À Budapest, le Sziget, l’un des plus grands festivals de musique d’Europe, bat son plein. Situé dans un parc de 78 hectares, sur une île du Danube, entre Buda et Pest, l’événement qui fête sa 30ᵉ édition attire des centaines de milliers de visiteurs. Évidemment, les grosses pointures de la pop et du rock dominent l’affiche – de Kylie à Martin Garrix, en passant par Sam Smith - mais dans le Sziget, il y a le « Village global », sorte de festival à l’intérieur du festival, une scène dédiée aux musiques ethniques et traditionnelles et qui fait la part belle, cette année, au continent africain.

Depuis maintenant six jours des soldats ukrainiens mènent une offensive en territoire russe, dans l’Oblast de Koursk. Une opération militaire qui a, semble-t-il, pris de court l’armée russe, même si depuis les autorités ont annoncé l’envoi de matériel et instauré samedi un régime « antiterroriste » dans trois régions frontalières de l'Ukraine. Au total : 76.000 personnes ont été évacuées de la région vers des lieux sûrs selon le Kremlin. Si l’avancée des soldats ukrainiens fait grincer des dents à Moscou, les autorités se disent aussi inquiètent car une centrale nucléaire du même type que celle de Tchernobyl est située à seulement 40 kilomètres de la ville de Koursk… 

 Une large partie du pays a été sous alerte aérienne durant la nuit, notamment à Kiev et dans sa banlieue où des frappes russes ont fait deux morts et plusieurs blessés. Les forces ukrainiennes sont de leur côté engagées dans plusieurs offensives, sur le front oriental en territoire russe et sur la mer Noire. Moscou promet ce dimanche une « réponse sévère » à l'attaque sur Koursk.

 Des milliers de personnes ont manifesté samedi 10 août à Belgrade contre la relance en Serbie d'un projet controversé d'exploitation d'une mine de lithium, très fortement soutenu par l'Union européenne car il devrait jouer un rôle crucial dans la transition énergétique en Europe.

La Russie a instauré ce samedi 10 août un régime « antiterroriste » dans trois régions frontalières de l'Ukraine, au cinquième jour d'une incursion armée ukrainienne dans celle de Koursk, où 76 000 personnes ont dû être évacuées vers des « lieux sûrs ». Le président ukrainien Volodymyr Zelensky reconnaît des opérations pour « déplacer la guerre » en Russie.

C'est le premier résultat d'un bras de fer qui dure depuis des semaines entre la Turquie et la France au sujet des écoles françaises de Turquie. Selon un communiqué publié samedi 10 août, les autorités turques interdisent toute nouvelle inscription d'enfants turcs dans ces deux écoles. Il s'agit d'un accord provisoire, intervenu après de longues négociations. Mais le bras de fer n'est pas terminé.

Des milliers de Britanniques ont participé ce samedi 10 août à des rassemblements anti-racistes en réaction aux émeutes d'extrême droite qui ont secoué le Royaume-Uni pendant une semaine. Les derniers heurts importants entre police et émeutiers remontent à lundi soir, mais la police reste en état d'alerte pour ce week-end.

La capitale serbe se prépare à une mobilisation ce samedi 10 août pour s’opposer à un projet de mine de lithium porté par le géant australien Rio Tinto dans l’ouest de la Serbie. Depuis sa relance mi-juillet, le projet fait face à une fronde inédite à travers tout le pays. 

C'est sur l'île albanaise de Sazan que Ivanka Trump a jeté son dévolu immobilier. Située sur le canal d'Ostrante, dans le sud-ouest de l'Albanie, cette petite île de 5 km² a très longtemps été isolée du monde. Base militaire ultra-protégée sous la dictature communiste d'Enver Hoxha, elle est aujourd'hui à l'abandon. C'est cet isolement qui en fait un joyau aux yeux d'Ivanka Trump.

Au lendemain de sa réapparition éclair à Barcelone, et après avoir échappé aux policiers censés l'interpeller, l'indépendantiste catalan Carles Puigdemont a affirmé ce vendredi soir être de retour en Belgique, où il vit depuis sept ans pour fuir les poursuites judiciaires en Espagne. Au moment où les forces de l'ordre tentaient toujours de retrouver sa trace, le dirigeant séparatiste est sorti de son silence.

Des dizaines de manifestations anti-racisme sont annoncées ce samedi 10 août au Royaume-Uni, une dizaine de jours après le début d'émeutes nationalistes, islamophobes et xénophobes. Plus de 700 personnes ont été arrêtées pour leur participation à des violences. Critiqué pour son silence, le roi s'est enfin exprimé, vendredi.

