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Ces remises ne sont pas permanentes et concernent des modèles haut de gamme. Si l’un de ces projecteurs correspond à votre usage, c’est objectivement le bon moment pour passer commande.
La barre des 8000 MT/s est franchie côté DRAM chinoise : CXMT présente ses premières DDR5 et LPDDR5X, avec l’ambition claire de s’inviter dans les PC, data centers et appareils mobiles du marché local.
DDR5 jusqu’à 8000 MT/s, modules pour PC et serveurs
ChangXin Memory Technologies introduit des puces DDR5 de 16 Gb et 24 Gb capables d’atteindre 8000 MT/s, au-dessus du palier de 6400 MT/s qui fait aujourd’hui référence sur le haut de gamme PC et serveur. Le catalogue couvre l’essentiel des formats : RDIMM, MRDIMM et TFF MRDIMM pour les data centers et serveurs d’entreprise, UDIMM pour les desktops, SODIMM pour les portables, ainsi que CUDIMM et CSODIMM pour les stations de travail et PC orientés overclocking.
Point notable, les CUDIMM et CSODIMM reposent sur des conceptions à base de clock-driver conformes au standard JEDEC 2024 et intègrent une puce CKD afin de préserver l’intégrité du signal à haute fréquence. Selon CXMT, cette nouvelle pile produit une alternative locale visant à réduire la dépendance vis-à-vis des fournisseurs étrangers, « en adressant serveurs, desktops, laptops et embarqué ».
LPDDR5X à 10 667 MT/s pour mobiles, ultraportables et IA compacte
Côté mobile, CXMT expose des puces LPDDR5X culminant à 10 667 MT/s. Les densités annoncées sont de 12 Gb et 16 Gb, permettant des packages de 12 Go, 16 Go, 24 Go et 32 Go pour les laptops fins, les systèmes embarqués et les appareils d’IA compacts. Il faut dire que ces débits et capacités ciblent les futurs modèles phares du marché chinois.
Les échantillons sont expédiés depuis octobre, et il semblerait que les premiers systèmes intégrés arrivent prochainement, d’abord en Chine. Reste à voir comment ces modules se positionneront face aux références établies une fois disponibles à large échelle.
Jsaux prépare le terrain autour de la future Steam Machine avec l’idée de façades d’affichage interchangeables, et un détail retient l’attention : une version e‑ink pourrait voir le jour, aux côtés d’une option LCD.
Façades d’affichage pour Steam Machine : e‑ink ou LCD en ligne de mire
Peu après l’annonce de la mini‑machine de jeu par Valve et la présentation d’un prototype avec panneau e‑ink en façade, Jsaux a interrogé sa communauté sur Reddit pour trancher entre un accessoire e‑ink et un écran LCD destiné à la Steam Machine. Le visuel partagé affiche « coming 2026 », signe qu’il s’agirait d’un projet encore en phase précoce. Selon les informations disponibles, rien n’est arrêté et il semblerait que le fabricant hésite encore entre ces deux approches.
La marque, déjà connue pour ses docks, coques personnalisées et systèmes de refroidissement pour Steam Deck, a l’habitude d’explorer des accessoires plus pointus que la moyenne. D’après ce que l’on comprend, une façade d’affichage pour Steam Machine ne serait donc pas hors de portée, même si Jsaux pourrait au final ne concrétiser aucune des deux versions. À ce stade, l’entreprise sonde clairement l’intérêt des joueurs et bricoleurs PC avant d’engager une production.
Un concept inspiré par Valve, mais encore hypothétique
Le prototype e‑ink montré par Valve a manifestement donné des idées. Jsaux reprend l’idée des faceplates frontales et teste l’appétence du public pour une façade à encre électronique, potentiellement économe en énergie, face à une option LCD plus classique.
Prototype JSAUX : panneaux E Ink et LCD
À noter que l’unique certitude pour l’instant se résume à ce message teasing et à la fenêtre « 2026 » mise en avant par la marque. Prudence donc : il s’agit d’un sondage d’intention, pas d’une fiche produit.
Après le symétrique Omnyx et le conceptuel FV270 RGB, COUGAR explore une nouvelle piste esthétique avec le CFV235, un nouveau boîtier moyen tour. Visuellement, le modèle se distingue par une particularité assez marquée : la structure principale semble en effet flotter au-dessus du cache alimentation.
L’effet est obtenu grâce à une séparation physique de celui-ci avec la chambre principale grâce à un socle en retrait, presque invisible une fois le boîtier posé. Résultat : le CFV235 donne l’impression d’être divisé en deux blocs, avec une partie supérieure visuellement allégée, tout en laissant l’air s’engouffrer par la séparation pour une ventilation efficace du système.
Pour le reste, Cougar mise sur un montage accessible, des panneaux faciles à retirer et une compatibilité avec tous les formats de carte mère (dont les cartes à connecteurs cachés). L’idée est de proposer un boîtier au design affirmé, pensé pour les configurations lumineuses ou sobres selon les envies, et suffisamment flexible pour les setups d’aujourd’hui.
Le CFV235 se décline en quatre versions. Le modèle de base comprend deux parois en verre trempé. La version Vision ajoute un écran LCD IPS TFT de 9,16 pouces sur le cache alimentation. Le modèle Mesh opte pour une façade en maille afin d’optimiser l’airflow. Enfin, le Mesh Vision combine la maille avec l’écran LCD. Côté tarif, rien d’officiel, mais on observe un prix d’environ 140 € pour les versions sans écran et autour de 199 € pour la Vision. Dans ce test, nous nous concentrons sur la version blanche équipée de panneaux en verre trempé.
Comme toujours, nous allons passer le boîtier au crible : design, ergonomie, montage, ventilation, performances thermiques, bruit, et tout ce qui fait la différence au quotidien. L’objectif ? Voir si ce CFV235 parvient à tirer son épingle du jeu avec cette séparation cache alimentation / chambre principale et son positionnement tarifaire modulé selon les versions.
Installez-vous, ouvrez les panneaux… entrons dans le COUGAR CFV235 !
Emballage du COUGAR CFV235
Le COUGAR CFV235 est livré dans un carton brut de couleur marron, avec une impression noire sobre. La face avant présente un schéma du boîtier mettant en évidence sa structure interne et la séparation entre la chambre principale et le cache alimentation. Une étiquette orange précise qu’il s’agit de la version CFV235 White, accompagnée d’une petite illustration du modèle et de quelques informations techniques.
Dans la partie inférieure, la référence CFV235 SERIES est imprimée en large typographie, accompagnée du slogan « Airflow Beyond Ordinary Dimensions ». L’ensemble offre un emballage simple et fonctionnel, fidèle aux packagings que nous rencontrons habituellement chez Cougar.
L’arrière du carton reprend le même style sobre avec impression noire sur kraft. On y trouve les dimensions du boîtier, données pour 235 mm de large, 483 mm de haut et 460 mm de profondeur. Le nom du modèle est rappelé en haut, accompagné du slogan « Airflow Beyond Ordinary Dimensions ». Juste en dessous, COUGAR résume en anglais le concept CFV, mettant en avant le format compact, la vue panoramique et l’optimisation de l’airflow. La partie basse est réservée aux logos et marquages réglementaires classiques.
Le premier côté du carton du COUGAR CFV235 rassemble une description du boîtier en plusieurs langues. Nous y retrouvons les mentions sur la structure flottante, la présence d’une bande lumineuse Aurora RGB et la compatibilité avec les cartes mères à connecteurs inversés Mini ITX à E-ATX. L’autre côté du carton nous donne les spécifications complètes et la compatibilité matérielle.
Unboxing et accessoires
À l’ouverture du carton, nous trouvons le COUGAR CFV235 calé entre deux blocs de mousse épaisse assurant le maintien du boîtier pendant le transport. Un petit carton blanc contenant les accessoires est posé au centre, coincé entre les protections.
Une fois sorti du carton, le COUGAR CFV235 est entièrement entouré de deux blocs de mousse rigide qui recouvrent la façade et l’arrière. Un bloc supplémentaire recouvre le top du boîtier. Il est en plus protégé par un sac plastique transparent, destiné à éviter les rayures pendant le transport. L’ensemble assure un maintien efficace et une protection classique pour ce type de produit.
Le petit carton d’accessoires contient l’essentiel pour l’assemblage : un sachet de visserie regroupant les fixations pour la carte mère et les disques durs, quelques colliers de serrage pour la gestion des câbles, deux supports adhésifs, ainsi que la documentation. Nous retrouvons un manuel dédié au CFV235 et un guide de sécurité multilingue. L’ensemble est simple et couvre les besoins de base pour le montage.
Un second carton, plus large, regroupe les éléments additionnels du COUGAR CFV235. Nous y trouvons un panneau métallique aimanté perforé, ainsi que la bande lumineuse Aurora RGB aimantée également.
Caractéristiques techniques du COUGAR CFV235
Série
CFV235
Format du boîtier
Moyen Tour
Formats carte mère
Mini ITX / Micro ATX / ATX / E-ATX Compatible carte mère à connecteurs cachés
Dimensions (L × H × P)
235 × 493 × 460 mm
Connectique I/O
USB 3.2 Gen 2×2 Type-C ×1 USB 3.0 Type-A ×2 Jack audio 4 pôles ×1
Baies 3.5″
2
Baies 2.5″
2 (convertibles depuis les 3.5″)
Slots d’extension
7
Ventilation
Haut : 120 mm × 3 / 140 mm × 3 Côté carte mère : 120 mm × 2 Bas : 120 mm × 3 Arrière : 120 mm × 1
Nombre max. de ventilateurs
9
Watercooling
Haut : 360 / 280 / 240 / 140 / 120 mm Bas : 120 mm
Longueur max. GPU
430 mm
Hauteur max. ventirad
175 mm
Longueur max. alimentation
200 mm
Design extérieur du COUGAR CFV235
Avant de débuter la présentation, il faut juste souligner le souci apporté par COUGAR pour assurer la sécurité du boîtier pendant le transport grâce à deux pièces en plastique empêchant l’affaissement accidentel de la chambre principale sur le cache alimentation.
