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iOS 26 permet de personnaliser les points qui s’affichent pour réduire le mal des transports
iOS 26 a ajouté une série de nouvelles options pour la fonctionnalité ajoutée avec iOS 18 qui doit réduire le mal des transports. Pour rappel, l’idée est d’afficher des points sur l’écran qui se déplacent dans le même sens que le véhicule utilisé, ce qui doit limiter la déconnexion du cerveau entre l’écran statique de son iPhone ou iPad et les mouvements du véhicule en question. Si la première version de la fonction proposait la même chose pour tout le monde, la mise à jour permet d’ajuster l’affichage selon ses goûts ou besoins pour mieux combattre le mal des transports.
Tous les paramètres sont accessibles dans l’app Réglages, puis « Accessibilité », « Animation » et « Indicateurs de mouvement du véhicule ». Comme avant, on peut choisir d’activer automatiquement la fonctionnalité lorsque l’appareil iOS identifie que vous êtes dans un véhicule en mouvement. La nouveauté, c’est la nouvelle rubrique « Personnaliser l’apparence » qui a été ajoutée avec iOS 26 et que nous n’avions pas repérée jusque-là.
À l’intérieur, on trouve trois grandes options pour ajuster le motif, la couleur et la visibilité. Côté motif, on a le choix entre le mode standard qui affiche des points uniformes sur les côtés gauche et droit de l’écran ou alors le mode dynamique, qui ajuste la taille des points en fonction du mouvement. La description associée indique que cela procure une « expérience visuelle plus engageante », je vous laisserai en juger.
La couleur est évidente, on peut choisir le gris/noir qui était la seule option avant, ou bien six autres couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu ou violet. Les pastilles sont très saturées, mais iOS 26 est suffisamment malin pour ajuster ce paramètre afin de maintenir la lisibilité du contenu sous les ronds. J’ai choisi l’orange (forcément…) pour tester en vue de cet article et de fait, les pastilles sont bien moins saturées que ce qui est présenté dans l’app Réglages.
Pour finir, « Visibilité » contient deux options qui permettent d’agrandir les points et d’en afficher davantage, par rapport à ce que l’on a par défaut. Je n’ai pas eu l’occasion de tester concrètement l’effet de ces nouveaux réglages et je ne sais pas de ce fait s’ils sont plus efficaces que les paramètres de base.
Si vous utilisez la fonctionnalité et que vous avez noté une différence sous iOS 26, n’hésitez pas à apporter votre témoignage en commentaire.
Free Mobile sur le point de gérer l’Apple Watch
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App Detective dévoile la technologie derrière chaque app Mac
Le récent bug de performances touchant les applications Electron sur macOS Tahoe l’a rappelé : la technologie utilisée pour créer une app n’est pas anodine. Lorsqu’une anomalie affecte un framework, c’est tout un ensemble d’applications qui en subit les conséquences. App Detective est un nouvel utilitaire gratuit qui met justement en lumière la « nature » des apps installées sur votre Mac. Cela permet de mieux comprendre pourquoi certaines se ressemblent et pourquoi d’autres ne réagissent pas de la même manière.

App Detective analyse les composants des apps et identifie le framework principal de chacune. Il les classe ensuite par type et par technologie utilisée, offrant ainsi un nouveau regard sur votre bibliothèque logicielle.
L’outil reconnait les grands frameworks d’Apple :
- AppKit : le framework d'interfaces historique du Mac, celui qui est censé offrir la meilleure intégration à macOS ;
- SwiftUI : le « nouveau » framework d’Apple (qui date quand même de 2019), qui permet de créer des interfaces pour tous les appareils de la Pomme ;
- Catalyst : la « passerelle » qui permet de porter simplement des apps iPad vers le Mac.
Il sait également détecter d’autres frameworks, à commencer par Electron, conçu pour développer des applications multiplateformes en utilisant des technologies du web. Si vous vous demandez pourquoi Signal et 1Password pèsent près de 500 Mo chacun, App Detective confirme que ces deux apps utilisent Electron et embarquent dès lors l’équivalent d’un mini-navigateur. L’utilitaire distingue aussi Flutter, un framework poussé par Google, React Native, proposé par Meta, et d’autres.
Les apps Electron méritent-elles encore leur mauvaise réputation ?
Au cas où vous l’ignoreriez, vous pouvez inspecter vous-même une application. Un clic secondaire sur son icône puis sur « Afficher le contenu du paquet » permet d’explorer ses composants. Dans le cas de 1Password, on repère ainsi la présence d’éléments nommés Electron Framework qui ne trompent pas.

