+20 % de FPS sur Borderlands 4 : le patch du 23 octobre tient enfin ses promesses. Dès sa sortie, le jeu était aussi exigeant qu’addictif et réclamait une carte graphique haut de gamme. Mais ça, c’était avant. MxBenchmarkPC a mesuré les gains en 4K avec DLSS, FSR et réglages auto : voici ce qui change vraiment.
Jusqu’à 20 % de FPS en plus, selon les premiers tests
Déployée le 23 octobre, la mise à jour promet des « améliorations de stabilité généralisées » d’après 2K et Gearbox, accompagnées de retouches d’interface, de correctifs multijoueur et de petits plus audio et visuels. Le YouTuber MxBenchmarkPC a mesuré les gains sur un PC équipé d’une GeForce RTX 5080 et d’un Core i7‑14700F : en 4K avec préréglage Very High, l’augmentation atteint jusqu’à 20 % d’images par seconde.
Avec l’option d’optimisation via « Auto-Detect Graphics Preset », l’écart retombe autour de 10 % en 4K. À 1440p, sans comparaison directe avant/après, la fluidité reste confortable : plus de 60 FPS avec DLSS en mode DLAA. En passant le DLSS sur « Quality » et avec des réglages optimisés, le compteur grimpe à 90‑100 FPS, largement suffisant pour un titre non compétitif. Les séquences testées montrent par ailleurs une animation très stable, sans saccades visibles.
Un lancement cabossé, un patch qui rassure
Borderlands 4 peinait à maintenir 60 FPS, même sur du matériel haut de gamme en haute définition. Les gains actuels ne corrigent pas tout, mais ils s’attaquent enfin au cœur du problème. Reste à voir si de prochains correctifs étendront ces améliorations à d’autres configurations et résolutions, ainsi qu’aux consoles portables…
Powerlab propose actuellement une promotion intéressante sur son PC Gamer RAINBOW FLASH, une configuration complète articulée autour de la carte graphique AMD Radeon RX 9070 XT Steel Legend 16 Go et du processeur AMD Ryzen 7 8700F. Cette association vise à offrir un compromis solide entre puissance, efficacité énergétique et évolutivité, dans un châssis soigné à la finition blanche.
Le tarif bénéficie d’une réduction de 300 € pour une durée limitée : le PC passe de 1 699,00 € à 1 399,00 € TTC, une offre actuellement valable encore pendant :
Offre se termine dans : —
Une configuration homogène pensée pour le jeu en 1440p et 4K
Le Ryzen 7 8700F, avec ses huit cœurs et seize threads, fournit une base CPU performante capable d’exploiter pleinement les GPU récents et de gérer simultanément le jeu, le streaming et les applications en arrière-plan. Associé à la Radeon RX 9070 XT, il permet d’envisager le jeu en 1440p Ultra voire en 4K High, avec des fréquences d’images élevées selon les titres.
La carte graphique d’AMD, fondée sur l’architecture RDNA 4, prend en charge les technologies Ray Tracing et FidelityFX Super Resolution (FSR), tout en conservant une bonne maîtrise énergétique.
La version Steel Legend d’ASRock mise sur un refroidissement renforcé et un léger overclocking d’usine pour stabiliser les performances.
Un ensemble bien assemblé et évolutif
Le PC s’appuie sur une carte mère ASRock A620AM PRO-A, accompagnée de 32 Go de mémoire DDR5 à 6000 MHz et d’un SSD NVMe de 1 To, garantissant des temps de chargement réduits. L’ensemble est refroidi par un système liquide Lytek Frost L240 ARGB, installé dans un boîtier Xigmatek Aqua M Lite Arctic, reconnaissable à ses panneaux en verre trempé et à son éclairage RGB à effet miroir infini.
L’alimentation MSI MAG A850GL PCIe 5.0 80 Plus Gold assure une marge confortable pour les futures mises à jour matérielles, notamment si l’on souhaite passer à des composants plus énergivores.
Garantie, montage et disponibilité
Le RAINBOW FLASH est assemblé en France dans les ateliers Powerlab et bénéficie d’une garantie commerciale de 2 ans. La livraison est assurée partout en France et le paiement est possible par carte, PayPal ou en plusieurs fois. La promotion est annoncée comme valable encore deux jours au moment de la rédaction.
Red Dead Redemption 2 (1440p High) : environ 70 FPS
Cyberpunk 2077 (1440p Moyen) : environ 100 FPS
Des chiffres cohérents avec ce duo CPU/GPU, confirmant un positionnement pertinent pour les joueurs visant un confort fluide en 1440p sans compromis visuel notable.
Consultez notre test complet de la Radeon RX 9070 XT pour en savoir davantage.
Un prix réellement avantageux
En reconstituant la configuration du RAINBOW FLASH pièce par pièce chez un grand revendeur comme TopAchat, le total atteint environ 1 800 € avec montage. Le tarif proposé par Powerlab, actuellement réduit de 300 €, se révèle donc réellement compétitif au regard du coût des composants pris individuellement.
La remise ne relève pas d’une pratique commerciale artificielle, mais traduit bien un écart de prix tangible sur une configuration testée et assemblée, incluant montage et garantie.
En résumé, cette offre se distingue par un équilibre technique bien maîtrisé : un processeur récent, une carte graphique RDNA 4 performante, et un châssis bien pensé pour le refroidissement. Sans chercher l’excès de puissance, le RAINBOW FLASH s’adresse avant tout à ceux qui veulent une machine prête à l’emploi, performante en 1440p et capable de tenir sur la durée.
Supermicro dévoile son nouveau MicroBlade équipé des processeurs AMD EPYC 4005, une solution multi-nœuds compacte et éco-énergétique pensée pour les fournisseurs cloud et les datacenters modernes. Capable d’intégrer jusqu’à 160 serveurs dans un seul rack 48U, ce système met l’accent sur la densité, la simplicité de gestion et la réduction des coûts d’exploitation.
MicroBlade 6U : densité, câblage réduit et gestion centralisée
Supermicro élargit sa gamme de solutions pour fournisseurs cloud avec un MicroBlade 6U à processeurs AMD EPYC 4005, optimisé pour la performance et la sobriété. Selon l’entreprise, un rack 48U peut accueillir jusqu’à 160 serveurs et 16 switches Ethernet intégrés par châssis. Charles Liang résume l’enjeu : « une solution très économique et verte pour les fournisseurs de cloud ».
La plateforme capitalise sur l’architecture maison Building Block pour viser l’efficacité à grande échelle : jusqu’à 95 % de câbles en moins, 70 % de gain d’espace et 30 % d’économie d’énergie par rapport à des serveurs 1U classiques, d’après Supermicro. Le tout avec une gestion centralisée de l’alimentation, du refroidissement et du réseau.
Chaque châssis intègre deux switches 10 GbE, deux modules de management redondants, des interfaces IPMI standard et des API Redfish, de quoi simplifier les topologies et réduire la complexité opérationnelle. La redondance N+N est au rendez-vous pour assurer la continuité de service.
AMD EPYC 4005 : jusqu’à 16 cœurs Zen 5 et GPU double slot
Chaque lame serveur embarque un processeur AMD EPYC 4005 jusqu’à 16 cœurs et 32 threads, jusqu’à 192 Go de DDR5, ainsi qu’un GPU double slot FHFL. Le TDP peut descendre à 65 W pour un bon compromis performance/efficacité. AMD met en avant la liberté de conception offerte par la mémoire et l’I/O, portée par l’architecture Zen 5. Derek Dicker évoque des systèmes « puissants mais abordables » pour PME et hébergeurs dédiés.
