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Apple arrête de signer iOS 26.1

Apple purge assez fréquemment les différentes versions qui sont installables sur les iPhone, afin d’éviter que les utilisateurs se retrouvent avec une version qui ne contient pas tous les correctifs. Cette fois-ci, elle n’aura pas attendu très longtemps avant de faire tomber le couperet : iOS 26.1 (et tous ses camarades iPadOS 26.1, tvOS 26.1 et homeOS 26.1) n’est plus signé par Apple, empêchant par la même son installation.

Pour tous ceux qui veulent utiliser une version 26.x, il ne reste donc plus que deux solutions disponibles : iOS 26.2, ou la beta d’iOS 26.3.

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

Si le fait de ne pas laisser le choix peut paraître frustrant à première vue, il faut se rappeler que ces suppression d’anciennes version permettent d’éviter les failles béantes dans les appareils des utilisateurs, même si certains power-users aimeraient parfois un peu plus de liberté.

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

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OpenAI dévoile sa nouvelle politique concernant les mineurs, et spécifiquement les ados

OpenAI ajoute une nouvelle couche de garde‑fous à son « Model Spec », le document qui décrit comment les modèles doivent se comporter, avec un ciblage explicite des 13‑17 ans. En toile de fond, la promesse générique de « no topic is off limits » se heurte à une réalité plus contraignante dès que le système pense avoir un mineur en face.

N’ayant pas d’ado sous la main, image créée par IA.

Le texte s’articule autour de principes « U18 » qui encadrent désormais la manière dont ChatGPT doit parler aux ados, avec une priorité assumée donnée à la sécurité dès qu’il y a conflit entre liberté de discussion et risque potentiel. L’assistant est encouragé à rediriger vers le monde réel – famille, amis, professionnels et services d’urgence – dès que la conversation touche à la détresse psychologique, aux conduites à risque ou à l’automutilation. Le ton attendu est chaleureux et non condescendant, mais il ne doit pas faire comme si les adolescents étaient des adultes pleinement autonomes, ni entretenir l’illusion d’une relation quasi humaine.

Quatre axes clés

Les quatre axes clés sont désormais explicités comme une sorte de boussole interne pour les interactions avec les mineurs :

  • Priorité systématique à la sécurité quand elle entre en tension avec la liberté de discussion.
  • Promotion active du support hors ligne (parents, proches, professionnels, services d’urgence) en cas de sujets sensibles.
  • Traitement explicite de l’utilisateur comme adolescent, avec un ton adapté, ni enfantin ni purement adulte.
  • Transparence renforcée sur la nature de l’IA, ses limites, et l’absence de relation « humaine ».

Là où la mise à jour devient plus intéressante, c’est dans la façon dont elle resserre les vis sur trois zones sensibles : romantisme, sexualité et santé mentale. Les roleplays romantiques ou pseudo‑intimes avec des mineurs, même édulcorés, sont mis à l’index, et les contenus sexuels impliquant des ados restent strictement bannis, avec une insistance particulière sur les zones grises comme les échanges suggestifs ou trop détaillés. Sur les sujets de suicide, de troubles alimentaires ou de mutilation, le modèle est sommé de quitter le registre de la conversation neutre pour passer en mode filet de sécurité, sans banalisation ni glamorisation, et avec des renvois explicites vers des ressources d’aide.

ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment

ChatGPT active ses premiers contrôles parentaux, sans prédiction de l’âge pour le moment

Techniquement, tout cela s’appuie sur un mécanisme clé : la prédiction d’âge, censée déterminer si un compte appartient probablement à un mineur pour déclencher automatiquement ce régime U18. En cas de doute, la consigne est de traiter l’utilisateur comme adolescent plutôt que de lui laisser le bénéfice du « profil adulte », au risque assumé de multiplier les faux positifs. Dans certains marchés, OpenAI évoque même la possibilité de contrôles d’identité plus robustes, ce qui déplace le problème vers un terrain très chargé : comment protéger les mineurs sans transformer la vérification d’âge en cheval de Troie contre la vie privée.

