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iOS 18.5 : un code Temps d'écran deviné par un enfant égale une notification pour les parents

iOS 18.5 apporte une petite nouveauté pour Temps d'écran dont on se demande pourquoi elle n'est pas arrivée plus tôt. Elle intéressera les parents qui ont bloqué, par un code PIN, l'accès aux réglages de Temps d'écran sur l'iPad ou l'iPhone de leur enfant. Si ce dernier est parvenu à deviner où dénicher le code en question, sitôt qu'il est saisi et validé, une notification sera envoyée sur les appareils des parents.

Il faudra veiller à activer les notifications pour Temps d'écran. Image MacGeneration

Il peut arriver que ce code ait été percé à jour, mais que les parents ne s'en rendent compte que tardivement, surtout s'ils ne sont pas rivés quotidiennement sur l'activité de leurs enfants avec leurs appareils Apple.

Nous avons fait un essai, mais sans succès, pas de notification, probablement parce que l'iPad sur lequel Temps d'écran est activé n'est pas encore passé au 18.5. Auquel cas il faudra des appareils tous capables d'installer cette version du système (et idem côté Mac avec macOS 15.5). Ce qui exclurait des iPhone ou iPad trop anciens. Les versions finales de ces OS devraient être lancées lundi ou mardi prochain.

iOS et iPadOS 18.5 sont arrivés en release candidate

iOS et iPadOS 18.5 sont arrivés en release candidate

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watchOS 11.5 en version RC, le lancement approche

Sans surprise après la présentation du nouveau bracelet Pride Edition hier, Apple a ce soir lancé la version Release Candidate de watchOS 11.5. C'est la dernière étape du développement : si aucun bug majeur n'est détecté dans les prochains jours, c'est cette version qui sera déployée...

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Sonos et Ikea tirent un trait sur leur collaboration dans les enceintes

Sonos et IKEA cessent leur partenariat après 6 années de commercialisation d'une gamme d'enceintes spécifique pour le géant de l'ameublement.

Il n'y aura pas de nouveau modèle signé IKEA/Sonos et les enceintes existantes seront vendues jusqu'à épuisement des stocks, a déclaré un porte-parole de Sonos à The Verge. Il a été précisé toutefois que des mises à jour logicielles seront proposées pour plusieurs années encore. Rien n'a été dit en revanche sur les raisons de l'arrêt de cette collaboration.

Sonos s'apprête à publier ses résultats trimestriels et l'entreprise s'est engagée dans une révision de ses opérations depuis la démission de son patron, Patrick Spencer, et celle d'autres cadres, tous partis après le fiasco de la refonte de l'app de commande des enceintes.

IKEA avait lancé la gamme Symfonisk à l'été 2019, ces enceintes peuvent s'intégrer dans un système Sonos et sont une option moins chère pour mettre le pied à l'étrier de cet écosystème, avec l'intérêt aussi de designs originaux. L'une des enceintes était taillée exprès pour se glisser dans les étagères Ikea tandis que l'autre se doublait d'une fonction de lampe, offrant ainsi deux usages en un.

Image IKEA.

Au fil du temps, Ikea a commercialisé des accessoires pour varier le look de la lampe et une troisième enceinte, en forme de panneau mural — toujours dans l'idée de ne pas empiéter sur un espace parfois contraint — a été lancée. Sa façade est interchangeable, Ikea en vend avec toutes sortes de motifs et des séries sortaient régulièrement.

Image IKEA.

En termes de prix, les premières enceintes étaient compétitives face aux Sonos de même positionnement (ces dernières étaient légèrement meilleures aussi sur la qualité audio) tout en proposant les mêmes possibilités de mise en réseau, de partage du son dans les pièces du foyer sans oublier la compatibilité AirPlay. Les enceintes étagère, lampe et panneau sont vendues respectivement 109 €, 179/189 € et 199 €.

Sonos a depuis revu son offre, supprimant les modèles One qui étaient les plus proches des Symfonisk en les remplaçant par les Era 100, bien plus performantes, mais avec un ticket d'entrée plus élevé (229 €). Ikea conserve d'autres enceintes à son catalogue, les Vappeby, ce sont des modèles Bluetooth uniquement, plus classiques dans leurs prestations.

