Ces pourparlers entre hauts responsables américains et russes visent à relancer les relations entre les deux pays, au plus bas depuis l’invasion russe de l’Ukraine.

Les forces israéliennes se sont retirées de tous les villages du sud du Liban, à l’exception de cinq positions stratégiques. L’armée « continuera d’agir de façon coercitive et sans compromis contre toute violation de la trêve par le Hezbollah ».

L’appel avec Volodymyr Zelensky a eu lieu après une réunion d’urgence à Paris avec les dirigeants européens pour discuter de la réponse au changement radical de politique des Etats-Unis sur l’Ukraine après l’élection de Donald Trump.

Les signataires de cette tribune pour « le Nouvel Obs », appellent les Etats membres et les institutions de l’UE à être la voix de la dignité humaine à l’échelle mondiale et à se mobiliser pour défendre et soutenir la Cour pénale internationale (CPI).

L’eurodéputé Raphaël Glucksmann a alerté sur un possible conflit avec la Russie sur le sol européen d’ici à 2029. Un avertissement à prendre au sérieux, selon la chercheuse Gesine Weber, à l’heure où l’UE est lâchée par son allié américain.

Candidate pour l’AfD aux élections fédérales allemandes du 23 février, Alice Weidel compte bien confirmer la dynamique de la deuxième force politique d’Allemagne. Entre normalisation du parti et relativisation du nazisme, la docteure en économie, lesbienne et résidente suisse n’est pas à une contradiction près.

Désarçonnés par le dialogue américano-russe sur l’Ukraine, les dirigeants de pays-clés européens se sont réunis en urgence lundi à Paris, ont exhorté les Etats-Unis à rester impliqués dans la sécurité en Europe.

Alors que les premiers décrets présidentiels paralysent la recherche américaine, certains établissements craignent pour leur avenir. Entre sidération et panique, les campus américains sont pétrifiés.

L’armée israélienne va bien maintenir sa présence dans cinq « points stratégiques » le long de la frontière libanaise au-delà du mardi 18 février, délai fixé pour leur retrait. Une option initialement rejetée par le pouvoir libanais.

L’idée de l’envoi de troupes occidentales en Ukraine a été relancée ce lundi par le Royaume-Uni, quelques heures avant la réunion des dirigeants européens sur la sécurité et l’Ukraine. Des dirigeants qui cherchent à faire front commun face à Donald Trump et Vladimir Poutine.

Un an après la mort du leader de l’opposition russe dans une colonie pénitentiaire de l’Arctique dans des circonstances troubles, son avocate principale, Olga Mikhaïlova, se bat, en exil, pour la libération de ses confrères jetés à leur tour dans les geôles du régime de Vladimir Poutine. Condamnée par contumace, elle vit elle aussi sous la menace.

Les dirigeants européens sont réunis ce lundi après-midi à Paris pour évoquer la sécurité de l’UE et la guerre en Ukraine, alors que Donald Trump se rapproche de Vladimir Poutine. Volodymyr Zelensky a exhorté les Européens à éviter un accord forgé par les Américains « dans le dos » de Kiev et de l’Europe.

Elles ont entre 50 ans et 90 ans – voire plus – et défilent dans les rues pour mettre en garde les nouvelles générations. Ce sont les « mamies contre l’extrême droite », ces militantes allemandes qui se mobilisent face à la montée de l’AfD juste avant les élections législatives du 23 février prochain.

La rencontre « sera principalement consacrée au rétablissement de l’ensemble des relations russo-américaines », a déclaré le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, au cours d’un briefing quotidien devant la presse auquel participait l’AFP.

Un mois après le retour du républicain à la Maison-Blanche, la seconde administration Trump se révèle bien plus idéologique, impériale et agressive que la première, réveillant à l’intérieur le souvenir de la « chasse aux sorcières » des années 1950 et ébranlant à l’extérieur la relation avec les alliés européens.

Ce week-end à Munich, le vice-président américain J. D. Vance a appelé, dans un discours très hostile à l’Europe, à ne plus « ostraciser » l’extrême droite à quelques jours des législatives en Allemagne.

Cette nouvelle frappe, en réponse aux multiples attaques russes sur le sol ukrainien, intervient alors que les dirigeants européens sont réunis pour discuter des retournements diplomatiques sur le conflit.

Immédiatement après l’annonce de Séoul sur l’intelligence artificielle chinoise qui inquiète de nombreux pays dans le monde, Pékin a appelé à ne pas « politiser » les questions technologiques.

Le cabinet du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou se réunit ce lundi pour discuter de la deuxième phase de l’accord de trêve dans l’enclave palestinienne. En parallèle, l’Etat hébreu a envoyé une délégation de négociateurs au Caire.

Dans la préface de « Regarder les femmes regarder la guerre », le livre coup de poing de Victoria Amelina, écrivaine ukrainienne tuée par un missile russe, la romancière canadienne explique pourquoi il faut la lire. Voici ce texte en exclusivité.

