La pression sur le marché informatique continue de monter, et les grands constructeurs commencent à répercuter la flambée des coûts sur le prix final des PC. D’après des informations relayées par TrendForce, Dell s’apprête à appliquer une hausse tarifaire comprise entre 15 et 20 % dès la mi-décembre. Une décision radicale, mais devenue inévitable face […]
GITAI est une startup japonaise spécialisée dans la robotique spatiale qui vient de réaliser quelque chose de dingue, à savoir la construction autonome d’une tour de communication de 5 mètres de haut dans un désert reproduisant la surface lunaire.
Et tout ça sans intervention humaine, évidemment !
Leur système repose sur un rover lunaire et trois robots de type “Inchworm” (chenille en anglais). Chacun de ces robots a des bras équipés de pinces aux deux extrémités, ce qui lui permet de se déplacer un peu comme
des chenilles arpenteuses
et d’effectuer des tâches de construction diverses et variées. Dans la démo en vidéo ci-dessous, vous pouvez voir comment ils assemblent la tour, connectent l’antenne au sommet et branchent les câbles d’alimentation sans oublier de bien vérifier que le courant passe.
Et le plus fort, c’est qu’ils sont également capable de faire de la maintenance : Démontage de l’antenne et désassemblage de la tour, parce que sur la Lune ou sur Mars, si quelque chose casse, y’aura pas de BTS super chaud pour venir réparer.
GITAI a bossé avec
KDDI
, un des plus gros opérateurs télécoms japonais, pour concevoir l’antenne et l’idée c’est que ces mêmes robots pourront construire des stations relais, des aires d’atterrissage, des centrales électriques et même des usines d’extraction de ressources directement sur place en parfaite autonomie.
Et la startup ne fait pas que des démos au sol puiqu’en janvier 2024, leur bras robotique double (le S2) est arrivé
sur la Station Spatiale Internationale
pour des tests en conditions réelles en mars de la même année, l’essai en extérieur dans l’espace a été un vrai succès. Et en janvier 2025, ils ont même lancé leur propre satellite pour valider que leur technologie fonctionne au poil, en orbite.
Côté financement,
GITAI a levé 15,5 millions de dollars supplémentaires
et a aussi été sélectionnée par la NASA pour son programme SBIR Phase 1 et par la DARPA pour l’étude d’architecture lunaire sur 10 ans (
LunA-10
), donc autant dire que les agences spatiales prennent ce truc au sérieux.
Ces robots Inchworm ont été également validés TRL 6 (Technology Readiness Level), ce qui signifie qu’ils ont passé les tests en chambre à vide thermique reproduisant les conditions du pôle sud lunaire. Ça inclut la résistance aux températures extrêmes et la gestion du régolithe, cette poussière lunaire ultra-abrasive qui bouffe tout ce qu’elle touche (comme moi ^^).
L’objectif de GITAI est donc de réduire les coûts opérationnels dans l’espace en construisant à l’avance les infrastructures à l’aide de robots autonomes avant l’arrivée des humains et également en assurant la maintenance technique avec ces mêmes robots, ce qui réduira aussi les risques pour les humain et permettra d’allonger la durée des missions.
Le rover lunaire devait être lancé vers la Lune en 2025 mais, le 31 décembre arrive et toujours rien, donc ce sera peut-être pour 2026 ? Qui sait ? Et si ça roule, après ce sera direction Mars pour préparer l’appart de Thomas Pesquet.
Vous pensiez encore que WhatsApp était secure grâce au chiffrement de bout en bout ?
Pauvres fous ^^ !
En fait, des chercheurs de l’Université de Vienne viennent (!!) de démontrer qu’on peut vous espionner à distance via Whatsapp sans que vous receviez la moindre notif.
L’attaque s’appelle “Careless Whisper” (oui,
comme la chanson
de George Michael) et elle exploite un truc tout bête : les accusés de réception, ces petits checks bleus qui vous indiquent qu’un message a été délivré puis vu…
Ainsi, en envoyant des messages spécialement conçus pour l’occasion, notamment des réactions à des messages qui n’existent pas, un attaquant peut déclencher des accusés de réception 100% silencieux. Vous ne voyez rien, pas de notif, pas de message qui apparaît, mais de l’autre côté, votre stalker psychopathe mesure le temps que met votre téléphone à répondre.
Et en analysant ces temps de réponse, on peut savoir si votre écran est allumé ou éteint, si WhatsApp est ouvert au premier plan, quel système d’exploitation vous utilisez, combien d’appareils sont connectés à votre compte, et même déduire vos horaires de sommeil. Tout sans que vous ayez le moindre indice qu’on vous surveille, évidemment !