Le timing de cette évolution n’est pas anodin, alors que l’entreprise est dans le viseur de régulateurs et de législateurs qui planchent sur des standards spécifiques pour les mineurs face aux systèmes d’IA. Des textes comme les lois américaines encadrant les « chatbots compagnons » pour jeunes ou les discussions autour d’un devoir de diligence renforcé créent un environnement où l’inaction réglementaire n’est plus tenable. La mise à jour publique du Model Spec fonctionne alors comme une pièce à conviction : OpenAI affiche ses intentions de design responsable, documentation à l’appui, pour montrer patte blanche aux autorités et aux parents.

ChatGPT va essayer de deviner l’âge de ses utilisateurs pour protéger les ados

ChatGPT va essayer de deviner l’âge de ses utilisateurs pour protéger les ados

Reste la zone de frottement la plus inconfortable : ce type de charte peut cadrer les intentions, mais ne garantit jamais la qualité de la réponse donnée à un ado en crise à trois heures du matin. L’entreprise mise sur une combinaison de règles, de filtrage et de signaux d’alerte, mais la réalité restera faite de cas limites, de contextes mal compris et de modèles qui n’attrapent pas tous les signaux faibles. Entre la volonté affichée de « protéger sans infantiliser » et le risque d’un sur‑blocage qui transforme l’outil en machine à phrases creuses dès que la conversation devient sérieuse, la marge de manœuvre est étroite, et elle se jouera autant dans l’implémentation que dans les principes.

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Guide de Noël : les disques durs, le stockage à tarif doux

Pendant que la RAM et les SSD voient leurs prix grimper en flèche, heureusement, les bons vieux disques durs restent à des tarifs raisonnables pour qui veut faire ses sauvegardes tranquilles. Mieux, on trouve quelques bonnes opérations à faire sur Amazon pour la fin d’année.

Le My Passport est souvent une valeur sûre, et en 5 To, il offre de quoi voir venir. Image Western Digital.

Alors qu’un SSD externe de 4 To se négocie au minimum 239,99 € pour une fin de série chez Crucial qui plie bagages dans le domaine, et que les autres se trouvent tous au minimum à plus de 300 €, Western Digital propose avec son éternelle série « My Passport » un disque dur externe 2,5 pouces de 5 To, pour la modique somme de 138,99 €.

C’est massif, c’est lourd, mais avec 16 To de stockage, ça reste compact. Image Seagate.

Vous en voulez plus ? Seagate est là pour venir à votre secours, avec sa série « Expansion Desktop » dont la version 16 To est proposée sous les 300 €, à 299,99 € exactement, soit un prix au To de 18,75 €. Le To n’a jamais été aussi bas sur les disques mécaniques !

Un boîtier externe, bien pratique pour recycler ses disques durs internes. Image Orico.

Reste le cas particulier de celui qui a un nombre conséquent de disques durs internes, et souhaite les recycler pour un tarif raisonnable. S’ils se font de plus en plus rares, les boîtiers pouvant accueillir des disques durs internes jusqu’au format 3,5 pouces que l’on trouvait encore récemment dans les ordinateurs de bureau existent toujours. Et l’une des meilleures affaires actuelles reste le boîtier proposé par Orico, avec son interface USB 3.0 largement suffisante pour la vitesse d’un disque dur à plateaux. À 22,57 €, il sera difficile de trouver plus bas.

Si la RAM et les SSD montent en flèche, il reste possible de trouver du stockage, même s’il gratte un peu à l’oreille et n’est pas aussi rapide que de la mémoire flash. Il a au moins l’énorme avantage d’avoir une capacité d’emport encore sans égale !

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iPhone Fold : une fuite chez les accessoiristes donne une idée des dimensions, et le format pourrait être surprenant

Alors que les mois s’égrènent et que la date de sortie de l’iPhone Fold s’approche petit à petit, comme souvent, des fuites de plus en plus nombreuses se font jour. Et comme souvent encore une fois, c’est du côté des fabricants de coques que les premières apparaissent concernant le design du nouvel appareil, comme le rapporte iPhone-ticker.