La Sonos Era 100 remplace la One à 229 € (-50 €), la barre de son Ray baisse de 70 € 

La Sonos Era 100 remplace la One à 229 € (-50 €), la barre de son Ray baisse de 70 € 

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macOS 15.5 passe en version RC, sortie imminente

Apple a ce soir lancé la version Release Candidate de macOS 15.5. C'est la dernière étape du cycle de versions bêtas entamé le mois dernier : sauf bug majeur, c'est cette version qui sera déployée auprès du grand public dans le courant de la semaine prochaine. Contrairement à iOS 18.5 qui...

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watchOS 11.5 et visionOS 2.5 arrivent en release candidate

Les release candidate de watchOS 11.5 et visionOS 2.5 sont en téléchargement avant des versions finales attendues logiquement pour la semaine prochaine. Il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent avec ces deux mises à jour lors des bêtas. watchOS reçoit toutefois son cadran pride/fierté annuel qui va avec le bracelet du même nom. Lequel est actuellement en précommande.

Le nouveau cadran avec son unique complication.

Les notes de version de watchOS citent le nouveau cadran, la possibilité de confirmer un achat avec sa montre dans l'app TV d'Apple fonctionnant sur un autre appareil que l'Apple TV. Et aussi la correction d'un bug qui pouvait empêcher l'iPhone d'afficher une notification lorsque la batterie de l'Apple Watch était remplie à 100 %.

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macOS 15.5 est en release candidate

macOS 15.5 approche de la ligne d'arrivée avec la distribution d'une release candidate. On en aura peut-être une seconde si un gros bug est détecté sinon ce sera la version finale d'ici une semaine.

Ce n'est pas une mise à jour très chargée en nouveautés c'est le moins qu'on puisse dire, on avait juste observé un microchangement dans Mail. Les notes de version ne mentionnent que des correctifs qui ne sont pas détaillés et des failles de sécurité bouchées.

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iOS et iPadOS 18.5 sont arrivés en release candidate

Les iPhone et iPad recoivent iOS et iPadOS en version 18.5 release candidate. L'ultime étape avant la version finale attendue la semaine prochaine. Cette sortie est calée avec la commercialisation dans quelques jours du bracelet Pride 2025 qui est complété d'un fond d'écran et d'un cadran sur les iPhone, iPad et Apple Watch.

Nous n'avions pas relevé grand chose de très significatif dans cette mise à jour 18.5 : de menus changements dans Mail et une amélioration pour l'eSIM de Free. tvOS 18.5 est aussi quasi-finalisé avec encore moins de changements visibles

Les notes de version sont succintes :

  • A new Pride Harmony wallpaper
  • Parents now receive a notification when the Screen Time passcode is used on a child’s device
  • Buy with iPhone is available when purchasing content within the Apple TV app on a 3rd party device
  • Fixes an issue where the Apple Vision Pro app may display a black screen
  • Support for carrier-provided satellite features is available on iPhone 13 (all models). For more information visit: https://support.apple.com/122339
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Un UNO spécial Apple Arcade, ça vous tente ?

Apple Arcade continue de s’étoffer avec une nouvelle salve de titres et des mises à jour pour juin 2025. Cinq nouveaux jeux rejoignent la plateforme. Au programme : du classique revisité, des aventures pour petits et grands, et même une expérience inédite pour le Vision Pro.
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Backbone Pro : une nouvelle manette berceau plus chère, plus confortable et compatible Bluetooth

Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.

Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.

Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.

La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.

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Amazon brade l'excellent chargeur 3-en-1 MagSafe Anker à -40% !

Si vous disposez de plusieurs appareils Apple, comme un iPhone, une Apple Watch et des AirPods, les chargeurs 3-en-1 peuvent s'avérer très intéressants. Ce modèle d'Anker compatible Qi2 actuellement en promotion est de plus facile à caser dans un sac, par exemple afin de partir en vacances sans s'encombrer de plusieurs chargeurs.
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Copilot+ : Microsoft revoit sa gamme Surface et lance deux nouvelles machines à puces ARM

Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.

Le nouveau Surface Laptop.

Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.

Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.

La nouvelle Surface Pro.

Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.

La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).

