– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –
Petite tranche de vie pour commencer. Il y a quelques jours, j’étais invité à l’anniversaire d’un enfant de 4 ans. Comme vous le savez peut-être, mon dada à moi, c’est la photo. Du coup, je me suis mis en quête d’un cadeau sympa sur ce thème, un truc pour l’initier.
Je suis tombé sur cet appareil : un Appareil Photo Instantané de la marque CAMCLID, alors ça a l’air d’être un nom de marque de chinoiserie, mais en vrai ils ont vraiment une grosse gamme d’appareils, et c’est vraiment très chouette**.**
Honnêtement, en voyant le prix (on va y revenir), je me suis dit : “Bon, ça va être un gadget en plastique un peu nul, mais ça fera illusion 10 minutes et ça fera le job pour l’anniversaire”.
Et bien, laissez-moi vous dire que je me suis planté. Mais alors, royalement. Ce truc est complètement génial !
Le “Wow Effect” de l’instantané (sans se ruiner)
Je l’ai déballé pour le tester avant de l’offrir (on est pro ou on l’est pas) et j’ai été bluffé. C’est incroyable.
L’appareil
permet de prendre des photos, mais surtout… de les imprimer. Tout de suite. Ou à la demande, en choisissant depuis la galerie.
C’est là toute la magie du truc. On n’est pas sur une technologie Polaroid ou Instax qui vous coûte un bras et deux reins à chaque recharge. Non, ici, on parle d’impression thermique sans encre. En gros, ça s’imprime en noir et blanc sur des rouleaux de papier qui ne coûtent franchement* rien* (
les 10 rouleaux sont à 8 balles ici
).
La qualité ? Franchement, c’est chouette. C’est du noir et blanc (avec deux modes : matriciel ou niveaux de gris), mais c’est net, contrasté, et en fait ça a un charme fou. Le gamin peut mitrailler, imprimer 100 photos dans l’après-midi, ce n’est pas grave. C’est absolument super.
Et le meilleur, c’est ce que la marque appelle le “DIY Painting”. L’enfant imprime sa photo et… il la colorie ! Ça transforme un simple jouet tech en une activité manuelle et créative. J’adore.
Plus qu’un simple “imprimeur”
Bon c’est un détail, mais l’appareil fait vraiment pas pal de trucs pour le prix. C’est un vrai petit couteau suisse numérique pour les mômes.
Vraies Photos et Vidéos HD : Il ne fait pas qu’imprimer. Il enregistre des photos couleur et des vidéos en 1080P.
Carte 32GB fournie : Pas de blague. L’appareil est livré avec une carte microSD de 32 Go déjà installée. Pas besoin de courir en acheter une. On déballe, ça marche.
Filtres et Stickers : Évidemment, pour le fun, il y a plus de 20 filtres et cadres photo intégrés. Moustaches de chat, cadres d’Halloween, chapeaux de pirate… De quoi customiser ses œuvres avant l’impression.
Zoom 10x : C’est du zoom numérique, donc on ne va pas se mentir, la qualité se dégrade vite. Mais pour un enfant qui veut “voir de plus près” comme un espion, ça fait totalement le job et ça l’éclate.
Extras : Ils ont même réussi à coller 3 jeux de puzzle, un mode rafale, un time-lapse et un lecteur de musique. Je vous le dis, c’est un couteau suisse le truc.
L’appareil en lui-même (
le modèle M5
, en bleu pour mon test) est robuste, tient bien dans les petites mains, et l’écran couleur de 2 pouces est suffisant pour viser. La batterie rechargeable promet jusqu’à 4 heures d’utilisation, ce qui est largement assez pour griller un après-midi complet. Il se recharge en USB-C.
Et le prix ?
On en vient au point qui fâche… ou plutôt, qui fait plaisir.
L’appareil est affiché sur Amazon à 45,99 €
. C’est déjà correct pour un appareil photo instantané + numérique avec carte 32 Go et 3 rouleaux de papier inclus.
MAIS ! Il y a tout le temps des coupons et des promotions, vous pouvez sans problème
l’avoir à 30 balles
, et même moins.
Un tel prix pour un appareil photo HD, qui filme, qui imprime à volonté sans encre, avec la carte mémoire et les rouleaux inclus ? C’est un grand oui.
Verdict
J’y suis allé franchement à reculons, en pensant acheter une connerie en plastique qui finirait à la poubelle. Je me suis retrouvé avec un produit malin, ludique, créatif et surtout économique à l’usage (le nerf de la guerre avec les enfants).
Pour un anniversaire (la boîte dit 3-12 ans, le petit de 4 ans a adoré, il ne le lâche plus), pour Noël qui approche, ou juste pour initier vos gosses à la joie de la photo papier sans vous ruiner, c’est un immense OUI.
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Vous trouviez la ROG Xbox Ally trop chère ? Ce n’est pas Microsoft qui a gonflé l’étiquette, mais bien ASUS, selon Sarah Bond. Le constructeur taïwanais aurait fixé lui-même les tarifs des deux modèles, malgré la présence du badge Xbox sur la machine.
