J’ai récemment opté pour deux Patriot Transporter Lite : un modèle de 2 To pour mon Mac mini, désormais devenu ma machine principale, et un autre de 1 To pour mon vieux MacBook Pro, en attendant son remplacement. Qu’on soit clair tout de suite : ce choix n’est pas motivé par la fiabilité, les disques durs mécaniques restant parfaitement adaptés à la sauvegarde incrémentale, ni par la vitesse brute puisque je sauvegarde la nuit.
Le vrai gain apporté par ces SSD d’entrée de gamme est ailleurs. Ils permettent une recherche quasi instantanée dans l’historique Time Machine, sont extrêmement transportables et offrent donc une bien meilleure sécurité face aux vols, incendies ou sinistres domestiques.
Le déclic est venu lorsque j’ai dû retrouver une ancienne version de fichier sur un disque dur Time Machine et que l’attente m’a semblé interminable, bien trop longue pour un usage moderne. De plus, le Mac mini étant par essence un ordinateur fixe, c’est sa sauvegarde qui doit être mobile. À l’inverse, quand je déplace mon vieux MacBook Pro, sa sauvegarde secondaire le suit.
Depuis ce passage au SSD, les sauvegardes sont fulgurantes, les recherches instantanées, et surtout mes sauvegardes me suivent partout. On redécouvre un vrai confort d’usage, au point que faire une sauvegarde devient presque agréable. En 2025, pour l’archivage massif à froid, le disque dur mécanique garde un intérêt économique, mais pour Time Machine, la rapidité de consultation, la mobilité et la sécurité physique, le SSD externe s’impose naturellement.
Simplifiez-vous la vie, passez au SSD pour vos sauvegardes : votre patience et votre tranquillité d’esprit vous remercieront.
Les grands esprits se rencontrent : il y a quelques jours, Emmanuel Pampuri nous livrait ses impressions après 3 mois passés avec l'iPhone 17 Pro comme caméra professionnelles, c'est désormais au tour de François de la chaîne Explique-moi encore de comparer l'appareil d'Apple aux boitiers qu'il utilise habituellement.
À l’heure où 2025 s’achève, l’équipe de MacGeneration dresse le bilan des produits qui ont marqué son année, qu’ils soient fraîchement sortis ou déjà bien installés. Il y a eu de bonnes surprises, des satisfactions attendues, mais aussi quelques déceptions. Voici nos coups de cœur et nos coups de gueule, de quoi inspirer vos cadeaux de Noël… ou vous éviter quelques achats regrettables.
L'année dernière, j'avais mis DockKit dans mes coups de gueule. Cette année, j'ai changé d'avis. En 2025, j'ai testé le Flow 2 Pro d'Insta360. C'est un stabilisateur DockKit, qui corrige les défauts du modèle de Belkin, et avec le support MagSafe (souvent optionnel, malheureusement), c'est vraiment pratique.
Je ne fais pas ça avec, mais ça montre qu'il est assez souple. Image Insta360.
Je m'en sers souvent pour filmer des plans fixes proprement, mais c'est aussi très efficace pour les conversations FaceTime, quand on aime marcher en parlant ou quand on veut montrer quelque chose. J'utilisais des stabilisateurs depuis quelques années, mais le combo MagSafe et DockKit (plutôt que la pince classique) est vraiment pratique. Et je me surprends réellement à l'utiliser très régulièrement. Si j'aime beaucoup DockKit, du coup, c'est vraiment dommage qu'Apple ne mette pas ça plus en avant.
Pendant des années, j’ai cherché une application pour gérer des partitions. Celles qui m’intéressaient étaient chères et je n’ai jamais osé sauter le pas, jusqu’à ce début d’année où j’ai dépensé 30 € dans forScore. L'application est universelle et chez moi, chaque appareil a son utilité : le Mac aide à importer les partitions dans la bibliothèque et à créer des setlists ; l’iPad sert évidemment à lire les partitions, mais aussi à les annoter pendant les répétitions avec une merveilleuse fonction de calque ; l’iPhone dépanne pour vérifier ou relire un passage rapidement.
forScore
En migrant mes partitions dans cette app (import PDF et scanner intégré), j'ai pu m’alléger de mes protège documents qui alourdissaient mon sac et me faisaient perdre du temps dans mes recherches. Bref, je recommande vivement cette application aux musiciens qui veulent se simplifier la vie et emporter avec eux leurs real books, partitions de concert ou autres.
L’iPhone Air (Greg)
Alors oui, l’idée n’est pas forcément dans l’air du temps quand on voit les ventes de cet iPhone ultra fin. Mais si tous les compromis peuvent refroidir l’utilisateur en général, il est des personnes chez qui ceux-ci ne sont pas si gênants, et j’en fais partie.
Oui, il n’a qu’un objectif, qu’un haut-parleur, mais il est fin, léger, et a un grand écran. C’est tout ce que je lui demande ! Image MacGeneration.
Dans la majorité des tests, les reproches sont les mêmes : l’autonomie, l’unique caméra arrière et le haut-parleur monophonique. L’autonomie ? Je n’ai pas à m’en plaindre, je n’ai jamais été au bout de la batterie. Il faut dire que mon utilisation typique n’en demande pas trop : la plupart du temps, je suis chez moi. Et quand je sors, je suis en voiture et le chargeur sans fil intégré fait l’affaire.
L’appareil photo ? Étant un grand amateur de photo, quand je sais que j’en ai besoin, je sors le DSLR. Certes, le meilleur appareil est celui qu’on a avec soi. Mais au final, si c’est juste pour prendre une photo à l’arraché, l’optique unique de l’iPhone Air me suffit amplement. Reste le haut-parleur monophonique. Si au départ, c’était étrange de n’avoir de son que sur un côté, en usage courant, je ne m’en aperçois même plus. Et quand j’ai besoin d’avoir un meilleur son, je sors au choix les AirPods Pro 2 ou le Focal Bathys.
Au bout du compte, l’iPhone Air a des limitations, mais on s’en fait plus une montagne qu’autre chose. En contrepartie, j’ai un téléphone avec un grand écran, ce qui revêtait la plus haute importance pour moi étant grand consommateur de contenus textuels. Et que dire du poids : quand je reprends un autre iPhone — à part l’iPhone mini de ma compagne —, quelle différence énorme, j’ai l’impression d’avoir une brique entre les mains ! Donc oui, l’iPhone Air est validé, et c’est sûrement le meilleur iPhone que j’ai eu ces dernières années !
