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La faille ayant mis SharePoint à terre viendrait d’un partenaire de sécurité informatique de Microsoft
Il y a trois jours, Microsoft a vécu une attaque massive de ses serveurs SharePoint, menant à un petit vent de panique chez les entreprises utilisant ce système. Selon Bloomberg, la fuite ne viendrait pas de très loin.

Après avoir comblé la faille, Microsoft tente de comprendre d’où est venue l’attaque. Il faut dire qu’elle a fait des dégâts, menant à la compromission de 400 agences gouvernementales et entreprises privées, dont l’US National Nuclear Security Administration, responsable de l’entretien des missiles nucléaires américains. Et une coïncidence étrange est apparue.
Microsoft entretient depuis 17 ans le programme MAPP (Microsoft Active Protection Program), qui permet à des partenaires triés sur le volet de recevoir en avance les contenus des patchs de sécurité déployés par l’entreprise, généralement 24 heures à l’avance.
La faille, dévoilée à Microsoft par le chercheur Dinh Ho Anh Khoa durant le Pawn2Own de Berlin, au mois de mai, a nécessité 60 jours à Microsoft pour la combler, et n’avait jusque là pas été utilisée. Or, le programme MAPP a annoncé aux entreprises partenaires le contenu du patch 24h à l’avance... pile poil le moment où cette faille a été exploitée, et a permis l’intrusion sur des centaines de serveurs SharePoint de par le monde.
Ce n’est pas la première fois que le programme est mis en cause : déjà en 2012, Microsoft a accusé Hangzhou DPTech d’avoir laissé fuiter les informations reçues, permettant l’exploitation d’une faille. En 2021 encore, l’entreprise a suspecté deux entreprises chinoises d’avoir donné la faille au groupe Hafnium, permettant l’intrusion dans des dizaines de milliers de serveurs Exchange, dont ceux de l’European Banking Authority ou encore le parlement Norvégien.
Et cette fois encore, la Chine serait l’origine de la fuite, utilisée par les groupes Linen Typhoon et Violet Typhoon, sponsorisés par le gouvernement chinois. Bien entendu, le gouvernement chinois par l’intermédiaire de son ambassade aux USA dément tout lien avec l’affaire, mais quoi qu’il en soit, le mal est fait. Il semble toutefois que certaines entreprises partenaires du programme aient quelques conflits d’intérêts, étant à la fois membre participant et partie prenante du programme de recherche de failles du gouvernement chinois.
Si Microsoft serre la vis à chaque fois, et expurge la liste des bénéficiaires malhonnêtes, il semble que ça ne soit toujours pas suffisant, et que le programme puisse être stoppé suite à cette troisième fuite.
Une nouvelle beta d’iOS 26 spécifique aux iPhone 11
Apple a envoyé ce soir une nouvelle version de la beta d’iOS 26, à la fois pour les développeurs et le grand public, spécifiquement pour les iPhone 11.

La beta est numérotée 23A5297n, différente de la 23A5297m destinée aux autres iPhone. Apple communique la raison de cette nouvelle version :
Corrigé : sur iPhone 11, si vous avez organisé vos Apps en dossiers sur l’écran d’accueil, vous pouviez voir uniquement la colonne la plus à gauche s’afficher quand vous ouvriez un dossier. Les autres colonnes n’affichaient pas les icônes, empêchant l’utilisateur de lancer ces Apps.
Blender, le logiciel de 3D gratuit, arrivera sur iPad Pro
Mode difficile ? Un joueur remporte le dernier niveau de Genshin Impact sur une Apple Watch Ultra
Une partie de Doom sur un smartphone Android ? Trop simple, facile. Que diriez-vous plutôt de réussir le dernier niveau de Genshin Impact sur... une Apple Watch Ultra ?
アップルウォッチで12層星9 #原神 https://t.co/GKDD4W60w8 pic.twitter.com/cxPbtZQTep
— 原神ミームJP (@genshin_meme_jp) July 24, 2025
C’est inutile, certes. Mais le tour de force est là : alors que nombre de joueurs pourtant sur des PC dignes de véritables monstres de course trouvent le niveau 12 du jeu extrêmement difficile, un utilisateur chinois du jeu a réussi à obtenir la note maximale, 9, en utilisant son Apple Watch Ultra comme manette et écran. Comme le rappelle EGW, le jeu n’est pas disponible de manière native sur la montre connectée de la pomme, et doit donc être envoyé depuis un Mac ou un iPhone, pour pouvoir être joué sur la montre.
Comme dit la maxime, « il n’y a pas de mauvais outils, il n’y a que de mauvais ouvriers »...
Intel prévoit la suppression de 15 % de ses effectifs, et annule les projets en Europe
Intel est dans une mauvaise passe, et tente de remonter la pente... et comme diraient les Inconnus, bien entendu, « Une entreprise, c’est comme une montgolfière, pour pouvoir monter, il faut savoir lâcher du lest »...

