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Prise de contrôle de la bande de Gaza : pourquoi Trump pousse une nouvelle idée outrancière

Le président américain a proposé que les Etats-Unis organisent la reconstruction de l’enclave palestinienne après en avoir déplacé les habitants. Une idée, saluée par les Israéliens, rejetée par les Palestiniens, qui soulève de nombreuses questions sur les intentions du locataire de la Maison-Blanche tant la proposition paraît choquante et irréalisable.

Trump annonce vouloir prendre « possession » de la bande de Gaza dévastée, provoquant une vague d’indignation

Dans une conférence de presse, aux côtés du Premier ministre israélien, le président américain a déclaré mardi qu’il souhaitait vider l’enclave palestinienne, dévastée par quinze mois de guerre, de ses habitants et en prendre le contrôle pour en faire « la Côte d’Azur du Moyen-Orient ». Le Hamas dénonce un plan « raciste » visant à « éradiquer la cause palestinienne ».

Avec Donald Trump, l’adieu au « soft power »

Le tourbillon de menaces, de déclarations brutales et de décisions unilatérales qui marque son retour à la Maison-Blanche confirme que le 47ᵉ président des Etats-Unis n’est pas un adepte du concept d’« influence douce ». Mais miser sur la seule coercition, tant militaire qu’économique, pour s’imposer au monde, n’est-ce pas se tirer une balle dans le pied ?

« Elle a trouvé son mari sous les décombres, ses mains croisées comme s’il tenait leur bébé… mais le bébé avait disparu »

Elles vivaient à une dizaine de kilomètres l’une de l’autre avant la guerre, séparées par un mur : Tala, une Palestinienne de Gaza City, et Michelle, une Israélienne de Sdérot. Les deux étudiantes en droit ont accepté de converser. Dans cette lettre, Tala raconte le cessez-le-feu, et le retour de son frère et de son père à la maison familiale au nord de la bande de Gaza.

Les incendies de Los Angeles totalement maîtrisés après trois semaines

Les incendies de Palisades et d’Eaton, dans le comté de Los Angeles, en Californie du Sud, ont été les plus destructeurs de l’histoire de la deuxième ville des Etats-Unis. Ils ont brûlé une superficie de plus de 150 kilomètres carrés et plus de 10 000 habitations, causant des dégâts dont le coût est estimé à des centaines de milliards de dollars.
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