L’iPhone Fold de dos et déplié, selon les fuites trouvées par iPhone-ticker.
Tout ce que l

Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant

Et de manière surprenante, si la rumeur s’avère exacte, le premier iPhone pliable de la marque aurait une forme s’éloignant de l’habituel smartphone fermé pour se rapprocher de celle d’un iPad, avec un « petit » écran bien plus large que haut. Ainsi, l’appareil surnommé V68 en interne devrait faire 120 mm de haut sur 83,8 mm de large fermé, pour une épaisseur de 9,6 mm. Il arborerait donc un écran externe de 5,49 pouces, dans une définition de 2088x1422 pixels.

Et une fois ouvert ? Avec un écran de 7,76 pouces en 2713x1920 pixels, il se rapproche encore plus d’un format iPad, et aurait des mensurations de 167,6 mm de large pour 120,6 mm de haut. L’épaisseur ? Seulement 4,8 mm (hors bosse des objectifs, bien entendu).

Bien entendu, toutes ces mesures aussi précises soient-elles restent à prendre avec des pincettes : elles proviendraient d’un fichier CAD envoyé aux fabricants d’accessoires, sans précisions sur la source originale de celui-ci. Si bien souvent les fabricants d’accessoires sont tenus au courant en avance des spécifications d’un appareil pour produire les coques et autres éléments à l’avance, il est déjà arrivé que ceux-ci se fassent berner par un faux fichier. Dans tous les cas, la réponse devrait arriver d’ici moins d’un an maintenant.

Combien faudra-t-il débourser pour le futur iPhone pliable ?

Combien faudra-t-il débourser pour le futur iPhone pliable ?

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Les promotions sur les casques Beats reviennent, encore mieux que pendant le Black Friday

Pendant le Black Friday, Amazon avait proposé de très grosses promotions sur les casques de Beats, avec des réductions qui dépassaient 50 %. Et les promotions reviennent aujourd'hui, avec (presque) les mêmes prix.

Le premier est le casque Beats Studio Pro. Il est à 170 € au lieu de 400 €, une très belle réduction. Ce casque haut de gamme avec réduction de bruit est très efficace, peut fonctionner en filaire en USB-C et existe en de nombreuses couleurs. La version noire, la Moka, la Bleu nuit et la Sable sont à ce prix, les autres sont à 200 €. Amazon indique qu'ils arriveront avant Noël.

Image Beats.
Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android

Pour un tarif beaucoup plus doux — 107 € au lieu de 230 € —, le Solo 4 est un bon casque audio sans fil. Il n'a pas de réduction de bruit active, mais bien les intégrations intéressantes des produits Beats dans la plateforme Apple, tout en gardant une compatibilité Android. Il a perdu 13 € depuis le début du mois et Amazon indique que le casque peut être livré avant Noël.

Le Solo 4. Image Beats.
Test du Beats Solo 4 : un excellent casque… pour 2019

Test du Beats Solo 4 : un excellent casque… pour 2019

Pour le sport et les petits budgets, les Beats Flex sont à 40 € au lieu de 90 € (une diminution de 5 €). Ils ont un fil qui relie les deux écouteurs, mais se connectent tout de même en Bluetooth.

Image Beats.
Test des Beats Flex

Test des Beats Flex

Les récents Beats Powerbeats Pro 2, qui intègrent un capteur cardiaque comme les AirPods Pro 3, sont à 200 €, au lieu de 300 €.

Image Beats.
Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Si vous préférez les écouteurs, il y a de nombreux modèles en promotion. Les Studio Buds+ sont à moitié prix : 100 € au lieu de 200 €. La version transparente n'est malheureusement pas en promotion.

Image Beats.
Test des Studio Buds + : Beats met les choses au clair

Test des Studio Buds + : Beats met les choses au clair

Les Solo Buds, en entrée de gamme, sont à 50 € au lieu de 90 €, un prix vraiment faible pour des écouteurs sans fil de bonne qualité.

Test des Beats Solo Buds : des écouteurs qui se fondent dans la poche

Test des Beats Solo Buds : des écouteurs qui se fondent dans la poche

Enfin, l'enceinte Beats Pill (USB-C) est à 90 € au lieu de 170 € (encore 10 € de moins). C'est une enceinte efficace en Bluetooth, avec une excellente autonomie.

