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Lancement de Free TV : Free surpris que TF1 et France TV soient surpris
Mesdames et messieurs, installez-vous confortablement devant votre téléviseur, le grand cirque démarre ! Alors que les cracheurs de feu TF1 et France Télévisions s’insurgent de voir leurs programmes inclus dans Free TV sans avoir été consultés au préalable, l’acrobate Free dit avoir « pris connaissance » de cette récrimination… « avec un peu d’étonnement ».

« Nos contrats nous permettent bien de distribuer leurs chaînes », a déclaré, mine de rien, l’opérateur auprès du journal Le Monde. De fait, Free diffusait déjà les chaînes de TF1 et de France Télévisions dans sa précédente offre, nommée OQEE. Mais celle-ci était réservée à ses abonnés fixe ou mobile, dont le nombre avait servi de référence pour établir le contrat et fixer la rémunération des partenaires.
Or, les nouvelles offres Free TV (gratuite) et Free TV+ (0,99 €/mois pendant un an, avec des chaînes en plus, dont celles de TF1) sont ouvertes à tous et devraient donc attirer des utilisateurs supplémentaires. « Free part du principe que le changement de son offre n’a pas d’impact, alors que le nombre d’utilisateurs concernés nous est inconnu, et que nous perdons le contrôle éditorial sur nos contenus, la maîtrise de la publicité qui leur est associée, et le contrôle sur l’utilisateur lui-même », déplorent TF1 et France Télévisions d’une même voix.
En réponse, Free assure agir dans « l’intérêt de tous » avec ce service qui doit simplifier l’accès à la télévision. L’opérateur affirme aussi qu’il est ouvert au dialogue avec ces partenaires de longue date. Si aucun compromis n’est trouvé, TF1 et France Télévisions menacent de porter l’affaire en justice.
Free lance Free TV, une offre de télé gratuite disponible pour tous
Des boutons capacitifs pour l'iPhone du 20e anniversaire en 2027 ?
C'est finalement l'iPhone du vingtième anniversaire prévu pour 2027 qui serait le premier smartphone d'Apple à abandonner ses boutons latéraux mécaniques au profit de modèles capacitifs, affirme aujourd'hui Instant Digital. Apple aurait validé le bon fonctionnement de ces futurs boutons,...

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Supervibes améliore Claude Code pour créer des apps iOS prêtes à publier
Supervibes propose une solution native sur le Mac pour créer une app iOS en mode « vibe coding », c’est-à-dire en faisant appel à une intelligence artificielle générative pour écrire le code au lieu de le faire soi-même. C’est une pratique qui s’est développée en même temps que les grands modèles de langage ont prouvé leur habilité à comprendre des instructions exprimées en langage naturel et produire du code (à peu près) fonctionnel. Dans ce domaine, Claude Code conçu par Anthropic tire son épingle du jeu et c’est la solution reconnue comme étant la meilleure pour développer.
Claude Code tourne par défaut dans un terminal et même si on peut désormais l’utiliser dans un navigateur web, il reste un outil générique. Supervibes repose sur ces fondations, en les adaptant toutefois à un contexte particulier, celui du développement d’apps iOS. Ses concepteurs ont développé une interface native pour macOS et surtout optimisé le processus pour prendre en charge les spécificités de l’écosystème Apple. Pour commencer, l’app sait gérer le format des projets Xcode, l’environnement de développement que l’on utilise pour créer des apps iOS. Elle peut ainsi créer un nouveau projet ou bien en ouvrir un existant pour le modifier, normalement sans rompre la compatibilité avec l’outil d’Apple.
Par rapport au travail réalisé par Claude, les créateurs de Supervibes ont notamment configuré deux serveurs MCP spécifiques. Ce protocole créé par Anthropic permet de définir comment un grand modèle de langage peut réaliser des tâches dans d’autres apps ou services. C’est rapidement devenu un standard pour les « agents », le nom que l’on donne à l’intelligence artificielle générative quand elle fait plus que générer du texte. Claude sait les utiliser directement, ce qui a simplifié le travail des développeurs de cette app, puisqu’elle repose sur ce chatbot.
