Vue lecture
Des Kindle en promotion dès 92 € et la couleur ou le stylet au meilleur prix
Si vous avez envie d'une liseuse et que vous comptez acheter vos livres sur Amazon — c'est important —, les Kindle sont en promotion. La version de base de la liseuse est 92 € en promotion (au lieu de 110 €) en deux couleurs, vert ou noir. À ce prix, Amazon va ajouter de la publicité sur l'écran de veille, ce qui est parfaitement supportable pour certains… et insupportable pour d'autres. Si vous voulez vous passer de la publicité la version sans réclames est à 100 € au lieu de 120 €. Dans les deux cas, la liseuse est éclairée, se charge en USB-C et dispose de 16 Go de mémoire interne.

La version Paperwhite, avec un écran plus lisible et un peu plus grand, est aussi en promotion. Elle est à 144 € avec de la publicité (au lieu de 170 €) et 152 € sans publicité, au lieu de 180 €.

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle
Il y a aussi des promotions sur le récent Kindle Colorsoft, doté d'un écran couleur. [La version avec 16 Go de stockage est à 185 € au lieu de 270 €, une belle réduction. Attention, il s'agit toujours d'un écran eINK et donc les couleurs sont un peu pastel, mais permettent tout de même de largement égayer les livres. Si vous voulez un adaptateur secteur USB-C (si vous n'en avez pas) et une housse, il y a aussi des promotions sur des packs, dès 222 €. La version dotée de 32 Go de stockage peut aussi être intéressante si vous aimez les bandes dessinées : elle est à 215 € au lieu de 300 €. Elle ajoute la charge sans fil, et [un pack avec une station de charge sans fil et une housse est proposé dès 267 €.

Enfin, les modèles de la gamme Scribe, dotés d'un grand écran et compatibles avec un stylet (fourni) sont aussi en promotion. La version avec 16 Go de mémoire est à 300 € au lieu de 430 €. Amazon ne facture que 20 € de plus pour passer à 32 Go et il faudra débourser 350 € pour la version 64 Go. Comme pour le Colorsoft, Amazon propose des packs avec une housse et un chargeur USB-C pour quelques euros de plus (dès 335 €).

Baromètre iFixit 2025. Devinez quel est le produit le plus catastrophique…
macOS peut exporter en PDF/A les PDF pour l'archivage
Depuis quelques versions de macOS (macOS Big Sur selon nos constatations), Apple propose d'exporter des documents dans une variante un peu particulière des fichiers PDF, les PDF/A. Le /A indique qu'il s'agit d'une version pensée pour l'archivage et la conservation à long terme. C'est un standard ISO, et son but est de permettre de stocker des PDF pour un usage futur avec une version très précise de la norme.
D'un point de vue pratique, un document PDF/A diffère sur certains points d'un PDF classique. Ou — plus exactement — il impose quelques points. L'intégration de références externes (polices, documents tiers, etc.) est interdite : un PDF/A ne doit contenir ni audio ni vidéo, et les polices doivent être intégrées dans le document. Dans un PDF classique, il est possible de se reposer en théorie sur les polices du système d'exploitation, mais ce n'est pas une solution pérenne. Le chiffrement est interdit, tout comme certaines technologies de compression, pour des raisons de propriété intellectuelle. Vous trouverez une liste des différences en question sur Wikipedia.

Sous macOS, donc, il est possible d'exporter un contenu en PDF/A. Avec Aperçu, il faut choisir Fichier > Exporter, sélectionner le format PDF et cocher la case Créer un PDF/A. Pour le test, nous avons simplement sauvé la page dédiée au PDF/A de Wikipedia avec Safari, puis exporté le même fichier en PDF/A avec Aperçu. La différence principale vient de la taille du fichier : le PDF/A pèse 391 ko, contre 280 ko pour la version classique. Une différence liée notamment à l'intégration des polices.
Par défaut, de nombreux programmes vont ouvrir les PDF/A en lecture seule, mais ce n'est pas le cas d'Aperçu sous macOS. Il faut noter, comme l'indique Howard Oakley, que les PDF/A créés par macOS ne sont pas compatibles totalement avec la norme PDF/A-2b selon un outil Adobe, mais d'autres logiciels de validation, eux, indiquent que les fichiers sont conformes, comme veraPDF. Il faut aussi noter que macOS peut créer un PDF/A avec du chiffrement, ce que la norme ne permet normalement pas.

