Utkarsh Gupta, chercheur à l’Anglia Ruskin University de Cambridge, vient de publier une étude dans
Scientific Reports de Nature
qui va vous faire halluciner. Pour retrouver vos souvenirs d’enfance, il suffit de hacker votre propre visage ! Hé oui, on peut littéralement débloquer sa mémoire avec un simple filtre photo de vous plus jeune.
Car votre cerveau garde vos souvenirs d’enfance derrière une porte verrouillée dont votre visage d’enfant est la clé !
Le principe est simple… vous prenez 50 adultes, vous leur montrez leur propre visage en live sur un écran, mais modifié par un filtre pour ressembler à leur tête de gamin. Ce genre de filtres bébé qui traînent sur Snapchat et Instagram…
Et là, résultat de malade : ceux qui ont vu leur visage d’enfant se sont souvenus de beaucoup plus de détails de leur enfance que ceux qui voyaient leur visage d’adulte. Vraiment beaucoup plus !
Cette technique s’appelle l’enfacement illusion. C’est une illusion cognitive où votre cerveau se fait avoir. Il pense que le visage qu’il voit sur l’écran, c’est le vôtre, comme si vous vous regardiez dans un miroir. D’habitude, l’enfacement illusion sert aux neuroscientifiques pour étudier la plasticité de la représentation de soi mais là, les chercheurs l’ont détournée pour créer une sorte de machine à remonter le temps low-tech.
Votre mémoire est comme un trousseau de clés où chaque visage que vous avez eu dans votre vie correspond à une clé différente. Avec votre tête d’adulte, vous n’avez accès qu’aux souvenirs récents, c’est à dire les titres qui passent en boucle sur votre playlist mentale. Mais avec votre visage d’enfant, vous accédez aux deep cuts, aux morceaux oubliés tout au fond de votre disque dur cérébral.
Une sorte de reverse engineering de la mémoire, si vous voulez.
L’enfacement illusion fonctionne grâce à une stimulation multisensorielle synchrone. Concrètement, vous voyez des touches tactiles sur le visage à l’écran en même temps que vous sentez ces touches sur votre propre visage. Votre cerveau fait alors la connexion et se dit : “Ok, ce visage là-bas, c’est moi”. C’est exactement le même mécanisme que l’illusion de la main en caoutchouc, vous savez, quand on arrive à vous faire croire qu’une fausse main posée sur une table est la vôtre.
Du coup, qui êtes-vous vraiment ? Votre tête actuelle ? Toutes vos tronches du passé ? Ou la somme de toutes ces versions ?
Si vous voulez tester ça vous même, trouvez un bon filtre et suivez ce tuto de Utkarsh :
Cette méthode pourrait beaucoup aider dans tout ce qui est travail thérapeutique ou pour aider les victimes de traumatismes à accéder à des souvenirs enfouis. Et si vous savez coder une application mobile, vous pouvez même devenir très riche en proposant la première app qui débloque vos souvenirs d’enfance ;-)))
Bon, il y a quand même un truc à garder en tête c’est que cette technique ouvre des portes, mais il faut faire attention à ce qui se cache derrière. La recherche a montré par exemple que des enfants exposés à de la réalité virtuelle pouvaient développer de faux souvenirs… Donc manipuler la perception corporelle pour accéder aux souvenirs, c’est très puissant, mais ça demande quand même un peu de précautions.
Je sais pas si vous allez essayer mais si ça marche, faites moi un mail, je suis vraiment curieux.
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –
On ne va pas se mentir : trimballer un disque dur externe, aujourd’hui, ça ressemble un peu à sortir un baladeur CD. C’est bruyant, fragile, lent, bref, on passe. Les SSD portables, eux, ont tout changé : finis les plateaux qui tournent et les transferts qui prennent des heures.
Un bon SSD, c’est du silence, de la vitesse (jusqu’à 2 000 Mo/s, contre 120 en moyenne pour un disque dur), et la possibilité d’enregistrer directement ses vidéos 4K ProRes sur un iPhone sans remplir sa mémoire interne.
Lexar, marque bien connue dans la photo et la vidéo, s’est fait une spécialité de ces modèles rapides et compacts, et comme elle m’en a envoyé plusieurs pour les tester (merci bien Lexar), je vous propose ici un petit comparatif rapide de chacun d’entre eux : le SL500, le ES5, et le Professional Go avec Hub. Trois approches et trois usages différents. Les trois fonctionnent très bien sur ordinateur, PC ou Mac, sur smartphone, iPhone ou Android, et même sur tablette genre iPad.
Lexar SL500 : un SSD rapide tout simplement
Le SL500, c’est surtout un SSD rapide. Il exploite l’interface USB 3.2 Gen 2×2, capable d’atteindre jusqu’à 2 000 Mo/s en lecture et 1 800 Mo/s en écriture, du moins sur un ordinateur compatible (les Mac et iPhone non “Pro” se limitent à 10 Gb/s, soit environ 1 000 Mo/s). Dans la pratique, on tourne autour de 1 600 à 2 000 Mo/s, de quoi transférer un film en 4K en quelques secondes.
Il a un design en aluminium, pèse 95 grammes et a en option un étui magnétique MagSafe (le truc au dessus sur la photo) qui lui permet de se fixer directement à un iPhone (ce que vous n’êtes pas du tout obligé de faire hein, c’est aussi un très bon SSD pour ordinateur). Il est certifié IP54, supporte les chutes jusqu’à deux mètres.
En usage réel, c’est un SSD à l’aise partout : montage vidéo, photo RAW, sauvegarde de projet, il encaisse tout. Là tout de suite on le trouve en dessous des 100 euros en version 1 To, c’est l’un des meilleurs rapports vitesse/prix du moment. Idéal pour les freelances, étudiants ou créateurs polyvalents qui veulent du sérieux sans se ruiner.
L’ES5, c’est le SSD qui ne craint pas de sortir du bureau. Même interface rapide que le SL500 (USB 3.2 Gen 2×2), mais un look et une conception différents : coque en silicone, 49 g sur la balance, IP65 et résistance aux chutes jusqu’à 3 mètres. En clair, il encaisse bien la poussière, la pluie, et être jeté à l’arrache dans un sac.