Grâce à MCP, les « agents » IA prennent le contrôle des tâches… et des ordinateurs
Le premier serveur MCP est chargé de contrôler Xcode, pour compiler l’app iOS et afficher le résultat soit dans le simulateur intégré à l’environnement de développement, soit directement sur un iPhone ou iPad. C’est une tâche qu’un développeur d’apps iOS réalise plusieurs (dizaines de) fois par jour et c’est important qu’un outil comme celui-ci en fasse autant. Le deuxième serveur est dédié à Superwall, qui est en réalité le produit principal des créateurs de Supervibes : c’est un kit de développement (SDK) qui permet d’ajouter un « paywall » (interface qui demande de payer) dans les apps iOS, avec des fonctions évoluées pour réaliser des tests sur plusieurs prix ou encore proposer des offres différentes en fonction des utilisateurs.
Supervibes est un outil gratuit que l’on peut utiliser sans intégrer Superwall à l’app produite. En revanche, il repose sur Claude Code et nécessite à cet égard un abonnement payant auprès d’Anthropic (20 $ par mois ou 200 $ par an au minimum). Xcode devra aussi être installé sur le Mac qui fait tourner l’application et si vous voulez publier le résultat, vous aurez également besoin d’un compte développeur payant chez Apple (99 $ par an).
macOS 15 est nécessaire au minimum, l’interface n’est pas traduite en français.
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Contrats abusifs avec les opérateurs : Apple fait appel de sa condamnation
Apple est vraiment décidée à faire trainer cette affaire en longueur. Condamnée mi-octobre à verser 48 millions d’euros pour avoir imposé des clauses illégales à Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free en 2013, la Pomme fait appel du jugement. « Nous contestons cette décision, qui concerne une affaire remontant à plus de dix ans, et nous faisons appel », nous a fait savoir un porte-parole. Et d’ajouter sans transition : « Comme toujours, notre priorité est d’offrir des expériences exceptionnelles à nos clients en France et dans le monde entier. »

Cet appel n’est pas une surprise. Les avocats d’Apple avaient déjà employé jusque-là toutes les méthodes à leur disposition pour repousser l’échéance aussi loin que possible. Et, selon L’Informé, certaines clauses jugées illégales dans les contrats signés en 2013 sont toujours en vigueur. Si tel est le cas, Apple a intérêt à faire durer le bras de fer pour pouvoir maintenir ses pratiques illicites. Interrogée sur ce point, l’entreprise ne nous a pas répondu pour l’instant.
Apple a été condamné pour neuf clauses abusives créant un déséquilibre significatif dans ses relations commerciales avec les opérateurs français. Dans les contrats de 2013, ces derniers étaient notamment contraints de financer l’intégralité des campagnes publicitaires de l’iPhone, avec pour seule contrepartie leur logo apparaissant subrepticement en fin de spot. Une pratique qui, à en juger par les publicités récentes, n’a peut-être pas disparu.
Amazon enclenche l’automatisation et supprime 14 000 postes
Mise à jour à 14 h — Amazon a confirmé la charrette. Contrairement à ce qu’avaient indiqué plusieurs médias, il n’y a pas 30 000 suppressions de postes, mais 14 000. « Les réductions que nous annonçons aujourd’hui s’inscrivent dans la continuité de ce travail visant à nous rendre encore plus solides, en réduisant la bureaucratie, en supprimant des niveaux hiérarchiques et en réaffectant nos ressources afin d’investir dans nos paris les plus ambitieux et dans ce qui compte le plus pour les besoins actuels et futurs de nos clients », a justifié Beth Galetti, la responsable des ressources humaines.