À toutes fins utiles, rappelons que le framework ne fait pas tout. Une app construite avec les outils natifs d’Apple n’est pas automatiquement meilleure qu’une app Electron ou Flutter. Elle part avec des avantages, comme la légèreté, mais au final c’est le soin apporté par le développeur qui fait réellement la différence.
macOS affiche l’espace occupé par les modèles d’Apple Intelligence, sans option pour les supprimer
Apple Intelligence travaillant en partie en local, le système d’intelligence artificielle conçu par Apple a besoin d’espace sur l’appareil pour stocker les grands modèles de langage sous-jacents à ses fonctionnalités. L’entreprise indique sur son site qu’il faut 7 Go d’espace libre, ce qui est en réalité bien optimiste. Sur mon Mac Studio M1 avec la version stable de macOS Tahoe, les modèles d’Apple Intelligence occupent 13,63 Go d’espace, d’après les Réglages Système, quasiment le double tout de même. Si ce n’est pas un problème dans mon cas, j’aurais un avis bien différent si mon Mac ne disposait que de 128 Go de stockage…
Justement, cet utilisateur demandait sur Reddit pendant le week-end s’il pouvait gagner de la place sur son MacBook Air en supprimant ces données. Malheureusement, la réponse n’est pas simple, car Apple n’a rien prévu pour facilement supprimer ces quelques gigas de modèles. Même en désactivant Apple Intelligence, on ne fera pas le ménage1 et la Pomme considère désormais que ces modèles font partie intégrante du système, si bien que l’on ne peut pas simplement supprimer des dossiers dans le Finder.
Si on veut vraiment supprimer les modèles liés à Apple Intelligence, il faudra suivre ces instructions fournies en réponse : désactiver la fonctionnalité, redémarrer le Mac en mode Recovery pour ensuite supprimer les fichiers en utilisant le terminal. Puisque macOS repose fondamentalement sur une base Unix, c’est logiquement possible, ce qui ne veut pas dire que c’est une bonne idée. Sans parler du danger de mal saisir une commande dans le terminal et supprimer par erreur un élément essentiel au bon fonctionnement de macOS, on court le risque d’avoir des bogues parce que le système ou des apps d’Apple partiront du principe que ces fichiers sont toujours présents.
En bref, si macOS vous indique combien d’espace est occupé par Apple Intelligence, le système d’Apple ne permet pas réellement de supprimer ces données. Cela viendra peut-être dans une future mise à jour (merci l’Europe ?), mais d’ici là, il faut faire avec… ou tenter de bricoler la partition de restauration. Si vous voulez suivre cette voie, n’oubliez surtout pas de tout sauvegarder avant, car ce sera votre seule option si vous cassez quelque chose d’important.
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Cela a longtemps été le cas, mais macOS a changé de comportement en conservant au moins une partie des modèles, même après avoir désactivé Apple Intelligence. ↩︎
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Promo : les AirPods Max à 478 €, 100 € de moins que le prix officiel
Vous cherchez une paire d’AirPods Max, le casque très haut de gamme d’Apple ? Au lieu des 579 € demandés, Amazon Italie le vend à 478 € avec les taxes françaises et les frais de port vers la France. Vous pouvez commander avec votre compte Amazon habituel (pensez à passer l’interface en anglais si vous n’êtes pas un habitué de la langue de Dante) et vous devriez bénéficier de la même garantie légale de deux ans que si vous aviez acheté l’appareil en France. Pour ne rien gâcher, plusieurs coloris sont proposés à ce tarif : noir, orange et violet.
Les AirPods Max ne sont pas un mauvais casque, même si l’appareil a toujours été vendu très cher, probablement trop pour ce qu’il propose. Cette première critique est réglée avec la promotion en cours, sachant que si l’on a connu mieux pendant le Black Friday, il s’agissait alors de modèles d’import contrairement à l’offre en cours. L’autre critique que l’on pourrait formuler est l’âge des composants, la faute à Apple qui n’a proposé qu’une mise à jour mineure en passant son produit à l’USB-C.
Loin des AirPods Pro qui disposent des dernières innovations en matière d’audio, il faut se contenter ici de la première puce Bluetooth d’Apple et on ne bénéficie pas de toutes les fonctionnalités des écouteurs. Cela étant, le casque reste une très bonne option sur la partie purement audio et si vous préférez ce format, vous aurez l’assurance d’un produit qui est parfaitement intégré à l’écosystème de la Pomme.
