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Galaxy S26 Edge "More Slim ». Samsung veut aller encore plus loin que l’iPhone Air
Handy : l'outil de dictée open source qui ridiculise les solutions payantes et natives
Les AirPods Pro 3 peuvent se mettre à siffler en vol
La sortie des AirPods Pro 3 a été marquée par plusieurs petits bugs. Certains ont remarqué un sifflement aigu quand l'un des modes d'écoute est activé (réduction de bruit, transparence) là où d’autres se plaignent d’un bruit blanc constant. Le blogueur Basic Apple Guy y est allé de sa petite anecdote récemment, rapportant avoir noté un souci lorsque les derniers écouteurs de la Pomme sont portés en avion.

Il explique avoir utilisé ses écouteurs sans observer de problème sur le plancher des vaches, mais que les choses se sont corsé une fois à 11 000 mètres d’altitude. « J’ai remarqué pour la première fois un sifflement aigu provenant de mon AirPod gauche » explique-t-il avant d’indiquer que le problème venait du fait que l’embout des écouteurs ne cessait de se desserrer. De quoi créer « un cercle vicieux de la réduction de bruit et un sifflement perçant et douloureusement fort provenant de l'AirPod ». Le bruit est revenu constamment au point qu’il a fini par ressortir ses bons vieux EarPods filaires.
Une fois revenu sur la terre ferme, le blogueur a essayé les différents embouts pour voir si le problème ne venait pas de là. Il note que les tailles XS et M fonctionnaient bien tout en restant confortables. Il les a alors porté plusieurs semaines sans problème… avant un nouveau vol, pendant lequel le bruit est revenu.
J'ai remarqué que les nouveaux embouts en mousse retenaient davantage la chaleur, réduisaient la circulation de l'air et la ventilation, et étaient moins souples, et que tout cela contribuait d'une manière ou d'une autre à affaiblir l'étanchéité. Associé au bourdonnement fort et constant de l'avion, cela créait un cercle vicieux sonore.
Basic Apple Guy n’est pas le seul à avoir ce souci étant donné qu’un thread Reddit recense plusieurs plaintes du même genre, touchant pour la plupart l’écouteur gauche. Le nombre de cas semble être limité, mais reste à noter. Le bruit a également été observé par un Youtubeur ayant testé l’aspect technique des écouteurs en profondeur. On peut espérer que le problème sera résolu par une mise à jour de firmware.
Un résumé de l'évolution des fréquences des puces Apple, de la puce M1 au 4,6 GHz de la puce M5
Nous en avons parlé dans le test du MacBook Pro M5, le nouveau système sur puce d'Apple augmente encore la fréquence des cœurs de son processeur. Les cœurs P (performants) peuvent maintenant atteindre 4,6 GHz (100 MHz de plus que les meilleures puces M4) et les cœurs E (basse consommation) dépassent maintenant 3 GHz.

Howard Oakley a eu la bonne idée de compiler les fréquences des différentes puces Apple depuis la puce M1, ce qui permet de voir que la marque a bien profité d'un des leviers évidents pour augmenter les performances d'un processeur. Dans la première génération, les cœurs atteignaient 3,2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs P, et 2 GHz (avec un minimum de 600 MHz) pour les cœurs E. Avec le temps, la fréquence maximale des cœurs P a augmenté : 3,5 GHz avec les puces M2 (3,7 GHz sur les Max et Ultra), 4 GHz sur les M3, 4,5 GHz1 sur les M4 et 4,6 GHz sur la M5. Idem pour la fréquence maximale des cœurs E : 2,4 GHz sur les puces M2, 2,7 GHz sur les puces M3 (2,6 GHz sur les M3 Max et Ultra), 2,9 GHz sur les M4 (2,6 GHz sur les M4 Pro et Max) et 3 GHz sur la puce M5. En parallèle, la fréquence minimale a aussi un peu augmenté, comme son tableau le montre : on passe de 600 MHz (M1) à 1,3 GHz (M5) par exemple.

