Spoiler : Le benchmark GPU de Borderlands 4 par TechPowerUp (septembre 2025) révèle des exigences matérielles très élevées. À 1080p Ultra sans upscaling, une RTX 4070 Ti est nécessaire pour maintenir 60 FPS. En 1440p, seules les RTX 4090/5090 y parviennent, tandis qu’en 4K, aucun GPU actuel ne dépasse 60 FPS. Le jeu utilise jusqu’à 14 Go de VRAM en 4K, ce qui exclut les cartes 8 Go à paramètres élevés. Upscaling (DLSS, FSR, XeSS) et frame generation sont indispensables pour un confort optimal.
Introduction
Borderlands 4, développé par Gearbox et édité par 2K Games, marque un tournant pour la série avec un monde ouvert plus vaste, des mécaniques de déplacement élargies et toujours une tonne d’armes loufoques.
Mais derrière son style cel-shading fidèle à l’ADN de la licence, le jeu repose désormais sur Unreal Engine 5 et son éclairage Lumen, ce qui impose des contraintes matérielles sévères.
Le site spécialisé TechPowerUp a mené un benchmark complet pour évaluer les performances du jeu sur les GPU récents de NVIDIA, AMD et Intel, en testant DLSS, FSR, XeSS, la consommation de VRAM et l’impact des différents préréglages graphiques.
Paramètres graphiques et options Borderlands 4 PC
Le menu de Borderlands 4 est particulièrement complet :
Préréglages de Low à Badass
Champ de vision réglable de 70° à 110°
Upscaling via DLSS, FSR, XeSS, TSR
Frame Generation disponible mais limité à chaque constructeur (DLSS pour NVIDIA, FSR pour AMD, XeSS pour Intel)
Motion blur et synchronisation verticale désactivables
Compilation initiale de shaders (4 minutes environ), mais très peu de stutter en jeu
Méthodologie du test
Le test TechPowerUp repose sur une configuration haut de gamme :
Le test de TechPowerUp confirme que Borderlands 4 est aussi exigeant qu’addictif. Pour en profiter pleinement, il faut une carte graphique haut de gamme et un recours systématique aux technologies d’upscaling. Si vous disposez d’un GPU limité en VRAM, mieux vaut réduire les réglages à High et activer DLSS/FSR pour éviter les chutes de performances.
Malgré ses contraintes techniques, Borderlands 4 reste l’épisode le plus ambitieux et le plus beau de la série, un incontournable pour les amateurs de looter-shooters.
Présentée au Computex 2025, la mémoire DDR5 XFinity+ de V-COLOR intègre un écran OLED directement sur le module. Elle affiche en temps réel fréquence, tension, température et timings, sans câbles additionnels. Destinée aux overclockeurs, elle sera disponible en Q3 2025, d’abord chez Newegg, avant une distribution mondiale.
Une révolution pour les overclockeurs
V-COLOR et GIGABYTE s’associent pour lancer XFinity+, un module DDR5 inédit qui intègre un écran OLED. Cette innovation, dévoilée lors du Computex 2025, change la manière dont les passionnés d’overclocking et les gamers interagissent avec leur mémoire système. Elle combine monitoring en temps réel, personnalisation visuelle et performances de pointe.
XFinity+ : la première mémoire DDR5 avec écran OLED intégré – Computex 2025
XFinity+ communique directement avec la carte mère sans câbles supplémentaires. L’écran embarqué permet de consulter instantanément plusieurs paramètres essentiels :
Profil mémoire (Intel/AMD)
Capacité
Fréquence
Timings
Tension
Température
Particularité notable : l’affichage fonctionne dès la phase POST (avant l’OS), ce qui en fait un outil précieux pour les réglages d’overclocking.
Brevets et design lumineux
Protégé par le brevet M664715, XFinity+ ne se limite pas à son écran OLED. Le module intègre un éclairage ARGB avancé, offrant effets dynamiques, dégradés fluides et modes interactifs réagissant au statut du système.
La production de masse de XFinity+ débutera au troisième trimestre 2025. Les premiers exemplaires seront vendus en exclusivité sur Newegg, avant un déploiement sur le site officiel de V-COLOR, Amazon et chez des distributeurs agréés à l’international.
Conclusion
Avec XFinity+, GIGABYTE et V-COLOR ouvrent une nouvelle ère pour la mémoire DDR5. Plus qu’un simple module, c’est un outil de monitoring intégré pensé pour les overclockeurs, alliant performance, design et diagnostic direct. Une innovation qui pourrait bien devenir un standard dans les PC haut de gamme dès 2026.
NB : Les photos de cet article sont la propriété de Pause Hardware (hors images créditées). Toute utilisation doit obligatoirement mentionner Pause Hardware comme source.
CD Projekt Red a publié la mise à jour 2.31 de Cyberpunk 2077 (12 septembre 2025), déployée sur PC, Mac, PlayStation 5, Xbox Series X|S et Nintendo Switch 2. Le patch corrige des bugs liés au ray tracing, au DLSS et à la stabilité, notamment sur PC et Mac. Il améliore aussi la conduite assistée et le mode photo.
Cyberpunk 2077 2.31 : un patch centré sur la stabilité
La mise à jour 2.31 est disponible sur toutes les plateformes actuelles, dont la Switch 2. Au programme, des ajustements de gameplay (conduite intelligente, mode photo), mais surtout une série de correctifs graphiques et techniques attendus depuis plusieurs semaines.
Correctifs PC
Résolution du bug où NVIDIA Reflex était désactivé avec DLSS Frame Generation, entraînant un écran rose.
Correction d’un problème empêchant l’activation correcte du Path Tracing.
Correctifs Mac
Alignement des préréglages graphiques avec la version PC (réflexions écran).
Correction d’un écran blanc permanent lors de la mission « Renseignement » avec Frame Generation actif.
HDR désormais conservé en réinitialisant les paramètres vidéo.
Suppression des artefacts visuels liés au réglage MetalFX DRS.
Résolution du bug « jeu en arrière-plan » dont le comportement était inversé.
Ajustement de la mention obsolète sur le son spatial.
Correction d’un freeze sur la version App Store.
Améliorations globales de performances et stabilité.
Un anniversaire en approche
CD Projekt Red tease déjà l’anniversaire du DLC Phantom Liberty avec un format interactif baptisé « Vous demandez, nous répondons ». Les joueurs pourront poser leurs questions sur les quêtes, la narration ou le design, et l’équipe de développement sélectionnera les plus pertinentes pour y répondre.
Depuis le lancement, l’équipe a déployé plusieurs correctifs, confirmant que la satisfaction et le maintien de l’intérêt des joueurs sont des priorités. Consultez la liste des correctifs ici.
Avec l’arrivée de Blackwell, la GeForce RTX 5060 prend le relais de la RTX 4060 de génération Ada Lovelace. Positionnée un cran au-dessus de la récente RTX 5050, elle vise les joueurs casuals ou les configs vieillissantes qui cherchent à se moderniser sans exploser le budget.. Chez MSI, la déclinaison RTX 5060 Gaming OC reprend la recette habituelle de la marque : un design sophistiqué, le refroidissement Twin Frozr 10 et quelques ajustements maison comme un léger overclock d’usine, une plaque arrière métallique et un soupçon de RGB discret.
Derrière cette présentation familière, on retrouve la nouvelle architecture NVIDIA Blackwell avec son GPU GB206 : 3840 cœurs CUDA, 30 RT Cores de 4e génération et 120 Tensor Cores de 5e génération. La mémoire vidéo, limitée à 8 Go, passe à la GDDR7 à 28 Gbps, ce qui permet de hisser la bande passante à 448 Go/s, un bond intéressant face à la RTX 4060. Le tout fonctionne dans une enveloppe de 145 W, alimentée par un simple connecteur PCIe 8 broches, de quoi simplifier l’intégration même dans de petits boîtiers SFF.
Proposée à partir de 319,99 € en Europe, la RTX 5060 se présente comme une option accessible pour jouer confortablement en 1080p. La version MSI Gaming OC, vendue autour de 360 €, met en avant un refroidissement optimisé et la certification SFF-Ready, mais devra démontrer en pratique qu’elle justifie son surcoût face aux modèles concurrents.
Emballage et contenu
MSI reste fidèle à son style visuel avec un carton noir et vert qui met bien en avant la carte graphique dès la face avant. On retrouve l’incontournable logo Gaming Dragon, la mention “OC Edition” ainsi que les technologies phares de NVIDIA comme DLSS 4, Reflex et RTX Studio. L’ensemble respire le produit grand public, avec un design pensé pour attirer l’œil sans tomber dans l’excès. Cet emballage nous fait immédiatement penser à celui de la MSI GeForce RTX 5060 Ti 16 Go Gaming Trio OC.
MSI GeForce RTX 5060 GAMING OC
À l’arrière, MSI détaille davantage les arguments de sa RTX 5060 Gaming OC. Le refroidissement Twin Frozr 10 est mis en avant, avec ses ventilateurs Torx Fan, une base en cuivre nickelé et les traditionnels Core Pipes censés optimiser la dissipation thermique. On retrouve également les promesses logicielles avec MSI Center pour la gestion en temps réel et Afterburner, toujours incontournable pour l’overclocking manuel.
MSI GeForce RTX 5060 GAMING OC
Côté caractéristiques, la boîte rappelle les points essentiels : 8 Go de GDDR7 sur un bus 128 bits, compatibilité PCIe 5.0, sorties vidéo DisplayPort 1.4a et HDMI 2.1, le tout accompagné du support des dernières API (DirectX 12 Ultimate, Vulkan 1.4, OpenGL 4.6).
MSI GeForce RTX 5060 GAMING OC
À l’intérieur, pas de surprise : la carte est bien protégée dans sa coque en mousse, accompagnée des habituels guides rapides et d’un QR code renvoyant vers les ressources en ligne. MSI ne propose pas d’accessoires supplémentaires, mais c’est logique sur une carte de cette gamme qui mise avant tout sur l’essentiel.
Une RTX 5060 GAMING OC, propulsée par l’architecture Blackwell
Avec Blackwell, NVIDIA inaugure sa 4e génération RTX. Après avoir introduit le ray tracing en temps réel et l’upscaling IA (DLSS), cette génération ajoute une nouvelle brique : le rendu neural. Concrètement, une partie de l’image peut désormais être générée par des réseaux de neurones, au-delà du simple upscaling, ouvrant la voie à des effets plus réalistes et moins coûteux en ressources.
Au cœur de la RTX 5060 se trouve le GPU GB206, une puce compacte de 181 mm² gravée en 4N (le même process 5 nm que l’Ada Lovelace). Elle compte 3 840 cœurs CUDA, épaulés par 30 RT Cores (ray tracing de 4e génération) et 120 Tensor Cores (5e génération), avec en prime un processeur dédié à la gestion des charges IA, baptisé AMP. La mémoire vidéo passe à la GDDR7 à 28 Gbps sur un bus 128 bits, pour une bande passante de 448 Go/s, soit une hausse de 64 % par rapport à la RTX 4060.
Côté nouveautés marquantes :
Neural Shaders : Microsoft a déjà préparé le terrain avec DirectX 12, permettant aux développeurs d’intégrer directement des techniques IA dans le pipeline graphique.
Tensor Cores 5e génération : compatibles avec le format FP4, ils offrent un énorme gain de débit pour les tâches IA.
RT Cores 4e génération : support du “Mega Geometry” pour gérer des scènes 3D ultra-détaillées en ray tracing.
DLSS 4 : introduit le Multi Frame Generation, capable de générer jusqu’à 3 images supplémentaires à partir d’une seule, tout en améliorant nettement la reconstruction des détails.
NVIDIA Reflex 2 : encore plus agressif sur la réduction de la latence, indispensable pour compenser les coûts du frame generation.
Support DisplayPort 2.1 et encodeurs NVENC de 9e génération avec AV1 4:2:2, un vrai rattrapage attendu face à la concurrence.
En résumé, Blackwell conserve les fondations d’Ada Lovelace (gravure, hiérarchie interne), mais ajoute de gros leviers côté IA et multimédia. La RTX 5060, même en entrée de gamme, profite de cette modernisation, surtout avec sa GDDR7 et le support des technologies récentes comme DLSS 4 et Reflex 2.
Comparaison NVIDIA GeForce RTX 4060 vs RTX 5060
NVIDIA GeForce RTX 5060 8GB vs RTX 4060
Spécification
GeForce RTX 4060
GeForce RTX 5060
Nom de code CPU
AD107
GA206
Architecture GPU
Ada Lovelace
Blackwell
DLSS
DLSS 3
DLSS 4
SMs
24
30
Cœurs CUDA
3072
3840
Cœurs Tensor
96
120
Fréquence GPU Boost
2460 MHz
2497 MHz
AI TOPS
242
614
Cœurs RT
24
30
Taille mémoire
8GB GDDR6
8GB GDDR7
Interface mémoire
128 bit
128 bit
Horloge mémoire
17 Gbps
28 Gbps
Bande passante mémoire
272 GB/s
448 GB/s
ROPs
48
48
Taux de remplissage pixels (Gigapixels/sec)
118.1
119.9
Taux de remplissage texels (Gigatexels/sec)
236.2
299.6
NVENC
1x 8ème Gen
1x 9ème Gen
NVDEC
1x 5ème Gen
1x 6ème Gen
Consommation totale (TGP)
115W
145W
Processus de fabrication
TSMC 4nm
TSMC 4nm
Interface PCIe
Gen 4 x8
Gen 5 x8
Note importante
Bien que la bande passante mémoire soit considérablement améliorée de 272 GB/s à 448 GB/s, la GeForce RTX 5060 conserve une interface mémoire de 128 bit, identique à sa prédécesseure. Cette amélioration de performance est rendue possible grâce à la mémoire GDDR7 plus rapide (28 Gbps vs 17 Gbps).
Pour approfondir ces sujets, nous vous invitons à consulter nos articles suivants:
La MSI GeForce RTX 5060 Gaming OC adopte un format compact et discret, conçu pour s’intégrer facilement à la plupart des configurations, tout en profitant d’un OC d’usine portant la fréquence Boost à 2625 MHz, soit 128 MHz de plus que la version de référence.
Avec ses 248 x 135 x 41 mm pour environ 650 g, elle n’occupe que deux slots, ce qui en fait une option intéressante pour les boîtiers de taille moyenne ou compacte.
L’ensemble affiche un design sobre, dominé par le noir et le gris, rehaussé d’un logo MSI rétroéclairé sur la tranche. Le refroidissement repose sur le système Twin Frozr 10, ici en déclinaison double ventilateur.
MSI utilise des pales StormForce à 7 ailettes, légèrement réduites par rapport aux modèles plus puissants de la gamme, mais suffisantes pour un GPU dont le TGP ne dépasse pas 145 W.
Le radiateur intègre deux caloducs en cuivre, qui assurent la dissipation non seulement du GPU, mais aussi des modules mémoire et de l’étage d’alimentation. On est donc sur un refroidissement complet, pensé pour maintenir des températures correctes tout en limitant le bruit.
À l’arrière, une plaque en aluminium assure à la fois rigidité et finition haut de gamme. Elle se compose de deux zones distinctes, l’une brossée et l’autre lisse, et arbore le logo du dragon légendaire au rendu holographique, apposé sur la partie ajourée qui laisse entrevoir le dissipateur thermique. L’ensemble reste immaculé et témoigne du soin apporté aux finitions.
