↩ Accueil

Vue lecture

Madagascar : le président dissout l'Assemblée avant un vote pour abandon de poste le visant

Andry Rajoelina a dissous mardi par décret l'Assemblée nationale avant un vote le visant pour abandon de poste. Le président de Madagascar est contesté dans la rue depuis plusieurs semaines. Appelés à la grève par plusieurs syndicats, les fonctionnaires ont rejoint les manifestations, initialement organisées par des jeunes du collectif Gen Z.

  •  

Ruée vers l'or dans l'ouest du Kenya

Au Kenya, des centaines de mineurs risquent chaque jour leur vie dans des tunnels à près de 30 mètres de profondeur. Le pays connaît une véritable ruée vers l'or, de nombreuses mines artisanales voient le jour, notamment dans la région ouest de Kakamega. Les conséquences environnementales, et les conditions de travail sont très préoccupantes. Reportage de nos confrères de France Télévisions, Lucile Chaussoy, Fabien Fougère et Joseph Bohbot.

  •  

Rajoelina en "lieu sûr" : le point sur la situation à Madagascar

Le président malgache, Andry Rajoelina, a écarté lundi soir toute démission dans sa première prise de parole depuis un lieu inconnu, après le ralliement des militaires à la contestation. Lors d'un direct diffusé sur les réseaux sociaux, il s'est dit dans un "lieu sûr" après une "tentative de meurtre", sans plus de précision. Selon la radio française RFI, il est parti à l'étranger. Mais l'incertitude demeure sur l'endroit où il se trouve, nourrissant la confusion sur cette île.

  •  

Le président de Madagascar écarte toute démission

Il n'avait pas été entendu depuis samedi, lorsque le contingent militaire a décidé de ne plus obéir aux ordres. Le président malgache, Andry Rajoelina, a écarté lundi soir toute démission en appelant à "respecter la Constitution", dans sa première prise de parole depuis un lieu inconnu. "Un discours sans surprise", estime la correspondante de France 24 à Madagascar, Gaëlle Borgia. "Il n'a fait aucune allusion à sa présumée exfiltration par la France."

  •  

Madagascar : le président Rajoelina, contesté, écarte toute démission

Le président malgache, Andry Rajoelina, a écarté lundi soir toute démission en appelant à "respecter la Constitution", dans sa première prise de parole depuis un lieu inconnu, après le ralliement ce weekend des militaires à la contestation qui agite le pays. Lors de ce direct diffusé sur les réseaux sociaux mais pas à la télévision publique malgache, M. Rajoelina s'est dit dans un "lieu sûr" après une "tentative de meurtre", sans plus de précisions sur sa localisation.

  •  

Madagascar : le président Andry Rajoelina a quitté le pays (RFI)

Selon les informations de Radio France Internationale (RFI), le président malgache a quitté l'île dans la soirée de dimanche. Après une escale sur l'île de La Réunion, il serait arrivé à Dubaï lundi dans la matinée. Dans la soirée, il a déclaré se trouver "en lieu sûr", après avoir été victime d'une tentative d'assassinat.

  •  

Présidentielle ivoirienne : l'opposition appelle à manifester "tous les jours"

Le Front Commun, constitué des deux principaux partis d'opposition en Côte d'Ivoire, a appelé dimanche à manifester "tous les jours" pour réclamer notamment un dialogue politique. Cette demande intervient alors que la tension politique grandit, à moins de deux semaines de la présidentielle de laquelle leurs candidats sont exclus.

  •  

Soulèvement populaire à Madagascar : la confusion règne

Une unité militaire malgache ayant pris le parti des manifestants antigouvernementaux a nommé dimanche le nouveau chef d'état-major de l'armée, le général Démosthène Pikulas. Le président Andry Rajoelina a dénoncé une "tentative de prise de pouvoir illégale". La contestation, lancée initialement par le mouvement Gen Z pour protester contre les coupures d'eau et d'électricité, s'est muée en une remise en cause des responsables politiques au pouvoir, à commencer par Andry Rajoelina.

