains outils soient réservés à certains paliers. Elle a également déclaré qu’aucune autre boutique d’apps ne s’était vu édicter de tels changements.
Apple a dévoilé la listes des 500 morceaux les plus écoutés depuis 10 ans qu'Apple Music existe. Trois français apparaissent dans le classement au travers de collaborations.
Ed Sheeran (Shape of You), The Weeknd (Blinding Lights) et Drake (God's Plans) ont été les artistes dont les morceaux ont été les plus écoutés pendant les 10 ans d'existence d'Apple Music. Apple a dressé un classement avec 500 entrées.
Dans les 10 premiers, Ed Sheeran réapparaît à la 8e place (Perfect), Post Malone place 2 titres aux 4e et 5e places (Sunflower avec Swae Lee et Rockstar) et Drake en remet un à la 6e place (One Dance).
La seule chanteuse figurant dans le top 10 n'est pas Taylor Swift que l'on croise à la 57e place (Cruel Summer) mais sa benjamine Billie Eilish, 10e avec Bad Guy.
Il ya quatre français avec le duo Daft Punk, DJ Snake et David Guetta :
Apple a dégagé quelques observations de ce classement. On apprendra, sans étonnement, que la reine des chansons de Noël est Mariah Carey avec l'inusable All I Want for Christmas Is You (100e). Aucun autre artiste n'a pu inscrire de morceau ou reprise spécial 25 décembre. Drake a accumulé le plus de titres dans ce top 500 avec 27 morceaux dont 8 dans les 100 premiers. Il est suivi par Taylor Swift avec 14 singles dans le top 500. Quant aux amateurs de rock, c'est Fleetwood Mac qu'ils ont plébiscité avec Dreams.
10 ans d’Apple Music : programmation spéciale et Replay All Time sur le service
Les abonnés à Apple Music ont leur propre classement disponible depuis la semaine dernière, il rassemble dans la playlist Replay All Time les morceaux qu'ils ont le plus envoyé dans leurs oreilles depuis leur inscription au service développé sur les fondations de Beats Music.
Il y a dix ans, Apple casquait pour Beats
L’Union européenne travaille sur une nouvelle stratégie de sécurité qui pourrait se traduire par une porte dérobée dans les messageries. En avril dernier, la Commission a dévoilé le plan ProtectEU : celui-ci ambitionne de « renforcer la capacité de l'UE à garantir la sécurité de ses citoyens », ce qui va passer par des « outils plus efficaces pour les services répressifs ». La proposition vise à donner aux autorités « un accès aux données chiffrées de manière légale, en préservant la cybersécurité et les droits fondamentaux ». La Commission a récemment publié sa feuille de route, détaillant comment elle compte s’y prendre.
En juin 2023, la Commission avait chargé un groupe d’étudier les défis auxquels sont confrontées les forces de l’ordre dans leur travail et de proposer des solutions pour les surmonter. Leur rapport a estimé que la principale limitation vient du chiffrement des conversations et des données, visant directement les apps de messageries et les services de VPN. La feuille de route, publiée à la fin du mois dernier, se concentre sur 6 points :
Les experts sont nombreux à critiquer ce plan visant à affaiblir le chiffrement, une porte dérobée ayant des chances d’amener des vulnérabilités tombant entre les mains d’acteurs malveillants. Une lettre ouverte contre ce projet a été signée par plus de 80 organisations, parmi lesquelles on retrouve de grands noms comme Signal, Proton, Mozilla ou l’EFF. Ce n’est pas la première fois que l’UE s’attaque au chiffrement : elle a déjà proposé « Chat Control », un projet visant à créer un système de filtrage des messageries instantanées à la recherche de contenus pédocriminels. Soumis en 2022, il a finalement été abandonné en 2024.
Le film F1 produit par Apple a enregistré des recettes de 293 millions de dollars au niveau mondial en seulement 10 jours d'exploitation, rapporte Variety. Il dépasse ainsi largement Napoleon avec 221 millions, Killers of the Flower Moon avec 158 millions ou encore Argylle avec 96 millions, trois...
