L’assassinat du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah par Israël vendredi soir a provoqué la colère de plusieurs pays arabes. L’Iran a promis la « destruction » de l’Etat hébreux.
Au total, 84 personnes étaient présentes sur le bateau, 27 ont pu être sauvées par les secours espagnols. Des milliers de migrants ont perdu la vie ces dernières années en tentant la périlleuse route de l’Atlantique, dite « route de la mort », pour gagner l’Europe depuis l’Afrique.
Le chef du Hezbollah a été tué dans une frappe israélienne vendredi. Sa mort, confirmée par le mouvement islamiste financé par l’Iran, risque d’enflammer un peu plus encore la région.
L’armée israélienne avait annoncé un peu plus tôt ce samedi avoir « éliminé » Hassan Nasrallah dans une frappe sur la banlieue sud de Beyrouth vendredi.
Plusieurs rassemblements sont déjà programmés en France à l’approche de l’anniversaire du massacre du 7 octobre en Israël et du début de la guerre à Gaza.
Dans la nuit de vendredi à samedi, l’armée israélienne a poursuivi ses bombardements intensifs dans la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah. L’une des frappes a tué le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
L’essayiste Naomi Klein, qui publie « le Double », analyse les effets politiques de la pandémie et invite les progressistes à ne pas abandonner la critique sociale aux complotistes.
Et à nouveau, Beyrouth bombardée, sur les écrans de télévision… Alors qu’Israël franchit un autre cap dans la guerre, l’écrivain franco-libanais Sabyl Ghoussoub raconte son pays, otage de la violence.
Eric Adams est poursuivi pour s’être fait « arroser de cadeaux » pendant des années, en particulier de la part de la Turquie, sans jamais les déclarer comme il en avait l’obligation, a affirmé le procureur fédéral de Manhattan.
Le président ukrainien a rencontré le candidat à la Maison-Blanche après Joe Biden et Kamala Harris jeudi. Donald Trump a qualifié le conflit de « puzzle complexe » et loué sa « très bonne relation » avec Volodymyr Zelensky, mais aussi avec le président russe Vladimir Poutine.
Considéré comme un véritable « Etat dans l’Etat », le mouvement libanais, force politique et militaire, est devenu la nouvelle cible de l’armée israélienne, attisant la crainte d’un embrasement au Proche-Orient.
Après avoir touché terre jeudi soir en Floride en tant qu’ouragan de catégorie 4 sur l’échelle de Saffir-Simpson qui en compte cinq, l’ouragan s’est affaibli en atteignant la Géorgie voisine.
L’Etat hébreu a promis de combattre le mouvement chiite « jusqu’à la victoire », rejetant un appel de ses alliés à une trêve et poursuivant ses frappes massives sur l’est et le sud du Liban. Le président français Emmanuel Macron a déclaré que ce serait une « faute » du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou de « refuser » le cessez-le-feu.
Alger a accusé son voisin de déployer des « agents de renseignements sionistes » sur son territoire après l’arrestation le 1ᵉʳ septembre de quatre Marocains soupçonnés de faire partie d’un réseau d’espionnage.
L’armée israélienne est accusée de traiter les corps exhumés de manière « inhumaine » et de les restituer sans documents nécessaires à leur identification. Un porte-parole de la Croix-Rouge a fait état de transfert de corps pas « conforme aux protocoles ».
L’ancien propriétaire du magasin Harrods à Londres, l’homme d’affaires égyptien Mohamed Al-Fayed, est notamment accusé par des dizaines de femmes de viols et d’agressions sexuelles. Il est décédé en août 2023.
Les électeurs seniors ou juifs qui ne votent pas pour lui devraient se faire « examiner la tête », estime le candidat républicain. Quant aux chrétiens, ils n’auront « plus à voter » s’il est élu, puisque « tout ira bien ».
Les familles reprochent à la gauche au pouvoir de ne pas avoir localisé les corps des 43 étudiants, disparus en 2014 à Iguala (sud-ouest), à deux heures de route de leur école normale d’Ayotzinapa. Ce drame est le symbole des plus de 100 000 cas de disparitions forcées au Mexique.
L’armée semble avoir lancé sa première offensive majeure depuis des mois pour reprendre des parties de la capitale contrôlées par ses rivaux des Forces de soutien rapide dans cette guerre fratricide qui ravage le pays depuis avril 2023.
Accusé d’avoir assassiné en 1966 son patron et trois membres de la famille de ce dernier, Iwao Hakamada avait été condamné à la peine capitale. Selon ses proches, il souffre d’importantes séquelles psychologiques après avoir passé près de cinq décennies à attendre son exécution.
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