La recherche,
disponible ici
, a d’ailleurs reçu le Best Paper Award à la conférence RAID 2025. Les chercheurs ont testé sur WhatsApp et Signal, et les deux sont vulnérables. Mais sur WhatsApp, c’est le pire, car l’application autorise des payloads de réaction jusqu’à 1 Mo, ce qui permet de générer 13 Go de trafic par heure sur le téléphone de la victime, donc ça permet même de vider tranquillement sa batterie de 15 à 18% par heure sans qu’elle ne s’en rende compte.
Un développeur a même créé un
outil open source
pour tester la faille de manière responsable et en respectant la loi évidemment. Si vous voulez tester, faites-le uniquement sur votre matériel. L’interface de ce PoC permet de traquer en temps réel l’activité d’un numéro de téléphone. En dessous d’un certain seuil sur le délai de réponse, la personne est active, et au-dessus, elle dort ou son téléphone est en veille.
Les chercheurs ont bien sûr signalé la faille à Meta en septembre 2024, qui a “accusé réception” (lol), mais aucune correction n’a été apportée depuis. Et chez Signal ils n’ont pas répondu du tout.
Alors comment on fait pour se protéger de ça ? Et bien dans Whatsapp, il y’a une option qui se trouve dans Paramètres → Confidentialité et autoriser seulement “Mes Contacts” à voir ce qu’on partage, ce qui permet de limiter les accusés de réception à vos contacts uniquement. Ça ne règle pas tout, mais ça complique la tâche des inconnus qui voudraient vous traquer.
Voilà, une fois encore, même sur les apps avec du chiffrement de bout en bout qui protège le contenu des messages, ça ne fait pas tout, car il y a toujours des métadonnées qui peuvent être exploitées de manière frauduleuse, donc soyez vigilant :)
Vous en avez marre des services de partage de code tout pourris qui vous demandent de vous créer un compte, ou de lier votre GitHub, et qui ensuite vous bombarde de bannières pubs ?
Hé bien y’a une alternative plutôt cool qui va vous plaire.
Ça s’appelle
pbnj
(oui, comme le sandwich au beurre de cacahuète - Peanut Butter aNd Jelly), et c’est un pastebin auto-hébergé qui vous permet de partager du code en tout simplicité. Pas de prise de chou avec de la gestion de users ou ce genre de choses… Vous y balancez du code et vous récupérez une URL à envoyer à vos amis.
Le truc sympa, c’est que ça génère des URLs faciles à retenir au lieu des classiques suites de caractères aléatoires. Comme ça vous avez des trucs du genre “coucou-tu-veux-mon-blog” plutôt que “x7f9k2m8”. Bon ok c’est un peu plus long, mais au moins vous pouvez le retenir ou le donner par téléphone sans épeler chaque lettre. Vous pouvez tester
ce que ça donne en cliquant ici
.
Côté fonctionnalités, on a de quoi faire avec de la coloration syntaxique dans plus de 100 langages différents avec 12 thèmes . Y’a aussi un outil en ligne de commande qui s’installe via npm et qui permet de balancer un fichier en une commande comme ceci :
`pbnj monfichier.py`
Et si vous voulez garder vos snippets en privés, vous pouvez ajouter une clé secrète optionnelle. Après pour le déploiement de pbnj, vous pouvez faire ça sur Cloudflare Workers si vous n’avez pas de serveur à vous. Et ce sera gratuit car Cloudflare propre dans son offre D1, 500 Mo de stockage, soit environ 100 000 pastes de 5 Ko chacun donc pour un usage perso ou en petite équipe, c’est largement suffisant.
Maintenant, pour installer tout ça, c’est vraiment fastoche. Suffit de cliquer 1 fois sur le bouton de déploiement Cloudflare puis installer le CLI comme ceci :
`npm install -g @pbnjs/cli`
Et :
`pbnj --init`
pour configurer l’URL de votre worker et votre clé d’authentification.
Voilà, si vous cherchez un truc qui fait le café, avec versioning Git, collaboration en temps réel et tout le toutim, passez votre chemin mais si vous voulez juste un endroit pour coller du code et le partager sans prise de tête,
pbnj
remplit parfaitement le contrat !
J’sais pas si vous lisez des mangas de temps en temps mais si vous êtes à jour, vous avez peut-être envie de lire la suite, mais malheureusement, souvent c’est pas encore traduit en français. Alors vous 3 solutions… soit vous patientez, soit vous apprenez le japonais… Soit, soit…
Soit vous installez Koharu, un logiciel de traduction de mangas propulsé par IA. C’est hyper bien foutu puisque ça détecte automatiquement les bulles de dialogue, ça lit le texte japonais via OCR, ça efface proprement le texte original avec de l’inpainting, ça traduit le tout avec un modèle de langage aux petits oignons et ça replaque le texte traduit dans la bubulle.
Tout ça en quelques clics, évidemment, sinon ce serait pas drôle !
