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TEST de TRAILS IN THE SKY 1st Chapter – J-RPG ultime?…

La série des Trails in the Sky revient en force avec le remake du premier épisode sorti sur PSP en 2004. Une nouvelle version modernisée qui intègre une traduction en français et ça c’est plutôt unique. Habituellement, cette série propose seulement de l’anglais pour les textes, ce qui freine l’expérience. Trails in the Sky 1St Chapter est disponible dès maintenant sur Playstation 5, Nintendo Switch et PC avec une version physique et un collector. 

Le J-RPG Ultime de cette année

Trails in the Sky 1St Chapter vous invite à vivre le premier épisode d’une longue saga de J-RPG. Une excellente idée si vous souhaitez découvrir cette licence. J’espère que les autres jeux vont bénéficier du même traitement et obtenir une traduction dans notre langue. L’histoire vous invite à vivre les aventures d’Estelle et Joshua Bright qui sont les enfants d’un Egide légendaire du royaume: Cassius Bright. Ces enfants suivent les pas de leur père et s’engagent dans la guilde après plusieurs mois de formation. Ils ont pour devoir de protéger le village de Rolent et ses habitants contre toutes les menaces extérieures. Estelle est une jeune femme qui se bat avec un baton tout comme son père et Joshua utilise deux dagues pour vaincre ses ennemis. Estelle est un personnage un peu foufou contrairement à Joshua qui est un personnage très terre à terre. Une association très intéressante qui permet de renforcer leur relation au fur et à mesure de l’histoire. 

Il vous faudra jouer environ 7h pour venir à bout du prologue. A cet instant, l’histoire prend un autre tournant car Estelle et Joshua apprennent la disparition de leur père lors d’une attaque d’un navire. C’est ainsi que leur rite initiatique commence car ils vont devoir partir de la maison familiale pour retrouver leur père et devenir des Egides séniors. Vous allez devoir aller de ville en ville pour aider les différentes branches de la guilde et obtenir des informations pour l’histoire principale et être reconnu petit à petit comme de véritable Egides dans le royaume. 

Trails in the Sky 1St Chapter est un très long J-RPG avec énormément de contenus à réaliser. Vous aurez des quêtes annexes à effectuer auprès des différentes guildes du royaume pour obtenir de l’argent. La monnaie du jeu et les différentes ressources sont essentielles pour augmenter vos orbes et acheter un meilleur équipement. Le système d’orbe est identique aux précédents jeux traités sur le blog et vous permet d’augmenter vos caractéristiques et sorts. La traduction en français fait vraiment du bien car vous allez pouvoir profiter des nombreux dialogues du jeu et des tutoriels sans tracas. Concernant la musique, vous aurez le choix entre la réorchestration des titres originaux ou d’écouter les originales. Personnellement je varie les plaisirs pour ne pas me lasser pendant mes nombreuses heures d’explorations. 

Le système de combat de Trails in the Sky 1St Chapter propose du combat en temps réel et du combat en tour par tour. Je trouve que le combat en temps réel est moins efficace contre les monstres sauf si vous avez 5 à 10 niveaux au-dessus la zone. Le combat en tour par tour reste classique à la série et permet de créer des enchaînements très efficaces contre les monstres. Dans ce mode, vous allez pouvoir utiliser des sorts et utiliser les faiblesses des monstres contre eux.

Trails in the Sky 1St Chapter est un J-RPG incroyable et je suis très content de découvrir le premier épisode de cette licence dans ces conditions. Le jeu est disponible en physique et traduit entièrement en français . Si vous souhaitez l’acheter, je vous recommande de prendre la version boîte pour montrer à l’éditeur que le marché français souhaite avoir plus de production de ce genre. SI vous êtes à la recherche d’une aventure captivante qui dure environ 100 heures dans laquelle ces personnages sont attachants et son système de combat addictif, n’hésitez plus et tentez l’aventure. Cependant pour tous les joueurs qui n’aiment pas lire dans les jeux, passez votre chemin car l’aspect visual novel est très présent dans cette série. 

Test réalisé par Pierre

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SCREAM – Le jeu!

Vous aimez les films d’horreur?… A l’approche de Halloween c’est plutôt d’actualité… Et quand on pense film d’horreur, difficile de ne pas citer la saga SCREAM… Sachez que le film est également un jeu de société où Ghost Face est contre nous, évidemment, pauvres joueuses et joueurs… Le téléphone va pas cesser de sonner…

Vous voilà à Woodsboro dans un jeu coopératif de 3 à 8 joueurs (à partir de 13 ans) pour des assez rapide (15/30mn). Basé sur un système de cartes, le jeu propose de réaliser des suites de cartes en fonction d’une scène piochée (par exemple, 3 cartes clés, 2 cartes pop-corn et 1 carte sang, etc…). Les joueurs se passent le couteau de Ghost Face le plus vite possible afin de prendre la main et soit piocher, soit échanger une carte ou soit valider une scène. Une fois que toutes les scènes ont été terminées, la partie est gagner.

Mais, à tout moment, via une application gratuite sur smartphone, Ghost Face peut nous appeler et nous imposer par exemple de lui montrer une série de cartes précise au prochain tour ou bien, de nous défausser de nos cartes, etc… Des bâtons dans les roues qui peuvent vite mettre fin à la partie. Si un des joueur meurt, tout le monde perd.

Il y a donc une grosse part de chance à la pioche notamment dans le jeu mais aussi de la rapidité tout en étant raisonné afin de faire les bons échanges de cartes entre joueurs.

Un petit plateau propose 4 lieux du film et qui auront leur importance selon les demandes de Ghost Face qui est d’ailleurs représenté avec une petite figurine.

Le concept est donc simple (et assez redondant au final) mais les appels de Ghost Face avec ses demandes et sa voix emblématique ajoute à l’ambiance et à la tension en jeu. Les parties sont donc souvent rapides mais mouvementées. Les fans de Scream apprécieront.

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TEST de GHOST OF YOTEI sur PS5 – Vengeance au Pays du Soleil Levant…

En 2020, Sucker Punch et PlayStation ont fait le pari de lancer une nouvelle franchise en plein en pandémie mondiale, un certain Ghost of Tshushima. Alors que tout le monde attendait la suite des aventures du fantôme de Tsushima : Jin Sakai, c’est au tour d’une mercenaire du nom d’Atsu de porter le titre. Nouvelle claque, nouveau chef d’œuvre ou s’agit-il seulement d’une version 1.5 de Ghost of Tsushima ? On vous fait le test complet de Ghost of Yotei !

UNE HISTOIRE DE VENGENCE (ENCORE)

Ghost of Yotei prend place 300 ans après les événements de Tsushima aux abords du mont Yotei (qui existe vraiment), vous incarnez Atsu, une mercenaire qui a soif de vengeance contre les 6 de Yotei, un groupe de hors-la-loi qui a massacré la famille de la jeune femme.

Le début de l’histoire a été vu et revu notamment en début d’année dans Assassin’s Creed : Shadows ! Sans vous spoiler, l’histoire complète du jeu va être très classique malgré quelques rebondissements même si certains sont prévisibles.

Ce qui est impressionnant et on y reviendra plus tard dans le test sur la partie graphisme, c’est sa réalisation lors des cinématiques, un titre très cinématographique, une mise en scène inspirée de Tarantino ou du cinéma de Kurosawa avec toujours la possibilité de mettre le filtre en noir et blanc très stylé mais on reste sur une simple histoire de vengeance…

LIBRE ET JOLI !!!

L’une des particularités de ce titre, dans ce semi open world, c’est que vous avancez à votre rythme et les développeurs l’ont dit, le jeu ne va pas vous prendre par le main tout du long, vous allez pouvoir faire les missions dans l’ordre que vous souhaitez enfin presque, les missions secondaires qui sont très nombreuses se font aussi dans l’ordre voulu. Vous allez pouvoir respirer et prendre le temps, et en réalité ça fait du bien.

Vous serez toujours dirigez grâce au vent qui vous présentera le chemin mais vous allez dans l’ordre que vous voulez et c’est plutôt appréciable. Et même si sur la carte ça peut paraître énorme, la taille totale n’est pas si impressionnante que ça et c’est un excellent point, puis le contrôle du cheval est mieux maîtrisé que Shadows. Vous allez pouvoir aussi vous téléporter sur plusieurs points d’intérêts, plusieurs campements et le temps de chargement est ultra rapide (moins de 5 secondes).

Vous allez au long de l’aventure rencontrer pas mal de PNJ avec des quêtes secondaires presque toutes scénarisées, cela va d’améliorer votre équipement en escortant une personne jusqu’à sauver une famille, classique mais vous aurez aussi des marchands d’armes, d’arcs, d’armures, des teinturiers pour changer la couleur de votre équipement jusqu’à un dessinateur de cartes qui vous dévoilera contre un échange financier des points d’intérêts sur la carte pour améliorer vos compétences.

Graphiquement, le jeu est beau, certes, mais se basant sur le même moteur graphique que son homologue on sent plus un jeu PS5 en début de génération qu’un titre de 2025 mais il reste tout de même joli. Ce n’est pas la claque visuelle non plus sauf sur les décors et cinématiques ou un effort de couleurs, de jeux de lumières a été effectué. Mais malheureusement les expressions faciales ne sont pas incroyables et il y a une inégalité visuelle entre différentes cinématiques, changer de moteur graphique aurait été une bonne idée !

LES COMBATS ET LE PERSONNAGE D’ATSU

Commençons par l’amélioration du personnage principal, vous allez retrouver au total 5 armes différentes que vous allez toutes utiliser en fonction des types d’ennemis, ce qui va provoquer un aspect stratégique, désolé mais vous n’allez pas utiliser la même arme tout le temps.