Le châssis 6U peut recevoir jusqu’à 20 lames, deux switches Ethernet et deux modules de gestion. Les cas d’usage visés sont variés : hébergement dédié, VDI, jeu en ligne et inférence IA. Côté sécurité, on retrouve TPM 2.0 et AMD Infinity Guard pour épauler les datacenters dans la protection des données, tout en contenant coûts et complexité.
Reste à voir si les promesses de densité et d’économie se traduiront aussi bien en production qu’en laboratoire, mais sur le papier, la proposition a de quoi séduire ceux qui modernisent leur infrastructure.
La guerre reprend de plus belle. Battlefield 6 entre dans sa première saison post-lancement, avec une feuille de route ambitieuse découpée en trois actes : Opérations rebelles, Résistance californienne et Offensive hivernale. Trois fronts, trois ambiances, et la promesse d’un contenu régulier jusqu’à la fin de l’année.
La bande-annonce officielle confirme le début de la saison 1 le 28 octobre, accompagnée d’un rythme de déploiement soutenu sur toutes les plateformes.
Trois phases, deux nouveaux modes et des cartes inédites
Battlefield Studios ouvre le bal avec Rogue Ops (Opérations rebelles), disponible dès le 28 octobre. Cette première étape introduit la carte Blackwell Fields, conçue pour le chaos des batailles à grande échelle, ainsi qu’un nouveau mode 4v4, Strikepoint, plus nerveux et tactique.
Le 18 novembre, place à California Resistance, qui transportera les joueurs dans la banlieue sud-californienne avec la carte Eastwood. Le mode Sabotage y fera ses débuts, centré sur la destruction de sites ennemis dans un temps limité.
Enfin, la saison 01 se conclura avec Winter Offensive, attendue le 9 décembre. Au programme, une carte temporaire “Grand froid sur l’Empire State”, un événement hivernal à durée limitée, et une atmosphère glaciale jusque dans les ruines de New York.
Un suivi annoncé sur toutes les plateformes
D’après l’éditeur, les mises à jour arriveront « sur une base régulière » et concerneront cartes, modes, armes et gadgets, accessibles gratuitement ou via déblocage in-game. Un positionnement assumé pour garantir un accès équitable à tous les joueurs, sans avantage lié aux éditions payantes.
Plateformes et éditions disponibles
Battlefield 6 est disponible sur PS5, Xbox Series X/S et PC via Steam, EA App et Epic Games Store. Deux éditions sont proposées :
Standard Edition : 69,99 €.
Phantom Edition : 99,99 €, incluant le pack Phantom Squad, des skins d’armes et de véhicules exclusifs, un jeton Battlefield Pro, un Battle Pass Saison 1 avec 25 niveaux débloqués, ainsi que des cosmétiques et bonus d’XP.
Une offre pensée pour les joueurs investis, mais qui n’accorde aucun avantage compétitif en partie.
Une feuille de route solide
Cette première saison coche les cases attendues par la communauté, entre modes compacts et batailles d’envergure. Si DICE parvient à maintenir la cadence promise, Rogue Ops pourrait bien poser les bases d’un suivi durable pour Battlefield 6 une attente de longue date pour les fans de la série.
Intel prépare le terrain : les GPU Xe3p des futurs Nova Lake arrivent déjà dans les drivers Vulkan Linux, mais toutes les variantes ne miseraient pas sur le ray tracing.
Xe3 et Xe3p se précisent, Nova Lake vise large
Intel a officialisé ses architectures graphiques Xe3 et Xe3p. La première est destinée aux processeurs Panther Lake attendus en 2026, la seconde est, pour l’instant, associée aux GPU data center Crescent Island. Le fondeur, via Tom Petersen, évoque tout de même un usage « gaming capable », sans confirmer un lien direct avec Celestial, la prochaine génération de GPU dédiés.
En parallèle, Intel a entamé le travail logiciel autour de Nova Lake, plateforme desktop et mobile prévue elle aussi pour 2026. Contrairement à Panther Lake, davantage orientée vers le mobile, Nova Lake, Core ulra 400, couvrira aussi les machines de bureau . Les premiers correctifs soumis aux dépôts Linux ne livrent pas de spécifications, mais confirment deux points clés : au moins cinq déclinaisons sont dans les tuyaux et certaines pourraient se passer du ray tracing.
D’après Phoronix, les variantes S, HX et UL n’activeraient pas cette fonction, quand les séries U et H pourraient en bénéficier. Rien n’est figé à ce stade, le mapping des SKU pouvant évoluer, mais la segmentation n’aurait rien d’inhabituel chez Intel, qui désactive parfois des blocs GPU selon les gammes. Il faut dire qu’en 2026–2027, le ray tracing apparaît comme une brique de base côté graphique, reste à voir si Intel confirmera cette orientation.
Un alignement proche d’Arrow Lake
Les pièces du puzzle dessinent une offre qui ressemblerait, dans les grandes lignes, à Arrow Lake. Comme le résume la note relayée par Phoronix, « toutes les puces ne prendront pas en charge le ray tracing ». Les patchs soumis à Freedesktop valident l’intégration des GPU Xe3p à l’écosystème Vulkan Linux, sans détailler pour l’heure les capacités exactes de chaque variante.
En attendant la feuille de route détaillée, on retiendra que Nova Lake vise un spectre plus large que Panther Lake, des portables aux desktops, avec une bascule progressive vers Xe3/Xe3p. Reste à savoir si Intel réservera le ray tracing aux segments U et H, ou s’il ajustera le tir avant le lancement.
GeForce NOW passe à l’heure des longues nuits : après les 10 jeux de la semaine dernière, voici neuf nouveaux titres qui débarquent cette semaine, avec Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 et NINJA GAIDEN 4 en têtes d’affiche, tandis que l’accès anticipé à The Outer Worlds 2 arrive dès demain.
Neuf arrivées dans le cloud, Bloodlines 2 et Ninja Gaiden en vitrine
La plateforme de cloud gaming de NVIDIA continue d’étendre son catalogue et sa puissance. D’après l’annonce, Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 est jouable avec une puissance « classe GeForce RTX 5080 », sans téléchargement ni contrainte matérielle locale.
Le jeu de Paradox invite à arpenter Seattle dans la peau de Phyre, un ancien vampire réveillé au cœur d’intrigues nocturnes. NVIDIA résume la promesse ainsi : « chaque choix trace une voie dans la politique sanglante de la nuit ».
NINJA GAIDEN 4 signe un retour au rythme effréné, avec Yakumo comme nouveau protagoniste. Au menu, un système de combat nerveux, des boss cinématiques et des enchaînements à haute précision, le tout bénéficiant d’un streaming pensé pour la réactivité. Selon NVIDIA, l’expérience reste fluide sur PC, portable ou mobile.
Côté calendrier, The Outer Worlds 2 arrive en accès anticipé dans le cloud à partir du 24 octobre. Obsidian promet des choix plus marqués et des conséquences plus surprenantes, avec un streaming instantané qui évite toute attente. La sortie complète dans le cloud est annoncée pour le mercredi 29 octobre.
Atlanta devient la dernière région à profiter de la puissance de classe RTX 5080, Sofia (Bulgarie) devant suivre. NVIDIA invite à surveiller les mises à jour du jeudi GFN et la page de déploiement serveur pour suivre la bascule vers l’architecture Blackwell RTX.
