Apple a hier soir lancé une mise à jour logicielle destinée aux AirPods Pro 2 et aux AirPods Pro 3, dont le firmware passe respectivement des versions 8B21 à 8B28 et de 8B25 à 8B30. Sur son site, Apple indique que la mise à jour apporte « des corrections de bugs et autres améliorations »...
Qui allait bien pouvoir succéder à Donald Trump ? Le magazine Timea rendu son verdict ce jeudi. Après avoir couronné le président élu en 2024, l'hebdomadaire américain a choisi de ne pas distinguer un seul visage, mais un mouvement tout entier. Pour 2025, ce sont les « architectes de l’intelligence artificielle » qui raflent la mise.
Les huit visages de la révolution
Pour incarner cette distinction prestigieuse, le Time a sélectionné huit figures incontournables qui façonnent actuellement notre futur technologique. Ce n'est pas un classement, mais plutôt un tour de table des puissances actuelles de la Silicon Valley (et au-delà) :
Sam Altman (OpenAI) : le visage le plus public de l'IA générative.
Jensen Huang (Nvidia) : l'homme qui fournit les « pelles et les pioches » de cette ruée vers l'or avec ses puces graphiques.
Elon Musk (xAI) : le patron de Tesla et X, qui tente de rattraper le peloton avec Grok.
Mark Zuckerberg (Meta) : qui a investi des dizaines de milliards de dollars afin de batir une super intelligence.
Demis Hassabis (Google DeepMind) : le cerveau derrière les avancées de Google.
Dario Amodei (Anthropic) : le rival éthique d'OpenAI.
Lisa Su (AMD) : l'autre géante des semi-conducteurs.
Fei-Fei Li (Université Stanford) : seule universitaire du groupe, souvent surnommée la « marraine de l’IA ».
Un chantier à ciel ouvert
Pour illustrer ce choix, le magazine propose deux couvertures. La première, conceptuelle, montre les lettres « AI » enserrées dans des échafaudages, symbolisant une technologie encore en pleine construction.
Image : Time
La seconde est plus marquante : un photomontage mettant en scène ces huit personnalités assises sur une poutre métallique, suspendues au-dessus du vide. C’est une référence visuelle directe et assumée à la célèbre photographie de 1932, « Lunch atop a Skyscraper », montrant des ouvriers bâtissant le Rockefeller Center. Le message est limpide : ces dirigeants sont les ouvriers du XXIe siècle, en train de bâtir l'infrastructure sur laquelle reposera le monde de demain.
Charles Clyde EbbetsImage : Time
Selon le Time, 2025 marque un point de bascule. C'est l'année où « tout le potentiel de l’intelligence artificielle s’est révélé au grand jour » et où le retour en arrière est devenu impossible. Ils sont récompensés pour avoir transformé le présent, redessiné le paysage de l'information et lancé l'un des plus grands projets d'infrastructure de tous les temps.
Apple n'est pas invitée à la fête
La liste est impressionnante, mais pour l'observateur averti, une absence saute aux yeux : celle de Tim Cook. Les dirigeants d’Apple pourront toujours se consoler en notant que d’autres grands groupes, comme Microsoft1 et Amazon, manquent aussi à l'appel.
Il faut reconnaître que le bilan 2025 d’Apple en matière d’IA n’est pas glorieux. La marque à la pomme s’est plus fait remarquer pour ses problèmes de personnel dans sa division IA et les déboires de Siri que pour les avancées d’Apple Intelligence.
Reste que la montée en puissance de l’IA ne fait que commencer et que le marathon est loin d’être fini. Si certains ont tendance à oublier Apple, ce n’est pas le cas de Sam Altman qui voit en Cupertino son principal rival. Car pour lui, la bataille ultime se jouera au niveau du matériel !
À quelques jours du lancement d’iOS 26.2, Apple déploie une nouvelle série de firmwares pour ses AirPods. Particularité notable : chaque modèle a reçu sa propre version avec un numéro de build distinct, cela pourrait dire qu'Apple ajuste précisément certaines fonctionnalités, possiblement en vue des nouveautés attendues avec la prochaine mise à jour d’iOS.
