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Brigitte Macron, un homme ? Le complotisme version transphobe

Qu’ont en commun Brigitte Macron, Lady Gaga et Imane Khelif ? Toutes sont accusées d’être des hommes. Cette semaine, huit hommes et deux femmes ont dû s’expliquer devant la justice pour avoir propagé cette rumeur concernant l’épouse d’Emmanuel Macron. Le couple présidentiel a fini par porter plainte pour cyberharcèlement.

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Cambriolage au Louvre : Rachida Dati promet des mesures anti-intrusion "avant la fin de l'année"

Après le spectaculaire cambriolage au cours duquel de précieux bijoux ont été volés, Rachida Dati a annoncé vendredi l'installation de dispositifs "anti-voiture-bélier" et "anti-intrusion" d'ici la fin de l'année, afin de combler ce qu'elle qualifie de "faille sécuritaire majeure" à l'extérieur du musée du Louvre.

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"Victoire historique", "refoulé colonial" : la presse réagit au vote de la résolution du RN

À la Une de la presse, vendredi : les vives réactions dans la presse française après le vote d'une résolution du RN sur l'accord franco-algérien de 1968 ; aux États-Unis, des réactions aussi intenses à l'annonce de Donald Trump de vouloir reprendre les essais nucléaires ; et une question dans la presse sportive : pourquoi y'a-t-il autant de blessures musculaires au PSG ?

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Budget : les députés rejettent la taxe Zucman, Lecornu lâche du lest sur les retraites

L’Assemblée nationale a largement rejeté vendredi la taxe Zucman visant les hauts patrimoines, ce qui a suscité la colère de la gauche, qui l'avait proposée. De son côté, la commission des affaires sociales a adopté la suspension de la réforme des retraites proposée par le gouvernement pour échapper à la censure du PS.

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Que contient l'accord franco-algérien de 1968 que le RN veut remettre en cause ?

Sur la sellette ces derniers mois en raison des relations diplomatiques tendues entre Paris et Alger, l'accord franco-algérien de 1968 est à nouveau sous le feu des projecteurs après l'adoption jeudi par l'Assemblée nationale d'une proposition de résolution du RN appelant le gouvernement à dénoncer l'accord. Mais que contient ce traité ? Explications.

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Violences faites aux femmes : la France peut-elle combler son retard avec la loi-cadre en préparation ?

Une loi-cadre sur les violences faites aux femmes devrait être présentée fin novembre au Premier ministre Sébastien Lecornu. Les associations féministes espèrent que la France s'inspirera des dispositifs existant dans plusieurs pays européens – notamment en Espagne – pour enfin mettre en place un cadre unifié et pérenne.

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Projet de loi de finances 2026 : une "folie fiscale" pour la droite

La gauche et le Rassemblement national ont approuvé, à une écrasante majorité, un amendement des Insoumis visant à taxer les bénéfices des grandes entreprises étrangères et des Gafam américains. Un revers pour le gouvernement et une "folie fiscale" pour la droite. Roselyne Febvre en parle avec Pablo Pillaud-Vivien, rédacteur en chef de la revue Regards, et Dominique de Montvalon, éditorialiste politique.

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Casse du Louvre : les deux hommes arrêtés ont été mis en examen, les bijoux pas encore retrouvés

Plus d'une semaine après le vol rocambolesque de joyaux de la couronne de France au musée du Louvre, la procureure de Paris a affirmé que les deux hommes interpelés ont partiellement reconnu les faits. Présentés à un juge d'instruction, ils ont été mis en examen dans la soirée. Les bijoux dérobés restent en revanche introuvables.

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Procès de cyberharcèlement contre Brigitte Macron : 3 à 12 mois de prison pour les prévenus

Des peines de prison de 3 à 12 mois avec sursis et des amendes allant jusqu'à 8 000 euros ont été requises à Paris, mardi, à l'encontre des dix cyberharceleurs présumés de Brigitte Macron. La première dame était la cible d'une infox mondiale la présentant comme une femme transgenre. Les explications de Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch et Emmanuelle Anizon, Grand reporter à L'Obs.

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Mains rouges sur le Mémorial de la Shoah : les suspects affirment être de "simples exécutants"

Quatre hommes de nationalité bulgare comparaissent depuis mercredi devant un tribunal de Paris dans l'affaire des "mains rouges" taguées en mai 2024 sur le Mémorial de la Shoah, situé au cœur de la capitale française. Lors de cette première journée d'audience sur laquelle a plané l'ombre d'une ingérence russe, les suspects se sont présentés comme de "simples exécutants".

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