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SIGNÉ BFM - "Un tournant pour Donald Trump": le président américain sanctionne deux compagnies pétrolières russes afin de faire pression sur Vladimir Poutine pour arrêter la guerre en Ukraine

Pour la première fois depuis son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump durcit le ton face à Moscou. Le président américain a annoncé des sanctions contre les deux plus grandes compagnies pétrolières russes, Rosneft et Lukoil, accusées de financer la guerre menée par Vladimir Poutine en Ukraine.

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Rencontre entre Marco Rubio et Benjamin Netanyahu en Israël

En déplacement à Jérusalem, le Secrétaire d'État des États-Unis a rencontré le Premier ministre israélien, jeudi 23 octobre, juste après la visite de , J.D.Vance, le vice-président des États-Unis.

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Lula élu président du Brésil

"Le Brésil est de retour!", a lancé le président du Brésil Lula après son élection, le 30 octobre 2022. 12 ans après avoir quitté le pouvoir avec une popularité record à l'issue de ses deux premiers mandats (2003-2010), le candidat - icône insubmersible de la gauche latino-américaine l'a emporté d'une courte tête avec 50,9% des voix, contre 49,1% pour le président sortant d'extrême droite Jair Bolsonaro, à l'issue d'une campagne ultra-polarisée. L'écart, de moins d'un point de pourcentage, est le plus serré entre deux finalistes de la présidentielle depuis le retour à la démocratie après la dictature militaire (1964-1985). "À partir du 1er janvier (2023, date de début du mandat, NDLR), je vais gouverner pour les 215 millions de Brésiliens et Brésiliennes, pas seulement ceux qui ont voté pour moi", a promis Luiz Inacio Lula da Silva, 77 ans, lors de son discours de la victoire dans un hôtel à Sao Paulo. "Personne ne veut vivre dans un pays divisé, en état de guerre perpétuelle. Ce pays a besoin de paix et d'union. (...) Il n'y a pas deux Brésil, nous sommes un seul peuple, une seule nation", a insisté l'icône de la gauche, en référence à la présidence clivante de Bolsonaro. Le come-back de Luiz Inacio Lula da Silva, qui voit sa 6e campagne présidentielle le mener de nouveau à la fonction suprême, est une première dans l'Histoire récente du Brésil. Mais Lula, ancien metallo qui a connu un destin hors norme, revient de loin. Condamné pour corruption dans le plus grand scandale de l'Histoire du Brésil, "Lavage express", il avait été incarcéré 580 jours, d'avril 2018 à novembre 2019. Le chef de file du Parti des Travailleurs (PT) s'est toujours dit victime d'un complot politique qui a permis à Bolsonaro d'être élu à la présidence en 2018 alors qu'il en était le grand favori. En mars 2021, il pouvait de nouveau rêver à une revanche éclatante. La Cour suprême annulait ou prescrivait ses condamnations, lui permettant de recouvrer ses droits politiques, sans l'innocenter pour autant. Pour le Comité des droits de l'Homme de l'ONU, l'enquête et les poursuites engagées contre Lula avaient violé son droit à être jugé par un tribunal impartial. Rien ne prédisposait Lula à un tel destin, ce cadet d'une fratrie de huit enfants, né le 27 octobre 1945 dans une famille d'agriculteurs pauvres du Pernambouc (nord-est). Enfant, Lula était cireur de chaussures. Il a sept ans lorsque sa famille déménage à Sao Paulo pour échapper à la misère. Vendeur ambulant puis ouvrier métallurgiste à 14 ans, il perd l'auriculaire gauche dans un accident du travail. À 21 ans, il entre au syndicat des métallurgistes et conduit les grandes grèves de la fin des années 1970, en pleine dictature militaire (1964-1985). Cofondateur du PT au début des années 1980, il se présente pour la première fois à l'élection présidentielle en 1989 et échoue de peu. Après deux nouveaux échecs, en 1994 et en 1998, la quatrième tentative sera la bonne, en octobre 2002. Il est réélu en 2006. Premier chef de l'État brésilien issu de la classe ouvrière, il a mis en oeuvre d'ambitieux programmes sociaux, grâce aux années de croissance portées par le boom des matières premières. Sous ses deux mandats, près de 30 millions de Brésiliens sont sortis de la misère. Lula a aussi incarné un pays qui s'ouvrait sur le monde, et a conféré au Brésil une stature internationale avec, notamment, le Mondial de football (2014) et les jeux Olympiques (2016) à Rio de Janeiro.