Si cette montée en fréquence peut être vue comme un point négatif, une sorte de fuite en avant, ce n'est pas le cas. C'est une évolution logique et une solution parfaitement classique. Augmenter la fréquence permet d'améliorer les performances mécaniquement, avec des gains assez linéaires2, mais elle est aussi dépendante des choix de l'architecture. La façon dont sont organisées les unités et les pipeline ont un impact direct sur la fréquence maximale, qui est un choix de design. Un pipeline, de façon simplifiée, est l'équivalent d'une chaîne de montage dans une usine : les instructions à exécuter sont découpées en plusieurs étapes, ce qui permet d'optimiser le fonctionnement du processeur. La longueur du pipeline a un impact direct sur la fréquence (basiquement, plus il est long, plus la fréquence est élevée) mais demande une conception très optimisée.
Une fréquence élevée est donc un avantage dans la majorité des cas, et ne devient un problème que si elle est liée à une consommation trop élevée. Une fréquence élevée demande plus d'énergie qu'une fréquence faible (la relation entre les deux n'est pas linéaire) et une consommation trop élevée est un réel problème. Mais si la puce M5 a une consommation plus élevée que les puces précédentes (avec 28 W en pointe), nous sommes assez loin des valeurs obtenues chez Intel à une certaine époque : même en restant dans des gammes équivalentes, les Core i5 de 14e génération dans les variantes mobiles ont par exemple un TDP de base de 55 W (deux fois la valeur maximale d'Apple) et un TDP réel (accessible pendant quelques secondes) de 157 W.

En l'état, les évolutions des puces d'Apple montrent une montée en fréquence logique et une augmentation graduelle de la consommation qui ne pose pas encore de soucis particuliers. Bien évidemment, il faudra surveiller les futures puces de la marque sur ce point.
Test du MacBook Pro M5 : ennuyeux mais terriblement efficace
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4 464 MHz sur les puces M4, 4 512 MHz sur les M4 Pro et Max). ↩︎
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Un point qui n'est évidemment valable que sur des architectures comparables. Au début des années 2000, Intel a tenté de monter en fréquence de façon très importante avec une architecture beaucoup moins efficace, en partant du principe que la fréquence allait compenser la différence. Le résultat, le Pentium 4, est globalement un échec. ↩︎
J’ai passé une semaine avec ChatGPT Atlas en guise de navigateur principal
La principale nouveauté de macOS 16.1 ...
La principale nouveauté de macOS 26.1 est de permettre de changer la transparence des éléments visuels de LiquidGlass, avec une nouvelle option "teinté" qui permet enfin de les faire mieux apparaître avec plus de contraste local.
Apple avait présenté LiquidGlass lors de la WWDC '25 cet été, avec une immense fierté!
Las, préversion après préversion, le LiquidGlass de nos Mac s'éloigne de la version initiale présentée, qui a comme défaut de manquer de contraste visuels (ce qui était voulu), pour ramener plus d'usabilité au fur et à mesure.
Le LiquidGlass est beau. Je veux dire que je trouve ça beau, vos avis peuvent varier.
Mais visiblement personne chez Apple ne s'était posé la question de son usabilité, notamment via des moniteurs externe de médiocre qualité, et pour les gens ayant des problèmes de vue.
LiquidGlass étant la plus grosse nouveauté de macOS 26, peut-être là pour faire oublier le surplace si pas l'enlisement de leurs IA locales et l'absence de leurs IA dans le cloud Apple ou hybrides, ça semble avoir été bricolé à la va-vite, sans étude sérieuse.
Le dernier iPad Air M3 en promo à partir de 609€ : la qualité Apple au meilleur prix !
Apple va-t-elle faire sauter la banque ce soir ?
La 6G devrait amener un nouveau codec vidéo, encore plus performant
Vous en avez assez d'entendre parler de la 5G ? Mauvaise nouvelle, les innovations liées à la 6G, la prochaine génération de réseaux mobiles, commencent à arriver. Dans une annonce commune, Nokia, Ericsson et l'institut Fraunhofer (notamment à l'origine du MP3) viennent d'annoncer le développement d'un nouveau codec pour la vidéo, dans la lignée des H.264, H.265 et H.266.
Il a été soumis aux groupes qui standardisent les codecs vidéo : ITU-T Video Coding Experts Group, qui s'occupe des codecs vidéo pour l'Union internationale des télécommunications et ISO/IEC Moving Picture Experts Group, qui gère les normes MPEG. Ce codec, prévu pour une finalisation vers 2029/2030, pourrait devenir le H.267 et offrir — c'est la règle — une compression plus efficace avec une qualité d'image équivalente aux codecs actuels, sans augmenter de façon significative la complexité.