ASUS aux commandes du prix, Xbox confirme une prochaine console AMD
Le positionnement tarifaire de la ROG Xbox Ally a suscité de nombreuses réactions, notamment parce qu’il dépasse celui d’une Xbox Series X. Sous sa coque compacte, la console portable reprend pourtant un ensemble écran et batterie similaire à celui de l’Ally X. Interrogée par Variety, la présidente de Xbox, Sarah Bond, a clarifié la situation : ASUS a déterminé le prix public de la version standard (599,99 €) comme de la version haut de gamme Ally X (899,99 €), Microsoft s’appuyant sur l’expertise d’ASUS dans le domaine des PC de jeu portables sous Windows.
Sarah Bond justifie ces montants en évoquant des précommandes « très rapides » pour le modèle le plus cher. Aucun chiffre officiel n’a toutefois été communiqué, et la disponibilité initiale aurait avant tout concerné les médias et influenceurs, laissant planer le doute sur la demande réelle du public.
Côté salon, la dirigeante a profité de l’entretien pour confirmer qu’une nouvelle génération de Xbox est bien en préparation. La machine reposera sur une plateforme AMD, sans que le calendrier ni les caractéristiques techniques ne soient précisés. Une manière de rassurer la communauté après plusieurs mois de rumeurs, tout en laissant Microsoft le soin – espérons-le – de garder cette fois la main sur la politique tarifaire.
Un 16 pouces sous la barre du kilo, prêt à être livré dès ce mois : le Lenovo Lecoo Air 16 frappe fort avec un châssis de 1 cm d’épaisseur, un écran 2.5K 120 Hz et un Core Ultra 5 à prix serré.
Lecoo Air 16 : 1 kg, 2.5K 120 Hz et Core Ultra 5 pour bousculer le segment
Sous sa marque orientée budget, Lenovo aligne le Lecoo Air 16, un ultraportable 16 pouces qui mise sur l’essentiel : un écran 2.5K à 120 Hz et un poids plume d’environ 1 kg. Le tout arrive sur le marché plus vite que son concurrent direct, l’Acer Swift Air 16, annoncé en septembre mais prévu plus tard.
Côté puce, on retrouve l’Intel Core Ultra 5 125H (Meteor Lake) : 14 cœurs (4 P, 8 E et 2 LP) et un iGPU Arc avec 7 Xe (architecture Alchemist). Ce n’est pas un monstre de jeu, mais largement suffisant pour la bureautique, la création légère et l’usage pro. Lenovo vise clairement les pros nomades plutôt que les gamers.
La différence majeure avec l’Acer ? L’écran : ici une dalle IPS au lieu de l’AMOLED d’Acer, pour un tarif plus doux. Annoncé à 5000 RMB (environ 700 €), le pack inclut un châssis 16 pouces d’à peine 1 cm d’épaisseur, de la mémoire LPDDR5 et une batterie de 60 Wh. Le clavier adopte un design façon XPS avec rangées affleurantes et intègre un pavé numérique, discutable pour certains, mais cohérent pour la cible bureautique/entreprise.
En clair, Lenovo cherche à offrir un 16 pouces ultra-léger et réactif sans faire exploser le budget. Si vous pouvez vous passer de l’AMOLED, l’IPS 120 Hz et le tarif agressif rendent ce Lecoo Air 16 particulièrement tentant.
COUGAR continue d’étoffer sa gamme de boîtiers haut de gamme avec le COUGAR FV270 RGB, un modèle moyen tour type aquarium. Après le surprenant Omnyx, la marque propose ici un boîtier à l’esthétique particulière : la façade en verre trempé est courbe et surélevée, permettant ainsi à un ventilateur de 120 mm préinstallé en avant de refroidir plus précisément la carte graphique. Une approche particulière, pensée pour combiner une mise en valeur visuelle des composants et une optimisation du flux d’air dans la zone la plus critique de nos PC actuels.
De plus, pour s’aligner sur la tendance actuelle d’éclairage des systèmes, le FV270 RGB est livré avec trois ventilateurs supplémentaires de 140 mm ARGB préinstallés, visibles à travers la façade et le panneau latéral en verre trempé. L’ensemble donne au boîtier une allure dynamique, tout en promettant un flux d’air mieux réparti entre le GPU et le CPU.
Sous ses airs de prototype, le FV270 RGB a une conception classique : double chambre, passages de câbles bien disposés et compatibilité étendue avec les composants récents. Il peut accueillir en effet des cartes graphiques de grande taille (450 mm maximum), un ventirad jusqu’à 180 mm de hauteur, un radiateur jusqu’à 360 mm et il est compatible avec les cartes mères à connecteurs cachés.
Proposé à environ 200 euros (239,99 sur le site de la marque), ce boîtier vient se mesurer à des références comme le Lian Li O11 Vision, le Fractal North XL ou le Hyte Y70 Touch. COUGAR mise ici sur un design avant-gardiste et fonctionnel et un refroidissement mieux ciblé pour séduire les amateurs de configurations musclées.
Dans ce test, nous verrons si le COUGAR FV270 RGB parvient à justifier son tarif ambitieux par ses performances thermiques et sa qualité d’assemblage, ou s’il s’agit avant tout d’un bel objet pensé pour briller sur un bureau.