Comme le rapporte Next.ink, il semble qu’Intel ait fait sienne cette maxime : le CEO du groupe, Lip-Bu Tan, a annoncé que l’entreprise se délesterait de 15 % de ses employés d’ici la fin de l’année, soit tout de même la bagatelle 26 000 personnes en moins. La firme avait déjà annoncé avoir réussi à réduire de 50 % le nombre de « niveaux hiérarchiques » dans l’entreprise au cours du deuxième trimestre, et vouloir optimiser l’efficacité tout en ramenant les employés au bureau.

Intel, de tempêtes en naufrage
Le but, si l’on en croit le CEO, est de redevenir une entreprise agile, afin d’innover plus rapidement et efficacement. Cependant, l’entreprise recentre aussi ses affaires sur les USA, aux dépends de l’Europe : deux projets signés en 2023, l’un portant sur deux usines à Magdebourg, en Allemagne, pour une valeur de 30 milliards d’euros (dont un tiers sous forme de subventions allemandes) et l’autre sur une installation d’assemblage et de test en Pologne, pour 4,6 milliards d’euros, sont purement et simplement annulés.
Sans vouloir défendre Intel, il faut avouer que l’entreprise a connu quelques difficultés, et rame toujours pour rattraper AMD. Les hommes en bleus comptent sur leur prochain procédé, l’Intel 14A, pour renouveler avec la fabrication de processeurs, après l’humiliation récente qui a poussé Intel à faire fondre ses CPU par TSMC.
Pour se refaire la cerise, Intel prévoit de miser principalement sur l’IA et sur le x86, avec un retour prochain de l’HyperThreading. Dans tous les cas, l’entreprise a stabilisé ses revenus avec un chiffre d’affaires à 12,9 milliards de dollars au second trimestre 2025, mais va devoir remonter encore pour souffler, ayant accusé dans le même temps 2,9 milliards de dollars de pertes.
L'application Spotify arrive (enfin !) sur les casques Meta Quest
Le terminal d'Android va pouvoir lancer des applications graphiques, comme Doom
Il y a quelques mois, Google a ajouté une drôle de fonction dans ses smartphones : un terminal. L'app Terminal Linux permet de virtualiser une distribution GNU/Linux, pour effectuer quelques tâches en ligne de commande, mais elle a un défaut : elle ne fonctionne justement qu'en ligne de commande (plus exactement uniquement en mode texte). Dans une version de développement d'Android (dans le canal Canary, qui est une version de test que l'on peut comparer à une version alpha), ce point a changé : le terminal est capable de lancer des applications graphiques. Et bien évidemment, c'est Doom qui a été testé.
Cette fonction n'est pas uniquement un jouet pour les administrateurs système ou les geeks nostalgiques des années 80 : la machine virtuelle déployée va permettre de lancer des applications pensées pour GNU/Linux et fait probablement partie du grand plan de Google, qui est de fusionner Android et Chrome OS. Une des raisons de la présence du terminal vient probablement du fait que ChromeOS repose sur un noyau Linux, ce qui devrait changer. Android Authority explique comment lancer des applications graphiques prévues pour GNU/Linux, même si pour le moment c'est tout de même assez fruste : il faut lancer certaines commandes manuellement et activer l'accélération graphique, absente par défaut. L'ensemble se base évidemment sur une implémentation spécifique de Wayland : X11 est en voie de disparition.

