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DEATH STRANDING 2 – Test PS5

Après un premier opus, sorti en 2019, aussi marquant que déroutant, Death Stranding revient, toujours sous la baguette de Hideo Kojima et avec Sam Porter Bridges, coursier téméraire, toujours campé par l’acteur Norman Reedus… Death Stranding 2: On the Beach nous propose de poursuivre l’histoire commencée avec toujours cette ambiance futuro-fantastique dans de vastes et splendides étendues de nature…


Idéalement, il faut avoir fait le premier opus pour se lancer dans celui-ci, néanmoins, on nous propose un récapitulatif complet avant de démarrer la partie. Près d’un an après les évènements du premier épisode, Sam Porter Bridges semble un peu au bout de sa vie mais il va reprendre du service via notamment Fragile (Léa Seydoux) avec la lourde tâche de raccorder l’Australie au réseau chiral…

Le jeu commence réellement avec Sam, assis au sommet d’une zone rocheuse, avec BB (Bridge Baby) l’enfant qui a donc quelque-peu grandi. Il est toujours nécessaire de veiller sur lui et on s’en rend compte dès qu’on se lève pour rejoindre notre abri. Plus que jamais, la topographie est réaliste… Sam prend de la vitesse dans les descentes, on doit donc le ralentir, éviter les éboulements, etc… Et d’ailleurs on comprend vite que l’hostilité des lieux est à son top avec des séismes qui provoquent des chutes de rochers au loin… séismes, tempêtes de sable, incendies et la fameuse pluie qui accélère le vieillissement…


Le jeu reste ancré dans son principe d’exploration avec des trajets sur de longues distances. Il est toujours primordiale de préparer son trajet, choisir judicieusement ses points de passages mais aussi bien sûr son équipement et la charge portée par Sam. Tout cela reste assez technique mais un peu plus abordable aux différents types de joueurs par rapport au premier épisode.

Plus que jamais, les décors sont magnifiques et surprenants de réalisme. On prend une claque dès les premiers instants et on est souvent étonnés par des environnements changeants, notamment par le climat ou le moment de la journée. Magnifique. La PS5 est enfin utilisée à sa juste valeur.


Contemplatif, le jeu reste néanmoins riche par son histoire et ses personnages. Et si Sam a la plupart du temps pour but de livrer des équipements d’un point A à un point B, il y une véritable intrigue prenante qui s’articule de manière homogène avec un gameplay qui, lui aussi se veut un peu plus varié et dynamique qu’en 2019. L’action tranche avec des moments plus calmes même si on évolue la plupart du temps en infiltration dans les zones ennemis (c’est recommandé en tous cas).

Death Standing 2 est une évolution du Death Standing 1 mais contrairement à ce dernier il apporte moins de surprise. En effet, en 2019, le jeu était marquant par son originalité et les rebondissements de son scénario. Ici, l’intrigue reste riche et pleine de surprise mais disons qu’on est déjà habitué au concept. Le jeu se veut en tous cas plus accessible. On est un peu plus accompagné, ce qui ravira les casual gamers mais ce qui pourrait aussi frustrer les joueurs aguerris de la première heure.

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RUNE FACTORY GUARDIANS OF AZUMA – Test Nintendo Switch 2

La Nintendo Switch 2 cartonne et nous avons pu continuer nos tests sur les jeux des éditeurs tiers. A cette occasion nous avons eu l’opportunité de tester la version Nintendo Switch 2 de Rune Factory Guardians of Azuma et c’est plutôt chouette. Le jeu est disponible en dématérialisé ou en physique mais aussi en version Nintendo Switch 1, si vous n’avez pas encore craqué pour la dernière console de Nintendo. 

Un jeu parfait pour l’été !

Rune Factory Guardians of Azuma est un jeu parfait pour l’été car il vous invite à voyager dans différents mondes pour aider votre prochain, éviter la destruction, aider les divinités et retrouver les trésors sacrés. Rune Factory est un spin-off des jeux Haverst Moon qui mélangent jeu d’action, de gestion et de jeu narratif. J’ai beaucoup aimé découvrir cet épisode qui se focalise principalement sur l’action et un peu moins sur l’aspect gestion du village. Vous incarnerez un personnage masculin ou féminin qui est complètement amnésique et qui se retrouve perdu dans un village. A votre réveil, vous allez participer aux différentes tâches du village et rencontrer ses habitants. Le jeu vous pousse rapidement à vous battre contre des créatures pour terminer certaines quêtes et découvrir les zones autour du village. Un peu plus tard, vous allez rencontrer Lenny, une mignonne créature capable de se transformer en dragon. Ce dernier, vous connaît très bien et vous révèle que vous êtes un danseur tellurique. Malheureusement vos souvenirs sont encore très flous mais le pouvoir qui sommeil en vous s’éveille. Vous allez pouvoir sauver les terres dévastées et aider les divinités qui y vivent en redonnant vie à certaines zones mortes. C’est ainsi que vous allez partir en quête d’aider tous les dieux de cette planète pour sauver le monde. 

Le gameplay de Rune Factory Guardians of Azuma est très sympa et facile d’accès. Concernant les combats, vous allez pouvoir choisir différents types d’armes pour s’adapter à votre style de jeu. Côté difficulté, le jeu reste très simple et les combats de boss ne sont pas très difficile. Beaucoup de quêtes annexes sont présentes pour récolter des ressources et vous aider à développer votre village. Dans chaque lieu, vous aurez une zone aménageable pour vous permettre de cultiver vos terres, donner du travail aux habitants et créer des commerces pour favoriser le marché. Au début du jeu, il vous faudra farmer vous même les ressources mais petit à petit vous allez pouvoir automatiser le système de récolte grâce aux habitants qui travaillent pour vous. Cependant il vous faudra gérer votre argent car tout travail mérite salaire et il vous faudra payer vos employés pour maintenir une bonne cohésion. Il vous faudra embaucher des habitants pour augmenter vos profits mais il faudra faire attention à vos dépenses. Le jeu est découpé en zones semi-ouvertes et réparties en plusieurs mondes. Vous allez pouvoir passer de village en village à dos de dragon pour retrouver vos amis ou découvrir une nouvelle aventure. 

Pour conclure, Rune Factory Guardians of Azuma est un excellent jeu qui mélange jeu d’action et cozy games à la perfection. Le jeu propose une bonne narration dans un univers japonais qui vous invite au voyage. Le jeu est accessible et permet à un large public de découvrir cette licence. Le système de combat reste plutôt classique mais permet à de nombreux joueurs d’y prendre plaisir. La personnalisation reste assez sommaire mais l’aspect gestion du titre est assez addictif. Rune Factory Guardians of Azuma est pour moi un jeu à découvrir cet été !

Test réalisé par Pierre

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TAINTED GRAIL : Fall of Avalon – Test PC

Tainted Grail : Fall of Avalon est un action RPG développé par les polonais de Awaken Realms. Il s’agit de l’adaptation du jeu de plateau du même nom qui a, semble-t-il, connu un petit succès. Il reprend la base des légendes Arthuriennes mais à la sauce dark-fantasy. Un monde en perdition peuplé de monstres, de bandits et de factions. Une “darksoulisation” qui n’est pas pour me déplaire. J’avais l’œil sur le titre depuis un moment. Autant dire que je me suis frotté les mains en découvrant une clé Steam dans ma boîte mail.

Je suis donc parti arpenter les terres d’Avalon. Car il est de mon devoir de vous présenter les jeux dont personne ne parle. Si mes débuts ont été compliqués, j’ai eu le déclic au bout de quelques heures. Car Tainted Grail se veut l’héritier direct de Skyrim, Dragon Age, et New Vegas. Rien que ça.

Tainted Grail : un monde riche et oppressant

Comme dans Oblivion, on se réveille dans une geôle. Sauf que cette introduction est plus proche de Dark Souls, car l’île est ravagée par la Mort Rouge. Ici tout le monde est malade, et la prison se révèle être un camp d’extermination pour les personnes infectées. Un mystérieux étranger nous aide à sortir de la cellule. Il va maintenant falloir combattre les gardes et s’enfuir. 

Si l’introduction est classique, on découvre néanmoins la plus grande force du jeu. Son univers. Car s’il se base sur les légendes du roi Arthur, Tainted Grail a choisi de noircir le ton tout en restant cryptique. Une tendance directement hérité des Souls. On croise néanmoins quelques noms vaguement familiers (Camelot, Caradoc et Merlin). Mais malgré tout, l’exposition reste extrêmement vague. J’ai été rapidement séduit par ce monde mystérieux qui invite à l’exploration.  

Une immersion réussie dans Avalon

Techniquement, le jeu est dans la norme, même si l’optimisation pourrait être améliorée. On sent d’ailleurs la volonté de proposer un titre visuellement compétitif. On râlera sur une image un peu floue et sur une synchronisation labiale aux fraises. A tel point qu’il aurait été préférable que personne n’ouvre la bouche. Le titre accuse d’ailleurs quelques chutes de framerate ainsi que des crashs intempestifs. Mais rien n’est vraiment handicapant. 

La direction artistique est une grande réussite. Je m’attendais à arpenter un monde de fantasy un peu banal. Il n’en est rien. Le monde baigne dans une brume quasi constante. De gigantesques mains semblent sculptées dans la roche. Les bâtiments alternent entre style médiéval et romain. Il se dégage une ambiance unique entre The Witcher et Elden Ring, et c’est un excellent point. 

Le sound design n’est pas en reste. Le doublage Anglais est réalisé avec conviction et les effets sonores sont tout à fait convaincants. La musique se veut tantôt orchestrale et mélancolique, tantôt primitive et sauvage dans la veine de Wardruna ou Heilung.  