Côté alimentation, la carte se contente d’un connecteur PCIe 8 broches, ce qui reste logique vu sa faible consommation. Elle conserve un PCB à taille standard, même si le GPU n’exploite que 8 lignes PCIe 5.0, un choix qui ne devrait pas poser de problème en pratique sur une carte de ce segment.
Pour la connectique, MSI propose trois DisplayPort 2.1b et un HDMI 2.1b. De quoi exploiter les nouveautés de l’architecture Blackwell, avec notamment le support du 4K jusqu’à 480 Hz ou du 8K à 165 Hz via DSC. La carte bénéficie également des encodeurs vidéo de dernière génération, avec prise en charge de l’AV1 UHQ et du HEVC 4:2:2, même si elle n’embarque qu’un seul bloc NVENC/NVDEC contrairement aux modèles supérieurs.
En résumé, la RTX 5060 Gaming OC reprend les codes esthétiques et techniques habituels de MSI : un design soigné, une finition solide et un refroidissement dimensionné pour une carte entrée de gamme. Pas de fioritures inutiles, mais l’essentiel est bien là.
Protocole de test
L’objectif de ce test est de comparer les performances des cartes graphiques dans un environnement contrôlé, en minimisant autant que possible les influences externes. Pour cela, nous utilisons une configuration puissante et homogène, garantissant que le GPU reste le facteur déterminant dans les résultats.
Configuration matérielle
Pour nos tests, nous avons opté pour la config suivante :
Les paramètres des pilotes restent par défaut pour garantir une comparaison équitable entre les cartes graphiques.
Performances gaming de la MSI RTX 5060 8 Go Gaming OC
En rastérisation pure, la MSI RTX 5060 Gaming OC joue clairement dans la cour du 1080p. Avec ses 95,5 FPS de moyenne, elle se glisse dans les pas de la RX 9060 XT et flirte avec la RTX 4060 Ti 16 Go, preuve qu’elle tient la cadence sans broncher dans cette définition. En clair, pour du Full HD avec les réglages poussés à fond, la carte fait le job sans se poser de questions.
Les choses se compliquent dès que l’on passe en 1440p. La 5060 tombe à 67,5 FPS, ce qui reste confortable, mais montre bien que l’on atteint déjà ses limites. Elle se cale au même niveau que la RTX 4060, quasiment au dixième de FPS près, et ne parvient pas à distancer franchement l’ancienne 4060 Ti. Autrement dit, l’évolution générationnelle est plus symbolique que concrète, et ceux qui espéraient un bond de performances risquent de rester sur leur faim.
En 4K, inutile de se voiler la face : avec 34,5 FPS de moyenne, la carte rend les armes. La promesse de jeu UHD reste hors de portée pour ce segment, et ce n’est de toute façon pas son terrain de chasse.
En résumé, la RTX 5060 Gaming OC remplit son rôle de carte d’accès au monde Blackwell : efficace en 1080p, jouable en 1440p, mais incapable d’aller titiller les hautes résolutions. L’overclock d’usine appliqué par MSI lui permet de grappiller à peine 1 à 2 % de performances face à une RTX 5060 de référence, un bonus bienvenu mais loin d’être décisif. Ceux qui cherchent une bête de course devront viser plus haut, mais pour une config orientée Full HD moderne et sobre en consommation, elle coche les bonnes cases.
La RTX 5060 Gaming OC montre bien les limites de l’entrée de gamme Blackwell en ray tracing. En 1080p, elle tient encore la route, en 1440p elle s’essouffle déjà, et en 4K elle rend les armes.
Performances en DLSS 4 sous Cyberpunk 2077
Dans le DLSS Feature Test, la 5060 plafonne à 17 FPS sans Frame Gen, contre un peu plus de 21 FPS pour la Ti, écart modeste mais révélateur : le GPU GB206 est plus petit, avec moins de cœurs actifs et un bus mémoire limité à 128 bits, que la GDDR7 ne compense qu’en partie. Dès qu’on active le DLSS en mode Performance (4x), l’écart se creuse brutalement : 151 FPS pour la Ti contre 73 FPS pour la 5060, la faute à un nombre réduit de CUDA et Tensor Cores qui bride l’efficacité de l’upscaling.
DLSS 4 — Comparaison des performances
RTX 5060 Ti vs MSI RTX 5060 Gaming OC
DLSS Feature Test (FG OFF)
Cyberpunk 2077 @ 1440p
Cyberpunk 2077 @ 1080p
RTX 5060 Ti
MSI RTX 5060 Gaming OC
Sur Cyberpunk 2077, les tendances se confirment. En 1080p, la 5060 tourne à 109 FPS en Ultra et chute à 23 FPS en Path Tracing. Avec DLSS 4 + Frame Generation x4, elle bondit à 130 FPS, un score impressionnant sur le papier mais qui repose massivement sur les images générées par l’IA. L’expérience reste fluide, mais la carte montre clairement qu’elle dépend de DLSS pour rendre le ray tracing jouable. En 1440p, même avec tous les artifices, la 5060 ne remonte qu’à 33 FPS en Path Tracing, là où la 5060 Ti crève le plafond à plus de 160 FPS. L’écart illustre bien la limite : sur une carte entrée de gamme, le Frame Gen aide, mais il ne peut pas compenser un déficit de puissance brute.
Benchmarks synthétiques : Suite 3DMark
Les tests synthétiques réalisés avec la suite 3DMark permettent de comparer la puissance brute des cartes graphiques dans différents scénarios, incluant les charges liées au ray tracing et au rendu classique.
Fréquences & consommation de la MSI RTX 5060 8 Go Gaming OC
Avec un TGP de 145 W, la MSI RTX 5060 Gaming OC reste une carte peu gourmande. Nos mesures confirment cette efficacité : à peine 13 W au repos, 142 W en jeu et un pic mesuré à 186 W sur un instant très court. Autrement dit, la carte reste facile à intégrer dans n’importe quel PC sans exiger une alimentation haut de gamme.
Côté températures, le design à deux ventilateurs du Twin Frozr 10 fait le travail. En mode fan stop, le GPU se stabilise à 44 °C au repos, totalement silencieux. En charge, il monte à 65 °C sur le GPU et 64 °C sur la mémoire, pour un niveau sonore de 29 dBA. Autant dire que la carte sait rester discrète, même en pleine partie, sans transformer le boîtier en turbine.
Du côté des fréquences, MSI exploite pleinement le potentiel du GB206. En jeu, on observe des valeurs stables autour de 2,75 GHz, avec des pointes proches de 2,8 GHz sur Spider-Man 2. La tension suit logiquement, autour de 1,02 à 1,04 V selon les titres. Même sous Furmark, la fréquence reste à plus de 2,4 GHz, preuve que le refroidissement maintient le GPU dans une enveloppe confortable sans throttling.
En clair, cette RTX 5060 Gaming OC conjugue sobriété énergétique, températures maîtrisées et fréquences stables, le tout avec un bruit contenu. Une carte qui se fond bien dans un setup compact ou silencieux, tout en tenant les promesses de stabilité en jeu.
Verdict : cette RTX 5060 Gaming OC a-t-elle les arguments pour convaincre ?
[Test] MSI GeForce RTX 5060 GAMING OC
Conclusion
En conclusion, la MSI GeForce RTX 5060 Gaming OC tient parfaitement son rôle d’entrée de gamme Blackwell. Elle offre un 1080p solide, un 1440p jouable avec quelques compromis, une consommation contenue et un refroidissement efficace dans un format compact. Son design soigné et son silence en charge la rendent idéale pour une configuration discrète et moderne.
Ses limites apparaissent toutefois rapidement : seulement 8 Go de VRAM, un bus mémoire encore étriqué à 128 bits et des performances qui progressent assez peu face à la RTX 4060. L’overclock d’usine appliqué par MSI reste marginal et ne justifie pas totalement l’écart de prix avec le modèle de base.
Dans ce contexte, l’alternative AMD mérite d’être soulignée. La Radeon RX 9060 XT 16 Go, proposée dans une gamme tarifaire proche, mise sur le double de mémoire vidéo, un atout précieux pour les jeux récents ou les textures en haute définition. En rastérisation pure, elle se montre souvent plus confortable que la RTX 5060, notamment en 1440p. En revanche, son efficacité en ray tracing et ses outils d’upscaling (FSR) demeurent en retrait par rapport au DLSS 4 et au Frame Generation de NVIDIA. Le choix dépendra donc des priorités : polyvalence et fonctionnalités avancées avec la RTX 5060, ou endurance et marge mémoire avec la RX 9060 XT.
En somme, la RTX 5060 Gaming OC est une carte bien finie et adaptée à une configuration Full HD moderne. Elle illustre néanmoins les concessions faites par NVIDIA pour maintenir un prix d’appel attractif. À environ 360 €, elle reste une option correcte pour jouer en 1080p fluide, avec la possibilité de s’aventurer ponctuellement en 1440p, à condition d’activer DLSS 4. Ceux qui attendent un véritable saut générationnel devront, en revanche, se tourner vers des modèles plus haut placés dans la gamme Blackwell.
Qualité / Finition
8.7
Performances
7
Efficacité énergétique
10
Refroidissement
9
Niveau sonore
9
Prix
8
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Fluide en 1080p avec détails élevés
Refroidissement efficace et silencieux
Consommation modeste (145 W)
Design compact adapté aux petits boîtiers
Support DLSS 4 et Reflex 2
Points faibles
8 Go de VRAM seulement
Bus mémoire 128 bits limitant la bande passante
Ray tracing vite à la peine en 1440p
Overclock marginal
Différence de prix difficilement justifiable par rapport aux modèles de référence.
8.6
Pour découvrir nos autres analyses de cartes graphiques NVIDIA, AMD et Intel, consultez notre section complète des tests GPU.
Les choses s’accélèrent du côté de MSI. Le développeur d’Afterburner, connu sous le pseudo Unwinder, a mis la main sur les premiers échantillons des futures RTX 50 estampillées « Extreme OC« . Ces cartes graphiques semblent taillées pour les overclockers acharnés, avec un arsenal inédit de réglages et de capteurs.
Au programme : un contrôle de tension étendu débloqué, un monitoring de la température des VRM, ainsi que plusieurs autres options d’overclocking avancées. De quoi transformer la prochaine bêta d’Afterburner en véritable couteau suisse pour les amateurs de réglages fins.
Un Afterburner qui casse les verrous imposés par NVIDIA
Jusqu’ici, NVIDIA bridait l’utilisation de certains contrôleurs PWM (notamment les MP2988 et MP29816A, présents sur les RTX 5080 et 5090). Mais MSI semble avoir trouvé un terrain d’entente avec la firme verte pour exploiter pleinement ces puces. Résultat : MSI Afterburner va enfin pouvoir offrir un accès direct au PWM et un contrôle en triple canal.
Ce que ça change concrètement
Core voltage control : réglages plus larges avec une plage de ±100 mV, bien au-delà des maigres +20 mV disponibles sur les cartes de référence.
Memory voltage control : gestion indépendante de la tension mémoire.
Aux/MSVDD control : un troisième canal pour aller encore plus loin.
VRM temperature monitoring : capteur intégré au contrôleur MP29816A pour garder un œil sur la chauffe.
Attention toutefois, ces options ne seront pas disponibles sur les RTX 5080/5090 de design de référence. Seules les futures versions « Extreme OC » de MSI débloqueront ces fonctionnalités.
Le retour attendu de la série Lightning ?
On pensait que la MSI RTX 5090 SUPRIM Titanium, présentée au Computex, serait la candidate idéale pour cette aventure. Pourtant, tout semble indiquer que MSI orchestre en réalité le grand retour de sa série emblématique Lightning, disparue depuis l’époque des RTX 2080 Ti.
Supplantée par la gamme SUPRIM sur les générations récentes, la Lightning pourrait renaître à travers des versions Extreme OC des RTX 5090 et 5080 Super, une hypothèse d’autant plus crédible lorsqu’on observe comment la marque a récemment relancé sa série MPOWER sur les cartes mères, issue elle aussi de la même époque.
Si cela se confirme, on aurait droit à un mélange explosif : refroidissement massif, design premium et désormais, une liberté totale d’overclocking via Afterburner. Autant dire que les chasseurs de records de fréquence GPU risquent de trépigner d’impatience.
En résumé
MSI semble vouloir redonner ses lettres de noblesse à l’overclocking extrême. Avec un Afterburner dopé aux hormones et des cartes pensées pour repousser les limites imposées par NVIDIA, les prochaines RTX 50 Extreme OC pourraient bien signer le retour en fanfare de la série Lightning. Et qui sait, peut-être que MSI réservera cette annonce pour le CES 2026, en l’associant à une éventuelle RTX 5080 Super.
Note de la rédaction : Le 5 septembre, nous expliquions en détail pourquoi un lancement des RTX 5070 SUPER, 5070 Ti SUPER et 5080 SUPER en octobre 2025 semblait très peu probable. Une semaine plus tard, les faits confirment notre analyse.
Depuis le 10 septembre, les gros titres s’enchaînent : NVIDIA aurait repoussé les RTX 50 SUPER à 2026, probablement au CES de Las Vegas. Une “révélation” qui fait suite à un flot de rumeurs publiées durant l’été, annonçant à tort une sortie en octobre 2025.
Mais ceux qui nous lisent depuis un moment le savent : on avait déjà crevé la bulle. Notre article du 5 septembre analysait point par point pourquoi ce timing ne tenait pas la route, en s’appuyant sur la stratégie historique de NVIDIA et l’état réel du marché.
Retour sur l’argumentaire : ce qui rendait la rumeur intenable
Lancer des versions SUPER à peine 8 mois plus tard aurait totalement brouillé la roadmap de NVIDIA, donnant une image de précipitation et remettant en cause la valeur des modèles standard.
2. Une absence totale de pression concurrentielle
NVIDIA domine actuellement le marché GPU avec 94 % de parts. AMD ne propose pas de réponse suffisamment agressive pour forcer la main à un refresh anticipé. Dans ce contexte, aucune urgence stratégique ne justifiait un tel lancement.
3. Une stratégie cohérente avec les précédents refresh
Petit rappel utile :
RTX 4080 : novembre 2022
RTX 4080 SUPER : janvier 2024 Soit plus de 14 mois d’écart. Il est donc logique d’attendre les RTX 50 SUPER pour janvier 2026, lors du CES.
Des fuites qui se contredisent
Les premières rumeurs évoquaient :
De la GDDR7 24 Gbit sur les SUPER
Des capacités de VRAM boostées (18 à 24 Go selon les modèles)
Des TGP revus à la hausse, sans hausse de prix
Mais aucune de ces données n’était confirmée ni consolidée. Et aujourd’hui, même les insiders comme BenchLife et Wccftechconfirment que les modèles ne sont pas finalisés en interne chez NVIDIA. Traduction : octobre 2025 était, dès le départ, une date fantasmée.
Ce qu’il faut retenir
Le lancement des RTX 50 SUPER est repoussé à début 2026.
La rumeur d’un lancement en octobre 2025 était infondée, comme expliqué dans notre analyse du 5 septembre.
NVIDIA conserve sa stratégie habituelle : un refresh maîtrisé, pas précipité.
La fenêtre du CES 2026 devient désormais le vrai point de repère.
