Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué une tentative de coup d'État contre le président Patrice Talon, qui a pris la parole en fin de journée pour annoncer que la situation était "totalement sous contrôle". Une intervention de l'armée béninoise, avec l'aide du Nigeria voisin, a permis de mettre en échec un groupe de militaires mutins, qui avaient annoncé à la télévision nationale avoir pris le pouvoir et destitué le président.
Des militaires ont annoncé dimanche matin à la télévision nationale béninoise avoir destitué le président Patrice Talon, dont le dernier mandat doit prendre fin en avril prochain, avant que les autorités n'affirment avoir déjoué le coup d'État et contrôler la situation. Suivez notre direct.
Cent des 303 élèves et 12 enseignants enlevés le 21 novembre du pensionnat catholique Saint Mary, dans l'ouest du Nigeria, ont été libérés, ont annoncé dimanche une source onusienne et la présidence nigériane. On reste sans nouvelles des quelque 165 personnes toujours présumées otages. Il s'agit de l'un des plus importants kidnappings de masse au Nigeria, pays ravagé par le phénomène.
Ce dimanche matin, un groupe de militaires béninois a annoncé la destitution du président Patrice Talon, la suspension de la Constitution et la fermeture des frontières. Toutefois, quelques heures après, les forces loyalistes ont repris le contrôle de la situation, mettant fin à la tentative de coup d'État. La CEDEAO a fermement condamné cet acte. Le président Talon a pris la parole pour rassurer la population, affirmant que la situation était désormais sous contrôle.
Les autorités du Bénin ont affirmé dimanche avoir déjoué un coup d'État, après l'irruption de militaires à la télévision disant avoir destitué le président Patrice Talon.
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi à Tunis contre le pouvoir sous le mot d'ordre "l'opposition n'est pas un crime", en réclamant la libération de militants emprisonnés et en dénonçant le recul des libertés.
Des militaires ont annoncé dimanche matin à la télévision publique du Bénin avoir "démis de ses fonctions" le président Patrice Talon, dont l'entourage a affirmé à l'AFP qu'il était en sécurité et que l'armée reprenait le contrôle.
La Cédéao a annoncé dimanche soir déployer des soldats au Bénin après une tentative de putsch déjouée par les autorités plus tôt dans la journée. Dans la soirée, le président béninois Patrice Talon est apparu à la télévision nationale pour prononcer l'échec du coup d'État. Une douzaine de militaires ont été arrêtés, dont les auteurs présumés, d'après des sources militaires et sécuritaires. Voici le fil du 7 décembre 2025.
"La situation est totalement sous contrôle" a déclaré le président béninois Patrice Talon dimanche soir à la télévision nationale, après une tentative de coup d'État dans la matinée, que les autorités ont déclaré avoir déjouée. Des militaires avaient annoncé avoir pris la télévision publique et "démettre de ses fonctions" le chef de l'État. Une douzaine de militaires ont été interpellés, dont les auteurs, selon des sources militaires et sécuritaires.
Des drones ont frappé la ville de Kalogi, dans l'État du Kordofan-Sud, contrôlée par l'armée soudanaise, tuant des dizaines de civils, dont des enfants, selon un responsable local. L’attaque est imputée aux Forces de soutien rapide (FSR).
En Tunisie, coup dur pour l'opposition après l'arrestation jeudi du vétéran de la politique Ahmed Nejib Chebbi, 82 ans condamné à 12 ans de prison dans le mega procès du complot contre la sûreté de l'état. Malgré cette arrestation qui s'ajoute à celle de deux autres opposants dans le même procès, les jeunes militants de la société civile continuent de mener le combat dans la rue. Une manifestation sous le slogan "l'opposition n'est pas un crime" s'est tenue à Tunis ce samedi.
La Coalition des forces pour la République – le CFR – avec à sa tête l’Imam Mahmoud Dicko, ancien président du Haut Conseil islamique espère un retour à l'ordre constitutionnel. Quelles sont les autres figures du mouvement qui prône un dialogue avec les groupes armés ? Étienne Fakaba Sissoko, Porte-parole de la coalition était notre invité.
La COP20 Cites, dédiée à la lutte contre le trafic despèces sauvages, s'achève ce vendredi en Ouzbékistan. Dans le cadre des "Projets Héritage du G20", l'Afrique du' Sud a lancé mi-juillet la "Rhino Renaissance Campaign" pour tenter de sauver le rhinocéros de l'extinction. Elle combine des technologies de surveillance de pointe, implication des communautés locales et parfois des méthodes de conservation radicales, comme l'écornage. Un reportage de Caroline Dumay et Stefan Carstens.
La République Démocratique du Congo et le Rwanda signent un accord de paix à Washington censé mettre un terme au conflit qui ensanglante depuis trois décennies l'est de la RDC. Mais en quoi consiste vraiment cet accord ? Les explications de Colette Braeckman et Karim Yahiaoui.
Dans un entretien exclusif à France 24, le colonel Randrianirina, président de la Refondation de Madagascar depuis le coup d'État du 11 octobre, affirme vouloir que l'ex-président Andry Rajoelina, désormais à l’étranger, soit jugé dans son pays. "Notre souhait, c'est de le juger à Madagascar par une justice malgache", déclare-t-il.
Ahmed Néjib Chebbi, figure majeure de l'opposition tunisienne jusqu'ici encore en liberté, a été arrêté jeudi, quelques jours après sa condamnation en appel à 12 ans de prison.
La République démocratique du Congo et le Rwanda ont signé un accord de paix à Washington, censé mettre un terme au conflit qui ensanglante depuis trois décennies l'est de la RDC. Mais les combats eux continuent au Sud-Kivu. Quelles sont les conséquences pour la région ? On va plus loin avec Richard Werly et Karim Yahiaoui.
La confirmation en appel de la peine de sept ans de prison infligée au journaliste français Christophe Gleizes en Algérie ouvre une nouvelle phase. Comme pour Boualem Sansal, une grâce présidentielle est-elle possible ? On va plus loin avec Zyad Limam et Karim Yahiaoui.
Donald Trump a présidé à Washington la signature d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda, qu'il a qualifié de "miracle", malgré la poursuite de violents combats dans l'est congolais. Paul Kagame a salué une médiation "pragmatique", tout en prévenant que la mise en œuvre de l'accord serait jalonnée de "hauts et des bas". Félix Tshisekedi a lui aussi remercié Donald Trump pour "le début d'un nouveau chemin", tout en avertissant qu'il serait "exigeant" et "difficile".