Au Royaume-Uni, l’immigration légale pourrait baisser en 2024 : c’est en tout cas le souhait du nouveau gouvernement travailliste, comme son prédécesseur conservateur avant lui. Les demandes de visa d’étudiants et de travailleurs qualifiés sont en large baisse sur les douze derniers mois. 

Vendredi 9 août, les combats font rage dans la région russe de Koursk où l'armée ukrainienne a lancé une offensive surprise d'ampleur il y a trois jours et mené dans la nuit des attaques de drones, qui ont également visé d'autres régions du pays.

Le leader indépendantiste catalan Carles Puigdemont, qui a fait, jeudi 8 août, une réapparition éclair à Barcelone après sept ans d'exil à fuir les poursuites judiciaires, « se trouve en dehors » de l'Espagne après sa nouvelle fuite, a assuré ce vendredi son avocat Gonzalo Boye sur une radio catalane. L'homme est reparti « vers Waterloo », en Belgique, assure de son côté un dirigeant de son parti. La police se dit sceptique.

L'offensive surprise des forces armées ukrainiennes se poursuit dans la région russe de Koursk. Les affrontements sont toujours en cours. Les unités ukrainiennes poursuivent leur incursion en territoire russe. À Moscou, les autorités se veulent rassurantes, mais la situation sur le terrain semble compliquée.

C'est un choc pour les dizaines de milliers de fans attendus en force à Vienne : la star américaine Taylor Swift a annulé ses concerts prévus cette semaine dans la capitale autrichienne après la révélation par la police d'un projet d'attentat islamiste.

Alors que la guerre en Ukraine se poursuit, l'état d'urgence dans la région russe de Koursk, frontalière de l'Ukraine, a été annoncé. Selon Moscou, les forces de Kiev ont pénétré, mardi 6 août, dans cette région avec jusqu'à un millier de soldats et des dizaines de chars et de blindés. La situation est assez grave pour que Vladimir Poutine lui-même prenne la parole. Du côté de Kiev, il n'y a pas eu de commentaire, mais tout le pays suit ces opérations avec attention.  

« Vive la Catalogne libre ! » : le leader indépendantiste catalan Carles Puigdemont est réapparu, après sept ans d'exil en dehors de l'Espagne, jeudi 8 août, à Barcelone, où il a pris la parole lors d'un rassemblement organisé près du Parlement devant des milliers de sympathisants. Toujours visé par un mandat d'arrêt, Carles Puigdemont devrait, selon toute vraisemblance, être arrêté très prochainement. Mais juste après son discours, le dirigeant indépendantiste s'est volatilisé de la foule et reste introuvable.

Plus d’une centaine de rassemblements d’extrême droite sont redoutés ce mercredi 7 août dans la soirée en Angleterre, en Irlande du Nord et au Pays de Galles, devant des centres d’aide aux migrants. Depuis une semaine, des émeutes secouent le Royaume-Uni, envenimées par des fake news, après le meurtre de trois petites filles. Une semaine après le début des débordements, les condamnations commencent à tomber.

L'armée russe a fait état ce mercredi de combats qui « se poursuivent » près de Koursk. Cette région frontalière est le théâtre depuis la veille d'une incursion de troupes ukrainiennes. Elle a aussi été visée par des frappes qui ont fait au moins cinq morts et 28 blessés civils, selon les autorités locales. « Jusqu'à 1 000 » soldats ukrainiens participent à cette incursion, avance l’état-major russe, tandis que Kiev garde en grande partie le silence sur cette opération.

Dans un Royaume-Uni secoué par des violences imputées à l'extrême droite, le gouvernement a annoncé, mardi 6 août, la mobilisation de 6 000 policiers spécialisés et plus de 500 places de prison disponibles pour y écrouer des émeutiers. Plus d’une semaine après l’attaque au couteau qui a coûté la vie à trois fillettes dans le nord-ouest de l’Angleterre, la soirée de lundi a encore été émaillée d'incidents violents.

En Allemagne, sur le marché de la voiture électrique, les ventes ont une nouvelle fois chuté de 37% le mois passé, selon une enquête mensuelle de l’Institut économique allemand publiée le lundi 5 août. C’est la plus forte baisse depuis décembre. De son côté, le constructeur allemand Infineon, qui produit, entre autres, des semi-conducteurs pour ces voitures électriques, a annoncé des coupes dans ses effectifs.