Le général Horta N'Tam, chef d'état-major de l'armée de Terre, a été investi nouvel homme fort de Guinée-Bissau et président d'une transition censée durer un an, ont annoncé jeudi à Bissau les militaires qui ont renversé la veille le président sortant et suspendu les élections en cours. Le président Embalo est arrivé au Sénégal, après avoir pris un vol spécial. Nous recevons dans ce journal Aristides Gomes, ancien Premier ministre et membre du PAIGC.
Deux jours après le coup d'État en Guinée-Bissau, les militaires ont nommé un Premier ministre, après l'investiture la veille d'un général au poste de président pour une transition censée durer un an. Dans le même temps, l'Union africaine (UA) a suspendu le pays de ses instances.
Une cour d'appel en Tunisie a prononcé des peines allant jusqu'à 45 ans de prison dans le procès pour complot contre l'État d'une quarantaine de personnes, dont des figures de l'opposition, ont annoncé vendredi plusieurs médias, citant une source officielle.
L'opposant Fernando Dias accuse le président sortant, Umaro Sissoco Embalo, d'avoir lui-même organisé le coup d'Etat pour s'éviter une défaite à l'élection présidentielle, dont le premier tour avait lieu dimanche dernier. On va plus loin avec Niagalé Bagayoko et Gauthier Rybinski.
Mercredi, des militaires avaient annoncé avoir renversé le président Embalo et suspendu les élections présidentielle et législatives du 23 novembre. On assiste à "un épisode supplémentaire du rituel sadique des élections en Afrique", déplore Marie-Roger Biloa, animatrice de télévision et journaliste camerounaise. "La vérité ne sort pas des urnes, et cette histoire en Guinée-Bissau est louche."
Le général Horta N'Tam, chef d'état-major de l'armée de Terre, a été investi nouvel homme fort de Guinée-Bissau et président d'une transition censée durer un an, ont annoncé jeudi à Bissau les militaires qui ont renversé la veille le président sortant et suspendu les élections en cours. Le président Embalo est arrivé au Sénégal, après avoir pris un vol spécial. La capitale était jeudi après-midi à l'arrêt avec les magasins, boutiques, marchés pour la plupart fermés.
Le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, renversé mercredi lors d'un coup d'État par des militaires, est arrivé "sain et sauf" au Sénégal jeudi à bord d'un avion affrété par ce pays, a annoncé le ministère des Affaires étrangères sénégalais dans un communiqué.
Le porte-parole du principal parti d'opposition ivoirien, le PDCI (Parti démocratique de Côte d'Ivoire), a été écroué jeudi pour 18 chefs d'inculpation dont "actes terroristes" et "complot contre l'autorité de l'État", a appris l'AFP auprès de ses avocats.
Un coup de force trois jours après des élections sous tension, un chef de l'État annonçant en direct sa chute aux médias, un plan fomenté par des trafiquants de drogue... Retour sur la folle journée de mercredi, qui a vu la Guinée-Bissau replonger dans l'instabilité.
L'avocate tunisienne et chroniqueuse Sonia Dahmani "est sortie" jeudi de prison après avoir bénéficié d'une libération conditionnelle, selon l'un de ses avocats. Condamnée à au moins trois reprises ces derniers mois, l'avocate va être remise en liberté "sur décision du ministère de la Justice", ont indiqué plusieurs médias.
Au lendemain du coup d'État militaire qui a renversé le président sortant Umaro Sissoco Embalo, le général Horta N'Tam a prêté serment, jeudi, lors d'une cérémonie au siège de l'état-major de Guinée-Bissau. Il a été investi président de la transition et du Haut commandement militaire pour diriger le pays pendant un an.
Quatre jours après le premier tour de l'élection présidentielle, des hauts gradés prennent le pouvoir en Guinée-Bissau. L'incertitude règne sur le sort du président Embalo, retenu par les militaires. On va plus loin avec Zyad Limam et Gauthier Rybinski.
En Guinée-Bissau, le président Embalo a confirmé mercredi avoir été victime d’un coup d’État, alors que des militaires ont annoncé avoir pris le contrôle du pays pour "restaurer de l'ordre". Un événement qui intervient avant la publication des résultats des élections et comporte de nombreuses zones d’ombres, alerte le spécialiste de la Guinée-Bissau Vincent Foucher.
Des militaires en Guinée-Bissau ont annoncé mercredi avoir pris le "contrôle total du pays", arrêté le président sortant et suspendu le processus électoral, alors que le pays attendait les résultats de la présidentielle et des législatives. Le président Umaro Sissoco Embalo affirme à France 24 : "J’ai bien été renversé, je ne peux pas trop parler car sinon ils vont me confisquer mon téléphone. Je suis actuellement à l’état-major".
En Guinée-Bissau des militaires ont annoncé prendre le "contrôle total du pays", "suspendre le processus électoral" et fermer les frontières. Le pays était dans l'attente des résultats des élections présidentielle et législatives organisées dimanche. Les explications avec Stéphane Ballong, rédacteur en chef du journal de l'Afrique.
En Guinée-Bissau, des militaires ont annoncé mercredi avoir pris le "contrôle total du pays". Le président sortant, Umaro Sissoco Embalo, a été arrêté. Le pays attendait les résultats de la présidentielle et des législatives, le processus électoral a été suspendu.
Alors que la Guinée-Bissau attendait les résultats des élections présidentielle et législatives de dimanche, des militaires ont annoncé, mercredi, avoir pris le "contrôle total du pays", "suspendre le processus électoral" et fermer les frontières. Lors d'un bref échange avec France 24, le président Umaro Sissoco Embalo a confirmé avoir été "renversé" et se trouver "actuellement à l’état-major". Voici le récap' du 26 novembre 2025.
En Guinée-Bissau, trois jours après les élections présidentielle et législatives, des militaires ont annoncé avoir pris le "contrôle total du pays" et "suspendu le processus électoral". Selon Jeune Afrique, le président Umaru Sissoco Embalo affirme avoir été arrêté au palais présidentiel.
L'émissaire américain pour l'Afrique, Massad Boulos, a affirmé qu'aucune des deux parties en guerre au Soudan n'avait accepté la proposition de cessez-le-feu soumise par Washington au nom des médiateurs, exhortant les deux camps à donner leur accord à cette trêve. Il les a appelées "à accepter la trêve humanitaire telle que présentée sans conditions préalables". Le chef de l'armée, Abdel Fattah al-Burhane, a jugé cette proposition "inacceptable".
Dirigeants africains et européens sont réunis lundi en Angola pour approfondir leurs relations commerciales, discuter migrations et minerais stratégiques, à l'heure où le continent africain s'affirme comme un nouvel espace de compétition entre Américains, Chinois et Russes.
Accusés d'avoir facilité l'immigration clandestine, cinq humanitaires arrêtés en mai 2024 ont été condamnés lundi à deux ans de prison, mais vont être libérés dès ce soir", car ils ont déjà purgé l'essentiel de leur peine, a annoncé lundi leur avocate.
Un sommet a rassemblé lundi les dirigeants africains et européens en Angola, pour discuter relations commerciales, migrations et minerais. En marge du sommet, se sont poursuivies les discussions européennes sur le plan américain visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
Les paramilitaires soudanais des Forces de soutien rapide (FSR) ont annoncé lundi une trêve humanitaire unilatérale de trois mois. Cette annonce intervient au lendemain du rejet par l'armée rivale d'une proposition internationale de cessez-le-feu.