Du côté d'Apple, si certaines innovations d'Android se retrouvent parfois sous iOS, ce n'est probablement pas le cas de celle-ci. Dans le meilleur des cas, iPadOS recevra peut-être un jour un terminal (à la manière de macOS) pour les développeurs, mais les utilisateurs d'iPhone, eux, n'en verront probablement jamais la couleur1.

ChromeOS va bientôt fusionner avec Android
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En blanc sur fond noir. ↩︎
Promo : des AirTags au format carte à 17 € et des protections Belkin à 10 €
Les AirTags et leurs accessoires sont pratiques toute l'année, mais ils peuvent se rendre particulièrement utiles en période estivale.
Amazon semble vouloir se caler sur un bon prix de promo pour la balise d'Apple. Le lot de 4 est à 94 € au lieu de 129 € sur l'Apple Store. Vous trouverez ce tarif aussi à la Fnac. Les deux enseignes se marquent à la culotte pour l'AirTag unitaire vendu 28,16 € chez Amazon et 29,99 € en face contre 39 € sur l'Apple Store (qui offre la personnalisation par une gravure gratuite, c'est le seul bonus).

Le format carte bancaire pour les balises compatibles Localiser s'est peu à peu répandu, il se glisse plus facilement partout et surtout dans un portefeuille. La carte FineTrack Slim Smart d'Ugreen en fait partie et contrairement à d'autres sa batterie intégrée est rechargeable.

Il faut juste ne pas égarer le câble USB fourni qui comporte un petit connecteur spécifique pour faire contact avec la carte. Elle est vendue actuellement 17,99 € au lieu de 30 € récemment.

Test des traqueurs Ugreen FineTrack : moins chers que les AirTags, mais…
Enfin, Belkin fait une promo sur ses anneaux de protection d'AirTags. L'accessoire est sans fioritures, mais solide et muni d'une dragonne. Amazon vend les deux coloris bleu et rose à 9,99 € au lieu de 13,99 € pour les autres. C'est un modèle qui a été sélectionné par Apple pour son store.

La supercar chinoise qui saute au-dessus des obstacles
Intel abandonne ses mégaprojets en Europe
Amazon brade le nouveau MacBook Air M4 à -13% : parfait pour la rentrée !
L’App Store s’enrichit de nouvelles catégories d'âge
Apple a commencé à prévenir les développeurs qu’il y allait y avoir du changement dans la classification par âge des apps sur l’App Store. Le système va être mis à jour pour afficher des limites d’âge plus élevées dans de nombreux pays : les catégories 13+, 16+ et 18+ vont s’ajouter aux catégories 4+ et 9+ existantes. Elles pourront varier selon les régions et législations.

Apple ajoute que certaines applications ont déjà été automatiquement glissées dans ces nouvelles catégories. La Pomme a pris sa décision en se basant sur un précédent questionnaire envoyé aux développeurs, qui pourront toujours réajuster la limite d’âge à la hausse par la suite. Le changement ne se remarque pour le moment que sur les bêtas des futurs systèmes, à savoir macOS, iOS, iPadOS 26 et compagnie.
De plus, les développeurs ont jusqu’au 31 janvier 2026 pour répondre à un nouveau questionnaire sur App Store Connect. Ils devront y indiquer si leur app aborde des thèmes violents, le bien-être ou des sujets médicaux. La gestion des contrôles in-app devra également être précisée. Rappelons que la France dispose depuis iOS 18 d’une catégorie « +18 » imposée par l’Agence Nationale des Fréquences.
Ces nouveautés arrivent alors qu’iOS et macOS 26 vont inaugurer de nouveaux outils liés au contrôle parental. Une app pourra demander la tranche d'âge de l'utilisateur et fournir un contenu adapté en conséquence. Dans Messages, un enfant devra demander l'autorisation à ses parents avant de discuter avec une personne dont le numéro de téléphone ne fait pas partie de ses contacts.
Google teste une nouvelle présentation des résultats de recherche, organisée par l'IA
JP Morgan ne se fait pas (trop) d'illusion sur l'iPhone 17 !
Promo : jusqu’à 41 % de remise sur d’élégants bracelets Fossil
Si vous cherchez un bracelet habillé pour votre Apple Watch, c’est le moment de craquer. Amazon propose aujourd’hui de grosses remises sur les modèles de Fossil en cuir ou en acier inoxydable. Les ristournes vont de 24 % à 41 % selon les finitions. Le modèle en acier noir est à 36,60 €, celui en acier gris foncé à 40,70 € et un autre en cuir brun tombe à 44,07 €.

