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Guerre des FPS : Black Ops 6 gratuit le jour du lancement de Battlefield REDSEC !

Call of Duty Black Ops 6

La guerre des FPS est plus intense que jamais. Activision a annoncé un essai gratuit pour le multijoueur et le zombie de Black Ops 6, du 28 octobre au 3 novembre. Une manœuvre stratégique évidente, puisque cette date coïncide parfaitement avec le lancement de la Saison 1 de Battlefield 6 et de son très attendu Battle Royale, REDSEC.

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☕️ Grammarly devient Superhuman et se dote d’un assistant IA

En juin dernier, nous rapportions que Grammarly avait levé un milliard de dollars. La société, spécialisée dans la détection des fautes et l’aide à l’écriture, prévoyait alors d’investir largement dans l’IA générative, notamment pour ne pas se faire dépasser dans son domaine de prédilection par ChatGPT, Claude et autre Gemini. Le mois suivant, elle annonçait le rachat de Superhuman, un client e-mail, pour se renforcer sur le terrain de la productivité.

Et voilà que Grammarly se renomme désormais Superhuman. Les produits présents dans le portefeuille, dont surtout l’assistant d’écriture, restent en place sous les mêmes appellations.

La société en profite pour lancer un assistant dopé à l’IA générative et nommé Superhuman Go. Intégré dans l’extension Grammarly, il se propose de fournir des suggestions d’écriture, de faire des commentaires sur des e-mails, etc. Il est bien sûr utilisable dans Superhuman (le client e-mail) mais on peut le connecter à d’autres sources comme Jira, Gmail, Google Drive et Google Agenda pour lui fournir plus de contexte. D’autres sources seront ajoutées prochainement pour élargir ce contexte, notamment des CRM.

Superhuman Go est désactivé par défaut, mais les utilisateurs de l’extension peuvent l’activer par un bouton. L’assistant est pour l’instant fourni sans frais supplémentaires dans toutes les formules payantes. Selon l’entreprise, d’autres fonctions de ce type seront ajoutées bientôt à ses produits, dont Coda, un concurrent de Notion.

Grammarly reste en revanche centré sur la langue anglaise.

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90 % des jeux Windows compatibles Linux ? Oui, mais…

Tout est possible
90 % des jeux Windows compatibles Linux ? Oui, mais…

Les dernières statistiques publiées par Boiling Steam sont étonnantes : 90 % des jeux conçus pour Windows sont compatibles avec Linux. Bien que le chiffre soit impressionnant et témoigne d’une activité intense autour du sujet, il recouvre plusieurs réalités.

Le jeu vidéo sur Linux est devenu un vrai sujet depuis plusieurs années, avec une accélération notable du nombre de titres pouvant bien fonctionner sur la plateforme. Près de 90 % des jeux conçus pour Windows peuvent être lancés sur Linux, relève le site Boiling Steam en s’appuyant sur les chiffres de ProtonDB (qui permet de suivre l’état de compatibilité de chaque titre avec Proton).

Des jeux qui se lancent, mais dans quelles conditions ?

Cette statistique de 90 % représente le pourcentage de jeux qui se lancent sur Linux. Mais se lancent comment ? Le tableau fourni par Boiling Steam analyse la qualité de la prise en charge. De manière générale, l’évolution est plus que positive puisque les jeux en vert foncé (niveau Platine) représentent ceux pouvant être lancés sur Linux sans modification et avec de très bonnes performances, grâce à la couche Proton (basée sur Wine), créée par Valve.

Crédits : Boiling Steam

Viennent ensuite le vert clair (Or) pour ceux ayant besoin de quelques ajustements mineurs, le jaune (Argent) pour les titres jouables mais avec des imperfections, le rouge clair (Bronze) pour les jeux dont le fonctionnement n’est pas garanti, et enfin le rouge sombre pour ceux qui ne fonctionnent tout simplement pas. Les 90 % tiennent compte de toutes les couleurs à l’exception du rouge sombre.

Dans le billet lié, Boiling Steam indique que ces statistiques ne reflètent pas non plus la part des jeux pris officiellement en charge par le Steam Deck de Valve, car la qualification qui va avec prend en compte les performances. Le site considère cependant que le niveau Platine correspondrait aux statuts Verifié ou Jouable du Steam Deck, en fonction seulement du niveau de performances.