Voici donc le COUGAR CFV235. Le boîtier est présenté dans une finition totalement blanche avec trois ventilateurs préinstallés bien visibles : deux (en un bloc) sur le côté de la carte mère et un à l’arrière. La conception particulière de ce boîtier permet de séparer le compartiment de l’alimentation et la chambre principale par une cavité structurelle qui optimise la circulation de l’air. La séparation des deux espaces est rendue possible grâce à un cadre en acier de 1,5 mm d’épaisseur. Celui-ci renforce le châssis, préservant son intégrité structurelle. Cette séparation architecturale confère à la série CFV235 une identité visuelle vraiment unique et novatrice.
L’arrière du COUGAR CFV235 est plus classique avec un large panneau perforé pour favoriser l’extraction d’air. Nous retrouvons un emplacement pour ventilateur de 120 mm réglable verticalement. Il se situe au-dessus de sept équerres PCI, toutes ajourées, et fixées par des vis traditionnelles. La découpe supérieure laisse apparaître l’emplacement des E/S de la carte mère, tandis que la partie inférieure accueille le logement de l’alimentation. La paroi latérale droite est en acier.
Une chambre principale bien visible
La paroi en verre trempé nous permet d’observer la chambre principale du COUGAR CFV235. Celle-ci offre un espace dégagé autour de la carte mère, avec plusieurs passages pour le câblage répartis sur les côtés grâce à un passe câble en caoutchouc et au-dessus du plateau grâce à des découpes faites dans le châssis. Le cache alimentation forme une base pleine sur toute la largeur. Il intègre le panneau des E/S facilement accessible si le boîtier est posé sur un bureau.
La paroi droite du COUGAR CFV235 est entièrement pleine, hormis une large zone perforée verticalement. Cette ouverture correspond aux deux ventilateurs latéraux installés à l’intérieur et permet d’assurer leur apport en air frais.
La partie supérieure du COUGAR CFV235 est en acier et presque entièrement perforée. Elle va permettre une extraction maximale de l’air du boîtier. Cette paroi est amovible pour faciliter l’accès à la chambre principale et l’installation des composants.
Une fois la paroi supérieure enlevée, nous accédons à un emplacement pour trois ventilateurs de 120 ou 140 mm, ou bien pour un radiateur de 360 mm maximum. Ce support est fixe et ne pourra être mobilisable pour faciliter l’installation des composants.
La partie inférieure du COUGAR CFV235 présente une large surface métallique plane, sans ouverture dédiée à l’alimentation ou aux ventilateurs (celle-ci sera présente sur le dessus du cache alimentation). Le boîtier dispose de quatre pieds en caoutchouc placés aux angles. Ils assureront une très bonne stabilité et limiteront les vibrations du système en fonctionnement. Attention cependant, ces pieds sont simplement collés, sans fixation mécanique. Nous pouvons nous interroger sur leur tenue dans le temps, surtout en cas de déplacements fréquents du boîtier. Plusieurs points de fixation sont visibles sur la droite. Ils correspondent à la fixation de la cage à disques durs située juste au-dessus.
Intérieur du COUGAR CFV235
Voici la chambre secondaire du COUGAR CFV235. Ici, nous avons un espace de 38 mm de profondeur pour l’organisation des câbles.
Livré avec un hub pour six ventilateurs
Le COUGAR CFV235 intègre un petit hub fixé sur la partie supérieure de la chambre secondaire. Nous distinguons plusieurs connecteurs dédiés aux ventilateurs ainsi que des ports pour l’éclairage ARGB. Ce hub peut gérer jusqu’à 6 ventilateurs PWM et six produits ARGB. Tous les ventilateurs préinstallés y sont déjà raccordés, ce qui va nous simplifier le câblage lors du montage.
Nous apercevons les deux ventilateurs latéraux de 120 mm. Ils vont apporter de l’air frais à la chambre principale en passant au travers de la maille fine de la paroi latérale droite. Juste à côté, Cougar regroupe l’ensemble du câblage des ventilateurs et de l’éclairage aRGB, maintenu par plusieurs attaches velcro siglées “COUGAR”. Ce cheminement vertical organise correctement les câbles partant du haut du châssis vers les différentes zones du boîtier.
Le COUGAR CFV235 profite également d’un support de disques durs en acier. Ce support est amovible (fixation à l’aide d’une vis à main) et il pourra recevoir deux disques durs 2,5″. Ces disques seront fixés à l’aide de simples vis.
Le côté droit de la chambre secondaire est équipé de serre-câbles velcro permettant une organisation esthétique des câbles (alimentation de la carte mère, par exemple).
Un cache alimentation spacieux
La partie inférieure du COUGAR CFV235 montre un large compartiment dédié à l’alimentation et au stockage. À gauche, nous retrouvons une cage à disques durs prévue pour accueillir jusqu’à deux disques 3,5″ ou deux disques 2,5″, montés sur un rack coulissant. Cet espace reste entièrement fermé vers le bas.
La cage à disques durs est entièrement en acier et amovible.
L’alimentation a un espace confortable et reposera sur quatre patins en caoutchouc antivibrations.
Voici les branchements du COUGAR CFV235. Nous avons :
Une prise Front Panel,
Une prise USB-A,
Une prise Audio,
Une prise USB-C.
Le cache alimentation : les détails
Passons de l’autre côté du COUGAR CFV235, mais, avant d’attaquer la chambre principale, attardons-nous sur le cache alimentation si particulier.
Tout d’abord, c’est ici que va se trouver le panneau des boutons et E/S du COUGAR CFV235. Nous avons :
2 x USB 3.0 Type-A,
1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type-C,
1 x Jack audio 4 pôles,
1 x bouton de gestion de l’éclairage,
1 x bouton d’alimentation.
La séparation du cache alimentation et de la chambre principale est protégée par deux filtres. En bas, par un filtre aimanté souple (fourni avec les accessoires) qui va protéger l’alimentation de la poussière.
Et un autre filtre déjà en place, aimanté également et avec un cadre en plastique rigide. Celui-ci s’extrait en tirant vers l’arrière du boîtier.
C’est également à ce niveau que l’utilisateur pourra installer (ou pas) la bande RGB Aurora présente dans les accessoires. Celle-ci se connecte au hub préinstallé grâce à une prise aRGB. Une goulotte est prévue pour un positionnement idéal.
La chambre principale
Le COUGAR CFV235 mesure 235 × 493 × 460 mm. La chambre principale mesure 370 x 460 x 190 mm et offre un large espace pour la carte mère au format Mini ITX / Micro ATX / ATX / E-ATX (compatible carte mère à connecteurs cachés). Nous avons plusieurs passages oblongs pour le câblage répartis sur les côtés et le long du cache alimentation. Le refroidissement du processeur pourra être assuré par un ventirad de 175 mm de hauteur maximum et les cartes graphiques pourront mesurer jusqu’à 430 mm.
Pour faciliter l’installation des composants, la façade en verre trempé pourra être enlevée. Elle est fixée au châssis par deux vis simples.
Un support de GPU en plus
Sur le plateau de la carte mère, nous retrouvons un support de GPU. Il est constitué d’une équerre en acier surmontée d’un patin en caoutchouc. Le support est réglable verticalement (fixation par une vis à main) et COUGAR a prévu deux fentes pour une adaptation idéale à la longueur de la carte graphique : à gauche pour une carte d’une longueur inférieure à 285 mm et à droite pour les cartes plus longues.
À gauche, nous retrouvons le ventilateur arrière de 120 mm, fixé sur un panneau entièrement perforé pour faciliter l’extraction d’air. Juste en dessous, les sept équerres PCI ajourées sont alignées verticalement et maintenues par des vis classiques. COUGAR n’a pas prévu de support pour une adaptation de la carte graphique à la verticale.
À droite de l’emplacement de la carte mère, nous retrouvons les deux ventilateurs préinstallés. Ceux-ci sont constitués d’un seul bloc et montés sur un support en acier ajouré non amovible. La sortie des câbles n’est malheureusement pas esthétique, il aurait été judicieux de prévoir un passage en arrière du bloc des ventilateurs.
En haut, nous avons un support permettant d’accueillir jusqu’à trois ventilateurs de 120 mm ou un radiateur de 360 mm maximum. Les rails de fixation permettent d’ajuster la position des ventilateurs selon la configuration choisie. Juste en dessous, plusieurs passages pour les câbles sont disposés le long du plateau, facilitant le raccordement des composants vers la chambre secondaire.
La partie inférieure de la chambre principale présente une large surface entièrement perforée, destinée à accueillir jusqu’à trois ventilateurs de 120 mm. Juste au-dessus, une ouverture centrale et plusieurs passages facilitent le routage des câbles vers la chambre secondaire ou le cache alimentation.
Trois ventilateurs préinstallés
Le COUGAR CFV235 est livré avec trois ventilateurs : un 120 mm en extraction arrière et deux 120 mm sur un bloc unique.
Le ventilateur arrière est un COUGAR JGR120-W. Nous n’avons pas retrouvé ce modèle dans les produits proposés par la marque sur son site, il semble que ce soit un modèle spécifiquement créé pour être vendu avec leurs boîtiers. Entièrement blanc, il profite de neuf pales translucides, de patins antivibrations aux quatre coins, d’une prise 4 pins PWM et d’une prise aRGB.
Le COUGAR CFV235 arrive aussi avec un UNITY 240 aRGB. Ce sont donc deux ventilateurs sur un cadre unique, équipés de sept pales translucides inversées pour pouvoir profiter pleinement de leur éclairage. Le cadre est aussi pourvu de coins antivibrations. L’arrière est épuré avec quatre renforts pleins (trois fenêtres sont présentes pour le suivi des câbles des ventilateurs).