Le projet est développé par
mayocream
et c’est du 100% Rust avec une interface Tauri. Pour ceux qui ne connaissent pas,
Tauri
c’est un peu l’équivalent d’Electron mais en plus léger et plus performant. Le moteur d’inférence utilisé, c’est
Candle
de HuggingFace, ce qui permet de faire tourner des modèles IA localement sans avoir besoin d’envoyer vos data dans le cloud.
Côté modèles, Koharu embarque plusieurs outils spécialisés. Pour la vision par ordinateur, on a
comic-text-detector
pour repérer les bulles (avec
le petit modèle custom de mayocream
),
manga-ocr
pour la reconnaissance de caractères et
AnimeMangaInpainting
pour effacer proprement le texte original. Pour la traduction, c’est vntl-llama3-8b-v2 ou Sakura-GalTransl-7B-v3.7 qui s’y collent et c’est sans galère puisque ces modèles se téléchargent automatiquement au premier lancement.
Et Koharu supporte évidemment l’accélération GPU donc si vous avez une carte NVIDIA, vous pouvez profiter de CUDA et pour les fans d’Apple Silicon avec un M1 à M5, Metal est également supporté. Bref, ça dépote et le logiciel gère aussi la mise en page verticale pour les langues CJK (Chinois, Japonais, Coréen), ce qui est plutôt indispensable quand on traduit des mangas.
Les sources sont dispo sur
Github
et y’a des binaires pour Windows et macOS directement sur la page des releases. Pour les autres plateformes, faudra compiler vous-même avec Rust et Bun.
Voilà, si vous rêvez de traduire ce manga obscur qui dort au fond d’un forum japonais, Koharu va vous plaire. Et un grand merci à Lorenper pour l’info !
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L’Intel Core Ultra 7 270K Plus revient sur la scène : Une nouvelle fuite Geekbench confirme une puce 24 cœurs et des pointes à 5,4 GHz, avec un léger mieux face au 265K malgré une mémoire DDR5-4800.
Intel Core Ultra 7 270K Plus : 8 P-cores, 16 E-cores et un boost à 5,4 GHz
Il semblerait que le rafraîchissement Arrow Lake-S, baptisé Core Ultra 200K Plus, constitue la dernière grande mise à jour du socket LGA-1851. Repéré à nouveau sur Geekbench, le Core Ultra 7 270K Plus se distingue par une configuration complète de 24 cœurs : 8 P-cores et 16 E-cores, avec un boost annoncé jusqu’à 5,4 GHz. Le détail du bench montre une pointe à 5 498 MHz.
Testée à deux reprises sur une carte mère Gigabyte Z890 EAGLE avec 64 Go de DDR5-4800, la puce surclasse d’après les moyennes officielles le Core Ultra 265K de 5,6 % en single-core et de 4,2 % en multi-core, malgré une mémoire relativement lente. Dans la même fournée, le 250K Plus gagne aussi quatre E-cores, tandis que le Core Ultra 9 290K Plus conserve le même nombre de cœurs que le 285K mais pousse le boost à 5,8 GHz, soit environ +100 MHz.
Le 270K Plus apparaît comme la référence la plus intéressante du lot, avec ce plein silicium à 24 cœurs. Mais la mise à niveau reste modeste. D’après plusieurs équipes cartes mères, « ils ne s’attendent pas à un impact réel sur le marché desktop » ni à un regain d’intérêt pour les cartes des séries 800. Le secteur déplacerait déjà son attention vers LGA-1954 et Nova Lake-S.
Arrow Lake-S Refresh : la dernière salve pour LGA-1851
Arrow Lake vs Arrow Lake Refresh
VideoCardz.com
Ultra 9 290K Plus
Ultra 9 285K
Ultra 7 270K Plus
Ultra 7 265K
Ultra 5 250K Plus
Ultra 5 245K
Cœurs (P+E)
8P+16E
8P+16E
8P+16E
8P+12E
6P+12E
6P+8E
TVB
5,8 GHz
5,7 GHz
–
–
–
–
Turbo Boost Max
5,6 GHz
5,6 GHz
5,5 GHz
5,5 GHz
–
–
Turbo P-Core
5,6 GHz
5,5 GHz
5,4 GHz
5,4 GHz
5,3 GHz
5,2 GHz
Turbo E-Core
4,8 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
Base P-Core
3,7 GHz
3,7 GHz
3,7 GHz
3,9 GHz
4,2 GHz
4,2 GHz
Base E-Core
3,2 GHz
3,2 GHz
3,2 GHz
3,3 GHz
3,5 GHz
3,6 GHz
Support mémoire
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
Puissance de base
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
Puissance turbo max
250 W
250 W
250 W
250 W
159 W
159 W
Selon les fuites, la gamme Plus boucle le cycle LGA-1851 avec trois modèles mis en avant : Core Ultra 9 290K Plus (jusqu’à 5,8 GHz), Core Ultra 7 270K Plus (24 cœurs, jusqu’à 5,4 GHz) et Core Ultra 5 250K Plus (E-cores en hausse). Les fabricants de cartes mères se prépareraient déjà à la transition vers LGA-1954, signe que ce refresh ne devrait pas prolonger l’attrait des plateformes 800.