Turtle Beach Corporation a annoncé trois nouveaux accessoires de jeux de course conçus pour Xbox. Ils comprennent deux nouveaux accessoires de simulation VelocityOne Race pour les sim racers chevronnés sur Xbox Series X|S, Xbox One et Windows : le système de volant et de pédales Turtle BeachVelocityOne Race KD3 et le volant Turtle Beach VelocityOne F-RX. Le troisième accessoire est le nouveau volant de course sans filTurtle Beach Racer pour Xbox qui offre aux aspirants fans de jeux de course sur Xbox et Windows une façon plus facile de conduire et une expérience améliorée dans les jeux.
« Le nouveau système VelocityOne Race KD3, ainsi que notre volant de course de style formule F-RX, mettent en valeur les performances de notre gamme de jeux de simulation acclamée et le savoir-faire innovant de notre équipe de simulation de classe mondiale », a déclaré Cris Keirn, PDG de Turtle Beach Corporation. « Dans le même temps, notre nouveau volant sans fil Racer pour Xbox offre aux fans de course occasionnels une alternative amusante et flexible aux manettes standard. C’est un point d’entrée abordable et pratique dans le monde des jeux de course pour une expérience plus immersive.
Les détails de chacun des tout nouveaux périphériques de course sont les suivants :
Turtle Beach VelocityOne Race KD3
Le système de volant et de pédales de courseTurtle Beach VelocityOne Race KD3 offre le frisson de la simulation de course sur Xbox et Windows avec un moteur à entraînement direct K : Drive qui offre un retour de force de 3,2 Nm avec une latence ultra-faible et jusqu’à 2 160° de rotation. Les palettes de changement de vitesse magnétiques offrent des changements de vitesse précis et fiables, tandis que l’écran de gestion de course permet aux pilotes de personnaliser les profils à la volée.
Les pédales réglables en aluminium et la conception modulaire s’adaptent à toutes les configurations, et l’application VelocityOne Tuner facilite la personnalisation. Conçu pour le réalisme et la performance, VelocityOne Race KD3 est un système de retour de force avancé pour les coureurs sérieux. Le VelocityOne Race KD3 est disponible dès maintenant chez www.turtlebeach.com et les détaillants participants dans le monde entier au prix de 349,99 € PDSF.
Turtle Beach VelocityOne F-RX
Le volant de course Turtle Beach VelocityOne F-RX permet aux fans de course les plus intenses de dominer leur parcours routier préféré avec précision et style. Les dix switches mécaniques du F-RX avec rétroéclairage RGB et les cinq cadrans rotatifs permettent d’accéder rapidement aux fonctions critiques pour des performances supérieures. Changez de vitesse rapidement et avec précision grâce à deux palettes de changement de vitesse magnétiques, deux palettes d’embrayage et un tableau de bord de régime à LED dédié pour vous assurer que chaque changement de vitesse est chronométré correctement.
Une conception en aluminium à dégagement rapide avec des matériaux de qualité supérieure de qualité course donne au F-RX une sensation immersive et réaliste conçue exclusivement pour les empattements K : Drive des systèmes VelocityOne Race et VelocityOneRace KD3.
Le volant de course VelocityOne F-RX est également disponible dès maintenant chez www.turtlebeach.comet participants dans le monde entier avec un PDSF de 199,99 €. Le kit original de volant et de pédales Turtle Beach VelocityOne Race, avec son moteur à retour de force à entraînement direct K : Drive de 7,2 Nm et son système de freinage à cellule de charge Dynamic Brake Tek, est disponible chez Turtle Beach et chez les détaillants participants dans le monde entier au prix de vente conseillé de 649,99 $.
Turtle Beach Racer
Le volant sans fil Turtle Beach Racer permet aux conducteurs qui cherchent à améliorer leur passion de conduire et de profiter de la liberté de course grâce à une connexion sans fil à faible latence de 2,4 GHz avec une portée allant jusqu’à 30 pieds et jusqu’à 30 heures d’autonomie. Le volant Turtle Beach Racer est conçu pour Xbox et Windows, et sa conception unique offre la possibilité de passer sans effort d’un support de bureau ou de table à un support sur les genoux antidérapant et réglable sur le canapé avec le matériel de montage innovant inclus.
Conçu pour apporter une sensation plus réaliste à de nombreux titres de course et jeux préférés proposant un gameplay basé sur la conduite, le volant sans fil Turtle Beach Racer dispose également d’un mode contrôleur, ce qui lui permet d’être utilisé comme volant dans les jeux de conduite qui ne prennent pas en charge les volants de course, tels que Rocket Racing. Turtle Beach Racer est disponible dès maintenant chez www.turtlebeach.com et les détaillants participants dans le monde entier au prix de 149,99 € PDSF.
Après le lancement réussi de la gamme de produits DeltaMate avec la série de raccords en août, Thermal Grizzly élargit maintenant la gamme avec le bloc GPU DeltaMate pour les cartes graphiques ROG Astral RTX 5090 et le terminal Through complémentaire. Parallèlement à cela, le nouveau TG GPU Guard est également introduit.
Le DeltaMate GPU Block – Through Terminal est proposé en tant que terminal complémentaire en option pour tous les blocs d’eau GPU DeltaMate, tandis que le TG GPU Guard est un joint en mousse conçu pour entourer la matrice du GPU, aidant à protéger les composants électroniques sensibles lorsque du métal liquide est utilisé.
En raison d’une capacité de production limitée, le premier lot du nouveau bloc GPU s’est vendu immédiatement. Le prochain lot devrait être disponible dans environ 3 à 4 semaines.
Thermal Grizzly DeltaMate GPU Block
Le bloc GPU DeltaMate – ROG Astral RTX 5090 Noir est un bloc de refroidissement par eau solide pour l’ASUS ROG Astral GeForce RTX 5090. Le bloc impressionne par ses matériaux de haute qualité et sa fabrication précise de tous les composants. Des composés thermiques sélectionnés de la gamme Thermal Grizzly sont inclus dans la livraison :
Micro-ailerons ultra haute performance de 0,2 mm
Construction entièrement métallique avec fenêtre de visualisation éclairée par RVB
Refroidissement ciblé de tous les composants VRAM et VRM
Configurable avec des bornes en laiton traversantes (4 ports) ou directes (2 ports)
Fourni avec des pâtes et des tampons thermiques Thermal Grizzly
DeltaMate – Terminal
Le bloc GPU DeltaMate – Terminal traversant est un terminal optionnel pour les blocs d’eau GPU DeltaMate de Thermal Grizzly, qui sont préinstallés avec un terminal direct. Les énormes terminaux de bloc GPU DeltaMate, d’un poids de 270 grammes, sont usinés avec précision à partir de laiton de haute qualité, puis nickelés. En tant qu’alliage de cuivre et de zinc, le laiton offre l’avantage d’être anodiquement compatible avec d’autres métaux tout en étant plus dur et plus résistant à la corrosion que le cuivre pur :
Raccord de passage à 4 ports en option avec entrées et sorties en haut et en bas
Deux ports d’entrée/sortie par côté, chacun avec filetage G1/4 pouce
Usiné en laiton nickelé
Recommandé pour les utilisateurs expérimentés !
Liste de compatibilité disponible en ligne
TG GPU Guard
Le TG GPU Guard est un joint en mousse hautement compressible conçu pour entourer la matrice du GPU et protéger les composants électroniques lors de l’utilisation de métal liquide ou d’autres matériaux d’interface thermique électriquement conducteurs. Le TG GPU Guard couvre les périphériques montés en surface (SMD) à côté du GPU. De plus, le joint en mousse empêche l’oxygène d’atteindre le métal liquide, ce qui augmente sa durabilité :
Joint en mousse entourant la matrice du GPU pour protéger les composants électroniques lors de l’utilisation de métal liquide
Résistant au gallium et hautement compressible
Augmente la durée de vie du métal liquide
Disponible en ensemble de 9 pièces : 3x RTX 5090, 3x RTX 5080 et 3x RTX 4090
Également disponible en version universelle découpée sur mesure
COUGAR est fier de dévoiler sa gamme Cooling Evolved : la série de boîtiers CFV235, le refroidissement liquide Poseidon Vistek Pro ARGB et les ventilateurs de refroidissement Unity Single-Frame PWM ARGB. Ce lancement fait progresser la vision de Cougar d’un refroidissement PC haute performance, où le flux d’air, l’efficacité et la surveillance convergent pour donner aux joueurs et aux créateurs les moyens d’agir.
Boîtiers COUGAR CFV235
La série CFV235 est un exemple de flux d’air de niveau supérieur, composée de 4 modèles : CFV235, CFV235 Mesh, CFV235 Vision et CFV235 Mesh Vision. Au cœur de celle-ci se trouve la structure de ventilation flottante centrale (CFV), un espace ouvert et suspendu entre le bloc d’alimentation et la chambre principale qui transforme le volume vide en ventilation active. Cette disposition repensée améliore les performances de refroidissement en donnant à la chaleur plus de voies d’évacuation et à l’air frais plus d’espace pour se déplacer. Ici, la bande Aurora RGB met en valeur la zone de ventilation flottante de l’intérieur, éclairant le design fonctionnel comme l’arc-en-ciel entre les deux.
Avec une prise en charge native des cartes mères à connecteur inversé, des GPU jusqu’à 438 mm et un hub de ventilateur universel pour une synchronisation RVB sans logiciel, la série est tournée vers l’avenir et conçue pour un flux d’air d’élite.
Le CFV235 présente une construction dans toute sa splendeur à travers un panneau avant en verre, avec des ventilateurs de refroidissement Unity 240 PWM ARGB à cadre unique préinstallés sur le côté de la carte mère.
Le CVF235 Mesh est équipé d’un module de panneau avant 3 en 1, pré-assemblé avec un filtre à poussière, deux ventilateurs PWM ARGB de 160 mm, un panneau maillé et un connecteur à broche pogo, apportant une conception intelligente et des performances de refroidissement immédiates dans un seul boîtier rationalisé.
Les CFV235 Vision et le CFV235 Mesh Vision poussent l’innovation en matière de flux d’air un peu plus loin en ajoutant une visualisation du système en temps réel. Un panneau LCD TFT IPS de 9,16 pouces permet de visualiser pleinement la surveillance du système, offrant une résolution nette de 1920 × 462 à 60 Hz. Des températures à la vitesse des ventilateurs, chaque détail critique est affiché en mouvement, tandis que les utilisateurs peuvent personnaliser l’écran avec des images, des GIF ou des vidéos pour une configuration aussi expressive que fonctionnelle.
Le CFV235 Vision encadre à la fois la construction et l’affichage du système dans une vitrine ininterrompue en ajoutant le panneau LCD à la visibilité inégalée offerte par le panneau en verre avant. Le CFV235 Mesh Vision l’associe au module de panneau avant 3-en-1 et aux ventilateurs de refroidissement PWM ARGB à cadre unique Unity 360 préinstallés sur la face inférieure, combinant une commande visuelle avec un flux d’air immédiat.
L’écran LCD et le boîtier de 9,16 pouces, ainsi que les ventilateurs PWM ARGB mono-cadre Unity, sont également disponibles en tant que composants autonomes, entièrement compatibles avec les modèles de base CFV235 et CFV235 Mesh, permettant aux utilisateurs de mettre à niveau et de personnaliser leur construction. (Veuillez noter que les ventilateurs de refroidissement ne peuvent pas être installés du côté de la carte mère des CFV235 Mesh et CFV235 Mesh Vision en raison de la profondeur supplémentaire du module de panneau avant 3 en 1.)
La série CFV235 est disponible en noir et en blanc et sera disponible à partir de novembre aux prix suivants :
Le refroidissement liquide COUGARPoseidon Vistek Pro ARGB associe des performances thermiques supérieures à un écran LCD TFT IPS de 3,95 pouces surdimensionné pour une surveillance du système en temps réel. Offrant une résolution nette de 720 × 720 à 60 Hz, l’écran offre une fenêtre instantanée sur les mesures critiques du CPU et du GPU, tout en donnant aux utilisateurs la liberté de personnaliser les visuels avec des images, des animations ou du contenu vidéo, contrôlés directement depuis le bureau.
Construit avec des ailettes de radiateur UTTERIGHT qui augmentent la surface pour une plus grande efficacité thermique, et une plaque de refroidissement en cuivre agrandie pour 21 % de contact avec le liquide de refroidissement en plus, le Poseidon Vistek Pro est conçu pour répondre aux exigences thermiques des processeurs de nouvelle génération.
Ses ventilateurs PWM à cadre unique, dans un choix de configurations de 360 mm et 240 mm, simplifient l’installation grâce à un contrôle précis de la vitesse, un fonctionnement quasi silencieux et un éclairage ARGB éclatant. Entièrement compatible avec les sockets AMD AM5 et Intel LGA1851, le Poseidon Vistek Pro combine une compatibilité de pointe avec des performances puissantes, garantissant que les systèmes restent plus froids quelle que soit la charge de travail.
Le Poseidon Vistek Pro ARGB est disponible en noir et blanc, et sera disponible à partir de novembre aux prix suivants :
Ventilateurs PWM ARGB monocadre Unity 360/240 – Cool United
Le système de ventilateur PWM ARGB monocadre COUGAR Unity simplifie l’installation de plusieurs ventilateurs grâce à une conception simplifiée qui relie plusieurs ventilateurs – également disponibles en versions à pales inversées – en une seule unité unifiée. Avec seulement deux câbles nécessaires pour l’alimentation et l’ARGB, Unity offre un contrôle précis de la vitesse PWM, un fonctionnement quasi silencieux avec des coins amortisseurs de vibrations et un éclairage RVB dynamique sur les bandes latérales, le tout entièrement synchronisé avec le logiciel de la carte mère. C’est le refroidissement en toute simplicité, brillamment éclairé… et unis.
Le ventilateur Unity PWM ARGB à cadre unique est disponible en noir et blanc, et sera disponible à partir de novembre aux prix suivants :
Avec cette mise à jour, les cartes GeForce RTX série 50 peuvent atteindre jusqu’à 5,5 fois plus de FPS, tandis que les RTX 40 profitent du DLSS Frame Generation. Tous les possesseurs de RTX bénéficient du DLSS Super Resolution et du modèle AI Transformer pour une image plus nette. Côté réactivité, NVIDIA Reflex réduit la latence jusqu’à 54 %, un atout non négligeable dans des jeux où chaque milliseconde compte.
Un driver taillé pour les blockbusters de septembre
Borderlands 4 : loot, coop et DLSS 4
Le nouveau titre de Gearbox et 2K transporte les joueurs sur Kairos, une planète dirigée par un tyran. Au programme : quatre nouveaux Vault Hunters, un arsenal démesuré et une liberté de mouvement inédite grâce au double saut, au grappin et aux esquives.
Avec le DLSS 4 et la Multi Frame Generation, le jeu tourne comme jamais. Et bonne nouvelle : jusqu’au 22 septembre, l’achat d’une carte graphique ou d’un PC équipé d’une RTX 5090, 5080 ou 5070 (Ti) inclut le jeu et le pack Gilded Glory. Skins exclusifs pour personnages, armes et drone ECHO-4 viennent compléter l’offre.
Dying Light: The Beast : l’ombre et la lumière en RTX
Vous incarnez toujours Kyle Crane, cette fois marqué par les expériences du Baron, mi-homme mi-zombie, dans une quête de vengeance dans la vallée de Castor Woods. Mélange d’action, d’horreur et de parkour nerveux, le jeu exploite à fond les dernières avancées graphiques.
