La semaine dernière, on a découvert un nouveau rétro-FPS low poly qui a l’air intriguant, Skarven. Il s’agit d’un projet de jeu narratif et d’action développé par le studio Mygind Mathorne, composé d’un certain Mygind (peut-être développeur sur Deep Rock Galactic ?) et Bo Mathorne, un réalisateur de films d’animation, connu pour The Backwater Gospel. Côté direction artistique, c’est très chouette et on sent franchement la filiation, même si les pixels sont ici très apparents.
Pour l’instant, on ne peut se baser que sur les promesses de la page Steam, qui indique que les développeurs se sont « inspirés de [leur] amour commun pour Half-Life et l’âge d’or des FPS narratifs ». L’aventure devrait être linéaire, mais proposera des combats, des énigmes, de l’exploration et de la narration environnementale, le tout dans un monde sans temps de chargement. Le tout sera peuplé de créatures a priori belliqueuses, inspirées du folklore danois. Difficile de se faire une idée pour l’instant, puisque la vidéo ne contient aucun gameplay, et aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été évoquée. On sait uniquement que le développement a commencé en 2024, comme l’indique Mygind sur la page LinkedIn du studio.
En attendant d’en savoir plus, si Skarven vous intéresse, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits Steam.
Blood est (encore) de retour d’entre les morts, cette fois avecBlood: Refreshed Supply, nouveau remaster officiel du chef d’œuvre de Monolith, signé Nightdive Studios. Sur le papier, tout y est : corrections de niveaux, support 4K, framerate débloqué, intégration des mods, nouvelles campagnes, IA retouchée, et bien plus encore… Mais quelques minutes suffisent à comprendre que quelque chose ne va pas. L’illusion est là tant qu’on ne regarde pas de trop près, mais commence à s’effriter dès qu’on gratte un peu la surface.
Genre : Rétro-FPS, action-horreur |Développeur : Monolith / Nightdive Studios | Éditeur : Warner Bros. Games, Atari, Nightdive Studios | Plateforme : Steam |Prix : 27,99 €|Langues : Anglais |Configuration recommandée : CPU Intel Core i5 / AMD Phenom II, GPU Direct X11 / Vulkan 1.1, 2 GB de RAM |Date de sortie : 04/12/2025 |Durée : environ 20 heures avec les campagnes additionnelles.
Test effectué sur une version fournie par l’éditeur.
I live… Again!
Le gameplay reste intact, on retrouve Blood, avec son feeling, sa nervosité, et son ambiance qui fonctionnent encore parfaitement aujourd’hui. Côté gameplay et level design, rien n’a changé… ou presque. Le shotgun reste une merveille de brutalité, la dynamite est toujours suicidaire, et les niveaux conservent leur architecture labyrinthique, leurs secrets absurdes et leur humour noir. L’ajout du support des mods, de Marrow, ou encore Deathwish (pas encore disponible) ainsi que la présence de Cryptic Passage, sont appréciables… même si ce dernier reste séparé, comme si intégrer un add‑on de 1997 relevait de l’exploit.
I live… Again! (and again, and again, and again, and again)
Un remaster mi-cuit, mi-saignant
Si le gameplay d’origine tient encore admirablement la route, dès qu’on s’intéresse au remaster lui‑même, les ennuis commencent. Les hitboxes, par exemple, sont parfois étranges : j’ai vu des fusées éclairantes et du TNT passer à travers les ennemis comme si de rien n’était. Les animations des armes semblent ralenties, presque molles, comme si Caleb commençait à avoir de l’arthrose. J’ai également remarqué des problèmes de rendu des sprites sur les objets, ou comme par exemple sur les effets de flammes ou d’explosions. Et pour ambiancer le tout, le mixage audio est un désastre : beaucoup de sons se chevauchent, saturent, s’écrasent les uns sur les autres ; cela en devient pénible et m’a agacé à plusieurs reprises pendant les combats un peu chargés. J’ai également rencontré d’autres problèmes désagréables, comme des ennemis qui deviennent parfois invulnérables en tombant au sol, qui apparaissent soudainement à coté de moi, ou des scripts qui se déclenchent quand ils en ont envie. Le nombre de bugs de cette nouvelle édition n’est pas rassurant quand on pense au nombreux problèmes encore présents dans Blood: Fresh Supply. Et comme si tout cela ne suffisait pas, même les cutscenes censées être améliorées peinent à convaincre. Ce n’est pas nul, mais on n’en a franchement rien à carrer.
Je suis le cerbère de la porte, êtes-vous le maître des clefs ?
J’ai quand même apprécié quelques petits changements dans cette édition. Les bandes‑son interchangeables, par exemple : pouvoir passer d’une OST à l’autre selon l’humeur, ça donne un petit vent de fraîcheur. Les effets météorologiques ajoutés — ou plutôt réintégrés, puisqu’ils avaient été abandonnés à l’époque — apportent un peu de vie aux environnements, même si ça reste discret. J’ai également aimé les modifications apportées au comportement de quelques ennemis qui modifient légèrement la manière de jouer : les bouchers et les gargouilles de pierre peuvent désormais nous toucher même quand on est accroupi, ce qui casse certaines habitudes. Les gargouilles se permettent même maintenant de jeter des os depuis les airs, ce qui rend leurs attaques plus imprévisibles et oblige à bouger davantage. C’est subtil, mais ça a changé le rythme et ma manière d’affronter ces monstres.
