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Sébastien Lecornu poursuit ses consultations, le PS pose ses conditions

Sébastien Lecornu poursuit ses consultations. Il a reçu les socialistes à Matignon qui, à la sortie du rendez-vous, ont estimé que "le Premier ministre était resté flou sur ses intentions". Les socialistes sont devenus la clé de la non-censure et le Premier ministre espère trouver des compromis avec la gauche pour faire passer le budget. Un accord est-il possible ? Roselyne Febvre pose la question à Alix Bouilhaguet et Stéphane Vernay, éditorialistes politiques.

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Pétition de Philippe de Villiers : plus d'un million de signatures, vraiment ?

Le souverainiste Philippe de Villiers, ancien président du "Mouvement pour la France", a lancé une pétition en ligne pour qu'un référendum sur l’immigration soit organisé. Il revendique plus d’un million de signatures, mais le site internet hébergeant la pétition ne permet pas de vérifier l'identité des signataires, ce qui rend par exemple possible de signer deux fois. Explications.

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Edwige Diaz (RN) : "Pour le Rassemblement National, c'est soit la rupture, soit la censure"

Dans le cadre de ses consultations politiques, Sébastien Lecornu va rencontrer Marine Le Pen. Pour éviter la censure, Edwige Diaz, vice-présidente du Rassemblement National, députée de Gironde et invitée de Mardi politique, réaffirme que le Premier ministre "devra prendre en compte les demandes du RN sur l’immigration ou la contribution de la France à l’UE". Son parti se rend à ce rendez-vous "sans illusion" et continue de demander une dissolution de l’Assemblée nationale.

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Reçues à Matignon par Sébastien Lecornu, les oppositions restent sur leur faim

Après avoir reçu la semaine dernière les membres du "socle commun", le Premier ministre Sébastien Lecornu rencontrait mercredi le Parti socialiste, Les Écologistes, le Parti communiste et le Rassemblement national. Objectif : trouver des compromis pour bâtir un budget et former son gouvernement. Mais en sortant de Matignon, les oppositions ont fait part de leur déception et continuent à faire planer la menace d'une censure.

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Tout ce qu'il faut savoir sur les perturbations du 18 septembre

Une "journée noire" s'annonce dans les transports parisiens et régionaux le 18 septembre à l'occasion de la grève. Tous les syndicats appellent à une mobilisation nationale contre le budget 2026 et la politique d’Emmanuel Macron. Les autorités prévoient entre 600 000 et 900 000 manifestants, soit nettement plus que le 10 septembre. 

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Jihad : trois femmes et dix enfants rapatriés en France depuis les camps en Syrie

Le Parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé mardi dans un communiqué le rapatriement en France de trois femmes et de dix enfants depuis les camps de prisonniers jihadistes dans le nord-est de la Syrie. "La France remercie les autorités syriennes de transition ainsi que l'administration locale du Nord-Est syrien qui a rendu possible cette opération", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.

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Jihad : trois femmes soupçonnées d'avoir appartenu au groupe État islamique jugées à Paris

Le procès aux assises de trois Françaises parties en 2014 à Raqqa s'est ouvert lundi à Paris. Parmi elles, figurent Jennyfer Clain, 34 ans, nièce des frères Clain, figures de la propagande du groupe État islamique présumés morts en Syrie. Avec sa belle-mère et sa belle-sœur par alliance, elle encourt 30 ans de réclusion pour association de malfaiteurs terroriste.

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France : quelle suite au mouvement "Bloquons tout" ?

En France, le Mouvement "Bloquons tout" a mobilisé près de 175 000 personnes dans tout le pays, selon le ministère de l’Intérieur, avec des manifestations notamment à Montpellier, Toulouse, Nantes et Paris. La veille de cette mobilisation, le président de la République nommait Sébastien Lecornu, l’un de ses proches, à Matignon. Lucas Sarafian, journaliste à Politis, est notre invité pour en discuter.

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Budget : Sébastien Lecornu dit renoncer à la suppression de deux jours fériés

Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé, samedi dans un entretien publié par la presse quotidienne régionale, qu’il renonçait à supprimer deux jours fériés, une mesure prévue dans le projet de budget 2026 de son prédécesseur, François Bayrou. Le chef du gouvernement a également écarté un nouveau conclave sur les retraites et tendu la main à la gauche pour sortir de l'impasse budgétaire.

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La France, coupable de féminicides par négligence ?

La France est poursuivie en justice pour "faute lourde" dans neuf cas de féminicides. Les proches des victimes estiment que ces décès étaient évitables, que ces femmes avaient porté plainte et signalé les violences dont elles étaient victimes mais que les négligences et dysfonctionnements de la police et de la justice ont empêché de les sauver. Dans cette édition, Laure Manent reçoit la professeure de psychologie sociale et spécialiste du contrôle coercitif Andreea Gruev-Vintila, ainsi que Sylvaine Grévin, la sœur de Bénédicte Belair. Cette dernière est morte en 2017 d’un hématome sous-dural au cerveau – consécutif à une chute accidentelle selon la justice, infligée par son conjoint violent et déjà condamné pour cela par le passé, selon Sylvaine Grévin et son frère. L’avocate Isabelle Steyer, qui porte plusieurs de ces plaintes, estime que la France doit faire mieux.

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Sébastien Lecornu à Matignon : le Premier ministre promet une "rupture"

Sébastien Lecornu, nouveau Premier ministre, annonce vouloir changer de méthode et promet des ruptures. Il consulte déjà les partis pour essayer, comme ses prédécesseurs, de trouver un chemin qui permettra à la France de se doter d’un budget. Moins d’économies pour le gouvernement, plus de responsabilités pour les oppositions dites "raisonnables" ?

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Des retraites à la taxe Zucman : quelles seront les "ruptures" évoquées par Sébastien Lecornu ?

Le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, a besoin d’un accord de non-censure avec les socialistes s’il ne veut pas connaître le même destin que ses deux prédécesseurs, Michel Barnier et François Bayrou. Il a pour cela évoqué des "ruptures" dans la politique menée depuis huit ans par Emmanuel Macron. Celles-ci devront forcément passer par les cases retraites et taxe Zucman s’il souhaite effectivement convaincre la gauche.

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