En Birmanie, l’Armée nationale de libération des Ta’ang a annoncé la signature d’un cessez-le-feu avec la junte militaire. Un coup dur pour la résistance démocratique, révélateur de l’implication de plus en plus évidente de la Chine dans le conflit birman.
Donald Trump a annoncé le 29 octobre avoir ordonné la reprise des essais nucléaires américains en réaction aux essais russes et à la montée en puissance de l’arsenal nucléaire chinois. Une décision encore floue qui inquiète la presse américaine, laquelle craint qu’elle n’exacerbe les tensions internationales.
Cette image fournie par l’armée de l’air américaine montre le lancement d’un missile balistique intercontinental Minuteman III non armé lors d’un essai, à la base aérienne de Vandenberg, en Californie, le 5 février 2020.
Nouvelles frappes israéliennes, insécurité, bagarres récurrentes dans les marchés… Depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, les Gazaouis vivent dans la crainte d’une reprise de la guerre ou de nouveaux incidents sécuritaires. Et des milliers de familles errent toujours “comme des nomades” à la recherche d’un toit, raconte “L’Orient-Le Jour”.
Les miliciens des Forces de soutien rapide se sont emparés de la dernière ville du Darfour qui échappait à leur contrôle. Un journaliste du “Guardian” a recueilli les témoignages d’habitants ayant réussi à prendre la fuite. Ils font tous état d’atrocités indicibles.
Moins de deux heures, c’est le temps qu’a duré la très attendue entrevue entre les dirigeants des deux superpuissances à Busan, en Corée du Sud. Un moment relativement court alors que Donald Trump avait déclaré, quelques jours avant, que la réunion devrait durer trois à quatre heures, observe le média hongkongais “HK01”.
La rencontre entre Donald Trump et Xi Jinping en Corée du Sud, le 30 octobre 2025, a duré moins de deux heures.
Donald Trump a autorisé l’armée à frapper une quinzaine de bateaux depuis le début du mois de septembre, au nom de sa guerre contre le narcotrafic. Une soixantaine de personnes ont été tuées. Des experts émettent des doutes sur la version du président américain et, à Trinité-et-Tobago, des familles demandent des comptes, raconte “The Washington Post”.
Réduction des droits de douane côté États-Unis, assouplissement sur les terres rares côté Chine : la discussion bilatérale en Corée du Sud a permis des concessions des deux parties dans la guerre commerciale. Elle ouvre aussi la porte à des visites réciproques l’an prochain.
Les présidents des États-Unis et de la Chine, Donald Trump et Xi Jinping, après leur rencontre en marge du sommet de l’Apec, à Busan, en Corée du Sud, le 30 octobre 2025.
Les trafics à l’ancienne, venus de l’est par la route, sont entravés depuis le début de la guerre en Ukraine. En conséquence, les contrebandiers redoublent d’imagination, avec l’emploi de sondes météo et d’engins volants bricolés pour faire passer leurs cargaisons, principalement de cigarettes. Ces incursions inquiètent, en Pologne comme en Lituanie, concernée aussi par le phénomène.
Mercredi 29 octobre, le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé qu’une nouvelle arme à capacité nucléaire qu’on “ne peut pas intercepter” a été testée par Moscou. La presse américaine y voit un message à l’intention de Donald Trump.
Le chinois, qui repose sur des idéogrammes, et l’anglais, alphabétique, sont deux langues fondamentalement différentes. Tellement différentes que les erreurs de traduction, plus ou moins inconscientes, sont légion. De quoi compliquer un peu plus les négociations commerciales en cours entre la Chine et les États-Unis.
La question taïwanaise sera-t-elle au menu de la rencontre, prévue jeudi 30 octobre, entre Xi Jinping et Donald Trump en Corée du Sud ? Depuis quelques jours, Pékin a multiplié les actions vis-à-vis de l’île, dépêchant un essaim d’avions militaires au-dessus des zones taïwanaises ou listant dans la presse officielle les avantages d’une éventuelle réunification pour la population insulaire.