One Unit Whole Fresh Supply 1.5
J’avais espéré, lors de l’annonce au PC Gaming Show Tokyo Direct, une mise à jour avec un travail de préservation sur le jeu lui même, et un making‑of à la hauteur de ce monument du FPS. Certes, quelques ajouts sont appréciables, mais ils ne suffisent vraiment pas à compenser le reste. Blood: Refreshed Supply n’est pas la version définitive attendue par la communauté, mais bel et bien un patch payant, avec quelques options en plus et une poignée de bugs offerts. Quand on fait payer ce prix-là pour une mise à jour de Blood, il faut vraiment aimer les bains de sang, d’autant plus avec des alternatives gratuites qui font beaucoup mieux comme NBlood. La communauté l’a compris et les joueurs ont sorti les fourches… et les ont plantées directement dans le cadavre encore tiède de Blood: Refreshed Supply.
Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Censé être le pinacle du Game Awards 2025, le dernier reveal du showcase a été amené par un Geoff Keighley enflammé, fidèle à sa réputation d’homme sandwich. Avec un enthousiasme proportionnel au nombre de zéro figurants sur le chèque (a priori plutôt élevé), celui-ci nous a survendu le clou spectacle : l’annonce de Highguard. Il n’aura fallu que quelques secondes aux joueurs du monde entier pour constater avec stupeur ce qu’on leur montrait et à peine plus pour qu’ils expriment leur immense déception face au énième hero-shooter générique développé par le studio Wildlight composé d’anciens devs de Titanfall et d’Apex Legends (ça vend du rêve, tout même). Les plus radicaux n’ont pas mâché leurs mots en qualifiant même le jeu de Concord 2, rien que ça !
En dehors de cette mise au pilori que n’avaient certainement pas prévu les devs, Highguard se présente comme un free-to-play PvP où des équipes de trois joueurs mènent une lutte sans merci pour la prise de contrôle d’un continent mythique. Pour ce faire, il vous faudra récupérer le brise-bouclier vous permettant de casser la défense de la base adverse, puis la détruire. Qui dit hero-shooter, dit forcément des personnages avec des capacités spéciales et un ultime comme dans Overwatch, donc attendez-vous à découvrir probablement différentes classes.
Concernant la direction artistique, il est vrai que ça a l’air peu inspiré et très générique, à l’instar de ce qui se fait sur le marché du free-to-play. Du côté du gunplay, ça paraît plutôt mou même si l’action présentée est nerveuse et rapide. À la rédac, ce genre de jeux n’est pas trop notre came, mais on sait reconnaître de bonnes idées. Ici, ce n’est franchement pas le cas, et on aurait pu espérer mieux de la part de vétérans de l’industrie vidéoludique.
Même si l’accueil du public est bien loin d’être chaleureux, le jeu est prévu pour le 26 janvier 2026. Mais ça ne vous coûtera rien d’essayer, si ce n’est quelques précieuses heures de votre vie. En attendant la sortie de Highguard, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes un tant soit peu emballés.
En juillet dernier, Romero Games voyait son FPS annoncé en 2022 partir à la benne, Microsoft lâchant le projet comme une vieille merde en même temps que 9 000 de ses salariés. Cela s’était accompagné par le départ de la quasi-totalité des employés du studio irlandais, mais apparemment, il restait tout de même un petit noyau composé des directeurs des différents départements et de John Romero, bien sûr. Il y a quelques jours, nos confrères d’Eurogamer ont rapporté que le cocréateur de DOOM avait accordé une interview, révélant qu’un nouveau titre était en cours de développement.
En effet, le studio est redevenu indépendant et travaille sur un jeu de bien plus petite envergure. John explique que le travail réalisé pour le projet annulé est partiellement sauvé, car ils en réutilisent de nombreux éléments. Les développeurs ne repartent donc pas de zéro. Pour autant, on nous dit que ce nouveau jeu n’aura « rien à voir » avec le précédent. On apprend par ailleurs que ce dernier avait englouti environ 50 millions de dollars jusqu’à son annulation. Comme on ne sait pas ce que c’était avant, on n’est pas plus avancés, mais on suppose que ce sont au moins des briques de gameplay. Apparemment, le design est complètement différent, et les développeurs seraient très enthousiastes. Au cours de l’interview, John affirme qu’il n’a « jamais joué à un jeu comme celui-là », mais on se gardera bien de le croire sur parole. Il nous avait fait le coup pour Daikatana, et a priori, nous ne sommes toujours pas ses putes.