Le support du ray tracing, du DLSS 4, du DLSS Ray Reconstruction et de la Super Resolution pousse l’immersion à un niveau supérieur. Résultat : un monde plus réaliste, plus sombre et plus dangereux.
Améliorations et correctifs du driver GeForce Game Ready 581.29
Bugs corrigés
Problème de performance sur Marvel Rivals avec certains pilotes 581.xx.
Problèmes encore présents
Counter-Strike 2 : texte légèrement déformé quand la résolution in-game est inférieure à celle de l’écran.
Adobe Premiere Pro : risque de blocage lors de l’export en encodage matériel.
Like a Dragon: Infinite Wealth : scintillement de lumière sur certaines configurations.
Ce qu’apporte encore le driver 581.29
Support du CUDA 13.0.
Compatibilité avec la GeForce RTX 5090 D v2 dediée à la chine.
Nouveau compilateur OpenCL basé sur Clang + NVVM 7.0.
Améliorations des bibliothèques mathématiques et support des extensions OpenCL 3.0.
Optimisations générales de performance et corrections diverses.
Avec le driver 581.29, NVIDIA prépare le terrain pour deux mastodontes du jeu PC. Plus de fluidité, une image plus nette, une latence réduite et un bundle exclusif pour les nouveaux acheteurs de RTX série 50. Que vous soyez en quête de loot sur Kairos ou en train de survivre dans Castor Woods, ce pilote est un passage obligé.
MSI annonce aujourd’hui le lancement du DATAMAG 40Gbps, un SSD portable magnétique qui combine une vitesse de pointe et un confort quotidien. Disponible dans des capacités de 1 To, 2 To et 4 To, le DATAMAG exploite l’interface USB4 40 Gbps pour offrir des taux de transfert allant jusqu’à 4000 Mo/s en lecture et 3600 Mo/s en écriture, ce qui en fait l’un des SSD portables les plus rapides de sa catégorie. En complément du matériel, l’application dédiée DATAMAG offre aux utilisateurs un moyen intuitif de vérifier la capacité restante, de sauvegarder et de restaurer des photos et des vidéos, et de garder les données importantes en sécurité et accessibles à tout moment.
SSD portable magnétique
Conçu pour les créateurs et les professionnels en déplacement, le SSD portable magnétique DATAMAG 40Gbps dispose d’un système de fixation magnétique unique. À l’aide des anneaux métalliques inclus, le disque peut s’enclencher en toute sécurité sur les ordinateurs portables, les tablettes ou les téléphones, assurant ainsi des connexions stables et un accès facile. Un anneau de suspension ajoute encore plus de commodité, gardant le SSD à portée de main où que vous travailliez.
Conçu pour les flux de travail modernes
Que vous enregistriez des vidéos haute résolution, que vous montiez en déplacement ou que vous gériez des projets gourmands en données, le MSI DATAMAG 40Gbps offre l’équilibre parfait entre performances, portabilité et commodité. Sa conception magnétique le maintient en sécurité, tandis que les vitesses USB4 40 Gbit/s garantissent que les fichiers volumineux sont déplacés en quelques secondes. Qu’il s’agisse de sauvegarder rapidement des séquences 4K après un tournage en extérieur ou de gérer des fichiers de projet volumineux dans un café, DATAMAG maintient votre flux de travail fluide et ininterrompu où que vous soyez.
Principales caractéristiques du SSD portable magnétique DATAMAG 40Gbps
Système de fixation magnétique : Comprend des anneaux métalliques pour une fixation sûre et un anneau de suspension pour un accès rapide pendant les déplacements.
Performances de l’USB4 40 Gbit/s : Offre jusqu’à 4000 Mo/s en lecture et 3600 Mo/s en écriture, ce qui est idéal pour le transfert de fichiers volumineux, l’édition de contenu haute résolution ou la sauvegarde de projets volumineux.
Prend en charge l’enregistrement ProRes : Compatible avec les modèles d’iPhone Pro qui prennent en charge l’enregistrement vidéo ProRes, ce qui permet de capturer et de stocker de manière fiable des séquences de haute qualité directement sur le disque. Le modèle 4 To peut contenir jusqu’à 143 minutes de vidéo 4K/120 ips.
Conception élégante et durable : Pesant seulement 85 g, le boîtier en alliage d’aluminium combine une esthétique élégante avec une durabilité et une dissipation efficace de la chaleur.
Compatibilité étendue des appareils : Fonctionne de manière transparente avec Windows, macOS, les iPhones (y compris l’iPhone 16/15 Pro Max), les appareils Android, les appareils photo et les consoles de jeu. Des câbles USB-C longs et courts ainsi qu’un adaptateur USB-C vers A sont inclus pour une flexibilité maximale.
Application DATAMAG dédiée : L’application compagnon offre un moyen rapide et intuitif de gérer la capacité du SSD et de sauvegarder ou de restaurer facilement des photos et des vidéos.
Options de stockage fiables : Disponible dans des capacités de 1 To, 2 To et 4 To, chacune couverte par la garantie de 5 ans de MSI.
Disponibilité
Le SSD portable magnétique MSI DATAMAG 40Gbps sera bientôt disponible à l’achat dans la plupart des régions du monde et chez les revendeurs agréés. Pour plus d’informations, veuillez consulter le site : https://www.msi.com/External-Storage/DATAMAG-40Gbps
John Pitzer, vice-président senior chez Intel, admet que l’entreprise a encore « quelques trous à combler » sur le segment desktop, mais affirme rester confiant dans le calendrier de lancement. Ce refresh d’Arrow Lake n’a rien d’une révolution : il s’agira surtout d’optimisations ciblées (fréquences, interconnexions, gestion de l’énergie), sans refonte de l’architecture. En clair, peu ou pas de gains spectaculaires, mais un maintien compétitif face à AMD, notamment sur le haut de gamme.
Arrow Lake peut-il encore convaincre ? Rien n’est joué
À notre avis, tout dépendra de la manière dont Intel gère les interconnexions et les latences, en particulier avec l’introduction de cette nouvelle architecture multichiplet. Si ces points techniques sont maîtrisés, la gamme pourrait redevenir séduisante, tant sur le plan énergétique que sur celui des performances brutes.
Mais encore faut-il que la communication suive. Car aujourd’hui, Arrow Lake souffre d’une image désastreuse, en particulier auprès des joueurs, qui se tournent massivement vers les Ryzen 9000 X3D d’AMD. Des puces qui combinent efficacité énergétique, latence mémoire maîtrisée et performances solides en jeu.
Nova Lake signe-t-il le véritable retour ?
Intel a donc une fenêtre de tir, mais elle est étroite. Si Nova Lake veut réellement incarner un renouveau, il faudra non seulement livrer sur le plan technique, mais aussi reconstruire la confiance d’un public qui, pour l’instant, ne jure plus que par les processeurs rouges.
La vraie rupture viendra avec Nova Lake, annoncé comme un jalon majeur dans l’évolution de l’architecture x86. Intel promet une position de « leadership » sur l’ensemble du segment desktop. Mais entre les ambitions affichées et l’impact réel pour les utilisateurs, le doute reste permis.
Dans un marché où les optimisations logicielles prennent une importance croissante, notamment avec des technologies comme APO (Application Optimisation) pour booster les perfs en jeu, Nova Lake devra faire mieux qu’un simple saut générationnel pour convaincre.
Dévoilé lors du COMPUTEX 2024, le Corsair 3500X avait déjà marqué les esprits avec son format panoramique et son orientation iCUE LINK. Depuis, nous l’avons passé au crible dans notre test complet du 3500X ARGB, saluant son excellent rapport qualité/prix.
Mais Corsair ne s’est pas contenté de ce succès initial. Ce 9 septembre 2025, la marque lance une nouvelle déclinaison du 3500X avec une série d’améliorations ciblées, sans revoir la structure de fond.
Deux variantes, un objectif commun : affiner l’expérience utilisateur
Corsair 3500X LX-R RGB iCUE LINK
Cette version est livrée avec trois ventilateurs LX120-R à pales inversées, qui affichent leur RGB en façade tout en conservant un flux d’air efficace. Le tout est accompagné d’un hub iCUE LINK préinstallé, pour une gestion centralisée et sans effort des composants compatibles.
3500X RS-R ARGB
Plus classique, cette version mise sur des ventilos ARGB/PWM en daisy-chain, à connecter directement à la carte mère. Idéale pour ceux qui souhaitent rester hors de l’écosystème Corsair tout en profitant d’un design modernisé.
Ce qui change concrètement pour le 3500X
Ventilateurs reverse rotor pour une vue RGB dégagée.
Support GPU anti-affaissement inclus.
Passe-câbles double-shot et canal large pour un routage plus propre.
Compatibilité élargie avec les cartes mères à connecteurs arrière (ASUS BTF, MSI Project Zero…).
Support de 10 ventilateurs 120 mm et radiateurs jusqu’à 360 mm (côté et dessus).
Pas plus cher… mais toujours pas pour tous les budgets
Corsair n’a pas gonflé les prix avec cette mise à jour, c’est vrai. Le souci, c’est que le 3500X n’était déjà pas particulièrement accessible, surtout dans sa version iCUE LINK à près de 195 €, contre environ 140 € pour la déclinaison RS-R ARGB. On reste donc dans une gamme tarifaire premium, où la « valeur ajoutée » se joue autant sur l’esthétique que sur l’intégration dans un écosystème.
Est-ce que ça les vaut ? Pour les adeptes du montage propre, du full RGB et de l’écosystème Corsair, probablement. Pour d’autres, il faudra vraiment en avoir l’usage pour justifier ce ticket d’entrée.
Verdict : une mise à jour utile
Pas besoin de tout réinventer quand le design de base fonctionne. Corsair le prouve ici avec un refresh malin du 3500X : plus esthétique, plus propre, plus pratique sans sacrifier la compatibilité ni la simplicité d’installation. Une mise à niveau bienvenue qui renforce un modèle déjà solide et s’inscrit dans la lignée des innovations de la marque, à l’image du nouveau Commander Duo tout juste lancé.
Corsair continue d’étoffer son écosystème iCUE LINK avec un petit accessoire qui pourrait bien intéresser les bricoleurs exigeants comme les utilisateurs en pleine transition technologique. Le tout nouveau COMMANDER DUO Lighting and Fan Controller débarque à 39,90 €, avec une promesse simple mais maline : faire le pont entre les ventilateurs ARGB classiques et les nouveaux dispositifs iCUE LINK. En clair, plus besoin de choisir son camp.
Corsair COMMANDER Duo : tout comprendre, du pourquoi au comment
Ce contrôleur compact prend en charge jusqu’à 12 ventilateurs PWM ARGB répartis sur deux canaux, soit six par port, avec un maximum de 50 LED RGB par canal.
Mais sa particularité, c’est surtout de pouvoir accueillir un iCUE LINK System Hub (vendu séparément), pour passer en mode “LINK” et gérer ainsi toute une chaîne de composants intelligents via un seul connecteur. Un vrai plus pour ceux qui veulent simplifier leur câblage sans sacrifier la compatibilité avec leur matos existant.
Le COMMANDER DUO intègre aussi deux sondes thermiques, pour ajuster dynamiquement la vitesse des ventilateurs selon la température réelle à l’intérieur du boîtier. Et évidemment, tout ça se pilote depuis le logiciel iCUE, centre névralgique de la maison Corsair.
Ce petit module est aussi pratique à installer que discret, avec un dos magnétique pour le fixer rapidement dans le boîtier. Et il ne pèse que 154 grammes.
À moins de 40 €, difficile de trouver un contrôleur aussi souple, surtout pour ceux qui hésitent à basculer complètement vers l’écosystème iCUE LINK. Avec sa garantie de 3 ans et sa compatibilité double génération, le COMMANDER DUO s’impose comme un compagnon idéal pour les setups iCUE hybrides.
Après avoir surpris avec le Light Loop et son positionnement plus premium, be quiet! revient déjà avec une nouvelle déclinaison de ses AIO : la série Pure Loop 3, et plus particulièrement sa variante LX. Présentée pour la première fois au Computex 2025, cette gamme cherche à combiner la philosophie de silence chère à la marque allemande avec des choix plus audacieux côté personnalisation et gestion des câbles.
Le Pure Loop 3 LX se distingue par un bloc pompe ARGB inédit, doté d’un couvercle amovible permettant d’insérer dix films plastifiés fournis, chacun offrant un motif visuel différent. Une approche originale, qui mise davantage sur la créativité utilisateur que sur des effets lumineux dynamiques complexes. En parallèle, be quiet! a fait évoluer la partie technique : une pompe PWM à moteur 6 pôles, désormais capable de tourner entre 3000 et 5500 tr/min, promet un meilleur débit et des vibrations réduites.
Disponible en 240 mm et 360 mm, le Pure Loop 3 LX vise clairement les utilisateurs exigeants qui veulent conjuguer performance et esthétique. Côté ventilation, on retrouve les Light Wings LX 120 mm PWM high-speed, connectés en mode chaînage. Ce système remplace le traditionnel hub ARGB-PWM par un câblage prioritaire, censé simplifier l’installation même si cela reste moins élégant que les solutions magnétiques ou sans fil adoptées par certains concurrents.
Reste à savoir si cet AIO parvient à trouver l’équilibre entre innovations utiles, silence de fonctionnement et refroidissement efficace, ou si les concessions faites pour contenir le prix se ressentent dans l’expérience globale.
Le Pure Loop 3 LX360 mm que nous testons aujourd’hui est proposé à 119,99 €, un tarif compétitif sur un marché saturé où la bataille se joue aussi bien sur le refroidissement que sur l’esthétique. Voyons ce que ce nouvel AIO a à offrir.
Emballage & Unboxing du be quiet! Pure Loop 3 LX
L’emballage du Pure Loop 3 LX 360 mm marque un retour à une présentation plus classique. La face avant, sobre et sombre, met en évidence les trois ventilateurs ARGB ainsi que le waterblock rétroéclairé, sans fioritures particulières. On retrouve ici la charte habituelle de la marque, simple et efficace.
La face arrière se concentre sur l’originalité de ce modèle : le système de films interchangeables permettant de modifier l’apparence du bloc pompe, tandis qu’une autre face met en avant les aspects techniques et la compatibilité.
À l’ouverture, on retrouve une organisation familière. Les différents éléments sont calés dans un insert en carton moulé : le radiateur, les ventilateurs Light Wings LX, le bloc pompe, ainsi que les accessoires regroupés dans un sachet distinct.
La mousse protectrice recouvre l’ensemble, et la documentation propose les instructions nécessaires pour l’installation sur les sockets Intel et AMD.
Bundle
Le Pure Loop 3 LX 360 mm est livré avec :
Trois ventilateurs Light Wings LX 120 mm PWM high-speed
Une seringue de pâte thermique
Les kits de montage Intel et AMD (LGA 1851/1700 et AM5/AM4 inclus)
Dix films personnalisables pour le bloc pompe ARGB
La visserie et la documentation multilingue
Le bundle reste complet pour une installation immédiate, mais perd l’accessoire pratique qu’était la bouteille de liquide fournie avec les générations précédentes.