On pourrait croire que l'Apple Watch a atteint un plafond de verre. Avec ses capteurs d'oxygène, son ECG et ses notifications de rythme irrégulier, la montre d'Apple semble avoir fait le tour de la question. Pourtant, une nouvelle étude menée par des chercheurs du MIT et d'Empirical Health vient de prouver le contraire : le matériel actuel est capable de bien plus, à condition de savoir l'écouter. Mais attention, entre une réussite en laboratoire et une fonction activée sur votre poignet, le fossé reste immense.
C'est un refrain bien connu des habitués de la rumeur : on attend toujours le "prochain capteur miracle" (glycémie, tension) pour justifier l'achat d’une nouvelle Apple Watch. Et si la révolution n'était pas matérielle, mais algorithmique ?
C'est la thèse de l'étude JETS (Joint Embedding Time Series), présentée récemment à la conférence NeurIPS. En analysant 3 millions de jours de données d'Apple Watch, les chercheurs ont réussi à prédire des pathologies complexes sans ajouter le moindre composant électronique à la montre.
L’IA pour combler les trous
Le problème des montres connectées, c'est l'irrégularité. Batterie vide, montre oubliée sur la table de nuit... les données sont pleines de "trous". Pour les combler, les chercheurs ont adapté une architecture d'IA chère à Yann LeCun (Meta), appelée JEPA.
L'idée est géniale de simplicité : au lieu d'essayer de "deviner" la fréquence cardiaque exacte à un moment où vous ne portiez pas la montre, le modèle essaie de comprendre le contexte physiologique global grâce aux données environnantes (sommeil, activité précédente). Le modèle apprend à "parler" le langage du corps humain avant même d'essayer de poser un diagnostic.
Des résultats surprenants : du cœur... aux substances
Une fois entraîné, le modèle JETS a été testé sur sa capacité à détecter des conditions médicales. Les scores sont impressionnants :
86,8 % pour l'hypertension artérielle ;
81 % pour le syndrome de fatigue chronique ;
86,8 % pour la dysfonction sinusale;
91 % pour l'abus d'opioïdes;
L'étude va même plus loin en explorant des territoires que l'on pensait hors de portée d'un simple capteur au poignet. Le modèle a montré des capacités de détection pour des conditions systémiques complexes comme le Covid long.
Pourquoi ce n'est pas pour demain matin
Si ces chiffres (80-86 %) semblent excellents, il faut garder la tête froide. C'est ici que la différence entre "recherche académique" et "produit Apple" se joue.
Les chercheurs utilisent une métrique appelée AUROC (Area Under the Receiver Operating Characteristic). Pour faire simple, c'est une note qui dit : "Si je prends une personne malade et une personne saine, est-ce que l'IA arrive à classer la malade 'plus haut' que la saine ?". Avec 86 %, la réponse est "souvent oui".
Mais dans la vraie vie, ce n'est pas suffisant pour une mise en production. Imaginez une maladie qui touche 1 % de la population. Si l'algorithme se trompe "juste un peu", il va inonder des millions d'utilisateurs sains de fausses alertes anxiogènes. Pour une étude, un faux positif est une statistique. Pour Apple, c'est un client paniqué aux urgences pour rien, et un potentiel procès.
C'est toute la difficulté de la médecine prédictive grand public : il ne suffit pas d'avoir "plutôt raison". Il faut une spécificité quasi parfaite pour ne pas transformer l'Apple Watch en générateur d'hypocondrie.
Cette étude est une preuve de concept fascinante. Elle montre que nos montres actuelles sont sous-exploitées et que des mises à jour logicielles pourraient théoriquement débloquer des fonctions de santé avancées. Mais ne retenez pas votre souffle : entre un papier de recherche au MIT et une keynote de Tim Cook annonçant la détection du Covid long, il y a encore des années de validation clinique et de régulation.
Décidément, Macworld est tombé sur une mine d’or. Le site américain enchaîne les révélations sur les futurs produits Apple, donnant un aperçu alléchant de la feuille de route du constructeur. Après les AirTags 2, le HomePod mini 2, l’iPad 2026 et le prochain Studio Display, voilà que la publication dévoile de nouvelles informations sur le très attendu Home Hub, cet appareil qui est un croisement entre l’iPad et le HomePod.