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Microsoft annonce les Surface Laptop 7 et Surface Pro 11

Microsoft renouvelle ses Surface avec les Laptop 7 et Pro 11, deux modèles plus fins et plus autonomes, mais dotés de puces Snapdragon X Plus, moins puissantes que leurs prédécesseurs. Disponibles dès le 10 juin en France, ils misent beaucoup sur l’IA et sur un design revu pour séduire les utilisateurs en quête de mobilité.
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App Store : après le jugement contre Apple, l'app Kindle se met à vendre des livres

Amazon fait partie des acteurs qui profitent pleinement de la décision de justice qui a obligé Apple a desserrer son étreinte sur l'App Store aux États-Unis.

Depuis l'app Kindle pour iOS, les utilisateurs américains peuvent maintenant parcourir la librairie d'Amazon, voir les prix des ouvrages numériques, en acheter et les télécharger directement dans l'app. Un parcours tout à fait banal de prime abord sauf qu'il n'était pas possible jusqu'à présent et qu'il ne l'est toujours pas en dehors des États-Unis.

Dans la version française de l'app Kindle on ne peut que télécharger un extrait, Amazon exclut l'achat direct pour éviter les 30 % d'Apple. Image iGeneration.

Pour s'épargner la commission obligatoire d'Apple lors de l'achat d'un livre, Amazon imposait un parcours plus compliqué pour disposer d'un livre entier dans son app. On pouvait récupérer un extrait du texte — du moins pour les ouvrages qui en proposent un — et on utilisait le menu de partage pour s'envoyer le lien vers la page web du bouquin chez Amazon.

App Store : Apple change ses règles aux États-Unis et Spotify saute sur l

App Store : Apple change ses règles aux États-Unis et Spotify saute sur l'occasion

L'achat devait donc être effectué en dehors de l'app Kindle. C'est une fois seulement que le livre avait été acheté par cet autre biais qu'il pouvait être récupéré au complet dans l'app Kindle. Ces circonvolutions ont disparu de l'app Kindle américaine qui agit maintenant comme on s'y attend, en proposant un bouton dont l'intitulé — Get book — se passe d'explication.

Dans l'app Kindle. Image Amazon.

Apple ayant fait appel de la décision de justice qui a mis à bas un pan entier de son modèle économique sur l'App Store, la durée de vie de mécanisme demeure incertaine.

Apple mord la poussière face à Epic, mais ne rend pas les armes

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Tim Cook a fait gagner beaucoup d'argent à Warren Buffet qui l'en remercie chaleureusement

Tim Cook a reçu un hommage appuyé de Warren Buffet, l'un des financiers les plus respectés de ce secteur, pour la manière dont il a développé Apple et par la même occasion la valeur de son action. Buffet (94 ans) s'exprimait lors de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway dont il va quitter la direction pour ne conserver que le titre de président du conseil.

Warren Buffet cherchant Tim Cook dans le public de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway. Source CNBC

En préambule à tout autre propos sur la situation économique, Warren Buffet a partagé son admiration pour la manière dont Tim Cook — qui avait fait le déplacement à Omaha dans le Nebraska — a conduit les affaires d'Apple après le décès de Steve Jobs. Warren qui a l'aura d'un investisseur de génie (Berkshire Hathaway ne produit rien et ne fait que placer judicieusement son capital) a souligné la contribution du patron d'Apple a sa bonne fortune :

Je suis quelque part gêné de dire que Tim Cook a fait gagner à Berkshire Hathaway bien plus d'argent que je l'ai fait moi-même. J'ai brièvement connu Steve Jobs, et Steve a bien sûr fait des choses que personne d'autre n'aurait pu faire pour développer Apple. Steve a choisi Tim pour lui succéder et ce fut une vraie bonne décision. Steve comme vous le savez est mort jeune, et personne d'autre que Steve n'aurait pu créer Apple, mais il n'y a que Tim qui pouvait la développer comme il l'a fait. Donc, au nom de Berkshire Hathaway, merci Tim.

Buffet a pris soin de préciser que les seules présentations trimestrielles des résultats qu'il suivait en direct étaient celles d'Apple. Il faut dire que Berkshire Hathaway a investi des sommes colossales dans la Pomme depuis un peu moins de 10 ans, avec un pic de 908 millions de titres en 2021.

Tim Cook (debout au fond) applaudi lors de l'assemblée générale. Source CNBC.