Les codecs de type H.26x sont très liés aux télécommunications et ont eu dans certains cas beaucoup de succès. Le H.261 a été pensé pour l'ISDN (RNIS en France), le H.262 (MPEG-2) a été employé dans les DVD et dans les débuts de la télévision numérique, et le H.264 (AVC) et H.265 (HEVC) sont toujours très employés dans la distribution de la vidéo en ligne (plateformes de streaming, YouTube, etc.) et de la télévision (comme la TNT en France), en plus des Blu-ray (H.264) et Blu-ray Ultra HD (H.265). Le dernier codec en date, le H.266 (VVC) n'a pas eu autant de succès : l'AV1, un codec open source qui n'impose pas le paiement d'une redevance, a pris le pas dans ce domaine, notamment sur les plateformes de streaming.

En l'état, les différents communiqués n'indiquent pas explicitement que le codec pourrait devenir le H.267, même si c'est assez évident dans l'absolu, étant donné la continuité dans la numérotation et les liens entre les télécommunications et les codecs de cette famille. Reste que ce codec n'est évidemment pas le seul en embuscade pour devenir le prochain standard de facto, l'AV2 est en développement et les annonces donnent évidemment les mêmes arguments, qui reviennent systématiquement pour chaque annonce de codecs.
Télétravail : Teams va bientôt indiquer précisément où se trouvent vos collègues
Microsoft risque de compliquer la vie des télétravailleurs. L’entreprise a annoncé qu’elle développait une fonction indiquant automatiquement l’emplacement d’un utilisateur en se basant sur son réseau Wi-Fi. De quoi clarifier où se situent les membres de l’équipe… et déranger ceux ayant décidé de passer la journée à la maison.

La nouveauté a été présentée par Microsoft comme une manière de réduire la confusion sur le lieu de travail dans sa feuille de route. « Lorsque les utilisateurs se connectent au réseau Wi-Fi de leur organisation, Teams définit automatiquement leur lieu de travail en fonction du bâtiment dans lequel ils se trouvent », précise-t-il. La fonction sera désactivée par défaut et déployée dans le courant du mois de décembre.
Les détails sont minces et la fonction toujours en développement. Elle pourra faciliter la vie des utilisateurs, qui n’auront plus besoin de se demander dans quel bâtiment se trouvent leurs collègues. À l’inverse, elle pourra facilement pointer ceux n’étant pas venus travailler au bureau. Heureusement, il sera possible de la désactiver pour les utilisateurs ne souhaitant pas partager leur position.
Les entreprises vont devoir commencer à se préparer, associant les SSID des réseaux à des noms de bâtiments avant le déploiement. La nouveauté ne concerne pas les mobiles, et uniquement les versions Windows et Mac du logiciel.
La nouveauté arrive maintenant que de nombreuses entreprises sont revenues sur leurs politiques de télétravail. Microsoft par exemple, a annoncé que les employés habitant à proximité des bureaux devaient retourner sur le site au moins trois jours par semaine d’ici février 2026. Amazon avait ordonné un retour intégral au bureau pour l’année 2025.
Un exode inexorable : pourquoi Criteo quitte la France ?
Un nouveau navigateur de plus débarque en bêta : Samsung Internet Browser
Vous n'aviez pas assez de navigateurs sur votre PC ? Après Atlas (OpenAI) et Comet (Perplexity), voici Samsung Internet Browser. La société coréenne a en effet porté son navigateur Android sous Windows, et il arrive en bêta.

Samsung Internet Browser est pour le moment disponible en bêta, uniquement si vous avez un compte Samsung américain (États-Unis) ou coréen (au Sud). Contrairement à OpenAI qui a d'abord sorti Atlas sur Mac, Samsung s'attaque directement à Windows : il nécessite Windows 10 (à jour) ou Windows 11.
Ce navigateur basé sur Chromium (comme la majorité du marché) va surtout permettre à Samsung d'étendre son écosystème, en proposant des fonctions qui existent depuis des années avec Safari : la synchronisation des signets, de l'historique de navigation ou des mots de passe entre un smartphone Samsung et un PC sous Windows. Des fonctions qui existent en partie déjà avec Chrome, mais à travers une extension dédiée. Il contient évidemment de l'IA à travers Galaxy AI. L'intégration n'est pas aussi avancée que celles des fournisseurs de chatbot, Galaxy AI va surtout permettre de traduire les pages web (comme la majorité des navigateurs) ou résumer le contenu des pages.