Par exemple, combattre avec deux katanas en même temps n’aura pas le même effet d’un ennemi à l’autre. Améliorer votre personnage et ses capacités se fait par le marchand en échange d’argent, en suivant les renards, en suivant certains oiseaux dorés ou en prenant des bains et en saluant certains autels. On vous conseille d’ailleurs de vous perdre un peu dans les missions secondaires pour avoir des compétences pour tout casser car certaines armes sont déblocables uniquement auprès de senseis dans les missions secondaires !

Les systèmes de combats sont toujours aussi prenants, réactifs et jouissifs avec quelques petites nouveautés notables, on regrette juste l’aspect assez brouillon quand vous avez 10 ennemis autour de vous mais cela reste un bon moment d’action, dans Ghost of Yotei, vous allez pouvoir lancer d’un simple bouton certaines armes du champ de bataille sur vos ennemis, un détail certes mais qui fait la différence et dynamise encore plus les combats et notez l’arrivée d’armes à feu mais c’est quand même long a recharger, à utiliser en cas de derniers recours.

Juste avant de faire la conclusion du test, parlons des options graphiques, Sur Playstation 5 classique, il y a trois modes graphiques : Qualité (30 images par seconde) – Ray Tracing (30 FPS avec de meilleurs effets de lumière) – Performance (60 images par seconde). Sur PS5 Pro, vous aurez un choix en plus, le mode Ray Tracing Pro à 60 FPS, c’est un peu plus beau dans cette configuration, mais la PS5 classique se débrouille très bien à ce niveau là.

LES +

Des combats toujours aussi plaisants
Des cinématiques dignes de films
Le monde ouvert rythmé et vivant
Une belle durée de vie (environ 50-60h pour le 100%)
Un doublage français de bonne qualité
Un nombre considérable de quêtes intéressantes

LES –

Peu d’évolutions par rapport à Ghost of Tsushima
Graphiquement en dessous de la norme pour un AAA en 2025
Une histoire trop classique (et qui ressemble à Shadows)

On va annoncer les choses, on n’a pas eu la claque du premier opus, se reposant un peu trop sur les bases de Ghost of Tsushima, on arrive en terrain connu. Cela reste néanmoins un excellent jeu d’action-aventure narratif et poétique. Si vous avez aimé le premier opus, les quêtes secondaires sont aussi mises en avant que les principales et on a envie de platiner le jeu. 50h de jeu plus tard on en s’ennuie vraiment pas, c’est l’un des jeux à avoir sur sa console et à commander dés à présent pour Noël !

Test réalisé par Aurélien

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TEST de GLOOMY EYES – Une aventure solo, mais à deux… qui sent bon Halloween!

Vous aimez jouer seul? Vos aimez la coop? Et bien rassemblez ces deux aspects en jouant à Gloomy Eyes, de chez Fishing Cactus et Untold Tales. Ce jeu est plus précisément une adaptation d’une animation VR créée par Arte. Dans une ambiance à la Tim Burton, on y dirige donc tour à tour, Gloomy, un jeune zombie et une petite fille, Nena. Voici notre test réalisé sur Nintendo Switch 2.

Dans un monde plongé dans la nuit où se promène des morts-vivants, on évolue donc dans des zones en 3D qu’on peut contourner (un peu à la manière d’un Captain Toad). On comprend vite que Gloomy craint la lumière tandis que Nena doit plutôt s’en servir pour éviter les monstres. Cloitrée chez son oncle chelou, elle ne rêve que de liberté et de lumière…

Vous l’aurez compris, même si on dirige Gloomy et Nena indépendamment l’un de l’autre, ils vont se retrouver rapidement pour évoluer ensemble dans ce monde aussi inquiétant qu’enchanteur…

De la Belle et la Bête à l’étrange Noël de monsieur Jack, la rencontre de la jolie jeune fille et du vilain monstre est un sujet maintes fois traité au cinéma ou ailleurs. En jeu vidéo, c’est moins banal et on apprécie cette approche qui sert l’histoire mais aussi le gameplay.

L’ambiance générale est bien sentie avec ces clairs/obscures, ces effets de lumières, les personnages grotesques et les environnements fantaisistes. Le visuel est appuyé par le sonore avec des musiques et des bruitages dans le même esprit « halloween » avec pour parfaire le tout la voix particulière du narrateur (un fossoyeur…).

Dans le gameplay donc, on est dans un jeu d’aventure/action dans lequel on évolue tranquillement. On doit trouver des objets, actionner des bidules, ouvrir des portes, etc.. Gloomy doit donc éviter toutes sources de lumières (lampadaires, phares, etc.) et pourra les détourner en lancer par exemple une brique sur une lampe pour déplacer son faisceau lumineux. Nena pourra bien sur l’aider en ce sens ou en désactivant des générateurs électriques. La gestion des lampes peut aussi servir à neutraliser des zombies trop collants…

Le fait de tourner autour d’une zone permet d’avoir différents points de vues qui permettront de mieux comprendre la manière de progresser comme par exemple en poussant des caisses pour créer un passage et bien comprendre la situation de chaque personnage quand ils ne sont pas au même endroit afin qu’ils se retrouvent.

Le jeu passe de la plate-forme à l’exploration en passant par l’infiltration ou la réflexion. Un savant mélange qui offre une belle variété d’action au fil des niveaux qui sont bien équilibré et toujours vivants (paradoxalement…).

Gloomy Eyes est un petit jeu inventif et bien réalisé avec une direction artistique géniale dans un univers horreur gentillet qui plaira à beaucoup. On y trouve un peu d’horreur mais surtout de la poésie et des messages d’entraide. Son gameplay varié et son approche coop en solo en font un jeu à découvrir sans attendre et qui s’inscrit parfaitement dans la période de Halloween qui arrive…

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TEST de CRONOS – THE NEW DAWN sur PS5 | Un survival horror à ne pas manquer

A peine un an après leur triomphal remake de Silent Hill 2, la Bloober Team est déjà de retour. Cette fois les sinistres polonais nous proposent une nouvelle IP horrifique, sobrement intulée Cronos – The New Dawn. A ne surtout pas confondre avec Chronos – Before the Ashes, ni avec Horizon – Zero Dawn. Car hormis la sémantique, ces titres n’ont absolument rien à voir. Et autant vous dire qu’après la semi-déception de The Callisto Protocol en 2022, j’attendais Cronos au tournant. Avec une barre de fer à la main. 

Alors masterclass ultime ou lamentable naufrage? La réponse pourrait vous surprendre.

Un condensé du meilleur du jeu d’action SF

Cronos pique à droite et à gauche. Il incarne au final une parfaite synthèse des survival horror de ces 20 dernières années. Comprenez bien que nous parlons de l’après Resident Evil 4. Un titre dont le statut de chef d’oeuvre indiscutable et avant-gardiste n’est plus à prouver.

Cronos est un TPS lent et stressant dans un monde post-apocalyptique. Chaque munition compte et la moindre erreur se paie très cher. Il faut également se dépatouiller avec un inventaire limité, véritable marque de fabrique du genre. On trouve régulièrement un peu de quiétude dans les salles de sauvegardes. Ces dernières permettent d’améliorer son équipement et d’acheter des ressources à un terminal. Ces sanctuaires ont même une petite musique tranquille que ne renierait pas la licence culte de Capcom. Le coupe-boulon, outil désormais indispensable, permet aux plus courageux d’accéder à des salles bonus remplies de précieux matériaux. 

Combat et arsenal : tu tires ou tu charges ?

Concernant les combats, Cronos se différencie des ses influences car il propose de charger les tirs. Plus on reste appuyer longtemps sur la gâchette, plus la déflagration sera puissante. Un concept intéressant qui oblige à anticiper chaque coup de feu et à viser avec soin. Si environ 4 armes utilisent ce procédé, les autres sont plus classiques dans leur maniement. Ce qui permet de varier l’action. Du fusil d’assaut au shotgun, l’arsenal est complet et libre à vous d’essayer plusieurs combinaisons. Mais comme souvent dans ce genre de jeu, votre meilleur ami reste le pistolet de base. Une arme dont la polyvalence et la puissance m’ont sauvé la mise plus d’une fois.

Kill it with fire : ennemis, boss et explosions

Les ennemis tapent fort et possèdent en plus la capacité de fusionner avec les cadavres. Seul le lance flamme de votre combinaison permettra d’empêcher à un monstre de se nourrir de son congénère. Une mécanique qui n’est pas sans rappeler les têtes brûlées de Resident Evil Rebirth (2002) sur Nintendo Game Cube. Il faut donc choisir qui cramer, où, et quand. Ce qui ne fait que rajouter du stress. On notera qu’il n’y a pas de bouton d’esquive. On est donc souvent obligé d’encaisser les coups ou de fuir. D’autant plus que les Orphelins (les monstres) ont le bras long (littéralement). Ces amas de corps déformés semblent tout droit sortis de The Thing de John Carpenter. J’ai trouvé les boss coriaces mais justes, et j’ai souvent réussi à les battre au bout du cinquième essai maximum. Tous sauf un, et je vous laisse découvrir lequel. 

Puzzles environnementaux : une immersion sans frustration

Pour finir, il y a bien évidemment des puzzles environnementaux à résoudre. Ces derniers sont assez simples mais permettent de rythmer votre périple et profiter de l’atmosphère. Il faut interagir avec des anomalies, utiliser des bottes magnétiques pour marcher au plafond, ou encore créer un réseau électrique. Des instants qui évoquent Prey et Dead Space. Il y a pire comme comparaison. C’est surtout l’occasion rêvée de se laisser porter par l’atmosphère unique du titre de Bloober Team.

Présentation : quand la forme sublime le fond

Cronos est dans la norme de ce qu’on est en droit d’attendre en 2025. Mais plus qu’un bête exercice de démonstration, l’Unreal 5 n’a ici vocation qu’à immerger le joueur. Loin d’être laid, le jeu brille surtout par sa direction artistique folle et ses éclairages réussis. 

