L’administration républicaine a hérité de l’équipe Biden une situation économique favorable. Or, depuis deux mois, chaque décision prise par la Maison-Blanche vient assombrir la conjoncture. A commencer par la guerre commerciale, qui va connaître un nouveau développement ce mercredi 2 avril avec l’annonce attendue de droits de douane réciproques.
La colère ne faiblit pas l’université du Bosphore d’Istanbul, où 23 étudiants ont été arrêtés lors des manifestations monstres qui secouent le pays. « Le Nouvel Obs » a pu entrer dans l’établissement, bastion de l’opposition, hautement surveillé par le pouvoir.
Le ministre israélien de la Défense a annoncé ce mercredi que le but de cette extension était de s’emparer de « larges » pour créer des zones de sécurité. Il a également appelé les habitants de Gaza à « chasser le Hamas ».
Luigi Mangione est accusé d’avoir assassiné en décembre dernier Brian Thompson, directeur général d’UnitedHealthcare – premier assureur santé privé des Etats-Unis –, en lui tirant dans la tête en pleine rue à New York.
Le pouvoir est confronté à des manifestations d’une ampleur inédite depuis plus d’une décennie. En faisant emprisonner le maire d’Istanbul, son principal opposant, Recep Tayyip Erdogan a poussé dans la rue des jeunes révoltés par sa dérive autocratique et déprimés par la dureté de la crise économique.
Plusieurs entreprises en Europe ont reçu un courrier des ambassades américaines leur demandant de dévoiler leur politique interne en matière de discrimination positive et les prévenant que, le cas échéant, cela pourrait les empêcher de travailler avec l’Etat américain. Une lettre qui fait hurler les chancelleries européennes.
L’UE, une entité créée « pour entuber les Etats-Unis » et dont les membres sont des « profiteurs » : les tensions transatlantiques ne sont pas nouvelles, mais on n’a jamais connu à la Maison-Blanche et dans les ministères américains une telle animosité à l’encontre du Vieux Continent.
Ces exercices militaires interviennent deux jours après que le secrétaire américain à la Défense, Pete Hegseth, en déplacement à Tokyo, a déclaré que « les Etats-Unis étaient déterminés à maintenir une dissuasion crédible » dans le détroit de Taïwan.
Après quatre mois de trêve avec le mouvement chiite, l’armée israélienne bombarde, pour la deuxième fois en moins d’une semaine, la banlieue sud de la capitale du pays du Cèdre. Le Premier ministre libanais a dénoncé une « violation flagrante » du cessez-le-feu.
Le chef de l’Etat français a notamment « appelé à un geste de clémence et d’humanité » envers l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, selon le communiqué publié ce lundi.
« Ne nous laissons pas intimider, ne nous arrêtons pas : en avant toute, mon amie ! », a notamment déclaré l’Italien Matteo Salvini après la condamnation de la dirigeante d’extrême droite française.
« Nous adressons nos condoléances à leurs familles et à leurs proches », a déclaré ce lundi le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, trois jours après le tremblement de terre d’une violence inédite en Birmanie.
Une délégation parlementaire française menée par Bruno Fuchs a effectué fin mars une visite diplomatique afin de rencontrer des élus américains à Washington. Après trois jours passés dans le centre névralgique de la vie politique étasunienne, le député partage son analyse sur une classe politique inquiète et attentiste.
Eli Sharvit a été choisi par le Premier ministre israélien comme nouveau chef de la sécurité intérieur malgré le gel de la Cour suprême de la demande du gouvernement de destituer le directeur en exercice.
Les autorités ont fait état d’environ 1 700 morts, 3 400 blessés et 300 disparus dans un dernier bilan après le tremblement de terre d’amplitude 7,7 qui a frappé vendredi le centre de la Birmanie.
Un recours contre l’évacuation des jeunes migrants installés sous des tentes sur les quais de Paris a été rejeté par le tribunal administratif. « Nous sommes confirmés et l’évacuation peut avoir lieu », a réagi la préfecture de police.
Le 23 mars, à Rafah, des soldats israéliens ont tiré sur des ambulances, considérées par l’armée de « véhicules suspects ». Le Croissant-Rouge palestinien fait état de huit membres de son équipe morts, ainsi que six de la Défense civile et un de l’ONU.
