NVIDIA continue d’explorer le filon des éditions collector avec une nouvelle GeForce RTX 5090 Founders Edition thématisée DOOM The Dark Ages. Après une version dédiée à Battlefield 6, le constructeur organise cette fois un tirage au sort pour cette variante au design inspiré de l’univers du jeu.
Une RTX 5090 custom DOOM: The Dark Ages à gagner
Cette opération s’inscrit dans la campagne GeForce Season de NVIDIA. Le lot en question est une GeForce RTX 5090 Founders Edition recouverte d’un habillage personnalisé inspiré de DOOM: The Dark Ages, l’épisode à venir de la série de Bethesda. D’après les informations partagées, il s’agit bien d’un modèle limité, réservé à ces opérations spéciales.
Pour mémoire, la RTX 5090 représente le haut de gamme actuel de NVIDIA basé sur l’architecture Blackwell. La carte met évidemment en avant les dernières technologies maison, notamment le DLSS 4 et les fonctionnalités de ray tracing de dernière génération dont profitera DOOM: The Dark Ages sur PC. NVIDIA rappelle ainsi que le titre exploitera ces options dès sa sortie, ce qui en fait une vitrine idéale pour cette édition spéciale.
Une collection de RTX 5090 à thèmes qui s’allonge
Ce concours élargit la série de cartes à thème déjà lancée par NVIDIA. La marque compte désormais plus de neuf designs limités de GeForce RTX 5090 avec art personnalisé ou wrap spécifique. On y trouve des cartes aux couleurs de Cyberpunk 2077, Marvel Rivals, FBC Firebreak, Borderlands 4 ou encore Battlefield 6, complétées par une RTX 5090 Superman peinte à la main.
La carte GeForce Season du moment est d’ailleurs déjà la deuxième RTX 5090 habillée DOOM: The Dark Ages offerte en 2025. Pour les collectionneurs comme pour les curieux, tous ces modèles custom sont répertoriés dans une base de données dédiée chez VideoCardz, qui recense les différentes éditions limitées basées sur la RTX 5090 et permet de suivre l’extension de cette gamme très particulière.
Dernier baroud d’honneur pour le socket LGA-1851 : Intel préparerait une gamme Arrow Lake Refresh qui vise à corriger le tir, après un premier jet desktop pas franchement convaincant côté jeux.
Arrow Lake Refresh : un ultime upgrade pour le LGA-1851
D’après les informations rapportées par VideoCardz , Intel plancherait sur de nouveaux Core Ultra 200 « Plus » pour fin 2025, présentés comme un dernier effort avant le passage au socket LGA-1954 avec Nova Lake. Aucun calendrier précis n’est communiqué pour cette future plateforme, mais Arrow Lake Refresh s’imposerait comme la dernière évolution officielle du LGA-1851.
Il faut dire que le lancement des premiers Arrow Lake desktop n’a pas impressionné les joueurs. Intel a lui-même reconnu dans ses documents internes qu’Arrow Lake pouvait être plus lent que Raptor Lake en gaming, avant de proposer des modes de boost particuliers sortant du cadre des spécifications de base. Ces ajustements apportaient des gains, mais au prix de réglages supplémentaires côté utilisateur ou constructeur de cartes mères.
Avec cette révision, une partie de ces optimisations serait intégrée directement dans le silicium et dans les fiches techniques officielles. L’autre gros axe d’évolution concerne le support mémoire DDR5, officiellement relevé à 7200 MT/s sur toute la gamme Arrow Lake Refresh, contre 6400 MT/s pour les actuels Core Ultra 9 285K, Ultra 7 265K et Ultra 5 245K.
Parallèlement, les modules CUDIMM les plus rapides ont déjà montré qu’Arrow Lake peut grimper à environ 9000 MT/s dans des conditions optimales. La nouvelle spécification semble donc surtout aligner le papier avec ce que permettent déjà les meilleures cartes mères et kits DDR5 du marché.
Core Ultra 9, 7 et 5 : fréquences retouchées et plus de cœurs E
Core Ultra 9 290K Plus
En tête de gamme, le Core Ultra 9 290K Plus reste très proche du 285K actuel. On retrouve une configuration de 8 cœurs P et 16 cœurs E, pour un total de 24 cœurs hybrides. Le changement se joue surtout sur les fréquences : le Thermal Velocity Boost monterait à 5,8 GHz au lieu de 5,7 GHz, tandis que le turbo des E-cores grimperait à 4,8 GHz. Les fréquences de base ne bougent pas, tout comme le profil de puissance, annoncé à 125 W de base et 250 W en turbo maximal.
Core Ultra 7 270K Plus
Les mouvements les plus intéressants se situent toutefois sur les gammes Ultra 7 et Ultra 5. Le Core Ultra 7 270K Plus passerait lui aussi à une configuration 8P+16E, identique en nombre de cœurs à la série 9, offrant ainsi beaucoup plus de débit en E-cores que les Ultra 7 actuels. Ses fréquences maximales atteindraient 5,5 GHz pour le Turbo Boost Max et 5,4 GHz pour le turbo des P-cores, ce qui le place très proche d’un 265K en fréquence, avec plus de cœurs pour épauler les charges lourdes.
Core Ultra 5 250K Plus
Du côté des Ultra 5, le Core Ultra 5 250K Plus profiterait également d’une montée en cœurs : 6P+12E, contre 6P+8E pour le 245K. Le turbo des P-cores progresserait légèrement de 5,2 GHz à 5,3 GHz, alors que le turbo des E-cores resterait à 4,7 GHz.
Intel conserverait le même TDP de base de 125 W et un turbo maximal de 159 W, ce qui signifie officiellement plus de cœurs et un peu plus de fréquence à enveloppe inchangée. Bien entendu, le comportement en charge soutenue dépendra toujours des limites fixées par les fabricants de cartes mères.
Arrow Lake vs Arrow Lake Refresh
VideoCardz.com
Ultra 9 290K Plus
Ultra 9 285K
Ultra 7 270K Plus
Ultra 7 265K
Ultra 5 250K Plus
Ultra 5 245K
Cœurs (P+E)
8P+16E
8P+16E
8P+16E
8P+12E
6P+12E
6P+8E
TVB
5,8 GHz
5,7 GHz
–
–
–
–
Turbo Boost Max
5,6 GHz
5,6 GHz
5,5 GHz
5,5 GHz
–
–
Turbo P-Core
5,6 GHz
5,5 GHz
5,4 GHz
5,4 GHz
5,3 GHz
5,2 GHz
Turbo E-Core
4,8 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
4,7 GHz
4,6 GHz
Base P-Core
3,7 GHz
3,7 GHz
3,7 GHz
3,9 GHz
4,2 GHz
4,2 GHz
Base E-Core
3,2 GHz
3,2 GHz
3,2 GHz
3,3 GHz
3,5 GHz
3,6 GHz
Support mémoire
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
DDR5-7200
DDR5-6400
Puissance de base
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
125 W
Puissance turbo max
250 W
250 W
250 W
250 W
159 W
159 W
Remplacement ou enrichissement ?
Il semblerait qu’Intel ne recycle pas les références existantes pour ces modèles revus, avec les Core Ultra 9 290K Plus, 7 270K Plus et 5 250K Plus qui viendraient s’ajouter au catalogue existant.
Reste à savoir si ces puces remplaceront à terme les modèles actuels ou s’il s’agit de véritables déclinaisons haut de gamme destinées à cohabiter durablement. L’historique du fondeur suggère toutefois que toutes les variantes Arrow Lake resteront probablement disponibles en parallèle pendant un certain temps.
Évolution ou révolution ?
En résumé, Arrow Lake Refresh chercherait moins à révolutionner la plateforme qu’à l’affiner : quelques dizaines de MHz de plus au sommet, davantage de cœurs E sur les segments Ultra 7 et Ultra 5, et un support DDR5 7200 MT/s qui officialise des capacités déjà observées.
Reste à voir si ces ajustements suffiront à faire oublier un Arrow Lake desktop jugé timide en jeu, et à maintenir l’intérêt des joueurs sur LGA-1851 avant la bascule vers Nova Lake et le socket LGA-1954.
Pour le Black Friday de cette année, Creative monte le son : du 27 novembre au 1er décembre 2025, les chasseurs de bonnes affaires peuvent s’attendre à des offres imbattables sur les écouteurs, les haut-parleurs et les cartes son de l’ensemble de la gamme audio, et les fans d’audio ne sont pas les seuls à pouvoir s’attendre à des remises importantes sur certains des produits les plus populaires de Creative. Et avec le code promotionnel, FIRST10, il sera possible de bénéficier d’une réduction supplémentaire de 10 % sur des prix déjà réduits à la caisse sur creative.com. Voici un premier aperçu des meilleures offres :
Offres Creative pour le Black Friday :
Stage Pro – 29 % de réduction !