Les ruines battues par les vents rougeâtres (ainsi que certains monstres) revendiquent pleinement l’influence du peintre polonais Beksinski. L’artiste est connu pour ses travaux mêlant fantastique, science fiction et architecture brutaliste. A ce titre, Cronos évoque plus que jamais une fusion entre Dead Space et Metro 2033. Mais mise en scène comme un Silent Hill.

Jouer au casque est également un plus pour profiter au maximum du soin apporté au sound-design. Les musiques sont quant à elles atmosphériques et lancinantes, voire parfois carrément 80’s. Ce qui ne manquera pas de plaire aux amateurs de synthwave.

Resident Space Hill : entre horreur et science-fiction

Une partie de l’action se déroule lors du déclenchement de l’épidémie, dans la Pologne soviétique de 1981. Une période troublée marquée par la montée du syndicalisme et une répression brutale. Des thèmes que Bloober Team avait déjà un peu explorés dans The Medium. Le studio revisite donc une fois de plus l’histoire et les traumatismes de son pays dans un scénario cryptique. 

On incarne La Voyageuse, engoncée dans un scaphandre hermétique dont l’unique l’orifice est bien entendu chargé de symbolisme. On doit parcourir un présent dévasté et surnaturel pour atteindre des failles temporelles. Ces failles nous emmènent en 1981, et à des protagonistes qu’il faudra sauver. Le scénario est suffisamment mystérieux pour pousser le joueur à continuer et à questionner son rôle dans cet univers étrange. Et c’est tout ce qu’on lui demande. La quinzaine d’heures nécessaire pour boucler l’aventure passe au final assez vite.

Bloober Team signe ici un titre solide et personnel. L’ambiance est un régal et les combats sont nerveux. Le studio a bien appris ses leçons et propose l’un des meilleurs survival horror de ces dernières années. On lui pardonnera volontiers un certain classicisme ainsi qu’un combat de boss particulièrement frustrant. Le reste respire la qualité et le travail bien fait. Ne passez pas à côté si vous aimez Dead Space, Resident Evil et Silent Hill !

Test réalisé par Florian

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NBA2K26 – Test PS5

LeBron James pour sa dernière saison (ou pas), la première année de Cooper Flagg, Wemby de retour en forme ou Kevin Durant qui débarque à Houston… la saison NBA 2025-2026 s’annonce croustillante et en attendant le coup d’envoi fin octobre, on peut toujours jouer à NBA 2K26 fraichement sorti…

Chaque année, les améliorations et innovations sont minimes il faut bien l’avouer mais cet opus semble faire un petit pas en avant avec, d’abord, une réalisation encore plus spectaculaire (modélisation des joueurs, leurs expressions, les détails en dehors du terrain, les effets de lumière, l’ambiance générale…) mais aussi un gameplay plus agréable que jamais et des mouvement de joueurs plus variés et réalistes.

La richesse du public, les avant-matchs, les temps-morts, le show pendant les pause, tout est réuni pour nous faire prendre part à des matchs NBA en peine immersion, comme si on y était. Plus que jamais ce NBA2K26 s’affirme comme le plus beau jeu de basketball mais sans doute aussi le plus beau jeu vidéo de sport tout court.

Comme toujours les modes proposés sont nombreux et on pourra créer son joueur en choisissant ses moves, ses aptitudes, etc… on peut les calquer sur ceux de stars déjà en place. Le mode Carrière est toujours une bonne approche pour ceux qui veulent s’investir dans le jeu avec une scénarisation qui revient cette année de belle manière. On y suis toujours l’ascension de notre joueur du lycée à la NBA en passant même cette fois par l’Europe!

La Ville est aussi de retour pour prendre part à diverses activités avec une zone moins vaste que par le passé mais tout aussi garnie. C’est finalement plus pratique et agréable à parcourir pour accéder aux différents défis et autres entrainements proposés (on peut même se balader en bmx ou en kart!).
Notons bien sûr la possibilité de se frotter directement à la Draft NBA si on le souhaite. Le jeu propose une nouvelle fois des entrées diverses dans le jeu selon les envies de chacun. On retrouve le mode My Team (online), le mode My GM (manager) mais aussi simplement des matchs ponctuels en solo ou en multi local avec même l’accès à la WNBA (ligue féminine). Il est même possible de se faire des petits matchs mixtes et ça c’est pour le moins novateur et bienvenu.

Qu’on soit féru de NBA, basketteur chevronné ou bien juste casual games, on a tout un tas de possibilité dans NBA2K26 avec toujours une immersion folle et des conditions très proche de la réalité notamment l’impression de retransmission TV, le cheminement d’une saison NBA avec ses règles, etc…
Le gameplay a beaucoup évolué aussi avec un système de shoot encore remanié dans le bon sens mais aussi le timing au rebond avec une belle mise en avant des pivots dans cet opus que ce soit balle en main ou bien sans ballon dans l’occupation de la raquette et les possibilités d’interaction avec les autres joueurs.

Plus que jamais NBAK26 offre une version vidéoludique du basketball ultime même si on ne doute pas que les prochains opus iront encore plus loin dans le détail et le réalisme. Cette année, on a un jeu qui coche toutes les cases à conditions de connaitre le basket et d’aimer s’investir un peu dans la progression. Les non-basketteurs pourraient être un peu perdu dans les différents modes mais aussi le gameplay qui nécessite toujours une certaines sensibilité du jeu et une connaissance de ce sport (qui est le plus beau de tous non?).

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TALAREF 2010 – Test

Après les années 80 et les années 90/2000, le jeu de quizz Talaref s’attaque aux années 2010. Ce nouvel opus sortira le 10 octobre prochain et nous avons pu y jouer…

Le principe de Talaref 2010 est simple : seul ou en équipe, il s’agit de cumuler des points en répondant correctement à des questions sur des thèmes variés : TV, musique, cinéma, sport… Qui dit 2010 dit aussi l’apparition de pas mal de questions en rapport avec le web (Youtubeurs, etc..).

Des flèches de 1 à 3 indiquent la difficulté de la question et en même temps les points que la carte vous rapportera si vous répondez bien. C’est au total 700 questions qui sont proposez et parfois on tombera sur des questions Duel. S’engage alors une confrontation entre 2 joueurs sur une même questions comme par exemple : Citez tour à tour des phrases cultes issues des 3 premiers Tuche. Ces duels mettent pas mal de piments dans la partie.

Jouable à partir de 10 ans, de 3 à 12 joueurs pour des parties d’un demi-heure environ, Talaref 2010 réunira les familles avec une période récente qui permet à toutes et tous de trouver son compte que ce soit en ce qui concerne le cinéma, la musique, le sport… Globalement on est beaucoup sur des questions relatives à la pop-culture et ça c’est cool. Bravo à Pandor Games pour ce nouveau petit quizz fun et addictif, dispo le 10 octobre donc au prix de 25€ environ…

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EA SPORTS FC 26 – Test PS5

Qui dit fin du mois de septembre, dit l’arrivée de la nouvelle formule de FC anciennement FIFA, désormais seul à bord sur le marché de la simulation de football. Cette année, quelques évolutions sont à note, notamment deux gameplay séparés… Alors que vaut la cuvée FC 26, on met nos crampons et on vous raconte tout !

PROBLÈME DE LICENCE ??

Déjà en terme d’interface, le nouveau FC ne change pas vraiment, on est sur un quasi copié-collé de celle de l’année dernière mais promis les quelques nouveautés vont plaire à certains, moins à d’autres à commencer par les droits de certaines équipes comme les italiennes telles que l’AC et l’Inter de Milan. Hormis les championnats et les clubs les plus connus, cela va être assez limité en terme de choix.

GAMEPLAY : COMPÉTITIF OU RÉALISTE ?

Commençons par le gameplay compétitif, le jeu va plus vite, la défense manuelle est plus efficace avec des animations lentes moins présentes et les gardiens très peu efficace lors des duels. Un bon mélange entre l’arcade et la simulation.

Et puis vient le gameplay réaliste que personnellement j’utilise depuis qu’on a reçu le jeu. Qui dit réalisme dit aussi que les joueurs sont plus lents et vous allez être en immersion, il va falloir être plus stratège, analyser, réagir pour devenir la meilleure équipe. Il n’y a pas de meilleur gameplay qu’un autre, il suffit juste de découvrir celui qui vous correspond le mieux.

SOLO EN MODE CLUB

Les fans de NBA 2K connaissent le mode où vous incarnez un seul joueur et vous le faites évoluer avec des taches à accomplir lors de chaque match (avoir une note de 8/10, faire deux passes décisives, etc.). Un mode repris depuis quelques années sur FIFA et FC.

Contrairement aux années précédentes, l’amélioration de votre joueur sera plus complexe, et à partir de certains attributs atteints vous aurez des compétences que seuls les légendes du football ont. Et pour celles et ceux qui veulent faire évoluer plus vite leur personnage il faudra passer à la caisse, dommage mais on a l’habitude avec Electronic Arts.

ULTIMATE TEAM

C’est toujours le mode qui chaque année fait débat en raison du peu d’évolution et la version 2025 – 2026 n’échappe pas à la règle, il y a pas de vraies évolutions. Vous allez pouvoir jouer le gardien en mode Rush et des événements particuliers sont accessible dans le mode ULTIMATE TEAM.

LES +

Le CHOIX entre deux modes de gameplay complémentaires

De plus en plus beau

Beaucoup plus de joueurs numérisés en Ligue 1

Pas de BUGS au lancement

Un mode carrière au taquet et complet

La possibilité d’incarner les gardiens en mode RUSH

Les –

Refaites un mode histoire, ça manque !