Test des AirPods Max à port USB-C : qui peut le moins peut le moins
Si vous préférez commander en France, le modèle noir et seulement lui est affiché à 509 € sur Amazon, ce qui fait toujours 70 € de moins que chez Apple.
En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine
Après avoir fait largement la course en tête pendant trois ans, OpenAI voit la concurrence se rapprocher dangereusement, au point qu’une « alerte rouge » aurait été déclenchée en interne. Face à la montée en puissance de Google et Anthropic, Sam Altman aurait demandé à ses équipes de mettre le paquet sur les fonctions de base de ChatGPT, quitte à retarder des projets secondaires, comme l’intégration de la pub et la création d’un assistant de santé.

Dans ce contexte d’urgence, OpenAI pourrait lancer GPT-5.2 dès cette semaine, soit un mois seulement après GPT-5.1. D’après The Verge, ce nouveau modèle était initialement prévu fin décembre, mais face à un Gemini 3 qui s’est placé en tête de nombreux benchmarks, la sortie pourrait être avancée au 9 décembre.
Google lance Gemini 3 Pro, qui doit être meilleur que GPT-5, Grok ou Claude
« Il s'agit de bien plus qu'un simple remaniement du classement », a expliqué à The Verge Wei-Lin Chiang, cofondateur et directeur technique de LMArena, un comparateur de modèles d’IA. Gemini 3 Pro domine largement les catégories professionnelles telles que la programmation et l'écriture créative, et ses capacités de programmation autonome « surpassent, dans de nombreux cas, celles des meilleurs modèles de programmation comme Claude 4.5 et GPT-5.1 ». Il s'est également hissé en tête du classement de la compréhension visuelle et a été le premier modèle à dépasser le score de 1 500 points dans le classement textuel de la plateforme.
Au-delà de ces benchmarks dont la fiabilité est discutable, Google représente également une menace d’ordre commercial. Moins de 24 heures après son lancement, plus d’un million de personnes avaient déjà testé Gemini 3 via Google AI Studio et l’API Gemini. « C’est le meilleur démarrage que nous ayons eu pour l’un de nos nouveaux modèles », a fait savoir Logan Kilpatrick, responsable produit de Google AI Studio et de l’API Gemini chez Google DeepMind. D’où la volonté d’OpenAI de vite remettre ses technologies dans la lumière.
Liquid Glass : pourquoi les apps ne suivent pas ?
Le Liquid Glass d’Apple a beaucoup fait parler depuis sa présentation, divisant souvent les observateurs. Mais un constat s’impose : si la nouvelle expression graphique de Cupertino est omniprésente dans le système, elle tarde à se matérialiser dans les applications.
Le contraste est saisissant avec le passage au flat design. À l'époque, les développeurs avaient cravaché tout l’été pour mettre leurs apps au diapason des nouveaux codes d’Apple. Avec le Liquid Glass, c’est une toute autre histoire…
Une chose est certaine : Apple ne montre guère l’exemple. Si l’on regarde les apps qui ne sont pas préinstallées avec le système, nombre d’entre elles se sont contentées d’une simple mise à jour de l’icône. Ni plus, ni moins… Alors qu’iOS 26 est disponible depuis bientôt trois mois, la suite iWork n’a toujours pas été revue pour tirer profit, entre autres, de cette nouvelle interface.
iWork attend toujours son bain de Liquid Glass
Le même constat s'applique aux éditeurs de grosses apps. Lancez Discord, YouTube ou Reddit, et le choc visuel est immédiat. D’un côté, les nouveaux panneaux translucides et le clavier modernisé d’Apple ; de l’autre, des interfaces qui semblent figées dans une époque révolue. Cette cohabitation forcée sur le même écran OLED donne parfois l’impression d’un système à deux vitesses.
D'ordinaire, les poids lourds de l'App Store dégainent vite après une mise à jour majeure d'iOS. Cette année, le déploiement est poussif. On se retrouve dans une étrange zone de transition où le système paraît frais et moderne, tandis que les apps que l'on utilise le plus vivent encore à l'heure du pré-Liquid Glass.
Les indés à la rescousse, les géants en retrait
Comme souvent, le salut vient des développeurs indépendants. Il suffit de traîner un peu sur les forums pour constater que ce sont les petites équipes qui embrassent le changement le plus rapidement. Plus agiles, elles n'hésitent pas à jouer avec la transparence et les nouveaux contrôles pour donner un coup de jeune à leurs interfaces.