La liste de la semaine
Voici les titres annoncés, avec leurs fenêtres de disponibilité ou plateformes indiquées :
NINJA GAIDEN 4 (nouveauté sur Steam et Xbox, PC Game Pass, 20 octobre)
Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 (nouveauté sur Steam, 21 octobre, prêt pour RTX 5080)
The Outer Worlds 2 – accès avancé (nouveauté sur Steam, Battle.net et Xbox, PC Game Pass, 24 octobre, prêt pour RTX 5080)
Tormented Souls 2 (nouveauté sur Steam et Xbox, PC Game Pass, 23 octobre)
Super Fantasy Kingdom (nouveauté sur Steam, 24 octobre)
VEIN (nouveauté sur Steam, 24 octobre)
Tom Clancy’s Splinter Cell: Pandora Tomorrow (Steam)
La combinaison d’une montée en puissance côté serveurs et d’un flux régulier de sorties renforce l’attrait du service. Reste à voir si la généralisation de la classe RTX 5080 suivra le rythme annoncé dans toutes les régions.
Intel veut mettre fin au cafouillage des noms GPU : Tom Petersen a clarifié la feuille de route Xe/Arc et lâché quelques signaux forts, tout en esquivant les questions brûlantes sur B770 et Celestial.
Arc reste la marque, Xe3 évolue… et le laptop bascule vers l’intégration
Lors du podcast The Full Nerd, l’Intel Fellow a expliqué que la nouvelle nomenclature vise à simplifier après l’ère Alchemist et ses alias internes. Xe3 est une évolution de Xe2, pas une refonte, et son nom reste figé car déjà largement ancré dans l’écosystème Linux.
Côté produits, la marque Intel Arc perdure au‑dessus des architectures successives. Petersen a aussi rappelé le cap historique d’Intel sur l’intégration : le partenariat avec NVIDIA serait la prochaine étape pour les portables gaming, avec l’idée d’un même package réunissant CPU Intel, NPU et GPU tiers sous forme de chiplets RTX, plutôt que de s’appuyer sur un PCIe jugé « encombrant ».
En filigrane, Intel voit la fin progressive des GPU discrets en laptop. L’approche d’AMD avec des APU plus musclés va dans ce sens : sans viser des remplaçants aux RTX 5090/5080, ces puces mettent déjà la pression sur les segments 60/70. Des chiplets RTX intégrés pourraient, à terme, réduire encore le besoin de dGPU dans les machines grand public hautes performances.
B770 et Celestial : pas de commentaire, mais Xe3P « gaming capable »
Interrogé sur l’Arc B770 (BMG-G31) desktop haut de gamme, Petersen a refusé de répondre. Même silence sur Celestial, prochain étage de la roadmap discrète d’Intel, souvent confondu à tort avec l’iGPU. Il confirme toutefois que Xe3P adoptera une nomenclature en C‑Series et qu’il sera « gaming capable ». De quoi laisser penser que l’accord Intel/NVIDIA reste au stade de la planification, sans produit imminent à montrer.
Un retard qui en disait long : AMD ouvre enfin la voie au retail pour sa Radeon AI PRO R9700, annoncée pour le 27 octobre à 1 299 dollars, soit environ 1 230 à 1 350 euros selon le taux et la TVA locale.
Une carte pro pensée pour les stations multi-GPU
Jusqu’ici réservée aux OEM et intégrateurs, la série Radeon AI PRO 9000 arrive chez les revendeurs. AMD visait un lancement à la fin juillet, mais « les intégrateurs ont absorbé tout le stock », d’après la chronologie rapportée. Rien d’étonnant à ce que les pros aient priorisé l’approvisionnement.
Asrock radeon ai pro r9700 creator 32 go
Dévoilée au Computex 2025, le modèle phare R9700 embarque le tout frais GPU RDNA Navi 48 d’AMD, 48 gravé en 4 nm avec 64 unités de calcul RDNA 4, soit 4 096 processeurs de flux et 128 accélérateurs IA dédiés aux opérations matricielles sur divers formats. Par rapport à la RX 9070 XT orientée jeu, la R9700 mise sur la capacité mémoire : 32 Go de GDDR6 à 20 Gbit/s sur bus 256 bits pour 640 Go/s, épaulés par 64 Mo d’Infinity Cache de 3e génération.
Côté performances, AMD annonce jusqu’à 191 TFLOPS en FP16 dense et jusqu’à 1 531 TOPS en INT4 sparse, avec un TDP qui monte à 300 W. Le tout tient dans un format double slot à ventilateur turbine, idéal pour empiler jusqu’à quatre cartes dans une station de travail sans asphyxier le châssis.
Disponibilité et positionnement
Le lancement retail est fixé au 27 octobre, à 1 299 dollars. Il faut dire que l’ouverture aux particuliers et aux monteurs de stations IA ou de visualisation professionnelle manquait clairement au catalogue AMD. Reste à voir si l’offre suivra cette fois, après les contraintes d’approvisionnement du milieu d’année.
Jamais deux sans trois. Voici la troisième apparition publique de Panther Lake : un Core Ultra 5 338H vient d’être repéré dans la base de données Geekbench, accompagné d’un iGPU Arc B370 Xe3. Ce nouveau repère vient confirmer le schéma déjà observé sur les modèles supérieurs et clarifie un peu plus le casse-tête du nommage Intel pour cette génération mobile.
Cette fuite complète ainsi le puzzle initié par le Core Ultra X7 358H, dont l’iGPU Xe3 à 12 cœurs marquait les débuts de Panther Lake, et confirmé peu avant par le Core Ultra X9 388H, capable de dépasser les 6300 points sous 3DMark Time Spy, soit environ +30 % de mieux que Lunar Lake.
Avec cette série d’apparitions successives, Panther Lake prend forme : une architecture mobile tournée vers l’efficacité énergétique, mais aussi vers une intégration IGPU XE3 plus ambitieuse, annonçant une transition vers la prochaine génération d’iGPU Xe3p.
Core Ultra 5 338H confirmé, et l’iGPU Arc passe à la série B
Selon cette fuite, le modèle s’appelle bien Core Ultra 5 338H, et non X5 338H. Il semblerait que la lettre X reste réservée aux versions dotées de l’iGPU complet, comme les X9 388H et X7 358H. Rien d’étonnant à ce que la génération Panther Lake ajoute une couche de complexité, encore plus que Meteor et Lunar Lake.
Deuxième enseignement, l’iGPU intégré adopte l’appellation Arc B-Series, alors même qu’il s’agit d’unités Xe3. Intel avait évoqué de longue date une filiation avec Celestial, mais « Intel a déplacé Celestial vers l’architecture Xe3p » d’après Tom Petersen, tandis que Xe3 serait une évolution de Xe2, une sorte de version « Prime » de Battlemage.
Pour simplifier, Battlemage et Celestial restent des références côté GPU dédiés, mais le marketing brouille les pistes côté intégrés.
Arc B370 : 10 cœurs Xe3 et un score encore timide
Le Core Ultra 5 338H s’accompagne ici d’une Arc B370, présentée comme une montée en gamme face à l’Arc A140T des puces Lunar Lake. Intel a abandonné le suffixe « T » et saute directement à une série 300 pour les iGPU. D’après les éléments collectés, la B370 embarquerait 10 cœurs Xe3, quand une hypothétique B390 grimperait à 12. Une variante 4 cœurs pourrait porter le nom B350, mais cela reste à confirmer.