Peu d’évolutions en mode Ultimate Team

Le manque de grosses équipes en licences

Le Pay to Fast, la façon de payer pour faire évoluer plus vite votre personnage

Est-ce que EA doit sortir son jeu de football tous les ans ou tous les deux ans, à en croire les évolutions légères que seuls les fidèles de la licence remarquerontn on peut se poser la question. La possibilité de choisir son gampelay est la meilleure nouveauté du titre cette année. Le mode Carrière Manager est plus complet, plus abouti et mieux que les années précédentes. Pour le moment FC a le monopole mais attention car la concurrence va arriver l’année prochaine notamment avec la future coupe du Monde. Et honnetement un mode histoire manque, et ça avait bien dynamisé FIFA à l’époque. Un titre pour les novices si vous n’avez pas acheté un FC ou un FIFA depuis longtemps ou alors pour les connaisseurs voulant les dernières mises à jour. Ce n’est pas le meilleur mais pas le pire non plus !

Test réalisé par Aurélien

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PLATYPUS: RECLAYED! – Test Nintendo Switch 2

Sorti en 2002, le shoot’em up Platypus revient cette année sur PC et consoles avec Platypus: Reclayed! une mise à jour d’un jeu entièrement réalisé en pâte à modeler par Claymatic Games!

C’est la force première de ce jeu de shoot assez classique : cette réalisation en pâte à modeler pour des animations en stop-motion du plus bel effet. D’ailleurs, on trouve dans les bonus des photos de la créations de tous ces éléments (vaisseaux et décors) en pâte à modeler, c’est très intéressant.

On découvre donc, manette en mains, un shoot’em up en scrolling vertical plutôt coloré avec des vaisseaux dont le design varie selon le mode de difficulté choisi. L’avantage du jeu est qu’on peut jouer à 2 en coop à la manière d’un Cuphead pour des niveaux répartis en 5 mondes aux environnements différents et avec des vaisseaux ennemis qui évolue, qui change, etc..

Dans une approche assez classique, le jeu nous propose de tirer sur ce qui arrive en face de nous (ou bien derrière) avec la possibilité de débloquer des tirs différents (laser, explosifs… poissons, fromages… si si…). Aussi, il ne faut pas rater les fruits qui tombent des carcasses ennemies afin de regagner des vies…

Ces vies, elles peuvent vite descendre. Les coups ennemis ne font pas de cadeaux. Mais les zones proposent une difficulté grandissante avec l’affrontement de boss pas toujours cadeaux à dézinguer.

Evidemment on prend davantage de plaisir à deux joueurs même si l’écran peut vide devenir fouilli par moment.

Platypus: Reclayed! est un jeu à découvrir ou re-découvrir. C’est un bon petit shoot’em up coloré et addictif avec une direction artistique originale. Une belle surprise dispo à moins de 15€.

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TOWA AND THE GUARDIANS OF THE SACRED TREE – Test PS5

Pour tous les amateurs de roguelite, un nouveau jeu signé Bandai Namco est enfin disponible sur tous les supports. Towa and the guardians of the Sacred Tree s’inspire d’Hadès en proposant un scénario de qualité et une direction artistique très soignée. Pour réaliser ce test, nous avons reçu une version Playstation 5 et j’ai passé un très bon moment dessus. 

Un roguelite plus accessible 

Towa and the guardians of the Sacred Tree est un roguelite qui vous invite à vivre une aventure fantastique dans un imaginaire japonais au style manga. La comparaison avec Hadès est flagrante car le jeu propose un lore intéressant grâce aux nombreux dialogues disponibles. Les combats sont aussi nerveux grâce à un gameplay varié et un bestiaire assez large. Chaque illustration ou environnement est dessiné à la main et j’ai eu l’impression de lire une BD.

Dans Towa and the guardians of the Sacred Tree, vous incarnez Towa une déesse qui est accompagnée d’enfants célestes aux pouvoirs surnaturels qui luttent contre des forces démoniaques. Malheureusement lors d’une confrontation, Towa se retrouve forcée à créer une fissure temporelle pour permettre à ses guerriers de rétablir un équilibre dans le monde. Towa s’installe dans un village qui va lui permettre d’augmenter les caractéristiques de ces enfants célestes grâce à un dojo, fabriquer de nouvelles armes chez le forgeron ou même pêcher pour revendre vos prises et obtenir des ressources essentielles pour votre progression. 

Towa and the guardians of the Sacred Tree est un roguelite plus accessible que Hadès. Le jeu propose un mode facile qui permet de rendre les combats un peu plus souples après chaque défaite. Cela permet d’éviter d’être trop bloqué sur certains combats de boss et de profiter du scénario du jeu. Le côté visual novel est mis en avant sur ce titre et je n’avais qu’une seule envie : progresser dans l’histoire pour en connaître le dénouement. Cependant à chaque victoire, vous allez devoir vous séparer d’un enfant céleste et continuer avec les autres. Cela vous pousse à tester et utiliser tous les personnages pour varier le gameplay. Towa and the guardians of the Sacred Tree propose une vue isométrique avec la gestion de 2 personnages à l’écran. Il vous faudra utiliser tous les boutons de votre manette pour utiliser les sorts et attaques de vos 2 personnages pour chaque combat. C’est une gymnastique très intéressante mais qui ne parlera pas à tout le monde car cela demande une certaine dextérité. Pour chaque niveau vous allez devoir faire des choix entre se soigner, récolter des ressources, obtenir des buffs pour le combat de boss, manger, se baigner ou réaliser des défis. Personnellement j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois pour certains niveaux pour vaincre un boss mais c’est aussi ça le plaisir de jouer à un roguelite. 

Towa and the guardians of the Sacred Tree permet de rendre le genre du roguelite plus accessible grâce à mode facile et ça c’est très appréciable. La direction artistique du jeu et le côté visual novel sont super sympa car ils permettent de s’attacher réellement à nos personnages. Cependant j’ai été assez frustré de ne plus pouvoir jouer avec mes héros favoris car à chaque fin de chapitre j’ai dû me réadapter avec un autre. Le jeu nous pousse à utiliser toutes les fonctions disponibles pour faciliter notre progression, ce qui permet de s’investir dans cette nouvelle licence. Towa and the guardians of the Sacred Tree est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes et en français alors n’hésitez plus si vous êtes à la recherche d’un nouveau roguelite ou en attendant Hadès II. 

Test réalisé par Pierre

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AGATHA CHRISTIE – MORT SUR LE NIL – Test PS5

Après Le Crime de l’Orient-Express il y a 2 ans, revoici un jeu Agatha Christie signé Microids. Cette fois, c’est l’autre grand classique, Mort sur le Nil qui nous est proposé. Nous voici donc une nouvelle fois dans la peau du détective Hercule Poirot dans l’Égypte des seventies. Mais attention, on incarnera aussi la jeune détective Joanna Locke, en parallèle, avec une enquête dans l’enquête…

Avec ces deux enquêteurs, nous allons voir un peu de pays, de Londres à Majorque en passant par New York, et bien évidemment l’Egypte. Encore une fois, cette adaptation vidéoludique prend des libertés en étoffant le récit initiale avec des missions plus ou moins annexes qui nous permettent surtout, au début de comprendre les mécanismes de jeu (qui sont les même que pour le Crime de l’Orient-Express globalement).


Ainsi, si vous connaissez déjà le roman (ou les films qui en ont découlé), vous aurez la surprise de découvrir d’autres rebondissements et d’autres faits. C’est plutôt malin. On reste néanmoins dans l’esprit avec cette ambiance égyptienne, sur les eaux du Nil, on repenserait même parfois à un certain Croisière pour un cadavre…

Graphiquement, le jeu souffle toujours le chaud et le froid avec une direction artistique assumé et qui, globalement, est de bonne facture. Les doublages français sont toujours un peu sur-joués mais reste vivants et convainquant dans la majorité des échanges. La musique quand à elle, entre disco et jazz, nous suit dans toute l’aventure avec grand plaisir.

Ce nouvel opus propose de nouvelles énigmes qui sont parfois même des mini-jeux (conduire le bateau…) mais ce n’est pas toujours réussi et à trop vouloir en faire le studio a fait quelques choix hasardeux.

Toujours est-il qu’on profite du système d’arborescence (carte mentale) qui permet de relier les indices, de faire des déductions, de cerner les personnages, recouper les infos et retrouver une chronologie des faits notamment. Et on trouve aussi des énigmes et autres puzzles qui sont parfois basés sur des objets des années 70 (juke box, caméra super 8, etc…) qu’il faudra manipuler. On profite alors de puzzles variés qui sont tout de même parfois plus classiques.

L’enquête est rythmée par des missions successives avec ce passage de Hercule à Joanna qui permet de ne pas s’ennuyer même si au final l’ensemble de l’intrigue peut paraitre décousue. Niveau de difficulté, c’est très accessible puisqu’on a le droit de se tromper et on peu user d’indices très facilement…

Construit sur une base qui fonctionne, ce Mort sur le Nil poursuit les aventure de Hercule Poirot de belle manière avec un roman très connu et très apprécié. Il est étoffé ici pour apporter plus de surprises et justifier l’apparition de cette deuxième enquêtrice. Les idées sont bonnes, les énigmes assez variés et plaisantes à faire. De plus l’ambiance sixties est bien retranscrites. Le jeu reste assez old-school techniquement et on aurait aimé un peu plus de cohérence globalement. Cela reste un jeu d’enquête comme on en fait plus et les fans du genre apprécieront.