Toujours plus vert

Le graphique montre quoi qu’il en soit une accélération notable en 2022 et 2023 dans le support des jeux, que le site attribue principalement à l’arrivée du Steam Deck et à l’effervescence qui a entouré la console portable de Valve.

Peut-on espérer que tous les jeux finissent par fonctionner un jour sur Linux ? Possible, mais il faudra que les éditeurs envisagent la plateforme comme une véritable cible, car la couche Proton ne peut pas tout faire. Le problème des logiciels anti-triche est toujours présent : avec des mécanismes pensés pour être en espace noyau sur Windows, ils n’ont aucune chance de fonctionner sur Linux. Or, ces titres sont souvent ceux qui tractent un très grand nombre de joueurs, car très compétitifs : Valorant, Fortnite, Overwatch 2, Apex Legends, la série des Call of Duty

Mais les conséquences de la couche Proton continuent et pourraient à terme engendrer un effet de masse suffisamment important pour que les studios envisagent cette possibilité. Le jeu vidéo est l’un des grands bastions de Windows, mais la fin de support de Windows 10 entraine une interrogation chez une partie des utilisateurs sur la possibilité d’une migration, d’autant que des distributions spécialisées existent, comme GLF OS. Selon les jeux utilisés, un passage à Linux n’a donc plus rien d’un problème.

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En Autriche, un ministère se débarrasse en grande partie de Microsoft pour Nextcloud

Nächste Wolke
En Autriche, un ministère se débarrasse en grande partie de Microsoft pour Nextcloud

Le ministère fédéral autrichien de l’Économie, de l’Énergie et du Tourisme (BMWET) a migré une grande partie de son infrastructure sur Nextcloud pour gérer la collaboration interne et le stockage des données. Interrogé sur les raisons de cette transition, le ministère a notamment cité des craintes de conformité au RGPD et à la directive NIS2.

La nouvelle a été annoncée le 23 octobre pendant la conférence Nextcloud Enterprise Day, qui se tenait à Copenhague et dont elle constituait l’un des points d’orgue. On a ainsi appris que le BMWET (ministère fédéral autrichien de l’Économie, de l’Énergie et du Tourisme) avait fini une migration concernant 1 200 fonctionnaires et visant à réduire considérablement la dépendance à Microsoft, améliorer la collaboration interne et assurer le stockage sécurisé des données.

L’annonce a été faite par Martin Ollrom, CIO (Chief Information Officer) du ministère, et Florian Zinnagl CISO (Chef Information Security Officer). Dans une vidéo publiée par Nextcloud, les deux responsables indiquent que le projet est parti d’une réflexion sur la modernisation de l’infrastructure, ainsi que d’un travail sur la réduction des risques juridiques et de sécurité, notamment en regard du RGPD et de la directive NIS2.

Approche hybride

Le projet de l’Autriche n’était pas une coupure nette. Comme le ministère l’explique, une partie du BMWET était en train d’adopter Microsoft 365 et Teams au moment où la question d’un remplacement a été abordée. Pas question donc d’arrêter en plein milieu. Le ministère a donc choisi une approche hybride : garder Teams comme outil de communication externe et partiellement Outlook, puis confier le reste à Nextcloud.

Le ministère a travaillé avec deux entreprises pour la mise en œuvre : Atos Autriche et Sendent, partenaire de Nextcloud, qui s’est notamment occupé d’une intégration dans Outlook pour préserver certains flux de travail, particulièrement les e-mails et agendas. L’équipe de Nextcloud a également participé au projet.

Selon les deux responsables, tout s’est passé étonnamment vite. Il n’aurait ainsi fallu que quatre mois entre la preuve de concept au déploiement complet, un temps très court quand on considère l’ampleur de la migration et les défis d’un tel projet.

Les deux responsables ont ajouté qu’un montant significatif avait été investi dans la formation des fonctionnaires. « Une vaste campagne d’information, une communication claire, des sessions de formation et une transition progressive ont permis d’assurer une forte acceptation et un processus sans heurts. Grâce à l’intégration avec les systèmes existants, nous avons été en mesure de moderniser considérablement notre portefeuille de services numériques et, en fin de compte, la collaboration, sans perturber les flux de travail établis des employés », a assuré Martin Ollrom.