Samsung indique que la bêta devrait s'ouvrir à d'autres pays dans le futur, et la marque pourrait même proposer son navigateur sous macOS ou Linux dans le futur, qui sait. On s'attendrait presque à un retour de Safari sous Windows…
Aux prises avec le DMA, Apple renforce encore son lobbying auprès de l’Union européenne
Les grandes entreprises de la tech dépensent plus que jamais pour faire défendre leurs intérêts au sein des instances européennes. Les 733 groupes du numérique enregistrés à Bruxelles ont dépensé 151 millions d’euros en lobbying sur un an, contre 113 millions il y a deux ans, d’après des données officielles compilées par les ONG Corporate Europe Observatory et LobbyControl.

À elles seules, les dix entreprises du numérique qui dépensent le plus ont déboursé davantage que les dix premières des secteurs pharmaceutique, financier et automobile réunis. En tête, Meta, qui consacre plus de 10 millions d’euros à ses activités de représentation auprès des institutions européennes. Apple est en deuxième position, à égalité avec Microsoft et Amazon, avec un budget annuel compris entre 7 et 8 millions d’euros.
D’après les dernières infos communiquées au printemps, Apple compte 29 personnes impliquées dans le lobbying, soit 9,1 équivalents temps plein, contre 7,4 il y a deux ans. Au cours du premier semestre, ses représentants ont participé à 29 réunions officielles avec la Commission européenne et 47 avec des membres du Parlement européen. La liste de ces rendez-vous (accessible ici), mentionne des échanges sur les politiques environnementales, les services de paiement, la santé, la compétitivité… et bien sûr le DMA, la bête noire de Cupertino.
L’entreprise ne cesse en effet de dénoncer ce texte qui l’oblige à ouvrir iOS et l’iPhone à la concurrence. Dernièrement, Apple a saisi la Cour de justice de l’Union européenne pour tenter d’en contester la légalité.
DMA : la Commission européenne répond à Apple, et ne lâche rien
Après AWS, c’est Azure qui est tombé dans les choux (Microsoft 365, Xbox, etc.)
Le shutdown de la FCC bloque-t-il le lancement de produits d'Apple ?
Voilà un mois que les États-Unis sont en plein shutdown, un arrêt des activités gouvernementales causé par une absence d'accord sur le budget au Congrès. Seuls les services gouvernementaux considérés comme essentiels sont maintenus dans une telle situation, et bon nombre des activités de la...

Nvidia prend le pouvoir : quand les puces redessinent l’économie mondiale !
App Store : plus de souplesse dans l’examen des apps et pour les pages produit
Il y a du changement pour les développeurs : Apple vient d’annoncer de nouvelles fonctionnalités et une plus grande flexibilité dans son processus d’examen. Il est désormais possible d’envoyer plusieurs éléments pour vérification, de manière indépendante d’une version déjà en cours d’examen. Tout a été détaillé dans un communiqué.