L'été dernier, l'entreprise s'était délestée de la moitié de ses actions après une précédente vente, une manière a-t-on dit de réduire son imposition sur les plus-values. Malgré cette séparation, Berkshire Hathaway détenait pour 84 milliards de dollars d'actions. Au 31 décembre, il était le 6e investisseur institutionnel avec 300 millions de titres, pesant 2 % du capital pour une valeur de 59,6 milliards de dollars.

Quelques jours plus tôt, c'est Tim Cook qui avait rendu hommage à Buffet, qui venait d'annoncer qu'il laissait la direction de Berkshire Hathaway à l'un de ses fidèles, Greg Abel. Sur X, Cook disait lui aussi son admiration pour le financier, habituellement qualifié « d'Oracle d'Omaha », et « sa sagesse inspirante ».

There’s never been someone like Warren, and countless people, myself included, have been inspired by his wisdom. It’s been one of the great privileges of my life to know him. And there’s no question that Warren is leaving Berkshire in great hands with Greg. pic.twitter.com/7p5zXtq5hP

— Tim Cook (@tim_cook) May 3, 2025
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Cork : Apple ouvre les portes de ses laboratoires de tests à des influenceurs

Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).

Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.

La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.

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Nintendo attaque Genki pour ses accessoires Switch 2 non officiels

Nintendo poursuit Genki pour avoir utilisé ses marques sans autorisation, dans des accessoires destinés à la Switch 2
Présentés dès janvier, avant l’annonce officielle de la console, ces produits auraient créé, selon Nintendo, une confusion chez les consommateurs. Un procès s’annonce, avec des conséquences potentiellement lourdes.
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Apple se prépare (officiellement) à de possibles hausses de prix

Même si Tim Cook a tenu un discours rassurant pendant les derniers résultats, il n'a rien mentionné concernant le prix des produits et pour cause. Les premières mentions officielles d’une hausse potentielle des prix apparaissent dans les documents financiers d’Apple. Entre tensions commerciales et stratégie d’approvisionnement, Cupertino pourrait donc bientôt répercuter les surcoûts sur les consom
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OpenAI abandonne son plan pour devenir une société à but lucratif

OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».

L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.

La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».

Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.

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Comment Duolingo vise le milliard de dollars en 2025

L’application pour linguistes en quête d'apprentissage, Duolingo, est déjà leader mondial de son secteur, mais elle affiche de grandes ambitions pour 2025. Portée par des résultats financiers solides et des innovations stratégiques, l’entreprise entend révolutionner encore davantage la manière dont des millions de personnes apprennent les langues.
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Un bidouilleur intègre un PC de joueur dans un châssis de Macintosh SE

Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.

Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine a été remplacé par un modèle couleur mais reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.

Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.

Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.

Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.

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Livebox 7 : Orange envoie une mise à jour pour améliorer les connexions Wi-Fi

Orange a commencé à distribuer une mise à jour logicielle pour sa dernière Livebox 7. Cette révision immatriculée G02.R08.C03 n'est pas encore référencée sur sa page mais on nous en a transmis les notes de version qui indiquent :

Corrections de problèmes aléatoires de perte du Live sur le Décodeur TV, de fonctionnement du Wifi 5 GHz, de débit maximal à proximité de la Livebox (ex: un speedtest nPerf).

Il est également précisé qu'il faut laisser la Livebox se calibrer après l'installation de la mise à jour, pendant une bonne demi-heure :

Après le redémarrage, la Livebox 7 observe son environnement radio, note les différents canaux et largeurs de bande afin de prendre une décision de changement de configuration (généralement sous 30 mn). Un speedtest pendant cette période peut avoir un résultat en deçà des attentes voire inciter la Livebox 7 à se mettre en repli dans une configuration conservatrice avec moins de débit.

Nouvelle Livebox 7 compatible Wi-Fi 7. Image Orange.

Si vous n'avez pas encore reçu cette nouvelle version — elle a commencé à être envoyée dans la nuit — il peut être intéressant de procéder à quelques tests de vitesse autour de la box de manière à comparer avec d'éventuelles améliorations après-coup. Le sujet des performances avait cristallisé des critiques sur la décision d'Orange de ne plus prendre en charge la bande des 6 GHz — tout en se gardant la possibilité de l'activer — laquelle est efficace sur de courtes distances.

Livebox 7 Wi-Fi 7 sans 6 GHz : un retour en arrière en matière de performances ?

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Orange lance deux nouvelles Livebox Wi-Fi 7 (bibande) et revoit ses offres fibre

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