Specs techniques du be quiet! Pure Loop 3 LX
Caractéristiques
Pure Loop 3 LX 360 mm
Dimensions radiateur
397 x 120 x 27 mm
Matériau radiateur
Aluminium (peinture noire)
Matériau base
Cuivre nickelé
Ventilateurs
3x Light Wings LX 120 mm PWM high-speed
Vitesse ventilateurs
Jusqu’à 2100 tr/min
Débit d’air
61,8 CFM
Pression statique
2,51 mmH2O
Niveau sonore ventilateurs
17,3 / 29,4 / 36,9 dB(A) (50% / 75% / 100%)
Pompe
3000 à 5500 tr/min, PWM, moteur 6 pôles
Longueur des tubes
400 mm
Compatibilité
Intel LGA 1851/1700/1200/115x – AMD AM5/AM4
Garantie
3 ans
Prix
119,99 € (360 mm)
Le be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm en détail
Design global
Le Pure Loop 3 LX conserve l’ADN be quiet! avec une finition noire matte soignée, mais introduit une dimension plus ludique avec son bloc ARGB personnalisable.
Radiateur
Le radiateur en aluminium de 27 mm d’épaisseur affiche des dimensions standards pour un AIO 360 mm. Sa finition noir semi-mat est réussie et ses ailettes sont disposées avec une densité homogène.
Le design est sobre et fonctionnel, sans l’effet visuel travaillé que l’on avait vu sur le Light Loop, mais il conserve une qualité d’usinage irréprochable.
Bloc pompe / waterblock
Là où le Light Loop misait sur un rétroéclairage intégré élégant et fluide, ce modèle se distingue par ses films interchangeables : une dizaine de feuilles plastiques à insérer manuellement dans le couvercle du bloc pompe pour obtenir un motif statique.
Une solution originale mais qui peut paraître datée en 2025, à l’heure où l’éclairage adressable et les écrans LCD dominent.
Ce bloc pompe compact associe une base en cuivre à une pompe désormais réglée entre 3 000 et 5 500 tr/min. Son moteur à 6 pôles réduit les vibrations et les nuisances sonores. L’alimentation s’effectue via un connecteur PWM à 4 broches, permettant un réglage dynamique de la vitesse.
Le bloc pompe conserve son port de remplissage accessible, mais, cette fois, aucun flacon de liquide n’est fourni. L’utilisateur devra donc prévoir sa propre solution en cas de maintenance à long terme. C’est un choix qui simplifie le packaging et réduit le coût, mais qui enlève un petit plus apprécié sur la gamme Pure Loop antérieure.
Ventilateurs Light Wings LX 120 mm PWM high-speed
Les ventilateurs fournis sont des Light Wings LX 120 mm PWM high-speed. Conçus pour un compromis entre pression statique et silence, ils atteignent 2100 tr/min au maximum, avec un éclairage ARGB vibrant.
Ils se connectent désormais en mode guirlande : chaque ventilateur se relie au suivant via un câble prioritaire, simplifiant légèrement le câblage par rapport à un hub dédié, mais sans la modernité des solutions magnétiques ou sans fil que proposent certains concurrents.
Câblage
L’ensemble se veut plus pratique qu’un hub externe, mais le câblage reste conséquent. Les trois ventilateurs partagent une seule liaison PWM/ARGB une fois chaînés, à laquelle s’ajoutent les câbles de la pompe. Le résultat est plus compact qu’un faisceau complet, mais pas encore totalement optimisé.
Installation
Le montage du Pure Loop 3 LX sur socket Intel LGA 1700/1851 se fait sans difficulté particulière. Le kit de fixation reprend la logique habituelle chez be quiet! :
Fixation de la plaque arrière
Application de la pâte thermique
Positionnement du waterblock
Serrage uniforme avec les vis fournies
Les ventilateurs se vissent sur le radiateur dans une configuration push recommandée. Le chaînage PWM/ARGB simplifie en partie le routage, mais la multiplication des fils reste à gérer pour obtenir un rendu propre.
be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm démonstration
Protocole de test 2025
En 2025, une évolution du protocole est mise en œuvre, adoptant une approche innovante pour accroître le réalisme des tests et couvrir une gamme plus étendue de scénarios. (Cliquer pour lire la suite)
Présentation et explications
Notre nouveau protocole de test de refroidissement consiste à tester chaque refroidisseur à plusieurs niveaux de TDP sur une plateforme Intel LGA 1700 équipée d’un Core i9-14900K que nous avons testé ici. Nous allons probablement intégrer une plateforme AMD AM5, car les deux fabricants ont deux concepts différents.
Pour la mesure de consommation, nous faisons confiance au logiciel Intel XTU et AIDA64 qui sont arrivés à un point de fiabilité avancé notamment avec les processeurs modernes.
Il n’y aura plus tests de performance du refroidisseur à fréquence de base et en mode overclocking. Nous allons plutôt fixer des paliers TDP que nous avons fiabilisés par les tests en mettant tous les paramètres en manuel afin de s’assurer du même résultat à chaque fois.
Cela permet au processeur de fonctionner à un niveau de puissance contrôlé et nous permet d’effectuer des tests de performance qui montrent non seulement comment un refroidisseur devrait se comporter sur des processeurs d’entrée ou de milieu de gamme, mais aussi comment ces refroidisseurs se comporteront dans différentes charges de travail. Ces données peuvent être mises en corrélation avec des revues de processeurs, qui indiquent la consommation d’énergie par charge et la consommation moyenne dans différents tests, y compris les jeux, ce qui permet aux utilisateurs de mieux comprendre le niveau de refroidissement dont leur système a besoin.
Cette nouvelle méthode de test, conçue pour bénéficier à tous les utilisateurs, permet une évaluation plus pratique des refroidisseurs. L’utilisation d’un refroidisseur tour de 150 W lors d’un test d’overclocking peut entraîner des défaillances en raison de la chaleur excessive générée par le CPU overclocké, et peut être rejetée par beaucoup comme choix pour leur configuration. Cependant, ce scénario ne fournit pas une évaluation précise des performances globales du refroidisseur, car celui-ci n’a jamais été conçu pour gérer des charges thermiques aussi élevées. Par conséquent, l’évaluation des refroidisseurs à différents niveaux de TDP permet de mieux comprendre leur potentiel et bien les positionner dans des catégories précises.
Plus important encore, cette approche permet aux utilisateurs de sélectionner des refroidisseurs qui répondent exactement à leurs besoins, en évitant de choisir inutilement des solutions surdimensionnées. Par exemple, si l’utilisateur utilise son i9-14900K uniquement pour jouer, il peut partir sur un système de refroidissement moins imposant que s’il l’utilisait pour faire du montage vidéo ou une autre utilisation intensive.
Profils de Consommation :
Des profils de consommation seront établis par palier de 50W, allant de 50W à 300W.
Ces profils prédéfinis sont réglés via Intel XTU et testés sous une charge FPU (Floating Point Unit) en utilisant Aida64. Cela nous permet de simuler des scénarios d’utilisation intensifs et de mesurer la performance du refroidissement sous différentes charges.
Mesure du TDP Maximal :
La température maximale (Tjmax) des processeurs Intel, établie à 100 degrés (95° C pour AMD), constitue notre référence pour évaluer la capacité de dissipation thermique (TDP) du refroidisseur à l’étude. Grâce à Intel XTU et Aida64, nous mesurons la consommation maximale du processeur avant qu’il ne subisse du thermal throttling.
Cette méthode permet non seulement de vérifier le TDP maximal par rapport aux spécifications du fabricant, mais aussi de classifier le refroidisseur. Par exemple, si le Thermal throttling survient à 200w, il devient évident qu’un test à 250w serait superflu.
Tests de Température:
Les tests de température à vide consistent à laisser les systèmes inactifs pendant un certain temps et à prendre la température moyenne. Ensuite, nous effectuons des tests à une puissance cible spécifique, par intervalles de 50 watts, en commençant par 50 W, puis 100 W, 150 W, 200 W, 250 W, et 300. Nous utilisons le test de stress AIDA64 FPU, qui génère une charge cohérente et reproductible sur le processeur qui s’étend aux niveaux de puissance les plus élevés. Une fois que la température cesse d’augmenter et se stabilise, la température moyenne est enregistrée. Ce test est effectué trois fois pour garantir des résultats cohérents.
Le test de stress AIDA64 FPU est utilisé pour appliquer une charge aux processeurs, la cohérence globale de la charge de travail la rendant parfaite pour la comparaison à chacun des TDP cibles désignés. Une fois que la température s’est stabilisée et qu’elle n’augmente plus, elle est réinitialisée et le test se poursuit pendant 2 minutes, enregistrant la température moyenne pendant ce laps de temps. Ces tests sont effectués trois fois pour vérifier s’il y a des problèmes.
Pour les relevés de température sur la plateforme Z790 d’Intel, nous utilisons AIDA64 et nous relevons la sonde CPU Package lors de chaque test.
Ce test soumet le processeur à de très fortes contraintes. Tant sur le plan de la charge que sur le plan thermique. Il s’agit d’un test unique, dans le sens où peu d’autres tests de stress ou d’applications sont capables de pousser votre processeur aussi loin. Le Stress FPU utilise les instructions AVX, AVX2 et FMA ce qui donne un haut niveau de stress.
Quant à la température ambiante, elle est réglée à 22 °C (+-1) et est activement contrôlée par le BOSCH – Professional GIS 1000 C à plusieurs reprises.
Tests Acoustiques et de Vitesse des Ventilateurs :
Lorsque nous testons les refroidisseurs de processeur, le reste de notre système est complètement passif. Aucun ventilateur autre que ceux du refroidisseur de CPU ne fonctionne. Cela inclut également la carte graphique et le bloc d’alimentation. Ceci est possible grâce à l’utilisation d’une alimentation semi-passive et du mode no-fan de notre carte graphique. Ainsi, nous relevons uniquement les nuisances sonores du refroidisseur du processeur.
Les niveaux de bruit des refroidisseurs présentés ont été mesurés à 20 cm. Nous avons également élargi les tests de bruit pour inclure des réglages PWM de 25%, 50%, 75% et 100%. Nous utilisons toujours notre sonomètre Testo 815 calibré.
Nuisances sonores normalisées
Dans le nouveau protocole, nous continuons à faire un relevé avec des nuisances sonores normalisées. C’est-à-dire que nous allons tester tous les refroidisseurs à un niveau sonore fixé à 45 dBA. À ce niveau de bruit, à savoir 45 dB(A) à 20 cm, un refroidisseur peut être considéré comme discret ou silencieux pour la majorité des utilisateurs.
Quand nous testons les réglages PWM de 25 %, 50 %, 75 % et 100 %, nous enregistrons également la vitesse du ventilateur du refroidisseur. Le but est de donner un point de référence direct à partir duquel les mesures de dBA ont été obtenues.
Nota : Sachez que le test de stress FPU (Unité de Calcul Flottant) d’AIDA64 est conçu pour pousser le processeur dans ses derniers retranchements en exécutant en boucle des calculs flottants intensifs sur tous les cœurs. Il s’agit généralement d’un des cas de charge les plus extrêmes en termes de génération de chaleur. Le test FPU d’AIDA64 représentera probablement le pire cas en termes de températures atteintes.
La plupart des charges réelles, même les plus exigeantes comme le rendu 3D, l’encodage vidéo ou les calculs scientifiques intensifs, ne sollicitent pas tous les cœurs à 100% en calculs flottants en permanence sur de longues périodes.
Donc, dans la grande majorité des cas, si le refroidissement est suffisant pour le test FPU d’AIDA64, il le sera aussi pour la plupart des charges réelles extrêmes.
Résultats du test du be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm
Lors de nos tests, la pompe tourne à pleine vitesse, atteignant environ 5000 RPM.
Performances thermiques à vitesse maximale
Poussé à plein régime, le Pure Loop 3 LX 360 mm affiche un comportement solide, avec des températures parfaitement maîtrisées jusqu’à 250 W. Au-delà, la montée devient plus brutale, culminant à 91 °C à 300 W et atteignant le thermal throttling à 335 W.
Des résultats très proches de ceux observés sur le Light Loop 360 mm, mais le LX se montre légèrement plus endurant grâce à sa pompe revisitée, qui lui offre un petit supplément de stabilité thermique en haute charge.
Performances thermiques avec nuisances sonores normalisées à 45 dB(A)
En limitant le régime des ventilateurs à 1625 tr/min pour contenir le bruit à 45 dB(A), le Pure Loop 3 LX garde un profil efficace jusqu’à 200 W, mais franchit vite la barre des 80 °C au-delà. Le throttling survient dès 315 W, preuve que la marge est plus restreinte qu’en vitesse maximale.
Là encore, les résultats restent proches du Light Loop 360 mm, mais le LX parvient à garder une petite avance thermique, attribuable à la nouvelle pompe plus stable et mieux calibrée.
Vitesse des ventilateurs & Nuisances sonores
Le be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm mise sur une montée en régime progressive de ses ventilateurs Light Wings LX, associant rotation et nuisances sonores de manière maîtrisée. Voici l’évolution directe des vitesses de rotation et du bruit généré :
À 25 % de charge, les ventilateurs tournent autour de 530 RPM pour un niveau sonore mesuré à 31 dB(A). Le système reste alors quasiment imperceptible, idéal pour les tâches légères ou le repos du PC.
À 50 % de charge, la vitesse grimpe à 1 080 RPM avec un niveau sonore de 35 dB(A). Le souffle commence à être perceptible, mais demeure très contenu, fidèle à la philosophie be quiet!.
À 75 % de charge, on atteint environ 1 620 RPM, pour un bruit mesuré à 44 dB(A), proche des valeurs d’un Light Loop 360 mm ou d’un Liquid Freezer III 360. Le refroidisseur reste tolérable dans un environnement normal, même si le bruit devient présent.
À pleine vitesse, les ventilateurs culminent à 2 098 RPM pour un niveau sonore de 51 dB(A). Le bruit est clairement audible, mais reste dans des limites acceptables pour un AIO 360 mm conçu pour encaisser de fortes charges thermiques.
Verdict sur le be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm
[Test] be quiet! Pure Loop 3 LX 360 mm : silence, performance et prix contenu
Conclusion
Avec le Pure Loop 3 LX, be quiet! signe un AIO sérieux et compétitif qui reprend l’ADN de la marque – silence et sobriété – tout en tentant quelques audaces. Sur le plan technique, la pompe repensée est la véritable réussite de ce modèle : cadencée entre 3000 et 5500 RPM, dotée d’un moteur à 6 pôles, elle assure un meilleur débit tout en réduisant les vibrations. Résultat, le LX tient tête au Light Loop 360 mm et parvient même à le dépasser légèrement sur les charges extrêmes, avec une endurance thermique solide jusqu’à 250 W.
L’acoustique est parfaitement maîtrisée, avec une progression harmonieuse de 31 dB(A) à 25 %, 35 dB(A) à mi-charge et un maximum de 51 dB(A) à pleine vitesse, des valeurs exemplaires pour un AIO 360 mm. Le câblage en chaînage simplifie l’installation, la qualité d’assemblage reste impeccable, et le tarif de 119,99 € place ce modèle en position avantageuse face à des concurrents premium plus coûteux.
En revanche, certaines concessions sont visibles. Le système de films interchangeables du bloc pompe apparaît obsolète dans un marché 2025 dominé par les écrans LCD, même si le rendu reste soigné et cohérent avec l’esthétique be quiet!. Le radiateur, plus générique que celui du Light Loop, et une connectique encore très câblée contrastent avec les solutions magnétiques ou sans fil déjà adoptées ailleurs. Enfin, le bundle perd un peu en générosité avec la disparition de la bouteille de liquide de rechange.