Le site indique que ces modèles sont compatibles avec les boîtiers 42/44/45 mm. Les deux bracelets en acier ont une boucle en maille avec un système de sécurité, ce qui offre un bon compromis entre élégance et maintien. Celui en cuir à un style plus traditionnel avec une boucle ardillon. Les trois sont vendus et expédiés par Amazon.
En comparaison, le bracelet milanais d’Apple est facturé 99 €. La Pomme a arrêté le cuir et propose désormais des modèles en tissage fin, dont les tarifs oscillent entre 99 et 149 €. Cette promotion est donc une bonne affaire pour habiller sa montre sans trop casser sa tirelire.
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Apple revoit le système d’âge de l’App Store avec de nouvelles tranches 13+, 16+ et 18+
Il faudra aller à Osaka pour bénéficier de ces ateliers Apple Intelligence
Avec Opal, Google veut permettre à n’importe qui de créer une app
Google continue de lancer des fonctions d’IA et propose depuis peu Opal, un système de code assisté pour créer de petites applications sans avoir à mettre les mains dans le cambouis. Le projet est disponible en bêta publique aux États-Unis via le Google Labs, laboratoire d’essai des fonctions expérimentales de Mountain View.
Sur le principe, Opal permet de créer une app à partir de 0 ou bien d'en modifier une piochée dans un catalogue. L’utilisateur n’a plus qu’à demander ce qu’il veut avant que les différents modèles de Google ne fassent le boulot. Il est ensuite possible de voir les actions effectuées et de revenir sur les différentes étapes de la génération.
Tout passe par une interface visuelle pensée pour être abordable, même aux moins technophiles. Les différents éléments peuvent être modifiés à la volée, les apps créées pouvant ensuite être publiées et partagées facilement. On attend maintenant de voir si le concept sortira un jour en version publique, et si Google le déploiera en France.
Apple s'offre un Prison Break sauvage (avec un crash aérien en Alaska)
Les puces « Made in USA » de TSMC sont plus onéreuses : quelles conséquences pour Apple ?
Depuis quelques mois maintenant, TSMC produit des puces aux États-Unis, dans une usine en Arizona. Mais si les rendements sont a priori équivalents à ceux des usines taïwanaises, une question se pose tout de même : le coût des wafers et donc directement celui des puces.

Dans la fabrication de puces, l'unité de base est ce qu'on appelle un wafer. Il s'agit d'une galette de silicium circulaire sur laquelle les puces sont gravées. Le coût du wafer est fixe, et donc celui des puces dépend directement du prix de ce dernier, avec généralement deux variables à prendre en compte. La première est la taille de la puce : le wafer a une taille fixe, mais pas les puces. On peut donc produire plus de petites puces (par exemple une puce A16) que de grandes puces (M2 Max) sur la même surface. La seconde variable est le rendement de la production, qui est généralement un pourcentage. Il peut être de 60 %, 75 %, 95 %, etc. C'est le nombre de puces utilisables sur un wafer. Le rendement dépend de l'usine, de l'âge du processus (avec le temps, il est possible d'optimiser la production et donc d'augmenter le rendement) mais aussi encore une fois de la taille de la puce. Statistiquement, à nombre de défauts identiques, vous perdrez plus de grandes puces que de petites puces, ce qui explique d'ailleurs la mise en place du chip binning.

