La Société des journalistes de l’Agence France-Presse, un des rares médias qui dispose de collaborateurs dans l’enclave palestinienne, a alerté le 21 juillet sur les conditions de vie et d’exercice dramatiques de ses reporters sur place. Une journaliste gazaouie, évacuée en France, témoigne à son tour auprès du « Nouvel Obs » des conditions extrêmes dans lesquelles elle a dû exercer son métier durant un an et demi.