Après trois semaines en bêta 1, il est temps pour macOS 15.3 Public Beta de passer la seconde ! Comme ses camarades iOS/iPadOS 18.3, tvOS 18.3 et watchOS 11.3, c’est le lendemain de la version développeurs qu’Apple a décidé de sortir la mouture publique.
Bien entendu, comptez sur nous pour vous signaler les nouveautés sortant au fil de ces bêtas.
Trois semaines après la première bêta publique pour iOS/iPadOS 18.3, voici arriver la seconde mouture, le lendemain de la version pour les développeurs. Comme d’habitude, elle vient accompagnée de macOS 15.3, tvOS 18.3 et watchOS 11.3.
La grosse mise à jour pour les européens et les non-anglophones reste iOS/iPadOS 18.4, qui devrait arriver au mois d’avril. En attendant, comptez sur nous pour vous faire part des nouveautés qui apparaîtront dans ces nouvelles bêtas.
Le président élu Donald Trump a récemment relancé son idée d’intégrer le Canada aux États-Unis, une proposition rapidement rejetée par le Premier ministre sortant Justin Trudeau. Ce dernier a déclaré sur X, la plateforme détenue par Elon Musk : Il n’y a pas l’ombre d’une chance pour que le Canada fasse partie des États-Unis. Une réponse qui n’a pas du tout plu à Elon Musk.
BMW prépare une plateforme dédiée à l’électrique, pour une génération de voitures construites sur une toute nouvelle base, tant matérielle que logicielle. Ces véhicules « Neue Klasse » proposeront non seulement un design extérieur différent de la production actuelle du constructeur bavarois, ils bénéficieront aussi d’une meilleure intégration de la batterie et des moteurs ainsi que d’un tout nouvel intérieur. C’est ce dernier que BMW a présenté lors du CES 2025, avec au passage un aperçu du nouveau système d’exploitation qui animera le tableau de bord et gérera les différents composants.
L’entreprise le nomme « BMW Operating System X », un nom qui nous a évoqué un autre système d’exploitation qui se termine par un X. Il ne faut certainement pas y voir un hommage voulu au Mac OS X d’Apple sorti il y a plus de 25 ans (même si, comme chez Apple, il s’agit du chiffre romain X, qui succède à BMW OS 9 actuellement utilisé), c’est avant tout une manière pour le constructeur allemand de renforcer l’importance du logiciel dans ses voitures, devenues comme toutes les autres des ordinateurs sur roue. Le système est dérivé de la version open-source d’Android (mais pas sur Android Automotive) et il s’intègre mieux au matériel et permettra d’en faire plus à travers des mises à jour.
Puisque l’on est en 2025, ce système intégrera plusieurs fonctions liées aux IA et notamment un nouvel assistant vocal basé sur les grands modèles de langage, c’est un incontournable de nos jours. BMW annonce aussi qu’il pourra suggérer des fonctionnalités aux conducteurs, par exemple d’activer le mode sport sur une petite route sinueuse où cela s’y prête, avec l’intelligence aussi de ne pas répéter ces suggestions si elles ne sont pas appréciées. Surtout, c’est BMW OS X qui va gérer le nouveau tableau de bord et toutes ses fonctionnalités.
Le constructeur n’a pas hésité à bousculer et épurer son tableau de bord avec cette génération Neue Klasse. Les seuls boutons restants sont rassemblés sur et derrière le volant, qui est d’ailleurs nouveau lui aussi. Encore que parler de boutons est peut-être exagéré, il s’agit plutôt de surfaces tactiles, mais avec un retour haptique et du relief pour les distinguer. L’éclairage sera dynamique pour mettre en avant les boutons utiles à tout moment et il faudra attendre les retours sur la route pour savoir ce que tout cela vaut réellement sur le plan ergonomique.