Reste que même s'il y a visiblement quelques petits points qui peuvent poser des soucis, notamment avec les outils Adobe, la possibilité de créer un PDF/A est intéressante si vous devez fournir des PDF pour de l'archivage à long terme.
Voiture électrique : le bonus écologique augmenté à 5 700 €, sauf que…
Alexa+ arrive en France (en beta)
L'iPad mini OLED pas avant le troisième trimestre 2026 ?
La prochaine mise à jour de l'iPad mini pourrait être encore lointaine : d'après Instant Digital, ce serait pour le troisième ou quatrième trimestre de 2026 « au plus tôt ». Déjà le mois dernier, Mark Gurman prévenait que le design de ce nouveau modèle n'était pas encore finalisé et ne...

L'abonnement Microsoft 365 Famille et Personnel en promo pour le Black Friday !
HP remplace ses employés par l’IA !
Black Friday : Adobe offre un an d’accès à Photoshop… mais uniquement dans Chrome
Dans le cadre du Black Friday, Adobe offre un accès gratuit d’un an à Photoshop… mais ce n’est pas aussi excitant que l’on aimerait. Il ne s’agit pas de la version complète du célèbre éditeur d’images, celle que l’on peut installer sur son Mac ou PC sous Windows. C’est en réalité la variante allégée pour tourner dans un navigateur web qui est concernée et encore, uniquement pour les utilisateurs de Chrome. En effet, c’est un partenariat entre Adobe et Google et l’idée est d’obtenir un an d’accès à Photoshop Web à condition d’installer l’extension Chrome dédiée.
J’ai testé de mon côté et en effet, après avoir installé l’extension dans Chrome, j’ai bien eu accès à un abonnement gratuit d’un an. Précisons qu’un compte Adobe est indispensable ; j’en avais déjà un et j’aurais pu en créer un pour l’occasion si c’était nécessaire. Pas besoin en revanche de saisir un moyen de paiement, c’est le gros avantage : vous pouvez tester pendant 12 mois sans payer et avec l’assurance de ne pas être facturé automatiquement par la suite. Adobe espère vous convaincre dans l’intervalle, bien entendu, mais pour autant que je puisse en juger, c’est un essai réellement gratuit qui est proposé.
Reste qu’il s’agit uniquement de la version web de Photoshop, pas du logiciel complet. Selon les besoins, cela pourra suffire et j’étais étonné en testant rapidement la webapp de constater qu’elle est plus proche que je l’imaginais du « vrai » Photoshop. On retrouve vite ses marques grâce aux raccourcis clavier qui fonctionnent encore et le côté web ne gêne pas forcément, d’autant que cela fait bien longtemps que l’app d’Adobe a son propre univers graphique. Les outils de base pour recadrer, modifier la colorimétrie et retoucher les images sont bien là, tout comme ceux qui sont basés sur l’IA générative. Il lui manque toutefois de nombreuses fonctionnalités avancées : il n’y a rien pour dessiner ou gérer des vecteurs, il manque les filtres les plus complexes… bref, cela reste une app allégée.
Les professionnels feront mieux de se tourner vers l’app complète et le Black Friday est l’occasion de bénéficier de réductions intéressantes. L’abonnement d’un an au Creative Cloud Photographie, qui comprend Photoshop et Lightroom, est ainsi vendu moitié prix, soit 105 € la première année. D’autres offres sont également à tarif réduit, comme nous l’avions détaillé dans cet article.
Black Friday : jusqu’à - 63 % sur les offres Creative Cloud, même pour les abonnés existants
Si vos besoins sont plus légers, Photoshop Web peut faire l’affaire et le service a l’avantage de tourner dans tous les navigateurs web, y compris sous Linux. Je l’ai vérifié d’ailleurs : s’il faut passer par Chrome pour activer l’abonnement gratuit d’un an, je peux ensuite l’utiliser sans problème dans Safari. L’offre sera proposée jusqu’au 8 décembre 2025 et il ne semble pas y avoir d’autres conditions, même si j’imagine qu’elle est réservée aux personnes qui n’ont pas encore accès à la webapp.
Black Friday solaire : la Solarbank 2 AC d’Anker à 899 € et autres promotions