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HYKE: NORTHERN LIGHT(S) – Test PS5

Pour les amateurs de pixel art, nous avons eu l’occasion de tester un tout nouveau jeu du genre : Hyke: Northern Lights. Un action RPG en 2D qui mélange combat, exploration et simulation de camping en même temps. Le jeu est développé par un studio japonais pour le compte d’Aniplex et d’Akatsuki Games. Pour réaliser ce test, nous avons eu l’opportunité de découvrir le jeu sur une version Playstation 5 et c’était vraiment sympa !

Une belle découverte !

Dans Hyke: Northern Lights vous incarnez une jeune sorcière du nom de Hyke qui recherche des indices sur son passé et sur sa mère disparue. Vous allez devoir voyager dans un monde ravagé par la guerre dans une ambiance post-apo. Dans cet univers, les sorciers et les non-mages s’affrontent pour des idéaux divergents et on peut compter de nombreuses pertes dans les deux camps. Malheureusement les sorcières sont persécutées et sont obligées de se cacher pour continuer de vivre. 

Hyke va faire rapidement la rencontre de plusieurs sorcières qui l’aideront à récupérer des noyaux afin de percer les mystères autour de sa mère. Le jeu est découpé en plusieurs chapitres dans lesquels vous allez pouvoir explorer plusieurs parties du niveaux pour récupérer des ressources et avancer dans le scénario. Hyke: Northern Light est assez linéaire mais propose quelques énigmes à résoudre dans certains donjons pour casser son rythme. Le jeu est vraiment sympa à découvrir si vous aimez le pixel art et les sensations manettes en main sont assez chouette même pendant les phases de combat. La direction artistique en 2D en vue isométrique fonctionne bien et permet d’avoir une très bonne visibilité de nos actions. 

Concernant le gameplay, Hyke: Northern Lights propose un système de combat assez nerveux avec la possibilité d’esquiver, d’attaquer et d’utiliser des sorts différents selon votre personnage. Chaque sorcière jouable possède un arbre de talent unique et pourra correspondre à votre façon de jouer. Personnellement j’ai beaucoup aimé jouer avec la sorcière qui se transforme en lapin car ses coups sont dévastateurs mais elle peut rapidement mourir à cause d’une jauge de santé très basse. Le jeu propose des combats de boss à chaque fin de chapitre qui auront chacun leur spécificité. Hyke The Northern Lights reste très accessible et pas d’inquiétude ce n’est pas un Dark Souls Like. Autre mécanique de gameplay : le camping est une étape importante dans le jeu car vous allez vous déplacer énormément dans ce monde en voiture. Il vous faudra établir un campement et disposer vos différents objets sur une map adéquate. Vous allez pouvoir placer toutes vos sorcières à l’intérieur pour cuisiner de succulents plats. Vous aurez aussi la possibilité d’aller en ville pour acheter des ressources et effectuer des quêtes annexes pour augmenter certains pouvoirs de vos sorcières. 

Hyke: Northern lights est une très bonne découverte pour cette année. Le jeu est beau et sa direction artistique en 2D pixel art lui permet de se différencier de la concurrence. L’autre point fort de ce titre est la traduction complète du jeu, ce qui permet de profiter de l’histoire sans concession et ça c’est plutôt rare pour ce genre de titre. Les combats de boss sont tous vraiment sympas et le jeu nous pousse à explorer tous les niveaux sans trop nous dégoûter. Si vous êtes un peu nostalgique en ce moment et que vous recherchez un jeu à l’esprit rétro mais avec les codes actuels du jeu vidéo je vous recommande sans soucis Hyke: Northern Lights disponible dès maintenant uniquement en dématérialisé.

Test réalisé par Pierre

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SIMON THE SORCERER ORIGINS

Fin 80, début 90, j’étais fan inconditionnel des point’n’click (Monkey Island, Day of the Tentacle, Sam & Max, Operation Stealth et j’en passe…). Parmi eux il y avait un certain Simon the Sorcerer (1993) du studio Adventure Soft…

Et bien figurez-vous que Simon is back dans Simon the Sorcerer Origins qui sort ce 28 octobre sur toutes les plateformes. Le jeu est réalisé par Smallthing Studios et édité par ININ Games. On retrouve ce principe d’aventure point’n click à l’ancienne avec des graphismes cartoon très engageants.

On a hâte d’avoir le jeu entre les mains pour vous en dire plus. En attendant, sachez qu’il existe une version collector incluant un artbook digital et la bande musicale complète. Avis aux amateurs…

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METAL EDEN – Test PS5

Un tout nouveau jeu indé est enfin disponible sur consoles et PC et va ravir les amateurs de jeux de tir à la première personne. Ce nouveau jeu s’appelle Metal Eden et vous invite à vivre une aventure intense dans un univers cyber punk. Le studio chargé de son développement est Reikon Games, les créateurs du jeu Ruiner sorti en 2017. Malheureusement le jeu n’est pas disponible en version physique même si il est édité par Deep Silver et Plaion. 

Un jeu bien nerveux !

Dans Metal Eden vous allez incarner un personnage android de l’hyper unité aska. Vous allez participer à une mission suicide pour récupérer les cores des citoyens de Moebius piégé sur une cité orbitale. Le jeu est découpé en plusieurs chapitres avec des zones cloisonnées plus ou moins grandes. Vous allez devoir affronter les robots de défenses de la cité, vaincre les ingénieurs et percer les mystères autour du projet secret : Eden. 

Metal Eden vous propose un arsenal assez large pour vous permettre de vous défendre contre les nombreuses menaces que vous allez rencontrer. Il existe plusieurs unités de combat qui demandent chacune d’utiliser une arme ou un pouvoir spécifique pour les éliminer. 

Le jeu s’inspire de plusieurs grands titres du genre citons par exemple : Doom et Ghost Runner. Les combats sont aussi nerveux que sur Doom Eternal avec la possibilité de récupérer des boosts de santé en utilisant certains pouvoirs. Les zones de combats sont construites de la même façon avec des walljump, des tremplins et des objets disséminés un peu partout dans l’arène. La référence à Ghost Runner réside dans le parcours entre les différentes arènes car vous allez devoir sauter, courir contre des murs, prendre des tyroliennes et sauter de plateforme en plateforme. Certaines grandes zones vous demandent de vous déplacer sous la forme d’une sphère comme dans le jeu Metroid et ça c’est plutôt chouette ! 

Metal Eden propose un système original de combat avec l’ajout d’un mode extraction qui consiste à récupérer l’âme d’un ennemi pour l’utiliser sous plusieurs formes : grenade, boost de santé ou coup de poing dévastateur. Le jeu est localisé chez nous et propose un scénario entièrement traduit en français. 

Metal Eden est un très bon FPS dans l’esprit de Doom et Ghost Runner. Les combats sont nerveux et peuvent être assez durs si vous n’utilisez vos super pouvoirs. L’univers Cyberpunk est très chouette et c’est un régal de parcourir les différents lieux du jeu. Metal Eden est très joli sur console et reste une bonne alternative si vous êtes amateur de jeu de tir. Cependant le jeu est assez court et il vous faudra environ 7 heures de jeu pour en venir à bout. J’espère qu’une version physique verra le jour pour permettre à ce titre d’être découvert par le plus grand nombre. 

Test réalisé par Pierre

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KIRBY ET LE MONDE OUBLIÉ + Le pays des étoiles filantes – Test Nintendo Switch 2

Cela fait déjà 3 ans et demi que Kirby et le Monde Oublié est sorti sur Nintendo Switch (notre test ici). Le revoici en version amélioré sur Switch 2 avec, en prime, un DLC intitulé Le Pays des étoiles filantes…

Alors, effectivement, le jeu est plus beau, plus fluide, on sent qu’on est bien sur Switch 2, mais c’est ce nouveau DLC qui nous fait surtout de l’oeil dans cette nouvelle version. Elle permet en effet d’étoffer un peu l’expérience. Le jeu de base était très cool, c’est un plaisir d’y revenir par ce biais.

Si vous commencez le jeu, vous débloquerez ce DLC après le premier boss (zone Naturaplena). Une cinématique se déclenche… une météorite vient s’écraser au large du monde oublié. C’est en fait une “étoile des ténèbres” qui menace notre petit monde…

A partir de là, on a pour but de récupérer des Astralées (étoiles lumineuses) sur 12 niveaux répartis dans les 6 mondes du jeu de base. Une fois en jeu, en activant des fleurs astrales réparties dans les niveaux, l’environnement change et donne accès à de nouveaux chemins.

On peut se dire qu’on aurai préféré un vrai monde à part et pas une modification des lieux déjà connus. Cependant, c’est très bien amené et ça change vraiment la vision des choses avec, en prime, de nouvelles transmorphations, point fort du jeu de base.

On vous laisse un peu de surprise dans ce DLC qui apporte environ 2 petites heures de plaisir supplémentaire. C’est déjà ça, et surtout, c’est bien fichu. On prend vraiment plaisir à retourner dans le monde oublié dans ces nouvelles conditions. Cela permet aussi à ce qui avait le jeu sur Switch 1 de le relancer dans les meilleurs conditions sur Switch 2. Pour ceux qui découvre le jeu sur Switch 2, foncez, c’est un très bel opus de la petite boule rose de Nintendo aussi bien sur le plan artistique que sur le plan technique.

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ROG STRIC G18 (2025) – Test PC gaming

En tant que référence incontournable, les gamers s’attendent à des performances sans compromis de la part de ROG Strix. La série 2025 répond à ces attentes avec brio, chaque modèle étant équipé des derniers GPU NVIDIA GeForce RTX 50 Series pour ordinateurs portables, offrant des expériences de jeu exceptionnelles même dans les titres les plus exigeants. Grâce à des technologies avancées comme DLSS 4 et Frame Generation, les joueurs peuvent profiter du ray tracing et d’autres fonctionnalités graphiques de pointe sans sacrifier les performances.