Emballage du COUGAR FV270 RGB
L’emballage du COUGAR FV270 RGB nous montre le boîtier sous différents angles. Il met en valeur aussi bien la chambre principale visible grâce aux deux parois en verre trempé, mais également son inclinaison particulière (surélévation de l’avant) permettant une entrée d’air supplémentaire. Nous avons par ailleurs les dimensions de ce boîtier moyen tour (512 x 268 x 530 mm) et la mention : « Through A Glass Brightly ». Elle met en avant la forme originale du boîtier en polyèdre permettant une « vue panoramique intérieure inégalée » et un placement en angle des ventilateurs situés à côté de la carte mère. Une étiquette nous indique que notre exemplaire est de couleur noire (une version blanche est également disponible).
Les petits côtés mentionnent les caractéristiques techniques complètes ainsi que la compatibilité matérielle. Un paragraphe traduit en 10 langues met en avant les caractéristiques principales que nous détaillerons tout au long de ce test. Une étiquette mentionne le poids de l’ensemble à 17,1 kg indiquant que le carton est à manipuler avec précaution.
Unboxing et accessoires
Déballons le COUGAR FV270 RGB ! La marque intègre une boîte en plastique et une boîte cartonnée dans les protections en mousse. Leur accès facile permet de les manipuler dès le début du montage de la configuration.
Ces boîtes comprennent un ensemble de vis, des serre-câbles en plastique, des rondelles en caoutchouc, des pièces de remplacement de fixation des parois. Nous avons aussi un support en acier permettant la fixation d’un riser pour installer la carte graphique à la verticale. Le manuel d’utilisation est présent, il permettra de découvrir le COUGAR FV270 RGB de façon détaillée et d’installer son matériel sans tracas.
Les 17,1 kg n’autorisent pas les premières manipulations à la va-vite ! Le COUGAR FV270 RGB est encadré par deux blocs de mousse et ensaché pour une protection supplémentaire.
Une étiquette est présente sur la paroi latérale gauche indiquant la séquence à suivre pour l’extraction des parois ainsi que la réinstallation. Cette séquence est nécessaire pour enlever les parois en toute sécurité et pour ne pas abîmer les systèmes de fixation.
Caractéristiques techniques du COUGAR FV270 RGB
Dimensions
268 x 530 x 512 (mm)
Ventilateurs inclus
3 x ventilateurs 140 mm 1 x ventilateur 120 mm
Compatibilité des ventilateurs
Haut : 3 x 120 mm, 2 x 140 mm Côté carte mère : 2 x 120 mm, 2 x 140 mm Arrière : 1 x 120 mm, 1 x 140 mm Cache alimentation : 2 x 120 mm, 2 x 140 mm Bas de la façade : 1 x 120 mm
Compatibilité des radiateurs
Haut : 360 mm, 280 mm Côté carte mère : 280 mm Arrière : 1 x 120 mm, 1 x 140 mm Cache alimentation : 240 mm
Emplacements d’extension
7 horizontaux convertibles en verticaux
Carte mère
Mini-ITX / Micro-ATX / ATX / CEB / E-ATX Compatible avec les cartes mères à connecteur inversé : ASUS BTF, MSI Project Zero et Gigabyte Project Stealth
Stockage
4 disques SSD de 2,5 pouces max 2 disques durs 3,5 pouces max
Dégagements
Refroidisseur de processeur : 180 mm GPU : 420 mm avec ventilateurs sur le côté de la carte mère, 330 mm avec ventilateurs et radiateur sur le côté de la carte mère, 450 mm en position verticale Alimentation : 250 mm
E/S avant
1 x Type C Gen 2 2 x USB 3.0 Prise audio pour casque à 4 pôles Bouton RGB
Design extérieur du COUGAR FV270 RGB
Voici le COUGAR FV270 RGB ! La marque sort des sentiers battus et nous propose un boîtier à la conception et au design très particuliers. Selon COUGAR, sa forme polyédrique inspirée d’un prisme et son verre trempé incurvé offre une vue panoramique intérieure idéale sur le système. Le placement innovant des ventilateurs de refroidissement en angle sur le côté de la carte mère modifie la circulation du flux d’air pour se concentrer sur les points chauds critiques (processeur et carte graphique). La surélévation de la façade crée un axe de ventilation supplémentaire, permettant l’admission d’air par le bas.
En arrière, le COUGAR FV270 RGB nous montre moins d’originalité avec une paroi classique. Nous avons :
L’emplacement pour les E/S de la carte mère,
Un emplacement pour ventilateur/radiateur de 120 ou 140 mm réglables verticalement,
Sept emplacements d’extension,
Un emplacement pour alimentation.
Une zone pourvue de nombreuses ouvertures rondes permettant la circulation de l’air.
La paroi latérale droite est en acier.
La paroi arrière dispose d’encoches permettant une extraction facile des parois latérales et supérieure.
Les sept équerres PCIe peuvent subir une rotation de 90° pour installer la carte graphique à la verticale. La manœuvre est simple puisque ces équerres sont constituées d’un seul bloc. Il suffit de le désolidariser du châssis grâce à de nombreuses vis, d’effectuer la rotation et de le refixer. Attention, cependant, les pas de vis ne sont pas centrés par rapport au bloc d’équerres et celui-ci est légèrement de biais. Cela ne gêne qu’esthétiquement, et l’installation de la carte graphique se fait sans soucis.
De côté, les parois en verre trempé permettent une vue dégagée sur la chambre principale du COUGAR FV270 RGB. Là encore, nous ne pouvons que constater qu’un défaut d’assemblage avec une mauvaise jonction entre les deux parois et une légère ouverture se laisse percevoir. Elle n’entravera en rien le bon fonctionnement du système, mais pourra probablement laisser passer un peu de nuisances sonores à la faveur d’une perte d’air chaud plus importante. Les parois latérales droites sont en acier et pourvues de nombreux trous pour faciliter l’airflow.