À côté du volant, on trouvera un écran central dont la taille variera selon les modèles et dont le format bizarre sur les photos presse du jour ne sera peut-être pas conservé. Il affiche l’essentiel des informations sur le trajet en cours ou encore la musique écoutée et permettra de contrôler toutes les fonctionnalités du véhicule. BMW a retiré l’écran qui correspondait aux compteurs juste derrière le volant, remplacé par le « Panoramic Vision », une barre qui fait toute la largeur du véhicule sur laquelle sont projetées diverses informations.
Comme cette barre est en hauteur, elle sera visible sans avoir à quitter trop les yeux de la route, si bien que BMW parle d’affichage tête haute. Au niveau du volant, elle affichera la vitesse actuelle et quelques informations supplémentaires indispensables à la conduite, comme l’autonomie restante. Pour le reste, le conducteur comme le passager pourront placer des widgets où ils le souhaitent, allégeant au passage l’écran central qui pourra ainsi afficher le reste des informations en plus grand. Une idée intéressante, déjà expérimentée par Citroën notamment, que l’on devrait retrouver dans tous les modèles de la gamme.
Ce tableau de bord nouvelle classe sera utilisé dans une première voiture dont la présentation est prévue avant la fin d’année. BMW compte sortir six véhicules dans la gamme « Neue Klasse » et commencera par une berline équivalente à la Série 3 ainsi que l’inévitable SUV dérivé. Si le communiqué de presse du jour ne le mentionne pas, le BMW Operating System X devrait bien cohabiter avec CarPlay et Android Auto, comme c’est le cas aujourd’hui dans toutes les voitures du constructeur.
Malgré une période de construction compliquée, l’usine de TSMC en Arizona est bien en marche et a visiblement trouvé son rythme de croisière. En septembre dernier, on apprenait que le site produisait la puce A16 embarquée dans les iPhone 14 Pro et les iPhone 15. Le journaliste spécialisé Tim Culpan affirme aujourd’hui que le site produit le processeur d’un autre appareil Apple : celui de l’Apple Watch.
Plus précisément, il s’agirait de la puce S9 que l’on trouve sous le capot de l’Ultra 2 et de la Series 9. Ce n’est pas la plus avancée, la Series 10 embarquant une puce S10 qui n’est apparemment pas plus puissante que sa grande sœur. Tim Culpan indique que ses sources ne sont pas 100 % claires, mais dit être sûr « à 99 % » qu’il s’agit du SiP S9. Cela ferait sens : l’usine TSMC en Arizona dispose du matériel pour des gravures avec le procédé N4, soit du 4 nm utilisé… pour la puce A16. Les puces d’Apple Watch se basant sur celles des iPhone, c’est donc une hypothèse plutôt logique.
Bien que l’Apple Watch Series 9 ne soit plus vendue par Apple, la puce S9 se trouve encore dans l’Apple Watch Ultra 2. Mis à part ces deux puces Apple, le site produirait également des processeurs Ryzen 9000 sortis l’année dernière. L’usine d’Arizona sortirait actuellement 10 000 galettes de semi-conducteurs (wafers) par mois, avec pour objectif de faire grimper ce chiffre à 24 000. Difficile de dire à combien de puces cela équivaut, mais les chiffres ne sont pas décevants et TSMC n’est visiblement pas en retard sur son planning.
Cette année, le calendrier de sorties promet d'être bien chargé pour Apple. En tête de peloton, on trouve l'iPhone SE 4 et l’iPad 11. Mettant fin aux rumeurs concernant un lancement en tout début d'année avec iOS 18.3 et iPadOS 18.3, Mark Gurman -dont les liens avec Cupertino sont toujours mystérieux- annonce une sortie plus tardive.
Samsung va présenter cette année ses nouveaux smartphones phares un peu plus tôt que d’habitude. Le fabricant coréen a annoncé la tenue d’une conférence Unpacked le mercredi 22 janvier. Ce qui ne change pas, c’est que le programme a déjà été largement éventé — WinFuture a publié par exemple des images officielles des nouveaux produits.