Et nous avons justement testé durant l’été le dernier Asus ROG Strix G18 (G815LP-S9058W), doté d’un processeur Intel Core Ultra 9 (2.70 GHz) et de 32 Go de RAM. Taillé pour le gaming, il dispose d’un écran 18 pouces 2.5K et d’une carte graphique NVIDIA GeForce RTX 5070.

A l’utilisation, ce G18 est un délice de fluidité et de puissance que ce soit en jeu mais aussi en utilisation multimédia ou bureautique. Son SSD de 1To (dispo aussi en 2To) offre une belle capacité de stockage mais aussi une bonne vitesse d’exécution.

Grâce à sa carte graphique NVIDIA GeForce RTX 5070 et son écran de 18 pouces (2560×1600) on profite toujours d’une excellente qualité d’image avec des contrastes au top. Les couleurs sont très riches avec la technologie ROG Nebula et un support du Dolby Vision HDR (validé par Pantone…).
Côté design, on apprécie, comme toujours, le travail effectué chez ROG abec un clavier rétroéclairé ainsi que le dessous de la machine. Effet « wow » garanti! Sinon, côté poids (3,20kg) ça reste un peu lourd pour le transporter partout mais c’est un détail.

Qui dit puissance dit chaleur mais là aussi le produit est très bien pensé avec une nouvelle conception de dissipateur thermique qui place les ailettes en haut et en bas de la nouvelle chambre de vapeur de bout en bout. Ainsi, l’efficacité de refroidissement est augmentée. Ainsi, ce système permet de pousser jusqu’à 240W de puissance avec moins de bruit qui plus est. L’ordi dispose aussi de filtres à poussières intégrés.

Le système ROG Intelligent Cooling permet un refroidissement silencieux 0 dB quand on utilise des programmes peu gourmands. Un moyen de travailler dans un silence absolu! Par contre, évidemment, si on lance une partie de Elden Ring, ça va commencer à souffler…

Notez que ce G18 reste évolutif avec une trappe inférieure entièrement démontable sans outil pour par exemple changer le SSD ou la RAM. Le design Q-latch permet également un montage de SSD sans outil.

Création, intuition, portabilité et écosystème sont les maîtres mots de Republic Of Gamers qui, avec ce nouveau G18, confirme son savoir-faire pour les gamers (mais pas que) avec un produit polyvalent qui coche toutes les cases : design, puissance, fluidité et confort. Une belle bête disponible aux alentours des 2000€ selon les caractéristiques.

Plus de détails et d’infos sur ce modèle sur le site de ROG Asus.

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STAR WARS OUTLAWS – Test Nintendo Switch 2

Le jeu Star Wars Outlaws est disponible sur toutes les plateformes un an déjà… Cependant la sortie de la Nintendo Switch 2 a tout chamboulé et Ubisoft nous propose une nouvelle édition de son jeu avec un excellent portage sur la console de Nintendo. Nous avons eu l’opportunité de tester cette version hybride et l’expérience est concluante. 

Un très bon portage

La Gamescom à Cologne a eu lieu il y’a quelques semaines et nous avons eu quelques retours sur les prochains jeux tiers sur Nintendo Switch 2. Final Fantasy 7 tourne très bien sur la console mais Elden Ring est assez décevant selon certaines sources. A ce moment, j’ai eu quelques doutes et inquiétudes concernant le portage de Star Wars Outlaws sur Switch 2. C’est avec grande surprise que nous avons reçu le jeu et j’ai été très satisfait de l’expérience proposée sur cette nouvelle console. 

Star Wars Outlaws version Nintendo Switch 2 tourne très bien en mode docker et en mode portable. Côté graphisme, le jeu tourne avec un 30 FPS constant et une résolution en FULL HD. Personnellement j’ai joué sur une TV 4K et le jeu ne bronche pas. Petit aspect négatif, certaines textures peuvent être assez floues et la Nintendo Switch 2 a du mal à gérer certains effets de particules lorsque l’environnement est trop riche. Le mode nomade est un vrai plus pour ce jeu car il permet d’en profiter dans de très bonnes conditions ou vous le souhaitez.

Star Wars Outlaws est un très bon AAA en open-world et si vous ne l’avez jamais encore fait, je vous le recommande. Dans ce jeu, vous incarnez Kay vess, une criminelle prête à tout pour obtenir ce qu’elle désire. Vous serez accompagné de Nyx, une créature très mignonne qui vous sera utile lors des phases d’infiltration et d’exploration. Comme tout bon criminel dans l’univers de Star Wars, vous allez devoir créer des relations avec certaines tribus mais aussi les trahir pour obtenir des avantages avec d’autres. Le jeu propose beaucoup de phases d’infiltration mais l’utilisation de votre blaster est votre meilleur atout. Star Wars Outlaws propose aussi de l’exploration de planètes avec des quêtes annexes scénarisées. 

Les phases de combats sont très chouettes même sur Nintendo Switch 2 et je n’ai souffert d’aucun ralentissement. L’exploration avec le speeder ce fait très bien grâce à l’ajout d’un flou de mouvement qui permet d’avoir le maximum de performance manette en main. Le jeu dispose des dialogues FR mais aussi l’overlay d’Ubisoft Connect pour obtenir des récompenses en jeu. Si je devais comparer la version PS5 et Nintendo Switch 2, je dirais que la version PS5 propose moins de floues et plus de vie dans les villes mais cette nouvelle version s’en rapproche de très près. 

Star Wars Outlaws est un excellent portage pour les joueurs Nintendo qui peuvent aujourd’hui découvrir un jeu très sympa. Ubisoft a fait quelques compromis côté graphisme pour permettre d’avoir une expérience stable. C’est un plaisir de pouvoir jouer à ce jeu en nomade et de retrouver nos 2 héros favoris Kay Vess et Nyx.  Si vous ne l’avez jamais fait et que vous êtes fans de l’univers Star Wars, ce jeu est fait pour vous ! 

Test réalisé par Pierre

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GÉNÉATIQUE 2026 : Toujours plus d’intelligence artificielle au service de vos racines

L’arbre généalogique a encore de beaux jours devant lui… Avec la sortie de Généatique 2026, le logiciel de référence dans le domaine, la généalogie continue son avancée technologique ! Conçu pour les passionnés comme pour les débutants, ce nouveau cru, disponible dès aujourd’hui sur PC (Windows 10 et 11), apporte des innovations qui pourraient bien révolutionner la manière de faire des recherches sur ses ancêtres.

L’une des avancées majeures de Généatique 2026 réside dans l’intégration poussée de l’intelligence artificielle. Le logiciel propose d’abord une possibilité de pré-transcription automatique : vous scannez un acte ancien, parfois difficile à déchiffrer, et l’IA vous suggère une transcription. Un gain de temps immense pour les généalogistes qui peinent à décrypter les écritures anciennes. Cette innovation ne remplace pas l’œil humain mais vient l’assister efficacement. C’est également un formidable outil pédagogique pour les débutants qui souhaitent apprendre à lire les documents d’archives sans être découragés. Et encore plus fort, le généalogiste amateur peut ensuite demander, via l’IA, une traduction en français si l’acte original était rédigé en allemand, latin, polonais ou que sais-je…

Une ouverture à l’international !

Une autre fonction qui nous a plu est la prise en charge étendue des caractères étrangers. Que vos recherches vous mènent en Europe de l’Est, en Asie ou en Afrique, Généatique 2026 vous permet désormais d’entrer et d’afficher correctement les noms dans des alphabets non latins. Le logiciel devient ainsi un véritable allié pour les familles aux origines multiples, et pour les utilisateurs souhaitant explorer toutes les branches de leur lignée.

Une ergonomie toujours au rendez-vous

Depuis 1987, Généatique se distingue par une interface à la fois riche et accessible. La version 2026 poursuit dans cette voie avec une navigation encore plus fluide, des arbres généalogiques entièrement personnalisables, et un mode sombre pour un meilleur confort visuel. L’utilisateur peut générer des arbres à thème, créer des fiches détaillées illustrées ou encore produire des livres de famille automatiquement mis en page.

Une interface conçue pour tous…

Que vous soyez jeune parent, retraité curieux ou étudiant en histoire, Généatique 2026 s’adresse à vous. Ce logiciel vous accompagne de la saisie de vos ancêtres à la création de livres de généalogie ou d’arbres grand format, tout en vous permettant de conserver vos données localement sur votre ordinateur. Il vous assiste dans la recherche et le classement des informations, et vous offre la possibilité d’importer des fichiers GEDCOM ou de profiter de ses outils avancés pour l’analyse des doublons. La carte interactive des migrations familiales vous aide à visualiser les parcours de vos ancêtres à travers les époques.

Prêt(e) à passer à l’action avec une version gratuite ?

Pour ceux qui souhaitent découvrir la généalogie (sans AUCUN engagement), une version gratuite de Généatique est disponible sur le site officiel geneatique.com. Cette édition permet de créer un arbre de taille raisonnable, de se familiariser avec les fonctionnalités clés du logiciel, et de lancer ses recherches. Cette version intègre 100 % des fonctions et aucune limite de temps. Libre à vous de créer une infinité d’arbres généalogiques avec cette version gratuite. Une démarche sympathique de l’éditeur français CDIP.

Enfin, pourquoi Généatique reste la référence ?

Dans un monde où les données personnelles circulent souvent sans contrôle, Généatique 2026 garantit une protection totale de vos informations, avec une conservation locale (sur votre disque dur !). Le logiciel est également plébiscité pour son intégration avec les archives départementales et les bases de données historiques, permettant une recherche approfondie depuis une seule interface. Bref, si vous souhaitez explorer vos origines, nous vous le recommandons chaudement !