Au-dessus, COUGAR a également prévu une zone aérée. La paroi en acier présente de nombreuses ouvertures permettant une bonne circulation de l’air. Cette paroi est amovible et, une fois enlevée, elle libère un filtre. Celui-ci est aimanté et amovible. Il va protéger les composants de la poussière.
Ces composants, 3 ventilateurs de 120 mm ou 2 de 140 mm, ou bien un radiateur de 360 mm maximum, s’installeront sur un emplacement en acier amovible. Celui-ci est fixé au châssis par deux simples vis.
C’est sur cette paroi supérieure que nous trouvons le panneau des boutons et E/S du COUGAR FV270 RGB. Nous avons :
Deux USB-A,
Un USB-C,
Une prise combo casque/micro,
Un bouton de gestion d’éclairage RGB,
Un bouton d’alimentation.
Le COUGAR FV270 RGB mesure 530 mm de hauteur. Le placement de ce panneau sur le dessus du boîtier ne sera pas idéal si le boîtier est placé sur un bureau et obligera l’utilisateur à se lever si besoin.
Enfin, comme pour le COUGAR Omnyx, le FV270 RGB repose sur un important cadre en ABS. Il lui permet de supporter en sécurité le poids du boîtier (17,1 kg). Ce cadre est équipé de patins antidérapants lui assurant en plus une bonne accroche sur le support. Un filtre est également présent pour protéger de la poussière l’alimentation qui sera située juste au-dessus.
Intérieur du COUGAR FV270 RGB
Une des particularités de ce COUGAR FV270 RGB est sa façade surélevée permettant un apport d’air supplémentaire vers la carte graphique. Cet apport d’air se fait grâce à une ouverture située au niveau de la paroi inférieure. Celle-ci sera bien évidemment protégée par un filtre à cadre rigide amovible pour faciliter son entretien.
Le côté droit du COUGAR FV270 RGB est constitué de deux parois en acier. Celle de gauche protège un emplacement pour ventilateur/radiateur et celle de droite protège la chambre secondaire. Ces deux parois sont équipées de filtres souples aimantés afin de limiter l’entrée de la poussière sur les composants.
À gauche, nous avons donc un emplacement pour 2 ventilateurs de 120 mm ou 140 mm, ou bien un radiateur de 280 mm. Le COUGAR FV270 RGB est livré avec deux ventilateurs de 140 mm préinstallés sur un support en acier non amovible. Ils pourront être réglés verticalement pour ajuster le flux d’air.
À côté, et faisant la jonction avec la chambre secondaire, le COUGAR FV270 RGB profite d’un long passe câble taillé dans le châssis. Il permettra le passage des câbles de la chambre secondaire vers le côté droit de la carte mère. Pour organiser au mieux ce passage, le COUGAR FV270 est équipé de trois serre-câbles velcro assez longs pour pouvoir supporter de nombreux câbles.
Dans la chambre secondaire, nous avons un espace conséquent de 40 mm de profondeur pour l’organisation des câbles. Le COUGAR FV270 RGB est équipé d’un support en acier pourvu de nombreux trous et fixé au châssis par une vis à main. Il va pouvoir recevoir deux disques durs 2,5″ ou 3,5 » (ou un combo des deux formats).
Ce support à disques durs cache un HUB préinstallé. Celui-ci peut connecter jusqu’à six ventilateurs 4 pins PWM et six produits ARGB. Ce HUB dispose d’une prise SATA pour son alimentation, d’une prise 4 pins PWM et une prise ARGB à relier à la carte mère. Il est également relié au bouton de gestion d’éclairage situé sur le dessus du COUGAR FV270 RGB.
COUGAR ajoute un autre support à disque dur placé devant le cache alimentation. Ce support est aussi fixé au châssis grâce à une vis à main.
En acier, il pourra recevoir un disque dur 3,5″ ou un disque dur 2,5″.
Et, pour que l’utilisateur ne manque vraiment pas de stockage, le COUGAR FV270 RGB a un espace supplémentaire pour disque 2,5″. Celui-ci pourra s’installer contre le fond du cache alimentation grâce à un système de rondelles en caoutchouc à installer sur le disque. L’espace étant exigu, l’utilisateur aura juste à glisser le disque dans les trous prévus à cet effet.
Enfin, nous avons l’espace réservé à l’alimentation. Celui-ci mesure 330 mm de profondeur, mais COUGAR préconise une alimentation de 250 mm de longueur maximums afin de laisser de la place pour l’organisation des câbles. L’alimentation reposera sur trois patins antivibration.
Et, voici les branchements du COUGAR FV270 RGB. Nous avons :
Une prise USB-C,
Une prise USB-A,
Une prise Audio,
Une prise Front Panel.
Passons dans la chambre principale du COUGAR FV270 RGB. Pour rappel, le boîtier au format généreux mesure 268 x 530 x 512 mm. Il pourra recevoir des cartes mères au format Mini-ITX / Micro-ATX / ATX / CEB / E-ATX et il est compatible avec les cartes mères à connecteur inversé type ASUS BTF, MSI Project Zero et Gigabyte Project Stealth. Les cartes graphiques pourront mesurer 420 mm en position horizontale (ventilateurs sur le côté de la carte mère) ou 330 mm (ventilateurs et radiateur à côté de la carte mère). En position verticale, elle pourra mesurer jusqu’à 450 mm de long. Les ventirads pourront mesurer jusqu’à 180 mm de hauteur.