J’ai pu tester cet été le casque OpenSwim Pro de Shokz à conduction osseuse et qui a l’avantage de pouvoir aller sous l’eau. Le produit m’a complètement convaincu, au point que c’est la première fois que j’attribue une note de 5 sur 5 dans les colonnes de MacG !
OpenSwim Pro. Image Shokz.
Le casque n’a rien de particulièrement dingue dans son design ou sa fabrication, mais permet d’écouter sa musique sous l’eau. C’est assez magique la première fois et l’effet ne s’est toujours pas estompé chez moi, même après plusieurs baignades. J’ai retrouvé l’effet « waouh » de la découverte des AirPods, ce moment où l’on se dit : « Attends, on peut vraiment écouter de la musique comme ça ? » Il fonctionne également sur la terre ferme, où il est devenu un bon allié pour mes footings. Bref, un achat que je recommande chaudement pour les nageurs amateurs du mois d’août comme pour ceux pratiquant en bassin plusieurs fois par semaine.
Les S3XY Buttons et surtout le Commander de Enhance Auto (Nicolas)
Cela faisait des années que j’étais intrigué par les « S3XY Buttons » et surtout le Commander d’Enhance Auto. Ce boîtier vient se brancher directement sur les circuits de communication des Tesla et il leur ajoute de multiples fonctionnalités, par le biais des boutons ou même en toute autonomie. J’apprécie d’avoir des commandes physiques dans l’habitacle pour diverses tâches qui nécessitent normalement de passer par l’écran, comme un bouton qui (dés)active la ventilation à l’arrière de ma Model 3. La vraie force du produit dans notre cas, c’est toutefois l’Autopilot en continu, qui corrige un des plus gros défauts de la voiture.
Un des boutons S3XY installé dans ma Model 3. Image MacGeneration.
Comme je l’ai détaillé dans le test complet, le Commander réactive automatiquement le maintien de la trajectoire après avoir changé de voie, ce que Tesla refuse de faire par défaut pour vendre son Autopilot amélioré à 3 600 €. S’il n’était pas question de dépenser une telle somme, ce produit vendu environ 260 € est bien plus raisonnable et il fonctionne vraiment bien. Cela fait maintenant près de 12 000 km que nous roulons avec le boîtier en place, nous avons eu l’occasion de le tester dans toutes les configurations et nous n’avons jamais été déçus par l’appareil.
Je crois que cela fait bien 20 ans que je cherche à acquérir un aspirateur robot, mais on m’a toujours découragé à le faire. Ce secteur est actuellement en plein boom avec l’essor de la domotique et de l’intelligence artificielle.
SwitchBot S20
Non seulement le Switchbot S20 passe l’aspirateur à ma place, mais il est capable de laver le sol. Je reviendrai sur les capacités de cet appareil dans un test à venir, mais voilà, je peux dire à Siri de faire le ménage pendant que je continue de travailler.
Le résultat est tout à fait satisfaisant. Avec le recul, je regrette presque de ne pas avoir pris un modèle branché directement au système d’eau dans la maison. Bref, je ne passe plus l’aspirateur, mais je passe désormais mon temps à l’entretenir. Malgré tout, le gain de temps reste largement positif.
L’iPad (Artem)
J’ai longtemps été un détracteur de l’iPad, un appareil dont je n’avais jamais réussi à justifier l’achat, parce qu’il se positionnait pour moi bizarrement entre le Mac et l’iPhone. Mais cette année, quelque chose a changé. J’en ai tellement marre d’utiliser mon Mac dix heures par jour que, quand je veux me détendre sur un appareil avec un grand écran, l’iPad est devenu la solution. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : ce n’est clairement pas l’idéal, et iOS 26 a même empiré les choses à certains égards (le nouveau système de fenêtres est toujours une alternative étrange à Split View et à un Slide Over vraiment multitâche). Mais malgré tout, ça reste un appareil de niche plutôt sympa.
iPad Pro 13 pouces M4. Image MacGeneration.
Je joue avec, notamment à Medieval Total War et au Colin McRae Dirt 2 de la PSP en émulation. Je compte bien relancer Red Dead Redemption, un jeu de mon enfance. L'iPad de 13 pouces est encombrant à transporter, mais étonnamment pratique en voyage, car il fait parfaitement l'affaire comme écran supplémentaire. Alors, malgré mes sentiments mitigés, j'ai décidé de faire de l'iPad mon coup de cœur cette année. Au fait, j’utilise un iPad Pro M4 de 13 pouces avec le Magic Keyboard.
Le DJI Mic Mini (Félix)
De temps à autre me prend l’envie de faire des vidéos. J’ai pendant longtemps utilisé un micro-cravate de Rode qui a fini par prendre la poussière à cause de son long câble contraignant à mettre en place (et à démêler en le sortant du tiroir). Voulant retenter l’expérience avec un modèle sans fil, je me suis tourné un peu au hasard vers le Mic mini de DJI, qui ne coûte pas grand-chose étant donné qu’il est vendu 25 € seul ou 45 € avec un récepteur.
Mic Mini. Image DJI
Je ne m’attendais pas à être particulièrement époustouflé au vu de ce tarif très abordable par rapport à la concurrence (il faut débourser au moins 100 € pour la même chose chez Rode). J’ai été très agréablement surpris : le micro est livré dans une petite pochette de transport avec différentes bonnettes et plusieurs câbles.
Tout fonctionne immédiatement, le son est excellent et l’autonomie très bonne. Il n’y a même pas besoin d’installer l’application de DJI et le micro peut se connecter directement aux différents produits de la marque. Bref, un achat un peu hésitant que je ne regrette absolument pas.
Aqara FP300 et les autres détecteurs de présence sur pile (Nicolas)
La détection de présence a bousculé ma vision de la domotique : ces appareils basés sur un radar ultra-précis au lieu des ondes infrarouges plus grossières permettent de créer des automatisations vraiment fiables et de gérer les lumières réellement en fonction de la présence dans une pièce. Longtemps réservés à des appareils qui consommaient trop pour fonctionner sans fil, 2025 a été l’année de la détection de présence sur piles, ouvrant de nouvelles opportunités.
Le FP300 d’Aqara, première option nativement compatible Matter que j’ai testée dans la catégorie. Image MacGeneration.
Si j’ai pu expérimenter avec la catégorie en début d’année grâce à Home Assistant, le FP300 d’Aqara est le premier modèle d’envergure dans le domaine. Équipé d’une puce qui peut se connecter en Zigbee ou en Thread au choix, c’est un modèle nativement compatible avec Matter et que l’on peut donc exploiter dans l’app Maison d’Apple. Il fonctionne par ailleurs aussi bien que promis et offre plusieurs fonctionnalités annexes, avec son thermomètre ou son capteur de luminosité intégrés.