Apple travaillerait sur un hub domotique intelligent qui miserait largement sur la nouvelle version, bien plus puissante, de Siri attendue l'année prochaine. Cet appareil fait l'objet de rumeurs récurrentes depuis plus de deux ans, mais une fuite récente et détaillée dans le code d’iOS 26 vient apporter un éclairage nouveau et confirmer l'essentiel des attentes.
Le point le plus parlant concerne l’identification. Le HomePad embarquerait une caméra, limitée à du 1080p, et surtout Face ID. Pas seulement pour déverrouiller l’appareil, mais aussi pour reconnaître la personne dans la pièce. 
Dans la foulée, Apple préparerait une bascule automatique de profil : en clair, l’écran et les réponses s’adapteraient à la personne qui interagit avec l’appareil, avec des outils internes déjà utilisés pour mesurer la fiabilité du système.
Autre confirmation logique : le HomePad miserait sur Apple Intelligence et le nouveau Siri. Et si le calendrier se vérifie, l’appareil arriverait au moment où l’assistant d’Apple serait prêt, via iOS 26.4, avec une fenêtre évoquée autour de mars ou avril.
Côté matériel, les rumeurs décrivent un écran carré d’environ sept pouces, accompagné d’un socle haut-parleur optionnel. L’image qui se dessine est assez claire : un petit écran domestique, posé sur un meuble, plus « présent » qu’un iPad qu’on trimballe, mais plus interactif qu’un HomePod.
Amazon Echo Hub. Image Amazon
J229 : un accessoire mystérieux qui sent la caméra de sécurité
Macworld dit aussi avoir repéré un second produit, identifié comme J229. Cette fois, il ne s’agirait pas d’un appareil autonome, mais d’un accessoire doté de plusieurs capteurs, capable de détecter des sons d’alarme et de capturer des images. Difficile de ne pas y voir une pièce d’un futur kit de sécurité domestique, possiblement une caméra conçue pour compléter le HomePad. 
Un timing qui colle avec la fin du « hub iPad »
Petit détail qui rend l’ensemble encore plus crédible : Apple a repoussé, mais maintient, la fin du support de l’iPad comme hub principal de la maison connectée, avec une échéance fixée au 10 février 2026. Autrement dit, pile le genre de vide produit qu’un HomePad pourrait venir combler au printemps. 
MacWorld continue le tour de ses découvertes dans le code d’une version interne à Apple d’iOS 26, en donnant quelques infos sur deux produits : la prochaine version du HomePod mini, et le très attendu AirTag 2.
Un HomePod mini au SoC plus récent, mais sans grands changements apparents
Disponible au catalogue d’Apple depuis 2020, le HomePod mini a eu le succès qu’Apple aurait voulu avoir avec le HomePod. Il faut dire qu’à 109 €, l’achat se réfléchit un peu moins que pour son grand frère et les 349 € qu’il demande.
Depuis, à part quelques nouvelles couleurs, rien. Pas une mise à jour de l’appareil. Les choses devraient changer dans les semaines ou mois à venir, comme le prouve la découverte dans le code d’une référence B252, qui correspond à une nouvelle version de la petite enceinte connectée. Si cette mise à jour devrait comprendre un SoC S10 (comme celui des dernières Apple Watch) remplaçant le vieillissant S5 des versions actuelles, n’attendez pas pour autant des changements conséquents : ce SoC ne devrait toujours pas être à même de proposer Apple Intelligence, réservé aux futurs HomePod avec écran, qui devraient eux être équipés du A18.
Des AirTags beaucoup plus précis, y compris en mouvement
De leur côté, les AirTags de seconde génération devraient apporter bien plus de nouveautés, après 4 ans de règne de la version actuelle. Plutôt qu’un code obscur pour la nouvelle version, Apple ne s’est semble-t-il pas foulée pour en interne : il apparaît sous le code « 2025AirTag ».
Dans un premier temps, l’appairage promet d’être amélioré, sans plus de précisions. On attend de nouvelles possibilités concernant le nom ou encore l’emoji, permettant de personnaliser à loisir le petit appareil. De la même manière, l’indication de l’état de la pile devrait être beaucoup plus précis, ce qui ne sera pas très difficile vu le peu d’informations données par la version actuelle, qui se contente d’une alerte sur le téléphone quand la pile atteint un seuil critique.