Modèle
Unity 240-FW ARGB
Dimensions
243,6 x 125 x 25 mm
Vitesse
700-2500 tr/min ±10%
Flux d’air
78,2 CFM
Pression
5,4 mmH2O
Bruit
38,0 dB(A)
Roulement
FDB
Longueur des câbles
520 mm (ventilateur) / 600 mm (ARGB)
Connecteur et contrôle
Connecteur PWM 4 broches / ARGB 3 broches
Poids
0,28 kg
Ces UNITY 240 aRGB profitent d’une bande latérale aRGB pour un éclairage saisissant et éclatant.
‘Clearance checking’ Dégagement des composants
Le COUGAR CFV235 offre un dégagement optimal pour l’installation des différents composants :
Longueur maximale de la carte graphique : 430 mm,
Hauteur maximale du ventirad CPU : 175 mm,
Longueur maximale de l’alimentation : 200 mm.
En ce qui concerne l’installation de radiateurs, voici les possibilités et les limitations :
Radiateur en haut : 360 mm maximum et avec une épaisseur maximale de 45 mm avant d’arriver au bord supérieur de la carte mère et 65 mm à nos barrettes mémoires d’une hauteur de 56 mm. La carte mère est en retrait par rapport au support de radiateur supérieur.
Montage dans le COUGAR CFV235
Pour rappel, le COUGAR CFV235 dispose d’une profondeur de 38 mm pour l’organisation des câbles. Avec les nombreux serre-câbles velcro et les différents points d’ancrage, l’installation de notre configuration de test n’a pas posé de problème particulier. Le cache alimentation est spacieux et, même avec la cage à disques durs en place, nous avons eu assez d’espace pour les branchements de l’alimentation. Le hub centralise les branchements des ventilateurs et le chemin de câble est assez large pour accueillir l’intégralité des câbles.
Même constat dans la chambre principale : la configuration s’installe sans soucis particuliers. Le radiateur de l’AIO de 360 mm prend place en haut, laissant suffisamment d’espace pour les dissipateurs de la carte mère. Il faudra anticiper un minimum les branchements des câbles en haut de la carte mère, l’espace est restreint pour nos petits doigts boudinés par la rédaction de ce test. La longue carte graphique occupe naturellement tout l’espace horizontal jusqu’au-devant du ventilateur inférieur de l’UNITY 240 aRGB avec de potentielles perturbations de l’airflow. Les câbles d’alimentation PCIe passent facilement par les ouvertures prévues à cet effet pour arriver idéalement à l’alimentation de la carte graphique.
Le COUGAR CFV235 fait son show
Avec la configuration mise sous tension, les ventilateurs fournis révèlent leur éclairage RGB diffus à travers les pales translucides. Le radiateur installé en haut profite également d’un rétroéclairage homogène. Le bandeau LED vertical des ventilateurs ajoute une touche lumineuse sur le côté droit, sans être trop envahissant. L’ensemble reste visible derrière le panneau en verre, avec une lumière douce et bien répartie. Un bon point pour la bande lumineuse Aurora qui marque la séparation des deux chambres tout en équilibrant l’éclairage avec la chambre principale.
Méthodologie de Test et Résultats pour le COUGAR CFV235
Pour faire notre test, nous avons donc équipé le COUGAR CFV235 de la configuration suivante :
ASUS Z790-BTF WiFi
Intel Core i9-12900K
16 Go DDR5 CORSAIR Dominator Platinum 2 x 16 Go @6200MHz
ASUS TUF GAMING RX 9070OC
Cooler Master MWE Gold V2 1050W
CORSAIR Nautilus 360 RS ARGB
SABRENT ROCKET NVMe PCIe M.2 2280 256 Go
Trois ventilateurs CORSAIR RS 120 (deux en aspiration et un en extraction).
Protocole de Test
Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :
La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
La carte graphique toujours en mode auto,
Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.
Températures dans le COUGAR CFV235
Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :
Avec une température ambiante de 19 °C et une ventilation réglée en mode automatique, le COUGAR CFV235 affiche un comportement globalement maîtrisé. Au repos, le Core i9-12900K se stabilise autour de 27 °C, ce qui reflète un flux d’air interne suffisant malgré la façade pleine en verre. Une fois soumis à OCCT, le processeur atteint un maximum de 88 °C, avec des P-Cores qui culminent à 86 °C et des E-Cores qui restent à 76 °C. Ces valeurs restent cohérentes pour ce processeur particulièrement énergivore, surtout dans un scénario de charge extrême. En jeu, la température descend nettement et se stabilise autour de 62 °C, confirmant que le boîtier assure un refroidissement efficace dans un usage plus réaliste.
La ASUS TUF GAMING RX 9070 OC profite de son mode semi-passif pour rester totalement silencieuse au repos, tout en maintenant une température de 33 °C. Après vingt passes de stress sous Firestrike, elle se stabilise à 52 °C, ce qui témoigne d’un apport d’air frais largement suffisant depuis les ventilateurs latéraux et depuis la zone séparatrice entre le cache alimentation et la chambre principale. Dans Rise of the Tomb Raider, elle ne dépasse pas 42 °C après trente minutes de jeu, un résultat très confortable qui illustre bien le rôle positif de l’admission d’air latérale et inférieure du CFV235.
Le SSD reste lui aussi dans des valeurs basses, avec 27 °C au repos et 38 °C après un passage sous CrystalDiskMark. L’ensemble confirme que, malgré sa façade fermée, le CFV235 profite de l’apport d’air inférieur pour maintenir des températures tout à fait satisfaisantes pour une configuration haut de gamme.
Niveaux sonores du COUGAR CFV235
PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.
Pour les mesures sonores, nous avons utilisé notre sonomètre Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier. Au repos, avec la ventilation en mode automatique comme évoqué plus haut, le COUGAR CFV235 atteint 36,2 dB(A) dans une pièce à vivre classique, un niveau perceptible mais discret. En jeu, le bruit monte à 44,9 dB(A), principalement dû à l’augmentation progressive de la vitesse des ventilateurs internes. À pleine puissance, avec les ventilateurs à 100 % (12 V), le niveau grimpe à 54,2 dB(A). Ce résultat n’a rien de surprenant pour des ventilateurs non axés silence, mais il reste dans une plage conforme à ce que l’on observe habituellement sur des châssis orientés flux d’air.
Notre verdict sur le COUGAR CFV235
[Test] Boîtier COUGAR CFV235 : l’originalité avant tout, sans oublier les performances
Conclusion
Avec le CFV235, COUGAR propose un boîtier qui ne cherche pas à rentrer dans le moule des châssis airflow classiques. Le choix d’une façade entièrement en verre trempé, associé à une alimentation placée dans un socle bien marqué, crée une silhouette inhabituelle, presque en deux étages. C’est un parti pris esthétique fort, qui donne au boîtier une identité immédiatement identifiable. Cette architecture particulière influence aussi son fonctionnement : privés d’admission frontale, les composants comptent sur l’apport latéral et inférieur, et sur l’extraction supérieure pour maintenir un flux d’air cohérent.
Dans les faits, cette approche fonctionne. Les deux ventilateurs latéraux pré-installés et la zone inférieure apportent suffisamment d’air frais pour alimenter une configuration haut de gamme, et les résultats enregistrés sur le Core i9-12900K comme sur la RX 9070 OC le confirment. Les températures restent sous contrôle, que ce soit en charge maximale ou en jeu. Le CFV235 ne rivalise pas avec les boîtiers mesh les plus extrêmes, mais il montre qu’un design plus fermé peut encore délivrer des performances thermiques satisfaisantes dès lors que l’admission est pensée autrement.
L’expérience de montage s’est révélée plutôt agréable. L’intérieur est suffisamment dégagé pour accueillir de grands composants, le passage des câbles est simple et les attaches velcro pré-installées facilitent réellement l'organisation dans la chambre secondaire. Le hub intégré pour les ventilateurs et le RGB limite également la multiplication des branchements sur la carte mère, ce qui rend l’ensemble plus propre et plus rapide à configurer. La ventilation pré-installée joue son rôle et le bandeau LED apporte une touche lumineuse supplémentaire sans paraître superflu.
Tout n’est pas parfait pour autant. L’absence d’option pour monter la carte graphique à la verticale limitera certains choix esthétiques, et les pieds du boîtier, simplement collés, peuvent soulever des interrogations sur leur durabilité en cas de déplacements répétés.
Malgré ces réserves, le COUGAR CFV235 reste un boîtier cohérent, visuellement distinctif et techniquement capable. Il s’adresse clairement à celles et ceux qui veulent sortir du sempiternel duo “mesh + façade plate”, sans sacrifier les performances ni la compatibilité avec une configuration sérieuse. Un châssis qui assume son style, qui ventile mieux que ce que son apparence laisse penser, et qui offre une expérience de montage simple et agréable. Une proposition qui ne fera peut-être pas l’unanimité, mais qui a le mérite d’exister, et d’apporter un peu de variété dans un marché souvent très uniforme.
Qualité / Finition
8.9
Design
9.6
Agencement interne
9
Flux d'air
8.8
Câble management
8.8
Capacité watercooling
7.8
Prix
8.7
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Design original et facilement identifiable
Livré avec trois ventilateurs
Hub ventilateurs + RGB intégré
Ventilation inférieure efficace sur le GPU et le SSD
Dernière ligne droite de novembre et semaine plus calme, mais variée : un ARPG issu d’un webtoon ouvre le bal, suivi d’un RPG médiéval, d’une simu de course, d’un ranch relax en accès anticipé, d’un bac à sable magique et d’une touche de fêtes.