Les développeurs pourront par exemple envoyer un ou plusieurs événements in-app dans une soumission indépendante s’ils ont déjà poussé une mise à jour de l'application chez les équipes d’Apple. Cette plus grande flexibilité va également permettre de soumettre un correctif de bug critique, distinct de toute page de produit personnalisée existante en cours d’évaluation. Les créateurs de jeux pourront envoyer différents aspects liés à Game Center (nouveaux succès, classements, défis) dans une soumission distincte d'une version d'application en cours d'examen.
Les pages de produits vont être améliorées, avec la possibilité d’en créer deux fois plus qu’auparavant et d’ajouter des mots clés. Pour rappel, celles-ci permettent de mettre en avant différents contenus de l’app via des captures d'écran et autres textes promotionnels. Leur nombre grimpe désormais jusqu’à 70, chacune pouvant avoir des mots clés les rendant plus faciles à trouver sur l’App Store. Apple indique que « les pages produit personnalisées auxquelles des mots-clés ont été attribués peuvent apparaître dans les résultats de recherche pour ces mots-clés sélectionnés à la place de votre page produit par défaut ».
Apple étend désormais ses codes d’offre (offer codes) à tous les types d’achats intégrés : consommables, non consommables, abonnements non renouvelables… Ces codes d’offre sont pensés pour le marketing, et les développeurs peuvent s’en servir pour proposer pendant une durée limitée un accès gratuit ou une remise sur un achat in-app précis afin de faire découvrir une fonction payante ou de solliciter d’anciens utilisateurs.
Comme ces codes d’offre sont plus souples et plus configurables que l’ancien système, Apple va supprimer la création de codes promo pour les achats intégrés à partir du 26 mars 2026. Ces derniers servaient surtout à offrir gratuitement une app ou un achat in-app, par exemple à la presse ou aux testeurs. Les codes promo déjà générés resteront valables jusqu’à leur expiration, mais ne serviront ensuite plus qu’à offrir le téléchargement gratuit de l’app.
Promo : la sonnette pour vélo avec traqueur inclus AirBell Pro à 33 € au lieu de 45
Un traqueur de type AirTags est bien pratique si on veut garder un œil sur son vélo. Encore faut-il le placer de manière discrète et sûre, ce qui devrait être le cas avec l’AirBell Pro. Ce produit est une sonnette pour vélo qui ressemble à n’importe quel modèle traditionnel, sauf qu’elle intègre une pile et toute l’électronique nécessaire pour la transformer en un traqueur compatible avec l’app Localiser d’Apple. Vendue en temps normal autour de 45 €, la sonnette est actuellement en promotion à 33,24 €, son prix le plus bas.
Sous le capot de la sonnette, on ne trouve pas seulement une cavité vide qui résonnera en la tapant avec le petit battant de plastique sur le côté, il y a aussi l’équivalent d’un AirTag. Le fabricant a opté pour une alimentation similaire en utilisant une pile bouton CR2032, un format standard et pas cher. Il promet un an d’autonomie, ce qui est proche de ce qu’Apple revendique pour son propre produit.
Au moment d’acheter, choisissez bien la bonne version selon votre vélo. Le produit est prévu pour des guidons de 22,2 mm de diamètre, ce qui est le standard le plus courant à l’heure actuelle, ou alors pour des guidons de 31,8 mm. Le prix est le même quel que soit votre choix.
Si vous avez déjà un AirTag prêt à servir, le fabricant commercialise aussi l’AirBell, qui est aussi en promo à 13,29 € au lieu de 18. C’est la même idée et le même design externe, sauf qu’ici vous devrez insérer la balise d’Apple sous la sonnette. Ce produit s’adapte également aux deux diamètres de guidon les plus courants sur les vélos.
Lancement de l'iPhone Pliable : et si Apple avait trouvé le moment parfait ?
Comment Microsoft Teams va dire à votre patron si vous êtes (vraiment) au bureau ?
Mark Zuckerberg veut de l’IA partout, quitte à dépenser des sommes monstrueuses !
Promo : un iPhone 16 à 683 € au lieu de 869 sur Amazon Italie
Amazon Italie réduit le prix de l’iPhone 16 de base, avec ses 128 Go de stockage. Vous pouvez commander avec votre compte Amazon français et une fois les taxes et livraisons ajoutées, vous paierez 682,67 € précisément, au lieu des 869 € toujours demandés par Apple. Cette réduction de plus de 20 % est valable sur le modèle de base dans deux coloris : noir ou rose.
Si vous préférez du blanc, c’est du côté d’Amazon France qu’il faut aller faire un tour. L’iPhone 16 est alors affiché à 850 €, mais un bon de réduction s’applique au moment de passer la commande et on peut ainsi l’acheter à 720,8 €. Si les autres coloris ont aussi des réductions, les prix sont toutefois nettement moins intéressants.
