Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.
Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.
Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.
La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.
Apple veut simplifier le passage d’Android à iOS avec une mise à jour de l’app Migrer vers iOS : transferts plus rapides en USB-C, historique d’appels et mémos vocaux sont désormais pris en charge. Un pas de plus pour convaincre les utilisateurs Android de basculer vers un iPhone.
Si vous disposez de plusieurs appareils Apple, comme un iPhone, une Apple Watch et des AirPods, les chargeurs 3-en-1 peuvent s'avérer très intéressants. Ce modèle d'Anker compatible Qi2 actuellement en promotion est de plus facile à caser dans un sac, par exemple afin de partir en vacances sans s'encombrer de plusieurs chargeurs.
Je viens de vivre une expérience très désagréable avec Apple Intelligence et un mail reçu par la SNCF, et vous allez vite comprendre le problème avec ce genre de système, qui n’a clairement pas la fiabilité attendue.
C'est un duo iconique qui va débarquer dans les salles obscures cet été ! En effet, Denzel Washington et Spike Lee sont réunis dans un thriller qui promet de tenir en haleine et qui revisite un classique du cinéma japonais.
Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.
Le nouveau Surface Laptop.
Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.
Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.
La nouvelle Surface Pro.
Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.
La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).
L’UFC-Que Choisir relance la machine judiciaire contre Indexia, accusant le groupe de prélèvements abusifs persistants, même pendant son procès. L’ACPR, le régulateur des assurances, est aussi mise en cause pour sa lenteur à agir.
Microsoft renouvelle ses Surface avec les Laptop 7 et Pro 11, deux modèles plus fins et plus autonomes, mais dotés de puces Snapdragon X Plus, moins puissantes que leurs prédécesseurs. Disponibles dès le 10 juin en France, ils misent beaucoup sur l’IA et sur un design revu pour séduire les utilisateurs en quête de mobilité.
Après la majorité civile et la majorité sexuelle, la loi prévoit également la majorité numérique. Il s'agit de l'âge à partir duquel une personne physique a le contrôle de son image et de ses données personnelles.
Amazon fait partie des acteurs qui profitent pleinement de la décision de justice qui a obligé Apple a desserrer son étreinte sur l'App Store aux États-Unis.
Depuis l'app Kindle pour iOS, les utilisateurs américains peuvent maintenant parcourir la librairie d'Amazon, voir les prix des ouvrages numériques, en acheter et les télécharger directement dans l'app. Un parcours tout à fait banal de prime abord sauf qu'il n'était pas possible jusqu'à présent et qu'il ne l'est toujours pas en dehors des États-Unis.
Dans la version française de l'app Kindle on ne peut que télécharger un extrait, Amazon exclut l'achat direct pour éviter les 30 % d'Apple. Image iGeneration.
Pour s'épargner la commission obligatoire d'Apple lors de l'achat d'un livre, Amazon imposait un parcours plus compliqué pour disposer d'un livre entier dans son app. On pouvait récupérer un extrait du texte — du moins pour les ouvrages qui en proposent un — et on utilisait le menu de partage pour s'envoyer le lien vers la page web du bouquin chez Amazon.
L'achat devait donc être effectué en dehors de l'app Kindle. C'est une fois seulement que le livre avait été acheté par cet autre biais qu'il pouvait être récupéré au complet dans l'app Kindle. Ces circonvolutions ont disparu de l'app Kindle américaine qui agit maintenant comme on s'y attend, en proposant un bouton dont l'intitulé — Get book — se passe d'explication.
Dans l'app Kindle. Image Amazon.
Apple ayant fait appel de la décision de justice qui a mis à bas un pan entier de son modèle économique sur l'App Store, la durée de vie de mécanisme demeure incertaine.
Tim Cook a reçu un hommage appuyé de Warren Buffet, l'un des financiers les plus respectés de ce secteur, pour la manière dont il a développé Apple et par la même occasion la valeur de son action. Buffet (94 ans) s'exprimait lors de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway dont il va quitter la direction pour ne conserver que celle de président du conseil.