En définitive, le Pure Loop 3 LX 360 mm est un refroidisseur liquide efficace, silencieux et abordable, qui mise sur la rationalité plutôt que sur l’esbroufe. Ses performances solides et son prix compétitif en font un choix pragmatique, certes moins moderne et spectaculaire que certaines alternatives, mais difficile à ignorer pour qui cherche un 360 mm fiable sans se ruiner. Une solution cohérente que l’on peut recommander sans hésitation.
Qualité / Finition
7.8
Performances de refroidissement
8.5
Nuisances sonores
9
Rapport Performance / Silence (45 dbA)
8
Prix
9
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Bonne tenue thermique jusqu’à 250 W, légère avance sur le Light Loop
Silence exemplaire (31 dB(A) à 25 %, 51 dB(A) max)
Pompe revisitée plus stable, moins vibrante
Câblage simplifié en chaînage sans hub
Prix compétitif (119,99 €)
Points faibles
Système de films obsolète et statique
Radiateur plus générique que sur le Light Loop
Connectique câblée face aux solutions magnétiques concurrentes
AMD vient de déployer son nouveau driver Adrenalin 25.9.1, et cette mise à jour va faire plaisir aux joueurs équipés de GPU Radeon. Au programme : FSR 4 qui débarque dans plus de 85 titres, grâce à une compatibilité directe avec les jeux déjà optimisés pour FSR 3.1 en DirectX 12. Concrètement, si votre jeu supportait déjà FSR 3.1, il y a de grandes chances qu’il profite désormais de FSR 4, sans bidouilles ni outils tiers comme DLSS Swapper.
Parmi les nouveaux arrivants, on retrouve Borderlands 4 et Hell Is Us, mais la vraie avancée, c’est que des dizaines de jeux déjà compatibles passent au niveau supérieur avec un rendu plus net, plus stable, et souvent meilleur que le mode performance/balanced du FSR 3.1.
DLSS 4 vs FSR 4 : duel au sommet
Impossible d’évoquer FSR 4 sans rappeler ce que fait la concurrence. NVIDIA a déjà son DLSS 4, présent dans plus de 175 jeux et applications, et qui reste la référence en matière de reconstruction d’image assistée par IA. Alors, FSR 4 peut-il rivaliser ? AMD joue la carte de la compatibilité large (pas besoin de Tensor Cores ni de RTX spécifique), ce qui lui donne un avantage d’accessibilité. En revanche, DLSS 4 garde une avance en qualité d’image pure et en stabilité des performances, surtout sur les titres AAA. Bref, un match intéressant : FSR 4 démocratise l’upscaling, tandis que DLSS 4 continue de tirer la vitrine technologique.
Les limites et corrections
Attention, tout n’est pas encore parfait. Vulkan reste à la traîne, et les bidouilles pour activer FSR 4 sur RDNA 3 via Linux ne sont pas officiellement supportées. Côté correctifs, AMD annonce :
Fins aux artefacts visuels dans Mafia: The Old Country sur RX 6600.
Moins de crashs dans WUCHANG: Fallen Feathers avec FSR 4 actif.
Compatibilité améliorée avec SteamVR et les manettes PS VR.
Optimisations pour Monster Hunter Wilds en Ray Tracing sur les RX 7600/7700/7800.
Conclusion
Avec ce driver Adrenalin 25.9.1, AMD rapproche FSR 4 du grand public : plus simple, plus accessible, et disponible dans une centaine de jeux au total. Si NVIDIA garde une longueur d’avance avec son DLSS 4 et ses 175+ jeux/apps supportés, la bataille se resserre, et c’est finalement le joueur qui sort gagnant.
Annoncé en juin dernier, le Dockcase Chizha Mount Ling Dock prépare enfin son lancement sur Kickstarter en septembre 2025. Contrairement aux stations d’accueil classiques pour Steam Deck, ce dock mise sur des fonctionnalités inédites : un écran tactile de 3 pouces (560 x 170 px) en façade, un emplacement M.2 2280 compatible SSD PCIe jusqu’à 4 To, ainsi qu’une large connectique.
La station propose un port USB-C 10 Gbps, deux USB-A, une sortie HDMI 2.0 (4K HDR à 60 Hz), un port Ethernet Gigabit et même une sortie Toslink pour brancher une barre de son ou des enceintes externes. Elle prend en charge la charge rapide via USB-C Power Delivery 100 W et intègre un ventilateur (jusqu’à 5 000 tr/min, 28 dB max) pour soutenir le refroidissement de la console sans obstruer son système interne.
Le Chizha sera proposé en plusieurs formules : la version Super Early Bird à 129 $, le prix public devant grimper à 199 $. Un pack Game Changer Bundle, incluant un boîtier SSD portable supplémentaire, sera disponible à 189 $ (hors frais de port, taxes et import).
Reste que ce positionnement tarifaire est bien plus élevé qu’un dock classique à 30 $, mais le Chizha vise clairement à séduire les utilisateurs exigeants, en quête d’une station d’accueil complète qui transforme leur Steam Deck en véritable hub multimédia et de stockage.
ASUS est bien connu pour sa gamme de produits gaming ROG qui s’engage à offrir des expériences de jeu hors du commun aux joueurs et aux passionnées de tous horizons. Mais la marque dispose également d’une ligne plus professionnelle : la gamme ProArt. Cette série est pensée pour répondre aux besoins des créateurs de contenu, des monteurs vidéo, des photographes ou encore des professionnels de la 3D. L’objectif est simple : proposer des outils fiables, performants et adaptés à une utilisation intensive.
Dans cette logique, ASUS a conçu le ProArt PA401 Wood Edition, un boîtier PC dévoilé fin 2024 qui privilégie la fonctionnalité et la sobriété. Loin des modèles orientés gaming, il ne cherche pas à se faire remarquer par des éclairages tape à l’œil ni par un design ostentatoire. Il se concentre sur l’essentiel: un espace interne généreux, une circulation de l’air efficace et une organisation facilitée.
Côté caractéristiques, le ProArt PA401 Wood Edition se veut polyvalent. Il peut accueillir des cartes mères allant jusqu’au format ATX et il intègre un système de gestion de la ventilation capable de refroidir des composants exigeants (le boîtier est livré avec trois ventilateurs préinstallés dont deux de 160 mm). Il propose suffisamment de place pour les solutions de stockage volumineuses, également des filtres anti-poussière accessibles, une connectique supérieure complète et un montage pensé pour simplifier l’installation.
Côté tarif, le ProArt PA401 Wood Edition s’affiche à 142 € sur Amazon France, mais on le trouve à un prix plus accessible chez Alternate, autour de 114 euros. Il se situe dans la gamme moyenne des boîtiers présents sur le marché. Il s’adresse à ceux qui considèrent leur PC comme un outil de travail quotidien et qui recherchent un boîtier durable, fiable et conçu pour accompagner des charges de travail importantes. Découvrons ce boîtier élégant pensé par les créateurs et pour les créateurs.
Emballage de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
La face principale de l’emballage du ProArt PA401 est à l’image du produit. C’est sobre et élégant grâce à un graphisme géométrique discret, fidèle à la gamme ProArt et à un encadré noir nous donnant quelques caractéristiques des ventilateurs installés (160 x 32 mm, airflow à 138 CFM, nuisances sonores à 30 dB(A) et pâles en anneau). L’autre face de l’emballage nous donne d’autres points forts que nous évoquerons tout au long de ce test.
Les petits côtés nous donnent les spécifications complètes du ProArt PA401 sous forme de tableau ainsi que la version livrée (métal ou verre trempé) grâce à une gommette. Nous avons également les logos et étiquettes habituelles. Un QR code renvoie vers la page d’enregistrement du produit.
Unboxing et accessoires
Le ProArt PA401 Wood Edition est encadré par deux blocs de polystyrène garants de son immobilité lors du transport. Un sac plastique protège en plus le boîtier des éventuels accrocs et rayures lors des premières manipulations. Une boîte d’accessoires est intégrée aux blocs de polystyrène.
Cette boîte cartonnée contient :
Une pièce métallique permettant le passage de la carte graphique à la verticale,
Un manuel d’utilisation et une carte de garantie,
Dix serre-câbles plastique,
Un ensemble de vis permettant l’installation des composants à l’intérieur du boîtier.
Caractéristiques techniques de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Modèle
ProArt PA401 Wood Edition – Panneau en verre trempé (90DC00M0-B39000)
Format de cartes mères supporté
ATX
Baies de stockage
2 x baies 2,5 pouces 2 x baies 2,5/3,5 pouces
Slots d’extension
7
Ports E/S
1 x Casque / Microphone 2 x USB 3.2 Gen1 1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type C
Emplacement radiateur haut
120 mm 140 mm 240 mm
Emplacement ventilateur façade
2 x 140 mm 2 x 160 mm (deux préinstallés)
Emplacement ventilateur arrière
1 x 120 mm (un préinstallé)
Hauteur maximum ventirad
160 mm
Longueur maximum carte graphique
315
Longueur maximum alimentation
170 mm
Dimensions
412 x 225 x 503 mm (D*W *H)
Poids
8.61 Kg
Accessoires
HUB préinstallé pour 5 ventilateurs PWM
Design extérieur de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Voici le ProArtPA401 Wood Edition ! Avec ce boîtier, la marque mise sur l’élégance avec une façade particulière en bois de frêne certifié FSC qui serait plus résistant et plus durable que le noyer ordinaire. Un revêtement en deux étapes vient compléter la conception. Ce revêtement rehausse le grain unique du frêne avec une finition brillante. Le reste du boîtier est visuellement ordinaire avec, pour notre version, une paroi latérale en verre trempé de 4 mm (une version est disponible avec une paroi en acier).
En arrière, nous avons une disposition classique :
Emplacement des E/S de la carte mère,
Emplacement pour un ventilateur/radiateur de 120 mm réglable verticalement,
Sept emplacements d’extension,
Emplacement de l’alimentation.
Le reste de la paroi est agrémenté d’ouvertures rondes permettant une meilleure circulation de l’air. La paroi latérale droite est pleine, en acier.
Le ProArtPA401 Wood Edition est livré avec une plaque permettant l’installation de la carte graphique à la verticale (le Riser n’est pas fourni). La manœuvre de remplacement est simple : enlever les sept équerres PCIe, placer le support et visser.
La marque mise aussi sur la sécurité. En haut de cette paroi arrière, nous remarquons un loquet pour débloquer chaque paroi latérale, un système de fixation pour la paroi supérieure et un autre loquet pour sécuriser la fixation de la paroi en verre trempé.
En plus, pour un rendu visuel impeccable, l’utilisateur pourra profiter de quatre pinces à câbles estampillés ProArt.
De côté, le ProArtPA401 Wood Edition nous montre une paroi latérale droite en acier et une paroi latérale gauche en verre trempé. Cette dernière profite d’un cadre intérieur noir sur quatre côtés.
Cette paroi profite aussi de la typographie particulière vue précédemment en lettres d’or ainsi qu’un « Power Up Your Imagination » mettant en avant les possibilités offertes avec ce boîtier sur l’installation d’un système selon les souhaits de l’utilisateur.
Au-dessus du boîtier
Au-dessus du ProArt PA401, nous avons une paroi intégralement en maille fine. Elle va permettre la circulation de l’air tout en protégeant les composants de la poussière. Cette paroi est amovible grâce au système de fixation vu précédemment. Une fois enlevée, elle libère un emplacement pour ventilateur (deux de 120 ou 140 mm) ou radiateur (240 mm maximum). Ce support, en acier, est amovible pour faciliter l’installation des composants.
C’est sur cette paroi supérieure que se situent les E/S. Nous avons :
Un bouton de gestion de la vitesse des ventilateurs (Auto selon les réglages dans le bios ou intensif),
Deux USB type A 3.0,
Une prise combo micro/casque,
Un port USB type C,
Un bouton Reset,
Un loquet de verrouillage des boutons Reset et Power pour éviter tout appui involontaire lors des sessions de travail (ou de jeu),
Un bouton Power.
En dessous du ProArt PA401, nous avons quatre petits pieds ronds pourvus de patins antidérapants. Leur petite taille assure tout de même une bonne accroche sur le support. Nous avons également un filtre qui va protéger l’alimentation de la poussière. Ce filtre profite d’un cadre plastifié rigide et il peut s’enlever pour faciliter son nettoyage.
Intérieur de l’ASUS ProArt PA401
Pour dévoiler l’intérieur du ProArt PA401, nous pouvons commencer par enlever la façade. Mais attardons-nous quelques instants, car, là encore, ASUS a ajouté quelques détails qui subliment ce PA401. Nous avons en bas à gauche, une pastille aux éléments typographiques dorés et le nom de la gamme gravé tout en haut de la façade.
Nous avons volontairement forcé l’exposition de la photo suivante afin de vous montrer les différentes nuances visibles dans les lattes en frêne de la façade. Globalement foncées, celles-ci pourront dégager des nuances plus claires de couleur bordeaux, voire même si la lumière est bien présente, des tons ocre. C’est élégant et apporte une vraie plus-value à ce PA401.
La façade se déclipse facilement en tirant vers soi par le bas. Elle est pourvue de maille fine permettant la filtration de la poussière. Selon la marque, cette grille frontale présente une porosité de 33 % afin de maximiser le flux d’air et la ventilation. Une fois enlevée, elle nous laisse apercevoir deux ventilateurs de 160 mm préinstallés. Ceux-ci pourront être remplacés par deux ventilateurs de 140 mm. Nous le verrons par la suite, mais il sera impossible d’installer un radiateur à ce niveau.
35 mm de profondeur dans la chambre secondaire
Passons sur le côté droit du ProArt PA401. La paroi latérale en acier repose sur le bas du châssis et elle est fixée en haut par plusieurs crochets rétractables grâce au loquet arrière. Ici, nous avons une profondeur de 35 mm pour la gestion des câbles.
Et un HUB inclus !
Tout en haut, le ProArt PA401 est équipé d’un HUB permettant la gestion de cinq ventilateurs PWM. Vous l’aurez remarqué, il n’y a pas de place pour le RGB dans ce boîtier. Ce HUB s’alimente en SATA et dispose d’une prise 4 pins PWM à relier à la carte mère. Un branchement supplémentaire permet de le relier au bouton de gestion de vitesse des ventilateurs présent sur le haut du boîtier.
En dessous, nous avons trois serre-câbles velcro estampillés ProArt en lettres dorés. Leur placement stratégique va permettre de gérer les câbles descendants du panneau supérieur de E/S mais également les câbles s’acheminant vers le côté de la carte mère.
En dessous de l’emplacement réservé au dos de la carte mère, le ProArt PA401 profite d’un support à disques durs en acier. Ce support est amovible grâce à un loquet présent dans le châssis (pas besoin de tournevis pour l’extraire). Ce support peut accueillir un HDD 3,5″ ou deux SSD 2,5″. Les disques se fixent à l’aide de simples vis.
Voici les branchements issus du panneau supérieur des E/S :
Une prise Front Panel,
Une prise pour ports USB-A,
Une prise pour ports USB-C,
Une prise audio.
Enfin, tout en bas de le PA401 Wood Edition, nous avons, à gauche, une cage à disques durs en acier. Celle-ci est amovible et intègre deux tiroirs en plastique. Ces supports pourront recevoir aussi bien des disques durs 3,5″ (pas de vis de fixation nécessaire) et des disques 2,5″ (fixation par vis).