Il est aussi magnétique, avec un aimant puissant et une bague métallique pour l’attacher à n’importe quel smartphone ou laptop. Avec les iPhone « Pro », il permet d’enregistrer en ProRes 4K 60 ou 120 fps. Il dispose d’une application mobile pour sauvegarder automatiquement photos et vidéos sans passer par le cloud, et reste bien sûr compatible PC/Mac.
Côté performance, rien à redire : autour de 1 800 à 2 000 Mo/s, il se est constant, même sur de longs transferts. En France, on le trouve à environ 150 € en 1 To, 220 euros en 2 To. C’est un peu plus cher que le SL500, mais son format plus compact et sa robustesse justifient l’écart. Le public visé ? Les vloggers, journalistes, créateurs de terrain ou voyageurs qui ont besoin d’un SSD à la fois rapide, solide et pratique à accrocher à leur setup.
Lexar Professional Go avec Hub : pour les vidéastes
Le Professional Go est une petite curiosité. Ultra-compact (13 g seulement), il se branche directement en USB-C à l’iPhone, sans câble intermédiaire. Les vitesses sont plus modestes (1 050 Mo/s en lecture, 1 000 Mo/s en écriture) mais largement suffisantes pour enregistrer des vidéos 4K ProRes sans saturer la mémoire du téléphone.
Sa particularité, c’est son hub intégré : quatre ports USB-C permettant de brancher un micro, une lumière, une batterie externe ou un autre accessoire. Une sorte de mini-station de tournage qui transforme l’iPhone en rig complet. Le tout est IP65, protégé contre la poussière et les éclaboussures, et livré avec un bumper en silicone pour encaisser les coups.
L’ensemble est un peu plus cher, environ 190 € en 1 To et 280 € en 2 To, mais c’est un produit assez unique. On peut tout brancher sans adaptateur ni multiprise, et garder un setup léger. Pour les vidéastes iPhone, c’est un outil redoutable : rapide, bien pensé, et surtout très pratique.
Bah, c’est assez simple en fait. Le Lexar SL500 mise sur la vitesse pure et un bon rapport qualité-prix. Il vise aussi les utilisateurs grand public qui veulent un disque rapide, bien fini et polyvalent.
Le Lexar ES5 s’adresse plus aux créateurs mobiles, qui veulent la même puissance mais dans un format plus solide, prêt pour les tournages en extérieur. C’est le modèle que je préfère, sans aucun doute.
Le Lexar Professional Go avec Hub, lui, cible clairement les vidéastes iPhone : un mini setup complet pour filmer en ProRes tout en branchant micro et lumière.
Ces trois modèles couvrent pratiquement tous les usages, de la sauvegarde quotidienne au tournage pro, avec un vrai souci du détail et des prix cohérents. Quoi qu’il en soit, si vous hésitez encore à passer du disque dur au SSD, croyez-moi : après avoir goûté à 2 000 Mo/s, vous ne reviendrez plus jamais en arrière.
Vous êtes en train de lire un truc, vous avez une idée géniale comme d’habitude, et là vous vous dites que vous noterez ça plus tard… Sauf que si vous êtes comme moi, plus tard, c’est jamais. Snif !
Et bien
Notefox
règle exactement ce problème. Il s’agit d’une extension Firefox qui vous permet d’associer des notes directement sur les pages web / domaines que vous visitez. Un peu comme des post-it virtuels, mais en mieux fichus…
Avec Notefox, vous pouvez donc créer des notes à deux niveaux. Soit une note pour un domaine entier (genre tous vos meilleurs passages de Korben.info, le site préféré de votre informaticien préféré), soit une note pour une page précise (genre ce tuto que vous venez de lire sur mon site et sur lequel vous avez quelques petites réserves à ajouter). Et voilà !! Les notes se sauvegardent alors automatiquement, et quand vous revenez sur le site, hop, elles sont là !
L’extension propose de l’import / export, un système d’étiquettes de couleurs, de la mise en forme (gras, italique, liens… vous connaissez), de la recherche et vous avez bien sûr la possibilité de supprimer des trucs. Et tout est synchronisé entre vos machines. Vous pouvez aussi personnaliser les raccourcis clavier si vous aimez aller vite.
Mon point noir par contre, c’est que le thème par défaut est vraiment pas terrible. Mais avant de fuir, sachez que vous pouvez tout personnaliser dans les options de l’extension. Couleurs, apparence, police…etc y’a tout et après c’est nickel !
L’extension est développée par Saverio Morelli et le code est en open source sur GitHub si vous voulez jeter un œil sous le capot.
Après si vous cherchez des alternatives, il en existe quelques unes sur Firefox comme
Notes by Firefox
qui est l’extension officielle de Mozilla, mais elle est très minimaliste, et plus mise à jour depuis 2020.
Bref, si vous passez votre temps à perdre vos idées entre deux onglets, ça vaut le coup d’essayer !
Conçu pour les passionnés de claviers mécaniques et les professionnels, le EPOMAKER Split70 introduit une approche ergonomique innovante. Sa structure divisée en deux modules indépendants permet de réduire la tension dans les bras et les épaules, améliorant le confort lors de longues sessions de frappe ou de jeu. En ajustant librement l’angle et l’écartement des deux parties, l’utilisateur adopte une posture plus naturelle et détendue, limitant la fatigue musculaire.
Une disposition compacte et polyvalente
Avec son format 70 %, le Epomaker Split70 conserve l’essentiel des fonctionnalités tout en réduisant l’encombrement. Ses 71 touches et un bouton rotatif programmable offrent une expérience fluide et intuitive. Le bouton permet de contrôler le volume, la luminosité ou encore la lecture multimédia sans quitter les mains du clavier.
Connectivité tri-mode pour une compatibilité totale
Le Epomaker Split70 prend en charge trois modes de connexion : Bluetooth 5.0, sans fil 2,4 GHz et USB-C filaire, permettant une utilisation flexible sur Windows, macOS et Android. Il peut être couplé à cinq appareils simultanément, facilitant la transition entre un PC professionnel, un ordinateur portable et une tablette.
Personnalisation complète avec VIA
Grâce au logiciel VIA, chaque touche du Split70 peut être remappée ou associée à des macros pour optimiser la productivité ou les raccourcis de jeu. Ce niveau de personnalisation permet d’adapter le clavier aux besoins de tout utilisateur, du programmeur à l’éditeur vidéo.