Warren Buffet cherchant Tim Cook dans le public de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway. Source CNBC
En préambule à tout autre propos sur la situation économique, Warren Buffet a partagé son admiration pour la manière dont Tim Cook — qui avait fait le déplacement à Omaha dans le Nebraska — a conduit les affaires d'Apple après le décès de Steve Jobs. Warren qui a l'aura d'un investisseur de génie (Berkshire Hathaway ne produit rien et ne fait que placer judicieusement son capital) a souligné la contribution du patron d'Apple a sa bonne fortune :
Je suis quelque part gêné de dire que Tim Cook a fait gagner à Berkshire Hathaway bien plus d'argent que je l'ai fait moi-même. J'ai brièvement connu Steve Jobs, et Steve a bien sûr fait des choses que personne d'autre n'aurait pu faire pour développer Apple. Steve a choisi Tim pour lui succéder et ce fut une vraie bonne décision. Steve comme vous le savez est mort jeune, et personne d'autre que Steve n'aurait pu créer Apple, mais il n'y a que Tim qui pouvait la développer comme il l'a fait. Donc, au nom de Berkshire Hathaway, merci Tim.
Buffet a pris soin de préciser que les seules présentations trimestrielles des résultats qu'il suivait en direct étaient celles d'Apple. Il faut dire que Berkshire Hathaway a investi des sommes colossales dans la Pomme depuis un peu moins de 10 ans, avec un pic de 908 millions de titres en 2021.
Tim Cook (debout au fond) applaudi lors de l'assemblée générale. Source CNBC.
L'été dernier, l'entreprise s'était délestée de la moitié de ses actions après une précédente vente, une manière a-t'on dit de réduire son imposition sur les plus-values. Malgré cette séparation, Berkshire Hathaway détenait pour 84 milliards de dollars d'actions. Au 31 décembre, il était le 6e investisseur institutionnel avec 300 millions de titres, pesant 2 % du capital pour une valeur de 59,6 milliards de dollars.
Quelques jours plus tôt, c'est Tim Cook qui avait rendu hommage à Buffet, qui venait d'annoncer qu'il laissait la direction de Berkshire Hathaway à l'un de ses fidèles, Greg Abel. Sur X, Cook disait lui aussi son admiration pour le financier, habituellement qualifié « d'Oracle d'Omaha », et « sa sagesse inspirante ».
There’s never been someone like Warren, and countless people, myself included, have been inspired by his wisdom. It’s been one of the great privileges of my life to know him. And there’s no question that Warren is leaving Berkshire in great hands with Greg. pic.twitter.com/7p5zXtq5hP
Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).
Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.
La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.
Les AirPods Pro 2 USB-C sont les derniers modèles en date et certainement les meilleurs écouteurs sans fil que vous puissiez vous offrir si vous avez opté pour l'écosystème Apple. Une promotion permet aujourd'hui d'en profiter au meilleur tarif.
Google a publié par erreur un article détaillant « Material 3 Expressive », sa nouvelle approche visuelle pour Android. Objectif : rendre les interfaces plus visibles, plus agréables et moins ennuyeuses, après trois ans de recherche et des choix plus marqués côté design.
Apple accélère sa vaste opération de délocalisation de ses sites en dehors de la Chine. En effet, il n'y a pas que les iPhone qui sont visés par de potentielles taxes renforcées. Ainsi c'est un deuxième site de production d'AirPods qui va bientôt voir le jour en Inde.
Nintendo poursuit Genki pour avoir utilisé ses marques sans autorisation, dans des accessoires destinés à la Switch 2 Présentés dès janvier, avant l’annonce officielle de la console, ces produits auraient créé, selon Nintendo, une confusion chez les consommateurs. Un procès s’annonce, avec des conséquences potentiellement lourdes.
Même si Tim Cook a tenu un discours rassurant pendant les derniers résultats, il n'a rien mentionné concernant le prix des produits et pour cause. Les premières mentions officielles d’une hausse potentielle des prix apparaissent dans les documents financiers d’Apple. Entre tensions commerciales et stratégie d’approvisionnement, Cupertino pourrait donc bientôt répercuter les surcoûts sur les consom
Pour ses 50 ans, Buffalo dévoile un disque dur externe franchement rigolo : une édition limitée à 50 exemplaires avec une fenêtre transparente, qui met en scène le mouvement des plateaux et du bras de lecture. Disponible uniquement au Japon, ce modèle cible clairement les passionnés de tech vintage.
OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».
L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.
La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».
Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.
Xiaomi fait marche arrière : le SU7 Ultra retrouve sa pleine puissance de 1 548 chevaux, après une mise à jour logicielle controversée qui limitait les performances du véhicule. Les propriétaires du véhicule en avaient visiblement assez de se traîner avec seulement 900 chevaux…
Si vous êtes à la recherche du robot aspirateur ultime, ce modèle de Roborock, actuel leader du marché, devrait répondre à vos attentes. Une promotion permet actuellement de profiter d'une belle ristourne et donc d'un meilleur rapport qualité/prix.
L’application pour linguistes en quête d'apprentissage, Duolingo, est déjà leader mondial de son secteur, mais elle affiche de grandes ambitions pour 2025. Portée par des résultats financiers solides et des innovations stratégiques, l’entreprise entend révolutionner encore davantage la manière dont des millions de personnes apprennent les langues.
Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.
Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.
Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.
Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.
Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.
Orange a commencé à distribuer une mise à jour logicielle pour sa dernière Livebox 7. Cette révision immatriculée G02.R08.C03 n'est pas encore référencée sur sa page mais on nous en a transmis les notes de version qui indiquent :
Corrections de problèmes aléatoires de perte du Live sur le Décodeur TV, de fonctionnement du Wifi 5 GHz, de débit maximal à proximité de la Livebox (ex: un speedtest nPerf).
Il est également précisé qu'il faut laisser la Libvebox se calibrer après l'installation de la mise à jour, pendant une bonne demi-heure :
Après le redémarrage, la Livebox 7 observe son environnement radio, note les différents canaux et largeurs de bande afin de prendre une décision de changement de configuration (généralement sous 30 mn). Un speedtest pendant cette période peut avoir un résultat en deçà des attentes voire inciter la Livebox 7 à se mettre en repli dans une configuration conservatrice avec moins de débit.
Nouvelle Livebox 7 compatible Wi-Fi 7. Image Orange.
Si vous n'avez pas encore reçu cette nouvelle version — elle a commencé à être envoyée dans la nuit — il peut être intéressant de procéder à quelques tests de vitesse autour de la box de manière à comparer avec d'éventuelles améliorations après-coup. Le sujet des performances avait cristallisé des critiques sur la décision d'Orange de ne plus prendre en charge la bande des 6 GHz — tout en se gardant la possibilité de l'activer — laquelle est efficace sur de courtes distances.
Mr. Deepfakes, plateforme centrale de la création et de la diffusion de vidéos pornographiques générées par IA sans consentement, ferme définitivement ses portes. La déconnexion brutale d’un prestataire critique du site aurait provoqué la perte des données et rendu toute relance impossible. Une bonne nouvelle, mais qui ne résout pas le problème de fond.
Si vous êtes tenté par les nouveaux MacBook Pro dotés des puces M4, M4 Pro et M4 Max, c'est peut-être le moment de craquer grâce à une promotion permettant d'économiser au minimum une centaine d'euros et bien plus sur certaines configurations.
Dans une vidéo publiée via son nouveau podcast, Eric Migicovsky montre pour la première fois la Core 2 Duo en fonctionnement. Si le design semble prêt, le logiciel est encore loin d’être finalisé à deux mois de sa sortie annoncée.
Si l'essentiel du développement des produits d'Apple se fait au siège d'Apple à Cupertino, l'entreprise réalise de nombreux tests de fiabilité sur son campus irlandais de Cork, où se situe son siège européen. Chose rare, Apple a entrouvert les portes de deux laboratoires à certains...
Forcée d'ouvrir Apple Pay à la concurrence au sein de l'Union européenne, Apple va bientôt faire face à la concurrence de PayPal. L'entreprise américaine vient d'annoncer le lancement cet été en Allemagne d'une offre de paiement reposant sur la puce NFC de l'iPhone, par le biais du réseau...
Folder Preview comble une lacune de Quick Look dans macOS en permettant de voir le contenu d'un dossier sans l'ouvrir, comme on le fait pour la prévisualisation du contenu d'un document.