L’ambassade des Etats-Unis a demandé à plusieurs entreprises françaises si elles avaient des programmes internes de lutte contre les discriminations, interdits par Donald Trump. Le gouvernement français a dénoncé des « ingérences inacceptables ».
Le président américain s’est dit « très énervé » contre son homologue russe sur le dossier ukrainien, estimant que c’est « la faute de la Russie » si aucun accord de paix n’est trouvé. Les deux hommes devraient se parler dans les prochains jours.
En visite au Japon, le ministre américain de la Défense s’est attaché à rassurer ses alliés asiatiques sur le soutien des Etats-Unis face à l’intensification de manœuvres chinoises « agressives et coercitives », près de l’île dont elle revendique la souveraineté.
Dans un contexte d’offensive de Donald Trump à l’encontre de plusieurs médias, l’Association des correspondants de la Maison Blanche a annulé la prestation de Amber Ruffin, humoriste très critique du président américain.
Les pourparlers ont repris à Doha jeudi après que Benjamin Netanyahu a menacé de s’emparer de certaines parties de Gaza, tandis que le mouvement islamiste a averti que les otages israéliens reviendraient « dans des cercueils » si Israël n’arrêtait pas ses bombardements.
L’ampleur de la catastrophe reste toujours difficile à évaluer avec précision, dans ce pays isolé et fracturé, où les généraux combattent des dizaines de groupes armés dans plusieurs régions.
A son arrivée à la Maison-Blanche en janvier dernier, le président américain Donald Trump a décidé de retirer son pays de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) car il considérait se faire « arnaquer » sur le montant des contributions.
Des centaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues d’Istanbul ce samedi à l’appel du CHP, le parti d’opposition du maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, arrêté et emprisonné le 19 mars dernier.
Un vaste mouvement de contestation contre la corruption secoue la Serbie depuis un accident mortel dans la gare de Novi Sad le 1ᵉʳ novembre. Samedi, des étudiants se sont rassemblés contre certains médias proches du pouvoir qui les décrivent comme des « agents de l’étranger », payés par l’opposition et architectes d’un futur « coup d’Etat ».
Plus de 1 600 personnes sont mortes et 3 400 ont été blessées lors d’un séisme en Birmanie vendredi. Ce samedi, les secours s’activent pour retrouver des survivants et la junte militaire au pouvoir a lancé un appel à l’aide international.
Peu de temps après son arrivée à la Maison Blanche, le président américain Donald Trump a coupé la plupart des financements de l’aide étrangère américaine entraînant des conséquences dramatiques dans le monde entier.
Vendredi, plus de 700 membres de l’Académie des Oscars, dont Joaquin Phoenix, Penelope Cruz et Richard Gere, ont signé une lettre dénonçant le manque de soutien envers le coréalisateur du documentaire « No Other Land ».
Les secousses de ce séisme, survenu vendredi, ont été suffisamment puissantes pour être ressenties à Bangkok en Thaïlande où une dizaine de personnes sont mortes également.
Des centaines de membres de l’Académie, parmi lesquels Joaquin Phoenix, Penelope Cruz et Richard Gere, ont dénoncé le manque de soutien de l’institution à Hamdan Ballal, récemment arrêté par l’armée israélienne.
En visite sur la seule base militaire américaine du Groenland, territoire convoité par Donald Trump, le vice-président des Etats-Unis a dit vouloir « conclure un accord » pour en obtenir la souveraineté. Un nouveau gouvernement groenlandais de coalition a été constitué pour « faire face à la forte pression extérieure ».
Entre deux pourparlers, les habitants de Kiev continuent à subir nuit après nuit le harcèlement des bombes et des drones. Fatigués de la guerre mais résignés à vivre dans l’ombre de la menace russe, tous craignent désormais les conséquences d’une « mauvaise paix ».
Rumeysa Ozturk, une doctorante turque propalestinienne, a été arrêtée en début de semaine près de Boston et placée en détention, soulevant une vague de protestations de l’autre côté de l’Atlantique où l’activisme propalestinien sur les campus est vivement réprimé par l’administration Trump.