Frappe silencieuse et structure à joint d’étanchéité
Le Epomaker Split70 repose sur une structure montée sur joint avec cinq couches de matériaux d’insonorisation : latex, mousse IXPE, renfort PET, éponge inférieure et silicone. Ce design multicouche adoucit la frappe et réduit la résonance sonore, procurant une sensation de frappe douce et « crémeuse ». Les interrupteurs linéaires EPOMAKER Wisteria V2, lubrifiés en usine, offrent une activation fluide avec une force d’actionnement de 45 g et une course totale de 3,6 mm.
Rétroéclairage RVB dynamique
Le Epomaker Split70 est équipé d’un rétroéclairage RVB complet, composé de 71 LED orientées vers le sud. Chaque touche peut être personnalisée individuellement en couleur, saturation, luminosité et vitesse d’effet, permettant de créer une ambiance lumineuse unique adaptée à chaque environnement de travail.
Endurance et autonomie
Sa batterie rechargeable de 3000 mAh assure jusqu’à 11 heures d’utilisation avec rétroéclairage actif et 260 heures avec les LED désactivées. Le clavier prend en charge un taux de sondage de 1000 Hz en mode filaire ou 2,4 GHz et 125 Hz en Bluetooth, garantissant une latence minimale : 3 ms filaire, 5 ms en 2,4 GHz et 15 ms en Bluetooth.
Interrupteurs : EPOMAKER Wisteria V2 linéaires, remplaçables à chaud
Structure : montage sur joint, 5 couches d’amortissement
Rétroéclairage : RVB dynamique par touche
Autonomie : jusqu’à 260 h sans LED
Compatibilité : Windows, macOS, Android
Poids : 890 g (2 modules inclus)
Angle de frappe : environ 7°
Une ergonomie au service de la performance
Avec le Split70, EPOMAKER prouve qu’un clavier peut être à la fois compact, personnalisable et respectueux de la posture. Conçu pour les passionnés d’ergonomie et de productivité, il offre une combinaison rare de confort, de silence et de modularité, tout en conservant l’ADN des claviers mécaniques haut de gamme.
AMD a récemment clarifié son engagement à soutenir ses anciennes Radeon, notamment celles basées sur l’architecture RDNA 1 et RDNA 2, suite à des déclarations merdiques liées au dernier pilote Adrenalin 25.10.2. Éclaircissement d’AMD : Prise en charge des pilotes pour RDNA 1 et RDNA 2 Des récentes confusions sont survenues suite à l’annonce du […]
Que vaut le kit de 2 caméras SoloCam E42 de eufy ?
Vous le savez chez Vonguru, on adore tout ce qui est domotique et chez eufy, on a toujours le choix de ce côté-là ! Aujourd’hui, c’est la sécurité qui est mise en avant avec le nouveau kit de 2 caméras SoloCam E42 ! Au programme de cette nouveauté, résolution 4K UHD, Protection 360° sans angles morts, Détection IA et suivi intelligent !
Voyons ensemble ce que vaut ce nouveau kit, muni de sa HomeBase 3.
Vous retrouverez ce kit au prix de 479 € hors promotion directement sur le site de la marque ou bien sur Amazon. Place au test !
Unboxing
Caractéristiques techniques
Usages recommandés pour le produit
Sécurité extérieure
Marque
eufy Security
Nom de modèle
Solo Cam E42
Technologie de connectivité
Sans fil
Utilisation intérieure/extérieure
Extérieure
Protocole de connectivité
WLAN
Type de fixation
Installation murale
Résolution d’enregistrement vidéo
4k
Couleur
Blanc
Nombre d’articles
2
Fonctionnalités
Netteté ultime – avec sa véritable résolution 4K UHD, cette caméra ne passe à côté d’aucun détail. Elle peut même reconnaître une plaque d’immatriculation jusqu’à 10 m de distance.
Détection IA et suivi intelligent – l’IA intégrée détecte instantanément les mouvements et suit automatiquement les personnes, les véhicules, ou les événements importants qui se déroulent à portée de vue. Les fausses alarmes sont minimisées, et votre propriété est sécurisée.
Protection 360° sans angles morts – l’angle de vue large fournit une couverture complète, minimise les angles morts et vous permet de garder un œil sur votre palier, votre entrée ou votre jardin.
Sirène détection de mouvement – protégez votre domicile grâce au stroboscope puissant et déclenché par le mouvement, qui effraie les visiteurs indésirables et vous informe en instantané de tous les comportements inhabituels.
Sécurité assurée avec la technologie SolarPlus 2.0 – deux heures d’ensoleillement direct suffisent pour que votre caméra fonctionne toute la journée. Une utilisation en continu, sans entretien, et dans toutes les conditions météorologiques.
Sans frais mensuels – insérez une carte microSD de 128 GB pour stocker vos images de manière confidentielles et éviter les frais d’inscription. Attention : carte microSD non incluse.
Contenu
Deux caméras de surveillance sans fil avec panneaux solaires.
Deux supports de montage ajustables.
Visserie pour fixation murale.
Câbles USB-C pour le chargement initial.
Installation
Commençons par parler de l’installation, aussi bien hardware que software, qui dans les deux cas n’a plus vraiment de secret pour nous. On rappellera cependant de BIEN vérifier la porter de son Wi-Fi AVANT de percer son mur
Préparation :
Chargez les caméras via USB-C.
Choisissez un emplacement extérieur dégagé, à 2–3 m de hauteur, bien exposé au soleil si vous utilisez les panneaux solaires intégrés.
Fixation :
Montez les caméras avec les supports fournis.
Orientez-les légèrement vers le bas pour une meilleure couverture et moins de fausses alertes.
Connexion Wi-Fi :
Installez l’application Eufy Security et créez un compte.
Ajoutez les caméras : appuyez sur le bouton SYNC, scannez le QR code via l’application et connectez-les au Wi-Fi 2,4 GHz.
Paramètres dans l’application :
Renommez chaque caméra.
Configurez zones de détection et notifications (personnes, véhicules, animaux).
Choisissez la résolution et le stockage (microSD).