Pot-pourri de fantasy 

Après avoir choisi sa classe, et bouclé le tutoriel, on est lâché dans la première zone du jeu. Et c’est là qu’on prend peu à peu conscience de la richesse du titre. On gagne de l’expérience en réalisant des quêtes via des PNJ. On monte de niveau à des feu de camps où l’on peut aussi parler avec le spectre du roi Arthur. On peut fabriquer des armes et des armures. On peut les améliorer. On peut faire de l’alchimie, et même de la cuisine. Et, miracle, tout cela est d’une simplicité enfantine. L’interface est parfaitement lisible, les menus sont clairs et jolis. Les arbres de compétences sont pertinents et proposent de véritables bonus. Certains développeurs feraient bien d’en prendre de la graine… 

J’ai une légende à écrire

Comble du comble, les dialogues et les quêtes sont plutôt bien écrits. Et présentent régulièrement des twists inattendues qui viennent briser une monotonie apparente. En d’autres termes, elles sont plus complexes qu’il n’y paraît. Si le lore est riche et cohérent, l’écriture sait se montrer au niveau. On n’a pas non plus pléthore de choix, mais ils sont suffisamment significatifs pour qu’on ai l’impression d’influer sur l’univers. 

Le scénario dévoile rapidement un lien entre le joueur et le roi Arthur. L’esprit du défunt monarque amnésique nous collera au basques tel un Silverhand médiéval. Il est notre boussole, notre guide, dans un monde en perdition. Un monde découpé en zones de tailles moyennes, interconnectées, comme pouvait l’être STALKER. On remarquera par contre qu’entrer dans n’importe quel bâtiment se fera via un temps de chargement. C’est un peu surprenant en 2025, mais on sera plus permissif qu’avec le nouvel Oblivion. Ou Starfield. Oui, je tire à balles réelles sur Bethesda. 

Tainted Grail pioche un peu partout, c’est vrai. Mais il le fait au service de son univers, et sans fausse note.

Arthur ! C’est la guerre ! 

Le titre se joue à la première personne. On peut parer et bloquer avec un bouclier. On a également un bouton de dash. C’est très classique, et j’ai décidé de faire un mage de guerre. J’aime avoir une armure lourde et balancer des sorts. Libre à vous de vous spécialiser dans la furtivité, ou encore de jouer les barbares avec des armes à deux mains. 

Dans sa difficulté moyenne, Tainted Grail se veut relativement punitif. Et je dois bien avouer que j’ai ragé pendant mes premières heures de jeu. Sauf qu’au bout d’un petit moment, j’ai compris où Tainted Grail voulait m’emmener. Ici, farmer ne sert à rien. Votre expérience  viendra de l’achèvement des quêtes. Une excuse en or pour explorer et parler à tout le monde. 

Il faudra bien sûr penser à son build, car chaque point investi rendra votre personnage plus fort. Je suis passé du stade de lavette à celui de grosbill en l’espace de deux niveaux. Tout ça grâce à une compétence qui m’octroie 15% de dégâts supplémentaires lorsque je porte un bouclier. J’ai donc ensuite choisi un bonus pour les armes à une main. Ce qui a suffit à inverser la balance. Il est donc primordial d’avoir un personnage le plus optimisé possible, et plutôt spécialisé. En revanche, on notera quelques petits problèmes d’équilibrage. Car j’irai même jusqu’à qualifier certains combats d’injustes… Ou alors je suis juste mauvais. Mais si vous êtes comme moi, pas de panique ! Vous pouvez ajuster la difficulté dans les options !

Tainted Grail dégouline de charme, même s’ il demande un temps d’adaptation. C’est un action RPG à l’ancienne, un peu rugueux, mais parfaitement conscient de ce qu’il est. Il mise tout sur son ambiance et sa richesse. Le titre est une vraie surprise, comme on aimerait en voir plus. Un diamant brut que les fans de Skyrim et les déçus d’Avowed auraient tort de bouder…

Test réalisé par Florian

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BLACK DESERT – Test PS5

Black Desert est un MMORPG sud-coréen disponible sur PC et console de salon. Le jeu est toujours très populaire et le studio qui développe ce titre, s’occupe également d’une nouvelle IP : Crimson Desert. Ce MMORPG propose une aventure dans un univers fantastique avec de nombreuses classes jouables et un gameplay nerveux. Cependant la version Playstation 4 et Xbox One était un peu vieillissante pour nos consoles actuelles. Pearl Abyss avait annoncé développer une version Next-Gen et c’est ainsi que nous avons eu l’occasion de jouer à ce portage. 

Une version avec peu de nouveautés

Nous avons eu l’opportunité de tester la version Playstation 5 de Black Desert et les nouveautés sont assez légères. Les graphismes sur un écran 4k ont du mal à s’afficher sur un écran adéquat et il vous faudra vous contenter du 1080p. Malheureusement côté textures, le jeu reste assez flou et c’est assez dommage que cette nouvelle version ne propose pas une amélioration sur ses graphismes. J’ai préféré jouer sur un écran Full HD que sur mon écran 4K pour éviter d’avoir des images trop pixelisées. Cependant, c’est très agréable de jouer au jeu dans de bonnes conditions avec un 60 FPS constant. Cela permet de profiter d’une fluidité dans n’importe quelle situation et c’est très agréable pendant les phases de combats. 

Cette version Next-Gen de Black Desert apporte aussi une nouvelle mise à jour avec l’ajout d’une classe : Deadeye. J’ai pu la tester et son gameplay est très sympa manette en main. Vous allez pouvoir jouer une classe qui s’inspire des cow-boys, ce qui permet d’avoir un arsenal différent des autres classes. La fantasy s’efface contre des armes à feu et vous permet de vous déchaîner sur les vagues de monstres qui vous entourent. Personnellement j’ai beaucoup aimé la jouer et c’est toujours chouette d’avoir de la nouveauté sur un jeu en ligne. 

Autre ajout de cette mise à jour: une nouvelle zone du nom de Ulukita. Cette nouvelle région a été développée avec du hardware actuel et permet de mettre en valeur les performances des consoles next-gen. 

Black Desert version Next-Gen est une bonne idée mais n’apporte pas beaucoup de nouveautés.  J’espère qu’il y aura des ajouts pour améliorer les textures du jeu pour s’adapter à nos écrans. Toutefois le studio chargé du développement du jeu fait un travail considérable pour maintenir son jeu grâce à l’ajout de classes et de régions pour apporter du nouveaux contenus aux fans de la licence. Cette version permet à Black Desert d’avoir un avenir et de lui permettre de continuer à exister.

Test réalisé par Pierre

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STELLAR BLADE – Test PC (+DLC)

Stellar Blade est l’une des nouvelles exclusivités phare de PlayStation et s’offre un portage sur PC. La génération PlayStation 5 et Xbox Series X n’est pas terminée mais seuls quelques jeux ont marqué les esprits des joueurs. Stellar Blade en fait partie et reste pour moi le jeu d’action et d’aventure à découvrir si vous possédez une PS5 ou maintenant un PC Gaming. 

L’ultime version enfin disponible !

La version PC de Stellar Blade est disponible depuis le 11 Juin et nous avons eu l’occasion de la tester. J’étais assez conquis par la version PlayStation 5 mais ce portage permet au jeu d’être plus fluide, plus joli et plus spectaculaire. Manette en main le jeu est toujours aussi propre et ne souffre d’aucun crash contrairement à Marvel’s Spider-Man 2 qui a connu un portage compliqué. 

Une très bonne nouvelle pour les joueurs PC qui profitent du catalogue PlayStation plus rapidement que d’habitude. Si l’aventure vous tente, n’hésitez pas car Stellar Blade propose un univers de science-fiction incroyable et le studio qui s’occupe du développement est très généreux en contenus. La version PC de Stellar Blade permet de profiter de tout son contenu grâce à une édition ultime qui regroupe les deux DLC. Vous allez pouvoir profiter du DLC Nier Automata et de Nikke Goddess of Victory en même temps. Si vous avez précommandé le jeu, vous allez pouvoir obtenir une tenue exclusive pour Eve. L’arrivée de Stellar Blade sur PC permet aussi de profiter du jeu en japonais et ça c’est vraiment cool !

Stellar Blade propose une aventure toujours aussi captivante grâce à une durée de vie assez conséquente et d’un scénario maîtrisé. Le scénario vous invite à vivre les aventures d’une jeune femme appelée Eve qui s’écrasera sur la Terre après une attaque extraterrestre. Dès vos premières minutes de jeu, vous allez devoir vous battre pour survivre et échapper à vos ravisseurs. Malheureusement l’une de vos amies meurt après l’attaque d’un boss mais vous serez sauvé par un humain. Vous comprendrez que les extraterrestres sont appelés Naytiba et que votre devoir est de percer les mystères autour de la matriarche et de la disparition des humains sur Terre. Stellar Blade est un jeu difficile et reprend les codes des Souls Like à la perfection. Il vous faudra parer les attaques ennemies pour pouvoir leur infliger énormément de dégâts.

Le DLC de Nier Automata était déjà sorti sur PlayStation 5 mais la sortie de la version PC a permis de faire revenir la communauté sur le titre grâce à l’ajout du DLC Nikke Goddess Of Victory. Cette collaboration est normale car le studio Shift Up est à l’origine de ces 2 jeux ( Stellar Blade et Nikke). Tout comme le premier DLC, vous allez pouvoir participer à diverses quêtes pour obtenir des skins pour Eve et de nouvelles coiffures. Si vous jouez aussi à Nikke vous allez pouvoir obtenir un code à usage unique pour obtenir des items importants à utiliser sur la boutique de ce jeu mobile. Un ajout toujours sympa à découvrir qui permet de relancer de l’intérêt pour Stellar Blade.