Les sorties marquantes de la semaine 48
Solo Leveling: Arise Overdrive arrive lundi 24 novembre en tant que sortie phare. On y suit Sung Jinwoo sur la voie du chasseur ultime, en revisitant l’histoire du webtoon et des aventures inédites. Combat nerveux et animé, esquives extrêmes, parades parfaites et un arbre de compétences menant vers huit spécialisations distinctes sont au menu. Le studio promet des affrontements dynamiques « qui évoluent selon vos armes et combos ».
Toujours lundi 24 novembre, Of Ash and Steel revendique l’héritage des RPG à l’ancienne tout en modernisant l’ergonomie. Monde ouvert en vue à la troisième personne, exploration d’une île déchue et survie dans le Royaume des Sept composent l’essentiel. L’accent est mis sur la progression au combat et l’immersion.
Mardi 25 novembre, Project Motor Racing vise la pure simulation. Le jeu aligne des voitures et tracés iconiques avec l’ambition d’un nouveau référentiel de sensations. Selon l’éditeur, la passion, la beauté et l’intensité du sport auto se mêlent à un travail poussé sur la tenue de route.
Accès anticipé, magie et ambiance hivernale
Mercredi 26 novembre, Cowboy Life Simulator entre en accès anticipé. On y incarne un ex-entrepreneur qui tente sa chance à la frontière : achat de la première chèvre, rencontres locales, exploration et construction d’un ranch. Le ton se veut détendu et immersif, avec un monde parsemé d’histoires.
Jeudi 27 novembre, Ars Notoria ouvre un monde de survie et crafting en fantasy, également en accès anticipé. Six écoles de magie à maîtriser, collecte de ressources, base à développer et menace mouvante des Enthralled. Vous êtes censé infléchir le destin du royaume.
Vendredi 28 novembre, Light Up The Town mise sur la douceur des fêtes. On joue Bean, un jeune furet, et on illumine la petite ville de Bellflower, Colorado. Le principe est simple : cliquer pour placer guirlandes et décorations, sans autre limite que l’imagination.
Valve n’a toujours pas annoncé le tarif de sa Steam Machine, mais les informations techniques publiées depuis sa présentation permettent déjà d’anticiper un positionnement bien plus élevé que celui d’une console classique. Derrière son format compact, la machine repose sur une architecture proche d’un mini PC moderne, avec des composants récents mais qui ne représentent pas le haut de gamme actuel. Un choix qui fait mécaniquement grimper le coût de production.
Un GPU équivalent à une Radeon RX 7600M
TechPowerUp a publié discrètement une fiche matérielle détaillant le GPU de la Steam Machine. Les caractéristiques correspondent point par point à une Radeon RX 7600M. Même nombre d’unités de calcul, même quantité de GDDR6, même bus mémoire et mêmes capacités de ray tracing. Les fréquences annoncées sont légèrement revues à la hausse, signe d’une variante semi custom, mais la base reste identique.
Ce choix confirme un point essentiel. La Steam Machine embarque un composant récent, efficace et maîtrisé, mais qui n’appartient plus au segment haut de gamme en 2025. Les PC de bureau autour de 1000 EUR utilisent désormais des cartes graphiques bien plus rapides, comme les Radeon RX 9060 XT ou les GeForce RTX 5060 Ti, issues de générations plus récentes et nettement plus performantes en rasterisation comme en ray tracing.
Un processeur dérivé d’un modèle Zen 4 premium
Valve évoque un processeur Zen 4 six cœurs douze threads capable de monter à 4,8 GHz pour une enveloppe thermique d’environ trente watts. Celui-ci ne correspond pas directement à un modèle commercialisé au détail, mais il adopte les caractéristiques d’un Ryzen 7 8700GE configuré en version six cœurs. Même architecture Phoenix, même comportement thermique et des fréquences identiques.
Là encore, on parle d’un composant récent, performant en efficacité énergétique, mais qui n’a plus rien de premium dans le marché de 2025 dominé par les puces Zen 5. Les PC vendus autour de 1000 EUR exploitent déjà ces nouvelles générations, plus rapides en jeu comme en tâches mixtes.
Une mémoire bien plus coûteuse qu’attendu
La présence de 16 gigaoctets de DDR5, associée à 8 gigaoctets de GDDR6 dédiés au GPU, alourdit la facture totale. Dans le contexte actuel de tension sur les prix des modules DRAM, le coût de la mémoire grimpe rapidement. À cela s’ajoute le stockage NVMe, disponible en cinq cent douze gigaoctets ou deux téraoctets selon les modèles. Le budget mémoire représente déjà à lui seul une part significative du coût de production.
Une architecture de mini PC, pas de console
En ajoutant le prix de la carte mère, de l’alimentation interne, du système de refroidissement et du châssis compact, la configuration totale ressemble davantage à celle d’un mini PC performant qu’à une machine pensée pour être vendue à prix cassé. Les estimations réalistes du coût de production conduisent à un budget matériel compris entre sept cent et huit cents euros, sans compter la marge du constructeur.
Une configuration déjà dépassée par les PC vendus autour de 1000 €
C’est le point que les premières analyses avaient tendance à occulter. En 2025, un PC vendu autour de 1000 euros embarque généralement un processeur Zen 5 et une carte graphique bien plus performante que Navi 33. À tarif comparable, ces machines offrent une marge de puissance importante, une meilleure évolutivité, et une capacité de calcul plus durable face aux jeux à venir.
La Steam Machine se distingue par sa compacité, son silence et l’optimisation logicielle de SteamOS, mais pas par une avance technologique. Son prix sera élevé en raison de son format et de son intégration, pas parce qu’elle embarque du matériel de dernière génération.
Un silence révélateur autour du prix
Linus Tech Tips affirme avoir discuté avec Valve d’un prix potentiel proche de 500 dollars. Les équipes n’ont ni validé ni contredit cette estimation, mais leur réaction a laissé transparaître une certaine réserve, suggérant un positionnement sans doute plus élevé que celui des consoles traditionnelles. Cette absence de clarification laisse penser que la machine ne pourra probablement pas répondre aux attentes de ceux qui espéraient une option réellement économique.
Une machine compacte et optimisée, mais pas un PC de dernière génération
La Steam Machine repose sur des choix techniques cohérents pour un form factor réduit, mais elle ne cible pas la puissance brute. Elle se place dans une catégorie particulière où la compacité, l’efficacité et l’intégration priment sur la performance pure. En conséquence, son prix reflète davantage son format et son architecture que son niveau de performance.
Depuis son annonce, Valve entretient un certain mystère autour du processeur graphique de la Steam Machine. La marque parle d’un GPU RDNA 3 partiellement sur mesure, avec vingt huit unités de calcul et huit gigaoctets de mémoire GDDR6. Ces éléments étaient déjà révélateurs, mais une fiche technique publiée discrètement par TechPowerUp permet désormais de lever le doute. Le GPU de la Steam Machine correspond presque trait pour trait à une Radeon RX 7600M.
Un GPU semi-custom, mais pas inédit
Selon les données techniques publiées, le GPU de la Steam Machine utilise le même processeur graphique Navi 33 LE que la RX 7600M. On retrouve la même configuration de vingt huit unités de calcul, mille sept cent quatre vingt douze processeurs de flux, cent douze unités de texture et soixante quatre ROP. La quantité de mémoire et le bus sont identiques, tout comme la présence de vingt huit accélérateurs de ray tracing.
Seules les fréquences diffèrent, avec des valeurs légèrement supérieures pour la Steam Machine. C’est typique d’une révision semi-custom destinée à s’adapter au refroidissement interne et aux contraintes du système. Mais la base matérielle reste celle d’une RX 7600M, un GPU mobile performant utilisé dans des PC aux prix élevés.
Steam Machine 2026 sous SteamOS
Une première indication claire sur le positionnement tarifaire
La Radeon RX 7600M n’équipe pas des machines économiques. On la retrouve dans des ordinateurs portables et des mini PC gaming vendus autour de mille euros. À elle seule, elle représente déjà un coût significatif dans la facture d’un constructeur.
L’intégrer dans une machine compacte avec une alimentation interne et un châssis spécifique impose des contraintes supplémentaires et des coûts de production supérieurs à ceux d’un simple portable.
Le GPU de la Steam Machine : un Radeon RX 7600M déguisé
Spécification clé
Steam Machine GPU (Annoncé)
AMD RX 7600M / 7600M XT (Mobile)
Puce graphique
Navi 33
Navi 33✓ Identique
Architecture
RDNA 3.0
RDNA 3.0✓ Identique
Unités de calcul (CU)
28 CU1792 Stream Processors
28 CU (7600M)1792 SP / 32 CU (7600M XT) – 2048 SP✓ Identique au 7600M
Fréquence boost
2 450 MHz
2 300-2 600 MHzSelon modèle/TGP✓ Dans la plage
Mémoire vidéo
8 Go GDDR6Bus 128-bit @ 18 Gbps
8 Go GDDR6Bus 128-bit @ 18 Gbps✓ Identique
Bande passante mémoire
288 GB/s
288 GB/s✓ Identique
TDP / Consommation
90-110 WJusqu’à 110 W
75-120 W (TGP)Configurable selon OEM✓ Compatible
Ray Tracing
28 cœurs RT (2e gen)
28/32 cœurs RTCompatible
Infinity Cache (L3)
32 MB
32 MB✓ Identique
Interface PCIe
PCIe 4.0 x8
PCIe 4.0 x8✓ Identique
Verdict : Un RX 7600M dans la Steam Machine
Les spécifications du GPU de la Steam Machine correspondent exactement à celles du Radeon RX 7600M :
28 CU / 1792 Stream ProcessorsConfiguration exacte du RX 7600M standard
✓
8 Go GDDR6 @ 18 GbpsBus 128-bit, bande passante de 288 GB/s
✓
Enveloppe thermique comparable90-110W pour la Steam Machine vs 75-120W TGP mobile
Valve utilise très probablement un RX 7600M optimisé pour sa console, profitant d’une puce mobile éprouvée qui offre un excellent compromis performance/consommation. Cette approche semi-custom évite le développement d’un GPU entièrement nouveau tout en garantissant des performances adaptées au 1080p/1440p gaming.