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PIZZA BANDIT – Test PC

Imaginez un TPS coopératif jouable jusqu’à 4 où vous allez enchaîner les phases de tueries d’aliens avec des recettes à effectuer à la sauce Overcooked, c’est l’idée à la fois géniale et folle des coréens de JOFSOFT avec le titre Pizza Bandit disponible en accès anticipé. Mais est-ce que ça vaut vraiment le coup de s’y attarder ?

L’ HISTOIRE VITE FAIT !

Malik est un mercenaire aguerri, il fait ce travail depuis maintenant de nombreuses années et il a fait le tour du monde mais il est enfin temps pour lui de raccrocher les armes. Il a un rêve, avoir sa propre pizzeria depuis enfant, l’époque où il cuisinait avec sa mère. Il décide donc d’acheter une pizzeria qu’il va appeler PIZZA BANDIT mais il n’a pas lu les petites lignes du bail et il va devoir tout retaper, vous ajouter à ça une invasion d’aliens, Malik va donc reprendre du service avec ses flingues et apprendre à faire de belles pizzas. C’est le pitch du titre et on vous a prévenu c’est complètement barré, un vrai OVNI !

CLASSIQUE ET EFFICACE

L’histoire n’est qu’un cadre, le jeu se présente de la sorte, vous allez enchaîner les missions dans des zones, aller d’un point A à un point B, si vous êtes un habitué du genre, le gameplay reste instinctif, trois armes, une mitraillette, un pistolet et une arme blanche, ici une roulette de pizza géante (quitte à rester dans le burlesque.).

Dans chaque mission, vous allez être avec 3 potes ou 3 personnes sélectionnés en matchmaking avec vous ! Et c’est parti, vous allez donc tirer sur tout ce qui bouge et entre deux vagues d’ennemis, vous cuisinerez ! Oui vous avez bien lu, vous allez faire à manger, par exemple au tout début, il faudra faire des sushis, tuer des aliens, refaire des sushis jusqu’à récupérer une somme d’argent bien spécifique. Répétitif certes mais c’est un excellent défouloir !

UN PEU DE GESTION…

Les missions ne durent pas très longtemps, elle se font assez rapidement mais tout est bien mesuré. Puis, entre deux missions, vous allez retourner dans votre belle pizzeria et avec les ingrédients que vous aurez récupéré vous pourrez créer des recettes comme une pizza mozza, sushis, saumon.

Bon vu comme ça, c’est pas très appétissant mais cela va permettre a Malik d’améliorer des capacités lors de ses missions, vous pourrez aussi modifier l’apparence, très vite fait du mercenaire histoire de varier les plaisirs, c’est très simpliste mais pour ce genre de jeu, ce n’est pas ce qu’on demande le plus mais ça fait le taf.

LES +

Fun à souhait et ça fait du bien
Un jeu cool à faire entre potes
Un mélange des genres (Overcooked et Helldivers 2)
La création des pizzas WTF

LES –

Répétitif mais classique pour ce genre de jeux
Visuellement limité

Pizza Bandit est un excellent défouloir à faire entre potes après une journée de boulot, il n’invente rien dans les mécaniques de jeu mais les développeurs ont créé un univers barré, nanardesque et un excellent mélange des genres que l’on à pas vu venir et ça fait du bien entre deux remakes !

Test réalisé par Aurélien

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KILLING FLOOR III – Test PS5

Depuis 2009, Killing Floor ne fait pas dans la dentelle et avec de troisième opus toujours signé Tripwire Interactive, on ne change pas une équipe qui gagne. Bienvenue dans le shoot premier degré de zombies en tous genre (les Zeds)… Attention âmes sensibles, ça va saigner…

Killing Floor III renoue donc avec ce qui fait le succès de la série, comme le dernier opus, à savoir, proposer de l’action en vagues d’ennemis successives avec la possibilité (et c’est tout l’intérêt du jeu) d’y prendre part avec des amis, en coop online.

Le scénario est très anecdotique ici et on prend la manette en pleine conscience de participer à un défouloir décérébré. Dans différents lieux, avec différents types de héros (6 classes), on va donc dézinguer tout un tas d’ennemis plutôt variés, mais souvent en groupes avec toujours un boss pour clore le débat.

Si on joue en équipe, on n’est pas non plus dans une dimension tactique poussée même si c’est toujours bien d’accorder ses violons. On peut jouer de 1 à 6 mais on peut aussi être entre les deux et ce qui est bien c’est que les hordes s’adapteront selon le nombre de joueurs.

Il faut donc foncer dans le tas mais aussi profiter des capacités liés à notre classe pour opérer au mieux et compléter de manière optimal le groupe. Aussi, on profite de pièges par exemple à placer au préalable (acides, hélices, explosifs…) ou bien de tourelles. Il faut toujours préparer le terrain avant la vague. Entre chaque vague il faut penser à ravitailler la team pour affronter la prochaine. En passant les vagues on peut aussi faire progresser notre personnage au niveau de ses armes, de sa protection mais aussi de son équipement annexes (outils de piratage, etc..).

Même si on a vu mieux niveau DA et réalisation technique, ce Killing Floor III reste un défouloir spectaculaire visuellement. Les membres volent, le sang gicle, ça pète de partout! La physique au niveau des corps et des membres est plus réaliste que jamais et c’est plutôt jouissif…

Les niveaux sont plutôt variés dans leur level design avec tantôt des espaces confinés, tantôt des espaces plus ouverts avec de la verticalité ou pas, etc… Ainsi, l’expérience est moins redondante et les possibilités d’actions plus variées. Malgré tout, ne nous le cachons pas, le principe du jeu, lui, pourra être assez redondant à la longue. Mais on est ici à la recherche de défis primaires entre amis et on prendra toujours plaisir à relancer une partie.

Avec des armes variées er évolutives, les sensations de gunfights sont bien là et quand on commence à prendre de l’XP on apprécie les possibilités d’évolution de nos personnages. Le jeu est de plus en plus grisant. Le jeu gère bien le grand nombre d’éléments à l’écran pour une expérience plutôt fluide avec des effets visuels plus agréables que l’ancien opus (qui date de 2017 pour rappel).

On attend pas forcément de grandes innovations quand on lance Killing Floor III. On a une suite qui continue sur la lancée des autres opus avec une technique qui a profité des années pour proposer quelque-chose d’encore plus aboutis. Cependant, on pourra rester sur notre fin avec un jeu qui manque cruellement de contenu et d’un peu d’âme. Il reste un défouloir ultime qui permettra de bien se marrer en soirée avec des potes en coop. Le jeu va droit au but et il est efficace dans ce qu’il veut proposer : de l’action, de l’action et de l’action!

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DRAG x DRIVE – Test Nintendo Switch 2

Les exclu Switch 2 sont rares donc bonnes à prendre. Avec Drag x Drive, Nintendo nous propose une nouvelle licence, exclusive à la Nintendo Switch 2 donc avec un concept novateur, celui du basket-ball en fauteuil roulant…

Drag x Drive est donc un jeu multijoueur sportif, compétitif et basé sur le principe du handibasket mais avec une dimension futuriste et moins réaliste que la discipline IRL.

En plus de proposer une thématique novatrice et qui met en lumière le handicap, le jeu est aussi une vitrine technologique complètement axée sur la Switch 2. En effet, on contrôle notre joueur en plaçant nos deux Joy-Con 2 sur une surface table (ça marche aussi sur les cuisses!). Il faut alors mimer de vrais mouvements amples, comme si on poussait sur les roues d’un fauteuil roulant. De même pour le shoot, c’est de manière assez naturelle et réaliste qu’on peut lancer le ballon.

Pas évident au début, mais le jeu nous propose un tutoriel complet et dynamique qui nous permet de nous familiariser assez vite avec ce mode de contrôle pour le moins inédit.

Plus proche d’un Speedball ou d’un Rocket League qu’un NBA2K, ce Drag x Drive propose des règles de jeu spécifique. On évolue en effet dans des matchs en 3 contre 3 sur des terrains assez courts et qui permettent de faire des pirouettes sur les murs pour aller dunker! Mais on peut aussi passer, tirer à 2 points ou à 3 points et en défense, intercepter ou même pousser l’adversaire. Le percuter de face permettra de lui faire lâcher la balle. Notez que les acrobaties effectuées permettent de gagner des points (à virgule…) pour faire pencher la balance en fin de match.

Simples matchs ou mini-jeux (course, concours de shoot…), le jeu ne propose pas un contenu énorme mais on peut dire que le plaisir de jeu est immédiat. Les matchs sont nerveux et pleins de surprises. On peut jouer aussi avec la spécialités des joueurs avec des aptitudes plutôt axées sur la vitesse, la puissance, etc..

Dommage qu’on ne puisse pas davantage s’amuser en solo ou même en multi local… L’essence du titre réside donc sur le online, espérons donc qu’il est suffisamment de succès pour perdurer sur ce principe.

Drag x Drive manque tout de même d’un peu de folie que ce soit dans l’ambiance visuelle et sonore. On aurai aimé des possibilités de personnalisation plus riches notamment. L’idée est en tous cas louable avec une approche du handisport plutôt originale et assez addictive. Cependant, le jeu manque de contenu pour le moment et de possibilités de gameplay (on veut un multi local!!!). Rappelons tout de même que le jeu est à moins de 20 euros sur le Nintendo eShop, vous auriez tort de ne pas lui laisser une chance…

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LOST SOUL ASIDE – Test PS5

Nous avons enfin mis la main sur la dernière exclusivité de chez Playstation et c’est un gros coup de coeur ! Lost Soul Aside est un jeu parrainé par Playstation lors de l’événement China Hero Project. Cette exclusivité vous propose une aventure fantastique dans un jeu d’action aux inspirations asiatiques. Si vous aimez les jeux Final Fantasy, Devil May Cry et Bayonneta, ce titre est certainement fait pour vous. 

Un gros coup de coeur !