Mais c’est au chapitre du suivi que les choses devraient beaucoup s’améliorer : non seulement il sera plus simple de suivre précisément un AirTag en mouvement, ce qui fait cruellement défaut à la version actuelle, mais en plus, il devrait être plus facile de suivre un AirTag perdu dans un endroit très fréquenté. Comment ? Ce n’est pas encore précisé, mais ces améliorations devraient rendre ce nouvel AirTag encore plus efficace que l’actuel.
Elle n’était pas attendue (comme souvent pour ce type de mise à jour), mais Apple sort ce soir une nouvelle version du firmware des AirPods Pro 2 et AirPods Pro 3.
Les écouteurs phares de la marque passent ainsi du firmware 8B25 au 8B30, sans plus de précisions : cette mise à jour peut très bien corriger des soucis rencontrés par les utilisateurs, tout comme amener des nouvelles fonctionnalités qui sortiront en même temps qu’iOS 26.2... ou un mix des deux.
Pour rappel, la prochaine version d’iOS devrait enfin amener la traduction instantanée aux utilisateurs de l’Union européenne, ainsi que de nouvelles langues pour cette fonction.
Comme d’habitude, aucune procédure précise à suivre pour installer ce nouveau firmware, à part faire en sorte que les écouteurs restent dans leur boîtier au plus proche de l’iPhone, si possible en charge.
C’était prévu suite à la sortie de Gemini 3, voilà qui est fait : OpenAI a sorti la version 5.2 de GPT, prévue pour contrer la montée en puissance de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle, preuve s’il en est que Sam Altman et ses équipes ne se sentent plus si tranquilles dans le domaine, comme le rapporte TheVerge.
Dès le départ, le ton est lancé : Fidji Simo, responsable des applications chez OpenAI, annonce que GPT-5.2 est « le meilleur modèle pour l’usage quotidien en entreprise », et que leur but est de permettre « encore plus de retour sur investissement pour les utilisateurs ». Ainsi, la nouvelle version doit être encore meilleure pour « la création de feuilles de calcul, de présentations, de code, d’images percutantes, et comprend les contextes les plus complexes, et les projets en nombreuses étapes ». Tout un programme.
Si la dernière mise à jour était axée sur le conversationnel, voulant rendre le chatbot plus amical et chaleureux après la vague de mécontentement de GPT-5, GPT-5.2 est lui dirigé vers les entreprises, et la création de contenus efficaces pour soulager la charge de travail des cadres et autres employés ayant accès au bot conversationnel.
Le grand public n’est cependant pas oublié, grâce à un partenariat exclusif qui devrait rameuter bon nombres de fans de blockbusters et séries de films : OpenAI a passé un accord avec ni plus ni moins que Disney, lui ouvrant la porte à des créations officielles à partir des plus de 200 personnages des franchises de Disney, Marvel, Pixar ou encore Star Wars appartenant au géant du divertissement. Cette alliance permettra la création non seulement d’images officielles, mais aussi de vidéos grâce à Sora.
Disney n’a d’ailleurs pas perdu de temps, en ouvrant une plainte pour viol de propriété intellectuelle concernant ses personnages contre Google. Ainsi, la maison de Mickey a envoyé la bien connue procédure de « cease and desist » au propriétaire de Gemini, l’enjoignant à cesser toute reproduction des personnages tels que Deadpool, Darth Vader ou autres Elsa :
Google enfreint les droits d’auteur de Disney à une échelle massive, en copiant une grande partie des propriétés intellectuelles de l’entreprise sans autorisation pour entraîner et développer ses IA génératives. Disney ne tolérera pas plus longtemps l’exploitation commerciale non autorisée de ses personnages et marques déposées par ces services d’intelligence artificielle.
À l’autre bout du spectre ludique, ChatGPT compte aussi venir marcher sur le domaine de Grok, avec l’ouverture d’une section « adulte » du bot conversationnel dans le courant du premier semestre 2026 : l’IA d’Elon Musk ne devrait donc plus être la seule à pouvoir proposer du contenu classé X (ô ironie) à ses utilisateurs. Fidji Simo assure que l’entreprise ne proposera ce type de comportement réservé aux majeurs qu’une fois la certitude d’avoir une personne adulte face au bot, entre autres grâce à de nouveaux algorithmes de prédiction de l’âge de l’utilisateur.