Le chip binning, c'est bien plus que de vous vendre des puces défectueuses
Revenons à l'usine de TSMC, donc. La production américaine est en N4, c'est-à-dire le 4 nm des puces M2, et Apple — selon des rumeurs — aurait récupéré des puces « Made in USA ». Mais il y a un bémol : les puces américaines sont plus onéreuses. Rien n'est officiel, encore une fois, mais la patronne d'AMD (Lisa Su) a indiqué sans trop se mouiller dans un événement que le surcoût est supérieur à 5 % mais inférieur à 20 %. Un surcoût qui ne semble pas être un problème pour AMD : entre l'avantage marketing d'avoir des puces américaines et le fait d'avoir un approvisionnement qui ne dépend pas de Taiwan directement, Lisa Su considère que c'est un compromis acceptable.

Pour Apple, la question peut par contre se poser. Premièrement, la société n'a pas tendance à réduire ses marges, et un surcoût sur une puce peut donc se répercuter sur la facture finale, même si le prix de la fabrication de la puce elle-même est probablement une fraction du prix d'un produit fini. Ensuite, le fait que TSMC ne produise que du N4 en Arizona est un problème : les dernières puces Apple (M3, M4, A17 Pro, A18) sont gravées en N3E ou N3B, deux processus plus modernes. Si Apple produit certains de ses Mac aux États-Unis (comme le Mac Pro, en partie), il semble donc difficile d'imaginer que la société mette en avant des puces Made in USA en l'état… sauf peut-être si la société commence par des appareils qui intègrent des composants moins récents, comme l'Apple TV, ou si le procédé suffit pour des puces annexes. Il est aussi possible d'imaginer des AirPods Pro 3 avec une puce H3 ou des montres avec une puce S11 en 4 nm, mais probablement pas des Mac, des iPhone ou des iPad.
Starlink : une panne mondiale de 2h30, Elon Musk s'excuse
OpenAI : GPT-5 devrait être lancé au mois d'août
Le prochain gros modèle de langage d’OpenAI devrait arriver prochainement. Selon The Verge, GPT-5 devait être lancé au début du mois d’août alors que Microsoft vient de revoir à la hausse la capacité de ses serveurs. Sam Altman avait annoncé vouloir lancer cette révision « bientôt » la semaine dernière. GPT-5 serait accompagné d’une déclinaison mini et nano, disponible via des API.

Sam Altman a déclaré que cette version allait « intégrer beaucoup de [ses] technologies », comme les capacités de raisonnement du modèle o3. L’idée est de proposer un modèle plus unifié, ce qui sonne plus « intelligent » sur le papier. Ce choix devrait également simplifier le quotidien des utilisateurs, qui n’auront pas besoin d’alterner entre plusieurs modèles. L’entreprise compte bien se mettre au niveau de la concurrence, le Gemini 2.5 de Google ou Claude 4 d’Anthropic étant désormais plus efficaces sur certains points.
La nouvelle tombe alors qu’OpenAI vient d’améliorer son application ChatGPT pour Mac. Celle-ci intègre désormais Agent, une fonction laissant l’assistant naviguer de manière autonome sur le web ou analyser des données. Il peut également interagir avec des plateformes tierces comme Google Drive et GitHub. La nouveauté s’active grâce à un bouton « Agent » ou en tapant /agent avec une requête.

On peut par exemple lui réclamer de trouver un billet d’avion pas cher : l’assistant demande les détails s’il en manque, puis se rend sur les sites de comparateur de vols. Le processus s’affiche en temps réel, ce qui permet de le modifier en cours de route. La nouveauté est réservée aux abonnés Pro, Plus et Team, chacun ayant un nombre de requêtes Agent limitées par mois. OpenAI prévoit également de lancer un modèle open source, qui devrait arriver avant la fin de l’été.