Les iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max qui seront dévoilés en septembre inaugureraient bien un nouveau positionnement pour le logo d'Apple et les aimants de MagSafe sur le dos du téléphone. Majin Bu nous montre aujourd'hui des rendus d'accessoiristes avec des coques transparentes : on retrouve...
Avec le début de l’été, vous avez sûrement ressorti vos boules pour faire des parties entre amis. Mais quand vient le moment de départager deux boules proches du but, jamais personne n’a de mètre sous la main pour mesurer les distances. L’application Cochonnet, disponible exclusivement sur iOS, règle ce problème.
L’idée d’utiliser l’iPhone comme arbitre impartial de pétanque est loin d’être inédite — dès 2009 nous présentions une application dans ce domaine —, mais Cochonnet se distingue par son utilisation de technologies modernes. Son créateur, Pierre Boudoin, a entrainé lui-même un modèle de machine learning spécialisé dans l’identification des boules et du cochonnet.
J’ai testé l’application ce week-end en conditions réelles. Après avoir ouvert l’onglet « Mesure », il faut prendre en photo la partie en se positionnant bien au-dessus des boules et du cochonnet. On est aidé par des indications à l’écran et le cliché est pris automatiquement une fois que l’iPhone est bien aligné. Un instant après, Cochonnet affiche la distance de chaque boule par rapport au cochonnet et les classe dans l’ordre. On peut personnaliser l’interface de ce radar en masquant certains éléments (périmètre, étiquette…) et en réglant son opacité.
D’après mes essais, les mesures sont très précises, l’application ne s’est jamais trompée dans l’ordre des boules. En revanche, elle a perdu la boule à quelques reprises concernant l’identification des éléments en jeu. Une fois, elle a pris un caillou un peu plus gros qu’un autre pour une boule, et une autre fois, elle a oublié une vraie boule. Dans ce cas-là, on peut en désigner une en la pointant à la main.
Pierre m’a indiqué qu’une grosse mise à jour va bientôt apporter plusieurs améliorations. On va pouvoir retirer les faux positifs (les cailloux pris pour des boules), sélectionner plus rapidement les boules non détectées et lui rapporter facilement les erreurs afin qu’il améliore son modèle. Celui-ci va d’ailleurs mieux reconnaitre les boules et les cochonnets exotiques dans une future version.
Quant à savoir s’il serait possible de faire un calcul en temps réel, plutôt qu’en prenant une photo au préalable, le développeur m’a répondu qu’il expérimentera cette méthode, mais qu’il ne s’attend pas à du vrai temps réel (30 images par seconde). Pierre, qui a également créé Medico et RonRon, prévoit en tout cas de sortir plusieurs mises à jour cet été.
Cochonnet ne sert pas uniquement à départager plusieurs boules serrées, l’application permet aussi de compter les points et conserve l’historique des parties.
La version gratuite de Cochonnet permet uniquement deux mesures et le suivi du score sur une seule partie. Pour en profiter sans limite, plusieurs possibilités : abonnement d’un mois à 1,99 €, abonnement d’un an à 4,99 € ou bien licence perpétuelle à 22,99 €. L’application nécessite iOS 17 au minimum.
Les possesseurs de Mac ont souvent tendance à penser que leurs machines sont invulnérables. C’est faux ! Bien que macOS intègre certaines protections de base, il reste vulnérable aux logiciels malveillants, aux tentatives de hameçonnage, aux rançongiciels et à d’autres menaces numériques.
Voici donc notre sélection 2025 des cinq meilleurs antivirus pour macOS, comparés selon leurs fonctionnalités et leur intégration dans l’environnement Apple. Protection globale, outils d’optimisation ou simple bouclier contre les virus : suivez le guide pour protéger efficacement votre Mac.
Même si les PC restent la cible principale des cybercriminels, les Mac sont loin d’être épargnés. Au contraire, les menaces ciblant les appareils Apple se multiplient : logiciels espions, publicités malveillantes, tentatives de fraude… autant de risques invisibles au quotidien.