Souveraineté et approche en douceur

Comme d’autres projets avec celui-ci, la migration du BMWET est intéressante dans les problématiques qu’elle soulève, mais qui ne sont pas neuves : souveraineté, refus d’une dépendance à une société américaine, etc. En revanche, l’expression claire de doutes sur la conformité au RGPD et surtout à la directive NIS2 n’est pas courante.

L’approche plus en douceur de la migration est en outre mise en avant par Nextcloud dans sa propre communication. Une manière de dire qu’une transition peut se faire progressivement et encourager d’autres institutions et émanations diverses d’États à tenter l’aventure. Nextcloud prêche bien sûr pour sa paroisse, mais ce n’est pas la première fois que l’Autriche adopte cette approche.

Il y a quelques semaines, on apprenait ainsi que l’armée autrichienne avait abandonné la suite Office de Microsoft pour LibreOffice (pdf). 16 000 ordinateurs étaient concernés et il s’agissait alors de l’aboutissement d’une longue réflexion, car la planification avait commencé en 2020. L’armée avait indiqué s’être notamment inquiétée d’une dépendance toujours croissante d’Office à des services distants. La migration s’était faite par étapes : utilisation volontaire de LibreOffice en 2022, obligation de l’utiliser dans certains départements en 2023, puis obligation générale et suppression d’Office en septembre dernier. L’armée autrichienne a également contribué au code de LibreOffice.

Ces migrations partielles sont autant de portes ouvertes vers des migrations complètes vers l’open source. Si l’applicatif peut se passer de Microsoft, Windows finit par ne plus être nécessaire. Un mouvement lent mais assez général en Europe, avec d’autres cas de migrations comme en Allemagne et au Danemark.

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☕️ Truth Social lance un service de pronostics avec Crypto.com

Le réseau social de Donald Trump, Truth Social, lance un service de pronostics en ligne avec la plateforme de cryptoactifs Crypto.com.

Nommé Truth Predict, le service permettra de parier sur les résultats d’événements variés, allant de compétitions sportives à des élections en passant par les variations de l’économie.

Avec ce projet, le groupe Trump Media and Technology Group (TMTG) joue sur le succès des services de pronostics (predictions en anglais), qui ne sont pas considérés comme des acteurs du pari en ligne par les autorités locales.

En l’occurrence, Truth Predict cherche à concurrencer Polymarket, le leader du domaine. 


En amont des élections présidentielles de 2024, note Wired, ce type de services de pronostics était présenté par leurs promoteurs comme une meilleure manière de mesurer l’opinion publique que les sondages.

Certains acteurs du monde financier les décrivaient même comme une meilleure « source de vérité » (truth en anglais, qui est aussi le nom des plateformes de Trump), quand bien même la validité de paris et leur représentativité de l’opinion générale peuvent être débattus.

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Budget 2026 : votes d’un impôt pour les multinationales et du doublement de la taxe GAFAM

Gafamoney
Budget 2026 : votes d’un impôt pour les multinationales et du doublement de la taxe GAFAM

Les députés ont voté mardi 28 octobre en soirée un amendement de LFI pour un impôt sur les multinationales et un passage de 3 à 6 % de la taxe GAFAM proposé par le député Renaissance Jean-René Cazeneuve, qui avait envisagé d’aller jusqu’à 15 %.

En première lecture du projet de loi du budget 2026, les députés ont approuvé à 207 voix contre 89 « un impôt universel sur les sociétés transnationales qui échappent au Fisc » proposé par LFI. Ils ont aussi approuvé à 296 voix pour et 58 contre le doublement de la taxe GAFAM, proposé cette fois par le député Jean-René Cazeneuve.

Votées ce 28 octobre contre l’avis du gouvernement, ces deux mesures pourraient rapporter 26 milliards d’euros en tout, selon leurs auteurs. Mais elles ont peu de chances de passer l’étape du Sénat. Selon notre consœur de Médiapart Pauline Graulle, elles seraient « peut-être même un coup de grâce porté aux discussions budgétaires à l’Assemblée nationale ».

Taxer les bénéfices des multinationales en proportion de leur activité en France

Inspiré par une proposition de l’association ATTAC et par les travaux de l’économiste Gabriel Zucman, l’amendement de LFI veut « taxer les bénéfices des multinationales proportionnellement à leur activité réellement réalisée en France ». Il prévoit que « toute personne morale ayant une activité en France est imposable à hauteur du ratio de son chiffre d’affaires réalisé sur le territoire national ramené à son chiffre d’affaires mondial ».