Même si ce n’est pas vraiment la saison pour penser à une installation solaire, le Black Friday qui se déroule toute la semaine est la bonne occasion pour s’équiper à prix réduit. Que vous cherchiez à acheter quelques panneaux solaires pour les installer sur un balcon ou dans le jardin ou que vous vouliez lisser votre consommation grâce à des batteries domestiques, voici les meilleures offres du moment.
Panneaux solaires
Pour bien commencer avec le solaire, le mieux reste d’acheter un panneau prêt à l’emploi qui vient se brancher sur une prise de votre logement. Il commencera à produire dès que le soleil passe l’horizon et alimentera dans la foulée vos équipements grâce au micro-onduleur fourni avec. J’ai testé le produit de Beem, un panneau solaire de 500 W qui est vendu en ce moment à 365 € au lieu de 429. Après un an et demi, il fonctionne toujours aussi bien, le support intégré est solide et je n’ai pour le moment aucune critique à formuler, surtout à ce prix vraiment bas sur le marché.
La maison au soleil : test du kit solaire « prêt à brancher » Beem On
D’autres fabricants français ont des propositions similaires, comme Sunology qui réduit le prix de son kit PLAY2 avec une puissance similaire (460 Wc) de 100 €, soit 499 € au lieu de 599. Sa gamme permet aussi d’ajouter un petit peu de tampon avec la Play Max qui intègre une petite batterie et qui est vendue 599 € au lieu de 699.
On paie naturellement un petit peu plus cher pour le support fourni et déjà monté, ainsi que pour le boîtier sur la prise qui sert à mesurer la production et transmettre les données à une app maison. Cette intégration est toutefois un avantage précieux pour bien commencer. Si vous débutez, rappelons qu’il y a des règles à respecter en France, vous trouverez tous les détails dans cet article.
La maison au soleil : quelles règles faut-il suivre pour installer des panneaux photovoltaïques en autoconsommation totale ?
Batteries domestiques
Le problème des panneaux solaires branchés directement sur le réseau électrique du logement, c’est que si vous ne consommez pas l’électricité produite à un moment donné, elle sera « perdue ». Pour être plus exacte, elle sera renvoyée sur le réseau public et consommée par vos voisins, mais ce n’est pas l’idéal pour rentabiliser un tel équipement. C’est pourquoi l’étape suivante consiste à ajouter des batteries domestiques qui vont stocker le surplus solaire typiquement en journée, pour les injecter dans le logement quand le soleil s’est couché, en soirée par exemple.
Anker dispose de toute une gamme de produits dans cette catégorie avec les appareils SOLIX que je teste également depuis plus d’un an. La Solarbank 2 AC est capable de gérer plusieurs panneaux et aussi de se recharger depuis le logement, ce qui est intéressant en hiver pour stocker de l’énergie pendant les heures creuses et limiter sa consommation pendant les heures pleines. Cette batterie de 1,6 kWh est actuellement vendue 899 € au lieu de 1 299 et vous pouvez la compléter avec des modules supplémentaires pour augmenter le stockage de 1,6 kWh à chaque fois. Comptez 699 € au lieu de 899 pour une batterie additionnelle, sachant que vous pouvez ajouter jusqu’à cinq modules pour un total de 9,6 kWh.
La maison au soleil : test du système SOLIX d’Anker, le solaire avec batterie
La maison au soleil : la Solarbank 2 AC ajoute la charge depuis le réseau au système solaire d’Anker
Anker a renouvelé depuis sa gamme avec les Solarbank 3 qui stockent plus d’énergie et améliorent la formule sur quelques autres points. Cette nouvelle génération est aussi en promotion, à 1 099 € au lieu de 1 299 pour l’unité de base qui intègre 2,68 kWh de batterie et 799 € au lieu de 899 pour les modules additionnels de même capacité. Quel que soit le modèle choisi, vous aurez besoin d’un compteur intelligent Anker pour savoir combien consomme votre logement et gérer finement l’énergie produite et injectée. Comptez 109,65 € au lieu de 129 pendant le Black Friday, même s’il sera parfois offert (c’est notamment le cas en ce moment avec la Solarbank 3).