Que ce soit pour le télétravail, vos achats en ligne ou votre banque, protéger votre Mac est devenu une priorité. Les protections natives comme XProtect ne suffisent plus. Il faut une solution dédiée, capable d’offrir une surveillance en temps réel, un pare-feu efficace et une défense active contre les logiciels malveillants.
Voici notre top 5 pour 2025.
Intego, c’est LA solution pensée nativement pour macOS. Avec plus de 25 ans de spécialisation sur l’écosystème Apple, l’éditeur propose une protection fine, rapide et parfaitement intégrée à l’environnement Mac.
Le pack Intego Mac Premium Bundle X9 va bien au-delà de l’antivirus. Il inclut :
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Norton reste une référence, même sur Mac. Son offre 360 Standard comprend un antivirus en temps réel, un VPN, un pare-feu, un stockage cloud et même une surveillance du dark web. Tout est là. Mais l’adaptation macOS reste partielle : certains outils sont absents ou bridés. Cela reste une bonne solution généraliste.
Bitdefender séduit par sa légèreté et sa capacité à détecter les menaces en continu. Sur Mac, il ajoute une fonction de sauvegarde Time Machine protégée. Mais on reste sur l’essentiel : pas de contrôle parental ni d’optimisation système. Efficace, mais pas complet.
Simple et rapide, Malwarebytes est excellent pour nettoyer un Mac déjà infecté. Il excelle contre les publicités intrusives et les logiciels indésirables. En revanche, il ne propose pas de bouclier proactif, ni VPN, ni pare-feu. Et sans abonnement Premium, pas de protection en temps réel.
ESET cible les utilisateurs aguerris avec un antivirus personnalisable et puissant. L’interface est technique, sans fioritures, et certains outils comme le VPN ou le nettoyage système manquent à l’appel. Mais pour un contrôle total, c’est une bonne option.
Tout dépend de vos attentes : simplicité, profondeur de réglage, ou protection complète. Mais si vous cherchez un outil pensé pour le Mac, sans compromis entre sécurité, performances et vie privée, Intego coche toutes les cases.
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Norton et Bitdefender offrent des bases solides mais restent perfectibles sur Mac. Malwarebytes nettoie bien mais protège peu. ESET est puissant, mais un peu austère. En 2025, c’est Intego qui s’impose comme la solution la plus complète, avec une offre claire, fluide et adaptée à macOS.
TikTok prépare une version spécifiquement pour les États-Unis de son app qui imposera aux utilisateurs américains d'abandonner celle qu'ils utilisent actuellement.
Cette opération et l'énorme migration de compte qu'elle va entrainer débutera le 5 septembre révèle The Information. Ce jour-là, les boutiques d'applications d'Apple et de Google proposeront une nouvelle app TikTok disponible uniquement aux États-Unis. L'app actuelle, diffusée partout dans le monde, sera retirée des stores de ce pays et cessera de fonctionner en mars 2026.
Dans l'intervalle, les utilisateurs qui sont environ 170 millions aux États-Unis devront transférer leur compte entre les deux apps, ce qui sera probablement fait de manière transparente en s'identifiant sur la nouvelle app avec le compte de l'ancienne.
Ce changement permettra aux prochains propriétaires de TikTok aux États-Unis de prendre le contrôle de l'app tandis que son créateur chinois, ByteDance, devrait avoir une part minoritaire. Oracle fera partie des acteurs américains responsables du fonctionnement de ce TikTok. Les autres entreprises ou investisseurs n'ont pas encore été annoncés. Les négociations ne sont pas encore terminées notamment avec le gouvernement chinois qui a son mot à dire.
La Cour Suprême des États-Unis valide l'interdiction de TikTok
TikTok avait été très brièvement débranché aux États-Unis en janvier dernier avant que Donald Trump ne signe un décret permettant une reprise temporaire de son activité. TikTok a déjà vu ce bail renouvelé à 3 reprises (le dernier en date porte jusqu'au 17 septembre) pendant que l'administration Trump cherche à constituer un nouveau groupe de propriétaires pour les activités américaines du réseau social. Celui-ci, depuis l'époque Biden et un vote transpartisan au Congrès, est considéré comme une menace pour la sécurité du pays tant qu'il est entre les mains de son créateur chinois.