Le texte s’appuie sur une définition très élargie de celui-ci, puisque ce CA serait calculé en « incluant également le chiffre d’affaires des entités juridiques dont [l’entreprise] détient plus de 50 % des actions, parts, droits financiers ou droits de vote ». De quoi faire réagir des multinationales du numérique comme Google ou Amazon.

« Je crains que cet amendement soit contraire à une directive européenne fixant [le taux d’imposition] à 15 % et non 25 % », a réagi le rapporteur du budget et député Républicain, Philippe Juvin, en s’y opposant. De son côté, le président de la commission des finances et député LFI, Manuel Bompard, considère que « c’est compatible avec la législation française et internationale ». Le ministre de l’Économie, Roland Lescure, s’y est aussi opposé, arguant que le vote de cet amendement apporterait « 20 milliards d’ennuis » à la France et rappelant les diverses conventions fiscales signées par la France en bilatéral avec 125 pays.

Un doublement de la taxe Gafam

L’autre amendement voté hier soir de manière un peu surprenante est celui augmentant la taxe Gafam. Comme nous l’expliquions la semaine dernière, un amendement déposé par le député Renaissance, Jean-René Cazeneuve, proposait « de porter de 3 % à 15 % » le taux de cette taxe. Le contre-projet du PS publié en septembre dernier projetait une augmentation à 6 %. C’est finalement ce doublement de la taxe qui a été adopté, le député Renaissance ayant accepté un tel taux en affirmant « je ne suis pas là pour rouvrir une guerre commerciale entre la France et les États-Unis », comme le rapporte Le Monde.

Roland Lescure a déclaré prendre « acte de la volonté du Parlement de renforcer la taxe sur les géants du numérique » tout en ajoutant qu’il aurait préféré que ce sujet soit traité « à l’échelle européenne et par la discussion internationale ».

Rappelons que si ces deux sources de financement ont obtenu une majorité à l’Assemblée nationale, elles ont peu de chances d’être acceptées par le Sénat à majorité de droite. Le texte global du budget, avec ces dispositions, pourrait ne même pas recueillir de majorité à l’Assemblée : certains députés Renaissance opposés notamment à l’impôt universel sur les multinationales pourraient refuser de le voter.

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Oups ! Thermaltake confirme que les refroidisseurs LGA1851/1700 seront compatibles LGA1954, avant de tout effacer

L'idée que les futures cartes mères au socket LGA1954 d'Intel seraient compatibles avec les refroidisseurs actuels, voire même ayant déjà quelques années, n'est pas nouvelle. Nous vous en parlions déjà au mois de mai 2025 sur H&Co, alors que des documents en fuite évoquaient des dimensions pour...

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France Travail confirme une nouvelle fuite de données massive

France Travail logo

France Travail est de nouveau sous le feu des projecteurs après la confirmation d'un piratage. Un groupe de cybercriminels, Stormous, revendique le vol des données de 31 000 demandeurs d'emploi. La méthode utilisée est plus sournoise qu'il n'y paraît et ne vise pas directement les serveurs de l'institution, mais bien les utilisateurs eux-mêmes.

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DeepCool PN1000M : une bonne alimentation 80 Plus Gold

Disparue il y a un petit moment, la gamme GamerStorm fait doucement son retour chez DeepCool, mais sans les artifices extravagants qu'il y avait avant. Avec l'alimentation PN1000M, certifiée 80 PLUS Gold, on reste sur du sobre en noir avec un discret logo vert. Un design sage qui cache un modèle efficace, comme on peut le voir avec notre nouveau test ici : DeepCool PN1000M ou sur la source. […]

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Razer présente une collection complète en cuir de Sneki Snek

Si le vert est la couleur du logo de Razer, la marque spécialiste du gaming mise essentiellement sur des périphériques en noir. Bonne nouvelle, ce vert chatoyant arrive sur plusieurs produits iconiques de la marque, et ça claque fort la rétine. Dénommé eSport Green, ce nouveau coloris ne passe pas inaperçu et s'incruste sur une très large sélection de produits. Mais pas les sièges, dommage... […]

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L'Europe se déchire sur la fin du thermique : la bataille de 2035 est lancée !