Cette révélation confirme que la Steam Machine ne pourra pas viser une zone tarifaire comparable à celle des consoles traditionnelles. L’adoption d’un GPU mobile hautes performances a un impact direct sur le coût de production, qui grimpe mécaniquement avec ce type de composant.
Une architecture pensée comme un PC miniature
À la différence d’un SoC tout-en-un comme ceux des PlayStation ou des Xbox, la Steam Machine adopte un schéma technique de mini PC. Elle associe un processeur Zen 4 basse consommation et un GPU dédié mobile, chacun ayant ses propres contraintes thermiques et énergétiques. C’est une approche efficace pour obtenir de bonnes performances dans un format réduit, mais elle est coûteuse.
Les systèmes intégrant ce type de GPU nécessitent un refroidissement sérieux, une alimentation plus solide et une mémoire vive plus rapide. Autant d’éléments qui rapprochent la machine de Valve d’un PC compact plutôt que d’une console de salon.
Un choix cohérent mais modeste
Valve mise sur une machine compacte et bien intégrée, construite autour de composants récents et efficaces plutôt que de matériel de dernière génération.
Cette approche garantit une expérience fluide sous SteamOS, tout en restant adaptée à un format très réduit. Toutefois, ces choix techniques n’ont rien de véritablement premium.
Avec un GPU équivalent à une RX 7600M et un processeur Zen 4 dérivé d’un modèle basse consommation, la Steam Machine ne vise pas la puissance brute. Son prix élevé découlera surtout de son design compact, de son refroidissement spécifique et de l’intégration logicielle, plus que d’un positionnement matériel haut de gamme.
Valve a officialisé un processeur Zen 4 six cœursdouze threads (6c/12t) pour sa future Steam Machine, annoncé avec une fréquence maximale de 4,8 GHz et une enveloppe thermique d’environ trente watts. Aucun processeur grand public ne correspond exactement à ce profil, mais un modèle AMD se rapproche très fortement de cette configuration. Il s’agit du Ryzen 7 8700GE, une puce Phoenix basse consommation utilisée dans les systèmes compacts et modulable selon les besoins des constructeurs.
Un processeur Phoenix adapté pour la Steam Machine
Le Ryzen 7 8700GE est une puce Zen 4 gravée en quatre nanomètres, conçue pour fonctionner dans une enveloppe thermique de trente cinq watts et capable de monter jusqu’à 4,8 GHz. Ce sont précisément les valeurs annoncées pour la Steam Machine, ce qui rend l’analogie particulièrement solide. En désactivant deux cœurs, AMD peut facilement proposer une version six cœurs douze threads conforme aux besoins de Valve, tout en conservant les performances en charge légère grâce à une fréquence maximale identique.
AMD Phoenix Ryzen 8000G
Contrairement aux processeurs Zen 4 de bureau qui fonctionnent à 65 ou 105 watts, les modèles Phoenix ont été élaborés pour offrir un compromis entre performance et efficacité. C’est ce type d’architecture qui permet à la Steam Machine de gérer un GPU dédié de 90 à 110 watts sans dépasser les capacités de l’alimentation interne.
Analyse comparative : Steam Machine vs Ryzen 7 8700GE
Caractéristique
Steam Machine (Annoncé par Valve)
AMD Ryzen 7 8700GE (Base probable)
Architecture
Zen 4
Zen 4 (Phoenix)✓ Identique
Cœurs / Threads
6c / 12tConfiguration custom
8c / 16t Modifié (2 cœurs désactivés)
Fréquence boost
Jusqu’à 4,8 GHz
Jusqu’à 4,8 GHz✓ Identique
Fréquence de base
Non communiquée
3,6 GHzCompatible
TDP / Enveloppe thermique
~30 W
35 W✓ Quasi-identique
TDP configurable
Non spécifié
35-45 W (cTDP)Modulable
GPU intégré
Aucun (GPU dédié)28 CU RDNA3 custom
Radeon 780M12 CU RDNA3 Désactivé/Remplacé
Gravure
Non communiquée
4 nm (TSMC)Compatible
Support mémoire
DDR516 Go annoncés
DDR5 dual-channelJusqu’à 5200 MT/s✓ Compatible
Cache L3
Non communiqué
16 MBProbablement conservé
PCIe
Non communiqué
Gen 4 (20 lanes)Suffisant pour GPU dédié
Socket
Custom (soudé)
AM5 (FC-LGA1718)Base compatible
Verdict technique
Le Ryzen 7 8700GE est très probablement la base du processeur de la Steam Machine. Les correspondances sont trop nombreuses pour être une coïncidence :
GPU intégré :Radeon 780M désactivé, remplacé par GPU dédié 28 CU
TDP ajusté :35W → ~30W (optimisation thermique)
Packaging :Socket AM5 → Puce soudée custom
Implications tarifaires
L’utilisation d’un processeur Phoenix bas-TDP impacte significativement le coût :
Ryzen 7 8700GE (OEM)150-200 €
+ Customisation semi-customSurcoût probable
+ GPU 28 CU RDNA3≈ RX 7600M
+ Mémoire DDR5 + GDDR6Premium
Cette configuration positionne la Steam Machine dans le segment premium des mini-PC, avec un prix final probablement supérieur à 800 €.
Une approche semi custom proche de celle des consoles
L’utilisation d’un processeur dérivé du Ryzen 7 8700GE illustre la stratégie de Valve. La marque évite de concevoir un SoC complet comme sur les consoles classiques, mais s’appuie sur une base existante, modifiable selon ses besoins. En ajustant les limites de puissance, en désactivant certaines unités et en adaptant les tables de tension, AMD peut fournir un processeur optimisé pour le format retenu par Valve sans créer un modèle entièrement nouveau.
Spécifications techniques officielles de la Steam Machine de Valve
Cette approche semi custom permet de réduire les coûts de développement, mais elle ne diminue pas le prix des composants. Les processeurs Zen 4 basse consommation restent des puces complexes et coûteuses, conçues pour des systèmes compacts premium.
Un coût qui éloigne la Steam Machine du segment console
Un processeur Phoenix comme le 8700GE représente déjà un coût non négligeable. Les versions OEM de ce type de puce se situent entre cent cinquante et deux cents euros selon les volumes. Une version modifiée, intégrée dans un système spécifique et associée à une carte mère custom, n’est pas moins chère. À cela s’ajoute la présence d’un GPU équivalent à une Radeon RX 7600M et de la mémoire DDR5 et GDDR6, qui complètent une configuration comparable à celle d’un mini PC haut de gamme.
Valve construit ainsi une machine basée sur des composants modernes et performants, mais qui ne peuvent pas rivaliser avec les économies d’échelle des architectures tout-en-un des consoles traditionnelles. Le choix d’un processeur Zen 4 dérivé du 8700GE confirme que la Steam Machine vise un segment plus premium et ne pourra pas adopter une stratégie tarifaire agressive.
Un choix technique cohérent mais coûteux
Le recours à un processeur Phoenix modifié garantit des performances solides tout en respectant les contraintes thermiques du format choisi. Cette approche convient parfaitement à SteamOS et au positionnement de la machine, mais elle implique un coût de production supérieur à celui d’une console classique. Avec un CPU de ce niveau, la Steam Machine s’inscrit clairement dans la catégorie des mini PC performants, un segment où les prix dépassent fréquemment les huit cents euros.
Spécifications techniques officielles de la Steam Machine de Valve
Général
Processeur
AMD Zen 4 6c/12t partiellement sur-mesure
jusqu’à 4,8 GHz, enveloppe thermique de 30 W
Processeur graphique
AMD RDNA3 28CU partiellement sur-mesure
Fréquence maximale soutenue de l’horloge de 2,45 GHz, enveloppe thermique de 110 W
Mémoire vive
16 Go DDR5 + 8 Go GDDR6 (mémoire vidéo)
Alimentation
Alimentation interne, 110-240 V CA
Stockage
Modèle 1
512 Go
SSD NVMe
Modèle 2
2 To
SSD NVMe
Les deux modèles disposent d’un emplacement pour carte microSD ultrarapide
Connectivité
Wifi
Wifi 6E 2×2
Bluetooth
Antenne Bluetooth 5.3 dédiée
Steam Controller
Adaptateur sans fil 2,4 GHz intégré
Entrées et sorties
Écrans
DisplayPort 1.4
Jusqu’à 4K à 240 Hz ou 8K à 60 Hz
Compatible avec HDR, FreeSync, et la connexion en chaîne
HDMI 2.0
Jusqu’à 4K à 120 Hz
Compatible avec HDR, FreeSync, et CEC
USB
2×USB-A 3.2 Gen 1à l’avant
2×USB-A 2.0 ultrarapidesau dos
1×USB-C 3.2 Gen 2au dos
Réseau
Gigabit Ethernet
Barre lumineuse
17 diodes RVB configurables pour l’indication de l’état du système ou la personnalisation
Dimensions et poids
Hauteur
152 mm
(148 mm sans les pieds)
Longueur
162,4 mm
Largeur
156 mm
Poids
2,6 kg
Logiciel
Système d’exploitation
SteamOS 3 (basé sur Arch)
Bureau
KDE Plasma
Certaines spécifications sont susceptibles de changer avant la sortie
Le prochain pari de PUBG Studios prend forme : Black Budget, un extraction shooter PvPvE en vue FPS, ouvrira une alpha fermée en deux sessions mi-décembre. De quoi jauger le rythme des combats et l’équilibrage des extractions avant 2025.
