Orange lance des Livebox 7 et Livebox S avec Wi-Fi 7

Une nouvelle Livebox 7 débarque chez Orange pour du Wi-Fi 7, tandis qu'une Livebox S également Wi-Fi 7 se charge d'enterrer la Livebox 5.
Une nouvelle Livebox 7 débarque chez Orange pour du Wi-Fi 7, tandis qu'une Livebox S également Wi-Fi 7 se charge d'enterrer la Livebox 5.
La Commission européenne a présenté ce mercredi 9 avril son « plan d’action pour le continent de l’IA » qui a pour objectif de pousser l’Europe à devenir un leader mondial de l’intelligence artificielle. Cinq axes sont mis en avant : plus d’infrastructures sur le continent, l’accès à des données massives et de haute qualité, un encouragement à l’adoption de l’IA partout, des formations encore plus tournées vers le sujet et une simplification de la régulation.
La Commission européenne a adopté la vision des industriels du secteur : l’Europe doit combler l’écart qui s’est creusé entre les leaders de l’IA, les États-Unis et la Chine d’un côté et le Vieux continent de l’autre.
La Commissaire à la souveraineté technologique, Henna Virkkunen, a présenté son « AI Continent Action Plan », ce mercredi 9 avril. Le texte [PDF] affirme que « la course mondiale au leadership dans le domaine de l’IA est loin d’être terminée » et affiche l’espoir de faire de l’Union Européenne « un continent leader en matière d’IA ».
Pour cela, la Commission veut accélérer et intensifier ses efforts dans cinq domaines clés : les infrastructures sur le sol européen pouvant proposer une puissance de calcul massive, la gestion de données de qualité à l’échelle européenne, l’adoption de la technologie partout, la formation à l’IA et la simplification de la législation.
Concernant les infrastructures, la Commission affirme vouloir renforcer sur son sol le réseau de ce qu’elle appelle des « usines d’IA » (AI factories, en anglais), qu’elle définit comme des « écosystèmes dynamiques qui favorisent l’innovation, la collaboration et le développement dans le domaine de l’IA » qui « intègrent des superordinateurs optimisés pour l’IA, de grandes ressources de données, des installations de programmation et de formation, ainsi que du capital humain pour créer des modèles et des applications d’IA de pointe ».
13 projets d’ « usines d’IA » ont été sélectionnés pour être financés. Par exemple, l’un d’eux est basé en France, l’AI2F. Celui-ci rassemble un consortium géré par le GENCI, en collaboration avec l’AMIAD, le CEA, le Cines, le CNRS, France Universités, Inria, la French Tech, Station F, et HubFranceIA. Il est censé s’appuyer sur le supercalculateur Alice Recoque qui doit mobiliser à lui seul un budget de 542 millions d’euros sur cinq ans et doit être pourvu d’au moins 15 000 GPU. Mais, annoncé en 2023 pour une ouverture fin 2025, celui-ci, n’ouvrira pas avant fin 2026, selon les informations de Capital.
Pour la Commission, ces 13 projets ont vocation à jouer un rôle central dans l’avancement des applications de l’IA dans de nombreux secteurs stratégiques :
Rappelons que la communauté scientifique n’est pas unanime sur le rôle prépondérant de l’IA dans les découvertes scientifiques futures. Certains argumentent même qu’elle pourrait faire « plus de mal que de bien ».
Au-delà de ce réseau d’ « usines d’IA », la Commission veut mettre en place ce qu’elle appelle des « gigafactories », des infrastructures à visées plurielles de l’ordre de 100 000 GPU. En février dernier, elle dévoilait déjà sa volonté de former un investissement public-privé susceptible d’atteindre 200 milliards d’euros nommé InvestAI (dont 20 milliards d’euros venant d’un nouveau fonds européen). Cinq « gigafactories » devraient en profiter, précise maintenant la Commission.
Du côté textes légaux pour favoriser l’implantation d’infrastructures, la Commission prévoit l’adoption de « la loi sur le développement du cloud et de l’IA » fin 2025 ou début 2026. Elle doit « créer les conditions adéquates pour que l’UE encourage les grands investissements dans le cloud et les capacités de périphérie ».