Ce petit utilitaire vendu 1,99 € sur le Mac App Store ajoute les dossiers aux éléments dont on peut avoir un aperçu du contenu par un simple appui sur la barre d'espacement (ou par le raccourci Cmd + Y). Apple n'a en effet jamais pris en charge les dossiers pour Quick Look, peut-être en considérant que cela fait double-emploi avec une simple ouverture dans le Finder. On peut utiliser Quick Look sur un dossier, mais on n'obtient qu'une vue agrandie de son icône, rien de plus.
Quick Look sur un dossier avec Folder Preview. Image MacGeneration.
Pourtant un Quick Look sur un dossier peut avoir un intérêt pour éviter d'avoir à ouvrir un dossier pour rien et autres manipulations qu'un coup sur la barre d'espacement remplace avantageusement.
Après l'installation de l'app, la prévisualisation fonctionne immédiatement, mais pour qu'elle soit plus étendue — par exemple avec les dossiers dans les boites de dialogue d'ouverture de fichiers — allez dans Réglages Système > Général > Ouverture et extensions > Coup d'œil puis activez Folder Preview.
Images MacGeneration.Quick Look sur un dossier dans une boite de dialogue.
L'app a même quelques réglages pour afficher le contenu d'un dossier zippé, pour ouvrir automatiquement les sous-dossiers (dans la limite de 7 niveaux), pour montrer les éléments cachés ou encore pour agrandir l'affichage.
Quelques réglages utiles. Images MacGeneration.À droite on a activé l'option pour développer les sous-dossiers dans la prévisualisation.
Folder Preview a quelques limitations inhérentes à Quick Look, c'est un outil de prévisualisation, on ne va pas naviguer dans une hiérarchie de sous-dossiers ni ouvrir un élément depuis cette vue. Cela reste l'apanage du Finder, mais même dans ce cadre, Folder Preview reste un utilitaire pratique et l'auteur en a amélioré les performances avec cette version 1.6.
La sympathique enceinte Bose SoundLink Flex de deuxième génération est en promo ce matin. Amazon la propose pour 119,99 €, contre un prix public conseillé de 179,95 €. Cela représente donc 33 % de ristourne sur cette enceinte Bluetooth qui n’est disponible à ce prix là qu’en coloris noir.
Image Bose
Bose promet une autonomie allant jusqu’à 12 heures et un indice de protection IP67, ce qui la rend résistante à l’eau et à la poussière. Une technologie maison détecte l’inclinaison de l’enceinte afin d’ajuster le son en conséquence. La connexion multipoint est au programme, tout comme un micro intégré pour passer des coups de fil en kit mains libres. Un mode stéréo permet d’en jumeler deux pour les clients équipés.
En ajoutant 10 € de plus, vous pourrez vous tourner vers la récente Beats Pill qui perd actuellement 24 % de son prix chez Amazon. Celle-ci tient plus de 20 heures et a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. Nous recommandons également la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay mais dont le tarif est bien moins abordable (199 €).
Désormais acteur bien installé dans le monde du streaming, Apple TV+ a pourtant connu des débuts difficiles, attirant un mélange de curiosité et de scepticisme. De nombreuses rumeurs prédisaient une micro-gestion étouffante des créateurs par les dirigeants d’Apple -notamment Tim Cook.
Malgré leurs progrès en logique, les nouveaux modèles d’IA générative multiplient les erreurs avec le temps. Selon une enquête du New York Times, les hallucinations sont un problème majeur, croissant, que même les créateurs peinent à contrôler.
Le créateur de la Pebble Eric Migicovsky ne chôme pas depuis le début de l’année. En plus de travailler à ressusciter sa fameuse montre à écran E Ink, le bidouilleur vient de lancer un podcast habilement nommé Tick Talk. Il a profité du premier épisode pour donner des détails sur l’avancée de son projet, évoquant de nouvelles idées de fonctions et proposant même un premier aperçu vidéo de la future Core 2 Duo.
Image Eric Migicovsky via YouTube
On peut y découvrir une nouvelle montre tournant sur PebbleOS fonctionnant déjà avec une multitude de cadrans. Le bracelet est visiblement assez basique et similaire au bracelet Sport de l’Apple Watch. Le chargeur magnétique propriétaire est quasi identique à celui créé il y a 10 ans. Le produit reste assez sommaire, et il travaille toujours sur de nombreuses fonctions basiques comme les vibrations ou le rétroéclairage. D’autres n’ont pas encore été activées, comme le fait… de donner l’heure.