L’iPhone 16 était le modèle de base de la gamme 2024 d’Apple et il reste un excellent téléphone. Son plus gros défaut par rapport à la gamme actuelle serait à chercher du côté de son écran : s’il s’agit d’une excellente dalle OLED qui ne posera aucun problème majeur, elle n’est pas ProMotion. Cela veut dire que l’affichage reste constamment à 60 images par seconde et surtout, qu’il s’éteint quand le téléphone passe en veille. L’iPhone 17 corrige cet aspect, certes, mais il est aussi vendu à partir de 969 €. Vous pourrez économiser pratiquement 300 € en choisissant ce produit de l’an dernier, cela semble un bon compromis.
Côté photographie, il intègre deux très bons objectifs à l’arrière (grand-angle et l’ultra grand-angle qui est pratique notamment pour la macro) ainsi que la commande de l’appareil photo, un bouton dédié à cette fonctionnalité. Il récupère aussi le bouton d’action, qui remplace avantageusement le bouton du silencieux sur les anciens modèles. Son autonomie est par ailleurs excellente et les amateurs de couleurs vives seront ravis par le rose bien pétant de cette gamme.
Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente
À vous de voir si ces quelques compromis justifient les économies, mais une chose est sûre : l’iPhone 16 est parfaitement équipé pour tenir de nombreuses années. Il intègre une puce suffisamment puissante pour Apple Intelligence et même si ce n’est pas encore l’argument massue qu’Apple voudrait, c’est un bon gage pour l’avenir.
Bloodgate : quand les AirPods Pro 3 font littéralement saigner des oreilles
L’expression « saigner des oreilles » prend une toute nouvelle signification avec les AirPods Pro 3, si l’on en croit les nombreux témoignages apparus sur Reddit. Et comme à chaque petite affaire d’ampleur sur Internet, celle-ci a déjà un nom : le Bloodgate (blood pour sang, évidemment).
Des dizaines d’utilisateurs ont publié des messages plutôt inquiétants : douleurs, coupures ouvertes et même saignements après une utilisation prolongée des écouteurs d’Apple. Le nouveau capteur de fréquence cardiaque, situé à l’intérieur de chaque écouteur, serait le principal suspect.
Lyao1235, par exemple, a publié des photos montrant une oreille en sang après un long vol avec les écouteurs. « J’ai senti une pression du côté gauche, et en retirant l’AirPod, j’ai vu ça », écrit-il. Un autre utilisateur, brandonmp, a signalé des plaies identiques sur les deux oreilles, dans un fil datant de quelques semaines.
Beaucoup ont d’abord cru à un simple bouton ou à une irritation, avant de découvrir des lésions symétriques autour du canal auditif interne et du tragus — ce petit morceau de cartilage à l’entrée de l’oreille. Certains ont même remarqué de petites traces de sang en essuyant leurs oreilles après que l’un des écouteurs ait glissé.
Insistons sur le fait que ces cas, certes impressionnants, restent encore rares. Reste qu'on ne peut pas totalement les ignorer. Est-ce une forme qui ne convient pas à toutes les oreilles, un défaut de fabrication isolé, ou tout simplement une utilisation trop prolongée des écouteurs ?
AirPods Pro 3 : pourquoi le test des embouts n’est pas à prendre à la légère
Le capteur cardiaque dans le viseur
De nombreux utilisateurs désignent le nouveau capteur de fréquence cardiaque comme coupable. Ce petit cercle noir, placé à l’intérieur de chaque oreillette, repose directement contre le conduit auditif, souvent au niveau du tragus. Résultat : une pression constante sur la même zone, quel que soit l’embout choisi.
Certains ne ressentent aucun inconfort, d’autres parlent d’une petite aspérité perceptible au toucher, précisément à l’endroit des coupures ou irritations. À cela s’ajoute un léger échauffement : plusieurs personnes ayant activé la mesure cardiaque en continu notent une chaleur persistante, ce qui pourrait aggraver l’irritation avec le temps.
Pour l’heure, tout cela reste au stade du témoignage — aucun défaut matériel n’a été confirmé.
La réponse d'Apple
Pour l'heure, Apple n'a pas communiqué sur le sujet. Victime de ce problème, un utilisateur sur Reddit s'est vu refuser un retour « pour des raisons d'hygiène ». On lui a simplement recommandé d’essayer d’autres tailles d’embouts, chose que l'utilisateur avait déjà faite.
Parmi les conseils donnés, certains recommandent de désactiver la mesure de la fréquence cardiaque dans les réglages ou de faire fréquemment des pauses (ce qui n'est pas un mauvais conseil en soi). Quoi qu'il en soit, n'hésitez pas à surveiller l’état de vos oreilles après de longues sessions.