↩ Accueil

Vue lecture

Présidentielle en République serbe de Bosnie: «Voter pour Karan c'est comme voter pour Dodik et sa politique»

Une élection présidentielle anticipée se tient ce week-end dans la République serbe de Bosnie, l'entité serbe de ce pays toujours divisé selon des lignes ethniques. Condamné et déclaré inéligible, l'ancien président nationaliste, Milorad Dodik, ne peut pas se présenter après 19 ans de pouvoir sans partage, mais son parti présente un candidat. L'entité serbe de Bosnie pourrait tourner la page du nationalisme lors de cette élection, dont le résultat s'annonce incertain, dans un pays ravagé par la corruption et les difficultés économiques

  •  

Eurovision: l'UER modifie le règlement de son concours pour tenter d'apaiser les tensions

✇RFI
Par :AFP
Les organisateurs de l'Eurovision ont annoncé vendredi 21 novembre des modifications des règles de vote du concours musical pour renforcer la « confiance » et la « transparence », alors que le soutien public massif attribué aux candidats israéliens ces dernières années a suscité la controverse. Une démarche dans un souci d'apaiser des tensions au sein de l'Union européenne de radio-télévision où certains diffuseurs ont appelé à boycotter le concours en cas de participation d'Israël en 2026.

  •  

L'Ukraine sous pression face au plan de paix américain

Le président ukrainien s'est entretenu vendredi avec le vice-président américain JD Vance sur le plan visant à mettre fin à la guerre. Un peu plus tôt, il s’était concerté d'urgence avec les dirigeants français, allemand et britannique. Le mémorandum américain en 28 points demande que Kiev cède des territoires occupés à la Russie, renonce à intégrer l'Otan, réduise ses forces armées et organise des élections dans la foulée. Le décryptage de Rouslan Bortnik, directeur de l’Institut ukrainien de politique à Kiev.

  •  

Volodymyr Zelensky repousse le plan américain sur la guerre avec la Russie

✇RFI
Par :RFI
L'Ukraine doit signer un accord-cadre de paix d'ici jeudi 27 novembre. C'est le nouvel ultimatum des Américains, sans quoi ils diminueront leur soutien. Plus tôt, Volodymyr Zelensky s'est entretenu avec le président français et les Premiers ministres allemand et britannique sur le plan américain. Ce plan en 28 points, que Moscou affirme ne pas avoir reçu officiellement, prévoit de fortes concessions à la Russie. Il contient des points sur lesquels les autorités ukrainiennes vont avoir du mal à céder.

  •  

En Lituanie, la crainte d'un virage «illibéral» à la Orban

Plusieurs centaines de Lituaniens défilent en ce moment sur l’avenue principale de la capitale Vilnius. Le mouvement de protestation a été initié par le monde de la culture contre la présence d’un parti radical et populiste écarté de justesse du ministère de la Culture. Le mouvement s’est élargi et les manifestants craignent désormais que la Lituanie prenne un virage illibéral. Notre correspondante à Vilnius Marielle Vitureau est allée à la rencontre des Lituaniens se préparant pour la manifestation.

  •  

Ukraine: les Européens ne veulent pas d'un plan américain aux allures de «capitulation»

✇RFI
Par :RFI
Lors de l’annonce de Kiev de la réception d’un « plan de paix » américain, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne étaient réunis à Bruxelles. Ils ont largement exprimé leur soutien à l’Ukraine face à des propositions qui, pour beaucoup, ressemblent à une capitulation. Mais ce soutien des Européens n’est pas unanime.

  •  

Un rapport accablant condamne la réponse du Royaume-Uni à la pandémie de Covid-19

✇RFI
Par :RFI
Le Royaume-Uni a été l’un des pays européens les plus touchés par la pandémie de Covid. Il a entamé une grande enquête publique pour tirer les leçons de la gestion de cette période. À l’époque, Boris Johnson était à la tête du pays. Un premier rapport sorti l’année dernière avait conclu à l’impréparation des dirigeants. Cette fois-ci, la juge chargée de l’enquête estime que le gouvernement en a fait trop peu, trop tard.

  •  

Guerre en Ukraine: Washington présente son «projet de plan» à Kiev, qui veut une «paix digne»

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a plaidé jeudi 20 novembre en faveur d'une « paix digne », après un entretien avec un haut responsable américain qui lui a présenté le plan de Washington pour mettre fin à l'invasion russe. Un plan qui prévoit d'importantes concessions à la Russie, notamment territoriales. 

  •  

Guerre en Ukraine: Moscou revendique la prise de la ville de Koupiansk, Kiev dément

L'armée russe a revendiqué jeudi 20 novembre la prise de la ville de Koupiansk, bastion ukrainien du Nord-Est, l'une des villes où les troupes de Moscou avaient réalisé des avancées ces dernières semaines face à des forces ukrainiennes en difficulté sur le front. Mais l'état-major ukrainien dément. Des combats y seraient toujours en cours.

  •  

50 ans après la mort de Franco, les fantômes de la dictature hantent encore l’Espagne

Le 20 novembre 1975, après plus de 30 ans de règne du Caudillo, la transition démocratique du pays commençait. Elle s’est faite sur la base de l’amnistie, sans justice rétroactive, sans travail de mémoire. Et aujourd’hui, le franquisme divise la société. L'Espagne est confrontée à une montée sans précédent de l’extrême droite, alors qu’elle compte encore des milliers de fosses communes et plus de 100.000 disparus.