On s’attend donc à découvrir un Galaxy S25, un Galaxy S25+ et un Galaxy S25 Ultra assez semblables à leurs prédécesseurs, mais aussi un tout nouveau S25 Slim. Ce dernier, qui se distinguerait par sa finesse, pourrait toutefois être lancé un peu après les autres. Tous ces modèles devraient gérer le standard de recharge sans fil Qi2, mais cette compatibilité pourrait passer par une coque aimantée.
Par ailleurs, Samsung s’apprête à lancer sur ses smartphones en Corée du Sud un abonnement lié à des fonctionnalités d’intelligence artificielle, rapporte ETNews. L’AI Subscription Club est en fait un abonnement qui couvre plusieurs types d’appareils, comme les téléviseurs, les frigos, les machines à laver, les robots domestiques… enfin tout ce qui contient de l’« IA », si ce terme a encore un sens.
Cet abonnement ne sera pas obligatoire pour utiliser les fonctionnalités Galaxy AI sur les smartphones. Néanmoins, Samsung a d’ores et déjà prévenu que ses fonctions d’IA sur téléphone seront gratuites« a minima jusqu'à fin 2025 », ce qui ouvre la voie à une offre payante au-delà.
De son côté, si Google inclut sans frais de nombreuses fonctions d’IA dans ses Pixel, le géant du web propose depuis l’année dernière un forfait AI Premium qui ajoute des avantages. Quant aux iPhone, Tim Cook a assuré qu’il n’était pas dans ses plans de faire payer Apple Intelligence.
Il est aujourd'hui possible d'obtenir une réduction importante sur la barre de son Bose Smart Ultra Soundbar ainsi que sur les casques et écouteurs de la gamme Ultra.
Baseus a présenté lors du CES 2025 une batterie externe multifonction, l’EnerGeek MiFi Power Bank. Ce nouvel appareil combine une batterie portable de 20 000 mAh et un point d’accès Wi-Fi mobile compatible avec les réseaux 4G dans plus de 100 pays. Elle sera commercialisée en avril 2025 au prix de 89,99 $.
C'était prévu, la norme HDMI 2.2 a été présentée au CES de Las Vegas, la grande messe des technologies. Cette nouvelle version de la norme est une évolution des précédentes, et elle garde donc une parfaite rétrocompatibilité avec les prises HDMI existantes. Les deux principaux changements viennent d'une bande passante doublée et d'une validation des câbles bien plus stricte.
La bande passante du HDMI 2.2 passe à 96 Gb/s, contre 48 Gb/s en HDMI 2.1 (et parfois un peu moins, selon les téléviseurs). Cette bande passante accrue permet d'atteindre un taux de rafraîchissement de 480 Hz en 4K (120 Hz actuellement), 240 Hz en 8K et 120 Hz en 12K1.
Notons, au-delà des nouvelles possibilités, l'ajout d'une technologie appelée LIP (Latency Indication Protocol) qui devrait permettre de réduire la latence dans les installations compliquées, qui comprennent des récepteurs, amplificateurs et autres barres de son. Actuellement, la synchronisation nécessite parfois quelques réglages au niveau de la source pour éviter les décalages audio, que le LIP devrait supprimer (ou automatiser).
Des câbles certifiés
Vous avez peut-être déjà lu qu'en HDMI, les câbles onéreux ne servent à rien, ce qui n'est pas totalement faux… mais pas totalement vrai. Pour afficher en 1080p à 60 Hz, n'importe quel câble devrait fonctionner, même s'il est de mauvaise qualité. Mais avec les définitions élevées, la bande passante nécessaire devient un problème et les câbles de mauvaise qualité ou qui n'ont pas été pensés pour les valeurs extrêmes peuvent poser des soucis. Pour régler ce problème, le choix a été fait de créer une certification des câbles, avec des tests poussés pour vérifier s'ils sont bien capables de prendre en charge une bande passante de 48 Gb/s (pour les câbles « Ultra High Speed HDMI ») ou 96 Gb/s (pour les câbles « Ultra96 HDMI »).