Hier est sorti Sanctuary of Sarras, un DLC pour Tainted Grail: The Fall of Avalon. Il s’agit d’un RPG que l’on avait testé lors de son accès anticipé, mais qui ne nous avait pas franchement convaincus à l’époque : buggé, techniquement à la ramasse et ennuyeux… Mais au fil des années, il s’est apparemment beaucoup amélioré, car à sa sortie en 1.0 en mai 2025, il avait reçu de très bonnes critiques. On n’avait malheureusement pas eu l’occasion de se repencher sur son cas, mais si les Skyrim-like sont votre came, il y a de bonnes chances que ça vous plaise.
Revenons à l’actualité avec l’ajout de ce nouveau contenu (payant). Les développeurs parlent d’une extension plutôt que d’un DLC, compte tenu de ce qu’il apporte. OK, c’est 15 balles, mais on nous annonce 4 nouveaux boss, 12 nouveaux ennemis et une vingtaine de donjons réalisés à la main. Ils ont également ajouté une nouvelle mécanique de progression alternative, proposant un autre arbre de compétences. Un tel tarif ne semble donc pas déconnant. Les joueurs déjà conquis par le jeu de base semblent d’ailleurs ravis, au vu des premiers retours très positifs.
En plus de cette extension, le studio Questline en profite pour déployer le patch 1.15, principalement focalisé sur les performances pour les PC d’entrée de gamme ou vieillissants – ainsi que sur les consoles, qui rentrent donc dans cette même catégorie. Évidemment, il y a aussi tout un tas de corrections de bugs, d’ajustements et d’ajouts de contenu, dont vous pouvez consulter la liste dans le billet de blog Steam dédié.
Si l’extension Sanctuary of Sarras vous tente, vous pouvez la retrouver sur Steam pour un peu moins de 15 €. Et si vous n’avez pas le jeu de base, vous pouvez choper un bundle avec Tainted Grail: The Fall of Avalon et son extension pour moins de 46 €.
Lors du Day of the Devs qui s’est déroulé le 10 décembre dernier, on a pu découvrir Stretchmancer, un puzzle game avec une mécanique de jeu vraiment originale. Le concept est simple : avec la main droite, on peut étirer le décor en le poussant, tandis qu’avec la main gauche, on le tire. Cela permet d’agrandir des passages, de rapprocher des plateformes, etc. Comme l’expliquent les trois développeurs du studio Triangle Wave, il s’agissait initialement d’un projet imaginé lors d’une game jam. Apparemment, ça a convaincu du monde, puisqu’ils l’ont transformé en jeu commercial.
On ne va pas se mentir : la direction artistique est atroce, mais la mécanique intrigue suffisamment pour qu’on y jette un œil dès que possible.
Aucune fenêtre de sortie n’a pour l’instant été annoncée pour Stretchmancer, mais si le concept vous fait de l’œil, vous pouvez d’ores et déjà ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
À l’occasion du Day of the Devs de la semaine dernière, le studio canadien Eldamar, qui réalisait jusqu’à présent des assets graphiques et des filtres pour l’édition de photos, a présenté son premier jeu, Lucid Falls. Encore un jeu d’horreur, nous direz-vous, mais au moins il a l’air joli. Sur la fiche Steam, on peut aussi lire qu’il devrait proposer un peu plus que de la fuite face à des monstres cauchemardesques : il y aura la possibilité de manipuler la gravité et le temps pour se frayer un passage dans nos « rêves » lucides et résoudre des énigmes.
On peut également voir dans la vidéo que notre personnage tient une masse ; espérons qu’elle ne serve pas uniquement de décoration. À la rédac, on est donc plutôt intrigués, mais sans être trop impatients non plus.
Si vous êtes intéressés par Lucid Falls, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant une annonce de date de sortie.
Parmi les multiples annonces du Game Awards 2025, Saber Interactive (World War Z et Warhammer 40,000: Space Marine 2), le studio derrière le développement de John Carpenter’s Toxic Commando, a profité de l’occasion pour annoncer que leur jeu sortira le 12 mars 2026 et que les précommandes sont également ouvertes. Dans ce FPS PvE jusqu’à 4 joueurs se déroulant dans un monde envahi de zombies dirigés par le Bourbier Suprême, votre équipe de mercenaires devra remplir diverses missions dans de vastes zones semi-ouvertes. Durant votre exploration, vous pourrez récupérer divers butins (des armes, des ressources et autres matériaux), utiliser des véhicules pour vous déplacer sur la carte et user des vos pouvoirs contre les ennemis.
Outre les séquences de gameplay bien sanglantes, le trailer est également une parfaite démonstration du Swarm Engine, le moteur maison du studio créé à l’origine pour les hordes de zombie de World War Z et utilisé dans d’autres productions par la suite. On peut notamment citer SnowRunner, dont la physique « réaliste » des véhicules a l’air d’être réutilisée dans John Carpenter’s Toxic Commando.