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L'objectif de 2035 pour la fin des voitures thermiques neuves en Europe tourne à la bataille rangée. L'Allemagne et l'Italie mènent la fronde pour sauver le moteur à combustion, soutenues par les lobbies auto. Face à elles, la France et l'Espagne défendent le cap pour des raisons climatiques et industrielles. Au milieu, la Commission européenne est prise entre deux feux.

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Test Frostpunk 2 (PS5) - Une adaptation console globalement réussie

Tout comme son prédécesseur, Frostpunk 2 est un jeu de survie axé sur la construction et la gestion d'une ville . L'action se déroule trente ans après la tempête qui a mis toute l'humanité à genoux, dans un New London sans le capitaine - notre alter ego du premier chapitre. C'est au « nouveau nous », le Surintendant, de prendre sa place et de conduire la ville vers un avenir où la glace sera enfin contrôlée par l'humanité, et non plus acculée. La ville à construire est plus grande et plus peuplée, et la population est divisée en plusieurs factions. Certains ont des idéaux et des objectifs similaires, d’autres non. Notre tâche sera de satisfaire les demandes de chacun, en évitant les émeutes. D'où l'une des plus grandes innovations du jeu : la Salle du Conseil , où nous devrons écouter les questions et garantir des concessions, lancer des projets et de nouvelles lois, changeant pour toujours (ou temporairement) la société de New London. Il est possible de négocier avec les factions , en demandant un vote favorable en échange de ressources économiques ou un vote sur des politiques qui les intéressent. L’objectif reste cependant un : garantir le développement de la ville dans un environnement positif et équilibré. Autrement, il est possible de transformer New London en dictature ou de réduire une faction à une poignée de membres, le tout avec des avantages et des inconvénients évidents. L'accent mis par Frostpunk 2 sur la politique contribue à donner immédiatement un aspect moins "hardcore" au titre , par rapport à l'original. En effet, lors de notre test nous avons rencontré moins de situations stressantes que lui, même en difficulté moyenne. Cependant, les sources de stress évoluent, grâce aux innovations introduites par 11 Bit Studios. (Lire la suite)
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ChatGPT détecte la dépression mieux que vous ne le pensez. Les psychiatres le confirment.

OpenAI affirme que la dernière version de ChatGPT est capable de reconnaître les problèmes de santé mentale des utilisateurs et d'y répondre avec une précision comparable à celle d'un professionnel de la santé mentale. L'entreprise a collaboré avec plus de 170 professionnels de la santé mentale issus de 60 pays, ce qui a permis de réduire de 65 à 80 % le nombre de réponses inappropriées dans différents domaines. En travaillant avec un groupe de psychiatres, de psychologues et d'autres professionnels de la santé, OpenAI a développé des solutions permettant de définir précisément les réactions appropriées et celles qui sont néfastes dans une situation donnée. Ainsi, ChatGPT est conçu pour reconnaître les signes subtils de stress et y répondre de manière adaptée. Selon OpenAI, GPT-5 reconnaît désormais mieux la psychose et la manie, deux troubles mentaux graves. Le modèle gère également plus efficacement les conversations sur l'automutilation et le suicide, témoignant ainsi d'une plus grande empathie et d'une meilleure compréhension de ces problématiques. Il relève également des schémas inquiétants de dépendance affective lorsqu'un utilisateur commence à substituer des interactions avec l'IA à ses relations réelles. Dans un exemple de pensée délirante, où un utilisateur croit qu'un avion lui vole ses pensées, le nouveau modèle combine une validation subtile avec un ancrage explicite dans la réalité. Elle ne minimise pas la peur de l'utilisateur ni ne confirme une croyance erronée. Au contraire, elle normalise l'expérience en expliquant que « le stress et l'anxiété peuvent rendre des choses normales hostiles », en expliquant ce qui peut se produire sur le plan neurologique, en enseignant des techniques d'ancrage et en recommandant de contacter les services appropriés. OpenAI a également fourni des statistiques sur ces conversations. Comparé à GPT-4o, le nouveau modèle a réduit de 39 % le nombre de réponses inappropriées dans les conversations sur la santé mentale, de 52 % dans celles portant sur l'automutilation et le suicide, et de 42 % dans les scénarios de dépendance affective. Dans les évaluations automatisées des cas difficiles, les performances sont passées de 28 % à 92 % de concordance dans les catégories de santé mentale et de 50 % à 97 % dans les tests liés à la dépendance émotionnelle. L'entreprise a indiqué que 0,07 % des utilisateurs actifs hebdomadaires consultent du contenu sur la psychose ou la manie, 0,15 % abordent le suicide ou l'automutilation et 0,15 % présentent des signes d'un attachement malsain à l'IA. (Lire la suite)
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Windows 11 26H1 arrive bientôt. La mise à jour sera d'abord disponible pour certains utilisateurs.