En face, les géants de la Tech jouent une toute autre partition. Pour Facebook, Google et consorts, la cohérence visuelle prime sur les desiderata esthétiques de Cupertino. Leur objectif est simple : une app doit ressembler à elle-même, qu'elle tourne sur iOS, Android ou le web. Refondre une application massive pour coller au Liquid Glass, c'est prendre le risque de briser cette uniformité inter-plateforme. Sans compter que pour certains designers, faire ressembler leur app aux logiciels d'Apple n'est pas un but, mais un problème d'identité.
Le casse-tête du cross-platform
Il faut dire que la technique n'aide pas. À l'heure où beaucoup ne jurent que par React Native ou Flutter pour mutualiser le développement, l'adoption de composants 100 % natifs devient un chemin de croix. Le Liquid Glass reposant énormément sur les API système, il est difficile de « faker » cet effet dans un framework générique.
Résultat : les développeurs sont coincés. Soit ils attendent une prise en charge officielle dans leurs outils (ce qui arrive souvent avec un train de retard), soit ils bricolent des effets de transparence qui jurent souvent avec le reste.
Pourquoi certaines apps ont encore un vieux clavier
Le diable se cache aussi dans les détails, comme ce bon vieux clavier. Si vous vous demandez pourquoi certaines apps affichent encore l'ancien clavier grisâtre alors que Messages arbore fièrement la nouvelle version, ne cherchez pas plus loin : c'est souvent une histoire de compilation avec de vieilles versions de Xcode. Tant que les développeurs ne mettent pas à jour leur chaîne de production, vous resterez avec l'ancienne interface.
Ajoutez à cela les sueurs froides des équipes accessibilité (la transparence et la superposition des couches n'ont jamais fait bon ménage avec le contraste) et la frilosité légitime à essuyer les plâtres d'API encore buggées, et vous obtenez le statu quo actuel.
Bon plan : le kit de démarrage Philips Hue avec le Bridge Pro à - 30 %
Pour faire ses débuts dans l’écosystème Hue sans être limité par la suite, Darty fait une offre intéressante. Le kit de démarrage comprenant le Bridge Pro, un interrupteur et trois ampoules E27 multicolores est en promo à 139,99 € au lieu de 199 €. Les ampoules incluses ont une luminosité maximale de 1 100 nits.

C’est l’une des premières promotions portant sur le Bridge Pro, le nouveau pont de connexion qui prend en charge jusqu’à 150 luminaires et 50 accessoires, contre seulement 50 produits au total pour la version classique. Ce pont peut également stocker plus de 500 scènes personnalisées, est censé offrir des temps de réponse significativement réduits et autorise des fonctionnalités inédites, notamment Hue MotionAware, qui transforme les luminaires Hue (plus de 95 % sont compatibles) en détecteurs de mouvement.
Lorsqu’un mouvement est détecté, le système déclenche des alertes lumineuses et envoie des notifications. Les alertes lumineuses sont gratuites, mais pour recevoir les notifications de sécurité, il faut un abonnement Hue Secure (à partir de 39,99 € par caméra par an). Si vous n'avez pas de caméras de surveillance, la marque propose les alertes de sécurité MotionAware pour 0,99 €/mois.
Philips Hue fait la lumière sur son Bridge Pro et ses ampoules Essential
Si vous ne prévoyez pas d’installer des dizaines et des dizaines d’ampoules chez vous et que vous n’êtes pas intéressé par Hue MotionAware, la marque propose depuis peu une nouvelle gamme plus abordable. Le pack de démarrage avec le Bridge standard et quatre ampoules E27 Essential multicolores est vendu 99 €. Ces ampoules sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter de toutes les fonctions connectées de l’univers Hue.
Test de l’ampoule Hue Essential : la qualité Hue dans une ampoule Matter à 15 €
Grok 1, Médecins 0 : L'incroyable diagnostic qui a sauvé un homme de 49 ans.
Vexé, Elon Musk suspend un compte de la Commission européenne sur X
Meta repousse ses lunettes de réalité mixte Phoenix à 2027
Test du Smartlet One : fini le compromis, portez votre montre classique et connectée sur le même poignet !
Introduite en 2015, l’Apple Watch peut aujourd'hui se vanter, à l’heure de fêter ses 10 bougies, d’être devenue la montre la plus portée au monde.