Black Budget en alpha fermée mi-décembre
Krafton annonce des tests du 12 au 14 décembre puis du 19 au 21 décembre. L’accès se demande sur la page Steam du jeu. Attention, le test est limité à l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie, et requiert au minimum une carte graphique de type NVIDIA GeForce RTX 2060 ou équivalent AMD avec 8 Go de VRAM.
Objectif déclaré de ces sessions : éprouver les systèmes de début de partie, le tempo des affrontements, l’équilibre des extractions et la progression des joueurs.
Un contrat sur une île en boucle temporelle
Black Budget mise sur la tactique et la survie. On y incarne un Contractor, mercenaire envoyé en mission classifiée sur une île prise dans une anomalie temporelle. Les runs, d’une durée pouvant atteindre 30 minutes, se déroulent sur une carte ouverte faite de biomes variés, de points d’intérêt et d’installations souterraines. D’après la page Steam, « l’Anomalie » restreint progressivement la zone jouable. Les extraits montrent une brume violette dans la jungle et des zones industrielles, signe probable du mécanisme de rétrécissement.
Côté méta, le studio détaille : trois factions concurrentes avec contrats et récompenses liées à la réputation, une progression persistante via compétences et maîtrises, une Base évolutive avec artisanat, agrandissement du coffre et installations générant des revenus. Un centre de recherche sert de hub narratif et de progression, tandis que l’arsenal profite d’un large éventail de personnalisations, dont des items exclusifs aux factions. S’ajoutent soins et stimulants pour la survie, ainsi qu’une personnalisation complète du personnage, des tenues et des skins d’armes et d’équipement.
Pour participer, direction la page Steam officielle. Reste à voir si le studio parviendra à caler le bon rythme d’extraction et une boucle de progression solide dès cette première passe.
Foxconn accélère dans l’IA : le géant taïwanais vise 2026 pour mettre en service un centre de supercalcul à 1,4 milliard de dollars, épaulé par les GPU Blackwell de NVIDIA, tout en scellant un partenariat matériel avec OpenAI.
Un méga-cluster NVIDIA Blackwell en 2026
Lors de son Tech Day à Taipei, Foxconn a confirmé que son futur centre de supercalcul sera opérationnel au premier semestre 2026. L’infrastructure, opérée par la nouvelle entité IA et cloud du groupe, Visonbay.ai, doit devenir le plus grand cluster de GPU avancés de Taïwan, fondé sur le matériel NVIDIA Blackwell GB300. D’après Alexis Bjorlin, vice‑présidente chez NVIDIA, la montée en puissance des GPU est telle que « beaucoup d’entreprises trouveront plus économique de louer la capacité de calcul » que de bâtir leurs propres sites.
Foxconn muscle parallèlement sa capacité industrielle : le président Young Liu affirme que le groupe peut déjà assembler environ 1 000 racks IA par semaine, avec une hausse attendue l’an prochain. L’entreprise prévoit d’investir 2 à 3 milliards de dollars par an dans l’IA, un rythme qui devrait soutenir l’essor de Visonbay.ai et la mise en place du cluster Blackwell.
OpenAI, nouveau partenaire pour l’infrastructure
Dans un second temps, OpenAI a officialisé une collaboration avec Foxconn pour co‑développer du matériel destiné aux data centers : câblage, systèmes d’alimentation et autres éléments d’infrastructure. Aucun engagement d’achat n’est prévu, mais OpenAI bénéficiera d’un accès anticipé pour tester ces équipements. Ce modèle rappelle les coopérations déjà en place avec Google, AWS et Microsoft, et doit permettre à Foxconn de recueillir un retour terrain précis sur la conception des racks et d’accélérer le développement de nouvelles plateformes.
Sam Altman souligne que la demande en infrastructures IA dépasse toujours l’offre, et que l’arrivée de nouveaux modèles exigera des racks, des solutions de refroidissement et des matériels d’alimentation repensés. Dans ce contexte, l’alliance avec Foxconn apparaît comme un levier pour ajuster rapidement les standards de baie et de puissance autour des architectures Blackwell, alors que la location de calcul devient, selon NVIDIA, une alternative de plus en plus rationnelle pour de nombreux acteurs.
Tuxedo baisse le rideau sur son premier laptop Linux à base de Snapdragon X Elite, un projet stoppé net face à une plateforme ARM encore trop immature pour répondre aux attentes des utilisateurs exigeants.
Un revers technique pour l’ARM sous Linux
Connu pour ses machines Linux hautes performances et son TuxedoOS, le constructeur a officialisé l’arrêt du développement de son portable équipé du Qualcomm Snapdragon X1 Elite. En cause, des obstacles techniques persistants : pilotes incomplets, limitations de plateforme et délai de mise au point trop long. D’après Tuxedo, l’architecture ARM de première génération concernée s’est révélée « moins adaptée que prévu » au quotidien sous Linux.
Prototype TUXEDO avec Snapdragon X Elite
Plusieurs points critiques reviennent : pas de voie fiable pour les mises à jour BIOS depuis Linux, absence de contrôle fin des ventilateurs, virtualisation KVM non envisageable sur leur modèle, débits élevés USB4 hors de portée à court terme. La vidéo matérielle est techniquement activable, mais la plupart des applications manquent encore du support adéquat. Surtout, l’atout majeur des laptops ARM n’était pas au rendez-vous : l’autonomie. Selon Tuxedo, les longues durées promises n’étaient tout simplement pas atteintes sous Linux.
Un calendrier intenable et un matériel déjà dépassé
Tuxedo estime qu’il lui faudrait « plusieurs mois de plus » pour livrer un produit abouti, ce qui conduirait à commercialiser un PC immédiatement vieillissant. Le Snapdragon X Elite (X1E) aurait alors plus de deux ans, tandis que son successeur, le Snapdragon X2 Elite (X2E), a été présenté en septembre 2025 et est attendu pour le premier semestre 2026. Dans ces conditions, prolonger l’effort ne semblait pas pertinent.
Le constructeur ne ferme pas la porte pour autant. Le projet pourrait reprendre si l’écosystème mûrit. D’ici là, Tuxedo reverse son travail à la communauté : l’arbre de périphériques et les avancées réalisées seront proposés au noyau Linux mainline. De quoi accélérer, peut-être, la maturation du support Snapdragon sous Linux grâce aux contributions de développeurs tiers.
Des chiffres qui font lever un sourcil : l’iGPU Arc B390 de Panther Lake affolerait Time Spy et Steel Nomad Light, d’après un score partagé par un leaker. De quoi donner du crédit aux promesses d’Intel autour de Xe3.
Arc B390, le haut de gamme iGPU de Panther Lake, s’invite dans les benchmarks
Intel a déjà donné le ton pour Xe3 : plus de 50 % de performances en plus par rapport à Lunar Lake (Xe2) et au moins 40 % d’efficacité énergétique au-dessus d’Arrow Lake-H (Xe avec XMX). Officiellement, rien de plus précis. Officieusement, il semblerait que Panther Lake soit déjà en phase d’échantillonnage, avec une production de masse imminente, voire lancée.
Leaker bien connu, Raichu a publié sur X/Twitter un score qui correspond à Time Spy Graphics. Contacté par la source, il confirme qu’il s’agit bien de ce benchmark et qu’il concerne l’Arc B390, la configuration iGPU la plus musclée de la série Panther Lake.
Selon les comparatifs réalisés, ce B390 se placerait environ deux fois au-dessus d’un Radeon 890M et presque deux fois au-dessus de Lunar Lake dans Time Spy. Raichu ajoute que le B390 dépasse les 6000 points dans Steel Nomad Light, soit plus de 87 % au-dessus du score moyen d’un 890M et 80 % au-dessus d’un Arc 140T.
Il faut dire que Time Spy favorise souvent les puces Intel. La prudence s’impose donc, d’autant que Raichu n’a pas précisé les paramètres du processeur Panther Lake utilisé. Si la puce tournait à 60 W ou plus, les performances pourraient être supérieures à celles observées dans des machines commerciales.
Ce que cela dit de Xe3 et du jeu sur iGPU
Malgré ces bémols, les indicateurs coïncident avec l’objectif d’Intel : le « plus de 50 % » semble crédible. On pourrait enfin tenir une iGPU taillée pour le jeu en mobilité. D’après les informations partagées, Intel préparerait aussi une version B380 dédiée aux consoles portables avec l’intégralité des 12 unités Xe3 actives. Reste à voir si AMD doit s’inquiéter et si des acteurs comme ASUS ajusteront le positionnement de machines type ROG Ally.
Comme le résume la source, « Xe3 devrait être 50 % plus rapide que Lunar Lake » et « au moins 40 % plus efficace qu’Arrow Lake-H ». De quoi mettre la pression sur la concurrence si les fréquences et enveloppes thermiques finales confirment ces premiers signaux.
Intel semble vouloir renforcer sa présence sur le marché des consoles portables, et la future iGPU Arc B380 intégrée à Panther Lake en serait l’un des éléments clés. L’idée n’est plus seulement de proposer un iGPU performant pour les ultraportables, mais d’offrir une solution réellement adaptée aux machines de jeu compactes, un segment où les Ryzen Z2 d’AMD dominent encore très largement.
Intel Arc B380 : Battlemage pour le gaming mobile
Les informations partagées par VideoCardz et relayées par des sources internes pointent vers une nouvelle famille graphique baptisée Arc B-Series, basée sur l’architecture Xe3 et rattachée à la génération Battlemage. Cette série serait destinée aux Core Ultra 300 (Panther Lake), avec une nomenclature encore en cours de finalisation.
Mais c’est bien l’Arc B380 qui focalise l’attention. Cette iGPU, elle aussi équipée de 12 cœurs Xe3, serait intégrée dans une variante spécifique du Core Ultra 300 pensée pour les consoles PC et les mini-machines orientées jeu. La puce existe déjà dans les listings internes d’Intel, même si elle n’a pas encore de nom définitif.