Le bureau se transforme pour Noël pendant ce mois de décembre ! Les fêtes approchent à grands pas et, cette année, le traditionnel chocolat chaud entre collègues laisse place à une expérience bien plus ludique… et qui pourrait même vous faire gagner des cadeaux ! En effet, Qualifio lance un jeu de Noël pour le […]
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Comme beaucoup d'entre vous j'utilise VLC Media Player qui permet de lire de très nombreux types de fichiers multimédias.
Sauf que, depuis quelques mois il y a quelque chose qui me chagrine : je trouve le lecteur de moins en moins réactif quand il s'agit d'ouvrir de gros fichiers.
Je pense que cette version 3 a fait son temps, mais le problème est que la version 4 qui doit la remplacer est en bêta depuis... de nombreuses années. :wacko:
Je vous invite d'ailleurs de temps à autre à la tester, mais pour être honnête sa future apparence ne me plait pas du tout.
Bref, pour en revenir à la lourdeur de VLC j'ai un exemple tout bête en tête : lorsque je tourne des vidéos pour la Chaîne d'SOSPC il m'arrive de manipuler des fichiers de tailles relativement importantes (entre 1 et 3 Gigas) et le lecteur met parfois un temps important à s'ouvrir.
J'en ai donc testé plusieurs autres et le logiciel que je vous propose me donne de nets et meilleurs résultats, je l'ai donc adopté.
Je ne dis pas que c'est le meilleur lecteur que l'on peut trouver, il est d'ailleurs beaucoup plus pauvre en fonctionnalités que VLC, mais, pour un usage courant il me convient vraiment mieux.
Ce lecteur existe en version 32 et 64 bits, se décline en version portable et est compatible de Windows 7 à 11.
AOOSTAR frappe fort avec son NEX395 : ce mini‑PC sous Ryzen AI Max+ 395 embarque 128 Go de LPDDR5X‑8533 sur bus 256 bits et un mode performance à 140 W.
Lancé en Chine avec un châssis revu par rapport au prototype de juillet, l’AOOSTAR NEX395 cible les usages IA et graphiques exigeants. Selon le constructeur, la mémoire LPDDR5X à 8 533 MT/s, couplée au large bus 256 bits, sert autant à garder de gros modèles IA en mémoire qu’à nourrir le Radeon 8060S intégré, sans étranglement de bande passante.
AOOSTAR NEX395 : Strix Halo, 128 Go et mode 140 W
Le cœur de la machine est l’AMD Ryzen AI Max+ 395, le haut de gamme Strix Halo. AOOSTAR accompagne la puce d’un système thermique présenté comme « Glacier VC » avec plaque IVC et un mode performance à 140 W. Les premiers chiffres publiés par la marque, relevés à 120 W, annoncent un score total d’environ 11 550 points sous 3DMark, avec 11 639 points pour le GPU et 11 073 points pour le CPU, des valeurs en ligne avec les attentes pour l’iGPU 8060S.
Côté connectique et évolutivité : trois emplacements M.2 PCIe 4.0, deux ports USB4, deux LAN 2,5 GbE, plusieurs USB Type‑A ainsi que des sorties DisplayPort et HDMI. Le châssis final, désormais confirmé, diffère du modèle aperçu en juillet, AOOSTAR ayant ajusté le design avant commercialisation.
Mémoire ultra‑rapide et positionnement tarifaire
La configuration de lancement associe Ryzen AI Max+ 395, 128 Go de LPDDR5X‑8533 et un SSD de 2 To pour 19 999 yuans, soit environ 2 800 dollars (environ 2 600 à 2 650 euros à titre indicatif). AOOSTAR indique une disponibilité mondiale prévue, sans date fixée pour l’instant. La marque met en avant « une mémoire de 8 533 MT/s sur 256 bits » pour rivaliser avec les stations HP sous Ryzen AI Max les plus véloces.
La fiche technique vise clairement les charges mixtes IA/graphismes où la bande passante mémoire et le plafond de puissance pèsent lourd. Reste à vérifier, lors des tests indépendants, l’écart entre le mode 120 W mesuré par AOOSTAR et le mode 140 W annoncé.
La plateforme de streaming traverse actuellement une période charnière de son histoire. Entre les négociations avancées pour acquérir Warner Bros. Discovery et le déploiement de la saison finale de Stranger Things, Netflix multiplie les initiatives stratégiques pour consolider sa position dominante dans l’industrie du divertissement. C’est dans ce contexte effervescent que le géant du streaming ... Lire plus