Je fais partie de ceux qui ont été rapidement convertis. L’Apple Watch fait désormais partie intégrante de mon quotidien. Les usages que j’en fais chaque jour sont multiples et variés : consulter la météo, suivre mes entraînements sportifs (et l’ensemble de mes métriques de santé), payer, déverrouiller mon domicile/mon Mac, consulter discrètement mes notifications/appels… Il m’arrive même parfois d’y lire l’heure !
Cependant, je suis aujourd’hui devant le constat simple que, devenu si dépendant des fonctionnalités qu’elle apporte, je ne porte quasiment plus qu’elle. C’est que ces anneaux ne vont pas se fermer tout seuls !
Et si la montre d’Apple est sans doute la plus pratique des montres, il est plutôt universellement reconnu que ce petit rectangle noir est loin d’être aussi esthétique que peut ne l’être une montre d’horloger. Bien que l’idée de porter une montre à chaque poignet m’ait plusieurs fois effleuré l’esprit, je n’ai jamais franchi le pas ayant plutôt l’habitude de porter un bracelet au poignet droit…
C’est justement dans ce cadre que la société Smartlet propose désormais une solution. Avec son bracelet métallique « Smartlet One » primé au prestigieux Concours Lépine, la société éponyme entend rassembler montre classique et smartwatch sur le même poignet. L’idée est donc d’avoir deux montres montées sur un même bracelet : montre classique à l’extérieur et montre connectée à l’intérieur. Mais dans les faits, parfaitement symétrique et modulaire, il est tout à fait possible de porter son Smartlet One dans l’autre sens. Et, tout comme les femmes ont tendance à retourner leur bague pour éviter la convoitise (dans les transports par exemple), il est possible de retourner son Smartlet One pour plus de discrétion.
Compatible avec la quasi-totalité des montres classiques (des adaptateurs pour différentes tailles d’entre-corne étant disponibles), j’ai pu porter le « Smartlet One » avec une montre d’horloger et avec mon Apple Watch Series 11 42 mm (il est également compatible avec le Fitbit Charge et le Whoop).
Bien qu’emballé par l’idée de pouvoir concilier style d’une montre classique et fonctionnalité d’une montre connectée, j’avoue avoir été initialement sceptique sur le ressenti au poignet au quotidien… Et bien pour faire court : j’ai été bluffé. Car dès les premières heures de port, j’ai tout bonnement oublié que je l’avais au poignet. Les seules piqûres de rappel venaient des notifications de l’Apple Watch. Là, il faut réapprendre à regarder de l’autre côté du poignet (à un angle certes un peu moins optimal mais plus discret). Niveau lecture des données de santé par les capteurs de la montre, je n’ai pas remarqué de différence notable avec un port sur le côté externe du poignet.
Smartlet One Classic à mon poignet
Quel plaisir de pouvoir à nouveau porter une montre classique au quotidien ! Le Smartlet One s’intègre parfaitement dans ma routine… du moins jusqu’au moment de m’entraîner. En effet, il n’est pas vraiment conçu pour accompagner les séances sportives intenses que je peux pratiquer. Lors du test, je repassais donc tout naturellement sur un bracelet Apple Watch type fluoroélastomère/tissu le temps de mes sessions, avant de retrouver le Smartlet One après l’effort.
Le Smartlet One est doté d’un système d’attaches rapides breveté qui fonctionne plutôt très bien (mais pas assez sécurisé vis-à-vis du vol à l’arraché à mon goût).
Système d’attaches sur le Smartlet One Shadow, mon coloris préféré bien qu’intrinsèquement plus fragile
Le bracelet est également livré avec un « bijou » servant de remplacement à l’une des montres, dans le cas où l’on voudrait porter son bracelet avec un unique cadran. Tout est bien pensé et les finitions sont excellentes. Le nombre de maillons est réglable avec un tournevis fourni.
Contenu du coffret Smartlet One avec le « bijou », © Smartlet
Le Smartlet One est disponible à la précommande en 3 coloris. Le « Classic » (349€) est en acier inoxydable, le « Shadow » acier inoxydable noir sablé mat (449€) et « Titanium » (599€) en titane (là, on aurait pu deviner !).
Et vous, faites-vous vous aussi face à ce dilemme : privilégier l’élégance d’une montre classique ou la praticité d’une montre connectée ?
