Les attentats meurtriers du 13 novembre 2015 ont profondément changé la stratégie française de lutte contre le terrorisme. Dix ans plus tard, la prévention de la radicalisation est devenue une priorité et les mécanismes la favorisant sont mieux compris. Mais il faut maintenant faire face à d’autres défis, avec une menace diversifiée et des réseaux sociaux qui accélèrent le processus de recrutement.
Emmanuel Macron a présidé mardi les cérémonies du 107e anniversaire de l'Armistice de 1918 sur les Champs-Elysées et à l'Arc de Triomphe, rendant aussi hommage aux Alsaciens et Mosellans enrôlés de force à l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. Les cérémonies du 11-Novembre marquent la fin de la Première Guerre mondiale mais sont dédiées à tous les soldats tombés pour la France, quels que soient les conflits. Récit de Thierry Curtet (France 2).
Emmanuel Macron recevra mardi à Paris le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour discuter de la "pleine application" de l'accord de cessez-le-feu à Gaza, a annoncé la présidence française dans un communiqué. Analyse de Bruno Daroux, chroniqueur international France 24.
Il y a 107 ans aujourd'hui, le 11 novembre 1918, était signé en forêt de Compiègne l'Armistice entre les représentants des Alliés et ceux de l'armée allemande, marquant la fin de la Première Guerre mondiale. En quatre ans, cette guerre a fait plus de 9 millions de morts et disparus. Précisions de Sylvain Rousseau, journaliste de France 24 devant l'Arc de Triomphe.
Le président français, Emmanuel Macron, a présidé, mardi, les cérémonies de commémoration du 11-Novembre sur les Champs Élysées et à l'Arc de Triomphe. Il a par ailleurs rendu hommage aux Alsaciens et Mosellans incorporés de force dans l'armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015, comment la France tente-t-elle d’empêcher que l’histoire ne se répète ? Grâce à un accès exceptionnel au Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation, et à travers des entretiens avec des experts du terrorisme, un ancien détenu et un rescapé du Bataclan, nous revenons sur les leçons tirées depuis les attentats de 2015 à Paris. Plongée dans le monde de la prévention contre la radicalisation violente.
Comment revient-on a l’existence après avoir été victime du terrorisme ? Cette question abyssale trouve peut-être un début de réponse dans cette chorale, composée de victimes de l’attaque du 13 novembre 2015. Récit France 2.
A trois jours des commémorations des attentats du 13 novembre 2015, l'ex-compagne de Salah Abdeslam, Maëva B., a été doublement mise en examen lundi dans des enquêtes puis incarcérée, pour une clé USB remise à son ex-compagnon et surtout pour un projet d'attentat jihadiste déjoué. Récit France 2.
Alors que la France commémore les dix ans des attentats du 13 novembre, une nouvelle étude examine l’impact des traumatismes au sein des familles de victimes, en particulier chez leurs enfants, qui tentent aujourd’hui encore de surmonter cette douloureuse expérience.
C'est devenu un rituel chaque année, la lettre d’information féministe "Les Glorieuses" a calculé ce moment précis où les femmes travaillent "gratuitement" par rapport aux hommes. Pourtant, on est bel et bien sur un temps de travail égal. Les Françaises gagnent en moyenne 14,2% de moins que les hommes. Un chiffre qui tend à se réduire, mais beaucoup trop lentement. Decryptage.
Le parquet national antiterroriste a ouvert deux informations judiciaires : une porte sur une clé USB illégalement connectée à l'ordinateur de Salah Abdeslam et l'autre sur un projet d'attentat de son ex-compagne, Maëva B. Trois personnes, dont cette dernière, ont été mises en examen et incarcérées, lundi soir.
Sur ce terrain d'entraînement des forces de l'ordre, un groupe de policiers volontaires participe à un exercice simulant un attentat terroriste. Objectif : apprendre à réagir et les bons gestes à adopter si cette menace devenait réelle, dix ans après les attentats du 13 novembre 2015.
Nicolas Sarkozy va sortir de prison ce lundi. La cour d'appel de Paris a ordonné la remise en liberté de l'ex-président, incarcéré depuis vingt jours après sa condamnation dans l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle.
Judith Grimaldi reçoit Arthur Dénouveaux, essayiste et ex-président de l’association Life for Paris. Survivant des attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan, il partage les trois deuils qu'il a vécus dans son livre "Vivre après le Bataclan".
Au lendemain des attentats du 13-Novembre, un programme inédit et transdisciplinaire a été lancé en France. Son but : étudier la construction et l’évolution de la mémoire après ces attaques meurtrières. Dix ans après, ces études permettent déjà de tirer de précieux enseignements. Elles montrent à quel point ces attentats terroristes ont atteint profondément la société française dans son ensemble.
Nicolas Sarkozy a quitté lundi la prison parisienne de la Santé. Un peu plus tôt, la cour d'appel de Paris avait accepté la demande de mise en liberté de l'ancien président, incarcéré depuis le 21 octobre. Celle-ci sera assortie d’un contrôle judiciaire.
En France, les femmes commencent à "travailler gratuitement" à partir de 11 h 31 lundi et ce jusqu'à la fin de l'année du fait des inégalités salariales, selon la lettre d'information féministe "Les Glorieuses".
Dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026, l'Assemblée nationale a approuvé dimanche la limitation de la durée des arrêts de travail. Pour le reste des amendements, les débats reprendront mercredi pour une ultime journée.
Plus de 500 au budget de la Sécurité sociale étaient encore au menu dimanche alors que les députés sont censés s’interrompe à minuit, avant deux journées de relâche. S'ils ne parviennent pas au bout du débat, ils devraient ne reprendre les discussions que mercredi à 15 heures, dans une plage horaire consacrée notamment à l’article sur la suspension de la réforme des retraites.
Une « course pour la liberté » rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. Plus de 1 500 personnes se sont réunis au Stade de France, avant de passer par Le Petit Cambodge, Le Carillon, la Bonne Bière, Casa Nostra, Le Bataclan, le Comptoir Voltaire et La Belle Equipe.
Plus de 1 700 personnes se sont élancées, dimanche matin, du Stade de France, pour une course qui passait ensuite par Le Petit Cambodge, Le Carillon, la Bonne Bière, Casa Nostra, Le Bataclan, le Comptoir Voltaire et La Belle Equipe - les lieux des attentats du 13-Novembre.
Les députés ont adopté samedi le volet "recettes" du budget de la sécurité sociale mais selon Arnaud Mercier, professeur en communication politique, "on est encore loin du bout de la course".
L’état d’urgence a été instauré en France dans la foulée des attentats du 13 novembre 2015, renforçant les pouvoirs des autorités civiles pour lutter contre le terrorisme mais restreignant également les libertés individuelles. Si l’état d’urgence a pris fin à l’automne 2017, certaines mesures sont depuis passées dans le droit commun et d’autres lois sont venues élargir les moyens de surveillance des citoyens, au grand dam des défenseurs des droits fondamentaux.
L'enquête sur la détention illicite d'une clé USB par Salah Abdeslam, dernier membre vivant des commandos des attentats du 13 novembre 2015, a été élargie, et trois personnes sont désormais en garde à vue, a indiqué samedi le Parquet national antiterroriste (Pnat).