Une configuration CPU allégée pour réduire les coûts
OneRaichu précise que ce SoC dédié aux consoles portables n’utiliserait pas la configuration CPU la plus complète de Panther Lake. Intel viserait un équilibre différent : moins de cœurs CPU, un iGPU Xe3 complet, et une enveloppe thermique cohérente avec les contraintes d’un châssis compact.
Ce choix permettrait surtout de réduire le coût final du processeur, un point essentiel pour les fabricants de consoles PC d’entrée ou de milieu de gamme, où les marges sont extrêmement serrées. Cette approche se place en dessous des Core Ultra 5 et vise directement le segment où la performance GPU prime sur la puissance CPU brute.
Une réponse directe aux Ryzen Z2 d’AMD
L’Arc B380 et son SoC associé se positionneraient dans le milieu de gamme, avec un objectif clair : concurrencer les Ryzen Z2, déjà présents dans plusieurs consoles portables. Intel a commencé à ouvrir la voie avec Lunar Lake, mais Panther Lake serait la première vraie offensive structurée de la marque sur ce marché.
Avec six références graphiques prévues au total, certaines encore sans nom public, Panther Lake composerait une offre large allant des modèles les plus légers aux versions plus ambitieuses. Dans ce panorama, l’Arc B380 se placerait au centre de la gamme et viendrait répondre à la demande croissante de GPU intégrés performants dans les machines gaming compactes.
Reste à observer comment se comportera cette iGPU face aux APU d’AMD dans les consoles PC attendues pour fin 2025 et 2026. Sur le papier, Intel semble enfin assumer une stratégie claire pour le gaming mobile, avec une solution pensée pour répondre aux contraintes thermiques, au coût matériel et aux besoins réels des joueurs portables.
Fin de l’appellation à rallonge : AMD simplifie « FidelityFX Super Resolution » en « FSR », au moment où la firme prépare le pack Redstone pour ses Radeon RX 9000.
FSR devient la bannière unique des techno d’image d’AMD
Une mise à jour des pages officielles Redstone l’indique noir sur blanc : « FSR Upscaling (formerly AMD FidelityFX Super Resolution) », confirmant le virage de marque. L’objectif est clair : regrouper sous FSR un ensemble de modules jusqu’ici épars, plus lisible dans les menus de jeux et les panneaux de contrôle.
FSR Redstone regroupe plusieurs modules optimisés pour RDNA 4 :
FSR Upscaling pour reconstruire une image haute résolution,
FSR Frame Generation pour créer des images intermédiaires via IA,
FSR Ray Regeneration pour affiner les détails du ray tracing à partir d’échantillons limités,
FSR Radiance Caching pour une illumination globale plus efficace.
La stratégie suit le même mouvement que NVIDIA, qui regroupe DLSS Super Resolution, Frame Generation et Ray Reconstruction sous la même bannière, et qu’Intel avec XeSS 2. Chacun transforme son upscaler en suite complète de technologies d’image.
Ce que verront les joueurs
Dans les jeux, les joueurs verront donc d’abord « AMD FSR », avant les sous-modes (Upscaling, Frame Generation, etc.). Les anciens titres garderont encore la mention complète le temps de la transition. La compatibilité restera à vérifier au cas par cas : comme l’a montré DLSS 4, le support d’un nom ne garantit pas l’accès à l’ensemble des modules.
AMD accélère le tempo : la présentation officielle de FSR Redstone est fixée au 10 décembre, avec un focus clair sur la nouvelle génération Radeon RX 9000.
FSR Redstone se dévoile le 10 décembre
AMD annonce un rendez-vous dédié à FSR Redstone, sa prochaine mise à jour majeure FidelityFX. La firme ne précise pas s’il s’agira du lancement complet ou d’une session pour développeurs, mais il s’agit du premier événement entièrement consacré à cette génération, une promesse déjà évoquée par le constructeur.
Le calendrier suit un teasing pour le moins atypique : la première brique, Ray Regeneration, a été aperçue dans Call of Duty : Black Ops 7 avec des limites matérielles explicites. D’après un message de Jack Huynh sur X, FSR Redstone est développé pour la série Radeon RX 9000. Autrement dit, les cartes plus anciennes ne sont pas concernées pour l’instant, du moins pour cette fonctionnalité. AMD parle d’un traitement par apprentissage automatique qui reconstruit les informations d’éclairage et de réflexions en ray tracing.
Le package Redstone comprend quatre technologies basées sur le machine learning : Ray Regeneration, ML Super Resolution, ML Frame Generation et Neural Radiance Caching. À ce jour, seule Ray Regeneration a été intégrée dans un jeu commercial. Il faut dire que les trois autres modules sont encore en attente d’un déploiement public, et l’événement du 10 décembre devrait détailler leur feuille de route ainsi que, possiblement, les premiers titres compatibles.
Radeon RX 9000 en première ligne
Le positionnement technique se confirme : « FSR Redstone est développé pour la série Radeon RX 9000 », selon Jack Huynh. Reste à voir si AMD étendra ensuite certaines briques aux générations précédentes, ou si l’ensemble restera cantonné aux GPU RDNA les plus récents.
Le 10 décembre devrait enfin éclaircir le périmètre de chaque module, et surtout les jeux qui adopteront l’intégration complète Redstone. On suivra de près la disponibilité de ML Super Resolution, ML Frame Generation et Neural Radiance Caching, encore absents des versions commerciales.
Le retour du Prince se précise : d’après la dernière conférence financière d’Ubisoft, le remake de Prince of Persia Les Sables du Temps viserait une sortie autour du quatrième trimestre 2026, après un chantier pour le moins chahuté.
Une fenêtre 2026 qui colle au cycle d’un AAA
Annoncé en 2020, le projet a enchaîné reports et réorganisations, dont un transfert notable des équipes indiennes vers Ubisoft Montréal. Selon la feuille de route présentée aux investisseurs, la sortie de ce remake de Prince of Persia pourrait intervenir « dès le T4 2026 » pour ce remake très attendu. Un créneau qui paraît cohérent : quatre à cinq ans de développement restent dans la norme d’une production AAA, surtout après un reboot d’équipe.
Ubisoft a mentionné cette fenêtre peu après des rumeurs plaçant un remake d’Assassin’s Creed Black Flag aux environs de mars 2026. Si un briefing investisseurs apporte une crédibilité supérieure aux bruits de couloir, la prudence s’impose : l’éditeur visait initialement 2021 pour Les Sables du Temps, avant de repousser à plusieurs reprises.
Un autre jeu non annoncé dans les tuyaux
Autre point saillant, Ubisoft a glissé la présence d’un « titre non annoncé » prévu aux côtés du remake de Prince of Persia. Aucune précision pour l’instant, mais l’éditeur semble vouloir densifier son line-up 2026, tout en étalant ses sorties majeures.
Reste l’inconnue principale : la stabilité du calendrier. Entre ambitions de relance et héritage d’un développement compliqué, il semblerait que 2026 soit l’option la plus réaliste, sans garantie absolue à ce stade.
Cap sur les Caraïbes une nouvelle fois : il semblerait que le remake d’Assassin’s Creed IV Black Flag vise une sortie d’ici le 31 mars 2026, d’après Insider Gaming. Une fenêtre qui relance l’intérêt autour de l’épisode le plus aimé de la saga, malgré un contexte délicat pour Ubisoft.
Un retour programmé, mais encore non confirmé
Selon le média spécialisé, le projet pourrait arriver « aussi tôt que le 31 mars 2026 ». Ubisoft n’a pas commenté l’existence du remake. Cette échéance intervient alors que l’éditeur traverse une période chahutée, avec un report de sa communication financière qui a alimenté des spéculations autour d’un éventuel rachat, mais aussi d’un engagement accru vers l’IA générative dans les jeux.
Mécaniques repensées et virage RPG en vue
Les rumeurs antérieures évoquent un remake au sens traditionnel, avec des mécaniques retravaillées et l’introduction de davantage d’éléments RPG. Un choix stratégique : Black Flag s’est imposé par sa navigation fluide, l’exploration et la richesse de son contenu, quand plusieurs opus récents ont été critiqués pour leur rythme et une sensation de surenchère. Reste à voir si ce lifting saura préserver l’ADN pirate tout en modernisant l’expérience.
Nacon surfe sur la nostalgie Xbox 360 avec une Revolution X Unlimited en livrée rétro, déjà en précommande et pensée autant pour les joueurs Xbox que PC.
Revolution X Unlimited édition anniversaire : le retour d’un look culte
Pour marquer l’anniversaire de la Xbox 360, Nacon propose une édition anniversaire de sa manette Revolution X Unlimited habillée des couleurs iconiques de la console de 2005. Officiellement licenciée et « Designed for Xbox », cette version reprend le châssis hautes performances sorti en avril 2025, salué par la presse et les joueurs, et le décline dans un habillage fidèle à l’esprit 360. Les précommandes sont ouvertes sur nacongaming.com.
Technos embarquées : sticks Hall, micro‑switches Omron et écran LCD
D’après Nacon, cette édition anniversaire mise sur plusieurs points clés : sticks à effet Hall pour éliminer le drift et prolonger la durée de vie, connexion sans fil via dongle pensée pour éviter la latence, et micro‑switches Omron sur boutons, gâchettes et croix pour des entrées nettes et précises.
Un écran LCD intégré facilite la configuration, la navigation et la sélection de profils, tandis qu’une application PC dédiée permet d’affiner chaque paramètre et de multiplier les profils de jeu. Nacon résume l’approche en une formule : « un concentré de technologie qui allie durabilité et précision ».
Sur le papier, l’ensemble cible avant tout les joueurs FPS sur Xbox et PC, en misant sur une personnalisation poussée et un équilibre maîtrisé entre confort moderne et esthétique rétro. Aucune information ne précise pour l’instant d’éventuelles différences matérielles avec le modèle 2025, hormis un coloris directement inspiré de la 360. Quant au tarif, il faudra compter 199 €.