Domotique : Homey vend son boîtier « Pro mini » à 250 € en Europe
Homey, solution de domotique complète dans l’esprit de Home Assistant même si elle est propriétaire (et désormais propriété de LG), généralise la commercialisation de son hub « Pro mini » annoncé il y a près d’un an et réservé à l’Amérique du Nord jusque-là. On peut ainsi l’acheter en France et en Europe, où l’appareil est vendu 249 €. C’est toujours nettement moins que le boîtier « Pro » toujours affiché à 399 €, mais ce n’est plus tout à fait deux fois moins cher comme on le pensait initialement.
Le Homey Pro mini est composé d’un ordinateur équivalent au Raspberry Pi 4 et de quelques puces dédiées à la domotique, principalement pour créer des réseaux Zigbee et Thread (notamment pour Matter). Par rapport au boîtier Pro complet, il ne gère pas autant de protocoles matériels et il lui manque le Z-Wave, le Bluetooth ou encore la possibilité de contrôler des appareils via infrarouge. Si ces besoins sont importants pour vous, vous pouvez ajouter le Homey Bridge (69 €) et bénéficier de toutes ces fonctionnalités. L’autre différence majeure entre les deux boîtiers est sur la connectique : il n’y a que de l’Ethernet sur la version mini, pas de Wi-Fi.
Si le matériel est important, c’est le logiciel qui est le plus essentiel en domotique. Homey propose son propre système d’exploitation qui a les mêmes ambitions que HomeKit d’Apple ou bien Home Assistant. On peut l’utiliser pour connecter de nombreux appareils, puis pour les contrôler et surtout les automatiser. Sur ce point, l’expérience sera similaire entre les deux boîtiers, même si le Homey Pro mini se contente d’un seul giga de RAM, deux fois moins que le modèle plus cher. Cela peut se comprendre dans le contexte actuel et le fabricant se veut rassurant en indiquant que ce sera suffisant pour la majorité des installations.
L’avantage de Homey face à Home Assistant, c’est qu’il s’agit d’une solution clés en main, avec du matériel prévu pour du logiciel et une simplicité évidente pour la mise en place. L’inconvénient, c’est que vous êtes limité à une plateforme existante et vous ne pourrez pas installer le système sur un Raspberry Pi déjà en votre possession ou un MiniPC. Il faudra aussi se contenter d’un nombre réduit d’intégrations, même si les apps Homey sont très nombreuses et devraient répondre à la majorité des besoins.
Le boîtier Homey Pro mini sera peut-être vendu sur Amazon à terme, ce n’est toutefois pas encore le cas. Les frais de port sont offerts vers la France sur la boutique du fabricant.
Meta repousse ses lunettes de réalité mixte : le phénix attendra 2027 pour naître
Les lunettes connectées pourraient être le prochain champ de bataille entre Meta et Apple. Alors que la firme de Cupertino pourrait rentrer sur ce marché en fin d’année prochaine, Meta est décidé à maintenir son avance dans ce domaine. Toutefois, les choses ne se passeraient pas comme prévu, et Meta prendrait du retard sur sa feuille de route très ambitieuse.
C’est en tout cas ce que suggèrent plusieurs mémos internes consultés par Business Insider. Le projet phare de Meta, nom de code « Phoenix », ne verra pas le jour comme prévu au second semestre 2026. Maher Saba, vice-président de Reality Labs, a prévenu les équipes : il faudra désormais patienter jusqu’au premier semestre 2027 pour découvrir ces nouvelles lunettes de réalité mixte.
La raison invoquée ? La volonté de ne pas se précipiter. La direction souhaite se donner « un peu plus d’air pour peaufiner les détails ». Pas question de compromettre l’expérience utilisateur avec un produit fini à la hâte, d'autant que le calendrier de mise au point s'annonçait particulièrement tendu avec des changements majeurs prévus sur l'interface.
Un air de Vision Pro
Si Meta cherche à gagner du temps, c'est aussi parce que le design de « Phoenix » ne laisse pas indifférent. Selon des employés ayant eu accès au prototype, l'appareil ressemblerait fortement au… Vision Pro d’Apple. Pour alléger la monture et éviter la surchauffe, Meta a opté pour un boîtier de calcul déporté relié aux lunettes. Un choix technique qui a suscité le scepticisme en interne, mais qui a finalement été validé pour garantir le confort d’utilisation.
Mark Zuckerberg lui-même a mis son grain de sel. Lors d’une récente réunion, le CEO a recadré les ambitions de sa division Reality Labs pour 2026. Le mot d’ordre est clair : rendre l’activité « durable » et privilégier la qualité à la quantité. Ce report n'est donc pas une invitation à ajouter de nouvelles fonctionnalités, a prévenu Maher Saba, mais bien une nécessité pour livrer un produit abouti.