Les fabricants vont donc devoir certifier les câbles pour pouvoir apposer le fameux sésame (le logo officiel) et un code QR permettra aux acheteurs de vérifier si le câble est certifié. Les grandes marques devraient suivre cette certification, pour éviter qu'un client achète un câble d'entrée de gamme pour son nouvel ensemble haut de gamme. Cette certification n'empêchera évidemment pas de nombreux fabricants d'annoncer une compatibilité avec toutes les nouveautés de la norme, mais limitera peut-être les plaintes des clients.
Les membres du HDMI Forum devraient avoir accès aux spécifications durant le premier semestre 2025, et les premiers périphériques compatibles ne sont donc pas attendus avant la fin de l'année (et plus probablement en 2026).
Compte tenu de la bande passante, le passage en 16K à 60 Hz est aussi a priori possible, une des images fournies par le HDMI Forum le montre. ↩︎
Dans les nouveautés qui ne manquent pas d'air, deux produits sortent du lot, même s'ils sont un peu aux antipodes l'un de l'autre. Ainsi Asus a dévoilé l’Adol 14 Air, un ordinateur portable qui diffuse du parfum. LG s'éloigne aussi un petit peu de son cœur de métier avec cet AeroCatTower, en gros un petit nid douillet pour chats qui sent bon...
Le CES 2025 a été l’occasion pour Bosch de présenter un nouveau réfrigérateur connecté, jusque-là c’est désormais banal et ne mériterait aucun article, mais surtout compatible Matter. Quand il sortira dans le courant du printemps, il sera le premier réfrigérateur à adopter le nouveau standard de domotique, comme le relève The Verge. Le modèle en particulier semble destiné au marché américain, mais on devrait avoir un équivalent en Europe, ainsi qu’un modèle similaire sous la marque Siemens, puisque c’est la même entreprise derrière.
Matter gère les réfrigérateurs, congélateurs et autres caves à vin connectés depuis la version 1.2 sortie à l’automne 2023. Comme souvent, il faut faire preuve de patience pour que les évolutions du standard se concrétisent, en l’occurrence un an et demi environ pour qu’un premier électroménager exploite cette possibilité. Concrètement, les riches propriétaires de ce réfrigérateur pourront obtenir des alertes si la porte reste ouverte trop longtemps ou encore ajuster la consigne depuis n’importe quel écosystème de domotique qui gère Matter… à condition qu’il repose bien au moins sur la version 1.2.
C’est là que les problèmes commencent. La plupart des gros acteurs sont en retard, si bien que Bosch prévoit une compatibilité limitée au lancement à deux écosystèmes seulement : SmartThings de Samsung (qui compte certainement ajouter ses propres réfrigérateurs connectés à Matter) et Home Assistant, qui est toujours le meilleur élève en matière de suivi du standard. Le fabricant allemand a ajouté à nos confrères que la compatibilité avec Alexa d’Amazon est prévue d’ici la fin de l’année. En revanche, pas d’informations à ce stade ni pour Google, ni pour Apple qui est particulièrement à la traine.
Maison est restée bloquée sur les premières versions de Matter et elle accroit son retard au fil du temps. On en est à la version 1.4 et il manque toutes les nouveautés des mises à jour précédentes, dont celles de Matter 1.2. Ce qui veut dire que les réfrigérateurs de Bosch et Siemens resteront en dehors de l’app d’Apple jusqu’à nouvel ordre, sans que l’on sache quand (voire si ) la Pomme adoptera les nouveautés.
Si vous habitez aux États-Unis, que vous utilisez Home Assistant ou SmartThings et que vous avez besoin d’un nouveau réfrigérateur, le « French Door Bottom Mount Refrigerator 36" Stainless steel (with anti-fingerprint) » (ça c’est du nom) sera vendu prochainement à un prix de vente conseillé de 2 500 $, oui tout de même.