À droite, nous avons l’emplacement pour l’alimentation. ASUS conseille une alimentation d’une longueur maximale de 170 mm. En pratique, nous avons un espace de 230 mm jusqu’à la cage à disques durs pour la gestion des câbles. L’alimentation reposera sur quatre patins antivibrations et sera guidée et assurée par deux renforts métalliques latéraux.
Une chambre principale un peu limitée
Passons dans la chambre principale. Le ProArt PA401 est un boîtier moyen tour mesurant 412 x 225 x 503 mm. Il pourra recevoir des cartes mères au format ATX (pas d’E-ATX ni de carte mère à connecteurs arrière type ASUS BTF), des ventirads de 160 mm de hauteur maximum et des cartes graphiques de 315 mm de long maximum 105 mm d’épaisseur max).
En arrière de cette chambre principale, nous avons un premier ventilateur préinstallé de 120 mm. Celui-ci est placé à gauche de l’emplacement du panneau E/S de la carte mère et au-dessus de sept emplacements d’extension. De nombreuses ouvertures assureront la circulation de l’air sur l’intégralité de la paroi.
À droite, nous avons deux ventilateurs de 160 mm préinstallés. Ils pourront être remplacés par deux ventilateurs de 140 mm.
Ces deux ventilateurs en façade ne pourront pas être remplacés par un radiateur de 360 mm car ils viennent au ras du bord du cache alimentation qui, de plus, plonge vers le bas du boîtier. Ce cache alimentation est plein, excepté trois ouvertures pour le passage des câbles vers le bas de la carte mère ainsi que vers les ports d’alimentation de la carte graphique. Deux pas de vis sont présents pour l’installation d’un Riser pour installation du GPU à la verticale.
Enfin, en haut, nous retrouvons le support à ventilateurs (deux de 120 ou 140 mm) ou d’un radiateur de 240 mm maximum.
Ventilateurs
Le ASUS ProArt PA401 est livré avec trois ventilateurs : deux en aspiration en façade de 160 mm (32 mm d’épaisseur) et un en extraction arrière de 120 mm (28 mm d’épaisseur). Entièrement noirs, ils profitent de sept pales pour le 160 mm et de neuf pales pour le 120 mm. Des patins antivibrations ornent les quatre coins de chaque ventilateur. Ils s’alimentent grâce à une prise 4 pins PWM et la version 160 mm délivre efficacement jusqu’à 138 cm3 de flux d’air pour 30 dB(A) de nuisances sonores. Nous n’avons pas d’informations techniques supplémentaires les concernant.
‘Clearance checking’ Dégagement des composants
Le ProArt PA401 offre un dégagement optimal pour l’installation des différents composants :
Longueur maximale de la carte graphique : 315 mm,
Hauteur maximale du ventirad CPU : 160 mm,
Longueur maximale de l’alimentation : 170 mm.
En ce qui concerne l’installation de radiateurs, voici les possibilités et les limitations :
Radiateur en haut : 240 mm maximum et avec une épaisseur maximale de 60 mm avant de toucher la carte mère.
Pas en façade (proximité des passe câbles à droite de la carte mère et pente du cache alimentation qui va gêner)
Montage dans le ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Le montage de notre configuration de test n’a pas posé de souci particulier dans la chambre secondaire. Les 35 mm disponibles pour l’organisation des câbles sont suffisants. Les serre-câbles velcro sont idéalement placés et les nombreux points d’ancrage faits dans la paroi permettent de fixer certains autres câbles.
Dans la chambre principale, nous n’avons pas éprouvé de difficulté particulière. Attention tout de même à la limitation de la longueur de la carte graphique à 315 mm. Nous avons du utiliser une RX 6750 XT (ancienne config de test) à la place de notre récente ASUS TUF GAMING RX 9070 OC qui ne logeait pas. Selon ASUS, le PA401 est « RTX 50 ready » mais nous nous interrogeons sur cette place limitée avec les plus gros modèles de Nvidia.
La paroi en verre trempé est légèrement teintée, mais elle laisse voir un maximum de détails de notre système. Là encore, nous aurions aimé avoir une compatibilité avec les cartes mères à connecteurs cachés type ASUS BTF pour un aspect visuel des plus épurés s’harmonisant parfaitement avec l’élégance naturelle du boîtier.
Méthodologie de Test et Résultats pour le ASUS ProArt PA401 (2025)
En 2025, nous modifions la configuration de test. Cette actualisation permet de s’assurer que le système testé s’aligne avec les exigences actuelles et qu’il reflète les dernières mises à jour matérielles et logicielles. Elle est essentielle pour garantir la fiabilité, la performance et la conformité des boîtiers face aux évolutions technologiques et aux besoins des utilisateurs.
Nous avons testé notre configuration hors boîtier. Cette manœuvre permet de tester les composants en environnement contrôlé avant de les soumettre aux contraintes thermiques et mécaniques du boîtier. Nous obtenons ainsi des valeurs réelles sans interférence avec la circulation de l’air liée au fonctionnement de ventilateurs préinstallés. À une température de 19° dans la pièce et en charge, le CPU est monté à 81,6° (41,5° au repos), le GPU à 72° (38° au repos) et le SSD à 53° (38° au repos).
Pour faire notre test, nous avons donc équipé le ProArt PA401 de la configuration suivante :
AMD RX 6750 XT (à la place de notre ASUS TUF GAMING RX 9070 OC)
Fractal Design ion+ 860P
be quiet! Dark Rock 4
SSD Samsung 970 EVO NVMe M.2 250 Go
Protocole de Test
Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :
La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
La carte graphique toujours en mode auto,
Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.
Températures dans le ASUS ProArt PA401
Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :
Au niveau des températures, avec la vitesse de ventilation réglée en auto et une température ambiante de 21°C, le CPU reste aux alentours de 44°C au repos. Une fois sollicité sous OCCT, le processeur affiche une température maximale de 87°C. En jeu, le monte à 54°C.
Au repos, la AMD RX 6750 XT, avec son mode semi-passif, tourne à 34°C. Après 20 passes de stress test Firestrike, la température de celle-ci atteint les 76°C. En jeu, la carte ne dépasse pas 61°C après 30 minutes dans Rise of the Tomb Raider.
Le SSD affiche 39°C au repos, et 57°C après un test CrystalDiskMark.
Avec une température ambiante de 21 °C, le ProArt PA401 montre qu’il sait tenir une configuration de travail habituelle dans des valeurs rassurantes. Le processeur reste à 44 °C au repos et grimpe à 54 °C en jeu, ce qui est très correct pour un tel usage. Attention cependant, le stress test OCCT l’amène jusqu’à 87 °C. Cette température (quoique non extrême) pourra freiner les créateurs/professionnels habitués à des charges de travail plus intenses. Les deux ventilateurs en façade assurent un airflow efficace. Nous nous interrogeons sur la capacité du ventilateur arrière à assurer une évacuation appropriée. L’ajout de deux ventilateurs en extraction dans le haut du boîtier pourrait pallier à ce petit souci de gestion thermique.
La carte graphique AMD RX 6750 XT reste au frais : 34 °C au repos grâce à son mode semi-passif, 61 °C en jeu, et un maximum de 76 °C après de longues passes de Firestrike, des chiffres parfaitement maîtrisés pour une carte de ce gabarit. Le SSD, enfin, reste à 39 °C au repos et ne dépasse pas 57 °C en charge sous CrystalDiskMark, preuve que le flux d’air profite aussi aux périphériques de stockage.
Niveaux sonores du ProArt PA401
PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.
Côté nuisances sonores, le ProArt PA401 se montre discret dans un usage quotidien. Avec notre sonomètre Meterk MK09 placé à 50 cm, nous relevons 35,6 dB(A) au repos dans une pièce à vivre classique, un niveau à peine perceptible dans l’environnement ambiant. En jeu, la ventilation s’exprime davantage, mais reste mesurée avec 42,2 dB(A), tandis qu’à pleine charge, ventilateurs à 100 %, le boîtier atteint 47,5 dB(A).
Ces chiffres traduisent un comportement équilibré : le ProArt PA401 privilégie avant tout la sobriété acoustique, ce qui correspond parfaitement aux attentes des créateurs et professionnels. Même lors de rendus lourds ou de longues sessions de montage, le système reste présent mais jamais envahissant, garantissant un confort d’utilisation au quotidien.
Conclusion : Notre avis sur le ASUS ProArt PA401
[Test] ASUS ProArt PA401 Wood Edition : un boîtier pensé par et pour les créateurs
Conclusion
Le ASUS ProArt PA401 illustre parfaitement la volonté de la marque de proposer une alternative professionnelle et élégante à sa gamme Republic of Gamers. Ici, pas de panneaux RGB ni de design agressif : le constructeur mise sur la sobriété, la praticité et une finition originale avec sa façade en frêne certifié FSC. Ce choix esthétique s’accorde parfaitement avec l’esprit ProArt, pensé pour séduire avant tout les créateurs de contenu et les professionnels à la recherche d’un outil de travail fiable.
À l’usage, le châssis se montre bien conçu. L’espace interne est suffisant pour accueillir une configuration moderne, l’organisation des câbles est facilitée par 35 mm de dégagement et des attaches velcro bien placées, et la connectique supérieure se révèle complète avec notamment un port USB-C et un bouton de contrôle de la ventilation. L’installation ne pose pas de difficulté particulière, même si la compatibilité reste limitée à des cartes graphiques de 315 mm et des cartes mères ATX, ce qui pourra freiner les utilisateurs de composants plus imposants.
Sur le plan thermique, les résultats sont globalement satisfaisants. Le CPU se maintient autour de 44 °C au repos et 54 °C en jeu, tandis que le GPU RX 6750 XT reste contenu avec 61 °C en charge ludique. Le SSD bénéficie lui aussi d’un flux d’air efficace avec un maximum de 57 °C. Seul le stress test CPU révèle une limite, avec une pointe à 87 °C, signe que le boîtier n’est pas taillé pour l’overclocking intensif. Un renfort de l’extraction via deux ventilateurs supplémentaires en partie haute permettrait sans doute d’améliorer encore la dissipation ou encore une dimension globale plus importante permettant d'installer un AIO en 360 mm.
Côté nuisances sonores, le ProArt PA401 confirme son orientation professionnelle : discret au repos avec 35,6 dB(A), mesuré en jeu avec 42,2 dB(A), et encore acceptable en charge maximale avec 47,5 dB(A). Ces valeurs témoignent d’un bon compromis entre refroidissement et confort acoustique. Pour des créateurs qui passent des heures devant leur station de travail, ce niveau sonore contenu constitue un vrai atout.
Au final, le ProArt PA401 tient son pari. Il s’impose comme un boîtier élégant, pratique et cohérent pour les professionnels et les passionnés de création. Certes, il n’a pas vocation à séduire les amateurs d’overclocking ou les joueurs en quête d’un design extravagant, mais il offre un environnement stable, bien ventilé et silencieux, à un tarif compétitif autour de 114 €. En ce sens, il s’inscrit parfaitement dans l’ADN ProArt : un outil conçu par et pour les créateurs, qui allie esthétique raffinée et efficacité au quotidien.
Design
9.1
Qualité/finitions
9
Agencement interne
8.4
Flux d'air
8.5
Câble management
8.9
Capacité watercooling
7
Prix
8.8
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Un boîtier élégant grâce à la façade en frêne
Une chambre secondaire bien pensée
Trois ventilateurs préinstallés dont deux de 160 mm
Un HUB de gestion de 5 ventilateurs PWM
Un tarif attractif
Points faibles
Incompatibilité avec les cartes mères type ASUS BTF
Bonne nouvelle pour les nostalgiques du boîtier en plastique : la PlayStation 6 devrait encore accepter les jeux physiques. Selon un rapport d’Insider Gaming, Sony prévoit de proposer une version numérique de la PS6, mais aussi des packs incluant un lecteur de disques amovible, comme c’était déjà le cas avec la PS5 Digital Edition.
Les joueurs craignaient que Sony abandonne totalement le support des disques Blu-ray, au profit d’un futur 100 % dématérialisé. Finalement, l’éditeur continuerait de jouer la carte du choix : une console compacte pensée pour le digital, et un accessoire optionnel pour les collectionneurs de boîtes.
Un modèle inspiré du succès PS5
L’analyste Tom Henderson précise que les bonnes ventes du lecteur de la PS5 Pro Digital Edition ont conforté Sony dans cette approche. L’autre enjeu, plus pragmatique : réduire la taille et le poids de la machine. Avec la flambée des coûts logistiques et les hausses de prix liées aux taxes d’importation, chaque centimètre gagné représente des économies à grande échelle.
Cette stratégie expliquerait aussi certains compromis récents, comme le passage du SSD de la PS5 Digital Edition à 825 Go au lieu de 1 To. Détail insignifiant à première vue, mais qui fait la différence quand on parle de millions d’unités produites.
Et l’avenir des jeux physiques dans tout ça ?
Si la PlayStation 6, dont les caractéristiques techniques font déjà l’objet de nombreuses rumeurs, intègre bien un lecteur détachable, une question demeure : les éditeurs suivront-ils ? Sur PS5 et Xbox Series, les titres uniquement disponibles en version digitale se multiplient, et la compatibilité matérielle ne suffit pas à garantir la pérennité du support physique.
UPCOMING RELEASE
PS5 Slim Chassis E (CFI-2100) is dropping soon… But there's a catch
Sony pourrait plutôt miser sur la rétrocompatibilité : avec une architecture x86 similaire aux générations précédentes, la PS6 devrait pouvoir lancer les jeux PS4 et PS5. De quoi séduire les joueurs avec de larges bibliothèques de Blu-ray, et aussi répondre à la problématique de certains marchés où la connexion Internet reste limitée. Une réflexion déjà partagée par Shawn Layden, ancien cadre de PlayStation, en février dernier.
Conclusion : un pied dans le futur, un autre dans le passé
La PlayStation 6 s’annonce comme une console plus compacte, modulable et tournée vers l’avenir digital, tout en laissant une porte ouverte aux disques. Sony semble vouloir ménager la chèvre et le chou : proposer un modèle moderne, économique à produire et distribuer, sans froisser les fans de jeux physiques.
Reste à savoir si, d’ici la sortie officielle, l’industrie ne poussera pas définitivement vers le tout-dématérialisé.
Lire aussi – PlayStation Handheld : Sony défie Microsoft et sa ROG Xbox Ally X sur le terrain portable
À l’IFA 2025, AMD n’a pas sorti de nouvelle carte graphique ni de processeur tape-à-l’œil. À la place, le constructeur a préféré partager sa vision de l’avenir de l’IA et du PC. Message central : avant de parler de cloud ou de buzzword marketing, il faut d’abord construire le “parfait PC”, capable de faire tourner l’intelligence artificielle directement en local.
Jack Huynh, vice-président senior et directeur général de la division Computing & Graphics chez AMD, a ainsi expliqué que la “vraie révolution IA” n’avait pas encore eu lieu. Oui, les générateurs d’images et de texte ont explosé en popularité l’an dernier, mais selon lui, ce n’est que la surface : l’avenir réside dans des usages bien plus profonds, comparables aux débuts de l’Internet. Une transformation de fond, qui prendra des années pour s’imposer.
CPU, GPU et NPU : chacun son rôle
Contrairement à certaines idées reçues, AMD ne voit pas les NPU comme des remplaçants des CPU et GPU. Leur mission : permettre aux applications IA de tourner localement, en toute sécurité et sans dépendance au cloud. AMD préfère une approche pragmatique et évolutive, plutôt qu’une course aux specs extrêmes destinées à faire le buzz.