Alors que le président américain entend négocier directement avec Vladimir Poutine pour mettre fin à l’invasion russe, plusieurs dirigeants du Vieux Continent se réunissent pour tenter de rappeler qu’il n’y aura pas de décision sans Kiev ni sans eux.

Vous n’avez pas suivi l’actualité de ce week-end des 15 et 16 février ? « Le Nouvel Obs » vous a concocté un rattrapage.

Dans ce documentaire, Tetiana Pryimachuk et Philippe Lagnier partent à la rencontre d’une génération brisée par trois années de guerre. Ce soir à 21h05 sur France 5.

« Ceux qui veulent restaurer la paix et se préparent à des négociations ne font pas ça », a accusé Volodymyr Zelensky, appelant ses alliés à avoir une « réaction forte » et à « travailler ensemble » pour « forcer la Russie à la paix ».

Depuis Jérusalem, le chef de la diplomatie américaine a jugé que le Hamas devait être « éliminé » et que l’Iran était la plus grande « source d’instabilité » dans la région. Le Premier ministre israélien a, lui, salué la « vision audacieuse » de Trump qui a proposé de prendre le contrôle de la bande de Gaza.

L’armée israélienne avait auparavant indiqué avoir mené une frappe aérienne qui a touché « plusieurs individus armés » dans le sud de la bande de Gaza. Selon elle, ces individus se dirigeaient « vers les troupes » israéliennes.

En présence du Premier ministre canadien, le début du match a été marqué par de violentes tensions. Le public canadien farouchement partisan a hué l’hymne américain pour protester contre les menaces de Donald Trump, notamment sur l’augmentation des droits de douane.

Ennemi politique numéro un de Vladimir Poutine, Alexeï Navalny est mort le 16 février 2024 dans des circonstances troubles dans une prison de l’Arctique. Malgré le risque de représailles judiciaires, des centaines de personnes ont déposé des fleurs sur sa tombe.

Volodymyr Zelensky a exhorté ses alliés européens à se renforcer pour éviter un accord forgé par les Américains « dans le dos » de l’Ukraine et de l’Europe pour mettre fin à l’agression russe dans son pays.

Le président argentin a fait la promotion sur X de la cryptomonnaie $LIBRA, qui n’a duré que quelques heures avant de s’effondrer. Un « crypto-scandale » qui a suscité des accusations « d’escroc », des appels à une commission d’enquête, voire un procès.

Un homme a attaqué au hasard des passants avec un couteau dans la petite ville de Villach, tuant un garçon de 14 ans. La police a arrêté un demandeur d’asile syrien de 23 ans, inconnu de ses services et dont les papiers étaient en règle.

Devant le théâtre occupé depuis plus de deux mois, plusieurs centaines de personnes ont demandé la mise à l’abri des mineurs isolés dans des logements pérennes. Jeudi, une décision de justice a ordonné leur évacuation dans un délai d’un mois.

Sur fond de trêve fragile entre Israël et le Hezbollah, l’agence de presse officielle libanaise a indiqué que la frappe israélienne sur une voiture a fait deux morts et quatre blessées tandis que « des drones et des avions de surveillance continuent de survoler la région à basse altitude ».

Il y a un an, le 16 février 2024, alors qu’Alexeï Navalny mourrait dans la prison de haute sécurité où l’avait jeté Vladimir Poutine, le monde découvrait sa correspondance, dernier espace de liberté dont l’opposant au chef du Kremlin parvenait encore à jouir. Une fenêtre sur l’extérieur que les prisonniers politiques russes, toujours plus nombreux, craignent de voir se refermer.

Au moment où les initiatives diplomatiques du président américain Donald Trump sur l’Ukraine inquiète, les dirigeants européens doivent se retrouver pour une réunion lundi.

Dans le cadre de la trêve entre Israël et le Hamas, plus de 300 prisonniers palestiniens ont été libérés par Israël ce samedi, et trois otages israéliens ont pu quitter Gaza où ils ont passé 498 jours en captivité.

« Les mesures prises pour restreindre la couverture par AP des événements présidentiels en raison de la façon dont nous évoquons un lieu géographique portent atteinte » à « la liberté d’expression », s’est émue une porte-parole de l’agence de presse, véritable institution du journalisme.

Lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, le vice-président américain JD Vance s’en est pris à plusieurs pays européens. La France et l’Allemagne ont vivement réagi.

Trois otages israéliens, enlevés le 7 octobre 2023 au kibboutz Nir Oz, ont été libérés par le Hamas dans le cadre d’une fragile trêve. 369 détenus palestiniens doivent aussi être relâchés ce samedi par Israël.

Le convoi transportait des Casques bleus vers l’aéroport de Beyrouth lorsqu’il a été attaqué. 25 personnes ont été arrêtées.