Côté performances, la B370 dépasse l’Arc 140T, mais de peu : environ 4 % d’avance seulement dans Geekbench. Il faut dire que l’échantillon tourne sur une plateforme de référence officielle et des pilotes probablement immatures. Reste à voir si les scores évolueront, les premières mesures ne reflétant pas toujours le niveau final.
En résumé, les CPU Panther Lake forment la série 300 chez Intel et, confusion supplémentaire, leurs iGPU aussi. On retiendra surtout deux points : le nom exact Core Ultra 5 338H pour ce SKU 3×8, et l’iGPU Arc B370 en architecture Xe3. Les modèles supérieurs pourraient s’appuyer sur des B380 ou B390, mais mieux vaut attendre des fiches techniques définitives avant d’entériner ces dénominations.
Micron accélère sur la mémoire à faible consommation dédiée à l’IA. Ses modules SOCAMM2, désormais en phase d’échantillonnage, atteignent jusqu’à 192 Go par barrette LPDDR5X et annoncent un gain énergétique significatif pour les data centers. Cette présentation intervient quelques jours seulement après la finalisation par la JEDEC du standard JESD328, officialisant les modules SOCAMM2 LPDDR5X destinés aux applications d’intelligence artificielle.
SOCAMM2 : plus de capacité, moins d’énergie
Évolution directe du premier SOCAMM, le SOCAMM2 augmente la capacité de 50 % à encombrement identique. Pensé pour les charges IA gourmandes en bande passante et en mémoire, il s’appuie sur de la LPDDR5X afin de combiner débit élevé et consommation contenue, un point clé pour maîtriser les thermiques côté serveur.
D’après Micron, cette hausse de capacité peut réduire le délai avant le premier jeton en inférence temps réel de plus de 80 %. Le fabricant précise aussi que le passage à son procédé DRAM 1-gamma vise plus de 20 % de baisse de consommation par rapport à la génération précédente. Rien d’étonnant à ce que les exploitants de racks IA, souvent équipés de plusieurs téraoctets de mémoire, y voient un potentiel de réduction d’énergie non négligeable.
Travaillant avec NVIDIA sur l’intégration de DRAM basse consommation dans les serveurs, Micron destine ces modules aux plateformes gérant de larges fenêtres de contexte. Le constructeur avance que le SOCAMM2 consomme plus de deux tiers de moins qu’une configuration RDIMM équivalente, tout en n’occupant qu’environ un tiers de l’espace sur la carte. Moins d’énergie, plus compact : un duo qui pourrait aussi faciliter les architectures à refroidissement liquide.
Caractéristiques et disponibilité
Les échantillons atteignent jusqu’à 192 Go par module, à des vitesses allant jusqu’à 9,6 Gbit/s. La production de masse suivra le calendrier des partenaires. Il faut dire que l’orientation est claire : les SOCAMM2 visent uniquement les plateformes de centres de données. Micron n’indique aucun plan pour le grand public ou le desktop.
Micron résume l’enjeu ainsi : « une DRAM à faible consommation pour des serveurs IA à large contexte ». Reste à voir si cette approche, combinant densité et frugalité, s’imposera face aux RDIMM classiques dans les prochaines vagues d’inférence à grande échelle.
Chez EA, l’IA devait accélérer la création. Un an après, il semblerait que ce soit l’inverse : des outils internes feraient perdre du temps aux équipes, alors que l’éditeur officialise un partenariat avec Stability AI.
EA pousse l’IA, mais les équipes dénoncent des ratés
Electronic Arts, connu pour Les Sims, Apex Legends et Battlefield, a annoncé un accord avec Stability AI censé aider les artistes à itérer plus vite et à développer plus efficacement. Pourtant, d’après Business Insider, l’éditeur encourage ses salariés à utiliser des outils d’IA en interne depuis au moins un an, avec des résultats mitigés.
Des sources internes évoquent des hallucinations fréquentes et du code à corriger manuellement, à rebours des gains de productivité attendus. Comme le résume une source citée, « l’IA hallucine souvent, au point de devoir tout reprendre ».
Les artistes se disent aussi inquiets de voir leurs créations servir à entraîner ces modèles, ce qui, selon eux, dévaloriserait leur travail et réduirait la demande. Autre point sensible : il est rapporté qu’environ 100 salariés du contrôle qualité auraient été remerciés, l’IA pouvant résumer plus vite les retours des testeurs.
Un virage sectoriel vers l’automatisation
Malgré ces critiques, EA double la mise sur l’IA via Stability AI, tandis que le contexte industriel va dans le même sens. Krafton, l’éditeur de PUBG et Subnautica, annonce devenir « AI-first » avec un investissement de 70 millions de dollars (environ 65 M€) dans la puissance GPU pour des agents autonomes et l’automatisation. Fin septembre, il a aussi été révélé que les nouveaux investisseurs à la tête d’EA comptent sur l’IA pour « réduire significativement les coûts opérationnels ».
Rien d’étonnant à ce que la pression monte autour de l’efficacité, mais reste à voir si ces outils gagneront enfin en fiabilité sur le terrain.
Une ligne de code suffit parfois à relancer tout un feuilleton. Cette fois, c’est l’AGESA 1.2.7.0 d’AMD qui met le feu aux poudres en laissant apparaître des indices sur Strix Point côté desktop.
AGESA cite « STX » avec « PHX » : Ryzen 9000G viserait Strix Point
Selon le leaker @9550pro, la dernière mise à jour AGESA 1.2.7.0 fait mention de Strix Point dans son code. Un constat appuyé par @xgfancz, qui a repéré dans la liste des architectures la référence « STX », présumée pour Strix Point, aux côtés de « PHX » pour Phoenix Point, déjà au cœur des Ryzen 8000G desktop. De quoi raviver l’idée que les Ryzen 9000G ne se limiteraient pas à Krackan Point, comme envisagé initialement.
Si la bascule vers Strix Point se confirme, les APU desktop pourraient grimper jusqu’à 16 unités de calcul pour l’iGPU et basculer sur RDNA 3.5 au lieu de RDNA 3. À la clé, un niveau de performances graphiques intégré potentiellement comparable à celui de l’AMD Ryzen Z2 Extreme, désormais courant dans de nombreux PC de jeu portables. Il faut dire que la perspective d’un iGPU musclé en desktop reste très attendue.
Calendrier et prudence
D’après les rumeurs, les APU 9000G Strix Point n’arriveraient pas avant la fin de l’année. Et même dans ce scénario, rien n’indique qu’ils seraient lancés en même temps qu’un éventuel refresh des 8000G déjà évoqué.
Comme souvent, les fuites restent à manier avec prudence. « STX apparaît aux côtés de PHX dans l’AGESA 1.2.7.0 », rappellent les leakers, mais seule une annonce officielle lèvera le doute.
Reste à voir si AMD validera Strix Point sur desktop et jusqu’où l’iGPU pourra grimper en pratique. Les signaux techniques se multiplient, certes, mais la stratégie de lancement pourrait encore évoluer.
Epomaker passe la seconde côté souris, avec deux modèles pensés avec sa communauté : une Epomaker CarbonX très ambitieuse et une Click Lite plus classique, mais efficace.
Epomaker CarbonX : carbone, 50 g et 8 kHz pour viser le haut du tableau
Epomaker n’est pas un spécialiste historique de la souris, mais la Epomaker CarbonX veut bousculer les lignes. Son châssis en fibre de carbone aéro, ajouré, limite la masse à 50 g tout en promettant rigidité et dissipation thermique. À l’intérieur, on trouve un capteur PixArt PAW3950 et des switches optiques Omron annoncés pour une durée de vie pouvant atteindre 1 million de clics.