Prix normal : 139,99 EUR Prix Black Friday : 99,99 EUR
Parfait pour les petits espaces, la Creative Stage Pro transforme votre bureau ou votre salon en un mini home cinéma. Avec Dolby Audio et un puissant caisson de basses, il offre un son qui remplit la pièce, des basses riches et des dialogues cristallins pour une expérience immersive dans les films, la musique et les jeux. Il suffit de se connecter via HDMI ARC, USB-C, optique, AUX ou Bluetooth 5.3 et de profiter d’un son parfait avec un minimum d’effort. Compacte, élégante et immersive, la Stage Pro donne à chaque instant un son plus grand.
Pebble Nova – 21 % de réduction !
Prix normal : 279,99 EUR Prix Black Friday : 219,99 EUR
Là où un son exceptionnel rencontre un design cosmique : les Creative Pebble Nova offrent des aigus clairs, des médiums équilibrés et des basses riches et immersives avec des haut-parleurs coaxiaux sur mesure, le tout dans un format compact qui s’intègre dans n’importe quelle configuration moderne. Les connectivités USB-C et Bluetooth 5.3 permettent de basculer facilement entre l’ordinateur portable, le smartphone et la tablette. Chaque note, chaque détail, chaque instant sont magnifiquement amplifiés dans un design aussi élégant qu’il en a l’air.
Sound Blaster GS3 – 27 % de réduction !
Prix normal : 54,99 EUR Prix Black Friday : 39,99 EUR
Le son de bureau passe au niveau supérieur : la Creative Sound Blaster GS3 offre un son clair et complet pour la musique, les appels et les films. Grâce à sa conception compacte, elle s’adapte à n’importe quel poste de travail et sa connexion USB-C facilite sa configuration. Que vous travailliez, jouiez ou diffusiez du contenu en streaming, le GS3 donne vie à chaque son.
Sound Blaster GS5 – 25 % de réduction !
Prix normal : 79,99 EUR Prix Black Friday : 59,99 EUR
Une barre de son de bureau compacte mais puissante qui transforme les jeux et le divertissement en expériences uniques. Avec une puissance de crête de 60 W, un son SuperWide (modes de champ proche et lointain) et des connexions polyvalentes via USB-C, entrée optique, AUX et Bluetooth 5.3, la Creative GS5 offre un son immersif et enveloppant dans un design élégant et moderne avec un éclairage RVB subtil.
Aurvana Ace SXFI – 10 % de réduction !
Prix normal : 99,99 EUR Prix Black Friday : 89,99 EUR
Des écouteurs sans fil minces dotés de fonctionnalités haut de gamme, seulement environ 6 g par écouteur, avec une certification IPX5 pour les entraînements et les voyages. Offrez un son immersif avec une architecture à double haut-parleur (10 mm Dynamic + xMEMS) et un son spatial Super X-Fi Gen 4. L’ANC adaptatif, le mode ambiant, le Bluetooth 5.3, l’appairage multipoint et la recharge sans fil en font le compagnon idéal des mélomanes, des joueurs et des conteurs.
Pebble X Plus – 29 % de réduction !
Prix normal : 139,99 EUR Prix Black Friday : 99,99 EUR
Avec une puissance allant jusqu’à 30 W RMS et une puissance de crête allant jusqu’à 60 W, ce système 2.1 offre une expérience d’écoute immersive pour la musique, les films et les jeux. De plus, l’éclairage RVB personnalisable assure un jeu de lumière pulsé pour s’adapter à toutes les humeurs. Avec des modes filaire et sans fil, ces haut-parleurs sont le choix idéal pour ceux qui cherchent à améliorer leur audio de bureau.
Sound Blaster X5 – 13 % de réduction !
Prix normal : 299,99 EUR Prix Black Friday : 259,99 EUR
Un puissant DAC/amplificateur USB qui apporte une fidélité audiophile au bureau. Avec deux DAC Cirrus Logic, une lecture 32 bits/384 kHz et une sortie casque symétrique, le Creative X5 offre une clarté irréprochable, une large scène sonore et suffisamment de puissance pour les casques exigeants, ce qui est parfait pour les mélomanes, les joueurs et les créateurs de contenu.
Aurvana Ace Mimi – 15 % de réduction !
Prix normal : 129,99 EUR Prix Black Friday : 109,99 EUR
Un son individuel, un style individuel : l’Aurvana Ace Mimi s’adapte à l’audition de l’utilisateur pour une expérience sonore véritablement personnalisée. Pour un son détaillé, des appels clairs et un contrôle de l’environnement grâce à la suppression du bruit et au mode ambiant. Du trajet du matin à la détente du soir, les Ace Mimi garantissent un ajustement confortable, une liberté sans fil et un plaisir musical prolongé.
Quand un spécialiste de l’esport absorbe un concepteur culte, le tapis change de texture : Pulsar Gaming Gears transforme les modèles Lethal Gaming Gear en une nouvelle ligne unifiée, les Pulsar eS Pads.
Pulsar intègre l’héritage LGG et lance les eS Pads
Pulsar Gaming Gears (AplusX Inc.) officialise la gamme de mousepads Pulsar eS Pads, fruit de l’acquisition de Lethal Gaming Gear. Objectif affiché : apporter des surfaces de compétition reconnues à l’échelle mondiale avec une constance de fabrication garantie. Les designs historiques LGG sont rebrandés et réingénierisés sous la bannière eS, intégrés au catalogue Pulsar, tandis que Lethal Gaming Gear se recentre sur un rôle de distributeur. D’après Dylan Hessman, COO de Pulsar Americas Inc., « l’intégration de notre expertise LGG dans la ligne Pulsar marque une étape importante » et doit offrir des surfaces capables de « vraiment rivaliser au plus haut niveau de l’esport ».
La promesse est claire : précision, vitesse et surtout constance d’un tapis à l’autre. Le lancement initial aligne des variantes taillées pour des styles de jeu distincts, avec deux références phares : Mercury Pro (vitesse/hybride) et Saturn Pro (contrôle).
Mercury Pro et Saturn Pro : le choix entre vitesse et contrôle
Le premier lot doit arriver en fin novembre ou début décembre 2025. Le déploiement commencera en Corée et au Japon le 13 novembre, puis s’étendra à d’autres marchés. Reste à voir si la qualité annoncée et la disponibilité globale suivront le rythme des attentes des joueurs compétitifs.
SCUF muscle son jeu côté simracing : la marque du groupe Corsair lance une édition Oracle Red Bull Sim Racing de sa manette SCUFValor Pro Wireless, dévoilée juste après le Grand Prix du Brésil de Formule 1. Une sortie qui s’inscrit dans un partenariat exclusif et pluriannuel avec l’écurie championne de F1 virtuelle.
SCUF Valor Pro Wireless, Reflex Pro et Envision aux couleurs Oracle Red Bull
La collection couvre les plateformes Xbox et PC avec la SCUF Valor Pro Wireless, PlayStation 5 avec la Reflex Pro, et PC avec l’Envision, chacune déclinée en Oracle Red Bull Racing. La SCUF Valor Pro Wireless pour PC et Xbox est annoncée disponible le 13 novembre à partir de 179,99 $ selon la présentation initiale, puis listée à 189,99 $ (≈165–175 € suivant la conversion) sur la boutique SCUF et chez certains revendeurs. Elle est compatible Windows 10 et 11, Xbox Series X|S et Xbox One.
SCUF met l’accent sur la précision chère au simracing. « La victoire se joue à la fraction de seconde », rappelle la marque, qui apporte ses joysticks à effet Hall anti-drift et des gâchettes instantanées réglables pour affiner les temps au tour. Le châssis mise sur l’ergonomie maison : grips contournés, poids contenu et forme retravaillée pour placer naturellement les doigts sur les palettes, avec des pare-chocs profilés pour passer plus vite des gâchettes aux bumpers.
Fonctions clés et personnalisation
Au menu : sticks Endurance TMR annoncés plus durables tout en gardant la sensation d’origine, quatre palettes arrière remappables sur trois profils (les deux internes peuvent être retirées ou neutralisées), et une connectivité tri-mode PC, Xbox et Bluetooth. En mode PC filaire, le polling grimpe à 1000 Hz. Côté Xbox, la SCUF Valor Pro Wireless fonctionne en filaire ou en sans-fil aux spécifications de la console, tandis que le Bluetooth ouvre la porte aux appareils compatibles.
Pratique en course en ligne, des commandes audio dédiées sur la SCUF Valor Pro Wireless gèrent volume casque, mix Jeu/Chat, et mute casque/micro sans lâcher les sticks. Une application compagnon est annoncée « prochainement » sur Xbox et PC pour ajuster profils, zones mortes, sensibilités, vibrations et recalibrage complet. La batterie rechargeable promet jusqu’à 17 heures et une charge rapide. Des options de personnalisation et des designs créateurs sont également prévus pour l’édition Oracle Red Bull Sim Racing.