Le portage PC de Stellar Blade n’a quasi aucun défaut. Le jeu est solide et je n’ai jamais eu aucun crash. Cette édition ultime permet aux nouveaux joueurs de découvrir ce titre dans les meilleures conditions possibles. Le DLC Nikke Goddess Of Victory est super chouette car il vous permet d’habiller Eve avec de nouvelles tenues. Le Studio a bien compris le fan service autour de Eve et l’utilise à la perfection. J’ai très hâte de découvrir les prochaines créations du studio car le plaisir de rejouer à la version PC était toujours présent. Je vous recommande chaudement cette version qui est à mes yeux la meilleure.

Test réalisé par Pierre

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INSTABLE – Jeu d’apéro!

Il fait chaud, c’est l’été… les apéros sont de retour et quoi de mieux que de les animer avec un petit jeu d’ambiance. Gigamic propose justement Instable, le nouveau jeu d’ambiance aussi simple qu’addictif. Grâce à sa base magnétique ingénieuse, transformez n’importe quelle bouteille en un champ de bataille d’équilibre et de stratégie.

Le principe ? Fixez la base magnétique sur une bouteille, puis empilez les cartes à tour de rôle. Chaque joueur tente de se débarrasser de ses cartes sans faire tomber la structure. Mais attention : plus la pile monte, plus la tension grimpe… et la gravité finit toujours par gagner !

Attention à ne pas jouer en plein vent ce n’est pas l’idéal, mais sinon, rien n’empêche de s’amuser facilement avec n’importe quelle bouteille (en verre c’est quand même plus stable). On prend vite le pli dans ce jeu d’équilibre en plaçant les cartes de couleurs aux endroits appropriés pour que la structure ne tombe pas et, qu’idéalement, ça gêne le joueurs suivant. Le jeu contient des petites jetons en carton qu’on peur caler entre la bouteille et la zone magnétique afin que celle-ci soit encore moins « collée » au support pour ainsi proposer une difficulté supérieure. Tout l’édifice peut tomber bien plus facilement…

Simple, efficace, fun et coloré, Instable (ou Cards VS Gravity) est un jeu d’ambiance parfait pour les soirées estivales en famille ou entre amis, lors de l’apéro (ou pas). Il suffit d’une bouteille (privilégier le sans alcool 🙂 ) pour lancer les hostilités! Plus d’infos ici.

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LUSH X DRAGONS

Pour célébrer la sortie récente de l’adaptation en prise de vues réelles du film DreamWorks Dragons par Universal Pictures,la marque de cosmétiques Lush s’associe une nouvelle fois à Universal Products & Experiences pour lancer une gamme de produits digne des Vikings et des dragons !

Nous avons eu la chance de recevoir et tester ces produits. La marque a vraiment mis les bouchées doubles pour créer des produits originaux dans les catégories bain, douche, savon, parfum, cheveux/barbe et accessoires. Avec des senteurs captivantes et des inspirations tirées des personnages emblématiques, préparez-vous à apporter un peu de la joie de Beurk à votre routine matinale !

On trouve donc Krokmou en bombe de bain (7,50€), la hache d’Astrid en pain moussant (15€), le gel douche Monstrous Nightmare (13,50€ à 28€), le savon Queue de Krokmou (7€), le peigne pour cheveux et barbe Gobber’s Comb (13€), l’huile pour cheveux et barbe Chief Stoick (23€) et le spray corporel Hiccup (45€). Des produits de grande qualité, forts de l’expérience et des convictions de la marque Lush!

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ONIMUSHA 2 Samurai’s Destiny – Test Xbox Series X

Le prochain jeu de la licence Onimusha a été annoncé il y’a quelques temps lors d’une conférence Xbox mais en attendant sa sortie en 2026, nous avons eu l’occasion de tester une version remastered du deuxième épisode. Onimusha 2 Samurai’s Destiny est sorti initialement sur Playstation 2 en 2002 et c’est en 2025 qu’une version moderne du titre est sortie sur Playstation, Xbox, Switch et PC. 

Du rétro-gaming !

Onimusha 2 Samurai’s Destiny n’est pas proposé comme un remake mais un remastered avec quelques ajouts et bonus pour les fans de la série. Cette nouvelle version n’apporte rien graphiquement et le jeu reste quasi identique à la version Playstation 2. Toutefois, vous aurez la possibilité de jouer en 16/9 avec des textures HD sur un écran moderne et c’est plutôt sympa pour la découverte. 

Si vous êtes à la recherche de votre dose de rétro-gaming, ce jeu d’action est fait peut-être pour vous. La version 2025 est plus accessible grâce à l’ajout d’un mode facile et d’un mode hardcore pour les joueurs qui recherchent du challenge. Quelques mini-jeux sont disponibles dès le menu principal pour satisfaire les fans et vous aurez la possibilité de sélectionner quelques costumes pour votre personnage et rendre votre aventure plus personnelle. 

Onimusha 2 Samurai’s Destiny vous plonge dans un japon féodal dans lequel vous incarnez Jubei Yagyu, un samurai de renom qui découvre son village natal en feu et en ruines. Vous allez faire la rencontre de survivants qui vous expliquent que le seigneur Nobunaga est le coupable de cette attaque. Dans une quête de vengeance, vous allez parcourir différentes zones pour récupérer plusieurs orbes et devenir plus puissant. Vous ferez la rencontre de plusieurs personnages qui vous aideront dans votre aventure, citons par exemple : Ekei, Magoichi et la belle Oyu. Le jeu propose un système de relation bien caché car il vous faudra offrir des cadeaux à certains personnages pour qu’ils interviennent dans vos missions. Une bonne idée qu’il ne faudra pas oublier d’utiliser car leur aide est assez précieuse lors des combats de boss qui peuvent être assez difficiles.

Onimusha 2 : Samurai’s Destiny vous permet de voyager à travers un Japon rural et découvrir les mythes et les légendes japonaises. Vous allez combattre des démons avec des armes aux pouvoirs mystiques et découvrir la sublime direction artistique en pré-rendu de l’époque. Côté gameplay, le jeu est assez rustique et les déplacements peuvent être assez durs si vous n’avez pas connu les premiers Résident Evil en caméra fixe. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé découvrir la version moderne d’un des classiques de la Playstation 2 et je vous le recommande si vous ne l’avez jamais fait. 

Onimusha 2 version 2025 est un bon jeu pour tous les amateurs de rétro-gaming. Une édition plus moderne qui apporte quelques petites nouveautés même si j’aurais aimé avoir un lifting côté graphisme. L’ajout du mode facile est très appréciable pour profiter d’une première découverte et le mode infernal permet aux fans d’attendre sagement le prochain épisode. L’univers d’Onimusha est assez unique et mérite d’être découvert au moins une fois.

Test réalisé par Pierre

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ERIKSHOLM: The Stolen Dream – Preview PC

Eriksholm nous plonge dans une ville en pleine effervescence industrielle. Une période charnière que l’on ne visite virtuellement que par le prisme de Londres. Eriksholm, lui, s’inspire de la Scandinavie du XIXe siècle par le biais de cette ville fictive. Vous y incarnez Hannah, une jeune fille des rues à la recherche de son frère Herman. 

Urbanisme, infiltration et narration 

Développé par les suédois de River End Games, le titre se pose comme l’héritier de l’infiltration isométrique. Un genre popularisé par Commando et Desperados, et qui a connu son petit succès au début des années 2000. 

Prévu pour juillet 2025, j’ai eu l’occasion de tester deux niveaux de ce jeu pour le moins intriguant. Voici ce que j’ai à en dire…  

Un gameplay vintage mais efficace

Le cœur du jeu repose donc sur l’infiltration. Il faut se cacher dans l’ombre, éviter les patrouilles, glisser entre les murs d’un véritable labyrinthe urbain. L’ambiance évoque des classiques tels que Dishonored ou Thief.

La sarbacane, arme non létale, permet d’endormir silencieusement les ennemis. Il faut penser à cacher les corps pour ne pas alerter les autres. L’exploration est récompensée par des lettres et documents, enrichissant l’exposition et dévoilant les rouages du monde d’Eriksholm. 

Tout est très classique et sent bon le rétro, pour le meilleur comme pour le pire. Il n’y a qu’assez peu d’interactions possibles avec l’univers, et le tout semble assez scripté. On appuie sur le levier qui sert à abaisser la passerelle, on passe par un soupirail, on grimpe à une échelle. 

C’est simple, direct, et sans fioriture. Il ne manquerait plus qu’une excellente histoire pour que la pilule passe…

Un univers riche et immersif

On sent en revanche que les ambitions d’Eriksholm se situent au niveau de l’immersion et de la narration. L’histoire semble principalement centrée sur la disparition d’Herman, le frère de Hannah. Elle s’inscrit dans un monde où les enfants des rues vivent de petits larcins tout en échappant à la police. Le contexte de révolution industrielle n’est pas qu’un décor. Il semble nourrir le propos du jeu, qui se veut entre critique sociale et récit initiatique. Les adolescents en fuite symbolisent une génération brisée, coincée entre rêve et survie. On sent venir le plot Dickensien, avec ses classes populaires oppressés par la violence d’une élite déconnectée. Le joueur sera-t-il le catalyseur d’une révolution ?

Si j’ai à peine goûté son univers, je suis curieux de voir quel genre d’histoire Eriksholm va me raconter. Et quel est donc ce rêve volé qui fait office de titre? Tant de questions… 

Un travail d’orfèvre

Visuellement, le jeu impressionne. Porté par l’Unreal Engine, il affiche de superbes environnements qui fourmillent de détails. On prend un réel plaisir à visiter et à contempler chaque tableau. 