Le COUGAR FV270 RGB est livré avec un support de carte graphique simple, mais efficace. Il est constitué d’une branche réglable en hauteur grâce à une vis à main. Il est pourvu d’un patin antivibrations pour limiter les nuisances sonores de la carte en fonctionnement.
Ce support est intégré à un cache câbles latéral en acier. Il servira à dissimuler les câbles acheminés vers le côté de la carte mère pour un rendu visuel esthétique. Ce cache câbles pourra être basculé sur le côté pour aider à l’organisation des branchements (pratique en cas de carte mère au format E-ATX).
À gauche de la chambre principale, nous retrouvons un ventilateur de 140 mm préinstallé. Il pourra être remplacé par un ventilateur de 120 mm ou un radiateur de 140 m maximum. Il est placé au-dessus des sept équerres PCIe et d’une zone pourvues de nombreuses ouvertures.
En haut, nous retrouvons l’emplacement pour 3 ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm, ou bien d’un radiateur de 360 mm.
Enfin, en bas de la chambre principale, sur le cache alimentation, il y a de la place pour installer 2 autres ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm, ou bien un radiateur de 240 mm. Ce cache alimentation est entièrement ajouré et il est amovible pour faciliter l’installation des composants ou accéder au câblage de l’alimentation. Une étiquette précise la manipulation à effectuer pour une fixation sécurisée du support de ventilateur latéral.
C’est une languette qui se fixe au châssis tout en maintenant ce support.
Le support peut s’enlever facilement.
Et être remplacé par une plateforme rotative RGB conçue pour mettre en valeur vos précieux objets (figurine par exemple, disponible en option à 25 euros).
La connexion se fait par une prise POGO, deux câbles (4 pins PWM et ARGB) étant à connecter ensuite au HUB préinstallé ou à la carte mère.
Ventilateurs
Le COUGAR FV270 RGB est livré avec quatre ventilateurs préinstallés : trois SC140-FB pour la circulation de l’air principale et un FVR120 spécifique à la ventilation de la carte graphique.
Ventilateurs SC140-FB :
Sur son site, la marque répertorie des ventilateurs SC140 ARGB. Ils semblent extérieurement similaires aux ventilateurs préinstallés.
Voici leurs caractéristiques en sachant que le préfixe « -FB » des ventilateurs préinstallés peut entraîner des modifications techniques par rapport aux ventilateurs présents sur le site :
Dimensions
140 x 142 x 25 mm
Vitesse
400 ±200RPM – 1200RPM±10%
Débit d’air
51,91 CMF
Pression
1,14 mm H2O
Bruit
26,8 dB(A)
Connecteurs
PWM 4 broches / ARGB 3 broches
Ventilateur FVR120 :
Pour ce ventilateur préinstallé pour gérer le flux d’air vers la carte graphique, nous n’avons pas d’indications techniques.
‘Clearance checking’ Dégagement des composants
Le COUGAR FV270 RGB offre un dégagement optimal pour l’installation des différents composants :
Longueur maximale de la carte graphique : position horizontale 420 mm (ventilateurs uniquement côté M/B), 330 mm (Radiateur avec ventilateurs côté M/B), position verticale 450 mm,
Hauteur maximale du ventirad CPU : 180 mm,
Longueur maximale de l’alimentation : 250 mm.
En ce qui concerne l’installation de radiateurs, voici les possibilités et les limitations :
Radiateur en haut : 360 mm avec un espace dédié de 60 mm avant d’entrer en contact avec la carte mère,
Radiateur sur le côté de la carte mère : 280 mm
Radiateur en arrière : 140 mm
Radiateur sur le cache alimentation : 240 mm
Montage dans le COUGAR FV270 RGB
Le montage de notre configuration de test dans le COUGAR FV270 RGB n’a pas posé de problème particulier. Les serre-câbles velcro sont judicieusement posés (pas devant les branchements de notre carte mère BTF comme peuvent le faire certains constructeurs), l’espace réservé à l’alimentation et à ses câbles est amplement suffisant. La profondeur de 40 mm permet de fermer la paroi latérale sans interférer avec les coudes des câbles des branchements arrière de la carte mère.
De par sa surélévation en façade, le COUGAR FV270 RGB arrive à mieux mettre en avant notre configuration. Elle l’expose au lieu de simplement l’afficher. Elle crée un mouvement dynamique ! Notre configuration est dans les starting-blocks.
Les parois en verre trempé sont légèrement teintées, mais laissent passer un maximum de détails. La jonction entre les deux parois n’est pas parfaite, elle laisse une petite gêne visuelle.
Le COUGAR FV270 RGB fait son show
Les quatre ventilateurs préinstallés profitent d’un éclairage ARGB. Celui-ci est vif sans être agressif et pourra être (partiellement) géré par un bouton situé sur le panneau des E/S du boîtier (un appui d’une seconde passe l’éclairage en mode défaut, trois secondes et l’éclairage est géré par la carte mère, six secondes et l’éclairage est éteint).