L’intelligence artificielle joue bien un rôle dans ces coupes franches : « Certains se demanderont peut-être pourquoi nous réduisons nos effectifs alors que l’entreprise se porte bien. Cette génération d’intelligence artificielle est la technologie la plus transformatrice que nous ayons connue depuis internet. Elle permet aux entreprises d’innover bien plus rapidement que jamais, tant dans les secteurs existants que dans de nouveaux domaines. Nous sommes convaincus que nous devons nous organiser de manière plus allégée. »
Beth Galetti n’a pas précisé les fonctions ni les régions touchées. La plupart des salariés auront 90 jours pour tenter de se repositionner en interne.
Article original publié le 28 octobre à 10 h 56 — De nombreux employés d’Amazon s’apprêteraient à faire leur carton. D’après plusieurs médias américains, le groupe prévoit de licencier 30 000 personnes à travers le monde à partir d’aujourd’hui même.
Le groupe, qui n’a pas encore commenté cette information, compte actuellement 1,5 million d’employés sur le globe, dont plus des deux tiers travaillent aux États-Unis, principalement dans les entrepôts ou à la livraison. Ces deux activités ne seraient pas directement concernées pour l’instant par les suppressions de postes. Les coupes viseraient essentiellement les employés de bureau, aux fonctions support par exemple.

En juin dernier, Andy Jassy, le CEO d’Amazon, avait préparé les esprits. Dans une lettre adressée à ses employés, il avait prévenu que l’intelligence artificielle allait conduire « à réduire le nombre total des effectifs » dans les années à venir. « Au fur et à mesure que nous déployons davantage d’IA générative et d’agents, cela devrait changer la manière dont notre travail est effectué », expliquait-il.
Si les cols blancs sont les premiers touchés, les travailleurs dans les entrepôts ne sont pas à l’abri non plus. Selon un rapport interne révélé par le New York Times, Amazon vise à automatiser jusqu’à 75 % de ses opérations grâce à l’IA et à la robotique. Les prévisions ne font pas forcément état de licenciements, mais plutôt d’un gel des embauches futures, les machines prenant peu à peu le relais.
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La dernière grande vague de suppressions de postes chez la multinationale remonte à 2022, avec 27 000 départs. À l’époque, il s’agissait d’un retour de flamme après les embauches massives liées à la flambée du commerce en ligne pendant la pandémie. Amazon n’est pas le seul grand groupe à licencier en masse : Microsoft a déjà supprimé plus de 15 000 emplois cette année, sur fond de bénéfices records et de course à l’IA.
Amazon publiera ses résultats trimestriels le 30 octobre. Ses derniers comptes faisaient état d’un chiffre d’affaires annuel d’environ 670 milliards de dollars et d’un bénéfice net avoisinant les 70 milliards.
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Contrats des opérateurs français : Apple fait appel de sa condamnation
Nous avons hier appris qu'Apple avait été condamnée par le tribunal des activités économiques de Paris à payer 48 millions d'euros pour un ensemble de clauses imposées aux opérateurs téléphoniques français en 2013 qui ont finalement été jugées abusives. Par un court communiqué qui...

DJI utilise son expertise dans les drones pour concevoir ROMO, une gamme de robots aspirateurs
DJI annonce la commercialisation en Europe de la gamme ROMO, trois robots aspirateurs qui sont vendus à partir de 1 199 €. L’entreprise chinoise n’est peut-être pas spécialiste du nettoyage, mais son expertise dans les drones s’est avérée pratique pour créer ces appareils qui doivent naviguer dans un intérieur afin de le nettoyer sans rien casser et en évitant de multiples pièges. D’ailleurs, la gestion de l’espace est assurée par un système maison qui s’inspire de ce que l’on trouve sur les drones de DJI : deux caméras ultra grand-angle associées à un LiDAR se chargent de cartographier chaque pièce et surtout de repérer le moindre obstacle.