Alors que le président américain doit rencontrer son homologue chinois, Xi Jinping, en Corée du Sud ce jeudi 30 octobre, les espoirs d’un accord commercial et stratégique entre leurs deux pays restent maigres. En cause : l’absence de canaux de communication fiables et à long terme, décrypte l’hebdomadaire britannique “The Economist”.
La prise de la ville soudanaise d’El-Fasher par les Forces de soutien rapide (FSR), dimanche 26 octobre, soulève de nouveau la question du rôle joué par le petit État du Golfe dans ce conflit depuis son éclatement, en avril 2023. Des rapports internationaux font état de livraisons d’armes continues depuis Abou Dhabi à destination du groupe paramilitaire.
Sur cette capture d’écran d’une vidéo publiée par les Forces de soutien rapide (FSR) sur leur compte Telegram, un blindé circule dans les rues d’El-Fasher, au Soudan, le 26 octobre 2025.
Vous êtes en terminale ou en première spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ? La Lettre de l’éduc est pour vous. Chaque semaine, Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, vous conseille la lecture d’un article d’actualité qui résonne avec votre programme. Cette semaine, l’analyse d’un spécialiste des questions de sécurité sur la multiplication des incidents impliquant la Russie dans l’espace aérien d’États européens membres de l’Alliance atlantique.
Donald Trump et Xi Jinping doivent se rencontrer ce jeudi 30 octobre en Corée du Sud, pour finaliser les termes d’un accord commercial. Au fil des discussions, la Chine a été une âpre négociatrice, forte du dynamisme de ses exportations qui, malgré tout, continuent de porter son économie, observe “The New York Times”.
Mardi 28 octobre, la nouvelle Première ministre japonaise, Sanae Takaichi, s’est entretenue avec le président américain à Tokyo. Une occasion pour elle de montrer au monde la solidité de l’alliance entre leurs deux pays, alors que le locataire de la Maison-Blanche va rencontrer le président chinois, Xi Jinping, jeudi 30 octobre.
Le président américain, Donald Trump, et la Première ministre japonaise, Sanae Takaichi, à bord du porte-avions américain “George Washington”, à Yokosuka (au sud de Tokyo), le 28 octobre 2025.
La conquête de la capitale du Darfour du Nord par les Forces de soutien rapide constitue un point de bascule dans la guerre qui oppose le groupe paramilitaire aux forces armées soudanaises depuis avril 2023. La ville est en effet le verrou qui donne accès à de larges pans stratégiques du Soudan.
Cette capture d’écran, tirée d’une vidéo publiée sur le compte Telegram des Forces de soutien rapide (FSR), le 26 octobre 2025, montre des combattants des FSR célébrant leur victoire dans les rues d’El-Fasher.
Le sommet entre le président Donald Trump et son homologue sud-coréen, Lee Jae-myung, mercredi 29 octobre à Séoul, s’annonce compliqué. Principal point d’achoppement : la délégation américaine veut utiliser les questions de sécurité pour imposer des concessions commerciales et économiques. En face, Séoul résiste.
Frappé de plein fouet par les sanctions américaines, le géant pétrolier russe vend ses actifs à l’étranger. La liquidation concerne plusieurs raffineries et plus de 2 400 stations-service dans une dizaine de pays.
Les mesures décidées par Washington contre les sociétés Lukoil et Rosneft embêtent particulièrement la Hongrie, qui importe 80 % à 90 % de son brut de Russie. Le pouvoir craint une explosion des prix et des pénuries sans cette source de plus en plus fragile.
Le Conseil de sécurité des Nations unies doit examiner, fin octobre, une nouvelle résolution sur le Sahara occidental dont le texte, préparé par les États-Unis, est favorable au Maroc. Mais pour qu’il soit adopté il a besoin de l’aval de la Russie, qui continue d’entretenir le flou sur sa position.
Partout dans le pays, la société civile yéménite se mobilise pour faire avancer des projets vitaux que les pouvoirs publics, affaiblis par le conflit qui fait rage depuis plus de dix ans, ne peuvent plus mener. Une dynamique portée par la solidarité locale et le financement participatif, raconte le quotidien panarabe “Al-Araby Al-Jadid”.