Le partenariat global fait de SCUF le contrôleur officiel d’Oracle Red Bull Racing et d’Oracle Red Bull Sim Racing, avec des manettes sous licence, du branding sur la voiture virtuelle et les maillots, ainsi que des contenus dédiés. D’après l’annonce, l’équipe vise le prochain Formula One Sim Racing World Championship avec Jarno Opmeer, triple champion et tenant du titre, aux côtés de Frederik Rasmussen, ancien champion. SCUF équipera aussi des partenaires de l’écurie et proposera des remises aux Paddock Members.
Patriot Memory annonce un moment historique pour sa mémoire DDR5 haut de gamme Viper Xtreme 5 : elle devient officiellement la RAM la plus rapide au monde, franchissant pour la première fois la barre symbolique des 13 200 MT/s. Le nouvel exploit validé atteint exactement 6605,7 MHz (13 211,4 MT/s).
Viper Xtreme 5 : un record conjoint
Cet overclock record a été réalisé par l’overclockeur professionnel Ai Max, avec l’aide de l’expert en tuning Brian “Chew”, en utilisant la Viper Xtreme 5 DDR5 sur un Intel Core Ultra 7 265K et une GIGABYTE Z890 AORUS Tachyon Ice, refroidie à l’azote liquide. Ce score est désormais classé #1 mondial sur HWBOT, confirmant la maîtrise technique de Patriot et sa capacité à repousser les limites de la DDR5.
Chaque module de la série Viper Xtreme 5 est conçu pour l’élite de l’overclocking, grâce à un PCB optimisé, un binning rigoureux des puces mémoire et une architecture pensée pour la stabilité à très haute fréquence. Patriot souligne que cette performance n’est pas seulement un record, mais la preuve de la qualité et de la fiabilité de sa gamme DDR5 pour les compétiteurs et les passionnés extrêmes.
La série Patriot Viper Xtreme 5 DDR5 est disponible dès maintenant dans de nombreuses capacités et vitesses chez les distributeurs et revendeurs agréés dans le monde entier.
La dernière mise à jour de NZXT CAM (4.75.6) apporte des améliorations de l’éclairage et de la stabilité, une prise en charge étendue des processeurs et des mises à jour du micrologiciel pour les équipements de jeu NZXT.
Nouveautés de NZXT CAM 4.75.6
Bug Fixes
Résolution d’un problème provoquant des interférences de ventilateur et un comportement instable lors du contrôle des périphériques sur différents canaux.
Optimisation du comportement de contrôle de l’éclairage pour les appareils non reconnus.
Correction d’un affichage anormal de l’interface utilisateur de l’éclairage de la RAM RVB lors de l’utilisation des cartes mères N7 Z890, N9 Z890, N9 X870E et N7 B850.
Correction d’icônes de ventilateur incorrectes pour les ventilateurs AER 1/2, F120/140, F120/140 RGB Duo et F RGB Core lors de l’utilisation du mode d’éclairage audio.
Correction d’un problème avec le Function Elite MiniTKL où l’éclairage sur les profils 3 et 4 s’éteignait après avoir changé le mode d’éclairage.
Mises à jour du micrologiciel
Function Elite MiniTKL – v2.2.14 : Correction de problèmes survenant après le réveil du mode veille.
NZXTLift 2 – v1.1.24 : Correction du problème du curseur de la souris qui ne répondait pas après une panne de courant et le redémarrage.
Ajout de la prise en charge du processeur
Intel Core Ultra 3 205 (Arrow Lake)
Intel Core 3/5/7 2xxE (Bartlett Lake)
Intel Core i5 110 (Comet Lake)
AMD Ryzen 5 5600F (Vermeer)
AMD Ryzen 9 PRO 9945, Ryzen 7 PRO 9745, Ryzen 5 PRO 9645 (Granite Ridge)
Thermaltake dévoile le View 390 TG, un boîtier PC moyen-tour premium pensé pour mettre en valeur les configurations de nouvelle génération. Son design associe une façade en verre trempé et un panneau latéral gauche incurvé, offrant une vue panoramique fluide sur le matériel interne. Disponible en noir ou en version Snow, le View 390 TG allie esthétique et fonctionnalité.
Conçu pour les cartes mères ATX standard et à connecteur caché (ASUS BTF, MSI Project Zero, Gigabyte Project Stealth), le View 390 TG facilite la gestion des câbles grâce à des découpes de routage intégrées, pour une présentation propre et professionnelle.
Le View 390 TG intègre deux ventilateurs CT120 PWM préinstallés à l’arrière, assurant un flux d’air efficace dès la sortie de boîte. Il prend également en charge un radiateur de 360 mm monté sur le côté, idéal pour les configurations à refroidissement liquide hautes performances.
Les utilisateurs peuvent personnaliser davantage leur build avec les kits d’écran LCD 6″ ou 3,9″ optionnels, compatibles avec le logiciel TT RGB PLUS pour afficher des données système en temps réel ou des visuels animés.
Le View 390 TG propose des emplacements PCI-E rotatifs permettant un montage horizontal ou vertical du GPU, complétés par un support anti-affaissement et un guide de câble intégré pour un alignement impeccable.
Côté stockage, il prend en charge jusqu’à trois SSD 2,5″ ou deux disques 3,5″, tandis que la conception modulaire DMD (Dismantlable Modular Design) simplifie les assemblages et les mises à jour futures. Le panneau supérieur comprend deux ports USB 3.0, un USB 3.2 Gen 2 Type-C et une prise audio HD pour un accès direct et pratique.
Caractéristiques principales du View 390 TG :
Panneaux avant et latéral gauche en verre trempé incurvé,
Compatibilité totale avec les cartes mères à connecteur caché,
Prise en charge jusqu’à huit ventilateurs de 120 mm,
Radiateur de 360 mm monté sur le côté,
Kit LCD optionnel pour affichage système et contenus animés,
Ports USB-C Gen 2 et USB 3.0 sur le panneau supérieur.
Le chaos s’invite dans le cloud gaming : NVIDIA transforme son « GFN Thursday » en grosse mise à jour avec l’arrivée de Call of Duty: Black Ops 7, d’Anno 117: Pax Romana optimisé pour la classe GeForce RTX 5080 et d’Assetto Corsa Rally, le tout accompagné de neuf autres titres.
Black Ops 7 débarque dans le cloud, Anno 117 en vitrine RTX 5080
Call of Duty: Black Ops 7 est jouable cette semaine dès son lancement sur GeForce Now, y compris sur des machines modestes comme les laptops peu puissants, les Mac et le Steam Deck. NVIDIA rappelle d’ailleurs que, pour la console portable de Valve, « la seule façon de jouer au jeu sur Steam Deck est via GeForce Now ». Les abonnés Premium profitent d’un accès instantané sans téléchargements, avec les fréquences d’images les plus élevées, une latence réduite et des sessions de jeu plus longues.
Côté stratégie, Anno 117: Pax Romana vient renforcer l’offre d’Ubisoft dans le cloud. L’épisode s’appuie sur l’héritage de la série de city-builder et de stratégie, en invitant les joueurs à façonner le monde au sommet de la puissance de l’Empire romain.
On y incarne un dirigeant romain chargé d’étendre les territoires, de gérer le commerce et de trouver un équilibre entre prospérité et intrigues politiques dans un monde antique minutieusement recréé. Anno 117 est l’un des premiers jeux à être mis en avant comme prêt pour la puissance de classe GeForce RTX 5080 dans le cloud.
Côté infrastructure, la région de Phoenix est la plus récente à bénéficier de la puissance de classe GeForce RTX 5080, tandis que Stockholm doit suivre prochainement. NVIDIA renvoie à une page de suivi pour observer la progression du déploiement des serveurs Blackwell RTX dans les différentes régions.
Assetto Corsa Rally et la liste complète des nouveaux jeux
Les amateurs de sport automobile ne sont pas oubliés avec Assetto Corsa Rally, édité par 505 Games. Le titre s’intéresse au rallye avec une approche très exigeante, misant sur l’imprévisibilité et la difficulté de la discipline. Chaque épreuve impose des conditions dynamiques, de l’adhérence variable du revêtement à la météo changeante en passant par les réactions du public, ce qui demande des réflexes affûtés et une adaptation permanente.
Article tech : Assetto Corsa Rally arrive en accès anticipé le 13 novembre, avec circuits laser-scan et simulation pointue pour sim-racers.
Les tracés sont laser-scannés, avec des environnements réalistes et des notes de copilote authentiques, fournies par de vrais professionnels du rallye, selon NVIDIA. L’objectif est de retranscrire au mieux la passion du sport automobile et le souci du détail propre à cette licence.