Zendure est un fabricant spécialisé avec le même concept et ses produits SolarFlow sont également en promotion en ce moment. Chez Amazon, le kit avec le module de base Hyper 2000, une batterie de 1,9 kWh et quatre panneaux solaires pour un total de 1 720 W de production solaire théorique est vendu 911 € au lieu de 1 359 et c’est un bon moyen d’avoir une solution presque complète, il ne vous manquera plus qu’un compteur connecté et cela tombe bien, le Pro EM-50 de Shelly est lui aussi en promo, à 60 € au lieu de 89. J’utilise ces produits depuis environ un an, sans connexion solaire, mais tout fonctionne également très bien.
La maison au soleil : test du Zendure Hyper 2000, une batterie de stockage pas que pour le solaire
Sur son site, le fabricant a de nombreuses autres offres en promotion, dont ses produits de dernière génération, les Solarflow 2400. Leur grand avantage est de gérer une puissance de charge et décharge bien plus élevée, jusqu’à 2,4 kW dans les deux sens, ce qui peut couvrir des appareils qui consomment beaucoup comme du chauffage en hiver. Comptez 1 199 € au lieu de 1 798 pour un kit de base avec 2,88 kWh de stockage, 2 038 € au lieu de 2 997 pour un kit avec un module supplémentaire et 5,76 kWh de stockage ou même 5 394 € au lieu de 7 793 pour un stockage monstre de 17,28 kWh. De quoi couvrir les besoins quotidiens d’une bonne partie des logements.
Pour finir, Ecoflow a une gamme de batteries de stockage domestique et elles sont également en promotion. Comptez 713 € au lieu de 899 pour la Stream AC Pro, un module de base avec 1,92 kWh de stockage et une capacité de 1,2 kW dans les deux sens. Plusieurs kits sont également proposés selon les besoins, sachant que vous pouvez cumuler plusieurs éléments et les gérer ensemble dans l’app du fabricant. Pour les plus gros besoins, Ecoflow commercialise aussi la Stream Ultra qui améliore la puissance (2,8 kW en entrées solaires, 2,3 kW en sortie) et la capacité de base (3,84 kWh) et qui est vendue 1 399 € au lieu de 1 499. On pourra aussi ajouter quatre panneaux solaires pour un total de 2 000 W environ : comptez alors 1 969 € au lieu de 2 279.
Quel navigateur web utilisez-vous principalement sur iOS ?
Voilà maintenant deux ans que les utilisateurs iOS disposent d’un panneau les incitant à choisir eux-mêmes le navigateur qu’ils souhaitent utiliser. Ce mécanisme est proposé à tous les utilisateurs européens dans le cadre du DMA.
Ce dispositif fait, semble-t-il, le bonheur d’Opera, qui a communiqué à plusieurs reprises sur le sujet. L’éditeur norvégien a indiqué récemment que le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens aurait presque triplé depuis 2023. En France, la base active aurait même été multipliée par cinq.
Le nouvel écran de sélection du navigateur par défaut d'iOS 17.4 fait grimper les téléchargements de Brave
DMA : le nombre de nouveaux utilisateurs quotidiens d’Opera multiplié par 5 depuis la sortie d’iOS 17.4
Opera attribue ce regain d’intérêt à une combinaison de facteurs : d’un côté, l’écran de choix imposé par le DMA, qui met fin à l’invisibilité structurelle des navigateurs alternatifs sur iPhone ; de l’autre, une remise à plat de son application iOS, enrichie de fonctions maison comme un VPN gratuit intégré. Reste que, fidèle à une tradition bien installée dans la tech, Opera se garde bien de donner des chiffres absolus. On se contentera donc de tendances, flatteuses pour le DMA et embarrassantes pour Apple, qui continue de minimiser l’impact réel de ces nouvelles obligations.
La question est simple : quel est votre navigateur web par défaut sur iOS ?
La gamme Kindle dès 92€ pour le Black Friday : offrez une liseuse au meilleur prix pour Noël !
Les smartphones n'augmentent (finalement) pas les risques de cancer
L'Apple Pencil d'ESR à moins de 30€ pour le Black Friday !
Batterie Storey et panneaux solaires Sunology : notre code promo pour le Black Friday !
macOS 26.2 va accélerer l'IA sur la puce Apple M5
Actuellement en bêta, macOS 26.2 inaugure une nouvelle version du framework open source MLX, qui permet de faire tourner des modèles d'apprentissage automatique nativement sur Mac. Cette mise à jour tire désormais parti des accélérateurs neuronaux du GPU de la puce Apple M5 inaugurée par le...