Méthodologie de Test et Résultats pour le COUGAR FV270 RGB
Pour faire notre test, nous avons donc équipé le COUGAR FV270 RGB de la configuration suivante :
ASUS Z790-BTF WiFi
Intel Core i9-12900K
16 Go DDR5 CORSAIR Dominator Platinum 2 x 16 Go @6200MHz
ASUS TUF GAMING RX 9070OC
Cooler Master MWE Gold V2 1050W
CORSAIR Nautilus 360 RS ARGB
SABRENT ROCKET NVMe PCIe M.2 2280 256 Go
Trois ventilateurs CORSAIR RS 120 (deux en aspiration et un en extraction).
Protocole de Test
Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :
La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
La carte graphique toujours en mode auto,
Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.
Températures dans le COUGAR FV270 RGB
Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :
Avec une température ambiante de 19 °C et les ventilateurs réglés en mode automatique, le COUGAR FV270 RGB montre un comportement thermique maîtrisé. Le Intel Core i9-12900K reste à 25 °C au repos, une valeur logique compte tenu de la ventilation généreuse du châssis. Lors d’une charge soutenue sous OCCT, le processeur grimpe à 86 °C sur les P-Cores et 75 °C sur les E-Cores. Le résultat reste conforme aux attentes pour cette puce exigeante, surtout dans un boîtier majoritairement vitré. En jeu, la température se stabilise à 61 °C, ce qui témoigne d’une bonne circulation de l’air autour du socket.
Côté carte graphique, la ASUS TUF GAMING RX 9070 OC profite clairement du ventilateur avant avancé. Grâce à cette conception atypique, elle se contente de 29 °C au repos en mode semi-passif. Après 20 passes de Firestrike, la carte atteint 54 °C, un score très correct pour une configuration haut de gamme. En usage réel, dans Rise of the Tomb Raider, elle ne dépasse pas 43 °C après 30 minutes de jeu. Une belle preuve de l’efficacité du flux d’air dirigé vers la zone GPU, souvent la plus chaude du boîtier.
Le SSD, souvent oublié dans les bilans thermiques, reste lui aussi parfaitement au frais : 26 °C au repos et seulement 33 °C après un passage complet sous CrystalDiskMark.
Globalement, le COUGAR FV270 RGB tire bien parti de sa conception inhabituelle. La présence d’un ventilateur en avant du châssis n’est pas qu’un effet de style. Elle permet une meilleure alimentation en air frais de la carte graphique, tout en maintenant des températures homogènes dans le reste du système.
Niveaux sonores du COUGAR FV270 RGB
PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.
Pour les mesures acoustiques, notre Meterk MK09 a été positionné à 50 cm du boîtier, dans une pièce à vivre calme. Au repos, avec la ventilation réglée en mode automatique, le COUGAR FV270 RGB affiche un niveau sonore de 35,9 dB(A). Une valeur modérée qui se fait facilement oublier dans un environnement domestique classique.
En jeu, la ventilation s’anime davantage et le niveau grimpe à 46,3 dB(A). Le souffle devient alors perceptible, sans toutefois se transformer en gêne sonore. On reste dans une tonalité plutôt douce, sans sifflement aigu ni vibration notable.
À pleine charge, ventilateurs lancés à 100 % (12 V), le boîtier atteint 54,3 dB(A). Ce niveau, logiquement plus élevé, reste cohérent avec la configuration interne et le nombre de ventilateurs installés. Le flux d’air est alors à son maximum, mais sans effet “turbine” désagréable.
Dans l’ensemble, le COUGAR FV270 RGB se montre raisonnablement bruyant : il privilégie un refroidissement efficace sans sacrifier complètement le confort auditif. Un équilibre correct pour un boîtier orienté performance et mise en valeur visuelle.
Notre verdict sur le COUGAR FV270 RGB
[Test] COUGAR FV270 RGB : une vitrine futuriste pensée pour respirer
Conclusion
Avec le COUGAR FV270 RGB, la marque continue de bousculer les codes du design PC (comme nous l'avions vu avec le COUGAR Omnyx). Ce boîtier au look futuriste, presque conceptuel, ne se contente pas d’exposer les composants derrière ses larges surfaces vitrées : il les met véritablement en scène. La façade courbée et surélevée, associée au ventilateur avant avancé, apporte une vraie originalité visuelle tout en ayant un intérêt fonctionnel bien réel sur le plan thermique.
Côté conception, COUGAR reste fidèle à sa philosophie : un châssis bien pensé, des passages de câbles propres, un espace arrière généreux de 40 mm et une compatibilité complète avec les standards actuels, y compris les cartes mères à connecteurs cachés. Le montage se fait sans mauvaise surprise, malgré le poids conséquent et les parois parfois perfectibles dans leur ajustement.
Sur le plan des performances, le FV270 RGB s’en sort très honorablement. Les températures restent bien contenues, que ce soit pour le processeur ou la carte graphique, notamment grâce à cette approche de ventilation “orientée GPU et CPU”. Le bruit, lui, reste contenu la plupart du temps, même si la montée en régime à pleine charge rappellera que le flux d’air a un prix acoustique.