Surviving Mars: Relaunched (nouvelle sortie sur Steam, 10 novembre)
Possessor(s) (nouvelle sortie sur Steam, 11 novembre)
Rue Valley (nouvelle sortie sur Steam, 11 novembre)
Anno 117: Pax Romana (nouvelle sortie sur Steam et Ubisoft, 13 novembre, compatible GeForce RTX 5080)
Assetto Corsa Rally (nouvelle sortie sur Steam, 13 novembre)
INAZUMA ELEVEN: Victory Road (nouvelle sortie sur Steam, 13 novembre)
Songs of Silence (nouvelle sortie sur Epic Games Store, gratuit le 13 novembre)
Call of Duty: Black Ops 7 (nouvelle sortie sur Steam, Battle.net et Xbox, disponible via PC Game Pass, 14 novembre)
Where Winds Meet (nouvelle sortie sur Epic Games Store, 14 novembre)
Megabonk (Steam)
R.E.P.O. (Steam)
RV There Yet? (Steam)
NVIDIA précise que les membres qui possèdent déjà des titres « Install-to-Play » qui basculent cette semaine en « Ready-to-Play » peuvent les réintégrer à leur bibliothèque GeForce Now via une procédure détaillée dans un article d’assistance. Tous les sauvegardes Steam Cloud existantes sont conservées, ce qui permet de reprendre une partie en cours sans interruption, mais dans le cloud.
Reste à voir comment l’alliance de Black Ops 7, d’Anno 117 optimisé RTX 5080 et d’Assetto Corsa Rally dopera l’attrait de GeForce Now pour les joueurs PC et les utilisateurs de machines moins puissantes, alors que le déploiement de l’architecture Blackwell se poursuit région par région.
ASUS enrichit sa gamme GeForce RTX 5060 avec une nouvelle série Dual EVO. Cette révision introduit un PCB plus court et une disposition différente des connecteurs, tout en conservant un design compact pensé pour les configurations limitées en espace. Les cartes mesurent 225 × 120 × 42 mm et occupent 2,1 slots.
Un format réduit et un nouveau connecteur PCIe 5.0 x8
Selon les données publiées par ASUS, ces modèles seraient les premiers du constructeur à adopter un connecteur PCIe 5.0 x8 physique. Le PCB raccourci permet d’obtenir des cartes plus simples à intégrer dans les boîtiers compacts, sans modification des caractéristiques principales par rapport aux versions Dual classiques.
Le refroidissement repose sur deux ventilateurs Axial-tech à double roulement, un carénage retravaillé, un arrêt complet des ventilateurs au repos et une plaque arrière ventilée pour faciliter l’évacuation thermique.
Le refroidissement repose sur deux ventilateurs Axial-tech à double roulement, un carénage retravaillé, un arrêt complet des ventilateurs au repos et une plaque arrière ventilée pour faciliter l’évacuation thermique.
Quatre modèles, avec ou sans overclocking
ASUS décline cette série en RTX 5060 et RTX 5060 Ti, chacune proposée en version standard ou OC. Les fréquences annoncées sont les suivantes :
RTX 5060 EVO OC OC : 2565 MHz Mode par défaut : 2535 MHz
RTX 5060 EVO OC : 2527 MHz Mode par défaut : 2497 MHz
RTX 5060 Ti EVO OC OC : 2632 MHz Mode par défaut : 2602 MHz
RTX 5060 Ti EVO OC : 2602 MHz Mode par défaut : 2572 MHz
Ces fréquences sont identiques à celles des modèles Dual non EVO, la principale évolution portant sur le PCB et l’agencement du refroidissement.
Une présence discrète pour l’instant
Les cartes sont désormais référencées sur le site d’ASUS, mais ne figurent pas encore chez les revendeurs, et aucun tarif n’a été communiqué pour le moment.
Dans la jungle des boîtiers compacts, Gamdias tente de se distinguer avec une micro-tour qui ne veut pas sacrifier le refroidissement : voici la nouvelle série Athena M4M, déclinée en deux modèles dont une version habillée de bois.
Deux micro-tours compactes, dont une Athena M4M Wood à façade bois
Gamdias présente la série Athena M4M comme une gamme de boîtiers micro-tour pensée pour maximiser les performances dans un format réduit. Deux variantes sont au programme : l’Athena M4M classique, équipée d’une façade mesh avec bande lumineuse ARGB, et l’Athena M4M Wood qui combine la même base technique avec une finition en bois naturel au niveau de l’interface I/O.
Le tout s’inscrit dans le slogan 2025 de la marque, « GAMING REIMAGINED ».
D’après Stimson Wang, CEO de Gamdias, l’Athena M4M « redéfinit les configurations compactes » en misant sur une forte efficacité thermique, la compatibilité avec des radiateurs de 360 mm en haut et en bas, et une conception prête pour les cartes mères à connecteurs cachés (BTF), le tout dans un encombrement réduit.
Les deux modèles partagent une base commune : façade entièrement perforée, ouvertures supplémentaires sur le dessus et sur le côté et trois ventilateurs 120 mm NOTUS M1 préinstallés (deux en façade en intake, un à l’arrière en extraction).
Gamdias annonce un fonctionnement orienté performances mais discret, avec des ventilateurs frontaux noirs pour une apparence symétrique. Sur la version Athena M4M, un hub PWM ARGB 8 ports est installé d’origine pour gérer à la fois la ventilation et l’éclairage, avec synchronisation et personnalisation simplifiées.
Conception modulaire, alimentation à l’avant et support des cartes mères BTF
La série Athena M4M mise aussi sur la facilité de montage. L’alimentation est positionnée à l’avant du châssis, avec des connecteurs orientés vers le bas. Un câble d’extension permet de déporter la prise secteur à l’arrière du boîtier pour une utilisation classique. Un carénage complet de l’alimentation vient masquer l’excédent de câbles pour un intérieur plus propre.
Autre point important, le support des cartes mères à connecteurs cachés, dites BTF : les câbles se branchent à l’arrière de la carte, ce qui permet une présentation très épurée côté vitre, sans faisceaux visibles. Pour accompagner cela, Gamdias a rendu la plupart des panneaux modulaires et facilement détachables. Les panneaux latéraux utilisent un système de clips, tandis que le panneau supérieur est maintenu par des vis à main, de quoi faciliter l’accès lors de l’installation ou de la maintenance.
Un support de carte graphique est également fourni d’origine afin de limiter l’affaissement des GPU imposants. De quoi rassurer les utilisateurs de cartes pouvant atteindre jusqu’à 395 mm de longueur, valeur annoncée par le constructeur.
La connectique frontale se veut moderne avec notamment un port USB 3.2 Gen 2 Type-C à 10 Gbit/s, complété par deux ports USB 3.0, des commandes pour l’éclairage (LED) et l’audio HD. Malgré son format micro-tour, l’Athena M4M accepte des cartes mères microATX et Mini-ITX, des radiateurs de 360 mm en haut et en bas du châssis, des cartes graphiques jusqu’à 395 mm et des alimentations jusqu’à 150 mm de longueur.
Côté stockage, les options sont modestes mais suffisantes pour un PC gaming compact : soit un disque 3,5 pouces et un SSD 2,5 pouces, soit deux unités 2,5 pouces. Des filtres à poussière magnétiques sont placés sur le dessus et sur le côté, afin de limiter l’encrassement tout en préservant le flux d’air.
Disponiblité & Tarif
En matière de tarification, Gamdias annonce l’Athena M4M à 79,9 dollars et l’Athena M4M Wood à 89,9 dollars, soit environ 75 et 85 euros TTC à titre indicatif, hors éventuels ajustements de distribution. Reste à voir comment ces micro-tours se positionneront face aux nombreux boîtiers compacts déjà bien installés sur le marché.
Lian Li présente la SP Platinum, une nouvelle gamme d’alimentations SFX modulaires destinées aux configurations compactes haut de gamme. Déclinée en 850 W et 1000 W, la série affiche une certification 80 Plus Platinum et une conformité complète avec les normes ATX 3.1 et PCIe 5.1. Les deux modèles intègrent un connecteur 12V-2×6 conçu en interne, pensé pour une alimentation stable des cartes graphiques de dernière génération.
Conception et plateforme : SFX haut rendement, moderne et contrôlée
La SP Platinum repose sur un ensemble de composants premium, dont des condensateurs japonais 105 °C et une régulation précise accompagnée d’un jeu complet de protections électriques. L’alimentation utilise un ventilateur FDB de 92 mm, calibré pour rester à l’arrêt jusqu’à 40 % de charge afin de réduire totalement le bruit au repos.
Chaque unité inclut un câble d’alimentation rallonge avec interrupteur intégré. Ce système facilite l’extinction manuelle du bloc lorsque l’accès au panneau arrière du boîtier est limité, notamment dans les configurations compactes.
Câblage modulable et installation simplifiée en SFF
Les SP Platinum sont livrées avec des câbles modulaires souples, gainés et adaptés aux montages dans les petits volumes, où le rayon de courbure est souvent un point de blocage. Un adaptateur SFX-vers-ATX est également fourni pour une installation dans un châssis au format standard si nécessaire.
Le connecteur GPU 12V-2×6 fourni prend en charge jusqu’à 600 W, un élément important pour les cartes graphiques récentes affichant une consommation soutenue.