Netflix augmente ses prix en Belgique, Spotify bientôt plus cher aux États-Unis
Sale temps pour nos lecteurs belges : Netflix va augmenter ses prix d’ici la fin de l’année. Un de nos lecteurs a reçu un mail l’informant que sa formule Essentiel allait bientôt passer de 10 à 11 €. Le changement sera mis en place à la fin décembre.

Les deux autres formules sont également concernées et augmentent de 2 €. L’abonnement standard est désormais facturé 16,99 € par mois pour du 1080p et la lecture sur deux appareils. L’offre Premium avec la 4K est affichée à 21,99 € par mois. Ceux partageant leur compte n’échappent pas à la règle : l'option pour ajouter un abonné supplémentaire passe de 3,99 € à 4,99 € par mois.
Nos lecteurs belges vont donc payer plus cher qu’en France. Dans l’Hexagone, l’abonnement standard avec pubs est à 7,99 € et l’offre Standard à 14,99 €. La formule 4K la plus onéreuse est déjà à 21,99 €. Les prix ont évolué pour la dernière fois en avril 2025.
Netflix n’est pas le seul à revoir ses prix à la hausse. Selon le Financial Times, Spotify se prépare à augmenter ses prix au premier trimestre prochain. Le changement ne concernerait que les États-Unis, sans détail sur la future grille tarifaire. Cette augmentation finira sans doute par se répercuter chez nous. La dernière hausse dans l’Hexagone date de juin 2025.
Netflix comme Spotify ont largement quitté l’époque des abonnements à bas prix. Arrivés sur le marché avec des tarifs agressifs pour attirer un maximum d’utilisateurs, ils enchaînent désormais les hausses de prix, comme une bonne partie du secteur du streaming. Entre l'augmentation des coûts de contenus et la pression des investisseurs sur la rentabilité, les deux plateformes n’ont visiblement plus beaucoup de marge pour jouer sur le volume d’abonnés : elles préfèrent relever régulièrement leurs tarifs plutôt que de casser les prix.
Avec CNEWS Prime, Canal+ veut réinventer l'info en continu... Mais comment ?
Cet iPhone a-t-il vraiment fait basculer le marché du smartphone ?
Pebble continue sa renaissance et est désormais quasi-entièrement open source
Pebble continue de renaître de ses cendres. Cette montre à écran monochrome rachetée par Fitbit il y a bientôt 9 ans et laissée à l’abandon a connu une belle année 2025 : son code source a été publié au mois de janvier, et son créateur Eric Migicovsky a annoncé vouloir reprendre du service et lancer 2 nouveaux modèles en fin d’année. Les bidouilleurs vont pouvoir s’en donner à cœur joie, car l'ensemble de sa pile logicielle est désormais entièrement open source, tout comme certains fichiers de conception matérielle clés.