Entretemps, nos confrères d’IGN nous ont gratifié d’une vidéo de gameplay d’environ 25 minutes. En gros, on y aperçoit :
Des personnages avec des pouvoirs bien distincts, à l’exemple de celui qui balance des lasers mortels ou l’autre qui utilise un drone dont les tirs peuvent être boostés par son pouvoir
Des combats avec des hordes de zombies plutôt impressionnantes (quand il y en a) et des spéciaux que l’on a déjà vu et revu
Une mécanique de loot essentielle pour l’obtention d’un meilleur équipement et d’armes via un système de rareté/puissance, ou encore l’utilisation et la réparation de véhicules
Divers véhicules à manier ayant des fonctionnalités variées (le grappin pour le 4×4 et l’autodestruction pour le véhicule de police) qui s’embourbent plus ou moins vite (offrant un aspect plutôt réaliste), et associés à un système de progression lié à la conduite de ces derniers
Des missions fedex demandant de parcourir la carte pour pouvoir progresser
De plus, les environnements sont plutôt beaux et surtout boueux, parfait pour ceux qui veulent prendre soin de leur peau. Le gunplay, quant à lui, a l’air bon avec l’emploi d’un arsenal varié. À la rédac, on reste assez enthousiastes, même si on se doute que le jeu sera probablement truffé de DLCs d’armes, de skins ou de missions à venir.
Si vous êtes convaincus et être prêts à lâcher du pognon avant la sortie de JohnCarpenter’s Toxic Commando le 12 mars 2026, vous pouvez précommander les différentes éditions (standard et Blood) sur Steam ou l’Epic Games Store, soit 40 € pour la première et 50 € pour la seconde.
Annoncé durant le IGN Fan Fest 2025: Fall Edition, Zone 4: Apophis (anciennement Apophis), la nouvelle extension gratuite de Deazone: Rogue, s’est trouvée une date de sortie. Ce sera donc le 17 décembre que vous pourrez découvrir les 8 nouvelles missions, le nouveau système de progression des armes, l’élément radiation, les ennemis et boss propres à ce nouveau contenu. Le gameplay a l’air toujours aussi nerveux avec une IA ennemie bien agressive. Ça sera aussi l’occasion pour la rédac de relancer quelques parties en coop pour découvrir cette zone.
Si vous êtes intéressé par Deazone: Rogue et son DLC gratuit prévu pour le 17 décembre prochain, sachez que les devs ont d’ores et déjà informé qu’il y aura une réduction à venir pour les ventes d’hiver à partir du 18 décembre jusqu’au 5 janvier sur Steam et vous pourrez ainsi économiser quelques euros au lieu de payer plein pot.
Annoncé pour le premier trimestre 2026, 5 Bits Games, le studio indé derrière DeadCore sorti en 2014 et son remaster dévoilé en ce début d’année, a récemment publié une nouvelle bande-annonce sur leur chaîne officielle YouTube. Dans cette dernière, on découvre de nouvelles séquences de gameplay et la date de sortie, fixée au 15 janvier 2026. Pour rappel, DeadCore Reduxproposera des graphismes et sons retravaillés, un système de classement, ainsi qu’un nouveau niveau nommé The Gateway. À la rédac, on avait plutôt apprécié la démo qui est d’ailleurs toujours disponible depuis la page Steam, si vous souhaitez vous faire votre propre avis.
En attendant la sortie prévue pour janvier 2026, vous pouvez toujours ajouter DeadCore Redux à votre liste de souhaits Steam. Si ça vous intéresse, vous pouvez également jeter un œil à notre interview d’Antoine, l’un des devs du studio 5 Bits Games, effectué pendant le NoScope spécial du Stunfest 2025.
Durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025, le studio Freshly Baked Games a dévoilé son nouveau jeu, Queen’s Domain, un RPG d’action et de dark fantasy. Échoué sur les rivages de l’île de Neasied, vous partirez à la recherche de votre père et découvrirez le sombre secret qui entoure ce lieu. Vous pourrez utiliser diverses armes et les améliorer pour combattre ennemis et boss. Et si vous êtes emballés par le concept, une démo est d’ores et déjà disponible depuis la page Steam du jeu.
Les décors ont l’air plutôt beaux et réussis pour du rétro. En termes de gameplay, les ennemis ne semblent pas froncer les sourcils à l’impact des coups et foncent tête baissée sur vous pour mieux se prendre la massue dans la tronche. Le développement du jeu ayant à peine débuté, les devs vont probablement peaufiner cet aspect dans les mois à venir.
En attendant de nouvelles infos sur Queen’s Domain, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressés.
Il y a quelques jours, Team17, via IGN, a publié un nouveau trailer pour Hell Let Loose: Vietnam, focalisé sur le gameplay. Préparez des draps propres, car ça va tacher. Même si l’on ne voit que de trop courtes séquences, le jeu a l’air d’être extrêmement beau. À tel point qu’il est même difficile de croire qu’il s’agit de vrai gameplay. L’absence d’interface pourrait être un indice, même s’il ne serait pas aberrant de l’avoir masquée pour la vidéo.