Le dernier iPad Air est en promo chez Amazon Italie. La plateforme propose le modèle 11" avec une puce M3 pour seulement 597,80 €, soit 16 % de moins que ce qui est demandé en Apple Store (ou 121 € d'économisés). Il s’agit du modèle Wi-Fi en coloris mauve ou lumière stellaire avec 128 Go de stockage. La tablette est vendue et expédiée par Amazon Italie, qui promet une livraison d’ici la fin de la semaine.
L’iPad Air est une excellente tablette : sa puce M3 lui confère une puissance phénoménale qui la rend à l’aise autant pour de la bureautique que dans une utilisation intensive (création graphique, jeux, montage…). Sa webcam est désormais centrée et le Wi-Fi 6E est présent. Elle est compatible avec l’Apple Pencil Pro, ce qui en fera un bon choix pour les créatifs.
Si vous trouvez ce tarif trop élevé, on notera différentes remises sur d’autres modèles. Amazon Italie propose l’iPad d’entrée de gamme en version 2025 pour 349 €, sachant qu’elle est disponible dans 3 coloris. La version française du site affiche l’iPad mini pour 549 €, soit 10 % de moins qu’en magasin.
À 3 ou 4 mois du renouvellement de la gamme annuel est-il judicieux d'acheter une Apple Watch Series 10 ? On laissera à chacun le choix de la réponse, néanmoins les 2 tailles de 42 et 46 mm sont à de très bons prix sur Amazon Italie, avec des réductions de l'ordre de 22 %…
Le grand modèle GPS en 46 mm est vendu 379 € soit 377,70 € après l'ajustement à la baisse de la TVA et l'ajout des frais de port. Pour la version de 42 mm comptez 349 € (348,18 € à la fin).
Chez Amazon France ce sera 419 € au mieux pour la 46 mm et 394 € pour la 42 mm. Comparé aux prix de l'Apple Store, l'économie en Italie est de 102 € pour la 46 mm et 100 € pour la 42 mm. Ce n'est pas rien.
Test de l'Apple Watch Series 10 : ce n’est pas l’Apple Watch X, mais ce n’est pas grave
La Series 10 de la fin 2024 s'est démarquée des précédentes Series en amincissant nettement son boitier, en élargissant son écran et en offrant une meilleure lisibilité de celui-ci lorsqu'on le consulte de biais. Elle dispose de toutes les fonctions santé des Apple Watch et de l'option pour avoir l'écran toujours allumé.
Apple est bien parti pour réussir son coup avec « F1 : Le Film ». Selon Variety, dans les dix jours qui ont suivi sa sortie en salle, le film réalisé par Joseph Kosinski a généré 293 millions de dollars de revenus. C’est d’ores et déjà le film Apple TV+ qui a généré le plus d’argent, devant le Napoléon de Ridley Scott (221 millions de dollars) et le Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese (158 millions). Comme le note MacRumors, tous les films d’Apple n’ont pas été des succès. Fly Me to the Moon et Argylle n’ont généré respectivement que 42 et 96 millions de dollars de revenus.
La question maintenant pour « F1 : le Film » est de savoir s’il va être rentable, grâce uniquement à son exploitation dans les salles, ce qui serait une première. Une bonne partie du chemin a été fait, mais Apple n’y est pas encore. Il se murmure que le film a coûté 250 millions de dollars, somme à laquelle il faudrait ajouter 100 millions de dollars en frais marketing. Autrement dit, il faut qu’Apple empoche environ 350 millions de dollars. C’est tout à fait envisageable, mais on est encore loin du compte. Si le film a généré 293 millions de revenus, Apple n’en percevra que la moitié, et ce, dans le meilleur des cas.