L’appareil est malheureusement victime de son succès, mais il semble avoir ouvert la voie pour d’autres produits identiques. SwitchBot en a désormais un, même s’il nécessite un hub maison pour Matter, et Meross a suivi le mouvement avec son propre modèle qui se connecte à la domotique grâce à Thread. Tous ces produits reposent sur les mêmes mécanismes et promettent des fonctionnalités proches, mais vous pouvez compter sur de futurs tests pour s’en assurer.
AirPods Pro 3 (Stéphane)
Les AirPods Pro 3 en coup de cœur, ce n’est pas vraiment une surprise, quoique. J’adore mes AirPods Pro 2 — achetés seulement en fin d’année dernière pour remplacer des Pro 1 défaillants — et j’étais bien décidé à les privilégier pendant longtemps. Mais voilà, les derniers écouteurs ont réussi à me surprendre.
AirPods Pro 3. Image MacGeneration.
Le bond en avant n’est pas aussi important qu’entre les deux premières générations, néanmoins les AirPods Pro 3 progressent sur tous les fronts. La réduction de bruit, bien aidée par les nouveaux embouts infusés de mousse, me bluffe tout particulièrement. Même si je n’utilise pas souvent le capteur de fréquence cardiaque, les AirPods Pro 3 ont conquis mon cœur.
Le routeur portable GL.iNet pour simplifier les vacances connectées (Nicolas)
Ma série estivale sur les vacances connectées a beaucoup fait parler d’elle, mais ce que je retiens surtout, c’est bien le routeur portable qui était au cœur de l’expérience. J’avais choisi un peu au hasard le GL-MT3000 de GL.iNet et le choix s’est avéré payant : à plusieurs reprises, il m’a considérablement simplifié l’accès à internet sur un lieu de vacances, en récupérant la connexion fournie sur place et en créant un réseau Wi-Fi identique à celui qui est en place chez nous.
Le routeur en action dans une maison de vacances. Image MacGeneration.
Bien évidemment, c’est utile si vous vous déplacez avec les objets connectés, qui pourront ainsi retrouver leur connexion n’importe où, sans avoir à les connecter à un réseau différent à chaque fois. C’est aussi, et peut-être surtout, pratique pour tous nos iPhone, montres connectées, iPad et autres ordinateurs portables. Grâce au routeur de GL.iNet, tous ces périphériques peuvent se connecter au même Wi-Fi qu’à la maison, sans avoir à saisir des identifiants à rallonge à chaque fois et en bénéficiant de performances souvent bien supérieures à ce qui est proposé sur place. Que j’ai accès à une prise Ethernet, un réseau sans-fil existant ou même tout simplement que je partage la connexion de mon smartphone, le résultat est toujours le même, ce qui est très pratique.
Le système d’exploitation du routeur GL.iNet regorge d’options, bien plus que je l’imaginais au départ. Je n’ai pas encore tout exploité, mais j’aimerais bien configurer un VPN depuis mon réseau local pour renforcer encore l’idée que je peux transporter ma maison connectée n’importe où.
L'Ethernet rapide arrive enfin à un prix correct (Pierre)
Depuis quelques années maintenant, des NAS intègrent des prises Ethernet à 2,5 ou 10 Gb/s (même chez Synology) et les connexions à internet dépassent largement 1 Gb/s. Mais en parallèle, le matériel ne suivait que rarement. Les cartes Ethernet à 10 Gb/s restent assez onéreuses, les adaptateurs Thunderbolt valent facilement plus de 200 €, et même chez Apple c'est uniquement une option sur le Mac mini M4 et ce n'est pas proposé sur l'iMac M4. Mais en 2025, il y a eu deux bonnes nouvelles.
En janvier, je testais un adaptateur Ethernet à 5 Gb/s en USB-C, et j'espérais un prix vers 40 € pour l'arrivée en masse des accessoires sur le marché. Je m'étais trompé : ils sont à 30 € environ. Et fin novembre, j'ai essayé un des premiers adaptateurs USB-C à 10 Gb/s de la même société (Realtek). Dans les deux cas, l'Ethernet à plus de 1 Gb/s se démocratise et c'est une bonne nouvelle. Il y a quelques compromis, mais pour profiter d'un NAS rapide ou d'une connexion à 8 Gb/s, c'est parfaitement suffisant et surtout beaucoup moins cher que le Thunderbolt.
L'adaptateur USB (à gauche) est vraiment plus petit que le (gros) modèle d'OWC, en Thunderbolt. Image MacGeneration.
Très attaché à Spotify depuis ses débuts, je lui fais pourtant régulièrement des infidélités en lançant Apple Music. Pourquoi ? Parce que j’aime (re)découvrir des morceaux en Dolby Atmos. Le rendu varie d’un titre à l’autre, mais cette année, toute la discographie d’Oasis a été convertie à l’audio spatial, alors je ne pouvais pas passer à côté de ça.
Des nouveautés sympas d’Apple Music sur iOS 26 : l’animation sur l’écran verrouillé ainsi que la traduction et la prononciation des paroles. Image MacGeneration.
Bref, Apple Music regorge de fonctions innovantes qui manquent à Spotify. C’est pour cela que je traque les offres spéciales — je ne compte plus le nombre de mois gratuits glanés au fil du temps. Alors pourquoi ne pas basculer totalement vers le service d’Apple ? Parce que Spotify garde des atouts essentiels à mes yeux, notamment ses recommandations et Spotify Connect. Je jongle donc entre les deux, et ce n’est finalement pas si mal.
Quand Apple a sorti le HomePod 2, j’en ai acheté une paire pour m’en servir d’enceintes de home cinema couplées à une Apple TV. Je les ai immédiatement posés sur un meuble et je les contrôle depuis l’Apple TV ou vocalement avec « Dis Siri ». Il y a quatre mois, ces deux HomePod 2 se sont mis à jouer de la musique à tue-tête en pleine nuit. Heureusement, ça n’a réveillé que moi. J’ai compris rapidement que les enceintes avaient relancé la lecture de la playlist arrêtée juste avant d’aller me coucher.
La surface tactile du HomePod 2 qui s’active toute seule. Image iGeneration.
Le panneau tactile que je n’utilise jamais me fait défaut et un de mes HomePod 2 devient donc inutilisable après deux ans et demi. Il y a bien une bidouille à effectuer dans les paramètres d’accessibilité pour atténuer le problème, mais celle-ci n’a fonctionné qu’un temps. Il y a trois semaines, le HomePod s’est rallumé en pleine nuit avec un podcast cette fois.