Le constructeur met en avant l’aptitude de son robot à détecter des obstacles de 2 mm seulement, ce qui devrait lui permettre d’éviter les câbles. Même une simple carte posée au sol devrait pouvoir être contournée grâce à ce système, qui repose comme toujours sur une bonne dose d’algorithmes et de machine learning1. Un projecteur est même prévu pour que tout ce mécanisme continue de fonctionner dans le noir, en particulier sous un lit. Il faudra attendre des tests pour évaluer le système face à ses concurrents. Sur le papier, c’est en tout cas un avantage, les autres robots ont besoin d’obstacles plus gros pour les identifier correctement. DJI souligne aussi que le calcul de trajectoire s’inspire de son travail sur les drones et il devrait permettre à son aspirateur de facilement retrouver son chemin.
Le ROMO doit nettoyer votre maison, c’est même son objectif premier. Pour cela, DJI a mis au point un système qui repose sur un aspirateur très puissant : le constructeur annonce 25 000 Pa, ce qui est supérieur à ce que ses concurrents peuvent offrir (en général autour de 20 000). Bien sûr, ce n’est pas le seul aspect qui compte, même si c’est un critère important pour obtenir de bons résultats. Associé à l’aspiration, deux serpillères rotatives viennent nettoyer les sols quand c’est nécessaire. Si l’on trouve dans le robot tout ce qu’il faut pour collecter les débris et gérer l’eau, c’est la base associée qui se chargera de tout récupérer à chaque retour de l’appareil. Elle nettoiera et séchera également les serpillères à chaque passage, un point essentiel pour éviter les mauvaises odeurs.
Pour le lancement, la gamme est composée de trois produits extrêmement proches. Le ROMO S constitue l’entrée de gamme et à 1 299 € (promo de lancement à 1 199 €), c’est déjà un robot aspirateur de luxe. Pour ce prix, vous aurez bien le système de détection d’obstacles et de gestion de l’espace complet, la pleine puissance d’aspiration, le système de serpillères dont l’une peut bouger pour aller dans les coins, une batterie intégrée qui doit offrir jusqu’à trois heures d’autonomie et la base avec son sac à poussière de 2,4 L et ses deux réservoirs d’eau (4 L propre, 3,2 L usée). Ajoutez 300 € et vous pourrez acheter le ROMO A, qui se distingue uniquement par la coque transparente sur le robot et qui semble une très mauvaise affaire.
Le ROMO P se hisse à 1 899 € (1 699 € en promo de lancement) et il se distingue visuellement par sa base transparente, en plus du robot. C’est un choix intrigant pour un aspirateur qui n’est jamais l’appareil le plus propre de la maison, un choix toutefois popularisé par Dyson. Par rapport aux deux autres, il gagne aussi deux petites fonctions supplémentaires : on peut ajouter du parfum pour désodoriser les sols et le sac à poussière de la base ajoute une lampe à UV. Puisque l’on parle d’accessoires, notons que le produit de nettoyage adopte un format propriétaire, tout comme les sacs.
Pour finir, ce robot aspirateur est évidemment connecté en Wi-Fi et on pourra le contrôler par le biais de l’app DJI Home. On devra en réalité le faire par ce biais, car ces produits ne seront pas compatibles avec Matter, en tout cas pas au lancement. Cela veut dire que vous ne pourrez pas les ajouter à l’app Maison et les contrôler par ce biais. En contrepartie, l’app permettra de transformer le robot en une caméra portable et papoter avec ses animaux de compagnie ou surveiller son logement à distance.
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Pour une fois qu’un produit ne vante pas l’usage de l’IA… ↩︎
Promo : le chargeur magnétique pour iPad X33 Pro de Kuxiu à 99,99 € (-17 %)
Si vous utilisez votre iPad comme écran secondaire ou que vous cherchez une belle manière de le ranger sur le bureau, bonne nouvelle : le support/chargeur X33 Pro de Kuxiu est actuellement en promo sur Amazon. Les différents modèles tombent à 99,99 € au lieu de 119,99 € en temps normal, soit 17 % de remise. La ristourne concerne le modèle pour iPad Pro M4/M5 13", pour sa déclinaison 11" ou encore celui pour iPad Pro et iPad Air M2/M3 13".