Le monde de la Formule 1 scrute également avec beaucoup d’intérêt les performances du film d’Apple. Les responsables espèrent, grâce à ce film imposer définitivement leur discipline aux États-Unis. De ce point de vue, il reste du travail à faire. Sur les 293 millions de dollars générés, 57 millions l’ont été aux États-Unis. La deuxième position revient à la Chine (22 millions de dollars) suivie du Royaume-Uni (17,3 millions de dollars), du Mexique (12,3 millions de dollars), de la France (11,5 millions de dollars) et de l’Australie (9,8 millions de dollars).
Pour rappel, « F1 : le Film » est sorti dans les salles à la fin juin. Il devrait être disponible sur Apple TV+ d’ici la fin de l’année, sauf en France où il faudra patienter jusque fin 2026.
« F1 » en streaming sur Apple TV+ : octobre 2025 aux États-Unis, novembre 2026 en France
Le FolderDrive est-il juste une chouette idée ou le début d’un phénomène plus grand ? Ses caractéristiques techniques n’ont rien de surprenant, il s’agit d’un SSD de 128 Go vendu 40 $. C’est même plutôt cher.
Non, ce qui est intéressant avec cet appareil, c’est son design. On a l’impression de manipuler un vrai dossier de macOS au temps de Classic. Heureusement, le concept a troqué le SCSI par un port USB-C.
Ce projet, issu d’une collaboration entre David Delahunty et Super Fantastic, est en quelque sorte du skeuomorphisme à l’envers. Ce design, qui évoque tant les premières versions d’iOS, consistait à imiter l’apparence et/ou les caractéristiques d’un objet réel dans une interface numérique, même si ces caractéristiques ne sont plus nécessaires dans le contexte numérique.
L’appareil est compact. Il mesure 8,3 cm de large, 6,4 cm de haut et 1,3 cm d’épaisseur. Pour l’instant, il s’agit seulement d’un concept. Il est possible de s’inscrire sur le site pour être notifié quand le FolderDrive sera véritablement commercialisé. Dans le même genre, Tom’s Hardware a déniché un sac inspiré de WinRAR, le fameux logiciel de compression sur Windows.
Le WinRAR ARCHIVE MESSENGER BAG tern est commercialisé 115 €, soit le prix de cinq licences du fameux logiciel.
18%. La réduction proposée par Amazon Italie sur l'iPhone 16e n'est pas symbolique. Les deux coloris en 128 Go sont vendus 599 € soit 594,15 € exactement lorsque la TVA (plus élevée là-bas) et les frais de port sont calculés (la livraison se fera entre les 10 et 11 juillet). C'est 124 € de moins que l'Apple Store et un niveau de réduction qu'on n'a pas en France où Amazon est à 669 €, tout comme la Fnac.
L'iPhone 16e, nouvelle entrée de gamme d'Apple, a succédé très avantageusement à l'iPhone SE dans ce rôle. En vrac, il propose Face ID pour l'identification du visage pour déverrouiller ou payer avec Apple Pay, un écran de bien plus grande taille, un bouton Action programmable, une très bonne autonomie, la partie photo a fait un bond, la puissance est dans la norme actuelle (même processeur que l'iPhone 16) et elle ouvre l'appareil aux fonctions d'Apple Intelligence.
Nous avions relevé 3 défauts : le prix, qui n'en est plus un ici, l'absence de MagSafe pour les accessoires qui s'aimantent au dos (mais avec une coque MagSafe on a une bonne solution) et pas d'objectif ultra grand-angle. Dommage, mais pas rédhibitoire.
Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
Lasciatemi cantare... une petite envie de musique pendant les vacances ? L’un des meilleurs moyens d’en écouter, avec les produits Apple, reste d’utiliser des AirPods Pro 2. Mais à 279 €, ça voudrait dire moins de pizzas, moins de sorties, et au final, moins de fun.
Ça tombe bien, Amazon Italie les propose actuellement à 199 €, soit tout de même une belle remise de 29 % sur le tarif original ! C’est tout bénef pour se payer un petit restau de plus avec la famille, sans pour autant priver ses esgourdes de la douce mélodie des vacances.
Les AirPods Pro 2 sont d’autant plus intéressants qu’ils vont (encore) s’améliorer avec la prochaine version d’iOS, en récupérant de nouvelles fonctions, chose rare chez Apple (demandez aux propriétaires d’Apple Watch Ultra ce qu’ils en pensent...).