L’autre promesse est technique : un taux d’interrogation de 8 kHz pour une réactivité nettement supérieure à la majorité des modèles, souvent cantonnés à 1 kHz en sans fil. Selon la marque, ce choix de capteur vise une stabilité accrue du 8 kHz. Côté conception, la coque ajourée de la Epomaker CarbonX facilite aussi le nettoyage, avec une couche antipoussière autour du PCB pour protéger les composants. Il faut dire que la finition a été guidée par les retours d’utilisateurs ; Epomaker assure avoir conçu ces modèles « d’après les suggestions de sa communauté ».
Epomaker Click Lite : sobriété, 1000 Hz et 12 000 DPI pour le quotidien
Plus accessible, la Click Lite adopte un design noir et blanc minimaliste et cinq boutons programmables. Elle embarque un capteur PixArt PAW3311, un polling rate stable de 1000 Hz et une sensibilité réglable jusqu’à 12 000 DPI. L’autonomie est confiée à une batterie de 500 mAh, présentée comme endurante pour enchaîner travail, jeu et bureautique sans stress.
Disponibilité et prix : la CarbonX est affichée à 79,99 dollars (environ 75 euros), la Click Lite à 29,99 dollars (environ 28 euros). Les deux sont proposées sur le site officiel Epomaker, ainsi que sur Amazon et AliExpress. Reste à voir si la CarbonX confirmera ses promesses en 8 kHz, une fonction encore rare sur le marché.
Razer muscle son offre sur PS5 avec une manette pensée pour la compétition : la RazerRaiju V3 Pro mise sur la précision des sticks TMR, des gâchettes HyperTriggers réglables et des boutons arrière façon « clic de souris ». Le constructeur vise clairement l’e-sport, sans compromis.
Razer Raiju V3 Pro : précision magnétique, gâchettes réglables et commandes sur mesure
Au cœur du dispositif, les sticks symétriques TMR (Tension Magnetic Resistance) promettent une tension constante et une meilleure résistance au drift, avec des capuchons interchangeables. Idéal pour les FPS, la baston ou l’action soutenue, le tout avec une consommation contenue pour préserver l’autonomie.
Les Razer Pro HyperTriggers permettent de basculer entre un clic ultra court façon souris et une course analogique complète. Via Synapse 4, il est possible d’affiner précisément le point d’activation des gâchettes, de la réactivité « hair-trigger » pour les shooters à la course pleine pour la conduite. « Chaque fonction est pensée pour la précision, la vitesse et le contrôle », affirme Jeffrey Chau, directeur e-sport mondial chez Razer.
Razer ajoute 4 boutons arrière amovibles au clic net, épaulés par 2 bumpers pensés pour la prise en main en claw. Tous sont remappables, avec les mêmes switchs réactifs que les souris gaming haut de gamme de la marque, pour un retour tactile franc en pleine action.
En façade de la Razer Raiju V3 Pro, on retrouve des boutons d’action méca-tactiles et une croix directionnelle flottante 8 voies, le tout en PBT double injection pour une meilleure durabilité et une texture qui ne lustre pas avec le temps.
Connexion Hyperspeed, profils embarqués et transport soigné
La connectivité sans fil Razer HyperSpeed vise des latences très basses sur PS5. La personnalisation passe par l’application mobile et Razer Synapse 4 : réglage fin de la sensibilité des sticks, remapping complet et jusqu’à 4 profils enregistrés en mémoire pour voyager avec ses préférences.
Razer inclut un étui rigide et un câble USB‑C détachable de 2 mètres, pratique pour les LAN et les déplacements. De quoi rassurer les joueurs qui alternent sans fil et filaire selon les tournois.
Côté retours, le champion du monde 2023 de Call of Duty, HyDra salue « des sticks TMR ultras précis » et une personnalisation qui colle au style de jeu. Il faut dire que Razer a travaillé étroitement avec ses pros sur ce modèle. Reste à voir si cette Razer Raiju V3 Pro saura convertir les puristes de la manette DualSense sur la durée.
Cinq cartes graphiques pour des millions d’inscrits : AMD et ASRock lancent un tirage au sort mondial autour d’une Radeon RX 9070 XT en édition Monster Hunter Wilds. Une opération rare pour le constructeur, et forcément très convoitée.
Un concours mondial pour une RX 9070 XT collector
La campagne « AMD x Monster Hunter Wilds Sweepstakes » met en jeu cinq Radeon RX 9070 XT Monster Hunter Wilds Edition 16 Go, un modèle custom signé ASRock. Le concours est ouvert en Amérique du Nord, Europe, Royaume-Uni, Japon, Corée du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Inde et Indonésie.
Selon AMD, les cartes pourraient ne pas être scellées en usine, mais « ouvertes ou reconditionnées ». Une précision étonnante, d’autant que le constructeur expédie habituellement des unités neuves aux influenceurs.
ASRock RX 9070 XT en édition Monster Hunter
Basée sur l’architecture RDNA 4, la RX 9070 XT embarque 16 Go de GDDR6 et une alimentation à double connecteur 8 broches. Côté performances, elle se positionnerait entre les GeForce RTX 5070 et RTX 5070 Ti tout en offrant une quantité de VRAM comparable. Le design limité reprend l’esthétique Monster Hunter Wilds, dans la continuité du bundle promotionnel déjà mené par AMD autour du jeu.
Des chances minces, des frais à prévoir
Le tirage cumule déjà plus de 2,7 millions d’entrées. Chaque participant pouvant engranger jusqu’à 1 200 participations via des actions sociales, cela représenterait environ 2 300 personnes à ce stade. AMD précise que la TVA, la GST et les taxes d’import sont à la charge des gagnants : certains devront donc régler des frais à la livraison. Les lauréats seront avertis dans les sept jours suivant le tirage et auront cinq jours pour réclamer leur lot.
À retenir : seulement cinq cartes sont en jeu pour un concours mondial, et des échantillons potentiellement reconditionnés. Il faut dire que les giveaways publics de GPU restent rares chez AMD ; « une des rares opérations de ce type ces dernières années », rappelle la société.
Nouvelle alerte performance pour la Switch 2 : Elden Ring Tarnished Edition n’arrivera pas avant 2026. D’après l’annonce officielle sur le compte X d’Elden Ring, le studio réclame du temps pour des « ajustements de performances ».
Un portage sous pression, une console encore mise à l’épreuve
Il semblerait que le hardware de la Switch 2 peine face à ce mastodonte. Lors d’une prise en main à la gamescom 2025, IGN a qualifié le rendu en mode portable de « un désastre », pointant des chutes de framerate même lors d’un simple pivot de caméra. Les invités n’étaient d’ailleurs pas autorisés à enregistrer des séquences de jeu sur Switch 2, un détail qui en dit long.
Le studio n’avance aucune nouvelle date, si ce n’est cette fenêtre 2026, et plusieurs retours évoquent aussi une disposition des touches déroutante qui n’aide pas sur un titre déjà réputé exigeant. Il faut dire que le cas n’est pas isolé : le portage Switch 2 de Borderlands 4, chez Gearbox, a été repoussé sine die plus tôt dans l’année.