Eric Migicovsky a de la suite dans les idées et voudrait ajouter une intégration à Beeper, son application permettant d’utiliser différentes messageries. Les nouvelles montres embarquant un micro et un haut-parleur, il envisage également d’intégrer une manière de papoter avec les tchatbots IA. Le DMA devrait améliorer la compatibilité avec l’iPhone, permettant par exemple de répondre à un message en dictant une réponse directement à sa Pebble.
Le sujet des droits de douane américains a aussi été évoqué, Donald Trump ayant mis en place de nouvelles taxes sur les produits provenant de Chine alors que la montre est fabriquée à Shenzhen. De tels produits sont pour le moment soumis à une taxe de 27,5 %, ce qui pourrait faire gonfler le prix des accessoires de 10 à 25 dollars. Les clients en dehors des États-Unis ne seront logiquement pas touchés par ces frais.
Les choses vont accélérer dans les prochains mois : Eric Migicovsky a dans l’idée de lancer deux montres avant la fin 2025. La « Core 2 Duo » vue ci-dessus ressemble énormément à une Pebble 2, tandis que la « Core Time 2 » sera une version plus avancée avec un écran couleur. La première devrait arriver entre les mains des premiers clients début juillet, et la seconde d’ici décembre.
Apple Intelligence serait enfin lancé en Chine avec iOS 18.6 (et sans doute macOS 15.6) cet été, affirme Mark Gurman sur Bloomberg. Ce lancement tardif est dû aux régulations locales, qui imposent l'utilisation de grands modèles de langage pré-approuvés conçus par des entreprises chinoises....
Le premier iPhone pliant ferait partie de la gamme d'iPhone 18 prévue pour l'année prochaine, et le lancement serait prévu pour septembre 2026. Mark Gurman confirme une nouvelle fois cette persistante rumeur sur Bloomberg, mais précise que la grande complexité du design prévu par Apple...
PayPal s'attaque à l'Europe ! La firme vient d'annoncer le lancement du paiement sans contact (tap-to-pay) via l'iPhone, directement avec leur compte PayPal. Le premier pays européen à en bénéficier. En effet, elle profite de la loi européenne sur les marchés numériques (DMA), qui a contraint Apple à ouvrir la puce NFC de l'iPhone aux applications tierces.
Frigate, l’enregistreur vidéo en réseau (NVR) open-source, continue de s’améliorer à bon rythme et la version 0.16 proposée en bêta depuis peu est une grosse mise à jour, avec deux nouveautés majeures. Cette app à installer sur son propre serveur (un Raspberry Pi, un Mini PC, un NAS…) était déjà capable de distinguer les différents types de mouvements pour ne conserver que les images de personnes, voitures ou encore de chats parmi toutes celles transmises par des caméras. Désormais, elle peut aussi analyser les visages pour effectuer une reconnaissance faciale et lire les plaques d’immatriculation pour différencier les véhicules.
La reconnaissance faciale en action : ici, j’interroge la base de données de Frigate pour n’afficher que les enregistrements de moi-même. Image iGeneration.Ici, c’est l’identification de véhicules qui est exploitée et Frigate sort bien les photos de ma voiture, identifiée par sa plaque. Image iGeneration.
Ces deux nouvelles fonctionnalités doivent être activées dans les réglages de Frigate ou via son fichier de configuration. L’identification repose à chaque fois sur des modèles spécialisés qui vont agir après l’identification principale. Concrètement, si un véhicule est repéré sur une caméra, le modèle dédié aux plaques va ensuite s’activer pour trouver la plaque et appliquer une reconnaissance optique des caractères (OCR) pour y lire les lettres et chiffres. Vous aurez une liste de plaques identifiées dans la base de données de Frigate et vous pourrez les associer à une voiture, ce qui permet ensuite de faire des recherches en utilisant ce critère plutôt que le numéro de plaque.