Deux modèles certifiés Platinum
Les SP0850P et SP1000P partagent les mêmes dimensions SFX (125 × 63,5 × 100 mm), une large plage d’entrée 100–240 V, un ventilateur FDB, un mode fanless sous faible charge et une garantie de dix ans.
SP1000P : 1000 W, ventilateur FDB 92 mm plus rapide, mode fanless, protections complètes
Les deux modèles sont disponibles en noir ou en blanc.
Positionnement dans la gamme
Cette série SP Platinum ne remplace pas les SP V2 (80 Plus Gold, 750 et 850 W) lancées plus tôt dans l’année. Elle se positionne au-dessus, avec un rendement supérieur, un connecteur 12V-2×6 capable de monter à 600 W et une orientation clairement tournée vers les configurations SFF hautes performances. Pour les modèles plus accessibles, notre article sur la série SP V2 est disponible ici.
Disponibilité
Les alimentations Lian Li SP Platinum sont disponibles dès le 14 novembre 2025 en noir ou en blanc. Le modèle 850 W est annoncé à 164.90 euros, tandis que la version 1000 W est proposée à 184.90 euros.
À peine la future Steam Machine annoncée pour 2026, un créateur met déjà la barre : un mini PC DIY à 600 dollars sous SteamOS affiche des performances convaincantes en 1440p et sert d’aperçu très concret de ce que pourrait proposer la machine de Valve.
Un mini PC DIY sous SteamOS conçu pour rivaliser avec la machine de Valve
ETA Prime, le créateur de ce PC s’appuie sur un barebone ASRock DeskMeet X300 (218,3 × 219,3 × 168 mm), légèrement plus volumineux que le châssis cubique imaginé par Valve, mais compact pour une plateforme desktop.
À l’intérieur, on retrouve un Ryzen 5 5600 (6 cœurs, 12 threads, Zen 3, 65 W) associé au refroidisseur Wraith Stealth, 16 Go de DDR4-3200, un SSD NVMe PCIe 3.0 de 1 To et l’alimentation 500 W du barebone. Prévue initialement comme une RX 6600, la carte graphique reçue est en réalité une RX 6600M reflashée, dotée de 8 Go de VRAM et limitée à environ 100 W, sans possibilité d’ajuster les paramètres de puissance sous SteamOS.
Prototype Steam Machine compact à 600 $
Côté Steam machine officielle, Valve annonce un APU Zen 4 à six cœurs (TDP 30 W) associé à un GPU RDNA 3 de 28 unités de calcul, un ensemble proche des performances d’une Radeon RX 7600M pouvant atteindre 110 W.
L’appareil promet donc des cœurs CPU plus récents, une architecture graphique plus moderne et une gestion énergétique plus avancée que celle d’un montage DIY. Valve évoque même un objectif de 4K à 60 FPS avec upscaling sur l’ensemble du catalogue Steam.
Boîtier GameCube custom pour Steam Machine
Performances en 1440p et budget contenu
En jeu, la configuration montée par ETA Prime offre des résultats solides. Elden Ring atteint 60 FPS verrouillés en 1440p avec les réglages au maximum. Spider-Man 2 tourne autour de 70 à 75 FPS en 1440p moyen avec FSR équilibré, et dépasser les 100 FPS devient possible en passant sur un préréglage élevé associé à FSR qualité et génération d’images. Cyberpunk 2077 reste au-dessus des 60 FPS en 1440p élevé, tandis que The Witcher 3 franchit également cette barre en 1440p ultra avec FSR qualité.
L’ensemble repose en grande partie sur des composants d’occasion et sur cette carte graphique économique, pour un budget total situé entre 600 et 650 dollars, soit environ 560 à 610 euros selon le taux en vigueur. On obtient ainsi une petite machine SteamOS capable de jouer en 1440p aux titres AAA actuels grâce au FSR et à la génération d’images. Reste à voir où se positionnera Valve en termes de prix pour sa machine officielle.
Verdict
La machine DIY montre qu’avec un budget serré et quelques composants bien choisis, SteamOS peut déjà offrir une expérience 1440p convaincante. Elle fixe aussi un premier repère de performances avant l’arrivée de la Steam Machine officielle, qui misera sur un APU Zen 4 RDNA 3 plus moderne et mieux optimisé. Le rendez-vous est désormais pris : Valve devra proposer un tarif pertinent et tenir ses promesses pour se démarquer de ces configurations maison étonnamment efficaces.
Et si Intel ramenait enfin l’accélération 512 bits au grand public ? De nouveaux indices laissent penser que Nova Lake pourrait embarquer AVX10, APX et AMX, malgré des signaux contradictoires ces dernières semaines.
Mise à jour du 14/11/2025 : Le large vectoriel fait son retour chez Intel : le dernier guide ISA entérine AVX10 pour les futurs Core, Nova Lake compris.
D’après la révision 060 du Instruction Set Extensions Programming Reference (novembre 2025), Intel inscrit noir sur blanc AVX10.1, AVX10.2 et APX au catalogue des processeurs à venir, y compris côté client. C’est le premier signe officiel du retour d’une exécution large sur les processeurs grand public après la mise à l’écart d’AVX-512 avec Alder Lake.
Nova Lake relance l’espoir du 512 bits côté client
Selon les dernières versions de l’assembleur NASM (3.0 puis 3.1), les mentions d’AVX10, APX et AMX réapparaissent pour Nova Lake, suggérant que ces jeux d’instructions ne seraient pas réservés aux Xeon. Il faut dire que, quelques semaines plus tôt, un patch initial pour GCC indiquait l’inverse : l’activation Nova Lake n’incluait ni AVX10, ni AMX, ni APX, laissant entendre une absence côté client. D’après NASM, l’option reste sur la table.
Intel avait désactivé AVX-512 sur Alder Lake et Raptor Lake pour les processeurs orientés grand public, cantonnant le 512 bits aux serveurs. Si Nova Lake change la donne, on verrait revenir l’accélération 512 bits pour la création de contenus, l’encodage/décodage et les charges IA. Les rumeurs évoquent jusqu’à 52 cœurs : 16 P-Cores, 32 E-Cores et 4 LPE-Cores. De quoi couvrir jeu et station de travail, tout en laissant les usages purement serveur aux Xeon.
Face à AMD, le timing serait symbolique. Avec Zen 5, AMD a introduit un support AVX-512 complet sur l’ensemble de ses gammes, sans émulation par découpage en 2×256 bits. Si Intel réintroduit une accélération 512 bits native sur ses SoC clients, ce serait « la première fois que les deux proposent du 512 bits côté grand public simultanément », selon la source.
Compilateurs vs assembleurs : des signaux encore flous
Reste à voir si les indices de NASM se concrétisent dans les toolchains complètes. Les premiers patchs GCC ont refroidi les attentes, mais l’apparition des drapeaux côté assembleur relance le débat. En attendant une confirmation d’Intel, prudence : il semblerait que l’activation finale dépende des déclinaisons de Nova Lake et de la stratégie d’Intel sur ses cœurs hétérogènes.
Steam Machine : un cube pensé autour du flux d’air
D’après PC Gamer et GamersNexus, la nouvelle Steam Machine repose sur SteamOS, un CPU Zen 4 à 6 cœurs et une puce graphique semi‑custom RDNA3 totalisant 28 unités de calcul. L’objectif est le jeu 4K avec upscaling, porté par 16 Go de DDR5‑5600, 8 Go de VRAM GDDR6 et un stockage de 512 Go à 2 To, plus un lecteur microSD capable de partager les bibliothèques avec le Steam Deck.
La conception a débuté par le thermique, puis s’est emballée vers un châssis cubique. Un unique ventilateur 120 mm sur mesure refroidit CPU, GPU et l’alimentation interne de 300 W. L’air entre par le dessous et les flancs, puis est expulsé à l’arrière. Valve indique que le boîtier conserve l’essentiel de son flux tant qu’il n’est pas posé directement sur de la moquette.
En façade, la machine adopte une plaque magnétique sans outils, née pour faciliter le dépoussiérage en retirant la maille sans ouvrir le boîtier. Une fois l’idée validée, Valve a accentué la personnalisation et calé le dessin sur les codes visuels de la famille Steam Deck afin de rester discret dans un salon.
Faceplates modables et prototype E‑ink en interne
Valve prévoit de publier des fichiers 3D pour que chacun puisse imprimer ses propres façades : variantes axées sur le flux d’air, textures différentes ou retouches esthétiques, toujours avec le même montage magnétique. Le constructeur s’attend à ce que les builders adoptent cette faceplate comme zone de modding visible.
Prototype de façade E‑ink sur Steam Machine
Selon GamersNexus, un prototype interne intègre même un panneau E‑ink en façade affichant des graphiques reliés à des outils type HWInfo. Valve précise toutefois que cette version ne sera pas commercialisée, « un exemple de ce qui est techniquement possible », tandis que le modèle retail restera sur des couvertures plastiques standard et laissera les écrans aux moddeurs.