Huynh a même balayé l’idée d’un service type “Radeon Now” en réponse au GeForce Now de NVIDIA. Pas question pour AMD de se lancer dans le streaming de jeux, mais la société n’exclut pas de fournir des puces pour d’autres. Exemple concret : le service GeForce Now de NVIDIA s’appuie déjà sur des processeurs AMD Threadripper.
Radeon, marché et perspectives
Quand vient la question sensible de la part de marché, AMD botte en touche : avec seulement 6 % du marché du GPU dédié au deuxième trimestre 2025, difficile de bomber le torse. Pourtant, l’entreprise insiste : la demande pour les cartes Radeon reste solide.
Et côté gaming, AMD confirme que la technologie FSR Redstone est toujours prévue pour le second semestre 2025. De quoi relancer un peu la confiance des joueurs, en attendant une vraie montée en puissance sur le marché des GPU.
Conclusion : pragmatisme avant tout
Pas d’effets d’annonce spectaculaires chez AMD cette année à l’IFA, mais une vision claire : avant de rêver d’un futur 100 % IA, il faut d’abord construire un PC solide, capable de tout faire tourner localement. Une approche qui tranche avec le discours souvent plus flamboyant de la concurrence, et qui pourrait séduire ceux qui préfèrent la fiabilité aux promesses trop belles pour être vraies.
Intel semble prêt à dégainer son nouveau GPU phare, le Battlemage BMG-G31, qui devrait donner naissance à l’Arc B770. Après des mois de rumeurs et de confirmations à demi-mots, une nouvelle fuite vient renforcer l’idée que la carte est sur le point de voir le jour : un shipping manifest listant le mystérieux GPU et même son packaging.
Jusqu’ici, la carte la plus musclée de la gamme Battlemage restait l’Arc B580. Une solution correcte mais cantonnée au segment entrée de gamme. Avec le B770, Intel semble enfin vouloir monter en puissance et offrir une alternative sérieuse dans le milieu/haut de gamme.
Selon les infos glanées dans le document d’expédition :
Die size proche du G21, avec des dimensions légèrement différentes (390 x 189 x 83 mm contre 381 x 192 x 89 mm pour le G21).
32 Xe2 Cores attendus, soit un gros gain de puissance par rapport au B580.
16 Go de mémoire GDDR6, accompagnés d’un bus mémoire 256 bits.
En clair : Intel veut muscler son jeu et offrir une carte bien plus compétitive. Un contraste intéressant avec les premières rumeurs autour du BMG-G21 que nous avions déjà analysées, et que nous avions décortiquées dans un papier plus technique sur l’architecture Battlemage BMG-G21 et Xe2.
Des indices concordants
Ce n’est pas la première fois que le BMG-G31 apparaît : il avait déjà été repéré dans le Compute Runtime avec plusieurs Device IDs distincts. Le shipping manifest, daté du 11 juin 2025, confirme que les échantillons circulent déjà depuis plusieurs mois.
Le parallèle avec le B580 est intéressant : à l’époque, nous avions vu la carte listée dans un manifest, avant qu’elle ne soit disponible environ deux mois et demi plus tard. De quoi imaginer une sortie rapide pour ce B770, même si Intel pourrait aussi attendre la fin d’année.
Avec l’Arc B770, Intel semble prêt à franchir un vrai cap dans le GPU gaming. Reste à voir si le prix et les performances suivront, surtout après les rumeurs d’une version 24 Go qui avaient beaucoup fait jaser.
La société Alphacool International GmbH, basée à Brunswick, en Allemagne, est un pionnier de la technologie de refroidissement liquide pour PC. Avec l’un des portefeuilles de produits les plus complets du secteur et plus de 20 ans d’expérience, Alphacool élargit désormais sa gamme de solutions professionnelles avec le ES Manifold 42U Single.
Le AlphacoolES Manifold 42U Single a été spécialement conçu pour une utilisation dans les centres de données et permet une distribution efficace et évolutive du liquide de refroidissement à travers de nombreux systèmes. Grâce à sa construction robuste en acier inoxydable, il offre une fiabilité et une durabilité maximale en fonctionnement continu.
ES Manifold 42U Single : de l’acier inoxydable AISI 304
Une attention particulière a été portée au choix du matériau : fabriqué en alliage d’acier inoxydable AISI 304, le collecteur assure une excellente résistance à la corrosion et une grande stabilité, même dans des conditions exigeantes. L’alliage contient environ 18 % de chrome et 8 % de nickel, ce qui le rend résistant à la rouille et à de nombreux produits chimiques. Cette combinaison de robustesse, de polyvalence et de longévité fait du ES 42U Manifold une solution particulièrement fiable pour une utilisation continue dans les environnements informatiques professionnels.
Grâce aux solides équerres soudées en forme de L, le ES Manifold 42U peut être monté de manière flexible à l’avant ou à l’arrière d’une baie. Les connecteurs, alignés à angle droit par rapport au châssis, sont orientés directement vers l’intérieur de la baie, garantissant ainsi un routage des tuyaux particulièrement propre et peu encombrant.
Avec un total de 42 options de connexion pour des raccords rapides conformes à la norme OCP, le ES 42U Manifold répond aux exigences des infrastructures serveur modernes. Une connexion en bas est prévue pour l’arrivée principale d’eau, tandis qu’un raccord de purge en haut permet une égalisation simple de la pression.
Le Alphacool ES 42U Manifold représente donc une solution fiable et pratique pour le refroidissement liquide dans les grands environnements informatiques et est dès à présent disponible dans la boutique en ligne Alphacool.
AOOSTAR frappe fort en ce mois de septembre : la marque a officialisé le lancement de ses deux nouvelles cartes mères TA95HX et TA95HX3D, au format micro-ATX. Particularité de ces modèles ? Elles inaugurent l’arrivée du Ryzen 9 9955HX3D, processeur mobile haut de gamme d’AMD, adapté ici au marché du DIY desktop. Autrement dit, un CPU de laptop survitaminé qui débarque enfin dans une config maison.
TA95HX3D : une carte mère pensée pour libérer la puissance
Sous son format M-ATX, la TA95HX3D cache une conception sérieuse :
IHS équipé d’une plaque VC pour la dissipation thermique, compatible avec les ventirads classiques ;
8+1+1 phases d’alimentation et un connecteur EPS 8-Pin ;
Trois dissipateurs renforcés, capables d’encaisser jusqu’à 140W en mode Turbo.
AOOSTAR a opté pour un design “bridge-less”, misant sur la simplicité et la compatibilité sans compromis.
Mémoire, PCIe et stockage : du haut de gamme dans un petit format
Côté mémoire, la carte propose 2 slots DDR5 UDIMM supportant jusqu’à 6000 MT/s en overclocking. Pour l’extension :
1 slot PCIe 5.0 x16 pour ta carte graphique ;
1 slot PCIe 4.0 x1 (fermé).
Stockage :
2 ports M.2 PCIe 5.0 x4 ultra-rapides ;
4 connecteurs SATA III 6 Gbps pour du stockage classique.
Connectivité moderne : filaire et sans fil au rendez-vous
La TA95HX3D ne lésine pas sur la connectique :
Ethernet 5GbE (Realtek RTL8126) ;
Wi-Fi 6E (MediaTek MT7902) + Bluetooth 5.2.
À l’arrière, on retrouve un panel complet : HDMI 2.1, DisplayPort 2.0, ports USB (480 Mbps et 5 Gbps), prise RJ45 5GbE, S/PDIF et 5 jacks audio.
Un ticket d’entrée élevé, mais compréhensible quand on sait qu’on tient entre les mains la première plateforme desktop équipée du 9955HX3D.
Conclusion
Avec sa série TA95HX, AOOSTAR réussit un joli coup : proposer au monde du DIY PC une expérience desktop basée sur des processeurs mobiles, et pas n’importe lesquels. Reste à voir si cette approche séduira les passionnés en quête de performance compacte et originale.
Razer n’en est pas à son coup d’essai sur le terrain du mobile gaming, et avec cette Kishi V3 Pro, la marque affine encore sa formule. Fini les gadgets limités à quelques jeux ou plateformes : ici, on parle d’une vraie manette, pensée pour ceux qui veulent retrouver leurs sensations console sur un téléphone, une tablette ou même un PC. Et autant le dire tout de suite : le pari est ambitieux, mais les arguments sont là.
Sous le plastique, la Kishi V3 Proaligne du matos qui parle aux joueurs pointilleux. Joysticks TMR haute précision avec capuchons interchangeables, retours haptiques nouvelle génération via Sensa HD, boutons arrière qui cliquent comme une souris gaming… Rien de gadget ici : chaque détail vise à maximiser la réactivité et le confort. Le design, plus massif, est assumé : on n’est plus dans le tout-compact, mais dans l’ergonomique assumé, avec une vraie prise en main.
Côté compatibilité, c’est open bar : Android, PC, mini-tablettes jusqu’à 8 pouces, le tout en mode plug-and-play ou via des apps comme Razer Nexus pour customiser les contrôles. Et pour ceux qui streament depuis leur console ou depuis le cloud (GeForce Now, Xbox Cloud Gaming, PS Remote Play…), tout est prévu. La manette ne fait pas que suivre : elle s’intègre dans un écosystème de jeu nomade complet.
Quelques bonus viennent arrondir les angles comme les 3 mois d’Apple Arcade offerts, histoire de découvrir ou redécouvrir un catalogue bien fourni. Rien d’essentiel, mais ça montre que Razer soigne aussi les à-côtés.
Proposée à 164,99 €, la Kishi V3 Pro vise clairement les joueurs exigeants. Reste à voir si cette promesse de performance mobile tient sur la durée et face à la concurrence. Spoiler : on l’a testée sous toutes les coutures.
Unboxing
L’emballage de la Razer Kishi V3 Pro reprend le style habituel de la marque : un fond blanc épuré en façade, dominé par une large photo du produit fixé à une tablette et accompagné des logos Android, iPhone et iPad pour marquer la compatibilité. Les éléments clés, tels que la connectique USB-C et l’intégration au launcher Razer Nexus, sont mis en avant directement sur la boîte.
À l’arrière, le ton se veut plus explicatif : visuels techniques, liste de caractéristiques phares (sticks TMR avec capuchons interchangeables, boutons arrière à clic mécanique, compatibilité avec des téléphones jusqu’à 8″, connexion directe en USB-C). On retrouve aussi une traduction multilingue des fonctions, confirmant une distribution pensée pour un marché global.
À l’intérieur, on trouve la manette, deux capuchons de sticks interchangeables (un concave et un convexe), deux jeux de patins en caoutchouc pour adapter la taille aux différents smartphones, ainsi que la documentation. Pas d’étui fourni, un manque notable pour un produit orienté mobilité.
Spécifications techniques
Compatibilité
Android 14+, iOS 18+, smartphones et tablettes USB-C (jusqu’à 8″ pour Pro, 13″ pour XL)
Connexion
USB-C avec charge passthrough et prise casque 3,5 mm
Cette troisième génération abandonne le format compact de la première Kishi au profit d’un gabarit proche des manettes Xbox.
Les poignées sont épaisses et ergonomiques, avec une surface arrière texturée. Le RGB présent sur le Kishi Ultra disparaît, laissant place à un design plus sobre. La construction inspire confiance avec un plastique mat de qualité.
La Kishi V3 Pro offre la recharge via USB-C passthrough et une prise jack 3,5 mm, toujours bienvenue quand on joue sérieusement.
En revanche, cette taille imposante réduit la portabilité. La manette ne se replie pas et son transport nécessite un sac ou un étui tiers.
Côté compatibilité, la V3 Pro accueille sans problème les smartphones avec coque, jusqu’à 16 mm d’épaisseur, un vrai progrès par rapport aux modèles précédents. Pour y parvenir, Razer fournit trois paires de coussinets en caoutchouc interchangeables. Les coussinets A, préinstallés, sont conçus pour les iPhone. Les coussinets B conviennent aux tablettes. Les coussinets C sont destinés aux appareils Android.
Sticks et boutons de la Kishi V3 Pro : précision et contrôle total
La Kishi V3 Pro mise sur des sticks TMR de grande taille, conçus pour offrir une précision supérieure aux modèles à effet Hall classiques. Leur particularité : une technologie anti-dérive pour une durabilité accrue et une visée toujours nette, même après de longues sessions de jeu. Pour adapter l’expérience à chaque style, deux capuchons interchangeables permettent d’opter soit pour plus de vitesse, soit pour une meilleure précision.
Mais Razer ne s’arrête pas là. La manette intègre également quatre boutons supplémentaires qui changent la donne : deux boutons arrière à clic mécanique, directement inspirés des meilleures souris gaming de la marque, et deux boutons-poussoirs pensés pour une prise en main en griffe.
Résultat : une réactivité immédiate et un contrôle accru, idéal pour les joueurs compétitifs qui cherchent à surpasser leurs adversaires sur mobile ou en cloud gaming.
Fonctionnalités et logiciel
Les nouveautés majeures résident dans l’intégration des sticks TMR, plus précis que les capteurs Hall traditionnels et résistants au drift. Leurs capuchons interchangeables permettent une personnalisation basique.
Les boutons mécaniques mecha-tactiles offrent un clic franc, tandis que les gâchettes Hall Effect sont fluides et réactives. Deux bumpers supplémentaires et deux boutons arrière viennent enrichir la configuration.
La manette bénéficie aussi des vibrations Razer Sensa HD Haptics, efficaces mais limitées pour l’instant à Android. Le logiciel Razer Nexus, gratuit et simple d’utilisation, complète l’expérience : il permet de configurer les boutons, d’activer le mode “Virtual Controller” pour les jeux tactiles, ou encore de lancer du streaming depuis un PC.
Expérience de jeu
En pratique, la Kishi V3 Pro se rapproche plus que jamais d’une manette console. Les sticks TMR se distinguent particulièrement dans les FPS ou les jeux compétitifs, avec une précision et une réactivité supérieures à la moyenne. Les boutons mécaniques apportent une sensation proche des manettes Wolverine de la marque.
Le confort global est excellent, notamment grâce aux poignées élargies. Les boutons arrière se révèlent pratiques pour éviter des mouvements de pouce fatigants. Toutefois, la disposition verticale des sticks et boutons reste perfectible : elle peut causer une gêne sur les longues sessions, un reproche déjà fait aux modèles précédents.
Branchée en USB-C, la manette se montre aussi utilisable sur PC, même si cela reste un usage secondaire. En cloud gaming, l’ensemble convainc : Xcloud, Geforce Now, Remote Play et Steam Link fonctionnent sans accroc, à condition d’avoir une connexion stable.
Conclusion
La Razer Kishi V3 Pro s’impose comme une manette mobile haut de gamme, solide et performante. Elle combine sticks de précision, boutons mécaniques et retour haptique immersif pour offrir une expérience console sur smartphone et tablette. Elle représente une avancée nette face aux premiers modèles Kishi, mais reste proche du Kishi Ultra.
Son principal frein est son prix élevé : 164,99 € pour la Pro et 229,99 € pour la XL, quand des alternatives comme le GameSir G8 Galileo ou le Backbone One proposent une expérience convaincante pour nettement moins cher. Si vous cherchez le meilleur confort et les fonctionnalités les plus avancées, la Kishi V3 Pro est un excellent choix. Pour les autres, attendre une baisse de prix ou se tourner vers la version standard à 99,99 € est sans doute plus raisonnable.