Tests :
Vérifiez le flux en direct, la détection de mouvement et la vision nocturne.
Test & Application
Lorsqu’on pense « sécurité extérieure » sans prise de tête, on cherche : une image nette, des alertes fiables, pas d’abonnement, et une installation qui ne transforme pas votre mur en chantier, que vous soyez propriétaire ou locataire. Le kit 2 caméras SoloCam E42 de eufy coche à première vue beaucoup de ces cases : résolution 4K, alimentation solaire/batterie, detection IA, et hub inclus (HomeBase S380) pour aller plus loin. Je suis déjà munie de caméras intérieures et extérieures de eufy, et j’avais très hâte de tester ces nouveaux modèles.
L’installation, c’est vu. Parlons donc de tout le reste. Côté image, Eufy frappe fort. Le capteur 4K de la SoloCam E42 offre un rendu impressionnant, aussi bien de jour que de nuit. Les détails sont précis, les couleurs équilibrées, et la compression ne dégrade pas la qualité du flux, même sur un réseau Wi-Fi standard. La vision nocturne en couleur est également au rendez-vous, grâce à un projecteur LED intégré. La caméra bascule automatiquement entre vision IR et couleur selon la luminosité, garantissant une visibilité constante.
Eufy intègre ici une détection intelligente de mouvement qui distingue les personnes, véhicules et animaux. Fini les notifications inutiles dès qu’une feuille bouge ou qu’un insecte passe devant la lentille. La précision est excellente, surtout pour une caméra sans station de base. Les alertes arrivent rapidement sur smartphone, accompagnées d’une courte vidéo enregistrée en local sur carte microSD (jusqu’à 128 Go). Et surtout : aucun abonnement n’est nécessaire. Tout est stocké et géré en interne.
Autre bonne surprise : la communication bidirectionnelle. Depuis l’application, on peut parler directement via le haut-parleur de la caméra. Pratique pour répondre à un livreur ou dissuader un intrus. La E42 embarque aussi une sirène et un flash lumineux, activables automatiquement ou manuellement. Un combo efficace pour faire fuir quiconque s’approcherait un peu trop près.
Le grand atout de la SoloCam E42, c’est son autonomie. En usage normal, la batterie tient plusieurs mois, et le panneau solaire intégré assure une recharge continue. En pratique, même par temps couvert, la caméra maintient un niveau de batterie stable. Pour ceux qui n’aiment pas grimper à l’échelle tous les trois mois, c’est un vrai luxe. Pour vous dire, mon kit 4 caméras S330 n’a JAMAIS eu besoin d’être rechargé. Les panneaux sont le boulot tout le temps.
Après quelques jours d’utilisation, on oublie presque la présence du système. Les notifications sont pertinentes, le flux vidéo rapide, et l’application parfaitement fluide. Eufy a trouvé un excellent équilibre entre ergonomie, performance et tranquillité d’esprit.
Conclusion
Le kit de 2 caméras SoloCam E42 de Eufy coche toutes les cases : image 4K, autonomie solaire, installation en quelques minutes et stockage local sécurisé. C’est une solution idéale pour ceux qui veulent protéger leur maison sans s’encombrer d’un système complexe.
En clair, un duo malin, autonome et discret, qui fait exactement ce qu’on attend de lui — sans le moindre fil. Cependant, le prix est tout de même élevé. 479 € hors promotion directement sur le site de la marque ou bien sur Amazon ce n’est pas à la porter de toutes les bourses.
Test de la montre connectée Withings ScanWatch 2 2025
Nous vous en avions parlé lors de son annonce par la marque, la ScanWatch 2 2025 est maintenant disponible en boutique. Il s’agit pour rappel, d’une montre connectée hybride et dotée d’une autonomie de 30 jours. Ce modèle, grâce à son application permet aussi un suivi du cycle menstruel, sans parler des divers relevés permettant de vérifier la bonne santé de notre cœur, le nombre de pas que l’on marche chaque jour, la température corporelle ou bien de suivre un score de qualité du sommeil.
La ScanWatch 2 2025 est disponible dès à présent au tarif de 349,45 €.
Bref, que vaut cette nouvelle ScanWatch au quotidien ? Réponse dans ce test !
Déballage
La ScanWatch 2 2025 arrive dans une boîte blanche avec la montre de représentée dessus. Il s’agit d’une boîte identique à la ScanWatch 2 sortie en 2023. À l’arrière, nous retrouvons quelques informations complémentaires sur sa compatibilité (iphone, ipad, smartphones avec Android 10 au minimum). Nous avons aussi le droit à diverses informations techniques ainsi que celles de recyclage. Sur les côtés, la marque met en avant son application Withings App.
Dès que l’on ouvre cette petite boîte, nous découvrons la montre installée sur une base en carton. On la retrouve aux côtés de :
un socle de chargement
et son câble USB-C vers USB-A
un guide d’installation
une carte promotionnelle des produits Withings
Spécifications techniques
Test
Mise en route
Pour utiliser la ScanWatch 2 2025 pour la première fois, c’est relativement rapide et facile. Il faudra en effet installer la montre sur votre poignet et au préalable télécharger l’application de Withings (la même que pour les autres produits de la marque). On pensera bien entendu à mettre son smartphone en Bluetooth et à activer la localisation puis on lancera l’application de la marque. Grâce au bouton disponible tout en haut à droite de l’application, il sera possible d’installer la montre. En moins de 5 minutes, tout est prêt à l’emploi !
Le plus « dur » en soit sera de mettre la bonne heure sur la montre, si elle n’est pas parfaitement mise par défaut. Il faudra alors tourner les aiguilles sur l’application pour la mettre à l’heure en direct, mais cela reste un détail.
Petit point négatif concernant la montre en sortie de boîte. Effectivement, le bracelet était un peu marqué par l’emballage. Néanmoins, cette marque s’atténue au bout de quelques jours de portage mais reste encore légèrement visible après 10 jours au poignet. C’est un peu dommage pour le coup.