Le câble management propret n’est plus réservé au haut de gamme : MSI porte son Project Zero sur l’entrée de gamme AM5 avec la PRO B840M-P EVO WIFI6E PZ, première carte mère AMD B840 à déplacer l’essentiel des connecteurs au dos.
MSI passe le back-connect à l’AM5 abordable
Cette microATX adopte la mise en page « back-connect » de MSI : le 24 broches ATX, l’alimentation CPU 8 broches, les headers ventilateurs, les ports SATA et la majorité des connecteurs de façade basculent à l’arrière, près du plateau de la carte mère.
Résultat, une face avant épurée et des builds aux câbles cachés, désormais possibles sans viser les plateformes Intel Z890 ou AMD X870E. D’après la fiche, la PRO B840M-P EVO WIFI6E PZ prend en charge les Ryzen 7000, 8000 et 9000 de bureau, la DDR5 jusqu’à 256 Go, et propose du réseau 2.5G ainsi que le Wi‑Fi 6E.
Côté équipements en façade, on retrouve un slot PCIe 4.0 x16, deux emplacements M.2 PCIe 4.0 coiffés de dissipateurs M.2 Shield Frozr, plus l’habituel duo socket AM5 et DIMM. Sous les radiateurs, MSI annonce une alimentation 7+2+1 phases avec connecteur CPU 8 broches et un PCB 6 couches. La partie mémoire profite de DDR5 Memory Boost avec EXPO, A‑XMP et le mode Latency Killer pour AM5.
Le constructeur ajoute ses facilités EZ DIY : fixation sans vis EZ M.2 Clip II, loquet EZ PCIe Clip II pour retirer la carte graphique sans peine, et antenne EZ qui s’enclenche sur l’IO arrière sans vissage. La connectique arrière conserve HDMI, plusieurs USB 10 Gbit/s, les jacks audio et les connecteurs d’antenne, à l’image de la variante B840M-P WIFI6E non PZ.
Des builds plus propres à prix contenu
Il faut dire que c’est une première pour MSI sur un chipset AMD B840 d’entrée de gamme, après des modèles Project Zero réservés aux segments premium. Selon l’estimation issue des cartes B840 standards, on peut s’attendre à un tarif proche de 170 dollars, soit environ 160 euros selon le cours, dès l’arrivée en boutique. Comme le résume la source, « des configurations à connecteurs cachés sont maintenant possibles sur des systèmes AM5 moins chers ».
128 Go par barrette sur PC de bureau, c’était encore de la station de travail. Plus vraiment : ADATA et MSI annoncent une DDR5 CUDIMM 4-rank donnée à 5600 MT/s sur la plateforme Intel Z890, avec 128 Go par module.
Un module 4-rank qui bouscule les limites du desktop
D’après ADATA, ce module CUDIMM au format DDR5 empile quatre rangs de puces DRAM sur une seule barrette, soit une densité doublée par rapport au dual-rank courant. La marque évoque une « opération stable à 5600 MT/s » sur les cartes mères MSI Z890 à venir avec Arrow lLake Refresh, ouvrant la voie à des configurations grand public de 256 Go avec seulement deux slots, sans passer par de la mémoire registered ou buffered.
Problème classique du 4-rank : la charge électrique grimpe et complique l’intégrité du signal. ADATA contourne l’écueil via le format CUDIMM, qui intègre un clock driver sur la barrette pour assainir le signal. MSI indique que sa plateforme Z890 a passé des tests de burn-in complets, ce qui laisse augurer une prise en charge viable sur les cartes compatibles LGA-1851.
IA locale, montage vidéo, VM : les cibles
Officiellement, ADATA vise les usages gourmands en mémoire : inférence IA, ajustement de modèles, editing vidéo et workloads d’ingénierie. Les datasets locaux et les environnements multi-VM, qui dépassent déjà souvent 64 ou 128 Go, profiteront directement de cette densité accrue. Il faut dire que les cartes mères à deux DIMM, souvent taillées pour l’overclocking, pourraient y voir une solution à leur principal goulot d’étranglement.
Sachant que les Z890 affichent des ventes médiocres non pas en raison de leur qualité, mais à cause de l’échec d’Arrow Lake, cette approche pourrait servir de terrain d’essai pour la future gamme Nova Lake.
800 watts et plus sur une GeForce RTX 5090, vraiment utile ou simple démonstration de force ? Un moddeur a combiné shunt mod et double connecteur 16 broches sur une Gigabyte AORUS Stealth pour pousser Ada encore plus loin.
Shunt mod, double 16 broches et 808 W mesurés
Alors que les 12V-2×6 font parler d’eux pour leurs soucis thermiques, certains préfèrent jouer avec les limites. Ici, le moddeur « Yogimuru » a remplacé les résistances de mesure 2 mΩ par des modèles autour de 1,2 mΩ. Résultat : la carte sous-déclare sa consommation d’environ 1,67×. Quand le BIOS indique 485 W, la réalité grimpe à plus de 800 W ; la consommation totale au bloc atteint 975 W avec le reste de la configuration.
Particularité de la carte : le PCB Gigabyte, commun à plusieurs modèles (AORUS/Gigabyte), dispose de deux emplacements possibles pour le connecteur. Le moddeur a câblé les deux prises 16 broches, profitant du fait qu’elles partagent le même plan 12 V. D’après lui, « les deux connecteurs chauffent de manière similaire », confirmé à la caméra thermique, même s’il n’a pas d’instrumentation pour vérifier la répartition exacte de la charge.
Petit bémol : l’emplacement non standard empêche le montage du radiateur d’origine. Direction watercooling, avec un bloc visiblement perfectible ; il faut dire que la garantie a pris la porte. Malgré la débauche d’énergie, les gains restent modestes : la puce grimpe à environ 3,2 GHz, des scores parmi les meilleurs pour cette config, mais l’écart face à de solides modèles à air ou à l’eau d’origine reste faible. La température GPU monte à près de 67 °C, signe que la limite vient des thermiques plus que du TGP.
Contexte : rares cartes à double alimentation
Sur le marché, seule la GALAX RTX 5090D HOF en version spéciale propose déjà deux connecteurs, avec un TGP max logiciel à 2000 W. L’ASUS RTX 5090 ROG MATRIX à venir intégrera aussi deux entrées, dont une en GC-HPWR, et serait annoncée jusqu’à 800 W. Ce mod sur la Gigabyte confirme qu’un second connecteur peut techniquement être exploité et même déplacé par un service de réparation si nécessaire.
Reste à voir si des blocs et waterblocks mieux adaptés permettront de traduire ces 808 W en performances plus tangibles. Pour l’instant, la démonstration prouve surtout que « de tels mods sont possibles ».
HPE muscle sa gamme Cray pour l’IA et le HPC à grande échelle, avec de nouvelles lames de calcul, un réseau Slingshot 400 adapté aux charges denses et un stockage K3000 basé sur DAOS. Objectif affiché : densité record et gestion unifiée pour les centres de recherche, entités souveraines et grandes entreprises.
Un portefeuille Cray recentré sur la densité et la gestion unifiée
Dans le sillage du HPE Cray Supercomputing GX5000, HPE dévoile trois lames multipartenaires et multi‑workloads, un logiciel de management unifié et le support du réseau HPE Slingshot 400. D’après Trish Damkroger, HPE répond ainsi au besoin de « performance et densité » avec une architecture AI/HPC unifiée. Le stockage suit avec les HPE Cray Supercomputing Storage Systems K3000, premiers systèmes d’usine intégrant le logiciel open source Distributed Asynchronous Object Storage (DAOS) pour accélérer les accès I/O.
Côté adoption, le Höchstleistungsrechenzentrum Stuttgart (HLRS) et le Leibniz-Rechenzentrum (LRZ) ont retenu le GX5000 pour leurs prochains supercalculateurs Herder et Blue Lion. Selon le LRZ, Blue Lion bénéficiera d’un refroidissement liquide direct à 100 % opérant jusqu’à 40 °C, avec une performance soutenue annoncée jusqu’à 30 fois supérieure au système actuel et la réutilisation de la chaleur fatale sur le campus de Garching.
Trois nouvelles lames refroidies en liquide direct
Les trois lames introduites visent les charges IA/HPC mixtes ou CPU pures et acceptent des GPU phares comme la plateforme NVIDIA Rubin de prochaine génération et l’AMD Instinct MI430X, ou des CPU haut de gamme comme les AMD EPYC « Venice ». Chaque lame peut embarquer quatre ou huit endpoints HPE Slingshot 400 Gbps et jusqu’à deux SSD NVMe, avec déploiement mixte au sein d’un rack GX5000.
GX440n Accelerated Blade : quatre CPU NVIDIA Vera et huit GPU NVIDIA Rubin. Jusqu’à 24 lames par rack, soit jusqu’à 192 GPU Rubin par rack.