Une attente prolongée, mais mieux vaut un lancement propre
Malgré la douche froide, la communauté semble plutôt favorable à ce délai. Beaucoup estiment que Bandai Namco doit prendre le temps nécessaire pour livrer une version suffisamment fluide au lancement. Reste à voir si les optimisations promises combleront l’écart entre l’ambition d’Elden Ring et les capacités de la Switch 2.
À peine un mois après Voyagers, Hello Games enclenche déjà l’hyperespace : Breach, la mise à jour d’Halloween de No Man’s Sky, est disponible gratuitement pour tous les joueurs.
Breach mise sur l’exploration d’épaves et la construction de corvettes
Ce nouvel épisode embrasse les nouveautés de Voyagers et pousse plus loin l’assemblage de vaisseaux, la sortie extravéhiculaire et l’esprit communautaire. Au programme, une expédition éphémère dans un univers abandonné où l’on piste des corvettes naufragées à démonter en apesanteur pour en récupérer des modules rares. Selon Hello Games, ces débris renferment des pièces verticales inédites qui ouvrent des configurations de construction jusque-là impossibles.
Parmi les récompenses exclusives, des modules à thème Atlas pour afficher son allégeance, et une quête centrale autour de la Fireship Arcadia, décrite comme le joyau de ces carcasses. Il faudra toutefois oser « un bond de foi dans le noir » pour percer son destin, affirme le studio. L’expédition Breach débute aujourd’hui et doit durer environ trois semaines.
Ambiance oblige, direction aussi les systèmes à étoiles violettes aperçus dans Worlds Part II début janvier : planètes hostiles aux océans abyssaux, entités étranges et géantes gazeuses volatiles au menu. Il faut dire que la période s’y prête.
Nouveaux modules, QoL et patch 6.10
Sur le fond, Breach ajoute une grosse fournée de modules de corvette à récupérer dans l’espace profond ou sur les dépotoirs planétaires : trains d’atterrissage, boucliers, armes, connecteurs et des éléments très demandés en forme de « wedge » pour des constructions plus complexes. Le chantier de corvette permet désormais d’appliquer une palette de couleurs à l’ensemble du vaisseau ; l’accroche des pièces progresse, tout comme les collisions.
Le patch 6.10 corrige par ailleurs une longue liste de soucis : éjection inopinée dans l’espace sur un escalier en impulsion, autopilote de trajectoire qui ne se coupait pas près des grosses structures, armes mal alignées en vue cockpit, téléporteur persistant au sol, portes intérieures parfois bloquées, soucis de monstres biologiques apathiques, faune dangereuse manquante, et quelques comportements réseau et UI agaçants. Côté visuel, éclairage et transitions sont polis, les aperçus holographiques des modules sont plus nets, et plusieurs collisions environnementales ont été rectifiées.
On note aussi l’activation de Steam Input sur Mac, des correctifs de bindings à la première exécution, le jetpack à nouveau opérationnel avec le manipulateur de terrain en mode création, et plusieurs optimisations moteur, éclairage et Switch pour de meilleures performances. D’après les notes, des crashs liés aux armements massifs sur corvettes et certains gels lors d’ouvertures d’écluses ont été éliminés.
Pour les détails complets, y compris l’intégralité des correctifs et la liste des récompenses d’expédition, la page officielle de l’Expédition 20 récapitule tout.
Ubisoft accélère le tempo : Assassin’s Creed Shadows débarque sur Switch 2 le 2 décembre 2025, avec un portage annoncé via une nouvelle bande-annonce et une feuille de route automnale bien remplie.
Portage Switch 2, cross-save et interface tactile
Le studio confirme que la version Switch 2 inclura d’emblée toutes les mises à jour et contenus gratuits déjà sortis, à l’exception de « Claws of Awaji », attendu en 2026. Le cross-save via Ubisoft Connect permettra de reprendre sa partie d’un système à l’autre, et l’éditeur a adapté l’interface pour l’écran tactile de la console, y compris pour la carte, la boutique et le repaire. Comme le résume Ubisoft, « vous pourrez reprendre où vous vous étiez arrêté », un point clé pour celles et ceux qui jonglent entre plateformes.
Feuille de route d’automne : TU10, TU11 et histoire gratuite
Deux mises à jour majeures arrivent d’ici la fin d’année. La Title Update 10 est prévue le 28 octobre et revoit en profondeur le parkour : suppression de barrières, mouvements ajustés pour fonctionner dans davantage de situations, plus de liberté donc. La Title Update 11, attendue le 25 novembre, signera le troisième chapitre gratuit de l’histoire, « A Puzzlement », avec un ton plus léger, d’après Ubisoft, rappelant Odyssey.
Elle proposera aussi un échange de techniques entre Naoe et Yasuke : Naoe héritera d’une variante du coup de pied de guerre de Yasuke tandis que ce dernier apprendra à neutraliser des ennemis de façon non létale. L’éditeur tease enfin une collaboration spéciale en novembre, sans détail pour l’instant.
Shadows, sorti en mars, continue de s’étoffer à bon rythme. Reste à voir si l’adaptation Switch 2 conservera la fluidité et les ajustements de gameplay promis, surtout avec ces changements de parkour qui touchent le cœur de l’expérience.
Le nouveau Gaming Copilot de Windows 11 fait polémique. Captures d’écran envoyées à Microsoft pour entraîner l’IA (activé par défaut), baisse de FPS constatée allant de 84-89 FPS à 70 FPS sur certaines configurations, et option de collecte active à l’insu des utilisateurs. Une désactivation en quelques minutes permet de reprendre le contrôle.
Microsoft voulait révolutionner l’expérience gaming avec son nouveau Gaming Copilot intégré à Windows 11. Le résultat ? Une levée de boucliers des joueurs PC. Captures d’écran automatiques, chute de performances, collecte de données par défaut… Ce qui devait être un assistant intelligent se transforme en véritable polémique, comme s’il manquait encore un souci à Windows 11.
Voici ce que vous devez absolument savoir.
Le Gaming Copilot, c’est quoi ?
Un assistant IA dans votre barre de jeu
Microsoft a intégré Gaming Copilot directement dans la Game Bar de Windows 11, accessible via Win + G. L’assistant est capable de capturer votre écran, lire le texte affiché grâce à l’OCR (reconnaissance optique de caractères), vous guider dans vos quêtes et même suggérer des builds de personnage. Le tout est relié à votre compte Xbox pour une expérience unifiée.
La promesse marketing
Pour Microsoft, c’est un pilier de sa stratégie visant à transformer chaque PC Windows 11 en PC IA. L’entreprise positionne Gaming Copilot comme l’avenir du gaming assisté par intelligence artificielle.
Déploiement progressif
La fonction est actuellement en phase de bêta publique. Certains utilisateurs Windows 11 y ont accès via la Game Bar, d’autres pas encore. Microsoft déploie progressivement la fonctionnalité sur l’ensemble du parc installé.
Gaming Copilot Windows 11 : Pourquoi cela fait-il scandale ?
Vos parties de jeu utilisées pour entraîner l’IA
Le cœur du problème réside dans l’activation par défaut de l’option « Model training on text« . Concrètement, Gaming Copilot capture vos écrans de jeu et extrait le texte visible pour l’envoyer à Microsoft. L’objectif officiel est d’améliorer l’intelligence artificielle. Dans les faits, vos sessions de jeu servent à nourrir les algorithmes de l’entreprise.
Microsoft affirme que les captures ne sont pas exploitées sans consentement, mais le fait que l’option soit active dès l’installation pose de sérieuses questions sur la notion de consentement éclairé.