Avec toutes ces nouveautés et ce partenariat conséquent, OpenAI espère rappeler que la société reste la référence en intelligence artificielle, et couper tout doute possible à ce sujet. Mais sera-ce suffisant ?
OpenAI n’a pas traîné. Moins d’un mois après la sortie de GPT-5.1, la firme vient officiellement d’annoncer GPT-5.2, une mise à jour majeure qualifiée en interne de réponse code red à l’arrivée des derniers modèles Gemini de Google. L’objectif est de reprendre la main sur le segment de l’IA de productivité, celui où les usages professionnels explosent — et où la concurrence s’intensifie.
Chaque hiver, c’est le même rituel : on ressort les cartons, on démêle vaguement les câbles et on peste sur la guirlande qui a rendu l’âme. Cette année, pourtant, le centre de gravité s’est clairement déplacé vers les modèles connectés, poussés par les promos d’Amazon et l’omniprésence des assistants dans les foyers. On ne parle plus seulement de “lampions qui clignotent”, mais d’objets qui s’intègrent réellement à un écosystème domotique, avec scènes, routines et pilotage vocal.
Twinkly : le show lumineux assumé
Si l’on devait ne retenir qu’un nom pour le côté “wahou”, ce serait Twinkly. La marque joue à fond la carte premium, avec un mapping LED poussé et des effets lumineux qui ressemblent plus à un show calibré qu’à une simple guirlande de supermarché. Les références Twinkly se positionnent clairement dans le haut du panier, mais la promesse est simple : on installe, on scanne le sapin avec l’app, et il ne reste qu’à s’amuser à dessiner littéralement des animations en temps réel.
De quoi se faire une déco à l’américaine... si on y met les moyens. Image Twinkly.
C’est typiquement le produit pour ceux qui veulent transformer le salon en démonstration technologique, quitte à payer cher le moindre mètre de LED. L’intégration avec Alexa et Google Assistant ou même Siri permet de basculer d’une ambiance à l’autre à la voix ou via routines, ce qui en fait un bon candidat pour ceux qui ont déjà un début de maison connectée. C’est même l’ami des gamers, avec une intégration poussée de Razer Chroma ou Omen Light Studio ! Le premier sapin connecté aux frags !
La marque fait bien entendu dans la décoration de sapins, avec une guirlande 8 mètres (44,24 €), 20 mètres (69,99 €) et jusqu’à 60 mètres (269,99 €), mais aussi des rideaux de lumière colorés (199,99 €), des grilles flexibles permettant d’afficher un motif (69,39 €), ou même un magnifique rêne connecté et multicolore (249,99 €).
Philips Hue Festavia : la guirlande des déjà équipés
De son côté, la Philips Hue Festavia coche une autre case : celle de l’utilisateur déjà enfermé (volontairement) dans l’écosystème Hue. La guirlande se comporte comme n’importe quel luminaire Hue, avec scènes, automatisations, compatibilité Matter et intégration profonde dans l’app existante. Clairement faite pour les adeptes de la marque, elle est faite avec la même précision des couleurs que les lampes du constructeur, mais comme ces dernières, elle le fait payer au prix fort, à 204,41 € les 20 mètres.
Danser à côté du sapin n’est pas une obligation. Enfin, pas encore. Image Philips/Signify.
Cependant, l’intégration dans l’écosystème Hue a tout de même ses avantages : pas de prise de tête, un fonctionnement qu’on connaît depuis des années, et le côté rassurant d’une marque à l’historique conséquent dans le domaine de l’éclairage connecté.
Nanoleaf : la guirlande pensée comme un objet déco
Nanoleaf joue une partition un peu différente : la marque vient du monde des panneaux lumineux design, et ça se sent dans sa façon d’aborder la guirlande connectée. Ce n’est pas seulement sur un câble LED de plus, mais un produit pensé comme une extension de l’écosystème Nanoleaf, avec scènes, palettes de couleurs et synchronisation d’ambiance cohérentes avec le reste de la gamme. L’idée, c’est moins le clignotement festif de Noël que la création d’une lumière d’ambiance qui reste crédible toute l’année, que ce soit autour d’une étagère, derrière une tête de lit ou en contour d’écran.