  •  

Madagascar : l'unité militaire CAPSAT impose un nouveau chef d'état-major

A Madagascar, s’il est sorti du silence par un communiqué, toujours aucune apparition du président Andry Rajoelina. L’unité militaire CAPSAT a imposé ce dimanche un nouveau chef d'état-major. Qui dirige le pays et quelle suite à la crise ? Tin Rakotomalala Président, cofondateur du Think tank Diapason, était notre invité.

  •  

Comment expliquer la crise à Madagascar ?

Le ministre malgache des Armées a reconnu dimanche comme chef d'état-major un officier choisi par une unité militaire qui s'est rangée du côté des manifestants. Le président Andry Rajoelina a déclaré plus tôt qu'une "tentative de prise du pouvoir illégale et par la force" était en cours. Notre chroniquer international David Delos nous explique.

  •  

Au Madagascar, un contingent de l'armée affirme avoir pris le contrôle des forces armées du pays

Le président malgache Andry Rajoelina a déclaré dimanche qu'une "tentative de prise du pouvoir illégale et par la force" était en cours. Un contingent de l'armée malgache a affirmé de son côté avoir pris le contrôle des forces armées du pays, après avoir rejoint la veille les manifestants antigouvernementaux et appelé les forces de sécurité à "refuser les ordres". Récit d'Axelle Simon.

  •  

Présidentielle au Cameroun : début des opérations de vote

Huit millions de Camerounais ont commencé à voter dimanche à l'occasion de l'élection présidentielle. Le sortant Paul Biya, grand favori du scrutin face à une opposition très divisée, brigue un huitième mandat. Les dernières informations avec notre correspondant au Cameroun, Marcel Amoko.

  •  

À Madagascar, le président Rajoelina dénonce une "tentative de prise illégale du pouvoir" en cours

Le président malgache Andry Rajoelina a déclaré dimanche qu'une "tentative de prise du pouvoir illégale et par la force" était en cours. Un contingent de l'armée malgache a affirmé de son côté avoir pris le contrôle des forces armées du pays, après avoir rejoint la veille les manifestants antigouvernementaux et appelé les forces de sécurité à "refuser les ordres". Les dernières informations avec notre correspondante à Antanarivo, Gaelle Borgia.

  •  

La présidence malgache dénonce une "tentative de prise du pouvoir illégale et par la force"

La présidence de Madagascar a émis un communiqué dimanche, affirmant qu'une "tentative de prise du pouvoir illégale et par la force" était en cours dans le pays, au lendemain du ralliement de plusieurs soldats à un mouvement de protestation entamé le 25 septembre. En revanche, aucune vidéo du président Andry Rajoelina n'a été diffusé et aucune information datée de dimanche n'a été donné sur le lieu où il se trouve actuellement.

  •  

Madagascar : les soldats du CAPSAT rejoignent les manifestants, situation confuse

Des soldats de la CAPSAT à Madagascar ont appelé les forces de l'ordre de prendre leurs responsabilités et à de refuser de tirer sur les manifestants. Le contingent, qui avait aidé le président à prendre le pouvoir lors du coup d'état de 2009, a rejoint les manifestants dans la capitale. Cela fait 3 semaines que le pays est paralysé par des manifestations menées par la Gen Z.

  •  

Madagascar : Des soldats rejoignent les manifestants

Le contingent militaire du Capsat a également appelé les policiers et les gendarmes à les rejoindre, et a demandé aux militaires postés devant les palais présidentiels de quitter leurs positions et de bloquer l’aéroport. Notre correspondante Gaelle Borgia est au Madagascar.

  •  

Madagascar: Un contigent appelle à la désobéissance

Le contingent militaire du Capsat a également appelé les policiers et les gendarmes à les rejoindre, et a demandé aux militaires postés devant les palais présidentiels de quitter leurs positions et de bloquer l’aéroport. Notre correspondante Gaelle Borgia est au Madagascar.

  •  

Madagascar : une unité de l'armée appelle à la désobéissance et refuse de tirer sur les manifestants

Dans une vidéo diffusée samedi, un contingent de l'armée malgache demande aux forces de sécurité de "refuser les ordres de tirer" sur la population. tandis que des militaires ont rejoint des manifestants. Le nombre de soldats ayant répondu à cet appel n'est pas connu dans l'immédiat, mais des véhicules chargés de soldats armés ont rejoint dans l'après-midi des milliers de manifestants rassemblés dans le sud de la capitale.

  •