À l’Apple Store, on m’a indiqué qu’il n’y avait pas assez de retours utilisateur pour qu’Apple mette en place un programme de service synonyme de réparation gratuite. Il me reste trois options : démonter moi-même l’appareil pour débrancher la nappe de la zone tactile ; payer 280 € pour un remplacement chez Apple ; ou payer un réparateur tiers. Si vos HomePod rencontrent le même problème, n’hésitez pas à aller râler en Apple Store. Qui sait, à la fin, Apple finira peut-être par organiser un programme de remplacement.
Logi Options+, l’app qui ruine (presque) les excellentes souris de Logitech (Nicolas)
Je savais que Logi Options+, l’app associée aux produits Logitech, était mauvaise. Mon collègue Félix avait eu l’occasion de la tester et je l’avais entendu parler de son poids de plus en plus élevé et de ses fonctions « intelligentes » très mal pensées. Néanmoins, j’ai eu l’occasion de le vivre directement en testant la récente souris MX Master 4 et j’ai failli être aveuglé par l’app au point d’ignorer les qualités du matériel.
L’app n’a pas l’air si horrible comme ça, n’est-ce pas. Image MacGeneration.
Le poids de l’app est évidemment ridicule : quasiment 500 Mo sont utilisés sur mon Mac pour configurer une souris. Son interface Electron n’est pas forcément moche, même si elle ne respecte pas les canons de macOS et surtout, elle n’est pas toujours intuitive. Ce qui m’a surtout gêné, pour ne pas dire choqué, ce sont les demandes envahissantes au démarrage de l’app, Logitech obligeant à donner accès à tout ce que l’on saisit sur son Mac pour pouvoir lancer Options+. Si cela peut éventuellement être utile pour un clavier (et encore), c’est totalement superflu pour une souris et je ne devrais pas avoir à donner un tel accès.
Pour ne rien arranger, l’app est techniquement mauvaise sur plein de points. Dans mon test de la souris, j’ai détaillé cette automatisation suggérée par Logitech qui lance Notes en activant Spotlight puis en saisissant le nom de l’app dans le champ de recherche ! Le Mac est une excellente plateforme pour automatiser des tâches et le fabricant devrait avoir honte de proposer une telle fonctionnalité. Heureusement que son matériel est bon…
Le même coup de gueule que l'année dernière, mais pour une raison simple : Belkin a rappelé son support, qui était très perfectible, pour des risques d'incendie. Il n'y a pas de remplacement possible (ni de remplaçant) et Belkin rembourse l'appareil en demandant de s'en débarrasser et de ne plus l'utiliser. Un échec tout du long, donc.
Support rotatif DockKit Belkin
La coque GameBaby (Félix)
J’ai eu la bien mauvaise idée de faire un achat impulsif en début d’année et de précommander la coque GameBaby. Sur le papier, le concept est sympa : une coque réversible dont on peut déclipser la partie arrière pour transformer son iPhone en une sorte de GameBoy avec l’émulateur Delta. Malheureusement, le résultat est plus que bancal pour un accessoire ayant de trop nombreux problèmes de conception.
Image MacGeneration
La coque n’est pas très pratique en soi et est assez compliquée à mettre en place. Même quand c’est fait, le produit est difficilement utilisable étant donné qu’il cache une partie de l’interface du téléphone. Pire : de nombreux faux contacts rendent les parties frustrantes et passent l’envie de s’en servir. L’idée de base n’est pas bête et mériterait sans doute d’être intégralement repensée comme accessoire MagSafe, mais en l’état, la coque a fini au fond d’un tiroir en moins d’une semaine.
La disparition des sorties d’enregistrement dans la hi-fi (Greg)
Vous vous dites peut-être « qu’est-ce que ça vient faire sur un site qui parle d’Apple ? » Le lien est pourtant là, et beaucoup plus profond qu’il n’y parait.
Vieux, mais pas obsolète : le DAT aurait de quoi en remontrer aux aficionados du streaming ! Image audiophile.coolblog.jp
Il y a encore quelques années, un ampli hi-fi ne se concevait pas sans une sortie permettant d’y brancher une platine cassette, ou pour les plus modernes d’entre nous, une platine DAT ou CD-R. Mais depuis quelque temps, y compris dans la hi-fi haut de gamme, pouf, disparue ! Le streaming et la dématérialisation sont passés par là, et ils ont fait de gros dégâts pour ceux qui aiment de temps en temps s’enregistrer une bonne mix tape. La majorité du grand public ne s’intéresse plus qu’à la musique en ligne, en ajoutant au mieux une platine vinyle.
Les audiophiles (même si je déteste ce terme) qui ont encore des platines cassette, DAT, MiniDisc ou même DCC pour se retrouvent les dindons de la farce : impossible d’avoir un ampli décent, récent et connecté qui possède la moindre sortie pour y enregistrer ses morceaux favoris. Certes, ça ne concerne pas la majorité des consommateurs, qui ne jurent maintenant que par Spotify ou Apple Music. Mais par pitié, tout comme certains regrettent la fin de la prise jack sur les iPhone, rendez-nous une sortie d’enregistrement, au moins sur un ampli dans votre gamme !
L'USB-C qui est en fait de l’USB-A (Pierre)
Ça fait une dizaine d'années que j'utilise de l'USB-C (avec un MacBook Pro 2017) et cette norme universelle m'énerve sur un point : les prises USB-A. Sur les dizaines d'accessoires que j'ai pu acheter ou tester sur la période et qui sont « USB-C », je peux compter sur les doigts d'une main ceux qui sont arrivés avec un câble USB-C vers USB-C. Dans l'énorme majorité (en dehors peut-être des SSD externes), le constat est assez simple : les appareils possèdent bien une prise USB-C femelle mais sont livrés avec un câble USB-C vers USB-A. Et dans une partie significative des cas (même si heureusement c'est un défaut qui tend à disparaître), il n'est même pas possible de le remplacer par un câble USB-C classique : ça ne fonctionne tout simplement pas sur un chargeur USB-C qui suit correctement la norme USB PD.