Proposé autour de 200 € (prix constaté le plus bas), le COUGAR FV270 RGB s’adresse clairement à un public de passionnés cherchant un boîtier à la fois spectaculaire et performant. Il ne séduira pas ceux qui préfèrent la sobriété d’un Fractal ou d’un be quiet!, mais il plaira sans doute aux utilisateurs qui veulent un boîtier aussi expressif que leur configuration. C'est une réussite pour COUGAR, qui confirme son goût pour l’innovation sans sacrifier les fondamentaux.
Qualité / Finition
8.4
Design
9.6
Agencement interne
9
Flux d'air
9.4
Cable management
9
Capacité watercooling
8.9
Prix
8.2
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Un design original et sophistiqué
Un flux d'air efficace grâce à des ventilateurs réorientés
Un ventilateur dédié à la carte graphique
Une idée originale de plateforme d'exposition
Quatre ventilateurs préinstallés
Un HUB pour six ventilateurs préinstallé
Compatibilité avec les cartes mères à connecteurs cachés
Points faibles
Des problèmes d'ajustements dans la conception (support équerres PCIe et jonction parois vitrées)
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Dans le Golfe, l’IA sort des slides et s’attaque aux chantiers : 1001 AI veut orchestrer en temps réel aéroports, ports et BTP avec un OS décisionnel taillé pour le terrain.
Un OS d’orchestration pour réduire les frictions des infrastructures critiques
Créée il y a deux mois par Bilal Abu-Ghazaleh (ex-Scale AI), 1001 AI boucle une levée de 9 M$ menée par CIV, General Catalyst et Lux Capital, avec des business angels comme Chris Ré, Amjad Masad ou encore Amira Sajwani. Objectif : déployer un OS natif IA capable d’aspirer les données des logiciels existants, modéliser les flux opérationnels et émettre des directives en temps réel pour réduire retards et surcoûts.
La promesse est directe : dans les aéroports, ports, chantiers et l’oil & gas, plus de 10 milliards de dollars d’inefficiences seraient compressibles rien qu’entre EAU, Arabie saoudite et Qatar. 1001 AI veut automatiser l’orchestration de tâches aujourd’hui manuelles (réaffectation d’équipes, reroutage de véhicules, ajustements de planning) et fournir des gains cumulés à l’échelle d’un hub ou d’un méga-projet.
Portée par l’appétit d’investissement régional (G42, centres nationaux d’IA, budgets souverains), la startup cible des environnements physiques sous-digitalisés où la boucle perception–décision–action reste morcelée. Le premier produit est attendu d’ici fin d’année, avec des discussions en cours auprès de grands aéroports et majors de la construction du Golfe.
De Scale AI aux chantiers du Golfe
Né en Jordanie, passé par Hive AI puis Scale AI (où il a piloté les opérations GenAI et la montée en charge du réseau d’annotation), Abu-Ghazaleh a lancé 1001 AI après un changement de cap chez Scale. L’équipe s’immerge plusieurs semaines chez les clients en co-développement pour calibrer l’orchestrateur aux contraintes terrain. Les fonds serviront à accélérer les déploiements pilotes (aviation, logistique, infrastructures) et à recruter en ingénierie, opérations et go-to-market entre Dubaï et Londres.
Feuille de route
Un premier déploiement client dans la construction avant fin d’année, puis devenir la couche d’orchestration de référence dans le Golfe sur cinq ans, avant ouverture globale. Pour les investisseurs, le MENA représente un terrain idéal où l’IA « physique » peut livrer un ROI rapide et mesurable.
Longsys bouscule le SSD compact avec un mSSD en packaging intégré (SiP) sans PCB, annoncé comme le premier du genre et taillé pour le PCIe 4.0 x4.
Un mSSD sans PCB, plus fiable et prêt pour 7,4 Go/s
Exit l’assemblage traditionnel : contrôleur, NAND, PMIC et passifs sont rassemblés au niveau wafer dans un seul package. En supprimant près de 1 000 points de soudure, Longsys annonce une fiabilité en hausse (défauts ≤ 100 DPPM vs ≤ 1 000 DPPM) et une production simplifiée, avec moins d’étapes SMT/reflow, des coûts en baisse de plus de 10 % et un bilan énergétique allégé.
Malgré un format de 20 × 30 × 2,0 mm pour 2,2 g, les specs sont celles d’un SSD NVMe moderne : jusqu’à 7 400 Mo/s en lecture, 6 500 Mo/s en écriture et jusqu’à 1 000K / 820K IOPS en 4K. Côté thermique, un cadre aluminium, un pad en graphène et une silicone thermique assurent la dissipation.
Le mSSD accepte des NAND TLC et QLC, de 512 Go à 4 To. Particularité pratique : un dissipateur modulaire à clip permet la conversion en M.2 2230, 2242 ou 2280, de quoi viser des PC ultraportables, consoles portables et mini-PC sans sacrifier les débits.
Longsys indique une montée en cadence vers la production de masse et affirme avoir déposé des brevets internationaux liés à cette intégration chip-level.
Jouer à Battlefield 6 sur un écran de 2,1 pouces ? Oui, et c’est parfaitement possible : un moddeur a fait tourner le FPS d’EA sur l’afficheur intégré d’un AIO MSI, traitée par Windows comme un véritable second moniteur.
Un mini-écran qui se comporte comme un vrai moniteur
Le refroidisseur en question ressemble au MSI MPG CoreLiquid P13, doté d’une dalle IPS carrée de 2,1 pouces en 480×480. Sous le capot, rien de magique : l’écran fonctionne comme un affichage USB standard. Résultat, on peut dupliquer ou étendre le bureau et y lancer n’importe quelle appli, y compris un jeu. Pas besoin de software exotique, l’OS le voit comme un moniteur classique.