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Missiles Tomahawk: "Si de telles armes sont utilisées pour frapper la Russie, la réponse sera écrasante, qu'ils y réfléchissent", affirme Vladimir Poutine

Donald Trump a réaffirmé qu'il n'enverra pas de missiles Tomahawk, capables de frapper sur une longue portée, à l'Ukraine, malgré les demandes pressantes du président ukrainien Volodymyr Zelensky. "Nous sommes les seuls à pouvoir les utiliser", a dit le président américain au cours de sa rencontre à la Maison Blanche avec Mark Rutte, le secrétaire général de l'OTAN, ce mercredi.

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Menace russe: "Si nous ne voulons pas que Vladimir Poutine soit tenté de nous tester, envoyons-lui un message très clair", affirme Bernard Guetta (Renew)

L'armée française doit être "prête à un choc dans trois, quatre ans" face à la Russie, qui "peut être tentée de poursuivre la guerre sur notre continent", a affirmé mercredi 22 octobre le chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, pour justifier "l'effort de réarmemement" du pays.

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Attaques du 7 octobre 2023 du Hamas contre Israël

Les Brigades Al-Qassam, la branche militaire du Hamas, ont annoncé ce samedi 7 octobre 2023, avoir déclenché l'opération "déluge d'Al-Aqsa" contre Israël et avoir tiré plus de "5.000 roquettes" pour "mettre fin à tous les crimes de l'occupation". L'armée israélienne a déclenché l'opération "Sabres de fer" et mené des frappes aériennes sur l'enclave palestinienne, disant avoir détruit plusieurs bâtiments présentés comme des "centres de commandement" du Hamas. Les combats se sont poursuivis au sol entre forces israéliennes et combattants palestiniens infiltrés. La date de l'attaque est doublement symbolique. D'abord car les personnes de confessions juives sont en plein Shabbat et en pleine fête juive de Simha Torah. Ensuite, car elle survient au lendemain de la commémoration de la guerre du Kippour qui avait frappé le pays à partir du 6 octobre 1973. Une guerre lancée, là aussi, par une attaque surprise, le jour de la fête de Yom Kippour. En France, la communauté juive s'inquiète de potentielles répercussions dans l'Hexagone. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin assure que la sécurité des "lieux communautaires juifs" sera renforcée.

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États-Unis: une enseignante mimant l'assassinat de Charlie Kirk lors d'une manifestation contre Donald Trump suscite la polémique

Une enseignante se moquant de l'assassinat de l'influenceur ultra-conservateur lors d'une manifestation anti-trump à Chicago samedi 18 septembre a suscité de vives réactions aux États-Unis. La femme a été identifiée, une enseignante dans une école publique de Chicago. Les militants de Donald Trump ont réclamé son renvoi.

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Incendies à Los Angeles

Los Angeles, la deuxième ville la plus peuplée des États-Unis, a été touchée par d'importants feux qui se sont déclenchés à partir du mardi 7 janvier 2025. Ces derniers ont fait au moins 24 morts, selon un bilan transmis par les autorités sanitaires le dimanche 12 janvier. Plus de 12.000 structures - habitations ou bâtiments divers - ont été détruites ou endommagées par les feux et plus de 16.000 hectares ont été brûlés. Les secteurs de Pacific Palisades et Altadena au nord de la ville sont les plus ravagés. Les vents chauds et secs attisent les flammes et compliquent le travail des pompiers, alors qu'un couvre-feu a été imposé dans ces secteurs face aux pillages.

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