Je ne vais pas vous réécrire le dossier USB-C compliqué et je sais que le problème vient du fait que les acheteurs sont sous Windows avec des PC qui n'ont pas toujours plusieurs prises USB-C, mais ce n'est pas vraiment mon problème, en fait. Si l'USB-C est globalement une réussite et qu'il me semble plutôt positif de tenter d'unifier ce sac de nœuds, la mise en place est tout sauf une réussite. Et devoir vérifier sur la fiche technique si je vais avoir le bon câble, ça a tendance à m'énerver… surtout quand je vois que la seule solution est parfois de me tourner vers une version « pour Mac » évidemment vendue plus cher. Et le résultat, c'est que j'ai une boîte à câble qui ne contient presque que des câbles USB-C vers USB-A, et que je dois garder un chargeur USB-A pour quelques accessoires récalcitrants.
Les chargeurs Qi2 ventilés (Stéphane)
J’apprécie la recharge par induction. J’apprécie encore plus la recharge MagSafe/Qi2 pour sa facette magnétique et sa puissance plus élevée. Mais à trop chercher la vitesse, les fabricants ont fini par faire des produits absurdes.
Pour remplumer le plus rapidement possible les derniers iPhone, certains chargeurs Qi2 de 25 W intègrent un ventilateur. Et devinez quoi, un ventilateur ça fait du bruit. Un bruit qui est vraiment insupportable quand l’appareil est posé sur votre table de chevet.
Pas totalement bêtes non plus, les fabricants ont anticipé cette nuisance en permettant de couper la soufflerie. Mais au bout du compte, on se retrouve face à une débauche de technologies et à des prix très élevés pour un résultat qui reste inférieur à un simple câble en matière de puissance. Absurde, vous dis-je.
Les gens qui croient encore à Windows ARM (Pierre)
Au départ, je voulais faire un coup de gueule sur Windows ARM, parce que chaque PC que je teste est décevant. Mais en fait, ce qui m'énerve quand je teste ce genre de PC, ce sont les personnes béatement optimistes sur le futur de cette solution. Dans littéralement tous les tests, quand j'explique que les applications natives sont ridiculement rares, les commentaires (que ce soit à l'écrit ou à l'oral) sont du même type : « oui, mais ça va arriver », avec parfois une remarque du genre « regarde, — nom d'un logiciel — vient d'arriver en version ARM » ou « mon jeu préféré qui a 20 ans tourne en émulation ». Et je ne comprends pas comment on peut arriver à défendre l'absence d'applications natives.
Windows ARM c'est sympa, tant qu'on ne l'utilise pas. Image MacGeneration.
Les premiers PC sous Windows 10 ARM datent de fin 2017, et les applications réellement natives sont encore rares. En dehors des navigateurs, il y a Office… et c'est à peu près tout. Les jeux ? Oubliez. Les applications pour le travail, dès qu'il ne s'agit pas des géants du secteur ? Oubliez. Et même chez les grands éditeurs, il faut parfois se contenter de versions bêta. Pour tout dire, même Microsoft a traîné pendant des années avant de proposer une version native d'Office ou de ses outils de développement. Un comble. Donc, non, ça ne va pas arriver. Nous sommes en 2025, et à chaque sortie d'un processeur Qualcomm, on peut entendre la même rengaine : « cette fois, c'est bon. » Sauf qu'en réalité, non, ce n'est pas bon.
Je peux comprendre que certains détestent le x86 (et soient encore dans cette opposition RISC/CISC particulièrement datée et fausse), mais pas qu'on puisse en être à encore considérer que cette plateforme puisse un jour devenir autre chose qu'un hobby amusant pour Microsoft et Qualcomm. Un hobby qu'on tente de relancer chaque année avant de se rendre compte que littéralement personne n'achète les PC en question. Et ce qui me fait presque sourire, c'est que c'est en partie à cause des imprimantes. Une catégorie de produits que je pourrais mettre dans les coups de gueule chaque année.
Meta a annoncé l’acquisition de Limitless, une start-up américaine connue pour son pendentif connecté capable d’enregistrer et de résumer des conversations grâce à l’intelligence artificielle. Les détails financiers n’ont pas été communiqués, mais l’opération confirme l’ambition de Meta d’accélérer dans le domaine des appareils matériels intégrant de l’IA.
J’ai récemment opté pour deux Patriot Transporter Lite : un modèle de 2 To pour mon Mac mini, désormais devenu ma machine principale, et un autre de 1 To pour mon vieux MacBook Pro, en attendant son remplacement.Qu’on soit clair tout de suite : ce choix n’est pas motivé par la fiabilité, les disques durs mécaniques restant parfaitement adaptés à la sauvegarde incrémentale, ni par la vitesse brute puisque je sauvegarde la nuit.
Le vrai gain apporté par ces SSD d’entrée de gamme est ailleurs. Ils permettent une recherche quasi instantanée dans l’historique Time Machine, sont extrêmement transportables et offrent donc une bien meilleure sécurité face aux vols, incendies ou sinistres domestiques.
Le déclic est venu lorsque j’ai dû retrouver une ancienne version de fichier sur un disque dur Time Machine et que l’attente m’a semblé interminable, bien trop longue pour un usage moderne. De plus, le Mac mini étant par essence un ordinateur fixe, c’est sa sauvegarde qui doit être mobile. À l’inverse, quand je déplace mon vieux MacBook Pro, sa sauvegarde secondaire le suit.
Depuis ce passage au SSD, les sauvegardes sont fulgurantes, les recherches instantanées, et surtout mes sauvegardes me suivent partout. On redécouvre un vrai confort d’usage, au point que faire une sauvegarde devient presque agréable. En 2025, pour l’archivage massif à froid, le disque dur mécanique garde un intérêt économique, mais pour Time Machine, la rapidité de consultation, la mobilité et la sécurité physique, le SSD externe s’impose naturellement.
Simplifiez-vous la vie, passez au SSD pour vos sauvegardes : votre patience et votre tranquillité d’esprit vous remercieront.
Dernier rappel pour les retardataires : si vous voulez vous offrir le magazine des 25 ans de MacGeneration ainsi que notre joli mug, c’est le moment ou jamais. Tout le stock étant désormais arrivé, nous préparerons et expédierons les commandes dès la semaine prochaine. À l’approche des fêtes de fin d’année, cela peut être une très belle idée cadeau.
Malheureusement, les iPhone ne sont pas inclus !
Au-delà de l'objet, le magazine est une véritable plongée dans nos archives que nous vous proposons. S’il célèbre l’histoire de MacGeneration, il retrace également un quart de siècle de la saga Apple. Du lancement de l’iPod en France à l'ouverture des premiers Apple Store, en passant par la révolution iPhone et les grandes transitions du Mac, c'est un voyage dans le temps qui vous attend.