Les cinématiques sont magnifiquement animées et mises en scène. Les personnages présentent des expressions faciales comme on aimerait en voir plus souvent ! C’est bien simple, la dernière fois que j’ai vu un truc aussi convaincant, c’était L.A. Noire. Quel jeu ce fut…

Le doublage anglais est quant à lui d’excellente facture. On sent le travail de véritables comédiens car chaque mot sonne juste. 

Eriksholm : The Stolen Dream semble vouloir être un jeu d’infiltration narratif. Mais il est surtout magnifié par une direction artistique forte et une ambiance unique. Si le gameplay paraît classique, c’est l’univers et le ton qui me séduisent avant tout ! On est donc face à un titre plein de promesses. Reste à voir s’il saura confirmer ces bonnes impressions… 

Rendez-vous en juillet !

Test réalisé par Florian

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REMATCH – Test PC

Passer d’un jeu de baston avec l’excellent SIFU à un jeu de foot type arcade, il n’y a donc qu’un pas… Les français de Sloclap proposent cette expérience avec Rematch. Imaginez un jeu de foot arcade avec la vibe Rocket League mais avec des crampons!… Le titre débarque aujourd’hui et on a pu s’y frotter ces derniers jours, on vous donne nos impressions…

Ce jeu de foot est bien évidemment multijoueurs, de 3V3, 4V4 ou 5V5. Donc comme ça on a le choix. Mais sa particularité c’est sa vision à la troisième personne et le contrôle d’un unique joueur. On sent que ce sont les têtes pensantes de Sifu qui sont aux commandes, avec un effet très cartoon, qui n’est pas pour déplaire sachant qu’en plus vous allez devoir créer votre personnage. Alors, je vous vois venir, on n’est pas sur un RPG, c’est très simpliste et on crée notre perso en très peu de temps.

UN GAMEPLAY QU’IL FAUT APPRIVOISER

Si comme moi, vous avez l’habitude de jouer à FC (ex-FIFA), oubliez tout ce que vous avez appris. Le contrôle de la balle est différent, il y a une réelle gestion de l’endurance, attention à ne pas être gourmand et au début vous allez manquer de nombreux tirs.

Malgré le type arcade, vous allez devoir prendre en considération beaucoup de valeurs, le pointeur qui vous fait viser le ballon, les passes. L’avantage d’un jeu multijoueurs, aucun match ne va se ressembler, vous allez tantôt tomber sur des joueurs collectifs et d’autres qu’ils veulent la jouer solo.

Avec cette configuration à prendre en compte, vous allez devoir vous adapter et attention que votre ego ne prenne pas le dessus… Et une chose assez intéressante, dès qu’un joueur va marquer, les postes vont tourner et vous allez à un moment donner jouer le gardien. Au moins chaque joueur.joueuse aura l’opportunité de marquer des buts.

LES +

Un jeu plus stratégique qu’il n’y paraît
Fun à jouer entre potes en ligne
Le fait de devoir jouer le gardien
Un gameplay adaptatif

LES –

La caméra
Répétitif avec le temps

Rematch pourrait prendre le même chemin que Rocket League mais pour le moment il est trop tôt pour le dire. Le jeu a de bonnes bases et il est surtout super FUN cependant il faudra un petit temps d’adaptation pour maîtriser comme il faut vos joueurs. Le jeu est dispo dès aujourd’hui au prix de 25 euros et Day 1 sur le Game Pass.

Test réalisé par Aurélien

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FAST FUSION – Test Nintendo Switch 2

Alors que Mario Kart World fait des ravages sur Nintendo Switch 2, et il faut bien dire qu’il est excellent, un autre jeu de course est sorti en même temps en exclu sur la console et c’est tout bonnement le « Wipeout » de la Switch 2… Voici Fast Fusion!

Le studio Shin’en nous propose donc son nouveau jeu de course futuriste et il faut rappeler que ce n’est pas nouveau pour eux. Ils ont en effet réalisé Fast RMX sur Switch ainsi que Fast Racing Neo sur Wii U par exemple. Ce Fast Fusion découle directement de ces jeux en apportant quelques nouveautés…

Entre Wipeout et F-Zero, ce Fast Fusion mise sur la course rapide, mais sans armes, avec par contre différents skills de pilotage. On traverse des circuits tortueux à bords de bolides anti-gravité rutilants et la vitesse est clairement au rendez-vous! Il faudra utiliser la piste à bon escient (sélection de couleurs) pour en tirer le meilleur parti et user de turbos et autres boost. Mais attention, s’il faut passer sur certains éléments positifs, il faut aussi éviter ceux qui vous stopperont net dans votre course. Le moindre écart d’ailleurs peut vite vous envoyer dans le décors dans une explosion spectaculaire… mais pour éviter cela on peut notamment profiter de sauts à tous moments.

Bien sûr, comme tous jeux de ce type, l’entrainement est primordial pour exceller en course. Mais le jeu reste accessible à tous dès les premiers tours de pistes. L’apprentissage se fait petit à petit sans trop de frustration.

Fast Fusion permet de glaner de l’argent en jeu pour débloquer des musiques (survitaminées!) Ou des véhicules. D’ailleurs, certains défis plus retords permettent de gagner davantage de pépettes si vous vous en sentez capables.

C’est indiqué dans son titre, Fast Fusion, propose une nouveauté en ce qui concerne ses vaisseaux (15 de base) à savoir un nouveau système qui permet de les fusionner entre eux. Ainsi, en combinant les caractéristiques de chaque bolide on peut obtenir 210 possibilités différentes! Cela reste assez anecdotique au final mais c’est plutôt une bonne idée qui permet de mettre un peu les mains dans le cambouis et de varier les plaisirs de conduite.

Concernant les circuits ils sont au nombre de 12 (on aurait aimé encore plus!) et manque un peu de variété mais, en même temps, on a jamais trop le temps de contempler le paysage…

Sorti sur Nintendo Switch 2, Fast Fusion s’est adapté à la nouvelle machine avec du 4K/60fps, du jeu en local (2 à 4 joueurs) (en 60fps et le fameux GameShare. Après, la qualité visuelle reste inégale selon le mode portable ou dock. Aussi, on pourra choisir un mode qualité mais en 30fps… Dans tous les cas, le jeu est assez propre et une mise à jour (Pure) prochaine va proposer une version plus net, sans upscaling comme c’est le cas pour le moment. Bien sûr, il faut posséder un écran 4K pour profiter des meilleurs visuels et de la meilleure définition.

Fast Fusion, n’est pas le jeu de course futuriste ultime mais poursuit une série qui fait toujours belle impression sur les consoles de Nintendo et pour environ 15 euros, on aurait tort de s’en passer. Shin’en fait toujours les choses bien, alliant vitesse, fluidité, musique, esthétisme sans en faire trop et en se concentrant sur l’essentiel, le plaisir de jouer. Et idéalement, à plusieurs!

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HOGWARTS LEGACY – Test Nintendo Switch 2

Pour tous les fans d’Harry Potter, la version Nintendo Switch 2 de Hogwarts Legacy est enfin disponible. Une nouvelle édition qui vous permet de profiter de votre jeu dans de meilleures conditions. Même si on a déjà pu jouer aux autres versions du jeu on est ravi de pouvoir y jouer en nomade dans de bonnes conditions. 

Un portage de qualité 

Hogwarts Legacy : L’héritage de Poudlard vous permet de vivre une aventure fantastique dans l’univers d’Harry Potter. Vous allez pouvoir créer votre propre personnage et choisir votre maison favorite. Le jeu propose un open-world gigantesque dans lequel vous allez pouvoir réaliser différentes activités citons par exemple : des donjons, découvrir des lieux emblématiques, voler sur votre balai magique, faire la rencontre de personnages et réaliser des quêtes annexes. L’histoire principale est toujours aussi incroyable avec des mystères et des secrets à percer autour d’une magie ancienne. Petit conseil, il vous faudra télécharger sur le e-shop le doublage français car il ne sera pas mis d’office. 

La première version d’Hogwarts Legacy sur Nintendo Switch était correcte et tenait du miracle. La nouvelle version Nintendo Switch 2 permet d’avoir un framerate très correct en mode portable et en mode docké : 30 à 45 fps constant. Concernant les graphismes, le jeu est vraiment plus beau et vous n’aurez plus de bouillie de pixels à l’écran. Cependant le mode portable est nettement moins joli que sur une TV. Hogwarts Legacy propose de l’HDR et sur l’écran de la Nintendo Switch 2 c’est assez bluffant. Toutefois si vous posseder un écran compatible HDR vous aurez aussi un meilleur éclairage. J’ai pu noter que les temps de chargement étaient moins longs et vous permettent d’enchaîner les zones sans trop de soucis. Malheureusement le château de Poudlard reste assez grand et contrairement à la version Xbox Series, j’ai pu relever qu’il fallait valider un temps de chargement pour changement d’aile dans Poudlard. 

En mode portable Hogwarts Legacy tient réellement la route et me permet de jouer quand je veux où je veux. La Nintendo Switch 2 ne chauffe pas beaucoup avec ce titre et permet d’avoir la console en main pendant plusieurs heures de jeu. Petit ajout bonus pour cette version console exclusive, vous aurez la possibilité de jouer en mode souris pour plus de précision avec votre joy-con. J’aime beaucoup cette features mais je trouve qu’elle s’adapte mieux aux jeux de type FPS. 

Hogwarts Legacy version Nintendo Switch 2 est la meilleure version en mode portable. Cette édition surpasse la version Steam Deck à mon goût et vous permet de jouer rapidement en mode nomade pendant 2 heures environ. Les ajouts de l’HDR, du mode souris et de l’amélioration graphique du titre lui permettent de se différencier de sa première version. La mise à niveau est intéressante aussi bien pour les nouveaux joueurs que les anciens qui souhaitent découvrir leur jeu dans de meilleures conditions. Hogwarts Legacy Nintendo Switch 2 est un bon portage et reste un excellent titre à faire sur cette nouvelle console.