Sam Altman, PDG d’OpenAI, est visé par une plainte de sa sœur Ann, qui l’accuse d’abus sexuels survenus durant leur enfance. Une affaire sensible que le dirigeant et sa famille qualifient de fausse, mais qui entache la réputation du nouveai prodige de la tech.
À deux semaines de l’investiture de Donald Trump, le monde de la tech se prépare. Tim Cook et Sam Altman ont déjà prévu une donation personnelle à 7 chiffres au futur président, tout comme Jeff Bezos qui le fera par le biais d’Amazon. Elon Musk est de son côté le mieux placé étant donné qu’il a été élu à la tête d’un nouveau « département de l’efficacité gouvernementale ». Nombreux sont les CEO a avoir fait le déplacement en Floride pour dîner avec les Trump à Mar-a-Lago, comme Sundar Pichai ou Mark Zuckerberg.
Le patron de Meta justement, avait tout intérêt à se refaire une image auprès du futur président. La relation entre les deux hommes n’est pas au beau fixe : Meta a supprimé les comptes de Trump suite à l’attaque du Capitole, ce dernier a menacé de mettre Zuckerberg en prison, envisagé d’attaquer Facebook en justice… Le CEO de Meta veut se faire bien voir et vient d’annoncer de gros changements à venir sur ses plateformes. Facebook et Instagram vont abandonner les opérations de fact-checking aux États-Unis au profit d’un système de notes de communauté, un système inspiré du Twitter d’Elon Musk.
Dans une vidéo partagée sur ses différentes plateformes, Mark Zuckerberg indique vouloir « revenir aux bases » pour ce qui est de la liberté d’expression sur Facebook et Instagram. « Les gouvernements et les médias traditionnels ont fait pression pour censurer de plus en plus. Il s'agit en grande partie d'une question politique », affirme-t-il. Selon lui, les fact-checkers « ont été trop orientés politiquement et ont détruit plus de confiance qu'ils n'en ont créée, en particulier aux États-Unis ».
Le CEO explique vouloir supprimer différentes restrictions jugées trop éloignées du discours dominant sur des sujets comme l’immigration ou le genre. « Ce qui a commencé comme un mouvement visant à être plus inclusif a de plus en plus été utilisé pour fermer les opinions et exclure les personnes ayant des idées différentes, et c'est allé trop loin ». Le règlement sur les discours haineux de Facebook a été mis à jour dans la foulée aux États-Unis. Il autorise maintenant les utilisateurs à publier des propos injurieux sur les personnes LGBT :
Nous autorisons les allégations de maladie mentale ou d'anormalité lorsqu'elles sont fondées sur le sexe ou l'orientation sexuelle, compte tenu du discours politique et religieux sur le transgendérisme et l'homosexualité et de l'utilisation courante et non sérieuse de mots tels que « bizarre » […] Nous autorisons les contenus qui plaident en faveur de limitations fondées sur le sexe pour les emplois dans l'armée, les forces de l'ordre et l'enseignement.
Les équipes de modération de Meta vont déménager de la Californie démocrate au Texas républicain afin d’éviter ce que Mark Zuckerberg présente comme un « biais ». Dana White, ami de Trump et président d’une organisation de MMA (combat libre), va rejoindre le conseil d’administration de Meta. Le timing n’est évidemment pas anodin, Zuckerberg déclarant d’ailleurs que les récentes élections ont « donné l'impression d'un point de bascule culturel vers la priorité donnée à l'expression ». Ces appels du pied fonctionnent. « Honnêtement, je pense qu'ils ont parcouru un long chemin, Meta, Facebook », a déclaré Donald Trump lors d'une récente conférence de presse tenue après l'annonce de Meta.
Au CES 2025, Plugable a présenté trois nouveautés : une station d’accueil gérant cinq écrans, un chargeur USB-C à dix ports avec gestion intelligente de l’énergie, et un adaptateur graphique USB-C Quad HDMI. Jetons un œil à tout ce beau monde.