Entre souvenirs, analyses de fond et clins d’œil à l’âge d’or de la presse papier, nous avons voulu créer un objet qui restera. Que vous ayez découvert la Pomme à l'époque de l'Apple II, du premier Mac, ou plus récemment avec l'iPad ou le Vision Pro (pourquoi pas !), ce magazine a été pensé pour vous.
Plusieurs formules sont à votre disposition : vous pouvez acquérir le magazine seul ou opter pour le pack incluant notre mug (ce dernier est également vendu séparément). Notez que si les tarifs affichés incluent les frais de port pour la France métropolitaine, un supplément s’applique pour les expéditions à l’international.
Un conseil : ne tardez pas trop si vous êtes intéressé. Les stocks sont limités et nous clôturerons définitivement les commandes ce dimanche soir ou lundi matin au plus tard.
Après les Mac, l'iPhone ? Selon une nouvelle rumeur, Apple envisagerait de confier à Intel la fabrication de certaines puces destinées à ses smartphones d'entrée de gamme. Un rapprochement inattendu qui s'inscrit dans une stratégie de diversification de la chaîne d'approvisionnement.
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Coup sur coup, Apple vient de perdre deux de ses cadres les plus importants. John Giannandrea, qui supervisait les technologies d’intelligence artificielle, va prendre sa retraite. Et Alan Dye, le responsable du design logiciel, va rejoindre Meta. Ces départs sont-ils de mauvaises nouvelles ou au contraire une chance pour l’avenir ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, la crise sur la mémoire vive, les moyens de lutter contre les appels indésirables sur iPhone et le blocage de FaceTime en Russie.
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On sait que Tim Cook est proche de la retraite, peut-être pas dès le début d'année 2026 comme le suggéraient certaines récentes rumeurs mais dans un avenir relativement proche, le CEO d'Apple ayant désormais 65 ans. Cela fait quelques années que John Ternus serait préparé à prendre sa...
Le nom d'Apple avait fuité pendant les négociations, mais on doute que les comptables de Cupertino aient réellement envisagé de débourser une telle somme pour booster les activités d'Apple TV. C'est finalement Netflix qui va racheter le catalogue de Warner Bros., a annoncé l'entreprise cet...
Si ce mois de décembre est un peu plus calme que les mois précédents (mis à part la sortie imminente d’iOS et macOS 26.2), Apple pourrait très bien commencer l’année en beauté, avec la sortie de quatre nouveaux produits très rapidement, possiblement dès le mois de janvier 2026 comme le subodore 9to5Mac.
Les nouveaux MacBook Pro M5 Pro/Max devraient arriver très vite. Image Apple.
MacBook Pro M5 Pro et M5 Max, et MacBook
Alors qu’Apple a sorti les MacBook Pro M5 cet automne, les prochains attendus sur la liste sont les versions motorisées par les M5 Pro et M5 Max, qui sortiront dans les dimensions 14 et 16 pouces. Si pour le moment les rumeurs indiquent une date aussi floue que « début 2026 », Apple pourrait très bien rééditer le coup de janvier 2023, où elle a sorti les nouvelles versions M2 Pro et M2 Max de ces machines.
Mais la machine la plus attendue n’est peut-être pas celle que l’on croit : Cupertino devrait sortir dans les mêmes délais le fameux MacBook d’entrée de gamme, première machine à intégrer un SoC directement venu des iPhone avec un fort probable A18 Pro. La nouvelle machine, digne héritière du MacBook (sans ses tares dues aux CPU Intel), devrait présenter un écran 12,9 pouces, un poids plume et une autonomie confortable, le tout dans un prix très contenu entre 500 et 800 €. Dernièrement, Jeff Pu a indiqué une sortie prévue pour mi Q1 2026, ce qui pourrait très bien correspondre à ce mois de janvier aussi.
L’iPhone 16e a été présenté en février 2025. Son successeur, l’iPhone 17e, devrait arriver autour des mêmes dates. Pas de très grosses nouveautés à attendre du côté du successeur de la série des iPhone SE, à part un renouvellement annuel qui amènera bien souvent une évolution de la puce. Ici, c’est le A19 qui devrait entrer dans le smartphone, pour remplacer le A18 présent dans l’iPhone 16e. Quelques ajustements devraient venir en même temps, avec le remplacement de l’encoche par la Dynamic Island, la caméra frontale Center Stage et des bords plus fins.
L’iPad, de son côté, devrait étrenner l’A18, après avoir eu droit à l’A16 Bionic dans sa dernière mise à jour en 2025. Très peu d’autres changements devraient intervenir, cette évolution ne devant être qu’un « speed bump », apportant tout de même Apple Intelligence à l’iPad d’entrée de gamme.
D’autres gammes devraient être renouvelées, mais plus probablement au printemps, donc vers les mois d’avril/mai : le MacBook Air, qui devrait passer au SoC M5 comme le reste de la gamme d’ordinateurs portables de la pomme ; l’iPad Air, qui devrait avoir droit à un speed bump lui aussi avec le passage au SoC M4 ; et les très attendus nouveaux écrans Studio Display et Pro Display XDR.
Si Apple pourrait très bien surprendre son monde et sortir l’un de ces produits plus tôt que prévu, tout porte à croire qu’ils devraient arriver au printemps plutôt qu’en ce début 2026. Et vous, quel produit attendez-vous le plus ?
Cdiscount multiplie les remises agressives en ce début de mois, et certains produits Apple atteignent des niveaux de prix jamais vus. AirPods 4, AirPods Pro 3, AirTags, Magic Mouse et même MacBook Air : en combinant deux codes coupon, les économies deviennent spectaculaires.
Des AirPods 4 à 84 € et les AirPods Pro 2 à 184 €
Les AirPods 4 sont proposés à un prix jamais vu en France. Sur Cdiscount, on peut acquérir les écouteurs d’Apple pour seulement 84 €. Par rapport au prix affiché sur l’Apple Store, cela représente une remise de 65 €. Une sacrée ristourne.
Pour obtenir les écouteurs à ce tarif, il faut saisir deux codes lors de la commande : CARLIFLY15, qui réduit la facture de 15 €, puis HELLO10, qui retranche encore 10 €. En théorie, ce dernier est réservé aux nouveaux clients, mais nous avons pu l’utiliser sur un compte dont la dernière commande remontait à 2021.
La promotion fonctionne également sur le modèle haut de gamme doté de la réduction de bruit. En cumulant les mêmes codes, les AirPods 4 ANC tombent à 144 €. Les AirPods Pro 2 et 3 sont eux aussi concernés : ils reviennent respectivement à 184 € et 224 € une fois les deux coupons appliqués.