Test réalisé par Pierre

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GEARS OF WAR RELOADED – Preview PC

Xbox fait fort en ce moment et prévoit de sortir un remake du premier épisode d’une de ces licences phares. Gears of War sera de retour sur les consoles Xbox mais pas que. Gears of War Reloaded est prévu également sur PC et Playstation 5. Une politique assez agressive de la part d’Xbox de proposer ses exclusivités sur quasi tous les supports et peut-être un jour verrons nous un jeu récent signé Xbox sur la Nintendo Switch 2. 

Un petit avant-goût

Gears of War Reloaded est prévu pour le 26 août prochain mais nous avons eu l’occasion de tester une partie du multijoueur. Cela nous a permis de redécouvrir le gameplay atypique de cette licence et de s’amuser pendant un week-end sur les cartes emblématiques de la série. 

Concernant les graphismes, le jeu est assez joli et c’est assez agréable d’avoir un peu plus de couleurs sur ce titre. L’expérience Xbox 360 était un peu grisâtre et c’est assez sympa d’avoir une colorimétrie plus moderne dans ce nouveau jeu. Cependant le gameplay est assez rustique et le système de déplacement et de combat est resté dans son jus. Toutefois cela fait le charme des Gears of War mais j’espère qu’on aura quelques nouveautés à découvrir. 

Mon expérience en ligne a été assez compliquée car il était difficile le premier soir de trouver une partie.  Cependant le lendemain j’ai réussi à faire plusieurs parties en match à mort par équipe. J’ai pu découvrir 3 cartes plus ou moins grandes en jouant les 2 factions disponibles. Les armes étaient assez restreintes mais j’ai pu essayer leurs différents skins et je pense qu’ils seront implantés dans le système de progression du jeu. La sélection des personnages était assez large et c’était très chouette de jouer Marcus Phoenix et ses compagnons. Le niveau général des différentes parties multijoueurs auxquelles j’ai pu participer était assez élevé et il m’a fallu du temps pour réaliser quelques kills. Il vous faudra certainement du temps avant de maîtriser le gameplay de Gears of War. 

Gears of War Reloaded est assez prometteur et va permettre au plus grand nombre de découvrir cette licence d’Xbox. J’espère que le jeu va recevoir quelques nouveautés pour le moderniser et satisfaire les fans de la série. En tout cas, Gears of War Reloaded est un jeu à surveiller et si vous êtes à la recherche d’un bon TPS gore et nerveux je vous recommande d’y jouer.

Test réalisé par Pierre

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DUNE AWAKENING – Test PC

Comment adapter une nouvelle fois en jeu vidéo l’univers de Dune surtout après les excellentes adaptations au cinéma réalisées par Denis Villeneuve ? C’est Funcom qui s’attaque à un challenge de taille en proposant un MMO de survie. Mission réussie ?

Petit disclaimer avant de débuter le test, à savoir que je ne suis pas un adepte de MMO à la base et pas un fan-boy de la saga de Franck Herbert, je suis entré tel un débutant en la matière et SPOILER : je n’ai pas été déçu.

Après avoir créé votre personnage et passé un interrogatoire qui va définir votre style, vos compétences et vos pouvoirs, vous débarquez sur Arrakis, la planète où se déroule l’histoire de Dune à bord d’un vaisseau et là, presque à poil, vous allez devoir vous débrouiller pour survivre…

LA SURVIE À TOUT PRIX !

Au début, je n’avais pas l’impression d’être dans un MMO mais plutôt dans un RPG à l’instar d’un Mass Effect, un gameplay très simple mais qui suffit quand on ne connaît pas bien le style de jeu.
Vous commencez au couteau et par la suite, vous pourrez construire vos armes, votre base mais il faut un petit temps d’adaptation pour choper tous les mécanismes car vous allez devoir prendre en compte plusieurs axes.

Vous n’allez pas juste aller d’un point A à un point B pour vos missions, mais trouver des ressources, vous hydrater, éviter le soleil. Et là, je peux vous dire que de la crème indice 80 ne suffira pas, en plus de trouver de l’eau, il faudra éviter l’insolation (et ce n’est pas une blague), le soleil est à éviter, et je ne parle pas des vers des sables…

Alors, si vous en avez marre des open-worlds, ce n’est pas le jeu pour vous, mais il faut avouer qu’on est dans une excellente ambiance par les bruitages et la musique (on vous conseille de mettre votre casque pour profiter pleinement de tous les artifices du jeu). Le monde est immense et vous allez devoir y piller des camps pour choper des ressources qui vous serviront pour vos costumes, votre base et améliorer vos ressources. Et je ne parle pas des différents véhicules qui sont plutôt nombreux.

AIE AIE AIE LES GRAPHISMES…

C’est là où ça calme un peu, les joueurs PS5 Pro et PC haut de gamme risquent de déchanter, car ce n’est pas fou. Ça reste même très banal. Mais, en même temps, les MMO n’ont jamais été visuellement impressionants, on recherche plutôt l’ambiance et un excellent gameplay.

TRÈS RÉPÉTITIF !

On va être honnête, le titre a un rythme assez lent, vous allez par exemple, pendant les deux premières heures apprendre à crafter, à créer votre base et votre équipement. Mais à force d’enchainer la recherche de ressources, éviter les vers, tirer sur tout ce qui bouge on note que l’histoire est très classique et n’avance pas beaucoup.

Si vous recherchiez un jeu narratif, ce n’est pas la bonne porte, ici, on est plus sur l’expérience et l’ambiance des films Dune (et pour ça c’est plutôt réussi).

LE +

L’univers des films ultra respecté
Un sound design de haute qualité
Les phases de combat simples et efficaces
Un jeu long et parfait pour les fans de MMO

LES –

Un gameplay pas instinctif
Graphiquement c’est juste
Les parades lors des combats

Fan de MMO ou pas, on doit dire que Dune Awakening mise tout sur l’ambiance des films et des livres. Avec ce MMO de survie, l’histoire est mise de côté, ici place à du loot et des combats simplistes. Il plaira aux fans de MMO car si vous êtes plus du style à faire les modes histoires vous risquez d’être déçu…

Test réalisé par Aurélien

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STRONG 4K SMART HOME – Test Caméra

Surveiller sa maison quand on est vacances, c’est toujours une bonne idée, en extérieur, comme en intérieur. C’est ce que propose la dernière caméra 4K Smart Home de la marque Strong. Facile à utiliser, elle permet de surveiller l’intérieur de votre maison ou bien surveiller votre animal de compagnie pourquoi pas…

Avec l’application Vision by Strong, on peut contrôler cette petite caméra rondouillarde avec des modes et réglages complets. D’abord, elle fonctionne avec le Wi-Fi 2.4G et 5G et offre une vue panoramique à 360°. Elle détecte les personnes ou les animaux et grâce à son audio bidirectionnel on peut parler à travers en utilisant notre smartphone!

Sa résolution de 8 Mpx est un gros plus ainsi que sa vision nocturne infrarouge qui permet là aussi d’avoir des clichés de belle qualité. En plus, 7 jours de stockage gratuit sur le cloud est proposé.

L’application est donc intuitive, on peur rapidement armer ou désarmer la caméra et visualiser les flux en direct ou les séquences enregistrées.

Autrement dit, la caméra 4H Smart Home de Strong est effectivement une caméra très intelligente pour une utilisation à la maison avec une belle qualité d’image, une mobilité à 360° et une reconnaissance des éléments qui passent devant elle. C’est une alliée sûre lorsqu’on part en vacances ou pour surveiller son chat ou son chien! Elle est dispo pour environ 75€ ce qui est un excellent rapport qualité/prix pour le coup.

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THE OPERATOR – Test Nintendo Switch

The Operator est un jeu d’enquête conspirationniste primé aux Pégases, disponible sur Nintendo Switch le 22 mai ! Inspirée de X-Files, The Case of the Golden Idol et Her Story, cette expérience immersive développée en solo est une belle surprise…

Bienvenue au FDI. En tant qu’opérateur, vous devrez mettre à profit vos aptitudes d’enquêteur pour aider nos agents de terrain à élucider des crimes mystérieux. Utilisez les logiciels de pointe du FDI pour trouver des indices, résoudre des énigmes et découvrir la vérité.

Ne vous attendez pas à une immersion dans un univers 3D ici, sortez de la représentation des jeux vidéo actuels et plongez-vous dans un gameplay visuellement simple mais immersif par son audio et son action, car oui, il y a de l’action.

En tant qu’opérateur au FDI, le joueur est donc face à l’écran de sa Switch qui est aussi l’écran de l’ordinateur du personnage. Ainsi, on agit en ouvrant des fenêtres, des fichiers et en répondant à des appels. Le jeu est en anglais niveau audio, mais bien traduit en français. Ainsi, on entend les protagonistes mais on peut aussi les lire.

L’intrigue se découpe en différentes missions qui nous sont confiées et l’histoire prend vite une tournure sur deux tableaux afin de nous offrir une enquête où tout se recoupe. Ainsi, on revient dans les premières missions chercher des fichiers qui nous aideront pour d’autres.

Caméras de surveillance, pistes audio, photos, fichiers textes, listes, codes… Le jeu est complet par ses différents aspects d’enquête et à chaque mission on a un truc à trouver, à expliquer. Et quand on le trouve, on met le doigt dessus pour le confirmer auprès de notre commanditaire.