Une « feuille de route stratégique pour la numérisation et l’IA dans le secteur de l’énergie » doit être présentée en 2026. Elle devra « proposer des mesures visant à faciliter l’intégration durable des centres de données dans le système énergétique et à traiter d’autres questions liées à l’énergie résultant du déploiement à grande échelle des centres de données dans l’UE, telles que l’optimisation du réseau électrique, l’efficacité énergétique dans les bâtiments et l’industrie et la flexibilité du côté de la demande ».
La Commission veut aussi aider à l’amélioration des données que pourront utiliser les entreprises européennes du secteur. Elle veut « améliorer l’interopérabilité et la disponibilité des données dans tous les secteurs, afin de répondre à la pénurie de données solides et de haute qualité pour l’entraînement et la validation des modèles d’IA » et prévoit de mettre en place une stratégie de l’Union pour les données fin 2025 après avoir consulté les entreprises sur leurs besoins.
Celles-ci, via leurs différents lobbys, attendaient de ce plan la simplification de la législation mise en place au sein de l’Union européenne et notamment celle de l’AI Act. La Commission propose comme « première étape », la création d’un « centre d’assistance » (AI Act Service Desk) au sein du bureau de l’IA de l’UE, « pour aider les entreprises à se conformer à l’AI Act. Il servira de point de contact central et de plaque tournante pour les informations et les conseils relatifs » à cette loi.
Selon Contexte, les lobbys du secteur jugent que le plan alloue une maigre place à la simplification. « Le niveau d’ambition doit être plus élevé » car « l’incertitude juridique continue de peser lourdement sur les développeurs et déployeurs d’IA », affirme par exemple Boniface de Champris du lobby de la tech américaine CCIA à nos confrères.
« La course mondiale à l’IA est loin d’être terminée, Il est temps d’agir », lance de son côté Henna Virkkunen. « Le présent plan d’action décrit les domaines clés dans lesquels les efforts doivent être intensifiés pour faire de l’Europe un continent de pointe en matière d’intelligence artificielle. Nous travaillons à un avenir où l’innovation technologique fait progresser l’industrie et les services publics, apportant des avantages concrets à nos citoyens et à nos entreprises grâce à une IA digne de confiance », ajoute la Commissaire à la souveraineté technologique.
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Orange lance deux nouvelles box : les Livebox 7 v2 et Livebox S. Elles proposent du Wi-Fi 7 (mais sur deux bandes seulement), avec une empreinte écologique revue à la baisse. Orange en profite évidemment pour revoir ses forfaits. Nous sommes par contre toujours sans nouvelle du nouveau système d’exploitation prplOS.
Après Free le mardi, c’est au tour d’Orange d’annoncer ses nouveautés ce jeudi. Chacun reste donc fidèle à ses habitudes. C’était un secret de polichinelle : Orange passe (enfin) aussi au Wi-Fi 7, avec deux box : la Livebox 7 « v2 » et une nouvelle Livebox S.
Elles sont toutes les deux certifiées par la Wi-Fi Alliance (ici et là), contrairement aux Freebox, attaquées par Bouygues Telecom en justice. Ne reste donc que SFR à ne pas encore avoir sauté le pas du Wi-Fi 7, du moins en France, car Altice propose déjà des Box en Wi-Fi 7 ailleurs en Europe.
Point commun des deux nouvelles box d’Orange : elles ne prennent en charge que les bandes 2,4 et 5 GHz, laissant de côté celle des 6 GHz (du Wi-Fi 6E). Dommage, car celle-ci est généralement bien moins utilisée et permet donc d’éviter les encombrements sur les ondes. Ils sont surtout présents dans les zones très denses. Dans les immeubles parisiens vous captez certainement des dizaines de Wi-Fi (la bande 6 GHz est alors bien utile), tandis qu’à la campagne, vous êtes parfois seul au monde.
Hormis le passage au Wi-Fi 7, la nouvelle Livebox 7 ne semble pas avoir eu droit à d’autres changements importants. On retrouve toujours un port 10 Gb/s Ethernet et quatre ports à 1 Gb/s, avec de l’USB 3.x et deux prises RJ11.
Orange met en avant un Wi-Fi intelligent sur la Livebox 7, « qui désactive automatiquement le 5 GHz quand il n’est pas indispensable pour réduire la consommation électrique jusqu’à 30 % ». Elle n’intègre pas de ventilateur, sa coque est en plastique recyclé et son écran basse consommation. Cette box permet toujours des débits symétriques de 8 Gb/s.