Aguerri à cet exercice, Nomad revient sur le devant de la scène avec un nouveau bracelet en édition limitée : le Glow in the Dark Icy Blue Sport Band (tout ça, tout ça...).
Surfshark est un VPN, réseau privé virtuel, qui permet de se rendre totalement anonyme et sécurisé en ligne. Le logiciel offre de nombreuses fonctionnalités pour facilement se protéger en ligne, même pour les néophytes. Le produit est en fait encore plus qu'un VPN, grâce à Surfshark Alert et Search. Si jamais votre numéro de carte de crédit ou vos identifiants de connexion se font pirater et diffusés sur le Dark Web, Surfshark Alert vous en informera en temps réel. Search est un moteur de recherche 100% sans pubs ni trackers, pour garder votre vie privée en ligne totalement anonyme.
Au-delà de la confidentialité, Surfshark permet aussi de débloquer 15+ bibliothèques de contenu sur Netflix à travers le monde, ainsi que de nombreuses chaînes en direct, il est parfait pour les amateurs de cinéma qui ont déjà fait le tour des catalogues de service streaming français. Vous avez le goût de regarder le Seigneur des Anneaux ? Et hop, une petite connexion au serveur polonais de Surfshark, ouverte de Netflix, et c'est parti !
Surfshark est maintenant en offre promotionnelle, vous permettant des faire des économies sur un forfait de 2 ans. Un seul abonnement peut être utilisé sur un nombre illimité d'appareils sans contrôle de débit - Mac, iPhone, et Apple TV inclus.
La version 3.2 du logiciel MacOS est maintenant disponible, une grande mise à jour avec plusieurs améliorations qui rendent Surfshark le VPN incontournable sur Mac !
Pour 24 mois d’inscription :
Surfshark VPN/Adblock : 2.19€/mois + 3 mois additionnels (remise 86%)
Surfshark One/Antivirus/Alert : 2.69€/mois + 3 mois additionnels (remise 85%)
Surfshark One+ : 4.29€/mois + 3 mois additionnels (remise 79%)
Surfshark x campagne Saily :
À partir du 13 janvier, nous lançons une campagne exclusive mettant en vedette le service Saily eSIM ! Avec chaque offre de 2 ans, des Go gratuits seront inclus, le montant dépendant du niveau d'abonnement sélectionné.
Deal:
Les utilisateurs qui achèteront un forfait Surfshark 24-month obtiendront :
Free va démarrer l’année 2025 en choyant sa clientèle professionnelle. Free Pro a invité la presse à une conférence le 14 janvier. Aucun détail n’est donné, mais si les journalistes sont conviés au siège d’Iliad à Paris, c’est que l’annonce est sûrement d’importance.
Free a lancé ses formules spécialement destinées aux entreprises en 2021. L’offre fixe consiste actuellement en un accès à internet par fibre optique (7 Gbit/s en réception et 1 Gbit/s en émission) avec une Freebox Pro (Wi-Fi 6E) à 39,99 € HT/mois pendant un an, puis 49,99 € HT/mois. Elle comprend aussi un forfait mobile Free Pro 5G avec 150 Go de data en France.
Si cette offre inclut plusieurs particularités pensées pour les entreprises (deux lignes téléphoniques fixes, réseau spécial, service client dédié…), elle est en retrait par rapport aux derniers abonnements grand public en matière de débits et de Wi-Fi. Free Pro compte 70 000 organisations clientes.
Lors du CES 2025, Nanoleaf -qui s'est taillé une solide réputation sur les produits domotiques- a décidé de sortir de sa zone de confort pour présenter un appareil certes avec des LED mais légèrement différents de ses gammes actuelles : un masque facial de luminothérapie.
Le célèbre accessoiriste ESR a profité du CES 2025 pour dévoiler son Geo Digital Pencil, un stylet pour iPad qui combine des fonctionnalités avancées tout en étant à un prix vraiment abordable de 29 dollars.