Le pack de 4 AirTags à 65 € !
Les codes ne se limitent pas aux écouteurs. Cdiscount est déjà bien placé sur les AirTags, mais avec ces deux réductions, le pack de quatre passe à un peu moins de 65 €. C’est tout simplement inédit.
La Magic Mouse à 55 € en blanc et à 65 € en noir
Autre produit Apple bien positionné chez Cdiscount : la Magic Mouse, vendue 65 €. Ici, seul le code HELLO10 fonctionne, ce qui permet d’obtenir la souris pour 55 €. Pour la version noire, affichée à 88 €, les deux coupons sont acceptés et le prix chute à 64 €. Une excellente affaire.
Enfin, Cdiscount se montre compétitif sur le MacBook Air. Le modèle M2 avec 16 Go de RAM est proposé à 798 € et tombe à 773 € une fois les codes appliqués. Même chose pour le MacBook Air M4 : il passe de 899 € à 874 € grâce à ces deux réductions.
Des années après le début du projet, la statue de Robocop est enfin érigée dans la ville de Détroit. Cela faisait 15 ans que les fans des films avaient commencé à penser à cette idée folle.
Il y a quelques jours, des rumeurs arrivaient indiquant qu’Apple pourrait faire appel à Intel pour fabriquer une partie de ses puces Mx dans les années à venir. Surprise, selon Jeff Pu relayé par MacRumors, le deal pourrait aussi porter sur les iPhone, gâteau autrement plus grand !
De quoi redonner le sourire aux Intel bunnies ? Image Intel.
Jusqu’à présent, les SoC Ax intégrés dans les iPhone sont en quasi totalité produits par TSMC. Mais ça n’a pas toujours été le cas, bien que le fondeur soit en situation de presque monopole sur la production depuis 2010 : avant, c’était Samsung qui s’occupait des systèmes sur puce intégrés par Apple, jusqu’à l’A4 où le taïwanais a pris les rênes.
Intel, d’ailleurs, a totalement raté le coche : au moment du premier iPhone, Steve Jobs avait pourtant proposé à Intel de produire le SoC qui serait destiné au smartphone d’Apple, mais Paul Otellini, CEO du fondeur à l’époque, avait décliné l’offre, estimant que les quantités vendues seraient bien trop faibles pour être intéressantes et qu’Apple demandait un prix bien trop bas. La suite de l’histoire, on la connait...
Intel pourrait donc enfin participer à la production du SoC de l’iPhone, près de 20 ans plus tard : Jeff Pu estime que le fondeur serait impliqué dans la production du A22 qui équiperait les iPhone de 2028. Ces puces utiliseraient alors le process Intel 14A.
Si le fondeur de Santa Clara pourrait donc récupérer une partie de la production des puces d’iPhone, Jeff Pu est cependant clair sur un point : Intel n’aurait absolument aucun rôle dans la conception de la puce, se bornant strictement au rôle de fabricant suivant les instructions d’Apple, et encore pour une partie de la production seulement.
Quoi qu’il en soit, il est amusant de voir Intel revenir dans le domaine, mais en tant que simple fondeur. Il est loin le temps de l’arrogant n°1 des CPU...
Pendant le Black Friday, Amazon avait proposé de très grosses promotions sur les casques de Beats, avec des réductions qui dépassaient 50 %. Et les promotions reviennent aujourd'hui, avec (presque) les mêmes prix.
Le premier est le casque Beats Studio Pro. Il est à 200 € au lieu de 400 €, une très belle réduction. Ce casque haut de gamme avec réduction de bruit est très efficace, peut fonctionner en filaire en USB-C et existe en de nombreuses couleurs.
Pour un tarif beaucoup plus doux — 120 € au lieu de 230 € —, le Solo 4 est un bon casque audio sans fil. Il n'a pas de réduction de bruit active, mais bien les intégrations intéressantes des produits Beats dans la plateforme Apple, tout en gardant une compatibilité Android.
Si vous préférez les écouteurs, il y a de nombreux modèles en promotion. Les Studio Buds+ sont à moitié prix : 100 € au lieu de 200 €. La version transparente n'est malheureusement pas en promotion.
Pour le sport et les petits budgets, les Beats Flex sont à 45 € au lieu de 90 €. Ils ont un fil qui relie les deux écouteurs, mais se connectent tout de même en Bluetooth.
Les récents Beats Powerbeats Pro 2, qui intègrent un capteur cardiaque comme les AirPods Pro 3, sont à 200 € en orange ou en bleu (210 € pour les autres couleurs), au lieu de 300 €.
Le signal s’est confirmé ces dernières semaines : la mémoire et le stockage, deux composants au cœur de l’iPhone comme du Mac, deviennent nettement plus coûteux à produire.
Qui remplacera Tim Cook ? La question revient de plus en plus souvent, nourrie par les rumeurs de la presse américaine et les départs en cascade de cadres. The Information apporte de l’eau au moulin, en dévoilant de manière surprenante des éléments très personnels sur le CEO d’Apple.
« Qui veut devenir CEO ? » Image Apple
Alors que Bloomberg contredisait récemment le Financial Times sur un départ imminent, The Information suggère que celui qui est aux commandes d’Apple depuis quinze ans commence à fatiguer. Difficile de ne pas l’être en enchaînant toute l’année les voyages à travers le monde, pour des rendez-vous plus ou moins réjouissants.
Selon les sources du média d’investigation, Tim Cook, qui a aujourd’hui 65 ans, a changé dernièrement quelques-unes de ses habitudes. Il ne se lèverait plus à 4 heures du matin tous les jours pour faire une séance de sport aux aurores. Il aurait aussi acheté une luxueuse maison près de Palm Springs, en Californie, pas très loin d’Eddy Cue, après des années passées en tant que « simple » locataire.
The Information va même jusqu’à interroger l’état de santé du patron d’Apple. Des personnes l’ayant côtoyé ces derniers mois auraient remarqué un léger tremblement de ses mains, écrivent les journalistes Aaron Tilley et Wayne Ma, en ajoutant immédiatement que ce n’est pas forcément un signe alarmant. Mais ils appuient tout de même leurs dires en pointant la remise tremblotante du cadeau doré à Donald Trump à la Maison-Blanche l’été dernier.
Alors qui pourrait prendre son fauteuil le moment venu ? John Ternus semble tenir la corde. Après avoir gravi patiemment les échelons, l’actuel responsable de l’ingénierie matérielle est loué pour son calme, son intelligence émotionnelle et son sens des responsabilités. Il avait notamment assumé l’échec des claviers papillon, quand d’autres n’ont pas toujours reconnu leurs torts.