Microsoft s’attaque enfin aux lenteurs de l’Explorateur de fichiers dans Windows 11 avec une idée simple : le précharger en arrière-plan pour des ouvertures plus rapides.
Lancement plus vif et options de contrôle
Dans la build Insider Preview 26220.7271 (KB5070307) diffusée sur les canaux Dev et Beta, l’éditeur explique « explorer le préchargement de l’Explorateur en arrière-plan afin d’améliorer les performances au lancement ». Concrètement, l’application se prépare silencieusement pour s’ouvrir plus vite lorsque l’on en a besoin.
Bonne nouvelle pour les puristes : la fonction reste désactivable. Il suffit d’ouvrir l’Explorateur, d’aller dans Options des dossiers, onglet Affichage, puis de décocher Activer le préchargement des fenêtres pour des temps de lancement plus rapides. Microsoft sollicite par ailleurs des retours via le Feedback Hub, rubrique Fichiers, dossiers et stockage en ligne > Performances de l’Explorateur de fichiers.
Un menu contextuel plus clair
Parallèlement, l’Explorateur évolue sur l’ergonomie. Le menu contextuel est épuré pour limiter l’encombrement tout en conservant les actions secondaires. Les commandes fréquentes restent mises en avant et les outils proches sont regroupés de façon plus logique.
Un nouveau volet « Gérer le fichier » regroupe des actions comme Compresser en fichier ZIP, Copier en tant que chemin, Définir comme arrière-plan du bureau, Pivoter à droite et Pivoter à gauche. Les options liées au cloud, telles que Toujours conserver sur cet appareil et Libérer de l’espace, migrent vers des sous-menus propres à chaque fournisseur. L’option Envoyer vers mon téléphone y est désormais alignée. Enfin, Ouvrir l’emplacement du dossier se place à côté de Ouvrir et Ouvrir avec pour un accès plus intuitif.
Des échantillons d’ingénierie de la gamme Core Ultra 300 basés sur l’architecture Panther Lake circulent déjà en dehors du cadre habituel. Plus étonnant encore, certains de ces prototypes se retrouvent mis en vente sur des circuits parallèles, bien avant leur lancement officiel. Cette situation soulève des questions sur la provenance de ces unités, leur fiabilité et les risques potentiels pour les acheteurs, tout en offrant un aperçu précoce mais non représentatif de la prochaine génération de processeurs Intel.
Panther Lake s’invite sur le marché gris
D’après les leakers YuuKi_AnS et GOKForFree, plusieurs puces Panther Lake tournent en conditions réelles. Il ne s’agit pas de versions finales, mais d’échantillons d’ingénierie, avec des fréquences et des performances bridées. On retrouve ces offres sur des plateformes bien connues des chasseurs de prototypes, comme Goofish, où des matériels Intel non annoncés apparaissent régulièrement.
YuuKi_AnS présente une configuration Panther Lake-H orientée portables, a priori pensée pour des machines de jeu. Elle embarque 4 cœurs graphiques Xe3, alors que la plateforme pourrait monter jusqu’à 12. Le vendeur ne propose pas qu’un CPU isolé, mais un ensemble complet carte mère, mémoire et stockage, décrit comme une plateforme de validation de laboratoire Intel avec CPU et mémoire remplaçables.
Selon lui, son exemplaire appartient à la série Core Ultra 300, en révision A0, avec un agencement 2 P-Cores, 4 E-Cores et 4 LP-Cores. Le sous-système graphique compte 4 Xe3, sans nom marketing arrêté à ce stade, et la mémoire est de la LPDDR5X-7467, quatre modules de 4 Go.
Autre fuite, GOKForFree montre une variante plus modeste dotée de 2 P-Cores et 4 E-Cores, toujours avec 4 Xe3. Impossible d’affirmer si les LP-Cores sont désactivés sur cet exemplaire précis ou s’il s’agit d’un silicium particulier. Les fuites précédentes laissent entendre que toutes les puces Panther Lake pourraient intégrer des LP-Cores, mais il faut dire que ces échantillons restent atypiques.
Échantillon d’ingénierie Intel Panther Lake
Des performances provisoires et une légalité douteuse
Comme souvent avec des A0, les performances sont « bien en deçà de l’attendu », rappelle la source, et il serait vain de tirer des conclusions avant les versions commerciales.
Les limites de la plateforme de test et des fréquences non définitives faussent toute mesure. En revanche, un point ne fait pas débat : ces systèmes demeurent la propriété d’Intel et n’auraient pas dû quitter les labos. Mieux vaut s’abstenir d’acheter ces unités, même par curiosité.
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Le Black Friday 2025 s’annonce comme l’une des meilleures périodes pour acheter une carte graphique. Entre les baisses de prix sur les Radeon RX 9000 et les promotions solides sur les GeForce RTX 50, plusieurs modèles atteignent leurs plus bas historiques. Toutes les offres ci-dessous sont mises à jour avec les prix réels relevés et la popularité constatée sur le marché.
Cartes Graphiques – Black Friday 2025
Carte Graphique
Prix
Popularité
Action
Carte graphique Sapphire Nitro+ AMD Radeon RX 9060 XT
Le Black Friday 2025 propose des baisses marquantes, notamment sur les RX 9060 XT et RX 9070, tandis que les RTX 5000 profitent elles aussi de remises rarement observées depuis leur lancement. Ces offres arrivent dans un contexte particulier : la pénurie de DRAM en cette fin d’année exerce déjà une pression sur les coûts de production et pourrait entraîner une remontée des prix début 2026.
Les modèles listés ici combinent donc promotions immédiates et opportunité d’achat avant un marché potentiellement plus tendu. Pour les joueurs cherchant à renouveler leur configuration, c’est l’un des meilleurs moments pour passer à l’action.
World of Warcraft s’est construit au fil des années comme un univers immense où se mêlent quêtes, créatures, donjons et intrigues. Les développeurs ont souvent glissé, au détour d’un PNJ ou d’un haut fait, des clins d’œil à la culture populaire. Ces références couvrent le cinéma, les jeux vidéo, la musique ou encore la littérature, formant un ensemble d’easter eggs qui amusent les joueurs depuis près de vingt ans.
Références au cinéma
L’un des exemples les plus connus reste Harrison Jones, un archéologue inspiré sans détour du héros d’Indiana Jones. Son nom, son apparence et même les nombreuses situations dans lesquelles il place les joueurs reprennent directement les codes de la franchise. Introduit au départ comme une simple blague interne, le personnage a fini par revenir régulièrement, accompagné de quêtes pleines de détournements et d’allusions.
La saga Star Wars est elle aussi omniprésente dans l’univers du MMORPG. Le haut fait « It’s a trap! » reprend la réplique iconique du général Ackbar dans Le Retour du Jedi. Dans le film, la phrase annonce une embuscade impériale ; dans World of Warcraft, elle devient un objectif humoristique où le joueur doit volontairement se tenir sur une dalle piégée. On retrouve également le haut fait « La haine mène à la souffrance », qui détourne les avertissements de Yoda au sujet du côté obscur.
Ce dernier haut fait fait notamment partie d’un ensemble d’objectifs plus exigeants demandés pour le méta-haut fait Gloire au héros de Pandarie. Beaucoup de joueurs cherchent à optimiser leur progression dans ce contenu difficile, parfois en ayant recours à des services spécialisés pour franchir des étapes complexes. Parmi eux, des plateformes comme KingBoost proposent différents boosts en jeu pour faciliter l’accès aux hauts faits les plus techniques.
Références aux jeux vidéo
World of Warcraft regorge également de références à d’autres licences vidéoludiques, en particulier celles de Blizzard. Lors de certains anniversaires de Diablo, les développeurs ont par exemple ajouté un niveau secret inspiré du Cow Level de Diablo II, avec le Roi des vaches en adversaire principal.
On retrouve aussi des clins d’œil évidents à StarCraft, notamment avec l’ajout d’un familier zergling rendant hommage à l’unité emblématique des Zergs. Le célèbre terme « zerg rush », devenu un concept stratégique bien au-delà du jeu, est lui aussi évoqué à plusieurs reprises.
D’autres références sont plus dispersées mais facilement reconnaissables : un groupe de nains s’exclamant « Mortar Combat! » en clin d’œil à Mortal Kombat, une goule nommée Harold rappelant Fallout, ou encore Linken, aventurier de Féralas, dérivé direct de Link de The Legend of Zelda.
Références musicales
La musique occupe aussi une place à part, ponctuée de clins d’œil assumés au rock et au métal. Le haut fait « To All The Squirrels I’ve Loved Before » détourne avec humour le titre populaire « To All the Girls I’ve Loved Before ». Pour le réaliser, le joueur doit retrouver plusieurs petites créatures d’Azeroth et leur adresser une émote d’affection, transformant le thème romantique de la chanson en une quête légère et décalée.
Les développeurs sont également allés piocher du côté de groupes mythiques comme Queen, Iron Maiden, Pink Floyd ou Metallica. Quêtes et hauts faits reprennent parfois des titres célèbres tels que We Will Rock You, Ride the Lightning ou Aces High. Certaines allusions sont discrètes, d’autres très explicites, mais toutes contribuent à enrichir l’exploration du monde de Blizzard.
Conclusion
Les références culturelles disséminées dans World of Warcraft participent à la personnalité unique du jeu. Elles témoignent de l’influence des œuvres qui ont marqué les développeurs, tout en offrant aux joueurs des clins d’œil amusants, parfois nostalgiques, au détour d’une quête ou d’un dialogue. Ces hommages constituent une part essentielle du charme du MMORPG, renforçant le lien entre l’univers de Warcraft et la culture populaire qui l’a inspiré.