Le Quest se recentre sur le jeu
Pour la prochaine génération de casques Quest, Meta semble vouloir revenir aux fondamentaux. Loin des promesses parfois floues de l'informatique spatiale à tout faire, les responsables de la division, Gabriel Aul et Ryan Cairn, souhaitent se concentrer sur le « jeu immersif ». Il ne s’agira pas d’une simple révision : les mémos internes promettent une mise à niveau « majeure » des capacités techniques par rapport aux modèles actuels.
Meta va couper dans le métavers et les casques Quest pour miser sur l’IA
Surtout, ce futur matériel devra répondre à un impératif financier critique : améliorer significativement l'équation économique. En fin de semaine dernière, on apprenait que Mark Zuckerberg envisagerait de réduire jusqu’à 30 % le budget consacré au « métavers », division qui comprend entre autres les casques Quest et la plateforme sociale Horizon Worlds.
Cette logique économique n’a pas empêché Mark Zuckerberg de poursuivre ses emplettes. En fin de semaine dernière, on apprenait que Meta avait mis la main sur Limitless, à qui l’on devait cette fameuse app sur Mac, qui enregistre tout ce qui se passait sur l’écran de manière à proposer une mémoire infinie à l’utilisateur. L'objectif affiché est d'intégrer ces capacités dans les futurs wearables du groupe…
Meta s'offre Limitless (ex-Rewind) et coupe le service en Europe
iOS 26.2 : une nouvelle fonctionnalité se cache dans Localiser
Une nouvelle fonctionnalité se cache dans l'application Localiser intégrée à la version RC d'iOS 26.2 lancée la semaine dernière (la version finale d'iOS 26.2 doit sortir cette semaine), a repéré Aaron Perris : elle porte le nom de code « Grape ». Les portions de code dénichées par le...

La direction d’Apple est-elle sur le point d’exploser ?
Tendances Google 2025 : ce que les Français ont le plus recherché !
Qu’attendre de l’iPad 2026 ?
L’année 2026 promet d’être très riche en nouveautés. Entre l’iPhone pliable, le MacBook Pro M6 entièrement revisité et d’éventuelles lunettes frappées d’une pomme, il devrait y en avoir pour tous les goûts. Parmi la liste des produits attendus en 2026 figure également l’iPad d’entrée de gamme. Ce n’est probablement pas l’appareil le plus excitant du lot, mais si vous comptiez vous équiper, voici ce qu’il faut savoir à son sujet !
Un design inchangé
On ne change pas une équipe qui gagne. Aucune rumeur ne laisse penser qu’Apple préparait un nouveau design pour l’iPad 12ᵉ génération. L’entrée de gamme devrait donc reconduire exactement la même formule : un écran de 11 pouces bord à bord, un bouton Touch ID sur la tranche et des bordures toujours assez épaisses.
Apple n’a plus retouché le design de cet iPad depuis la 10ᵉ génération, qui avait enfin adopté une esthétique plus moderne et cohérente avec les iPad Air et iPad Pro. Depuis, la firme semble estimer que la recette fonctionne… et les ventes lui donnent probablement raison.
Cet iPad reste d’ailleurs le plus épais de la famille : 7 mm au compteur, un seul format d’écran, et un affichage Retina LED sans ProMotion, sans large gamme de couleurs P3 et sans dalle laminée. Autant dire qu’il ne joue pas dans la même cour technologique que les modèles Pro. L’écart est toujours saisissant lorsque l’on passe d’un appareil à l’autre.
Là où Apple pourrait tout de même s’amuser, c’est sur les coloris. La gamme actuelle (bleu, rose, argent et jaune) pourrait accueillir de nouvelles teintes en 2026. C’est souvent le seul terrain sur lequel l’iPad entrée de gamme change d’une année sur l’autre.
Pour le reste, n’attendez rien de neuf : capteur photo, caméra frontale, port USB-C, compatibilité avec les accessoires ou encore prise en charge de l’Apple Pencil devraient rester strictement inchangés.
Un système sur puce qui lui ouvre les portes d’Apple Intelligence ?
Les rumeurs s’accordent à dire que l’iPad d’entrée de gamme devrait passer à la puce A18. C’est le même moteur que l’on trouve dans les iPhone 16e, 16 et 16 Plus : une puce gravée en 3 nm, plus rapide et plus économe que l’A16 qui équipe encore le modèle actuel.