Mais des éléments pourraient jouer contre lui, selon The Information. En interne, certains lui reprochent de ne pas avoir le charisme d’un Steve Jobs. Il serait aussi peu impliqué dans les dossiers géopolitiques et réglementaires qui occupent aujourd’hui une grande partie de l’agenda du big boss. On aurait pu faire toutefois les mêmes reproches à Tim Cook avant son entrée en poste, ce qui ne l’a pas empêché de bien mener la barque.
L’hypothèse Craig Federighi est également avancée. Populaire auprès des fans d’Apple, le patron de l’ingénierie logicielle, 56 ans, ne serait toutefois pas particulièrement intéressé par le job de CEO.
Enfin, The Information cite un nom plus inattendu : Tony Fadell. Le co-inventeur de l’iPod aurait récemment confié à des proches qu’il se verrait bien succéder à Cook. Son arrivée pourrait, selon certains anciens cadres, insuffler un nouvel élan à Apple grâce à un profil plus entrepreneurial et centré sur le produit. Fadell a aussi cofondé Nest, vendue à Google en 2014. Le média tempère néanmoins cette indiscrétion (pilotée ?) en ajoutant que d’autres personnes proches d'Apple considèrent Fadell comme un candidat improbable, notamment en raison de son passé mouvementé au sein de l’entreprise. Les rumeurs n’ont pas fini…
L'iPhone avec le meilleur design a été pour moi l'iPhone 5c...
Les iPhone sont tous très biens finis, avec de beaux matériaux, et leur présentation par Apple fait toujours plaisir. Sauf qu'ils ne sont pas conçus pour être utilisés tels-que!
Le dos est en verre, facilement cassable, pas dans un matériau dur ni encore moins un plastique absorbant l'énergie des chocs. Il faut donc le protéger avec une coque ! Perdant au passage la bataille des arguments sur la légèreté relative et de la finesse, sans parler de celle du look ou du choix des couleurs, excepté avec une coque transparente non proposée par Apple.
La face avant est un grand écran, qui se raye pas mal facilement en sus de se casser, donc qui nécessite une protection là-aussi, et qui dans le cas de l'iPhone 17 fait perdre sa nouvelle qualité: la réflectivité limité de la lumière.
Évidemment l'iPhone Air ne se conçoit pas sans une grosse batterie accolée, lui faisant perdre là aussi tout intérêt. Intérêt très théorique puisque si vous mettez ça dans une poche, même sans batterie ni protection, vous allez bien sentir la protubérance, et non ça n'est pas l'émotion de l'instant!
Pourrait-on voir des iPhone adaptés aux usages quotidiens, tels-que: non amochés, non agrandis et non alourdis?
Netflix a annoncé avoir conclus un accord pour racheter le studio Warner Bros et ses contenus pour la somme de 82,7 milliards de dollars. Avec ces contenus la société va étoffer considérablement son offre de contenus alors que la concurrence fait rage dans le secteur du streaming vidéo. Amazon et Disney on déjà eux aussi racheté nombre de sociétés. Apple fidèle à elle-même ne fait pas ce genre de choses mais préfère développer sa propre offre.
Depuis quelques années, à chaque keynote, Apple montre des jeux à gros budgets (ce qu'on appelle des AAA) qui ont été portés sur Mac ou iPhone. Et même si les ventes ne semblent pas nécessairement suivre, la société continue à pousser ce sujet. Il y a quelques jours, Apple a par exemple organisé un « Apple Game Showcase » à Séoul, en Corée du Sud.
Des jeux présentés dans un salon. Image Seoul Shinmun.
La marque montrait des iPhone, des iPad et des Mac, en partenariat avec des développeurs locaux. On pouvait voir Netmarble (spécialisé dans les jeux mobiles, notamment sous licence), Devsisters (CookieRun), Com2uS (la série Summoners War), Krafton — PUBG: Battlegrounds, inZOI, Hi-Fi Rush, etc. — ou NCSoft.
Les développeurs présents ont notamment expliqué que les appareils d'Apple avaient l'avantage d'être très stables dans le temps (une des nouveautés de l'iPhone 17 Pro avec sa chambre à vapeur). Ceux à l'origine de inZOI, une sorte de Sims avec des graphismes de très bonne qualité, expliquaient aussi que l'iMac ou le Mac mini offrent d'excellentes performances.
Apple améliore peu à peu ses puces
Si nous mettons de côté les problèmes ergonomiques (qui peuvent être réglés avec des manettes) et financiers — un iPhone 17 Pro est plus cher que plusieurs PlayStation 5 —, les différentes évolutions des puces Apple vont dans le bon sens. La marque a ajouté le ray tracing, des optimisations pour les jeux vidéo, des unités pour l'IA qui permettent d'améliorer la qualité de l'image, etc. Et un iPhone moderne est aussi rapide qu'une puce M1… et que certains GPU d'entrée de gamme.
inZOI. Image Seoul Shinmun.
Le principal problème actuel, dans un sens, est toujours le choix d'imposer Metal… et uniquement Metal. Car même s'il existe des solutions libres pour adapter les jeux pensés pour Windows (et DirectX 12), il y a un gros problème : elles reposent généralement sur Vulkan, l'API qui a succédé à OpenGL. Et Apple n'a malheureusement pas décidé de proposer une compatibilité avec cette API.
Mais peut-être que l'arrivée du Steam Frame, un casque de réalité virtuelle autonome, va permettre de changer les choses. Valve affirme que son casque équipé d'un système sur puce ARM (un Qualcomm Snapdragon 8 Gen 3) peut exécuter des jeux PC et il est donc possible que les couches d'émulation de Valve se retrouvent un jour dans nos appareils.
Alors que la saison hivernale s’ouvre, une tendance se confirme : les Français montent en altitude plus seulement pour skier, mais aussi pour marcher, contempler et retrouver un rythme de vie un peu plus lent. Près d’un vacancier sur deux prévoit d’intégrer la randonnée ou les sorties en raquettes à son séjour, signe d’un basculement durable dans les pratiques.
Les AirPods 4 déclinés en deux modèles sont proposés en promotion (aussi bas que pour le Black Friday), permettant de faire de belles économies par rapport aux tarifs pratiqués en Apple Store
Une liseuse de poche qui s'accroche magnétiquement au dos de votre iPhone, c'est le pari un peu fou de Xteink avec son modèle X4. Un format ultra-compact de 4,3 pouces, une compatibilité MagSafe et un prix serré de 69 dollars. J'adore.