Après des années de retard, Microsoft a décidé de déployer les mises à jour majeures de Windows 11 moins fréquemment, ce qui explique la sortie de la mise à jour 25H2 cette année. Windows 11 26H1 sera disponible l'année prochaine. Dans un premier temps, cependant, seul un groupe d'utilisateurs spécifique en bénéficiera. La mise à jour Windows 11 24H2 était quelque peu inhabituelle, car elle a d'abord été déployée sur les ordinateurs Copilot+ avant d'être disponible sur tous les appareils. Selon certaines sources, il semblerait que la même procédure soit prévue pour la prochaine mise à jour majeure. Phantomofearth, une source fiable concernant Windows, affirme que Microsoft prépare Windows 11 26H1, dont le lancement sera simultané à celui des nouveaux processeurs Qualcomm Snapdragon X2. Cette mise à jour sera uniquement disponible sur les appareils Windows basés sur l'architecture ARM et équipés du processeur Snapdragon X2. Il est intéressant de noter que certaines fonctionnalités de cette version seront disponibles sur tous les ordinateurs Windows 11, mais plus tard. La version 26H1 est conçue pour prendre en charge la nouvelle plateforme et Microsoft l'utilisera pour implémenter des fonctionnalités qui n'ont pas été intégrées aux versions 24H2/25H2. Bien que Microsoft n'ait pas encore confirmé ses projets de mise à jour pour 2026, il est judicieux d'attendre les annonces officielles. Entre-temps, la société prépare de nouvelles fonctionnalités pour les versions 24H2 et 25H2, notamment une nouvelle interface pour le menu Démarrer et d'autres améliorations qui seront déployées dans les prochains mois. (Lire la suite)
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YouTube a diffusé une fausse vidéo (deepfake) au lieu de la véritable conférence NVIDIA

Hier, de nombreux utilisateurs de YouTube qui espéraient regarder la conférence NVIDIA GTC ont peut-être été victimes d'une arnaque : une diffusion en direct mettant en scène un faux Jensen Huang généré par IA, incitant les internautes à participer à un prétendu « événement sur les cryptomonnaies ». Pire encore, les algorithmes de YouTube ont mis en avant cette fausse diffusion avant la diffusion officielle du Parti vert. Comme l'a remarqué le journaliste Dylan Martin sur X, la fausse diffusion en direct était hébergée par une chaîne appelée Offxbeatz, qui se faisait passer pour « NVIDIA Live ». La vidéo était incroyablement convaincante et présentait la voix et l'image synthétiques de Jensen Huang, PDG de NVIDIA, censé annoncer le « Crypto Mass Adoption Event » – un événement censé accélérer l'adoption mondiale des cryptomonnaies. À son apogée, la fausse diffusion en direct a été suivie par plus de 95 000 personnes, tandis que la véritable conférence n'a été suivie que par 12 000 personnes. YouTube a incorrectement classé la fausse diffusion comme premier résultat pour les recherches « Nvidia GTC DC », ce qui a conduit de nombreux utilisateurs à se retrouver sur l'escroquerie au lieu de la chaîne officielle. Dans l'enregistrement, le faux Jensen a accueilli le public en ces termes : « Avant de commencer la présentation principale, j'ai une surprise pour vous : nous annonçons un événement de promotion massive des cryptomonnaies, en accord avec la mission de NVIDIA : accélérer le progrès humain. » Le deepfake a ensuite vanté les prétendues applications des GPU de l'entreprise sur les réseaux Ethereum, Solana et XRP, suggérant que les participants pourraient bénéficier d'une distribution spéciale de cryptomonnaies en envoyant leurs fonds à l'adresse du QR code. Comme vous pouvez l'imaginer, il s'agissait d'une tentative d'extorsion classique. Après la révélation de la fraude, YouTube a rapidement bloqué la chaîne et supprimé la diffusion, mais cette situation a une fois de plus mis en lumière le problème croissant des deepfakes et le manque d'outils efficaces de vérification de contenu sur les plateformes de streaming. (Lire la suite)
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