J’ai récemment testé ce produit, qui est assez malin. Il s’agit d’un support en aluminium intégrant un chargeur passant par le Smart Connector de la tablette. On peut ainsi regarder un film ou s’en servir avec Sidecar tout en remplumant la batterie, et cela sans brancher de câble. Le support peut être incliné dans tous les sens, passant facilement de l’horizontale à la verticale.
Kuxiu inclut un câble USB-C vers USB-C dans la boîte, mais pas de bloc de charge. Le système d’aimants est suffisamment fort pour laisser sa tablette sans crainte, et reste stable si l’on dessine ou quand on tape à l’écran.
Avec mon iPad Pro M4, la recharge est efficace étant donné qu’elle monte jusqu’à 18 W. L’accessoire a l’avantage de laisser l’accès libre au port USB-C, que l’on pourra par exemple utiliser pour brancher un SSD. N’hésitez pas à relire notre test pour plus de détails :
Test du Kuxiu X33 Pro Max : un chargeur magnétique pour iPad basé sur le Smart Connector

Si l’aspect recharge ne vous intéresse pas, on notera que Kuxiu propose une version moins chère faisant office de simple support. La déclinaison pour l’iPad Pro M4 13" est à 79,99 €, tout comme celle de la version 11". Les iPad Air et Pro plus anciens en format 13" sont également concernés, ainsi que les modèles 11". Ils ne sont malheureusement pas en promotion pour le moment, mais on garde l’œil dessus.
DJI ROMO : le géant des drones attaque le marché des aspirateurs robots
IBM s’allie au Français DFNS pour lancer sa plateforme blockchain
Apple pourrait lancer son propre capteur photo en 2027
C'est en 2027 qu'Apple pourrait lancer son tout premier capteur photo doté de la technologie LOFIC, d'après yeux1122 sur Naver. Ce capteur, déjà évoqué par Fixed Focus Digital en août, offrirait une plage dynamique bien plus élevée tout en corrigeant les problèmes d'images fantômes et de...

Plans a ajouté les vues 3D de FlyOver à Rouen, mais retiré celles de Bastia
Comme elle le fait régulièrement, Apple a mis à jour la liste de villes avec FlyOver, une fonctionnalité qui permet de survoler une zone en 3D. Elle existe depuis la naissance de Plans, il y a 13 ans de cela, et elle couvre désormais un grand nombre de villes dans le monde, même s’il en reste encore beaucoup à ajouter si Apple voulait proposer la fonction partout. C’est pourquoi il y a régulièrement des ajouts et ce mois-ci, Rouen est dans le lot, comme l’a signalé il y a quelques jours cette liste compilée sur Reddit.
Si vous voulez survoler la capitale du duché de Normandie, une ville extrêmement riche en histoire, vous pouvez le faire sur n’importe quel appareil Apple avec l’app Plans. Affichez le centre-ville sur la carte, basculez en mode satellite et modifiez l’orientation en glissant verticalement à deux doigts ou en touchant le bouton dédié. Vous verrez alors les bâtiments se dresser au-dessus du sol, à commencer par la cathédrale qui domine le centre.
L’app proposait à une époque des tours virtuels avec FlyOver qui permettaient de découvrir une ville avec un survol des lieux les plus connus. Cette fonction a bizarrement disparu début septembre, alors il faudra désormais le faire soi-même. À Rouen, outre la cathédrale, vous pouvez faire un tour de la Place du Vieux-Marché avec ses maisons à colombage, du palais de Justice ou encore du musée des Beaux-Arts (les Rouennais qui nous lisent peuvent ajouter leurs conseils dans les commentaires).
Plans : les visites FlyOver ont disparu, Amiens, Dunkerque et Le Havre ont de nouvelles vues 3D
En Europe, on note aussi les ajouts de Bilbao en Espagne, Thun en Suisse, Udine en Italie et plusieurs villes du Royaume-Uni, surtout en Écosse : Air, Carlisle, Inverness et Perth. L’Australie a aussi droit à quatre ajouts (Ballina, Byron Bay, Gatton et Lismore) et deux pour les États-Unis qui sont probablement déjà les mieux couverts : Middletown sur la côte Est, Paso Robles sur celle de l’Ouest.