Le jeu n’est pas très dur mais certains pourront utiliser une aide bien intégrée qui permet d’avancer quand on est coincé. Dans tous les cas, on apprécie le rythme de l’intrigue qui nous tient en haleine pendant tout le jeu qui est malheureusement un peu court (3h environ). L’enquête monte en tension et on ne peut qu’applaudir l’écriture de l’ensemble.

Bravo au studio indé français Bureau 81 pour ce jeu à l’ancienne qui ravira les amateurs d’enquêtes. On apprécie l’aspect visuel qui se base donc sur l’écran d’un ordinateur un peu daté et malgré tout, le jeu reste immersif par l’enchainement de ses événements et les différents échanges avec les protagonistes. Une belle surprise pour un jeu à 13,99€ sur le eShop et qui se prête parfaitement au mode nomade de la Switch.

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THE ALTERS – Test PS5

Un tout nouveau jeu de science-fiction débarque et nous avons eu l’occasion de le tester en avant-première. The Alters de 11 bit Studios avait été annoncé depuis un moment et sort le 13 Juin 2025  sur Playstation 5, Xbox Séries et PC. Un jeu assez atypique qui vous propose de vivre une histoire unique dans l’espace. Vous incarnerez un survivant d’une colonie spatiale qui va devoir survivre et surmonter à tout prix les différentes catastrophes naturelles qu’il va rencontrer. 

Le Interstellar du jeu vidéo !

The Alters s’inspire de films comme Interstellar ou Mickey 17 et vous permet d’incarner Jan, un mineur d’une colonie spatiale. Tout comme Interstellar, le jeu vous pousse à survivre dans l’espace à différentes catastrophes naturelles. Vous aurez accès à différents outils pour récolter des ressources qui seront nécessaires à votre survie et à la gestion de votre colonie. Jan atterrit en urgence sur une planète hostile et trouve l’ensemble de son équipage mort. Malheureusement, Jan manque de compétences pour la gestion du vaisseau et se verra aider par un personnage mystérieux. Au fur et à mesure de votre progression, vous comprendrez les raisons qui ont poussé Jan à travailler loin de la Terre et découvrirez certains secrets liés à votre mission. Lors d’un moment décisif et d’une découverte d’un matériau rare, la société pour laquelle vous travaillez, vous demandera de vous cloner et de changer certaines parties de votre passé pour créer un clone de vous mais avec différentes compétences. Cela vous permet de vous aider dans vos différentes tâches et missions de la colonie. 

The Alters est un jeu de survie narratif d’une très bonne qualité. Le jeu est en français et propose une direction artistique somptueuse. J’ai réellement eu l’impression de me retrouver dans Interstellar. L’ambiance sonore et le doublage sont de qualité et pas d’inquiétude, le jeu dispose d’une traduction française. J’ai eu l’occasion de tester le jeu en avant-première et je souhaite que le jeu profite d’une mise à jour concernant ses graphismes qui méritent d’être optimisés. Personnellement j’ai trouvé que le jeu manque de texture et reste assez flou de près. 

Si vous avez peur de jouer à des jeux de survie, pas d’inquiétude The Alters vous guide et vous permet de profiter de l’histoire grâce à une certaine accessibilité. Le jeu est axé surtout sur la narration et le côté survie joue un rôle principalement sur le côté ressources et gestion de son temps. Il vous faudra réfléchir sur vos différentes actions que vous allez réaliser la journée pour éviter de mourir la nuit car il est très dangereux d’explorer la planète à ce moment-là. Chaque action demande un certain temps pour être réalisée et citons par exemple qu’il vous faudra plusieurs heures pour forer du minerais. Pas d’inquiétude, le jeu ne demande pas d’être joué en temps réel car les différentes actions sont accélérées. Si vous avez joué au jeu mobile Fallout Shelters, le jeu s’en inspire quant à la gestion de votre colonie et des habitants. Vous allez pouvoir créer différents modules et bâtiments pour y intégrer vos différents clones. 

The Alters est une excellente découverte et propose une narration très intéressante. Si vous aimez la science-fiction et les jeux de survie dans l’espace avec une partie de gestion et de narration je vous le recommande. The Alters est très joli sur Playstation 5 mais mérite d’être peaufiné sur ses graphismes. L’ambiance de ce jeu est assez unique et j’ai réellement eu l’impression de vivre une aventure comme le film Interstellar. Le jeu dispose d’une version française ce qui lui permet d’être accessible par le plus grand nombre. Je suis très content d’avoir pu le tester en avant-première et je cours de ce pas le continuer pour découvrir la fin de ce titre. 

Test réalisé par Pierre

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CYBERPUNK 2077 – Test Nintendo Switch 2

La Nintendo Switch 2 est enfin disponible dans le monde entier et voici notre premier test sur cette console avec un certain Cyberpunk 2077. Cette version Nintendo Switch 2 est intégralement installée sur la cartouche et c’est un réel exploit de la part de CD Projekt. L’édition ultime de Cyberpunk 2077 comprend le jeu de base et son DLC Phantom Liberty, de quoi vous occuper pendant plusieurs dizaines d’heures de jeu. 

Un jeu à ne pas rater ! 

Le lancement de Cyberpunk 2077 en 2020 n’a pas été un franc succès à cause des nombreuses polémiques que le jeu à rencontré à sa sortie. Cependant le studio a travaillé pour corriger les nombreux bugs et défauts du titre pour permettre à Cyberpunk 2077 de devenir le chef d’œuvre qu’il mérite. En 2020 j’avais eu un goût amer quant à mon expérience sur Playstation 4 FAT avec des textures horribles et une optimisation aux fraises. Pour cette version Nintendo Switch 2, j’avais quelques réticences ayant testé aussi la version PC sur Steam Deck qui n’était pas terrible mais restait convenable pour du jeu nomade. 

Aujourd’hui je peux vous dire que la version Nintendo Switch 2 est excellente, le jeu tourne très bien et les graphismes sont très corrects pour une console portable. Cyberpunk 2077 tourne mieux sur Nintendo Switch que sur Steam Deck et Playstation 4. L’HDR marche très bien sur la console et sur un écran TV Oled l’expérience est enrichie. Le jeu est fluide et les jeux de lumières sont assez dingues quand on s’amuse à parcourir Night City de nuit. Les phases de combat peuvent être un peu compliquées à cause d’une certaine rigidité que j’ai constatée en jouant en mode docker. Si vous jouez sur une TV il vous faudra activer le mode “GAMING” pour avoir le meilleur framerate possible. 

Cyberpunk 2077 est jouable avec les joy-con, les manettes pro et aussi avec un clavier et une souris si vous souhaitez tenter l’expérience “PC” sur console. Si l’aventure vous tente, n’hésitez pas trop longtemps car le jeu propose une histoire prenante et captivante en compagnie de Keenu Reeves. Un titre solide pour le line-up de la Nintendo Switch 2 et qui permet de montrer la puissance de cette nouvelle console. 

Pour conclure, Cyberpunk 2077 sur Nintendo Switch 2 est une vitrine pour la console et montre les prouesses que l’on peut réaliser avec de l’optimisation. Si vous avez déjà fait le jeu de base mais pas son DLC, il est possible de jouer directement à Phantom Liberty sans recommencer l’aventure complète. Personnellement j’ai recommencé le jeu et je prends énormément de plaisir à y jouer. En espérant avoir de nouveaux titre de cette qualité sur Nintendo Switch.

Test réalisé par Pierre

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007: FIRST LIGHT – JAMES BOND revient!

Le prochain jeu vidéo James Bond, 007 First Light, a été dévoilé hier soir par IO Interactive lors du PlayStation State of Play de Sony, avec une bande-annonce que vous pouvez visionner plus bas dans cet article.

Le développeur et éditeur de la franchise HITMAN et Amazon MGM Studios nous prépare donc un jeu d’action-aventure narratif proposant une histoire originale et inédite, réimaginant les origines d’un jeune James Bond. Prévu pour 2026, 007 First Light sera disponible sur PlayStation 5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2, ainsi que sur PC via Steam et l’Epic Games Store.

Cette histoire originale et unique a été créée par l’équipe de développement d’IO Interactive. Dans 007 First Light, les joueurs incarneront un jeune Bond, un membre prometteur mais rebelle de l’équipage aérien de la Royal Navy, recruté par le MI6. Ses instincts aiguisés et son héroïsme au combat le propulsent dans le programme d’entraînement rigoureux de la section 00, autrefois vénérée et récemment ressuscitée.

Pour la toute première fois, les fans pourront vivre l’ascension de Bond au MI6, d’une jeune recrue de 26 ans à un espion à part entière, les plongeant dans le monde exotique et dangereux de l’espionnage tel que représenté dans les films. Les aventures de Bond emmèneront les joueurs aux quatre coins du globe, à la rencontre d’alliés et d’ennemis (ou dans certains cas, des deux), tout en choisissant la manière dont ils surmonteront les obstacles et les défis, que ce soit par la force brute, la ruse ou le charme de l’esprit.

007 First Light est un jeu d’action-aventure à la troisième personne qui mêle les mécaniques de furtivité et d’action emblématiques d’IO Interactive à l’univers de Bond et du MI6. Les joueurs pourront choisir comment utiliser les compétences uniques de Bond en matière de combat, de relations, ainsi que les derniers gadgets technologiques de Q, au cours de son ascension pour devenir 007. En chemin, ils rencontreront des visages familiers tels que M, Q et Moneypenny, et feront la connaissance de nouveaux personnages, comme le mentor de Bond, John Greenway, la mystérieuse Isola, ainsi qu’une toute nouvelle galerie d’antagonistes.

On a hâte!!!