Lost Soul Aside était au début un jeu indépendant, développé par une seule personne d’origine chinoise. Lors d’une présentation d’une démo technique, le jeu s’est fait remarquer lors d’un salon chinois : le China Hero Project. La marque Playstation a parrainé Lost Soul Aside pour aider le développeur à financer une équipe et transformer ce jeu indé en blockbuster AA. La firme nippone obtient une exclusivité pour le secteur des consoles et renforce sa position sur les jeux vidéo en provenance de Chine. 

Lost Soul Aside est un jeu d’action nerveux qui s’inspire de plusieurs titres, citons par exemple Final Fantasy XV, Bayonneta et même Devil May Cry. Vous incarnerez Kaiser, un jeune homme qui va devoir sauver l’âme de sa sœur qui a été capturée par des monstres mystiques. Kaiser va faire la rencontre d’un dieu nommé Arena et qui lui confiera ses pouvoirs de dragon. Dès le début du jeu, vous allez devoir vous battre contre la monarchie qui terrifie le peuple. L’inspiration de la zone du début est flagrante et j’ai eu l’impression de voir Midgar de FF 7. Kaiser ne sera pas seul mais obtiendra l’aide de plusieurs personnages pour avancer dans sa quête. 

Concernant le gameplay, Lost Soul Aside propose des combats difficiles dans lesquels il vous faudra parer les coups de vos adversaires pour briser leur garde et utiliser vos pouvoirs. Vous allez pouvoir utiliser différents styles d’armes pour s’adapter à votre façon de jouer, personnellement j’ai opté pour une épée longue car elle fait beaucoup de dégâts et reste assez efficace contre les hordes d’ennemis. Le jeu propose un système de personnalisation assez moyen mais j’ai beaucoup aimé la customisation de l’arme grâce à des breloques que l’on peut ajouter. 

Côté progression, ce titre vous pousse à explorer pour débloquer des runes afin d’améliorer votre arbre de compétence. Lost Soul Aside ne propose pas de monde ouvert et c’est mieux ainsi. Vous allez pouvoir parcourir des zones cloisonnées, ce qui rend la narration et l’exploration plus simplifiées. Le jeu dispose d’une localisation pour la France et propose des dialogues en anglais, chinois ou japonais. 

Lost Soul Aside est un gros coup de cœur pour moi et je vous le recommande. Le jeu est un bon AA d’action qui vous demande une certaine exigence si vous souhaitez vaincre tous les boss du jeu. L’émergence des jeux chinois est en progression grâce à des titres tels que Black Myth Wukong ou le dernier Wuchang. Si vous aimez les jeux aux inspirations asiatiques et que les boss rush ne vous effraient pas, Lost Soul Aside sera votre meilleure expérience de 2025 !

Test réalisé par Pierre

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HELL IS US – Test PS5

Si la guerre est ce qui se rapproche le plus de l’enfer sur terre c’est qu’elle abrite le pire des démons : l’Homme. Dans un pays isolé, ravagé par un conflit fratricide, découvrez les secrets de votre passé et affrontez une énigmatique calamité.

Voici le pitch de Hell is Us, dernier-né des studios Rogue Factor et l’éditeur Nacon. Ce jeu d’action/aventure à la 3ème personne nous met dans la peau de Rémi (un Vigil), accompagné de son drone KAPI, dans l’exploration d’un monde dévasté et peuplé d’étranges créatures…

Pas de carte ni d’indicateur de quête… le jeu nous propose de suivre notre instinct (et une boussole quand même…) et cela donne une expérience riche en découverte. L’exploration est au cœur du jeu et on pourrait presque parler de jeu d’enquête tant il faut trouver des indices, lire des documents, trouver des clefs ou autres objets à combiner, rencontrer des PNJ, etc…

C’est une expérience unique qui vous attend, vous donnant les clés pour faire vos propres choix et explorer suivant vos ressentis, grâce à une écriture et un level design bien sentis. On fait certes certains allers et retours mais c’est toujours judicieux.

Hell is Us n’en reste pas moins un jeu où l’action est présente avec de fréquentes confrontations aux monstres blancs étranges appelés les Hollow Walkers et leur lumière mystique (Hazes). Et pour s’en sortir on a droit à un arsenal complet et évolutifs avec des épées, lances et haches souvent impressionnantes par leur taille et leurs effets (armes lymbiques). Notre drone nous aidera aussi beaucoup dans ces combats et il faudra toujours bien veiller à utiliser la bonne arme sur le bon ennemi selon des effets liés aux émotions… terreur, extase, rage, chagrin… Une belle idée de gameplay mais qui s’inscrit aussi judicieusement dans l’esprit de l’intrigue…

Comme le dit Jonathan Jacques-Belletête, le directeur créatif de Rogue Factor, le thème central de Hell is Us est le fait que la violence humaine est un cycle perpétuel largement alimenté par les émotions et les passions humaines.

Ainsi, vous l’aurez compris, comme l’homme peut être un loup pour l’homme, l’intrigue de Hell is Us ne repose pas que sur l’affrontement d’un ennemi surnaturel… il y a un message bien plus profond que je vous laisse découvrir si vous décidez de vous lancer dans l’aventure…

Grahiquement, Rogue Factor a fait un sacré bon boulot avec des environnements détaillés et variés avec des effets de brumes ou de lumières plutôt efficaces. La musique est elle aussi de qualité, omniprésente et ajoute à l’ambiance mystérieuse du jeu. Le bestiaire est assez étonnant au niveau du design avec des créatures parfois dotées de formes étonnantes… La direction artistique est pas mal du tout.

La difficulté augmente doucement dans le jeu avec des accès plus difficiles à franchir (il faut souvent la bonne clé, actionner le bon mécanisme, trouver pour cela le bon objet… et du coup parcourir des zones déjà traversées) mais aussi des ennemis plus nombreux et plus vicieux aussi. Les confrontations deviennent alors un peu plus techniques et dépendront de la bonne évolution de votre personnage et son équipement.

Hell is Us est une belle surprise. On y incarne un personnage qui, comme nous, découvre et subit un peu le monde qui l’entoure. Oscillant entre action et exploration, Hell is Us est finalement, surtout un jeu d’aventure ou l’enquête est perpétuelle et ça donne beaucoup de corps eu titre n’en déplaise à ceux qui espérait un jeu bourrin. Ce n’est pas le cas. L’intrigue se déroule, découverte après découverte pour nous tenir en haleine de nombreuses heures. Un coup de cœur à découvrir dès ce 4 septembre sur PC, PS5 et Xbox Series.

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SPACE ADVENTURE COBRA: The Awakening – Test PS5

Une chose est sûre, Microids voue clairement un amour assumé pour les vieilles gloires animées des années 70 et 80, du moyen Goldorak au bugué Tintin en passant par le sympa Les Schtroumpfs. Et pour prolonger l’été, c’est Cobra qui débarque, confié au studio français Magic Pockets. Sur le papier, on nous vend un Metroidvania. Reste à savoir si la mission est accomplie…

L’HISTOIRE DU JEU

Space Adventure Cobra: The Awakening, comme son nom l’indique prend place aux débuts du célèbre pirate. Même si comme moi vous n’aviez pas connu le dessin animé diffusé chez Dorothée ou que vous étiez trop jeune à l’époque, pas de panique : le jeu prend soin de bien remettre en place toute l’intrigue de l’anime. Mêlant extraits originaux et scènes de dialogue, le jeu nous propulse direct dans l’univers. Par contre désolé de vous décevoir mais la VF a entièrement été refaite, et… ce n’est pas choquant, les comédiens ont fait un travail de qualité.

LE GAMEPLAY

Mettons les points sur les virgules tout de suite : non, Cobra n’est pas un Metroidvania, mais un bon vieux side-scroller 2D à l’ancienne. Le concept est simple : des ennemis qui pullulent sur votre chemin vous allez devoir tous les détruire. Grâce à vos attaques à distance, tir simple, chargé, spécial vous avez aussi la possibilité d’attaquer au corps à corps. Plus simple, basique mais en réalité ça fait le travail et c’est assez instinctif dés le début du jeu.

Le jeu tente aussi de glisser une dose de plate-forme… mais là, ça coince. Les sauts de Cobra manquent cruellement de précision et le résultat est décevant, vous allez passer votre temps à rater, râler et abandonner. Heureusement, les séquences d’action et de tir sont plutôt réussies mais répétitives.

Graphiquement, un jeu à la bourre…

Avant de râler davantage, remettons aussi les choses dans leur contexte, le jeu est développé par une petite équipe, sans les moyens colossaux des gros studios… Mais soyons honnêtes : visuellement et techniquement, on se prend une bonne claque… de retard. On parle d’un gap d’au moins une bonne dizaine d’années.

Au bout d’une heure de jeu, on s’ennuie, et mise à part quelques décors sympathiques, il n’y a pas la claque, le style de l’animé et du manga et les animations sont beaucoup trop rigides, ce n’est pas à l’image de l’œuvre culte de Buichi Terasawa, la seule valeur ajoutée sera de (re)découvrir les extraits de l’animé.

LES +

Un re-doublage très réussi
Les scènes d’action efficaces
Le respect de l’animé
Les extraits choisis

LES –

Les graphismes
Animations figées et vieillottes
Phases de plate-forme
Que le jeu est répétitif…
Boss long à battre sans aucun challenge


Bon, inutile de faire les surpris, on s’attendait à ce que Cobra ne soit pas une dinguerie, cela aurait pu être un bon jeu, c’est un titre médiocre. Destiné aux personnes ayant connu l’animé et le manga, il n’y a pas vraiment de challenge et vous allez vite tourner en rond. Les décors restent jolis à regarder mais le titre à trop de retard. Ce n’est pas le pire jeu du monde mais il reste en dessous de la moyenne. Dommage.

Test réalisé par Aurélien

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