La bonne nouvelle a été annoncée par Eric Migicovsky sur son blog. Jusqu’à présent, environ 95 % des logiciels Pebble étaient ouverts. Désormais, c’est l’intégralité de la pile nécessaire au fonctionnement des montres qui peut être téléchargée, compilée et utilisée librement, y compris la nouvelle application compagnon pour iPhone et Android. Même si la société Core Devices (la boîte derrière le retour de Pebble) venait à disparaître, la communauté dispose de tout ce qu’il faut pour continuer à faire vivre le projet.
PebbleOS, le système qui tourne sur la montre, est entièrement open source depuis janvier et toutes les améliorations apportées par Core Devices sont publiées sur GitHub. L’application mobile a été réécrite et est également sous licence libre, ce qui évite de revivre la situation de l’époque Fitbit quand l’absence d’app ouverte avait transformé les montres en (petits) presse-papiers. Enfin, les outils de développement ont été modernisés : le SDK a été remis au goût du jour et il est maintenant possible de créer des apps Pebble directement depuis un navigateur.
L’App Store Pebble profite aussi d’un sérieux lifting. Le catalogue d’origine composé de près de 15 000 cadrans et apps avait été sauvé par la communauté, mais reposait toujours sur une infrastructure centralisée. Désormais, la nouvelle app pourra s’abonner à plusieurs « flux » d’App Store, un peu comme un gestionnaire de paquets. Core Devices propose son propre flux, avec en prime une sauvegarde sur Archive.org pour garantir la pérennité des créations.

Côté matériel, Migicovsky rappelle que la nouvelle Pebble Time 2 a été pensée pour être plus réparable que les modèles historiques, avec un dos vissé et une batterie remplaçable. Les fichiers électriques et mécaniques de la Pebble 2 Duo ont aussi été publiés, de quoi permettre à des fabricants tiers d’imaginer leurs propres appareils compatibles PebbleOS. Migicovsky a confirmé à The Register que le dépôt de Google sur la marque Pebble avait expiré et qu’il en était désormais propriétaire.
Le billet donne enfin des nouvelles du calendrier de la Pebble Time 2. La montre est en phase de tests de validation de conception avant le début de la production de masse. L’objectif est de lancer les grandes manœuvres en début d’année pour livrer la majorité des précommandes entre mars et avril 2026. Quatre couleurs sont prévues, et les acheteurs recevront un mail prochainement pour choisir leur finition.
Black Friday : pourquoi les produits Apple coûtent toujours plus cher en France
La carte Cpay de Cetelem est désormais compatible Apple Pay
Si la majorité des banques sont désormais compatibles Apple Pay, il reste quelques irréductibles qui traînent la patte. Cetelem a fini par céder et propose depuis quelques temps sa carte Cpay sur le service d’Apple.

La liste des établissements bancaires incompatibles s’est réduite comme peau de chagrin au fil des années. On en a quand même vu arriver en 2025 : CIC a ajouté le service d’Apple sur ses cartes de paiement professionnelles au mois d’avril, quand la banque belge Keytrade Bank s’y est mise en février. La fonction est désormais présente dans de nombreux pays du globe, l’Égypte et la Mongolie s’y étant mises en fin d’année dernière.
Cetelem est un partenaire d’Apple, l’établissement proposant des crédits à la consommation, dont un financement à taux zéro sur sa boutique. Le partenariat rapporte à Cetelem, qui l’a prolongé plusieurs fois et qui s’est félicité de très bons résultats. La précédente initiative du genre n’avait pas duré si longtemps : Alma avait proposé ses services pendant seulement 3 mois… suite à un dysfonctionnement de son côté lors des précommandes de l’iPhone 14.
Crédit à la consommation sur l’Apple Store : une affaire qui roule pour Cetelem
Si les choses sont plutôt fluides du côté des banques, ce n’est pas encore cela chez d’autres acteurs. Le pass Navigo Annuel et Imagine R tardent à arriver sur smartphone, tandis que le réseau Conecs pour les titres-restaurant n’est pas encore pris en charge nativement sur Apple Pay. Certains grands noms refusent volontairement d’intégrer Apple Pay, comme Wall Mart aux États-Unis.
Le quasi-monopole d’Apple Pay devrait cependant s’effriter au fil des années. En Europe, il est possible de remplacer le service d’Apple par une autre solution de paiement. C’est par exemple le cas de Curve Pay qui permet d'associer une ou plusieurs cartes bancaires à une carte virtuelle (ou physique). C’est aussi le cas de PayPal en Allemagne ou de MB WAY au Portugal.