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DOOM: THE DARK AGES – Test

Il est enfin là. Le cauchemar de Familles de France. Le jeu maudit. Il est de retour, plus brutal que jamais, 5 ans après la turbo claque qu’était Eternal. Voici Doom The Dark Ages

Mais entrons plutôt dans le vif du sujet. Cette suite (préquel?) ne fait absolument pas dans la dentelle et se permet quelques entorses à la formule instaurée depuis 2016. 

Alors révolution ou stagnation ? La réponse dans ce test. 

Le diable dans les détails

Ce cru 2025 est dans la continuité directe de son prédécesseur. Les graphismes sont magnifiques, même si la claque est moins impressionnante que pour Eternal. C’est cependant la direction artistique qui fait ici toute la différence. Si on reste évidemment dans le registre de la science-fiction, elle incorpore quelques touches de Dark Fantasy. Comprenez par là qu’on visitera des châteaux et des champs de bataille aux airs médiévaux et que les ennemis seront parfois en armures complètes. On passera aussi par une forêt maudite, une cité assiégée, tout en faisant un détour par une dimension quasi-Lovecraftienne. Sans oublier quelques niveaux en enfer, passage obligatoire pour n’importe quel Doomguy qui se respecte. Le level design est toujours de qualité, avec des zones secrètes disséminées un peu partout. 

On retrouve les ennemis emblématiques de la licence : Revenants, Arachnotron et Mancubus répondent une fois de plus présents ! Quelques nouveaux venus viendront s’ajouter à ce hideux cheptel, tel que le Pinky Rider, dont il faudra dessouder la monture.

Comme à l’accoutumé, le scénario est ici prétexte à un déluge de violence. Le joueur est prisonnier des Makyr, qui l’utilisent pour défendre Argent D’Nur d’une invasion démoniaque menée par le prince démon Ahzrak. Si le tout est hyper classique, on apprécie néanmoins les efforts de mise en scène et la cohérence de l’ensemble.

Côté musique, nous sommes face à la première itération moderne de Doom sans la musique de Mick Gordon. Si la nouvelle avait de quoi inquiéter, force est de constater que Finish Move Inc. a fait du très bon travail. On alterne entre rythmiques saccadées, riffs Metal plus classiques et mélodies d’ambiances menaçantes. Loin d’être le rouleau compresseur nucléaire d’Eternal, on a ici une bande son de très bonne facture.

Pare-moi si tu peux

Parlons peu, parlons bien. Doom 2016 faisait tout son possible pour nous envoyer au corps à corps. Doom : Eternal nous poussait à rester constamment en mouvement sous peine de crever. Doom : The Dark Ages, lui, attend des parades. Oui, vous avez bien lu. Il va falloir parer. Comme dans Sekiro et Jedi : Fallen Order.

La grosse nouveauté provient donc du bouclier. Une « darksoulisation » du gameplay qui permet au joueur d’encaisser et de dévier les attaques ennemis indiquées par des flammes vertes. Chaque parade réussie appliquera un petit effet sympa en fonction de la rune choisie. On peut électrocuter les ennemis, déployer une tourelle automatique sur son épaule, déclencher des jets de dagues…

Il est également possible de lancer ledit bouclier. Ce dernier fonctionne aussi comme une tronçonneuse circulaire. C’est absurde, mais ça permet d’immobiliser ses adversaires les plus coriaces et de pulvériser les mobs. On a presque de la peine pour eux.

L’arme fatale

Les guns ne sont pas en reste. Chacune possède une variante, et il est possible de switcher en un clin d’œil. Le Ravager et le Pulverizer ont par exemple un design similaire, et utilisent les mêmes munitions. Les deux armes vont broyer des crânes de démons et projeter des petits éclats d’os en direction des ennemis ! C’est génial, et aussi gore que crétin. Mais il va falloir aussi penser stratégique. Le Ravager propose une puissance de feu concentrée, alors que le Pulverizer est particulièrement efficace contre les hordes d’ennemis. Il font donc régulièrement jongler entre les joujoux et s’adapter à la menace. 

Car cette fois le jeu n’hésite pas à mettre plusieurs dizaines d’ennemis à l’écran, ce qui oblige à repenser son approche. On délaisse donc les glory kills au profit de finishers brefs qui peuvent savater plusieurs démons à fois. Les armes de mêlée sont dorénavant au nombre de 3. Comme l’épée d’Eternal, il faudra les charger avant de lâcher des coups dévastateurs qui permettront de récupérer des munitions. 

Chaque arme est améliorable et il faudra bien choisir les effets à appliquer. Est-ce que je prends les munitions incendiaires ? Ou alors celles avec une meilleure pénétration d’armure ? Et quid de ce fusil à plasma dont la cadence de tir augmente progressivement ? On vous l’a dit, il y a quand même un peu tactique dans tout ce bourinage écervelé. Finalement Doom reste Doom, et The Dark Ages se veut tout aussi nerveux et brutal que ses aînés. Pour notre plus grand plaisir. 

Gnons et dragons

Une fois n’est pas coutume, The Dark Ages a décidé de varier le gameplay. C’est pourquoi il y aura quelques phases à dos de cyber-dragon-démoniaque. On survole les environnements, on détruit des vaisseaux infernaux, et on peut explorer un peu pour trouver des zones secrètes. Mais accrochez vous à votre slip, car ce n’est pas tout ! Le studio Texan a également choisi d’incorporer des phases en mécha. Non, vous ne rêvez pas. Doom devient alors un jeu de boxe où on colle des patates tout en esquivant les coups des titans sataniques. Si ça ne révolutionne rien, ces moments ont le mérite de faire respirer le jeu et ne s’éternisent jamais. 

Je ne suis absolument pas objectif car j’adore Doom. Ce nouvel opus, avec ses massacres sans fin, m’a empli d’une joie sauvage le long de ses 22 niveaux. Le titre d’id Software est solide, beau, et toujours incroyablement fun. J’ai de plus littéralement fondu sur place en découvrant qu’il était possible de paramétrer chaque aspect du jeu ! Des dégâts des ennemis à la vitesse des projectiles, tout est réglable afin de s’offrir une expérience sur mesure. 

Alors oui, on peut lui reprocher une certaine répétitivité, mais si ça vous dérange je ne peux que vous déconseiller cette licence ! On peut pester sur son prix astronomique, ou sur ses versions physiques ne contenant qu’un disque à moitié vide. Mais ça c’est la faute du vilain Bethesda. Les gars d’Id Software, eux, ont bien bossé. Et si Doom est toujours aussi bon qu’en 2020, c’est juste qu’il a toujours eu une longueur d’avance.

Test réalisé et écrit par Florian

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TESTS EN VRAC #36

THE PRECINCT

The Precinct est un jeu qui rappelle les premiers GTA par sa vue aérienne mais détrompez-vous, ici vous incarnerez les flics, pas les voyous! C’est tout aussi sympa d’ailleurs et on peut saluer le travail du studio Fallen Tree Games. S’il n’est pas parfait, The Precinct a le mérite d’être original par son approche et on se prend au jeu dans cette ambiance 90’s qui nous rappelle les bonnes vieilles séries policières du dimanche après-midi. On poursuit les chauffards, on arrête les malfrats, on verbalise… On a donc notre dose d’action, à pied, en voiture ou même en hélico avec une histoire, celle de notre personnage, jeune recrue de la police et des dialogues savoureux entre les personnages hauts en couleurs. Graphiquement, c’est honnête et on peut saluer les animations réalistes avec notamment les destructions de véhicules ou d’éléments du décors. Une belle surprise que nous avons testé sur Xbox Series X.

BLUE PRINCE

Phénomène vidéoludique des dernières semaines, Blue Prince (jeu de mot avec Blue Print…) est une sorte d’escape game original qui nous emmène dans le manoir d’un oncle défunt, nous sommes sont héritier mais attention, il va falloir trouver la 46ème pièces des 45 pièces des lieux pour valider tout cela… On avance donc de porte en porte, en choisissant des pièces proposées aléatoirement et, jour par jour, on évolue en ce sens avec un nombre pas limités qui représente autant de passages d’une pièce à l’autre. Lors de nos déplacements on trouvera des clés, des pierres précieuses ou autres outils afin de débloquer des portes, achetez des éléments… comme des cartes magnétiques, etc… Il faut alors bien agencer nos pièces sur la map du manoir afin de se garder toujours un passage vers une anti-chambre mystérieuse… L’ambiance est chill et envoutante et le principe du jeu est plus qu’addictif tant il évoluera au fil des jours réservant beaucoup de surprises et de nouveaux éléments et de nouvelles pièces à explorer. On trouver certaines énigmes ponctuelles pour dénicher des clés ou pierres précieuses par exemple, mais certaines pièces propose aussi des mystères ainsi que tous les lieux traverser. Il ne faut donc rien négliger et avouons-le, Blue Prince est un savoureux remue-méninges pas si facile à appréhender d’autant plus qu’il est intégralement en anglais… Nous l’avons testé sur PS5.

DELIVER AT ALL COSTS

Encore un jeu en vue aérienne et on peut dire que ce principe est toujours efficace, surtout quand il s’agit de jouer les livreurs dans un univers rétro plutôt déjanté. Dans la bourgade de St. Monique, on incarne donc un livreur un peu paumé et on va devoir prendre part à des missions successives à bord de notre pick-up. A la manière d’un GTA là aussi, on évolue librement dans les différents quartiers de la ville et, même si on est fort en conduite, on renversera inévitablement quelques passants qui auront à coeur de nous le faire payer en nous courant après… Aussi, les décors sont complètement destructibles et c’est très vite le bazar sur la map. Transporter des pastèques, un espadon vivant, des feux d’artifices et j’en passe… cela occasionne toujours des situations mémorables et explosives… Il faudra d’ailleurs prendre soin de son bolide en le réparant si besoin en cours de route et on pourra aussi le faire évoluer en l’équipant d’un treuil, d’un bras mécanique ou ce genre de choses… Deliver at all Costs est beau de loin, moins beau de près (quand notre perso est à pied dans des bâtiments, la caméra zoom) et propose en tous cas une ambiance fun et pleine de vie à l’écran. Les lieux sont un peu restreints malheureusement et certaines missions redondantes. Jeu testé sur Xbox Series X.