Utilisation quotidienne
Au quotidien, la ScanWatch 2 2025 est assez confortable à utiliser et à porter. Néanmoins, le bracelet aura tendance à marquer un peu la peau. Et si je le desserre, ne serait-ce qu’un peu, il ne sera plus assez serré pour moi. Il faudra donc peut-être envisager un bracelet dans une autre matière pour la vie courante. Par contre, c’est aussi ce qui permet à la montre connectée de supporter l’immersion… Donc à voir selon votre utilisation quotidienne, si vous souhaitez la garder pendant la douche, à la piscine, ou non.
À l’usage, j’ai remarqué que ce modèle avait tendance à irriter ma peau, contrairement à la ScanWatch première du nom. En effet, si je la porte pendant plusieurs jours d’affilés, sans la retirer, je me retrouve avec des rougeurs et irritations sur le poignet (en dessous du cadran et aussi au niveau du bracelet silicone). C’est un point qui me fait penser qu’il faudra sûrement opter pour un bracelet cuir peut-être si vous êtes également concerné par ce soucis.
Sur ce modèle, contrairement aux montres et bracelets Fitbit par exemple, l’écran restera bien visible en extérieur ! Et ce, peut importe l’ensoleillement.
Sinon, la ScanWatch 2 2025 est dotée d’un bon nombre de fonctionnalités intéressantespour suivre sa santé de manière générale. On pourra notamment vérifier comme je disais plus haut, le nombre de pas faits par jour, le rythme cardiaque mais on pourra aussi faire un électrocardiogramme ou encore vérifier ses perturbations respiratoires pendant le sommeil ou la quantité d’oxygène dans le sang. Dans le même ordre d’idées, nous avons un relevé de notre température disponible dans l’application. Une température de « base » est analysée par la montre, elle pourra ensuite vous dire si vous situez en dessous de cette moyenne ou bien au dessus.
Il s’agit d’un excellent allier pour faire attention à sa santé, surtout dans notre ère moderne où le télétravail a été beaucoup généralisé. Toutefois, il faudra quand même faire attention aux données relevées par la ScanWatch 2 2025 et ne pas hésiter à aller consulter un médecin en cas de doute. La technologie peut être défaillante, alors faites bien attention à vous.
Avec son application, la marque propose aussi un suivi du cycle menstruel. C’est une option très intéressante pour les personnes qui n’ont pas spécialement d’appli pour leur suivi. D’autant plus que Withings propose actuellement une offre pour bénéficier de l’application Clue pendant un an. À titre personnel, c’est une application que j’utilise depuis des années, je trouve cela plutôt chouette. Du côté de Withings, nous pourrons aussi noter nos périodes menstruelles, nos symptômes directement sur l’application. En plus de cela, directement sur la montre (en utilisant la molette), il sera possible de noter quelques informations sur notre cycle. C’est rapide et pratique si l’on a pas le temps d’ouvrir l’appli.
Esthétiquement parlant, la montre connectée de Withings est très élégante. On est loin de l’aspect sportif des montres Fitbit. Ici, notre exemplaire du jour possède des couleurs bleues foncées et un joli cadran couleur or rose. Sans parler de son cadran avec aiguilles qui donne un aspect haut de gamme non négligeable.
En plus de cela, si l’envie vous prends, de nombreux autres bracelets sont disponibles sur le site de la marque. Vous permettant ainsi de changer de couleur au gré de vos envies. Néanmoins, ils ne sont pas donnés puisqu’ils se trouvent entre 19,95 € pour les plus « simples » et 49,95 € pour d’autres (ceux en cuir notamment). Ceci dit, la marque Fitbit, ne les vend pas beaucoup moins chers de son côté !
Autonomie et recharge
Utilisant les montres Withings depuis plusieurs années maintenant, je peux vous assurer que la batterie d’un mois tient ses promesses. C’est vraiment top, on ne passe pas son temps à recharger sa montre.
Application
L’application de Withings est vraiment complète et intuitive. Par défaut, au démarrage, nous nous retrouverons sur notre accueil répertoriant la plupart des données relevées et nous donnant accès à des notifications. Nous avons notamment le nombre de pas relevés, notre temps de sommeil, fréquence cardiaque moyenne, poids etc. De quoi tout vérifier en peu de temps !
Suivi du cycle
Dans la partie suivi du cycle, il nous sera possible de suivre nos règles, de les ajouter, d’ajouter aussi différents symptômes que l’on pourrait ressentir grâce au petit « + ». L’appli nous indique aussi notre phase (folliculaire, ovulation, lutéale), la fenêtre de fertilité et les dates de nos potentielles prochaines règles. De plus, en se basant sur notre température corporelle, l’application est censée pouvoir détecter notre ovulation.
Progresser et partager
Dans progresser, Withings nous donne des programmes et astuces pour améliorer notre santé. Tandis que la partie « partager » concerne plutôt le suivi de la santé et le partage à nos médecins entre autre.
Conclusion
Au final, nous retrouvons une nouvelle fois une montre connectée pleine de fonctionnalités, qui nous rappellera notamment celles disponibles dans les bracelets/montres de la marque Fitbit. Elle est agréable à porter au quotidien et apportera une dose d’élégance non négligeable à votre poignet, n’étant pas du tout typé sport. Attention toutefois aux peaux sensibles qui pourront être irritées par les matériaux de cette dernière. Dans ce cas, il faudra peut-être envisager l’achat d’un bracelet en matière naturelle, type cuir.
Sinon, ce modèle bénéficie d’une grande autonomie de 1 mois. C’est une autonomie qui est ultra satisfaisante, nous n’avons pas l’impression de la recharger toutes les trente secondes.
On regrettera toutefois, à la sortie de la boîte, avoir constaté que le bracelet de notre montre était marqué. Bien que cela s’estompe petit à petit mais reste tout de même visible pendant une quinzaine de jours.
Malheureusement, c’est un constat que l’on fait à chaque fois, les accessoires pour la ScanWatch 2 2025 ne sont pas donnés. Il faudra rajouter entre 20 et 50 euros pour bénéficier d’un bracelet de rechange. La montre en elle-même est disponible au tarif de 349,95 €.
Mais, au vu des fonctionnalités qu’elle intègre et de son élégance, je ne peux que la recommander. Il n’y a pas de réel point noir sur ce modèle, mise à part, un prix qui pique et malheureusement un abonnement mensuel à rajouter si on veut profiter pleinement de toutes les fonctionnalités qu’elle peut proposer !