Des performances en chute libre
Au-delà des préoccupations liées à la vie privée, Gaming Copilot impacte directement les performances de jeu. Des tests indépendants révèlent une chute significative des images par seconde sur les configurations moyennes. Un jeu tournant habituellement entre 84 et 89 FPS peut tomber à 70 FPS avec Gaming Copilot actif. Sur un PC gaming où chaque frame compte, cette dégradation est difficilement acceptable.
Un assistant jugé peu utile
L’utilité même de l’assistant est remise en cause par de nombreux testeurs. Gaming Copilot est décrit comme un simple moteur de recherche superposé à l’écran plutôt qu’un véritable guide contextuel. Plus problématique encore, l’assistant brise l’immersion en jeu, là où découvrir par soi-même fait partie intégrante du plaisir vidéoludique.
Comment se protéger ?
Méthode 1 : Désactiver la collecte de données
Procédure complète :
Ouvrez la Game Bar en appuyant sur Win + G pendant un jeu ou sur le bureau
Accédez au widget Gaming Copilot via l’icône située en haut à droite
Cliquez sur Paramètres (icône en forme de roue dentée)
Sélectionnez l’onglet Confidentialité
Décochez l’intégralité des options suivantes :
Model training on text
Model training on voice
Share gameplay data
Fermez la Game Bar
Vérification recommandée : Relancez un jeu et ouvrez à nouveau la Game Bar pour confirmer que les options sont bien désactivées.
Pour les utilisateurs souhaitant supprimer totalement cette fonctionnalité :
Ouvrez la Game Bar via Win + G
Effectuez un clic droit sur le widget Gaming Copilot
Sélectionnez « Retirer » ou « Désactiver »
L’assistant disparaîtra définitivement de votre interface.
Action recommandée : Vérifiez dès maintenant vos paramètres Gaming Copilot via Win + G et désactivez les options de collecte de données.
Conclusion
Les joueurs PC ont historiquement défendu leur indépendance et leur contrôle total sur leur machine. Gaming Copilot va à l’encontre de cette philosophie. La fronde observée sur les forums spécialisés et les réseaux sociaux n’est pas une surréaction : c’est un signal fort envoyé à Microsoft concernant les limites à ne pas franchir.
Gaming Copilot de Windows 11 cristallise les inquiétudes légitimes liées à l’ère de l’intelligence artificielle : collecte de données par défaut, perte de contrôle utilisateur, sacrifice de la performance au profit de fonctionnalités contestables.
La bonne nouvelle est que vous pouvez reprendre le contrôle de votre système en quelques manipulations. La question fondamentale demeure : acceptez-vous qu’un assistant IA observe, analyse et collecte vos sessions de jeu ?
Objectif ambitieux ou pari risqué ? D’après Bloomberg, Microsoft pousserait Xbox à atteindre 30 % de marge, un seuil rarement vu dans le jeu vidéo, quitte à multiplier les mesures impopulaires.
Xbox sous pression : marge à 30 %, hausse des prix et coupes
Selon Bloomberg, la directrice financière Amy Hood aurait fixé à l’automne 2023 un objectif de 30 % de marge pour toute l’unité Xbox. Depuis, la division serait entrée en restructuration : licenciements, annulations de projets et budgets resserrés, avec à la clé des hausses tarifaires. Il faut dire que la récente refonte du Game Pass a durci la note : nouveaux paliers Essential, Premium et Ultimate, une offre PC dédiée, et une augmentation d’environ 50 % qui a fait grincer des dents.
D’après S&P Global Market Intelligence, l’industrie tourne plutôt autour de 17 à 22 % de profits, reflet d’une décennie où les coûts de production ont explosé. Les blockbusters modernes sont plus chers que jamais à développer ; l’exemple le plus parlant reste GTA 6, dont le budget évoqué atteindrait 2 milliards de dollars (environ 1,85 milliard d’euros), même si cela n’est pas confirmé. Dans ce contexte, viser 30 % relève de l’exception, généralement réservée à quelques éditeurs majeurs.
Avant les résultats, un cap plus « premium »
À l’approche de l’appel aux résultats de Microsoft prévu le 29 octobre, un point sur Xbox est attendu. Pour approcher ce seuil de rentabilité, il semblerait que la stratégie passe par du matériel plus premium, des logiciels davantage monétisés et des coupes dans les projets jugés non essentiels. Comme le résume la tendance, « atteindre cette marge rare exigera des choix difficiles », selon les éléments rapportés par Bloomberg.
Reste à voir si cette trajectoire tiendra sans éroder la satisfaction des joueurs, déjà échaudés par la hausse du Game Pass, et si Microsoft parviendra à équilibrer ambitions financières et cadence créative.
Un dock eGPU qui réunit Thunderbolt 5 et OCuLink, c’est assez rare pour être souligné. Minisforum officialise le DEG2, successeur du DEG1, et mise sur une double connectique pour couvrir à la fois les laptops TB5 et les PC compacts équipés d’OCuLink.
Thunderbolt 5 et OCuLink, le duo attendu
Le constructeur, déjà précurseur sur l’USB4 v2 à 80 Gb/s, franchit un cap avec un boîtier externe qui supporte Thunderbolt 5 tout en conservant une liaison directe PCIe Gen 4 ×4 via OCuLink. D’après Minisforum, le DEG2 s’appuie sur le contrôleur Intel JHL9480 et embarque un slot PCIe pleine longueur (format physique) pour cartes graphiques de bureau. Rien d’étonnant à ce que la marque promette une compatibilité plus large que son DEG1, limité à l’OCuLink.
Le châssis accepte des alimentations ATX ou SFX via connecteurs 24 broches + 8 broches, et propose un emplacement M.2 2280 pour ajouter du stockage local. De quoi faciliter des configurations eGPU plus polyvalentes, y compris sur des machines sans port OCuLink. Minisforum rappelle par ailleurs une rétrocompatibilité avec Thunderbolt 3/4 et USB4, un point qui devrait rassurer les possesseurs de machines plus anciennes.
Un pas au-delà du DEG1
Le DEG2 élargit la compatibilité par rapport au DEG1 en ouvrant la porte aux « nombreux laptops et mini-PC dépourvus d’OCuLink », selon l’annonce. Il faut dire que l’écosystème Thunderbolt reste plus largement diffusé, tout en laissant l’option OCuLink pour les configurations qui privilégient une liaison PCIe directe à bande passante élevée.
Le produit n’apparaît pas encore sur le site global de la marque. Il a toutefois été présenté parmi les nouveautés de l’IT Week au Japon, signe qu’un lancement approche, mais sans calendrier public ni tarif pour le moment.
Cap franchi pour l’overclocking mémoire DDR5 : le célèbre overclocker Sergmann a atteint 13010 MT/s, un nouveau record mondial signé sur la carte mère Gigabyte Z890 AORUS Tachyon Ice avec de la mémoire Corsair et des processeurs Intel Core Ultra.
Tachyon Ice s’empare du podium mondial DDR5
D’après Gigabyte, les trois meilleures fréquences DDR5 au monde ont été obtenues sur la Z890 AORUS Tachyon Ice. Une domination qui doit beaucoup au travail conjoint du vétéran HiCookie et d’élites de la scène, dont Sergmann. Le constructeur parle d’un jalon « inédit à 13010 MT/s », un chiffre qui valide la maturité de sa plateforme dédiée à l’extrême.