GX350a Accelerated Blade : un AMD EPYC « Venice » et quatre AMD Instinct MI430X (nouvelle série MI400 pensée pour l’IA souveraine et le HPC). Jusqu’à 28 lames par rack, soit jusqu’à 112 GPU MI430X par rack.
GX250 Compute Blade : partition CPU‑only pour le double précision, avec huit AMD EPYC « Venice ». Jusqu’à 40 lames par rack, pour une densité de cœurs x86 de premier plan.
Le nouveau HPE Supercomputing Management Software introduit la multi‑location, la virtualisation et la prise en charge des environnements conteneurisés. Il centralise l’approvisionnement, la supervision, l’énergie, le refroidissement et la montée en charge, avec des contrôles renforcés de sécurité et de gouvernance. La gestion de l’énergie permet suivi, estimation de consommation et intégration avec des ordonnanceurs « power‑aware ».
HPE Slingshot 400 arrive sur les systèmes GX5000 avec un châssis de switch‑blade liquide à 100 %, doté de 64 ports à 400 Gbps. Trois configurations sont prévues : 8 switches/512 ports, 16 switches/1 024 ports, 32 switches/2 048 ports. Selon HPE, cette génération maximise la bande passante du topologie GX5000 et réduit la latence tout en améliorant le débit soutenu et la fiabilité.
Côté stockage, le K3000 repose sur HPE ProLiant Compute DL360 Gen12 avec une architecture DAOS à faible latence pour doper les applications IA liées aux I/O. Options de serveurs DAOS : profils performance avec 8, 12 ou 16 SSD NVMe, profil capacité avec 20 SSD NVMe. Capacités de 3,84 TB, 7,68 TB ou 15,36 TB et configurations DRAM de 512 GB, 1 024 GB ou 2 048 GB. Connectivité au choix : HPE Slingshot 200, HPE Slingshot 400, InfiniBand NDR ou Ethernet 400 Gbps.
HPE rappelle également ses services supercalcul, de l’optimisation applicative à l’implémentation clé en main mondiale et au support 24/7.
Côté partenariats, AMD souligne « des technologies de leadership à la convergence du HPC et de l’IA », tandis que NVIDIA estime que les systèmes HPE GX5000 « superchargeront la découverte scientifique ». Hyperion Research y voit un levier pour « transformer la société » en accélérant recherche et innovation produit.
Disponibilités : lames GX440n, GX250 et GX350a en début 2027. HPE Supercomputing Management Software en début 2027. HPE Slingshot 400 pour clusters GX5000 en début 2027. Stockage HPE Cray K3000 avec serveurs HPE ProLiant Compute en début 2026.
AMD passe à l’offensive sans grand discours : la première brique de FSR Redstone débarque directement dans Call of Duty: Black Ops 7, mais uniquement pour les Radeon RX 9000.
Ray Regeneration ouvre le bal de FSR Redstone
En collaboration avec Activision, AMD active Ray Regeneration dans Black Ops 7 sur la série Radeon RX 9000. Le choix n’a rien d’innocent : la franchise avait déjà adopté FSR 4 dès sa sortie. Cette fonctionnalité cible l’éclairage et les réflexions avec ray tracing : un réseau neuronal nettoie les données bruitées avant l’étape d’upscaling pour des surfaces réfléchissantes plus nettes et des scènes lumineuses plus lisibles.
Concrètement, en restaurant le détail des rayons très tôt dans la chaîne de rendu, le jeu upscale ensuite une image plus propre, ce qui doit réduire scintillement, bruit et instabilités temporelles sur l’eau, le verre ou les matériaux brillants. AMD affirme avoir optimisé la méthode pour préserver les performances sur RX 9000 tout en contenant le coût du ray tracing et en maintenant la qualité d’image.
Il faut dire que ce lancement public marque la première étape visible de FSR Redstone, une suite de rendu pilotée par le ML. D’après la présentation de Computex 2025, quatre blocs sont prévus : Neural Radiance Caching pour l’illumination globale en temps réel, ML Ray Regeneration pour le détail ray tracé, ML Super Resolution en tant qu’upscaler FSR 4, et ML Frame Generation pour insérer des images prédites entre deux frames rendues.
Ensemble, ces briques doivent offrir un pipeline de rendu neural complet sur les GPU Radeon RX 9000, couvrant l’éclairage, le ray tracing, la montée en définition et la fluidité d’affichage. Reste à voir le calendrier des autres modules et l’ouverture éventuelle à des cartes antérieures : pour l’heure, aucune indication pour les GPU pré-RX 9000. Jack Huyhn résume la feuille de route sans donner de dates : « ce n’est que le début ».
Available on AMD Radeon RX 9000 Series graphics cards, FSR ‘Redstone’ Ray Regeneration goes live tomorrow in Call of Duty: Black Ops 7.
Ray Regeneration est actif dès maintenant dans Call of Duty: Black Ops 7, exclusivement sur les Radeon RX 9000. Aucun autre GPU ni fenêtre de déploiement supplémentaire n’ont été annoncés.
Un Steam Deck 2 maintenant ? Pas tant que la marche technologique n’est pas véritablement franchie. C’est le message martelé par Valve. La firme refuse catégoriquement une révision tiède ou un simple rafraîchissement matériel. Pour sortir un nouveau modèle, il faudra un vrai bond d’architecture, pas une montée en puissance incrémentale.
Valve refuse l’itératif : pas de Deck 2 sans rupture technologique
Dans un entretien accordé à IGN, Pierre-Loup Griffais, responsable du système Deck, a été limpide. Valve n’envisage pas un gain de 20 ou 50 %. L’équipe rejette tout ce qui ressemble à une mise à jour mineure. Le prochain Steam Deck devra offrir un équilibre différent, avec plus que des FPS en plus pour une autonomie similaire.
Cette exigence paraît sévère, surtout quand on rappelle que le Steam Deck est aujourd’hui la machine portable la moins performante du marché. Pourtant, Valve maintient sa ligne : mieux vaut attendre la bonne architecture que forcer un cycle qui apporterait peu.
AMD vise l’endurance, pas la force brute
AMD, le fournisseur du SoC du Deck, suit la même logique. Les tendances actuelles, entre upscaling et génération d’images, mettent la priorité sur l’efficacité électrique plutôt que la puissance brute. Le Steam Deck s’appuie sur un APU AMD mêlant un CPU Zen 2 à 4 cœurs/8 threads et un GPU RDNA2 à 8 CU (ray tracing support), le tout associé à 16 Go de LPDDR5 et une enveloppe de 10 à 15 W, une base désormais limitée pour les accélérations IA modernes.
Les performances observées avec l’implémentation non officielle de FSR 4 montrent d’ailleurs les limites des architectures plus anciennes, et expliquent pourquoi AMD évite de la généraliser. Reste la possibilité d’un SoC « Redstone », mais aucun élément concret n’a émergé.
Le faux espoir du Ryzen Z2 : trop modeste pour un Deck 2
En janvier, l’annonce des Ryzen Z2 avait fait monter les spéculations. Beaucoup y voyaient le candidat naturel pour une seconde génération du Deck. Mais Griffais a vite calmé le jeu : le Z2 ne ferait qu’offrir un petit progrès face à la plateforme actuelle.
Plusieurs tests l’ont confirmé : le GPU RDNA2 du Deck reste compétitif face à certains iGPU RDNA3 et RDNA3.5 lorsque l’optimisation est solide. Un argument de plus pour Valve, qui refuse d’introduire une fragmentation inutile entre deux générations trop proches.
RDNA5 comme horizon, mais aucune sortie imminente
Selon les signaux actuels, le Steam Deck 2 ne deviendra réalité qu’avec une architecture réellement ambitieuse, probablement AMD RDNA5. Ce choix implique un calendrier long, peut-être plusieurs années. AMD et Valve ne semblent pas vouloir s’engager trop tôt dans une transition coûteuse sans gain majeur.
Le parallèle avec Nintendo est éclairant. La Switch 2 n’a retenu ni Blackwell ni Ada, pourtant plus modernes, mais un SoC Ampere. Malgré ce choix, les ventes annoncées dépasseraient déjà les dix millions d’unités. L’enseignement est simple : un écosystème maîtrisé et une bonne autonomie comptent davantage qu’un saut de puissance brut.
Un port 2,5 GbE sur des NAS d’entrée de gamme, c’est désormais la norme chez ASUSTOR. Le constructeur dévoile les Drivestor Gen 2 AS1202T et AS1204T, deux modèles orientés stockage personnel et familial, mais sans rogner sur les bases.
Drivestor Gen 2 : Realtek quadricœur, 2 ou 4 baies, et 2,5 GbE
Les deux NAS partagent la même plateforme : processeur Realtek RTD1619B quadricœur à 1,7 GHz, 1 Go de DDR4 non extensible et un port réseau 2,5 GbE. ASUSTOR annonce jusqu’à 266 Mo/s en lecture et 160 Mo/s en écriture en RAID 5. Le châssis accueille trois ports USB 5 Gbps (un en façade, deux à l’arrière) pour sauvegardes et périphériques, avec installation des disques sans outils et migration système facilitée.