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Le jeu ne se limite plus à la réactivité ou à la puissance brute. Il incarne désormais une fusion entre technologie, vision et design. C’est dans cet esprit qu’ATTACK SHARK, marque reconnue pour ses périphériques gaming hautes performances et accessibles, dévoile la R11 ULTRA, une souris en fibre de carbone forgée à sec. Ce modèle incarne la rencontre entre science des matériaux et ingénierie de précision, posant de nouveaux standards en matière de performance et de durabilité dans le monde des périphériques eSport.
La fibre de carbone forgée, au service de la performance
La principale innovation de la R11 ULTRA réside dans sa coque en fibre de carbone forgée à sec, inspirée des monocoques de Formule 1. Ce matériau offre une résistance à la traction supérieure à 3 500 MPa, plusieurs fois plus élevée que celle de l’acier, tout en affichant une légèreté exceptionnelle. Chaque coque est façonnée par un processus artisanal à plusieurs étapes, garantissant une précision et une cohérence structurelle parfaites. Son motif de surface unique, inspiré des lames en acier Damas, marie l’élégance du métal forgé à l’esthétique high-tech des composites modernes. L’ATTACK SHARK R11 ULTRA ne se limite pas à être un outil de jeu : c’est un objet de design fonctionnel, pensé pour séduire autant qu’il performe.
Une architecture matérielle de pointe
Sous son châssis ultra-léger, la R11 ULTRA embarque le capteur optique PixArt PAW3950MAX personnalisé, atteignant 42 000 DPI, une vitesse de 750 IPS et une accélération de 50 G. L’architecture à double moteur, soutenue par le chipset Nordic 52840, assure une connexion sans fil stable et sans latence. Avec un taux de balayage statique de 20 000 ips et un taux d’interrogation de 8 000 Hz, chaque clic est enregistré avec une précision quasi instantanée. Le mode exclusif Hunting Shark pousse encore plus loin la sensibilité du suivi, offrant un contrôle chirurgical dans les environnements compétitifs où chaque milliseconde compte.
Confort et durabilité au niveau professionnel
La R11 ULTRA ne se contente pas d’être rapide : elle est aussi pensée pour durer. Son revêtement Nano-Metal Ice maintient une température agréable même lors des sessions prolongées, tandis que les pieds à double couche assurent une glisse fluide et constante. Les commutateurs optiques Omron, certifiés pour 70 millions de clics, et l’encodeur F-Switch à 2 millions de cycles garantissent une endurance à toute épreuve. Grâce à une ergonomie équilibrée et un poids maîtrisé de 49g, la souris offre un confort optimal pour les longues compétitions comme pour un usage professionnel intensif.
Une marque guidée par l’innovation et l’instinct
Derrière cette prouesse technique se trouve la philosophie d’ATTACK SHARK : précision, vitesse et puissance, symbolisées par son emblème du prédateur ultime. Sa devise, Ignite Your Gaming Journey, Build Your Gaming Empire, illustre sa mission : offrir aux joueurs les outils les plus avancés pour repousser leurs limites. La R11 ULTRA s’inscrit dans la lignée des modèles à succès de la marque, comme la R5 ULTRA en fibre de carbone et les R2/R3 en alliage de magnésium. Présente en Amérique du Nord, en Europe, en Asie du Sud-Est, au Japon et en Corée du Sud, ATTACK SHARK consolide sa place parmi les marques montantes du matériel eSport haut de gamme.
La précision du futur
Avec la R11 ULTRA, ATTACK SHARK propulse la technologie gaming vers un nouveau palier. Entre matériaux avancés, capteur surpuissant et connectivité ultra-rapide à seulement 99 euros, cette souris établit une nouvelle référence dans l’univers du matériel eSport. Une création où chaque clic devient maîtrise, et où la technologie rencontre l’instinct.
MSI complète sa série MPG avec la A1000GS PCIE5, un bloc d’alimentation de 1000 watts conçu pour répondre aux dernières exigences de la norme ATX 3.1 et du PCIe 5.1. Le format reste standard (150 × 150 × 86 mm), mais l’approche est plus raffinée, avec deux connecteurs 12V-2×6 natifs capables de délivrer chacun 600 W, un câblage intégralement modulaire et des faisceaux à gaine gaufrée plus souples que sur les générations précédentes.
Sous sa coque compacte, on retrouve une topologie LLC Half Bridge avec conversion DC-to-DC et PFC actif, un schéma éprouvé dans cette catégorie. La marque annonce des condensateurs 105 °C de niveau serveur, une espérance de vie de 150 000 heures (MTTF) et un ensemble complet de protections de niveau industriel (OCP, OVP, UVP, OTP, OPP, SCP, SIP et NLO).
Le refroidissement repose sur un ventilateur Silent Gale 135 mm monté sur palier hydrodynamique (Fluid Dynamic Bearing), capable d’évoluer entre 500 et 1800 tr/min. Sa plage de fonctionnement, associée à une pression statique modérée, vise à concilier silence et efficacité sur des charges soutenues. La certification 80 PLUS Gold assure un rendement pouvant atteindre 90 % à 230 V, cohérent avec ce positionnement.
La connectique comprend un connecteur ATX 24 broches, deux EPS 4+4 broches, deux PCIe 5.1 (12V-2×6), un PCIe 6+2 broches, huit SATA et quatre Molex. MSI annonce une tolérance d’excursion de puissance jusqu’à 235 % de la charge nominale sur des pics de 100 microsecondes, de quoi répondre aux sollicitations brutales des cartes graphiques NVIDIA GeForce RTX 50 et équivalentes.
Proposée à un prix de lancement de 209 €, mais disponible aujourd’hui aux alentours de 140 €, la MPG A1000G PCIE5 s’annonce comme une solution particulièrement compétitive sur le papier. Reste à vérifier dans cette revue si ses performances électriques et acoustiques confirment cette impression de bon rapport technique et tarifaire.
Emballage et contenu de la MSI MPG A1000GS PCIE5
La MPG A1000GS PCIE5 arrive dans un emballage au design typique de la série MPG, dominé par des reflets métalliques et les logos ATX 3.1 et Cybenetics Gold, qui annoncent la compatibilité avec les dernières normes de puissance.