On nous montre des passages plutôt impressionnants en bateau et en hélicoptère, le joueur installé derrière des armes montées, ainsi que de jolies explosions. On peut également apercevoir notre personnage, a priori blessé, se faire traîner par un coéquipier tout en tirant avec son flingue. Les échanges de tirs avec des pétoires iconiques de la guerre du Vietnam, telles que la M60, semblent aussi franchement cool, et on a vraiment hâte de mettre les mains sur le jeu. Ah oui, on a oublié : Hell Let Loose: Vietnam est la suite d’Hell Let Loose, un milsim orienté sur le jeu en équipe, mais un peu moins technique que Squad. Et même si le premier a été développé par un autre studio, il a ensuite été repris par Expression Games, qui travaille sur son petit frère. D’où notre engouement.
Si vous aussi êtes impatients de voir tourner Hell Let Loose: Vietnam pour de vrai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Pour l’instant, le jeu est prévu pour 2026, sans plus de précisions.
Il y a deux semaines, Fullbright, a priori uniquement composé de Steve Gaynor, l’un des fondateurs du studio en 2012, a révélé son nouveau walking sim, Springs, Eternal. Si le premier titre, Gone Home, avait fait grand bruit et rencontré un certain succès, le projet suivant, Tacoma, n’avait pas marqué les esprits malgré un modèle assez similaire. Ce qui avait bien marqué, en revanche, c’était l’hémorragie de personnel, réduisant les effectifs de 20 à 1, à cause du comportement manifestement inadapté de notre bonhomme. Maintenant seul à la barre – et ça se sent au niveau de la réalisation –, il nous présente donc Springs, Eternal, un walking sim avec des visuels rétro façon PSOne, et une ambiance un peu inquiétante.
La page Steam nous donne quelques détails : on incarnera une personne en plein deuil et on pourra rencontrer une douzaine de personnages. Le jeu ne devrait durer que deux ou trois heures, et on nous promet un peu d’exploration et de déduction pour débloquer des lignes de dialogue. Pourquoi pas, pour les fans du genre.
La date de sortie de Springs, Eternal n’a pas encore été évoquée. Mais s’il vous intrigue, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On avait un peu oublié, mais pendant le PC Gaming Show du début du mois, Ten Chambers a publié une courte vidéo sur son futur titre, Den of Wolves. On y aperçoit quatre joueurs et des micro-séquences d’une à deux secondes, bien trop courtes pour susciter le moindre intérêt. Pourtant, on sait que le studio est capable du meilleur, puisqu’il est à l’origine de la licence PAYDAY, et qu’il a créé l’un des meilleurs jeux coopératif de ces dernières années, GTFO.
Pour rappel, Den of Wolves a pour ambition de faire du PAYDAY, dans un univers cyberpunk, avec des passages parfois oniriques permettant de changer rapidement d’environnement. Espérons que les développeurs regardent le gros tas de merde réalisé par Treyarch pour la campagne coop de Call of Duty 22: Black Ops 7, afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, le thème scénaristique s’en rapprochant quelque peu. Globalement, on ne s’emballe pas trop, mais on garde tout de même un certain espoir que le projet soit une réussite.
Si vous aussi êtes intéressés par Den of Wolves, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam en attendant plus d’infos et une date de sortie.
Annoncé en 2012, ROUTINE avait rapidement disparu des radars. En effet, prévu initialement pour 2013, les trois développeurs s’étaient finalement résignés à retrouver du travail pour ne pas mourir de faim, car ils n’avaient pas trouvé comment financer leur titre. Dix ans plus tard, le projet réapparaissait en vidéo, tout en restant très vague. C’est finalement Raw Fury (Friends vs Friends, Blue Prince), qui arrivait à l’édition en 2022, permettant à nos trois lurons de terminer leur projet. S’il y a 13 ans, un nouveau jeu d’horreur pouvait sembler intéressant, on n’était pas forcément très motivés pour en tester un de plus en 2025. Mais on aurait eu tort : même s’il ne révolutionne rien du côté du gameplay, l’esthétique et l’ambiance portent le titre au niveau des meilleures propositions de l’année.
Genre : Horreur |Développeurs : Lunar Software | Éditeurs : Raw Fury | Plateforme : Steam|Prix : 24,99 €|Langues : Anglais, sous-titres en français |Configuration recommandée : Core i5-13600K / Ryzen 5 7600X, RTX 2060 / RX 5700, 16 Go de RAM |Date de sortie : 04/12/2025 |Durée : environ 6 heures
Test effectué sur une version Xbox Game Pass.