C’est plus rare, mais cela arrive manifestement : il y a aussi eu un retrait ce mois-ci. Bastia était couverte par FlyOver, la ville corse n’y a plus droit pour une raison qui reste mystérieuse. Peut-être qu’une mise à jour est en préparation, puisque Apple ne se contente pas de survoler une fois chaque ville, elle met à jour régulièrement ses données par la suite. En octobre, on a 21 mises à jour, dont un bon paquet en France : Arcachon, Besançon, Béziers, Carcassonne, Chenonceaux, Le Mans, Limoges, Millau, Mont-Saint-Michel, Montpellier, Saint-Étienne et Toulouse.
Le Black Friday commence chez Proton : Mail à 1,99 €, VPN à 2,49 € (jusqu’à -75 %)
Le Black Friday est déjà là chez Proton : l’entreprise propose aujourd’hui de grosses ristournes sur son service de mail et de VPN. La messagerie passe à 1,99 € par mois pendant 1 an, tandis que le VPN est facturé 2,49 € par mois. Cela représente respectivement 60 % et 75 % de remise sur ces deux services de qualité disposant d’apps pour iOS et macOS. Proton propose habituellement ses meilleures promotions à l’occasion du Black Friday, ce qui en fait une bonne occasion de craquer. Le gestionnaire de mot de passe Proton Pass n’est pas en reste, tombant à 1,99 € au lieu de 4,99 € en temps normal (-60 %).

Proton Mail est un service de messagerie suisse axé sur la confidentialité proposant un chiffrement de bout en bout. Complet et bien fichu, son client iOS a récemment été revu, gagnant un mode hors connexion. Notons qu’il est possible d’obtenir une adresse mail gratuitement avec un stockage limité permettant d’essayer le service.
De son côté, Proton VPN est un service de réseau privé virtuel (VPN) mettant en avant sa politique stricte de non-journalisation des activités (no-logs) et un chiffrement poussé. Il propose un large réseau de serveurs à travers le monde ainsi que des fonctionnalités pour les utilisateurs avancées. Ici aussi, il est possible de l’essayer sans sortir sa CB avant de craquer pour une formule payante.
J’ai abandonné Google pour Proton il y a maintenant plus d’un an et suis satisfait de mon abonnement Unlimited, qui me sert principalement pour le mail et occasionnellement le VPN. Les services sont fiables et les apps Mac correctes. Le Drive peut être synchronisé avec la photothèque iCloud, et le gestionnaire de mot de passe prend en charge les réseaux Wi-Fi, les licences de logiciels ou les comptes bancaires. C’est donc une offre intéressante si vous cherchez à moins dépendre de Google ou de votre fournisseur de mail actuel tout en récupérant au passage quelques services multi-plateformes.
Apple Pay est la solution de paiement la plus sûre au monde (et Apple dévoile des chiffres)
iPhone 17e : date de sortie, puce A19, design… tout ce qu’on sait déjà du futur iPhone “entrée de gamme”
Apple semble avoir beaucoup plus d’ambition pour l’iPhone 16e que pour la gamme SE. Le constructeur californien donnerait désormais un rythme annuel à son modèle “entrée de gamme” — un virage clair dans sa stratégie. Si Apple respecte ce calendrier, l’iPhone 17e devrait voir le jour au printemps prochain. Et vu le bond en avant réalisé par l’iPhone 17, ce futur modèle pourrait bien séduire un large public.
Une sortie au printemps 2026
Ming-Chi Kuo et Mark Gurman sont tous les deux d’accord sur ce point : l’iPhone 17e verrait le jour au premier semestre 2026, marquant ainsi le passage à un cycle de mise à jour annuel pour ce modèle.
Dans les années à venir, le printemps devrait donc devenir la nouvelle période de lancement des iPhone standard. En 2027, Apple pourrait — si elle ne change pas ses plans — présenter simultanément les iPhone 18e et iPhone 18.