L’avant de la boîte met en avant le bloc et ses certifications, tandis que l’arrière détaille la connectique complète, les longueurs de câbles et les caractéristiques techniques principales.
À l’ouverture, l’ensemble est bien organisé. L’alimentation est protégée dans une mousse dense, accompagnée d’un jeu de câbles modulaires soigneusement rangés dans une pochette.
Le bundle comprend le câble secteur, les vis de fixation, un guide utilisateur et les faisceaux modulaires : un ATX 24 broches, deux EPS 4+4 broches, deux câbles PCIe 5.1 (12V-2×6), un PCIe 6+2 broches, huit SATA et quatre Molex.
La présentation est sobre mais efficace, sans ajout superflu. On note que les câbles plats ont ici laissé place à des faisceaux gainés gaufrés, plus souples et visuellement mieux intégrés que sur la précédente A1000G. L’ensemble inspire le sérieux, avec un conditionnement propre et cohérent pour un bloc de cette catégorie.
Design et présentation de la MSI MPG A1000GS : un bloc compact et soigné
La MPG A1000GS PCIE5 adopte un design compact de 150 mm de longueur, caractéristique de cette nouvelle génération d’alimentations ATX 3.1. Le châssis entièrement métallique reçoit une finition noire texturée, associée à des inserts graphiques diagonaux typiques de la série MPG.
Les panneaux latéraux alternent entre un marquage « MSI Performance Gaming » et le logo du dragon, imprimés sur une surface légèrement striée. L’ensemble reste discret sans être totalement sobre, avec une identité visuelle cohérente avec le reste du catalogue MSI.
La face arrière reprend une grille en nid d’abeilles classique, accompagnée d’un interrupteur secteur et d’un bouton Zero Fan, permettant de désactiver le ventilateur en faible charge. L’alimentation du secteur se fait via une prise IEC C14, et l’ensemble respire la rigueur d’un produit bien assemblé.
Sur la face inférieure, la grille laisse apparaître un ventilateur Silent Gale 135 mm destiné à refroidir les composants internes. Le design de la grille est ajouré en diagonale, dans la continuité du style MPG, et permet un flux d’air homogène sans rupture esthétique.
À l’arrière, le panneau modulaire regroupe les connecteurs bien identifiés : deux 12V-2×6 pour cartes graphiques PCIe 5.1, deux CPU/PCIe 8 broches, huit SATA, quatre Molex et un connecteur ATX 24 broches. L’organisation est claire et pensée pour limiter les croisements de faisceaux.
Enfin, la face pleine accueille l’étiquette technique avec le label 80+ Gold ainsi qu’un tableau précisant la répartition des rails, avec un unique rail 12V de 83,3 A, capable de délivrer la quasi-totalité des 1000 W annoncés.
L’ensemble se distingue par une construction compacte et homogène, dans la continuité du positionnement milieu/haut de gamme de MSI sur ce segment.
Câbles et connectique de la MSI A1000GS : double 12V-2×6 mais un seul PCIe 6+2
La MPG A1000GS PCIE5 adopte un câblage entièrement modulaire, permettant de n’installer que les câbles nécessaires à la configuration. Le bundle comprend six faisceaux principaux, réalisés en cuivre étamé et dépourvus de condensateurs intégrés. Ce choix améliore la flexibilité à l’installation tout en facilitant le passage des câbles dans les goulottes du boîtier.
Les longueurs sont bien proportionnées : un ATX 24 broches de 595 mm (section 16–20 AWG), deux EPS 4+4 broches de 750 mm (16 AWG), un PCIe 6+2 broches de 605 mm (18 AWG), deux PCIe 5.1 (12V-2×6) de 600 mm (16–24 AWG) capables de fournir 600 W chacun, deux faisceaux SATA à quatre connecteurs (495 + 150 + 150 + 150 mm), et un Molex à quatre prises, de même longueur, complété par un adaptateur FDD. Le cordon secteur C13 de 1,38 m vient clore l’ensemble.
Les deux 12V-2×6 se distinguent par leur embout jaune vif, un repère visuel pratique permettant de vérifier la bonne insertion du connecteur. Ce choix réduit la polyvalence avec les cartes non équipées de ce format, notamment certaines cartes plus anciennes et la majorité des modèles AMD récents, mais il reste cohérent avec l’évolution des standards GPU actuels.
Les câbles sont désormais gainés individuellement et équipés de peignes, tout en adoptant un format plat. Cette évolution marque une nette amélioration par rapport au tressage à l’ancienne de l’ancien modèle. Le résultat est un rendu visuel plus propre, une installation plus aisée et un niveau de finition nettement supérieur, désormais conforme aux standards premium du segment.
MSI justifie la présence d’un seul câble PCIe 6+2 broches par le fait que cette alimentation est avant tout pensée pour les configurations NVIDIA RTX 50, désormais alimentées via les connecteurs 12V-2×6. Ce choix réduit la polyvalence avec les cartes non équipées de ce connecteur, en particulier certaines cartes plus anciennes ou la majorité des modèles AMD récents, mais il s’inscrit dans la logique d’évolution des standards GPU actuels.
Les sections de câbles sont adaptées à la puissance du bloc, avec du 16 AWG sur les lignes critiques et un espacement de 150 mm entre les connecteurs périphériques, suffisant pour un montage propre.
Performances et certifications
La MPG A1000GS PCIE5 cumule trois certifications distinctes : 80 PLUS Gold, Cybenetics ETA Gold et PPLP Gold. Cette dernière provient d’un laboratoire tiers spécialisé dans l’évaluation des blocs d’alimentation selon des critères de rendement, de régulation et de nuisances sonores.
Un triple label flatteur, mais qui tient davantage de la reconnaissance croisée entre organismes que d’un véritable apport technique. En pratique, une seule certification sérieuse aurait suffi à valider les performances du bloc… tout en permettant peut-être de réduire légèrement son prix final.
Nous nous concentrons ici sur la certification Cybenetics, enregistrée sous la référence 24PS2701A, qui confirme une double distinction ETA Gold pour l’efficacité et LAMBDA A pour le niveau sonore.
Le bloc affiche une efficacité moyenne de 90,8 % sur plus de 1400 combinaisons de charge, conforme à la norme 80 PLUS Gold, avec un facteur de puissance moyen de 0,97.