On ne va pas parler de latence, de gamut ou de fréquence de rafraîchissement : l’intérêt n’est pas la performance, mais la preuve que ces afficheurs ne servent pas qu’aux GIF et statistiques CPU. MSI Center propose d’ailleurs une option dédiée pour activer l’écran de l’AIO comme sortie secondaire, confirmant que l’image n’est pas une simple boucle vidéo.
Est-ce jouable au quotidien ? Pas vraiment. Sur 2,1 pouces, on pense plutôt à Snake ou à un roguelike ultra lisible. En dépannage, si l’écran principal lâche, ce mini-afficheur peut dépanner pour un changement de réglages, un monitoring ou un alt-tab salvateur.
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Les Linuxiens ont beau dire que Linux peut TOUT faire, ils gardent presque tous un dual-boot ou une VM Windows planquée quelque part pour lancer Photoshop ou remplir une page web administrative qui plante sous Firefox. C’est ça la définition du déni, les amis ^^.
Alors bien sûr, y’a Wine qui existe depuis plus de 20 ans, mais bon faut bidouiller des préfixes, installer des DLL manquantes, fouiller sur WineHQ et au final, c’est toujours du rafistolage à se taper.
Alors comme le fait
Winapps
, il y a aussi WinBoat, un outil capable de faire tourner un Windows dans un container Docker. Pas d’émulation, pas de traduction d’API, pas de prière à saint Wine pour que votre app se lance. Ça lance de vraies apps Windows !
Techniquement, WinBoat utilise donc Docker et KVM pour faire tourner Windows dans un container. Electron gère l’interface, FreeRDP se connecte à Windows via le protocole RemoteApp, et vos apps Windows apparaissent comme des fenêtres normales sur votre bureau Linux.
Vous cliquez sur une icône, hop, l’app se lance, et vous oubliez qu’il y a une VM qui tourne en arrière-plan.
L’installation de Windows est également automatisée. Vous lancez WinBoat, ça télécharge et configure tout, tout seul, et après c’est prêt. L’intégration filesystem permet d’accéder vos fichiers Linux depuis les apps Windows et le passthrough USB et smartcard fonctionne, ce qui règle le problème des signatures électroniques pour les démarches administratives dont je parle un peu plus haut.
Photoshop, Illustrator, InDesign, c’est clair que ces apps ne tourneront jamais correctement sous Wine parce qu’Adobe n’a jamais pensé son code pour être portable alors qu’avec WinBoat, elles tournent. Office 365 aussi, pour les boîtes qui imposent Teams et SharePoint. Ah et Affinity Photo pareil ça roule impecc aussi.
WinBoat assume quand même ses limites dès le départ car y’a pas de passthrough GPU pour le moment, donc les apps lourdes en 3D rameront. Pas de support non plus des jeux avec anti-cheat, mais le Steam Deck fait ça mieux de toute façon. Et notez qu’il vous faudra minimum 4 Go de RAM rien que pour WinBoat, parce qu’un Windows léger ça n’existe pas !
Le projet est open source sous licence MIT, gratuit, dispo en AppImage, .deb, .rpm, ou via AUR pour Arch. Docker CLI est obligatoire, mais pas Docker Desktop et FreeRDP 3.x.x avec le support son aussi. KVM aussi doit être activé sur votre système.
Bref, WinBoat c’est comme Winapps, très sympa à tester car ça marche très bien même si les perfs ne seront jamais celles d’un Windows natif. C’est dispo sur
GitHub
avec toute la doc si ça vous chauffe.
J’aime bien les bruits blancs pour me concentrer ou taper une petite sieste dans un endroit pas adapté pour ça :). Mon préféré c’est tout ce qui est bruit de cabine d’avion de ligne et je sais que d’autres préfèrent les effets genre feu qui crépite, bruit de la pluie…etc. Y’a des playlists entières de ça sur Spotify et même des applications même si en général elles sont un peu nazes.
Ces apps, ça démarre toujours avec une version gratuite limitée à 5 minutes, puis un vieux paywall pour débloquer les sons, et une notification tous les soirs à 22h pour vous rappeler de méditer. Sans parler des pubs qui cassent l’ambiance toutes les 10 minutes. Bref, c’est tellement relou qu’on finit par chercher “bruit de pluie 10 heures” sur YouTube comme un sauvage.
Mais y’en a quand même une qui sort du lot. Elle s’appelle
Ambi
et elle fait… du bruit. De la pluie, des vagues, des oiseaux, du bruit brun…etc. Y’a pas de coach virtuel à la con, pas de communauté à rejoindre, pas d’abonnement à payer… Elle fait juste du bruit et ça c’est cool car c’est plutôt rare de nos jours.
L’app fonctionne 100% offline. Tous les sons sont embarqués, et vous pouvez mixer plusieurs sons ensemble avec des volumes individuels pour chaque piste. Genre pluie + vagues + oiseaux si vous voulez recréer une plage tropicale sous l’orage. Vous avez aussi un timer qui va de 5 minutes à 10 heures, ou infini si vous voulez juste laisser tourner toute la nuit.
Puis comme c’est gratuit et sans tracker pourquoi s’en priver ?