  •  

Russie: premiers effets des nouvelles mesures de rétorsions américaines contre des sociétés d’hydrocarbures

Les nouvelles mesures de rétorsion américaines en raison de la guerre en Ukraine peuvent-elles faire plier Moscou ? En tout cas, le 22 octobre dernier, Donald Trump annonçait des sanctions contre le pétrole russe, plus précisément contre deux entreprises, Rosneft et Lukoil. Ces sanctions sont censées entrer en vigueur vendredi 21 novembre et en visant des « sociétés piliers », les effets se font déjà sentir. 

  •  

Espagne: Meta condamné à verser 479 millions d'euros à des médias pour «concurrence déloyale»

La justice espagnole a condamné Meta, maison mère de Facebook et d'Instagram, à verser 479 millions d'euros à des médias locaux pour « concurrence déloyale », pour ne pas avoir respecté la réglementation sur la protection des données personnelles, une somme assortie de 60 millions d'euros d'intérêts légaux.

  •  

Espagne: 50 ans après la disparition de Franco, son ombre plane toujours sur la péninsule

En Espagne, l'extrême droite occupe largement le terrain politique et médiatique, surtout depuis que Vox a fait irruption, il y a dix ans. Un parti qui n'hésite pas à se réclamer de la dictature de Francisco Franco, décédé il y a cinquante ans, le 20 novembre 1975. Un pouvoir considéré comme le plus sanglant des régimes fascistes nés dans les années 1930, et un pays toujours aux prises avec des batailles mémorielles qui, à la faveur de la poussée de l'extrême droite, ont pris une nouvelle dimension.

  •  

Allemagne: le procès de cinq fidèles de l'ancien régime syrien s'est ouvert à Coblence

✇RFI
Par :RFI
Poursuivis pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, les cinq hommes, qui n'ont pas la nationalité allemande, sont accusés d'avoir commis des exactions dans le camp palestinien de Yarmouk, dans la banlieue sud de Damas. Jugés devant le tribunal de Coblence en vertu du principe de compétence universelle, leur procès est le premier du genre organisé en Allemagne depuis la chute de Bachar el-Assad.

  •  

Allemagne: retour sur le procès de Nuremberg, à l'origine de la justice internationale il y a 80 ans

Il y a 80 ans, le 20 novembre 1945, s’ouvrait à Nuremberg, en Allemagne, un procès historique contre des responsables du IIIe Reich nazi qui a capitulé en mai de la même année. Les quatre alliés vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale n’ont pas opté pour une justice expéditive, mais ont créé un tribunal militaire international chargé de juger les criminels nazis dans le respect de l’État de droit. Des concepts inédits, comme les crimes contre l’humanité, sont posés. Ils fondent les bases du droit pénal international contemporain.

  •  

Guerre en Ukraine: Washington propose un plan de paix prévoyant la cession de territoires à la Russie

✇RFI
Par :RFI
L'Ukraine a reçu une nouvelle proposition de paix de la part des États-Unis, a déclaré mercredi 19 novembre un haut responsable ukrainien. Mais à la surprise de Kiev, ce plan reprend de nombreuses demandes formulées jusqu'ici par Moscou, notamment que Kiev cède les territoires actuellement sous contrôle total ou partiel de la Russie et réduise son armée de plus de moitié.

  •  

«Schengen des armées»: l’UE présente des mesures pour muscler sa défense commune face à la menace russe

✇RFI
Par :RFI
L'Union européenne (UE) a présenté mercredi 19 novembre un ensemble de mesures censées accélérer la mobilité des armées sur le continent face à la menace russe. Objectif : qu'une colonne de chars basés en Espagne n'arrive pas en Pologne « après la guerre », résume un responsable européen. Les blindés, les troupes, les munitions doivent en effet surmonter beaucoup d’obstacles pour se déplacer à l’intérieur de l’Union européenne.

  •  

Mémoire historique: pour Emilio Silva, le gouvernement espagnol pratique un double discours

Il est l'une des voix de la bataille pour la reconnaissance des crimes de la guerre civile et de la dictature en Espagne. Journaliste et sociologue, Emilio Silva est le fondateur, en décembre 2000, avec Santiago Macias, de l'Association pour la récupération de la mémoire historique, la plus importante de toutes les associations mémorielles en Espagne. Il mène avec le collectif cette lutte sur tous les fronts depuis 25 ans et regrette les lacunes de l'action publique et politique en la matière, malgré les lois mémorielles.

  •  

À la tête du Danemark, les sociaux-démocrates reculent aux élections locales et perdent la mairie de Copenhague

Le parti social-démocrate, à la tête du gouvernement national, a reconnu mercredi 19 novembre avoir perdu la municipalité de Copenhague, ainsi que son recul dans de nombreuses localités lors des élections municipales et régionales. Cette formation dirigée par la Première ministre Mette Frederiksen administrait la capitale depuis 1938. À l'échelle nationale, le parti social-démocrate devrait contrôler 26 mairies, alors qu'il en dirigeait jusqu'à présent 44 sur les 98 que compte le pays.

  •