Le niveau sonore mesuré à 20,6 dBA positionne l’alimentation parmi les modèles les plus discrets de sa catégorie, même si le ventilateur Fluid Dynamic Bearing de 135 mm devient perceptible sous forte charge. La stabilité électrique est excellente, avec une déviation limitée à 0,6 % sur le rail 12 V et un ripple de 30,9 mV à pleine charge. Des valeurs largement en deçà des limites fixées par la norme ATX 3.1.
La réactivité transitoire est également maîtrisée : le rail 12 V ne descend pas sous 11,26 V lors d’un pic de charge à 200 %, tandis que le temps de maintien (hold-up time) atteint 19 ms, conforme aux exigences ATX. En veille, la consommation est contenue à 0,078 W, validant la compatibilité ErP Lot 6.
Produit par CWT, ce bloc repose sur une plateforme LLC Half Bridge avec conversion DC-DC. Il s’appuie sur un condensateur principal Rubycon 420 V / 820 µF, complété par des condensateurs secondaires Nippon Chemi-Con et Rubycon. Les MOSFETs On Semiconductor NTMFS5C430N assurent la distribution du 12 V, tandis que la gestion thermique est confiée à un contrôleur Nuvoton MS51FB9AE associé au ventilateur ZIC ZFF132512H.
Système de protections et sécurité électrique
Les protections de la MSI MPG A1000GS PCIE5 couvrent l’ensemble des risques classiques. L’OCP contrôle les surcharges sur les rails 12 V, 5 V, 3,3 V et 5VSB, tandis que l’OPP limite la puissance à environ 125 % de la charge nominale.
L’OTP interrompt le fonctionnement dès que les radiateurs atteignent 97 °C, et le SCP isole instantanément tout court-circuit détecté sur les lignes principales. Les fonctions PWR_OK, NLO et SIP complètent l’ensemble, garantissant la stabilité du système et la protection contre les surtensions ou les pics d’intensité, même si la détection de panne du ventilateur n’est pas implémentée.
MSI MPG A1000GS : face à la réalité du marché 1000W Gold
Pour mettre la MSI en face de la réalité, nous l’avons comparée avec des alimentations de même puissance et certifiées Gold par Cybenetics. Le constat s’avère plutôt flatteur pour le modèle de MSI qui parvient à tirer son épingle du jeu malgré une concurrence relevée. Le NZXT C1000 Gold domine certes les débats avec son score de 89.67 et ses 99.69% de performance relative, mais son indisponibilité actuelle l’écarte de facto de l’équation d’achat immédiate.
C’est précisément dans ce contexte que le MSI révèle toute sa pertinence. Avec ses 85.70 points et sa performance relative de 95.28%, il se classe honorablement en deuxième position tout en affichant un niveau sonore à 20.79 dB(A). L’ASRock Phantom Gaming le talonne de près avec 84.71 points et une efficacité énergétique légèrement supérieure, tandis que la Seasonic Focus GX-1000 ferme la marche malgré le prestige de la marque, pénalisée par un niveau sonore de 28.24 dB(A) qui la rend objectivement plus audible en charge.
La donne change radicalement lorsqu’on intègre le facteur prix dans l’analyse. À 140€ en promotion, la MSI creuse un écart de 40 à 53€ avec ses concurrents, transformant un positionnement déjà solide en véritable opportunité.
Verdict final : ce qu’il faut retenir de la MSI MPG A1000GS PCIE5
La MSI MPG A1000GS PCIE5 se positionne comme une alimentation moderne et cohérente, adaptée aux standards actuels du marché. Le constructeur signe ici un bloc compact, bien fini et techniquement solide, capable d’alimenter sans difficulté les configurations haut de gamme, y compris les cartes graphiques les plus exigeantes du moment.
La plateforme CWT utilisée démontre un équilibre convaincant entre rendement, stabilité et silence, avec une efficacité moyenne supérieure à 90 % et un bruit limité à environ 20 dBA. Le ventilateur Silent Gale de 135 mm se montre discret sur la majorité des charges et ne s’active pleinement qu’au-delà de 70 % d’utilisation, tandis que la régulation des tensions reste exemplaire, avec un ripple minimal sur le rail 12 V.
La connectique s’aligne parfaitement sur les attentes de 2025 : deux connecteurs 12V-2x6 capables de délivrer chacun 600 W, un câblage modulaire de bonne qualité, et des faisceaux à gaine individuelle qui marquent un vrai progrès esthétique par rapport aux générations précédentes. Seule la présence d’un unique câble PCIe 6+2 broches limite la polyvalence pour les GPU AMD ou les configurations multi-cartes. Sur une alimentation de 1000 W, ce choix reste difficilement défendable. Cette limitation, plus que symbolique, réduit la polyvalence d’un bloc pourtant destiné aux configurations haut de gamme.
Pour le reste, la A1000GS conserve une structure compacte (150 mm), une ventilation maîtrisée et une connectique bien organisée. Elle cumule même un triple label Gold (80 PLUS, Cybenetics, PPLP), certes redondant, mais garantissant un niveau de contrôle élevé.
Le cœur technique avec condensateurs Rubycon et Nippon Chemi-Con, MOSFETs On Semiconductor et contrôleur Nuvoton, inspire confiance et garantit une durabilité de haut niveau.
Comparée à ses concurrentes directes, la MSI ne revendique pas la première place en efficacité pure, mais elle compense par un comportement acoustique plus maîtrisé et un positionnement tarifaire imbattable. Face à des modèles comme la NZXT C1000 Gold ou l’ASRock PG-1000G, elle s’impose comme la solution la plus rationnelle, offrant un excellent équilibre global.
En promotion autour de 140 €, elle devient un choix particulièrement pertinent dans la catégorie des blocs 1000 W Gold : silencieuse, stable, bien équipée et à la hauteur des nouvelles normes ATX 3.1 et PCIe 5.1. Son orientation clairement tournée vers les connecteurs 12V-2x6 la rend prête pour les prochaines générations de GPU, au prix d’une compatibilité réduite avec les cartes plus anciennes. Nous la recommandons aux utilisateurs misant sur une configuration moderne, n’exigeant pas plusieurs connecteurs PCIe 8 broches.
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