Le prochain iPad d’entrée de gamme est bien parti pour s’ouvrir à Apple Intelligence
Et ce changement n’est pas qu’un simple rafraîchissement technique. L’A16 de 2025 ne prenait pas en charge Apple Intelligence. L’A18, si. Avec cette transition, l’iPad 2026 deviendrait le tout premier modèle d’entrée de gamme compatible avec Apple Intelligence.
Autre bénéfice collatéral : l’A18 intègre un ray tracing matériel qui devrait améliorer nettement l’expérience de jeu, même sur ce modèle “budget”.
Reste la mémoire. L’iPad 11ᵉ génération se contente de 6 Go de RAM, mais pour faire tourner Apple Intelligence, Apple devra forcément passer à 8 Go. Une évolution quasi obligatoire si l’entreprise veut proposer une expérience cohérente avec le reste de la gamme.
Des puces Apple pour la communication
Apple pourrait profiter de cette révision pour moderniser toute la partie communication. Après avoir inauguré sa puce maison N1 (Wi-Fi, Bluetooth et Thread) avec l’iPhone 17 puis l’iPad Pro, la firme va sans doute poursuivre dans cette voie l’année prochaine. Le gain serait notable pour l’iPad d’entrée de gamme : le modèle actuel se limite au Wi-Fi 6, tandis que la N1 ouvre la voie au Wi-Fi 7 et à ses réseaux 6 GHz bien plus rapides, ainsi qu’au Bluetooth 6. On verra si 2026 sera l’année du Wi-Fi 7 chez Apple ou si elle réservera cette technologie aux modèles plus haut de gamme.
Côté modèles cellulaires, Apple pourrait également remplacer les puces Qualcomm par son propre modem, comme elle l’a déjà fait en 2025 sur certains iPhone et iPad avec les C1 et C1X. Ces modems maison offrent une meilleure efficacité énergétique tout en conservant des performances comparables, un bon moyen d’améliorer l’autonomie sans augmenter les coûts ni changer le design.
Prix et lancement
Côté tarif, rien n’indique pour l’instant qu’Apple compte bouleverser sa grille : l’iPad 11ᵉ génération démarre à 389 € en 128 Go, et le futur modèle devrait rester dans les mêmes eaux. Quant au calendrier, Apple viserait un lancement au printemps 2026, quelque part entre mars et avril, période durant laquelle l’iPad Air doit également être renouvelé. Une fenêtre classique pour les mises à jour “raisonnables” de la gamme, sans keynote tapageuse mais avec les ajustements nécessaires pour rester compétitif.
DragThing a un successeur : DockThings
Si nous avions dû établir une liste de 40 logiciels marquants pour le quarantième anniversaire du Mac, il n’est pas impensable que DragThing y figure. Dans les années 90, ce logiciel a connu son heure de gloire et était un must pour de nombreux utilisateurs.
Malheureusement, l’application a raté son passage à macOS X. Il faut dire que le Dock lui faisait perdre en partie son utilité. Le logiciel a cessé sa carrière à la fin des années 2010 : la dette technique était trop importante, l’app étant écrite en Carbon 32 bits.
DragThing ne survivra pas au passage à 64 bits
L’application avait pris un coup de vieux, mais le concept demeure toujours intéressant. DragThing était un lanceur qui permettait de créer des palettes sur lesquelles on plaçait les éléments dont on avait toujours besoin.
Avec l’abandon du Launchpad dans macOS Tahoe 26, les développeurs de Synium ont dû se dire qu’il y avait un bon coup à jouer. Ils viennent tout juste de présenter DockThings, qui n’est rien d’autre qu’un successeur de DragThing remis au goût du jour.
Le logiciel est extrêmement flexible. Sur ces fameuses palettes, vous pouvez stocker tout ce que vous voulez : apps, documents, dossiers, fichiers, signets, volumes… Chaque palette peut comporter des onglets pour ranger encore plus d’éléments. Vous pouvez définir l’emplacement et la taille de chaque palette. Enfin, pour qu’une palette ne prenne pas de place tout en restant accessible rapidement, il est possible de la coller sur un côté de l’écran.
Pour fêter son lancement sur le Mac App Store, DockThings est disponible au prix de lancement de 9,99 €. Son prix est appelé à doubler prochainement.
Guide : quel utilitaire pour remplacer le Launchpad sous macOS Tahoe ?