L’iPhone 17e serait en bonne voie pour une sortie dès l’an prochain
Une précédente rumeur, apparue en avril, évoquait déjà un prototype proche de la production d’essai. Selon cette fuite, Apple viserait toutefois un lancement en mai 2026, et non en février comme ce fut le cas pour l’iPhone 16e.
Un écran inchangé
Selon le média coréen The Elec, l’iPhone 17e reprendrait le même écran OLED que celui de l’iPhone 16e — un panneau initialement introduit avec l’iPhone 14. Une décision logique : la firme chercherait ainsi à réduire les coûts de production en misant sur des composants éprouvés et des chaînes déjà bien rodées.
L’iPhone 16e embarque pour rappel un écran OLED Super Retina XDR affichant un taux de contraste de 2 000 000:1. Sa luminosité atteint 800 nits en usage standard et jusqu’à 1 200 nits en HDR pour les photos, vidéos et films. La dalle affiche une définition de 2 532 × 1 170 pixels.
À titre de comparaison, l’iPhone 17 bénéficie d’un écran légèrement plus grand (6,3″ contre 6,1″) et d’une luminosité plus élevée (jusqu’à 1 600 nits en HDR et 3 000 nits en extérieur). Mais ce qui devrait surtout distinguer les deux modèles, c’est l’absence de ProMotion (120 Hz) sur l’iPhone 17e, qui restera limité à 60 Hz.
Le même processeur que l'iPhone 17
Selon Mark Gurman, l’iPhone 17e profiterait de la même puce A19 que le reste de la gamme. Cette nouvelle génération, gravée en 3 nanomètres de troisième génération, marque une belle évolution en matière de performances comme d’efficacité énergétique.
Le processeur conserve une architecture à six cœurs — deux dédiés à la performance, quatre à l’efficacité — mais gagne en rapidité tout en consommant moins. Le GPU à cinq cœurs profite lui aussi d’améliorations notables, aussi bien pour le jeu que pour le traitement graphique du quotidien. Chaque cœur graphique intègre un Neural Accelerator, chargé d’accélérer les tâches d’intelligence artificielle locale — de Siri embarqué aux retouches photo intelligentes.
L'A19 et l'A19 Pro des iPhone 17 accélèrent largement l'IA et c'est une avancée majeure
Enfin, la prise en charge matérielle du ray tracing permet de viser une qualité graphique proche des consoles, avec des effets de lumière plus réalistes et des fréquences d’image plus stables. Les gains d’efficacité de la puce A19 devraient également offrir une meilleure autonomie, un point souvent crucial sur les modèles d’entrée de gamme.
Avec ou sans Dynamic Island ?
C’est sans doute l’enjeu majeur des rumeurs autour de ce modèle. La logique voudrait que l’iPhone 17e s’inscrive dans la lignée de son grand frère et conserve une simple encoche.
Cependant, tout le monde n’est pas d’accord avec cette idée — à commencer par le leaker Digital Chat Station, qui affirme à plusieurs reprises que l’iPhone 17e passerait à la Dynamic Island et adopterait un nouveau design.
Selon lui, l’iPhone 16e reprend les grandes lignes du design de l’iPhone 14. Dans la même logique, son successeur s’inspirerait du châssis de l’iPhone 15, qui avait justement inauguré la Dynamic Island et des bords plus arrondis.
Sur le papier, c’est séduisant. Mais Apple veille jalousement à préserver ses marges et à différencier ses gammes. De plus, cette hypothèse contredit les rumeurs évoquant l’utilisation du même panneau OLED que celui du 16e.
Un positionnement plus clair
En France, l’iPhone 16e est officiellement vendu 719 €, un tarif qui avait fait grincer des dents lors de sa sortie. Mais la perception du produit a depuis bien changé : grâce aux promotions régulières, on le trouve désormais entre 500 et 600 €. Dans cette zone de prix, nul doute que la gamme “e” d’Apple a trouvé son public.
Pour la première fois, l'iPhone 16e (neuf) passe sous les 500 € !