Une ambiance incroyable
Allons droit au but : ROUTINE est un jeu d’horreur et je n’aime pas les jeux d’horreur. Je déteste les jump scares ou me faire poursuivre par une créature implacable. Mais l’esthétique m’attirait particulièrement, alors j’ai tout de même voulu tester. Et s’il y a un point sur lequel on peut tous être d’accord, c’est la direction artistique. Elle est magnifique. Développé sous Unreal Engine 5, le jeu affiche des environnements très crédibles directement inspirés d’un rétrofuturisme des années 80 avec une vibe NASApunk, que j’ai beaucoup appréciés. L’image est un peu salie par un filtre, et on sent beaucoup d’influence VHS sur les différents appareils. Certes, on est censé être un technicien arrivé en renfort quelques jours après un incident, et on découvre pourtant une base lunaire dans un état de délabrement relativement avancé, comme si les événements sur lesquels on enquête s’étaient déroulés il y a de nombreux mois. Mais cela génère une ambiance vraiment admirable, sombre et inquiétante, renforcée par les échanges que l’on peut lire çà et là sur les différents terminaux. Ils sont d’ailleurs interactifs et reprennent avec succès le principe de DOOM 3, c’est-à-dire que le centre de notre écran devient le pointeur lorsque l’on s’approche. Déjà un petit élément d’interface génial dans le titre d’id Software de 2004, il est ici à la fois immersif et cohérent. On dispose également d’un outil avec un écran, avec différentes fonctions : lampe torche, badge de sécurité et sorte de taser. Ce dernier permet, entre autres, de désactiver temporairement les robots humanoïdes très hostiles que l’on rencontre sur la première moitié de l’aventure. Son maniement dans l’urgence n’est pas très aisé et participe à la tension, surtout que changer de mode nécessite de le basculer sur le côté et cliquer sur l’un des boutons avec la souris. De l’interface-porn très bien réalisée, qui colle parfaitement avec tous les autres équipements que l’on peut croiser dans cette station. On peut aussi avoir à résoudre de petits puzzles ou chercher des indices à gauche et à droite, toujours diégétiques et crédibles dans l’univers.
Des robots cons comme des grille-pains, mais pas rassurants quand même
Si l’ambiance, l’interface et les visuels sont très réussis, ça se gâte un peu du côté du gameplay. En effet, on sent que les développeurs n’étaient pas aussi doués pour programmer leurs IA. La première partie de l’histoire nous met aux prises avec des robots qui patrouillent dans les couloirs, nous empêchant d’aller où bon nous semble sans un peu de patience. Mais ils sont globalement aveugles et sourds, ce qui permet de les berner facilement. Une fois qu’on s’en rend compte, on peut même parfois réussir à courir près d’eux pour aller se cacher quelques mètres plus loin sous une table et s’en débarrasser. Même si la créature qui nous « accompagnera » sur la suite est un peu plus tenace, elle reste un obstacle finalement peu dangereux. On peut aussi jouer avec les sauvegardes plutôt généreuses, et rusher les différents points à atteindre en pariant sur son absence dans les couloirs. Comme elle s’y déplace aléatoirement, ce n’est qu’une histoire de chance. Évidemment, ça ruine toute l’immersion, et il faudra s’astreindre à un minimum de discipline si on veut rester dans l’ambiance. N’étant pas habitué au genre, j’ai préféré jouer le jeu et ainsi profiter de l’expérience telle qu’imaginée par les développeurs. Et si certaines séquences m’ont donc été particulièrement désagréables, c’est la preuve qu’elles étaient réussies, puisqu’elles touchaient au but : j’ai frissonné, sursauté, et eu peur de me faire attraper. Heureusement, les déplacements sont bien calibrés. La marche est certes lente, mais on peut courir à une bonne allure. Il est également possible de se pencher à gauche et à droite, et de s’allonger pour ramper ou se cacher. Cela fait qu’on ne se sent pas si démuni face aux monstres qui veulent nous déchiqueter.
Une très bonne expérience, si on ne regarde pas derrière le rideau
ROUTINE est un jeu d’horreur qui n’innove pas avec son gameplay, plutôt basique, ni avec son IA, surtout remarquable par son manque de réactivité. Mais tout le reste est une sacrée réussite. La direction artistique est superbe, les interfaces sont géniales et l’ambiance du titre est fabuleuse. C’est oppressant, inquiétant, et on est complètement immergé dans l’histoire de cette base lunaire affectée par un mal inconnu. Alors oui, il faut accepter de jouer le jeu pour ne pas casser les mécaniques de cache-cache, mais même pour un joueur qui n’aime pas trop l’horreur, il y a moyen de passer un très bon moment, et profiter de la superbe atmosphère du titre.
Finissons avec les cadeaux pièges : la guitare électrique pour enfant, idéale pour casser les oreilles à ce couple qui vous énerve, la fontaine zen, qui devrait faire péter un câble à ses propriétaires dès la première nuit, ou encore le puzzle impossible à terminer pour votre cousine qui se la raconte toujours un peu trop. Les chaussettes de Noël pour ceux qui ne prennent même pas la peine de s’intéresser à vous. Et, pour celui ou celle qui vous a vraiment fait rager toute l’année, le cadeau ultime.
Les bons plans Amazon
Malgré la hausse catastrophique des prix de la RAM, notre expert Gothax est allé fouiner dans les rayons de notre partenaire Amazon pour concocter une petite sélection de composants :
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Cette semaine, rien de particulier chez notre partenaire Gamesplanet, hormis de nombreuses réductions sur un tas de jeux, bien sûr !