Pour la reconnaissance faciale, Frigate doit d’abord repérer une personne, puis identifier son visage. Le fonctionnement est alors similaire à celui de Photos d’Apple, notamment : une section affiche tous les visages identifiés et ils seront tous inconnus au départ, avant que vous les associiez à des personnes. Cette base de connaissance va permettre à l’app de reconnaître correctement les personnes sur les images, avec une rapidité et une efficacité qui m’ont surprises. J’ai activé la reconnaissance faciale dimanche et après avoir entraîné le modèle pour les deux personnes de mon foyer à partir des images collectées dans la matinée du lundi, l’identification était déjà excellente en fin de journée.
Association en cours des visages identifiés : Frigate suggère parfois des noms avec un score de confidence, vous devrez confirmer les visages correctement reconnus et aider le système en ajoutant ceux qui sont inconnus. Image iGeneration.Frigate conserve les images confirmées en stock pour alimenter son modèle de reconnaissance faciale et il est toujours possible d’en retirer en cas d’erreur. On peut aussi lui soumettre des photos prises par ailleurs, même si ce n’est pas vraiment utile. Image iGeneration.
J’utilise le petit modèle, le seul qui tourne correctement sur mon matériel, mais Frigate propose aussi un modèle plus sophistiqué pour ceux qui ont une carte graphique puissante sous la main. Précision importante, l’identification des visages et plaques d’immatriculation ne tourne pas sur le TPU Coral conçu par Google et que j’utilise pour l’identification des mouvements. Si les nouveaux modèles tournent toujours en local, ils tourneront au pire grâce au CPU, au mieux sur le GPU. Mon Mini PC qui héberge Frigate est équipé d’un processeur Intel N100 assez modeste (4 cœurs de 12e génération jusqu’à 3,4 GHz) et je n’ai pas noté de baisse notable des performances en activant les nouveautés.
En plus de la possibilité de filtrer les images stockées dans l’historique, l’intérêt d’un tel travail d’identification des personnes et véhicules est évidemment à chercher du côté de l’automatisation. L’intégration à Home Assistant fournie par Frigate tient compte de la nouveauté et ajoute deux entités aux caméras pour remonter la dernière personne identifiée et la dernière plaque d’immatriculation repérée. On peut ainsi envisager des automatisations basées sur ce critère, par exemple pour ouvrir automatiquement une porte de garage si la bonne plaque est lue. Après un premier essai, Frigate semble identifier ma voiture très tôt, ce qui est encourageant pour une bonne expérience, mais je vais prendre le temps de valider l’idée sur la durée avant de créer des automatisations.
La plaque d’immatriculation est encore illisible pour un humain, ce qui n’empêche pas l’ordinateur d’avoir déjà identifié le véhicule et correctement reconnu la plaque, alors que la voiture est à la limite haute de cette caméra. Image iGeneration.
Dans la longue liste de changements avec la version 0.16, on repère aussi la traduction, déjà disponible en français, alors que Frigate était jusque-là uniquement proposée en anglais. Il y a d’autres fonctionnalités encore, comme une identification des oiseaux pour les ornithologues en herbe ou encore l’estimation de la vitesse des objets qui passent à travers une zone. Plusieurs changements peuvent nécessiter de toucher à sa configuration, comme le détaillent les notes de version, alors mieux vaut faire une sauvegarde complète en amont.
Frigate est un programme open-source et gratuit, à installer sur votre propre matériel en suivant la documentation (en anglais). On peut l’associer à Frigate+, un service sur abonnement (50 $ HT par an, soit environ 53 €) qui permet surtout d’accéder à des modèles plus précis pour analyser les images et, par exemple, distinguer les logos sur les camionnettes des livreurs ou les colis identifiés par les caméras. Frigate+ permet aussi d’améliorer les modèles spécifiquement selon ses besoins, en envoyant des corrections lors de mauvaises identifications. Cela dit, j’utilise l’app gratuitement depuis plus d’un an et en comparaison des NVR commerciaux, on obtient beaucoup de fonctionnalités sans payer.
Apple a officiellement fait appel de la décision qui l’oblige à assouplir les règles de l’App Store et à permettre aux développeurs de proposer des liens vers des paiements externes. Malgré sa contestation, la firme a déjà dû appliquer les changements exigés par le tribunal, bouleversant le modèle économique de son écosystème mobile.