Côté multimédia, la série AS12 prend en charge le décodage matériel H.264 et AV1, avec une lecture 4K à 60 images/s via l’application LooksGood. Les voyants en façade indiquent l’alimentation, l’état système, le réseau et l’activité des disques, tandis que les boutons d’alimentation et de réinitialisation sont placés à l’arrière.
La prise en charge RAID couvre les niveaux 0, 1, 5, 6, 10, Single et JBOD, et un moteur de chiffrement matériel est présent. Les fonctions Wake-on-LAN et Remote Wake-on-WAN sont intégrées. Selon ASUSTOR, « la sauvegarde hybride repose sur le principe 3-2-1 » via DataSync Center et Cloud Backup Center.
Capacités, consommation et formats
L’AS1202T reçoit deux baies 3,5 pouces SATA III et peut atteindre 60 To. Il mesure 165 × 102 × 218 mm, pèse 1,16 kg, utilise un bloc externe de 65 W et consomme 11,2 W en activité, 6,95 W en hibernation des disques. L’AS1204T passe à quatre baies 3,5 pouces pour une capacité maximale de 120 To. Il affiche 165 × 164 × 218 mm, 1,60 kg, une alimentation de 90 W et une consommation de 21,4 W en charge, 8,65 W en hibernation.
Points clés : 2,5 GbE de série, décodage AV1/H.264 avec 4K à 60 FPS, et prise en charge RAID 0/1/5/6/10. Limite notable : la mémoire DDR4 de 1 Go n’est pas évolutive.
Reste à voir le positionnement tarifaire : ASUSTOR n’a pas encore communiqué les prix ni la disponibilité en boutique.
Valve frappe un grand coup : après avoir révélé le Steam Frame, son casque VR autonome, le studio relance un projet que tout le monde croyait abandonné. La Steam Machine revient sous une forme totalement repensée, conçue cette fois comme une véritable console de salon compacte et puissante sous SteamOS.
Pensée pour le jeu depuis le canapé, elle pourra aussi faire office de mini PC, avec une sortie prévue début 2026 aux côtés de Steam Deck et Steam Frame.
Une console de salon compacte et puissante
Avec un format d’environ 160 mm, la Steam Machine 2026 adopte un design minimaliste pensé pour le salon. Valve promet une puissance six fois supérieure à celle du Steam Deck, grâce à un processeur et un GPU AMD semi-personnalisés. L’objectif : offrir une expérience de jeu fluide en 4K à 60 images par seconde, avec la prise en charge du FSR et une consommation maîtrisée.
Steam Machine 2026 de Valve
Malgré sa taille réduite, la machine embarque une alimentation intégrée et un système de refroidissement silencieux. La connectique est complète : Gigabit Ethernet, DisplayPort 1.4,
Un SFF musclé : Zen 4 6 cœurs et RDNA3 28 CU
Valve promet « plus de six fois les performances du Steam Deck » et mise sur un duo AMD semi‑custom. D’un côté, un processeur Zen 4 à 6 cœurs/12 threads, jusqu’à 4,8 GHz pour 30 W de TDP. De l’autre, un GPU RDNA3 doté de 28 Compute Units, cadencé à 2,45 GHz, annoncé à 110 W de TDP. Il ne s’agit pas d’une APU mais bien de deux puces distinctes.
D’après les informations relayées, la partie graphique s’apparenterait à un Navi 33 avec environ 130 W de TDP et 8 Go de GDDR6. Le système embarque 16 Go de DDR5 pour la mémoire principale, complétés par 8 Go de VRAM GDDR6 côté GPU. Valve vise le jeu en 4K à 60 images par seconde via l’upscaling AMD FSR.
Le tout tient dans un cube de 6 pouces, soit environ 160 mm de côté, pour 2,6 kg. Malgré ce format réduit, l’alimentation est interne et la marque assure un fonctionnement frais et discret, y compris en charge. Un lecteur microSD haut débit est présent pour étendre le stockage.
Connectivité, interface et écosystème
La connectivité comprend le Wi‑Fi 6E, le Bluetooth 5.3 et un adaptateur sans‑fil intégré pour la manette Steam, avec appairage direct jusqu’à quatre contrôleurs sans dongle. En façade, une barre LED RGB à 17 zones affiche l’état système ou des animations personnalisées.
SteamOS, toujours au cœur de l’expérience
Comme les autres appareils du catalogue Valve, la Steam Machine tourne sous SteamOS 3. Le système est optimisé pour le grand écran, avec une interface fluide, des sauvegardes dans le cloud et un mode veille instantané. L’expérience de jeu est identique à celle d’un PC, mais prête à l’emploi dès la première mise sous tension.
Valve étend son programme Steam Machine Verified, équivalent du label Deck Verified, afin d’indiquer les jeux parfaitement compatibles. L’objectif est d’assurer une expérience plug-and-play complète, sans configuration ni réglages complexes.
Un design pensé pour le salon
La console adopte un châssis sobre et élégant, accompagné d’une barre lumineuse personnalisable en façade. Celle-ci affiche l’état du système, la progression des téléchargements ou les notifications, tout en ajoutant une touche esthétique discrète. La Steam Machine peut être installée à l’horizontale ou à la verticale selon les besoins.
La barre lumineuse de la Steam Machine peut être configurée ou désactivée selon les préférences.
Stockage et contrôleurs
La Steam Machine sera disponible en deux modèles : 512 Go et 2 To de stockage UFS, extensibles via une carte microSD. Elle prend en charge l’actuel et futur Steam Controller et les autres périphériques Bluetooth ou USB-C. Valve mise sur la flexibilité : la console reste un PC complet sous SteamOS, capable d’exécuter d’autres applications Linux ou même Windows pour les utilisateurs avancés.
Steam Frame et Steam Machine : un duo stratégique
Le lancement conjoint du Steam Frame et de la Steam Machine montre la nouvelle direction prise par Valve. Le premier couvre le marché de la réalité virtuelle autonome, le second celui du jeu de salon 4K. Deux approches complémentaires, mais un même écosystème : SteamOS.
Côté calendrier, Valve place sa Steam Machine dans la gamme Steam Hardware début 2026, aux côtés d’un rafraîchissement de la Steam Controller et du Steam Frame. Aucun tarif officiel pour l’instant. Selon The Verge, Valve viserait « le prix d’un PC d’entrée de gamme aux spécifications similaires ». Le média estime qu’un système de taille comparable pourrait atteindre 800 à 1000 dollars sans stockage ni mémoire, soit environ 750 à 930 euros hors taxes à titre indicatif.
Reste à voir comment les optimisations maison compenseront des spécifications graphiques jugées modestes sur le papier, sachant que le Steam Deck a déjà prouvé l’efficacité de l’approche logicielle de Valve.
Backbone muscle son offre avec une manette pensée pour tout jouer, partout : la BackbonePro Xbox Edition arrive avec un vrai gain en ergonomie et une double connexion qui vise le sans-faute.
Backbone Pro Xbox Edition : polyvalence totale, filaire et sans fil
Conçue pour téléphones, PC, tablettes, TVs connectées et même casques VR, la nouvelle Backbone Pro Xbox Edition propose deux modes : un USB‑C à faible latence pour le jeu en main, et un Bluetooth Low Energy donné pour jusqu’à 40 heures d’autonomie. Au menu également, un poids contenu de 199 g, des sticks ALPS pleine taille, des gâchettes à effet Hall, deux boutons arrière et des grips micro‑gravés pour une meilleure prise. Elle s’appuie sur l’application Backbone qui centralise Xbox Cloud Gaming, Xbox Remote Play, Apple Arcade, Steam Link, PlayStation Remote Play et les jeux compatibles manette.
La fonction FlowState permet de basculer du téléphone au PC puis au téléviseur sans réappairage. Backbone affirme avoir affiné le design via « plus de 9 000 itérations de pièces » et 30 études utilisateurs, avec capture 3D des mains et analyse de milliers d’heures de jeu pour optimiser confort et contrôle.
Quoi de neuf face à la Backbone One ?
Par rapport à la Backbone One lancée plus tôt cette année, la Pro ajoute le sans‑fil, des entrées personnalisables et un châssis plus ergonomique. Chaque unité inclut un mois de Xbox Game Pass Ultimate, avec accès immédiat à des titres cloud comme Forza Horizon 5 et Minecraft. Il faut dire que l’ensemble vise clairement le jeu multisupport rapide à lancer, sans sacrifier la latence en mode USB‑C.
La Backbone Pro Xbox Edition est disponible dès maintenant à 179,99 dollars (environ 170 à 185 euros selon le taux et les taxes) sur Backbone.com, Xbox.com et Amazon, avec une arrivée chez Best Buy aux États‑Unis à partir du 30 novembre.