FATAL FURY: City of the Wolves

Retour d’un jeu de baston mythique qui sent bon les années 90 là aussi. Ce Fatal Fury est en fait la suite direct d’un certain Garou : Mark of The Wolves sorti en… 1999. Mais ce n’est pas son histoire qui fait sa force bien sûr mais son gameplay qui est à la fois rétro et dans l’air du temps avec des graphismes cel-shading qui font mouche et une direction artistique de haut niveau. On retrouve pas mal de combattants et combattantes avec, notamment, un certain Cristiano Ronaldo… L’ambiance musicale est top elle aussi et on profite d’un gameplay efficace et nerveux. C’est également le cas pour le jeu en ligne. Taillé pour la compétition, ce Fatal Fury conviendra aussi très bien aux joueurs casual avec un système de baston qui n’a pas à rougir face à la concurrence. Nous l’avons testé sur PS5.

TOWERBORNE

Towerborne est un beat’em all à l’ancienne mais qui propose des graphismes cartoon en cell-shading de très belle facture. On y évolue en équipe (à 4 en local ou en ligne) avec différentes classes de personnages. Les connaisseurs de Banner Saga (du même studio) y trouveront leur compte avec un jeu plutôt généreux en terme de gameplay et de choix de progression. Petit bon point aux Umbras qui accompagnent les personnages dans leur progression apportant une dimension stratégique bienvenue. Mais l’action reste au coeur du jeu avec des confrontations souvent dantesques avec des boss impressionnants. Une belle surprise là aussi, testée sur PC.

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COPYCAT – Test PS5

Non, ceci n’est pas un jeu vidéo dans lequel vous allez incarner un tueur en série qui en copie un autre… loin de là! Créé par les australiens Sam et Kostia de Spoonful of Wonder, Copycat est leur premier jeu et il nous propose une aventure narrative dans laquelle on va incarner un chat sur fond de sujets importants comme l’abandon, la solitude, la vieillesse… et c’est plutôt prenant…

Ne vous attendez pas au jeu de l’année techniquement mais pour rappel, Copycat est un premier jeu créé par seulement deux personnes et quand on sait cela on ne peut qu’être admiratif. Alors, certes, les modélisations des personnages ne sont pas vraiment dans l’ère du temps mais la direction artistique est plutôt bonne avec de belles ambiances selon le moment de la journée et les lieux traversées.

Le jeu démarre dans un refuge d’animaux dans lequel, Olive, une femme âgée vivant seule, va adopter un nouveau chat, ayant perdu le sien il y a peu…

Dans la peau du chat, on découvre notre nouvelle vie chez Olive avec quelques craintes forcément. On peut miauler par moment ou bien faire des choix d’action entre « griffer », « mordre », « approcher », « attendre », etc… Ainsi, on prend par à cet apprivoisement entre l’humain et l’animal. D’ailleurs, par le biais de textes qui apparaissent à l’écran on peut lire ce que pense notre chat et cela met davantage en avant le statut de l’animal qui, loin d’être un objet, est un être de conscience à part entière…

Le jeu joue sur cette thématique d’abandon des animaux mais aussi de relations humains avec le personnage d’Olive, femme âgée et malade qui vit seule et qui devient de moins en moins autonome. Sa fille veut l’envoyer dans une maison de retraite. On en apprend plus sur cette relation au fil des lettres et coups de téléphone dans un premier temps…

L’aventure tourne beaucoup au sein de la maison de Olive mais on pourra explorer le jardin et bien plus au cours de l’intrigue. Aussi, des parties rêvées de notre chat permettent de prendre part à des petites phases de jeu différentes avec une approche artistique elle aussi différente. Ces phases restent ancrées dans les sujets abordés et les tournants de l’histoire. Aussi, il est amusant de voir le parallèle fait entre le chat et les félins sauvages par le biais d’un documentaire qui tourner sur la télévision d’Olive et par la voix de son commentateur.

Jeu narratif, Copycat est peu fourni en terme de gameplay. On est surtout de l’orientation, des choix d’actions et quelques QTE qui demanderont peu de réflexes. En tous cas, on apprécie les mécaniques proposées (attraper des oiseaux… fuir face à des chiens méchants… se battre contre d’autres chats…).

Copycat est malheureusement bien court (3h pas plus) et reste imparfait techniquement avec un gameplay trop simpliste mais on a là un jeu narratif qui tire sa force de son histoire emprunte d’émotions voguant sur des sujets graves qui nous touchent tous. Le déroulement de l’histoire, sa musique, sa mise en scènes… tout cela fait de Copycat un petit jeu à ne pas négliger. Bravo à Sam et Kostia!

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CONCOURS 19 ANS DU BLOG !

Et oui, 19 ans déjà que le blog existe! Merci à toutes et tous qui nous suivez régulièrement. Pour vous remercier, un nouveau concours qui se déroule sur Facebook et vous permet de gagner un pack comprenant les jeux PS4 Helldivers 2 et Until Dawn ainsi qu’un abonnement de 1 an au PlayStation Plus! Bonne chance!!!

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LE SILENCE DE L’OMBRE – 10h d’enquête!

Nouvelle enquête élucidée par nos soins… et ça nous aura pris 10h en tout! Le Silence de l’ombre est une enquête en 3 actes proposée par Mission Détective. Livrées dans une grosse boite cartonnée, 3 enveloppes contiennent donc tout un tas d’éléments qui nous permettent de résoudre une série de meurtres…

Un cadavre a été retrouvé à l’intérieur d’un motel proche de Libourne. La victime, agenouillée, ses mains jointes et ligotées, portait une robe blanche rappelant une tenue religieuse… et avait la bouche cousue… A l’intérieur, un morceau de papier… La presse locale a reçu une lettre mystérieuse… l’enquête peut commencer…

Voilà qui nous met dans l’ambiance…. Comme souvent dans ce genre d’enquête à résoudre à la maison, à plusieurs, il est nécessaire d’utiliser un smartphone et un ordinateur car beaucoup de choses se passent de manière virtuelle à commencer par l’introduction de l’intrigue via Karine Ohara, la cheffe du département de police. Avec elle, on trouve le légiste, le spécialiste en cybercriminalité et l’agent de terrain. Ainsi, des vidéos réalisées avec des comédiens renforcent l’immersion…

Bien sûr, il y a aussi les documents physiques présents dans la boite. Rapports de police, pièces à conviction, énigmes, coupures de journaux, photos et autre objets nous permettent de recoller les morceaux afin de répondre aux questions successives qui feront avancer l’enquête. Il y a donc un va-et-vient permanent entre le format physique et le numérique et tout cela offre un équilibre parfait dans la progression.

Nous avons fait l’enquête à 3 ce qui permet d’avancer plus vite, de partager les idées et les informations. Chacun peut lire tel ou tel document, l’autre résoudre une énigme ou s’occuper des actions sur l’ordinateur. Dans tous les cas, il est bien que plusieurs personnes lisent aussi les même documents pour être sur de ne rien rater.

Comme toujours pour ce type d’enquête il est difficile de vous détailler l’intrigue au risque de vous spoiler. Sachez en tous cas que l’histoire est pleine de rebondissements et l’expérience est immersive et variée avec des recherches sur de faux sites internet mais aussi sur de vrais site. Il ne sera pas rare d’utiliser Google Maps par exemple sur de vrais lieux ou bien de se renseigner sur des éléments qui existent vraiment (personnages célèbres, lieux, œuvres, etc…).

On prend plaisir à écouter des interrogatoires, à lire des rapports de police mais aussi à analyser des photos, éplucher des documents variés ou bien résoudre des énigmes avec des choses à « fabriquer »… Aussi, c’est assez grisant de trouver une adresse et de se rendre sur les lieux. S’en suit alors une vidéo interactive qui nous permet de trouver des indices, etc..

La réalisation de l’enquête est très qualitative aussi bien au niveau du réalisme des documents que de l’interface numérique avec ses vidéos. On trouvera des objets, des documents imprimés, tout cela avec des illustrations et mises en page crédibles. Et jusqu’à la toute fin de l’enquête, les enveloppes nous réservent de belles surprises. Car oui, dans les grosses enveloppes noires qui représentent les 3 actes, on a aussi parfois d’autre enveloppes scellées qu’il faudra ouvrir le moment venu…

Vous l’aurez compris, si vous êtes amateurs de ce genre d’enquêtes/escape à la maison vous serez embarqués par Le Silence de l’ombre pour la richesse de son contenu, le rythme de son intrigue et la profondeur de son histoire qui nous fait voir du pays et rencontrer divers protagonistes.

10h, c’est donc ce qui nous a fallu pour terminer l’enquête complète. A vous de voir si vous voulez faire une session par chapitre comme une série ou bien tout faire d’une traite sur une journée. En tous cas, ça passe vite quand on est dans le feu de l’action. C’est toujours un plaisir de résoudre ce type d’affaire. Seul bémol, pas de rejouabilité bien sur mais surtout, il est difficile de le prêter à quelqu’un par exemple car certains documents doivent être manipulés, découpés, etc… Aussi, comptez tout de même 109€ pour obtenir cette enquête. Pensez à partager si vous jouez entre amis! En tous cas, c’est le prix de la qualité avec tout de même 100 éléments à analyser, plus de 30 interrogatoires, les énigmes et les visites virtuelles sur lieux réels. Alors, si vous voulez en savoir plus, c’est par ici !

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