Les guirlandes Nanoleaf se positionnent en milieu/haut de gamme : plus chères que les no‑name, mais en dessous du combo mur Twinkly ou surtout Hue partout. En échange, on récupère une intégration maison plutôt propre, une qualité de lumière et d’effets plus travaillée que le bas de gamme, et la possibilité de rester dans une logique décorative globale pour ceux déjà équipé en panneaux ou en ampoules de la marque. Pour un setup orienté « ambiance » plus que « sapin qui hurle Noël », c’est typiquement le genre de produit qui fait sens dans une déco connectée, et se trouve à 67,99 € pour 24 mètres.
Quel que soit le choix, ces trois constructeurs ont l’avantage d’être reconnus dans le domaine, et de présenter des produits avec l’assurance d’avoir quelque chose de solide, et dont on ne sera pas déçu. Avec en bonus, l’effet bluffant de pouvoir contrôler le sapin depuis le canapé !
Pour les fêtes, UGREEN lance une petite opération thématique : au lieu de simplement mettre en avant la puissance, la marque se lance sur le thème « Ensemble faisons Noël ». L'idée est simple : la technologie doit faciliter le rapprochement des gens, pas les distraire. On a donc là une sélection de cadeaux pensés pour optimiser discrètement vos usages quotidien.
Dans le monde Mac, les logiciels malveillants sont relativement rares, mais pas absents. Nous vous parlons d'AMOS (Atomic macOS Stealer) depuis 2023 et le logiciel utilisé par des malandrins pour vous voler vos données évolue de façon régulière. La dernière méthode en date passe par ChatGPT et Grok, en profitant d'un problème récurrent sur les Mac : la capacité du SSD.
Le premier vecteur est le fait que les Mac de 2025 sont toujours livrés avec 256 Go de SSD.
Les chercheurs de chez Huntress détaillent les nouveautés, découvertes en décembre 2025. Premièrement, ils utilisent une question courante pour un utilisateur lambda d'un Mac : comment nettoyer le disque et gagner quelques gigaoctets d'espace libre. C'est une question courante sur un moteur de recherche, étant donné qu'Apple livre encore une bonne partie de ses appareils avec un SSD de seulement 256 Go par défaut. Ils expliquent que la méthode a été découverte en tapant « Clear disk space on macOS » dans Google.
Une conversation malicieuse. Image Huntress.
Le piège vient des réponses : des liens vers des conversations pour deux chatbots, ChatGPT et Grok. Il ne s'agit pas de sites malicieux, mais de simples résultats sponsorisés, qui renvoient vers des pages qui semblent parfaitement légitimes. Mais le contenu des messages, lui, ne l'est pas. Sous couvert de conversations qui semblent expliquer comment gagner un peu d'espace sur le SSD du Mac, les différentes informations dispersées sont les différentes étapes qui permettent d'installer le malware sur un Mac.
La façon dont les différentes étapes sont créées n'est pas totalement claire, mais elles résultent *a priori* d'une demande spécifique qui n'est pas rendue publique, et qui va lister les points que l'IA doit donner dans ses réponses. C'est une utilisation détournée des différents outils. Une fois la « bonne » réponse proposée par ChatGPT ou Grok, il est possible de sauver le résultat pour le rendre public.
C'est toute la « beauté » de la chose : un néophyte qui a confiance dans les réponses d'un chatbot comme ChatGPT ou Grok n'a aucune raison de penser que les différentes étapes (compliquées) proposées sont malicieuses et permettent d'installer un malware. L'utilisateur va littéralement permettre l'installation d'AMOS, presque consciemment. Les protections intégrées dans les navigateurs ou avec certains résolveurs DNS ne peuvent pas réellement bloquer ce genre d'attaques (elles sont simples à reproduire et bloquer ChatGPT ou Grok est inenvisageable) et la confiance dans les chatbots actuellement est trop grande pour que les personnes qui tombent sur ce genre de réponses se méfient réellement.
En l'état, la seule recommandation à faire est de vous méfier, et (surtout) de ne pas taper votre mot de passe de façon automatique. Une ligne de commande à copier dans le terminal n'est jamais totalement anodine et celles trouvées sur ChatGPT, Grok, GitHub ou n'importe quel site Internet (oui, même MacGeneration) doivent être considérées dans tous les cas avec méfiance.
