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Le RN courtise les patrons avec un programme économique libéral mais dépensier

La synthèse des propositions du parti d’extrême droite à destination des entreprises, pétri de dépenses nouvelles, dessine une politique « probusiness » et confirme la vision d’un « Etat au service de l’économie ».

© Cyril Bitton / Divergence pour « Le Monde »

La présidente du groupe Rassemblement national (RN) au Palais-Bourgon, Marine Le Pen, et le président du RN, Jordan Bardella, lors de la rentrée des parlementaires du parti, à Paris le 14 septembre 2024.

Accès aux allocations : la « solidarité à la source », une réforme aux ambitions rétrécies

Cinq caisses d’allocations familiales vont expérimenter, à partir d’octobre, des déclarations de ressources préremplies. Derrière la promesse de simplification, l’effet de la mesure, par exemple sur le taux de non-recours, reste à démontrer.

© PHILIPPE HUGUEN / AFP

Cette photo prise le 23 février 2018 montre le logo de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) à Lille.

Les emplois verts sont-ils les « sales boulots » de demain ?

Les salariés de l’économie verte, davantage exposés à des facteurs de pénibilité, cumulent de faibles salaires avec des conditions de travail qui s’aggravent.

© Ghislain & Marie David de Lossy/Cultura / Photononstop / Ghislain & Marie David de Lossy/Cultura / Photononstop

« Les déboires du nucléaire depuis les années 1990 reflètent en fait sa “normalisation” »

Invoquer « la perte d’ambition et de savoir-faire » du nucléaire français par rapport à un supposé âge d’or des années 1970, c’est oublier les causes réelles de la crise que traverse le secteur, rappelle Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique.

© Regis Duvignau / REUTERS

La centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne), le 19 juillet 2019.

Patronat et syndicats relancent les discussions, après des mois de tensions

Reçus à partir de lundi 16 septembre par les collaborateurs du premier ministre, Michel Barnier, les partenaires sociaux multiplient les petits gestes pour renouer le dialogue et prouver ainsi qu’ils sont des acteurs responsables.

© Bruno LEVY

Lors du débat entre la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, et le président du Medef, Patrick Martin, à la fête de « L’Humanité », à Brétigny-sur-Orge (Essonne), le 14 septembre 2024.

Débattre du vieillissement démographique

Alors qu’un tiers des Français aura plus de 65 ans en 2070, les dépenses publiques liées aux retraites et à la santé vont croître de façon exponentielle. Une évolution qui impose de discuter collectivement, avec réalisme et sens de l’équité, de nos choix de société.

© ARNAUD FINISTRE / AFP

Dans un café, à Lure (Haute-Saône), le 14 juin 2024.

Précarité : « L’héritage olympique doit aussi être l’occasion de réinventer les politiques sociales »

Loin du « nettoyage social », le travail de concertation et d’anticipation entre Etat, collectivités et associations pour mettre à l’abri et accompagner socialement les personnes précaires pendant les Jeux olympiques doit ouvrir sur des politiques ambitieuses, affirment les responsables associatifs Pierre Coppey et Florian Guyot dans une tribune au « Monde ».

© JULIE SEBADELHA / AFP

Bruno Le Maire devient professeur à Lausanne, mais dit à bientôt aux Français

Après sept ans à Bercy, le ministre de l’économie démissionnaire va enseigner en Suisse, dès qu’un nouveau gouvernement aura été nommé. Tout en gardant un œil sur la politique française.

© LUDOVIC MARIN / AFP

Bruno Le Maire lors de son discours d’adieu devant le ministère français de l’économie et des finances, à Paris, le 12 septembre 2024.

Pourquoi les Françaises font moins d’enfants : angoisse climatique, logement, pouvoir d’achat...

« Un monde de vieux ». L’indicateur de fécondité, qui mesure le nombre d’enfants par femme, est passé, en France, de 2,03 en 2010 à 1,68 en 2023, sous le seuil des 2,1 nécessaires pour assurer le renouvellement des générations. Les politiques familiales ne changent pas la donne.

© LOIC VENANCE / AFP

A la maternité du CHU de Nantes, le 7 juillet 2018.

Bruno Le Maire quitte Bercy sur un bilan assombri par une dette record

Le ministre démissionnaire a fait ses adieux à Bercy, jeudi 12 septembre. Il aurait aimé partir sur un bilan étincelant. Mais, s’il a soutenu l’économie pendant la crise due au Covid-19, il n’a pas empêché la dette d’atteindre un niveau record.

© LUDOVIC MARIN / AFP

Bruno Le Maire, lors de sa cérémonie d’adieu au ministère de l’économie et des finances, à Paris, le 12 septembre 2024.
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