La carte mise sur une alimentation entièrement numérique pour une délivrance de puissance propre et stable, cruciale à ces paliers. Son kit d’outils d’overclocking embarqué regroupe raccourcis, interrupteurs et mesures de tension pour affiner les réglages en direct. Rien d’étonnant à ce que la Tachyon Ice occupe les places 1, 2 et 3 du classement mémoire de HWBOT, confirmant une constance rare à ce niveau.
Records et liens de validation
Pour consulter les soumissions officielles : Top 1 : HWBOT 5909834 ; Top 2 : HWBOT 5912524 ; Top 3 : HWBOT 5899249. Il faut dire que chaque aspect de la Tachyon Ice a été pensé pour les scénarios extrêmes, ce qui facilite ces envolées de fréquence.
Reste à voir si la concurrence parviendra à reprendre la main sur ce segment très pointu. Pour l’heure, la Z890 AORUS Tachyon Ice installe un nouveau standard en DDR5 et signe un triplé mondial qui marque les esprits.
Un clavier 75 % qui parle aux compétiteurs : le YUNZII RT75 PRO arrive avec un double polling 8K en filaire et en 2,4 GHz, des switches magnétiques et un vrai mode rapid trigger. Il faut dire que la fiche technique coche beaucoup de cases pour l’e-sport comme pour le setup du quotidien.
Dual 8K, rapid trigger et switches magnétiques
Selon YUNZII, le RT75 PRO atteint un polling 8000 Hz en USB-C comme en 2,4G, avec une latence annoncée de 0,1 ms en filaire et 1 ms en sans-fil. Le clavier s’appuie sur des switches à effet Hall, compatibles hot-swap avec d’autres modèles magnétiques, dont Gateron.
Triple mode au programme : USB-C, 2,4G et Bluetooth, avec N-key rollover et un scan rate de 128K. La marque résume la promesse en une phrase : « Dual 8K polling rate pour une précision fulgurante ».
La personnalisation passe par un Web Driver maison : remappage, macros, effets RGB, mais aussi des fonctions avancées comme TGL, SOCD, DKS et MT. Reste à voir si l’interface suivra en stabilité, mais sur le papier, l’arsenal est complet.
Format 75 %, acoustique soignée et grosse batterie
Le châssis 75 % (81 touches) vise l’efficacité sans sacrifier les indispensables. Les LED orientées au sud profitent d’un rafraîchissement de 500 Hz pour des effets RGB fluides, synchronisables avec la musique en mode filaire. Chaque touche peut recevoir un motif lumineux dédié via le Web Driver.
Côté son, cinq couches d’amortissement sont intégrées : silicone, IXPE, PET et mousses absorbantes. Objectif : un timbre « crémeux » et moins de bruits parasites, afin d’alterner jeu intensif et bureautique sans gêner l’entourage. Les keycaps en PBT promettent par ailleurs une bonne tenue dans le temps. L’autonomie est confiée à une batterie de 8000 mAh, de quoi envisager de longues sessions en sans-fil.
Côté compatibilité, le RT75 PRO bascule entre Windows, macOS et Android. En filaire, le 8000 Hz cible l’ultra-faible latence ; en 2,4G, la marque vise la stabilité en déplacement. Le tout est proposé en finitions noir et rose, avec une lanière amovible en prime. D’après la fiche du site officiel, le tarif est de 79,99 $, soit environ 75 € hors taxes….bien en-deçà des 260 € du ASUS ROG Azoth 75.
CORSAIR a annoncé aujourd’hui deux nouveaux SSD portables : le SSD externe EX400U SURVIVOR USB4, offrant des vitesses de transfert exceptionnelles dans un design robuste et prêt à voyager, et le SSD externe USB EX300U, doté d’un anneau magnétique compatible MagSafe pour un stockage de données en déplacement sans effort.
EX400U SURVIVOR : 4000 Mo/s et 3600 Mo/s, IP55
Tirant parti de la bande passante élevée de l’USB4, l’EX400U SURVIVOR offre des vitesses de lecture séquentielle ultra-rapides allant jusqu’à 4 000 Mo/s et des vitesses d’écriture séquentielle allant jusqu’à 3 600 Mo/s dans un boîtier durable et résistant aux chocs classé IP55, conçu pour une utilisation dans le monde réel.
Non seulement pour les ordinateurs de bureau et portables USB4/Thunderbolt 4, l’EX400U SURVIVOR est également rétrocompatible avec l’USB 3.2 Type-C et prend en charge les appareils iOS équipés d’USB Type-C. Il suffit de le brancher pour une puissance et une vitesse instantanées sur un seul câble (30 cm/7,5 pouces, inclus).
Conçu pour la mobilité, le boîtier protégé contre l’environnement et classé IP55 de l’EX400U SURVIVOR est conçu pour résister aux chocs et aux éraflures du travail en déplacement. Disponible dans des capacités allant de 1 To à 4 To, cela fait de l’EX400U SURVIVOR un outil idéal pour les créateurs en déplacement, qu’il s’agisse de transférer, d’éditer ou de stocker des données critiques, il est rapide, robuste et conçu pour le long terme.
L’EX400U SURVIVOR comprend le logiciel CORSAIR SSD Toolbox, offrant des options de contrôle de disque avancées telles que l’effacement sécurisé et les mises à jour du micrologiciel. Cela permet aux utilisateurs de maintenir des performances et une sécurité des données optimales au fil du temps. Soutenu par une garantie limitée de cinq ans, il offre la tranquillité d’esprit aux utilisateurs qui exigent une qualité et une fiabilité de premier ordre. Un support client expert est également disponible pour toute demande de renseignements, ce qui renforce la valeur de ce SSD externe.
CORSAIR EX300U : montage magnétique pratique compatible MagSafe pour un stockage rapide n’importe où
L’EX300U compact offre un stockage portable fiable et rapide dans un design convivial. Connectez-vous via USB 3.2 Gen 2 (Type-C) pour des lectures allant jusqu’à 1 100 Mo/s et jusqu’à 1 100 Mo/s en écriture, ce qui est idéal pour déplacer des photos, éditer des vidéos et sauvegarder rapidement des appareils. L’anneau magnétique intégré compatible MagSafe permet de le fixer facilement à votre iPhone ou à d’autres surfaces magnétiques pour une capture pratique et une flexibilité de flux de travail.
L’EX300U fonctionne de manière transparente avec les appareils Windows, macOS, iPhone, iPad et Android, offrant une simplicité plug-and-play pour le travail en déplacement ou la capture de contenu.
Disponible de 1 To à 4 To, l’EX300U inclut également la prise en charge de la boîte à outils SSD CORSAIR et bénéficie d’une garantie limitée de trois ans ainsi que d’un accès au support client expert de CORSAIR.
Disponibilité, garantie et prix
Les disques SSD externes CORSAIR EX400U SURVIVOR USB4 et EX300U USB External SSD sont disponibles dès maintenant sur la boutique en ligne CORSAIR et dans le réseau mondial de détaillants et de distributeurs agréés CORSAIR.
Les disques SSD externes CORSAIR EX400U USB4 bénéficient d’une garantie de cinq ans, en plus du service client et du réseau d’assistance technique de CORSAIR dans le monde entier. Le SSD externe USB CORSAIR EX300U est couvert par une garantie de trois ans.
EX400U SURVIVOR USB4 1 To : 159,99 euros / 2 To : 279,99 euros / 4 To : 464,99 euros,
EX300U 1 To : 109,99 euros / 2 To : 184,99 euros / 4 To : 369,99 euros