Free vient de mettre en ligne un outil qui permet de connaître la date de coupure de l'ADSL à une adresse précise. Une initiative pratique alors que près de 10 000 communes françaises ont déjà une échéance officielle pour la fin du réseau cuivre.
Le géant américain du cloud Oracle subit l’une de ses pires séances boursières de l’année. L’action a décroché de plus de 15 % jeudi à Wall Street, après la publication d’un chiffre d’affaires trimestriel nettement inférieur aux attentes. La sanction est brutale, à la hauteur des exigences d’un marché devenu impitoyable face aux investissements massifs consentis dans l’IA.
Un nouveau dossier judiciaire soulève des zones d’ombre les plus inquiétantes dans le développement de l'IA. Aux États-Unis, la famille d’une femme de 83 ans décédée dans le Connecticut poursuit OpenAI et Microsoft, accusant ChatGPT d’avoir poussé à l'extrême son fils, déjà fragile psychologiquement, jusqu’à un double drame.
Si vous cherchez à vous offrir un robot aspirateur récent et haut de gamme, le Dreame L50 Pro Ultra devrait vous satisfaire. Une promotion du Prime Day permet actuellement de profiter d'un bien meilleur rapport qualité/prix
Apple prépare une révision de l'iPad Air qui est attendue au printemps 2026. La principale nouveauté devrait concerner l'intégration de la puce Apple M4 pour remplacer la puce Apple M3 actuelle, ce qui offrira un surplus de puissance et de pérennité à ces futurs modèles. Le site MacWorld...
La version 1.19.4 de l'app de DJI pour ses drones (DJI Fly) amène une nouveauté amusante : les drones DJI Neo 2, DJI Flip et DJI Neo (trois modèles compacts peu onéreux) peuvent maintenant être pilotés depuis une Apple Watch.
La montre et un drone. Image DJI.
N'attendez pas évidemment un contrôle tactile des mouvements des drones, mais il est possible de voir le flux vidéo du drone, d'afficher le niveau de la batterie, d'afficher des informations sur l'appareil et d'émettre des commandes vocales pour des contrôles basiques.
Des exemples de réglages.
DJI indique qu'il faut a minima une Apple Watch Series 8 (ou une Apple Watch Ultra). La montre doit être sur le même réseau Wi-Fi que le drone, et le drone doit avoir été mis à jour. Actuellement, seul le Neo 2 a été mis à jour, mais les deux autres devraient recevoir la mise à jour nécessaire rapidement.
Si la fonction peut ressembler à un gadget, c'est une idée intéressante pour suivre les mouvements d'un drone qui surveille un endroit précis sans forcément avoir son smartphone à la main, même si les possibilités restent assez limitées dans l'absolu.
Si vous avez raté le coche du Black Friday, tout n'est pas perdu. Après une remontée mécanique des tarifs post-vendredi noir, les constructeurs jouent au yo-yo et proposent de nouveau des remises intéressantes sur une large sélection de casques.
C'est le moment de s'équiper si vous cherchez à isoler vos oreilles du bruit ambiant ou simplement à profiter d'une meilleure qualité sonore sans payer le prix fort (et souvent injustifié) du lancement. Tour d'horizon des meilleures offres du moment.
Anker : l'alternative abordable
Soundcore, la division audio d'Anker, continue de presser les prix vers le bas tout en offrant des fiches techniques solides.
Soundcore Space One Pro : ce modèle à réduction de bruit, que certains n'hésitent pas à comparer aux ténors du marché, est affiché à nouveau à 129,99 € au lieu de 199,99 €. **Il est disponible en noir et en blanc.
Soundcore Space One : pour les budgets plus serrés, ce modèle d'entrée de gamme conserve l'ANC — une rareté à ce niveau tarifaire — et se négocie à 66 € au lieu de 150 €.
Beats : l'écosystème Apple à prix doux
La filiale d'Apple propose des tarifs bien plus agressifs que sur l'Apple Store. L'intégration avec iOS est parfaite, sans pour autant fermer la porte à Android. Si les prix sont agressifs, ils le sont toutefois un poil moins que lors du Black Friday.
Beats Studio Pro : successeur spirituel du Studio 3, ce casque offre l'audio spatial et l'USB-C Lossless. Nous avions apprécié sa polyvalence lors de notre test. Il est proposé à 199 €, soit une réduction de 50 % !