La Livebox S est une version d’entrée de gamme, avec du Wi-Fi 7 donc. Elle vient franchement jouer sur les platebandes de la Freebox Pop (également en Wi-Fi 7 depuis plus d’un an). Les débits sont de 2 Gb/s en téléchargement et 800 Mb/s en upload.
Quatre ports Ethernet à 1 Gb/s sont présents, exit donc le multi-GIG. Le 2 Gb/s doit se lire sous la forme de 2x 1 Gb/s. Orange met aussi en avant une écoconception, avec notamment une « réutilisation des blocs d’alimentation » des Livebox 5.
Orange met en avant son écoconception : « Ces nombreuses initiatives permettent à Orange de réduire l’empreinte carbone des deux nouvelles Livebox sur l’ensemble de leur cycle de vie de 8% pour la nouvelle Livebox 7 par rapport à l’ancien modèle [et de] 14% pour la Livebox S par rapport à la Livebox 5 ».
Orange ne dit par contre un mot sur son nouveau système d’exploitation prpl (purple) présenté lors des OpenTech 2024 : « présent au cœur des derniers modèles de Livebox. Celui-ci favorise l’installation des services au sein du réseau local des particuliers et rend les box internet beaucoup plus évolutives, stables et sécurisées ». prplOS est présenté comme « un système d’exploitation open source léger et sécurisé pour les passerelles résidentielles (ou box internet) ».
Du côté des forfaits, Orange propose toujours cinq offres : la Série Spéciale Just Livebox Fibre en Livebox 5 (comme La Boîte Sosh), les Série Spéciale Livebox Fibre et Livebox Fibre en Livebox S, enfin les Livebox Up Fibre et Livebox Max Fibre avec une Livebox 7 v2.
Qui dit nouvelle Livebox, dit changement sur les forfaits. Il serait plus juste de parler d’ajustement d’ailleurs. Juste Livebox prend du galon avec 1 Gb/s en téléchargement et 700 Mb/s en upload, le plaçant au niveau de l‘offre Spéciale Fibre.
Sur le reste de la gamme aussi, il y a des hausses de débits : Livebox Fibre passe à 2 Gb/s et 800 Mb/s, Livebox Up à 8 Gb/s symétrique tandis que Livebox Max reste à 8 Gb/s symétrique, soit le maximum proposé par l’opérateur.
Voici un résumé des anciennes offres (à gauche) et des nouvelles (à droite) :
Au niveau des tarifs par contre, c’est plus compliqué. Les prix hors promotions restent exactement les mêmes. Orange affirme d’ailleurs qu’avec sa « Nouvelle Livebox 7, les offres triple play Livebox Up Fibre et Livebox Max Fibre s’enrichissent, sans aucune augmentation du prix mensuel ». Pas si vite.
Tout d’abord, une nouveauté sur les frais fixes avec l’apparition de « frais de mise en service : 49 euros », alors qu’il n’y en avait pas auparavant.
L’engagement est toujours d’un an sur toutes les offres Livebox. Ensuite, l’opérateur supprime les deux mois offerts sur l’ensemble de sa gamme.
Pour « compenser », les réductions sont plus agressives et sur 12 mois au lieu de 6 mois auparavant… exception faite de la série Spéciale Just Livebox Fibre (toujours en Livebox 5 et Wi-Fi 5). Elle garde son prix de 33,99 euros par mois avec une promotion de 19,99 euros par mois pendant un an au lieu de 28,99 euros par mois pendant six mois.
Voici un résumé des tarifs et des principales options :
Orange annonce enfin que « le Décodeur TV 6, lancé en 2024, est désormais disponible sur l’offre Livebox Up Fibre en plus de l’offre Livebox Max Fibre ». Enfin, toujours sur la partie multimédia, Orange offre cinq nouvelles chaînes à tous ses clients : RTL9, MCM, E !, RFM, M6 Music.
Paramount+ prend la place de HBO Max dans la liste des plateformes de streaming avec 5 euros de remise par mois avec l’offre Livebox Max (c’est aussi le cas de Disney + et Netflix).
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[Info Numerama] Les nouvelles Livebox S et Livebox 7, annoncées le 10 avril, font l'impasse sur la bande des 6 GHz pour le Wi-Fi. Un choix assumé par Orange, qui explique que cette technologie, qu'il avait lui-même propulsé en avril 2022, manque d'utilité et détériore la qualité du réseau.
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