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Le 4 décembre dernier est sorti un nouvel épisode de la légendaire saga Thief. Malheureusement, il s’agit de Thief VR: Legacy of Shadow, un épisode en réalité virtuelle, qui ne profitera donc qu’à un petit pourcentage des joueurs. Mais pour ceux qui sont équipés, il se pourrait que ce soit une bonne nouvelle. En effet, les avis Steam sont plutôt positifs, saluant une VR bien intégrée et un héritier digne des deux premiers Thief — ce qui n’était pas gagné. En revanche, il ne semble pas exempt de bugs, et certains ont même subi des softlocks et des pertes de progression.
À la rédac, on est plutôt intéressés par la proposition, mais on n’aura pas le temps de se glisser dans notre casque pour le tester. On vous laisse faire des retours si vous avez pu l’essayer.
Si vous avez envie de dépoussiérer votre casque, Thief VR: Legacy of Shadow est disponible sur Steam pour 28 € via un bundle avec le très moyen Thief de 2014, ce qui revient moins cher que le jeu seul à 30 €…
On l’avait un peu laissé traîner, car Rogue Point ne nous avait pas vraiment convaincus lorsqu’on avait testé sa démo lors du Steam Néo Fest de juin dernier, mais Crowbar Collective (Black Mesa) a publié un nouveau trailer il y a deux semaines pour expliquer ce qu’est son nouveau jeu.
Le premier changement, c’est l’ajout de la visée, qui n’était pas présente dans la démo, chose assez étonnante pour un titre se voulant plutôt orienté tactique – même s’il est globalement arcade. Pour le reste, c’est de la redite, mais plutôt condensée, ce qui n’est pas plus mal pour capter l’attention. L’aspect semble presque rétro à certains passages, et le gunfeel pourrait être finalement un peu mieux que dans nos souvenirs.
Rogue Point affiche toujours 2025 pour sa sortie en accès anticipé, mais pour l’instant, rien de plus précis. Comme il ne reste que trois semaines, il se pourrait donc qu’il soit décalé à l’année prochaine. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam s’il vous intéresse.
The Astronauts continue de dérouler sa feuille de route vers la version finale de Witchfire. La nouvelle mise à jour, The Reckoning, introduit une mécanique centrale qui va encore changer radicalement la façon d’aborder les expéditions : la World Corruption.
Le principe est simple : une fois arrivé au Gnosis III, plus vous resterez longtemps en expédition, plus l’environnement se détraquera. Ce n’est pas une calamité ponctuelle déclenchée par la Sorcière, mais une instabilité globale qui va corrompre petit à petit la carte. Chaque minute passée dans ce chaos augmentera la difficulté et la possibilité de faire de mauvaises rencontres, obligeant le joueur à repenser sa stratégie d’extraction.
L’intérêt est double : d’un côté, le jeu va gagner en dynamisme et en imprévisibilité, de l’autre, les chasseurs les plus téméraires pourront mettre la main sur des coffres divins, verrouillés par l’Essence Divine, une ressource encore plus rare que le Witchfire. Le risque est donc récompensé.
The Reckoning ajoute aussi un nouveau Witch Vault situé à Velmorne, présenté comme le plus vaste jamais conçu. La carte va gagner en taille, mais aussi en optimisation, preuve que le studio continue de peaufiner ses environnements. Côté Hermitorium, le Profane Study fait son apparition et permettra de débloquer des challenges extrêmes, les Torment, et les cercles d’invocation permettent désormais de faire apparaître n’importe quel ennemi déjà vaincu (en dehors des boss).
La mise à jour introduit également de nouveaux Fallen Preyers, désormais réanimables contre paiement. Fidèle à l’esprit de Witchfire, elle apporte son lot de nouvelles armes à feu, ainsi qu’une nouveauté appréciée : des armes de mêlée. Les Surge, un bonus dont les effets rappellent le célèbre Quad Damage font également leur apparition pour renforcer encore plus l’intensité des affrontements.
Si vous n’avez pas encore osé partir en expédition, le jeu est actuellement en promotion à -20% sur Steam et l’Epic Games Store, soit 32 €. Pour rappel, la sortie en 1.0 est prévue pour le premier trimestre 2026.
C’est via la chaine YouTube de War Thunder, qu’on a appris que des playtests démarreront prochainement pour le module infantrie de la machine à pognon de Gaijin Entertainment. Alors, est-ce qu’on en a quelque chose à glander ? Fondamentalement, pas vraiment, tant le trailer ne donne pas spécialement envie, avec des aperçus de gameplay qui ne dépassent pas les deux secondes, et la référence putassière à Il faut sauver le soldat Ryan. Et on n’a pas non plus confiance en Gaijin pour faire un FPS intéressant, après avoir pu constater sur pièce la daube qu’est Enlisted, et le report à 2026 du gros bordel que semble être Active Matter.
Si, néanmoins, vous êtes impatients de pouvoir jouer à un P2W moche en vous faisant rouler dessus par les professionels du pilotage d’hélicoptère par écran interposé, vous pouvez vous inscrire ici pour, peut-être, participer à la bêta.