Beats Solo 4 : Si l'absence de réduction de bruit active n'est pas rédhibitoire pour vous, ce modèle supra-auriculaire devient une excellente affaire à 120 € au lieu de 230 €. À ce tarif, ses défauts de jeunesse s'effacent largement.
Sony et Bose : les valeurs sûres
Du côté des références historiques de la réduction de bruit, les prix fondent également.
Sony WH-1000XM5SA : Le vaisseau amiral de la marque japonaise, toujours très plébiscité pour son silence royal et son application complète, voit son prix chuter à 249 €
Bose QuietComfort SC : Une valeur sûre pour les voyageurs, ce modèle est affiché à 190 € au lieu de 290 €.
Bose QuietComfort Ultra : Si vous visez le haut du panier chez l'américain, le modèle Ultra et sa réduction de bruit de premier plan est vendu actuellement 299,99 €.
Sonos : l’outsider
Sonos Ace, le tout premier casque de Sonos, que nous avons testé en juin, bénéficie d'une belle remise. Le modèle blanc est toujours proposé à 299 €, soit une remise de 150 € sur le prix public. Le modèle noir est pour sa part en rupture de stock.
AirPods Max : des promos bien plus modestes
Il est certain que de nombreux utilisateurs aimeraient qu’Apple propose des rabais similaires sur les AirPods Max à ceux qu’elle propose sur des écouteurs Beats. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Le casque d’Apple est proposé au prix de 497,10 € sur Amazon, soit une ristourne de 81,90 €. On peut gratter quelques euros supplémentaires en commandant sur Amazon Italie, mais on est loin des 50 % de réductions proposés sur le Beats Studio Pro.
Petit à petit, la fonction Clé de voiture de l’iPhone et de l’Apple Watch fait son chemin dans l’industrie automobile. D’après MacRumors, Porsche s’apprête à l’adopter pour ses prochaines Cayenne et Macan tout électrique.
Image Porsche
La plupart des marques proposent déjà l’ouverture du véhicule via leur application mobile, mais la fonction Clé de voiture se distingue sur plusieurs points. La clé numérique est intégrée à l’app Cartes d’Apple et peut être partagée avec d’autres utilisateurs, y compris sur Android. Elle permet de déverrouiller la voiture en NFC, en Bluetooth ou en Ultra Wideband selon les technologies sans fil intégrées à l’engin. Et elle continue même de fonctionner (quelques heures) quand l’iPhone est à court de batterie, grâce à la réserve d’énergie.
Lors de la WWDC 2025, Apple avait annoncé que 20 constructeurs prenaient déjà en charge cette fonction, et que 13 autres allaient suivre, dont Porsche.
Les marques qui prennent déjà en charge (les 20 en haut de la liste) ou qui vont prendre en charge (les 13 en bas) la fonction Clé de voiture. Image Apple/iGeneration.
Les utilisateurs de smartphones Android ne sont pas oubliés. Samsung Wallet prend désormais en charge la clé numérique de la Porsche Macan (MY26) et fera de même l’année prochaine avec d’autres modèles, notamment la Cayenne Electric. En cas de perte ou de vol du smartphone, la clé numérique peut être bloquée ou supprimée à distance via Samsung Find.
Rimac Technology travaille sur une batterie à état solide destinée à un futur modèle Bugatti prévu pour 2030. Le prototype affiche déjà des chiffres impressionnants : 30 kg de moins qu'une batterie classique et jusqu'à 30% de densité énergétique en plus.
Après avoir verrouillé son écosystème en février dernier, Amazon fait machine arrière et annonce que les utilisateurs pourront bientôt télécharger certains livres Kindle au format EPUB ou PDF. Un revirement inattendu, mais aux contours très limités.
Si vous désirez vous offrir un MacBook Air doté de 16 Go de mémoire unifié au tarif le plus bas, c'est le moment de craquer grâce à une intéressante promotion digne du Black Friday.
Marque reconnue chez les campeurs, les artisans et les aventuriers, Bluetti se lance enfin dans les batteries solaires ! La Bluetti Balco 260 n'est pas encore en vente, elle n'arrivera qu'en 2026, mais elle fait déjà beaucoup parler d'elle au salon EnerGaïa de Montpellier qui a lieu cette semaine !