Comment déclencher l’appareil photo de votre iPhone avec vos AirPods
iOS 26 : des AirPods et des Beats peuvent mettre en pause la musique quand vous vous endormez
Juste avant les Prime Days, Amazon et Apple renouvellent leur collaboration autour d’une opération spéciale sur les cartes cadeaux Apple. Ce type d'offre revient régulièrement, généralement pendant les grandes périodes commerciales, comme les Prime Days, les French Days ou encore à l'approche des fêtes de fin d’année.
Cette fois encore, le principe est simple : pour tout achat de 100 € en cartes cadeaux Apple sur Amazon.fr, Amazon vous offre automatiquement un crédit de 10 € à dépenser sur son site, avant le 25 aout prochain.
Cette promotion, lancée vendredi 4 juillet, est valable jusqu’au vendredi 11 juillet. Elle est exclusivement réservée aux clients d'Amazon France, et les cartes cadeaux Apple concernées sont valables uniquement sur les plateformes françaises de la marque à la pomme.
L’intérêt de cette offre, au-delà du bonus de 10 €, réside dans la flexibilité des cartes cadeaux Apple. Elles peuvent être utilisées sur l’ensemble de l’écosystème Apple :
Enfin, notez que cette offre n’est valable qu’une seule fois par client et par compte client.
Le Prime Day d'Amazon durera 4 jours du 8 au 11 juillet
Les escroqueries en ligne ne se contentent plus d’être maladroites : elles deviennent intelligentes, ciblées et crédibles.
Ce réalisme, souvent troublant, trouve sa source dans un trafic massif — mais légal — de données personnelles. Incogni propose d’y mettre un coup d’arrêt.
Un simple message, à peine quelques mots : votre colis est en attente au relais, je n'ai pas pu laisser votre colis dans votre boîte aux lettres, etc. En apparence, rien d’inhabituel. Pourtant, derrière cette façade anodine, se cache un système bien huilé.
Ces SMS visent juste parce qu’ils sont alimentés par des fichiers contenant adresse, numéro de téléphone, nom, voire historique d’achat. Le piège est prêt, et l’usager moyen n’a que peu de chance d’y échapper.
Le cœur du problème se trouve en amont : les données personnelles ne sont pas seulement volées, elles sont revendues à grande échelle par des entreprises spécialisées — les fameux data brokers. Leur business ? Collecter, croiser, affiner des informations pour bâtir des profils monétisables.
Créé par Surfshark, Incogni se présente comme un agent numérique mandaté pour faire respecter le droit à l’oubli. Après autorisation, le service contacte automatiquement plus de 200 courtiers en données pour exiger la suppression des profils enregistrés, sur la base du RGPD (Europe) ou du CCPA (États-Unis).
L’objectif est clair : assécher les bases de données qui alimentent les fraudes ciblées. Moins de données disponibles, c’est moins d’attaques pertinentes — et donc moins d’arnaques qui font mouche.
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Des tests indépendants confirment l’utilité du service. Selon Cybernews, Incogni est parvenu à faire supprimer 40 profils sur 49 en quatre semaines. D’autres sources parlent de plus de 100 suppressions en deux semaines, avec un tableau de bord qui détaille en temps réel les demandes envoyées, les réponses reçues et les suppressions confirmées.
L’un des grands avantages d’Incogni est sa simplicité. Une fois le mandat signé, aucune action manuelle n’est requise. Le service agit en continu, relance les courtiers récalcitrants et met à jour les résultats dans une interface claire. Il ne s’agit pas d’un simple nettoyage ponctuel, mais d’un processus de fond, pensé pour durer.
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Voici les formules proposées :
Incogni n’efface pas les publications sur les réseaux sociaux, ne nettoie pas les bases publiques ni les casiers judiciaires. Il ne fait pas tout. Mais il s’attaque à un pan souvent ignoré de l’hygiène numérique : les bases privées alimentées sans consentement explicite.
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