Un mois après avoir mené à bien sa campagne de financement, le studio britannique Head On Studios semble être motivé et publie son premier devlog consacré à Ad Mortem.
La vidéo présente le jeu dans son état actuel de pré-alpha et dévoile les ambitions des développeurs : proposer un système de combat réaliste et dynamique, où chaque coup est une action déclenchée en temps réel plutôt qu’une simple animation. L’objectif affiché est d’offrir davantage de contrôle et de profondeur aux affrontements, en mettant l’accent sur la stratégie et la précision des armes et des mouvements.
Le devlog s’attarde ensuite sur les mécaniques principales du gameplay. On y découvre les attaques de base, les enchaînements de combos, ainsi que les feintes et morphs destinés à déstabiliser l’adversaire. Les systèmes défensifs, tels que le blocage, la parade et la riposte, sont également détaillés, aux côtés de fonctionnalités plus spécifiques comme le bash, le turncap (limitation de rotation) et la gestion des déplacements. L’ensemble est pensé pour limiter le clic droit, clic gauche à gogo, et favoriser une approche plus tactique. On sent qu’ils se sont plus inspirés des techniques de Mordhau que des combats plus casu de Chilvary 2.
La vidéo se termine en mettant en avant des éléments avancés qui, selon l’équipe, enrichissent l’expérience : le système de rage, les compétences propres aux classes et les arts d’armes, offrant une variété de styles selon le personnage choisi. Les développeurs insistent toutefois à la fin du devlog sur le caractère évolutif de ces mécaniques, encore en cours de développement.
À la rédaction, on trouve ce système de combats exigeant plutôt réussi, et on est curieux de voir comment le studio va intégrer celui-ci dans le gameplay. En attendant, vous pouvez ajouter Ad Mortem à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Sans nouvelles depuis notre dernière news de 2023, Luna Abyss, le FPS d’action et bullet hell, sort de son silence durant le PC Gaming Show: Most Wanted 2025 avec une nouvelle bande-annonce de gameplay. On y découvre diverses armes, dont certaines manquent cruellement de patate, des alliés, des ennemis, des environnements plutôt beaux et une sortie prévue courant 2026. De plus, le studio Bonsai Collective est désormais édité par Kwalee et se nomme Kwalee Labs (on peut donc supputer que le studio d’origine a été probablement racheté par l’éditeur).
Il sera toujours question d’incarner une prisonnière devant explorer les entrailles de Luna, une lune factice peuplée de créatures étranges et agressives. Au cours de votre périple, il vous faudra récupérer une ancienne technologie et découvrir les secrets d’une colonie perdue. Le jeu a l’air plutôt intéressant et son univers est pour le moins original, que ce soit dans le design des ennemis ou des niveaux. Le gunplay, quant à lui, semble inégal en fonction de l’arme utilisée.
En attendant l’annonce d’une date de sortie officielle, vous pouvez toujours ajouter Luna Abyss à votre liste de souhaits Steam ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé.
À l’occasion du PC Gaming Show: Most Wanted 2025, Bippinbits, le studio derrière le développement de PVKK, a diffusé une courte vidéo pour annoncer que leur jeu de simulation de défense planétaire sortira finalement courant de l’été 2026. En termes de gameplay, rien de nouveau, si ce n’est que l’on pourra améliorer les commandes de visée de notre immense canon pour dézinguer l’envahisseur avec une précision mortelle.
Pour rappel, dans un monde dystopique, vous incarnerez un artilleur qui aura le choix de suivre aveuglement les ordres de sa hiérarchie afin de pouvoir améliorer son bunker et autres éléments, ou de les refuser pour découvrir les secrets qui se cachent derrière votre mission de défense et votre ennemi.
Si vous êtes plutôt emballé par le concept, vous pouvez toujours ajouter PVKK à votre liste de souhaits Steam en attendant une date de sortie plus précise.
Alors que les vidéos de présentation laissaient penser que Don’t Stop, Girlypop! n’avait aucun feeling et allait être nul à chier, on avait été surpris par la qualité de la démo – toujours disponible. Les sensations étaient finalement excellentes, grâce à des mouvements très vifs, un bon air control et un gunfeel très correct. La semaine dernière, le studio australien Funny Fintan Softworks a publié une nouvelle vidéo pour annoncer la date de sortie : ce sera le 29 janvier 2026.
Comme vous pouvez le constater, la direction artistique n’a pas changé : le côté girly est toujours un poil exagéré. Le parti pris est radical, mais on avait trouvé ça très amusant. Évidemment, si vous pensez que le rose, c’est pour les filles, et qu’elles devraient retourner à la cuisine plutôt que de développer des FPS, on vous déconseille formellement ne serait-ce que de regarder le trailer. En effet, il est fortement probable que votre pénis se nécrose et que vous développiez une grosse paire de loches.
En attendant la sortie de Don’t Stop, Girlypop! prévue pour le 29 janvier prochain, vous pouvez toujours tester la démo depuis sa page Steam, et ajouter le jeu à votre liste de souhaits si vous êtes convaincus.