Image Beats.
Test de la Beats Pill : une enceinte qui a du cachet

Test de la Beats Pill : une enceinte qui a du cachet

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Un cluster de Mac Studio peut atteindre plusieurs To de RAM grâce au Thunderbolt 5

Avec macOS 26.2, Apple a activé une fonction intéressante pour les amateurs de calculs : le RDMA (Remote Direct Memory Access). L'idée, c'est de permettre aux apps d'accéder à la mémoire de plusieurs appareils Apple s'ils sont reliés en Thunderbolt 5. La technologie permet d'obtenir une latence acceptable pour ce type d'usage — moins de 50 microsecondes — avec une grande quantité de RAM. Jeff Geerling a par exemple relié quatre Mac Studio, ce qui a permis d'obtenir 1,5 To de RAM1 (il a deux modèles avec 256 Go de RAM et deux autres avec 512 Go).

Dans son post (résumé de sa vidéo), il explique que le Mac Studio M3 Ultra seul offre déjà d'excellentes performances pour les calculs liés à l'IA, avec une efficience bien meilleure que des appareils basés sur les puces de Nvidia et d'AMD dans cette gamme. En reliant les quatre Mac Studio en Ethernet à 2,5 Gb/s puis en IP over Thunderbolt, le cluster de Mac Studio offre des gains intéressants, et le Thunderbolt montre des avantages évidents par rapport à l'Ethernet, grâce à une latence plus faible (qui est de l'ordre de 300 microsecondes selon lui).

Quatre Mac Studio. Image Jeff Geerling.
Test du QNAP TVS-h874T : le NAS Thunderbolt 4

Test du QNAP TVS-h874T : le NAS Thunderbolt 4

Avec l'activation du RDMA (qui nécessite un passage dans la partition de restauration, en ligne de commande), les gains peuvent être importants, comme il le montre. Avec des modèles de langage qui nécessitent plus que les 512 Go de RAM d'un Mac (il utilise Exo, un outil open source qui prend justement cette fonction en charge), c'est une solution pratique pour récupérer plus de mémoire. Bien évidemment, les logiciels doivent prendre en charge la possibilité de travailler en cluster. Sur un modèle avec 671 milliards de paramètres (DeepSeek V3.1), il est par exemple possible de passer de 21 à 32 tokens/s. C'est un gain qui n'est pas aussi élevé que l'investissement nécessaire pour quatre Mac Studio, mais qui reste assez intéressant.

Des gains intéressants. Image Jeff Geerling.

Dans tous les cas, la solution d'Apple est intéressante pour ce type de calcul, et elle montre que la marque s'intéresse encore (bizarrement) aux serveurs et autres stations de travail pour des calculs. Et comme Jeff Geerling l'espère, il serait intéressant de voir une solution de ce type avec un Mac Pro équipé d'emplacements PCI-Express et de technologies dédiées plus rapides que le Thunderbolt pour la liaison.


  1. Avec quatre modèles M3 Ultra poussés au maximum, il est même possible d'atteindre 2 To. Comptez tout de même 20 000 € uniquement pour la RAM dans ce cas.  ↩︎

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Shein échappe à une suspension provisoire en France, le gouvernement va faire appel

Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté, ce vendredi 19 décembre, la demande de l’État visant à bloquer provisoirement le site Shein en France. Cette requête faisait suite à la découverte de produits illicites sur la plateforme début novembre, quelques jours avant l’ouverture de son premier magasin physique en France. Des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A ou encore des médicaments interdits étaient commercialisés par des vendeurs tiers sur sa place de marché.

Dans le showroom Shein de Tokyo. Image Dick Thomas Johnson (CC BY).

Le tribunal a reconnu l’existence d’un « dommage grave à l’ordre public », mais a estimé que la mesure demandée était « disproportionnée ». Il a notamment relevé le caractère « ponctuel » de ces ventes et constaté que la plateforme avait retiré les produits en cause. La justice a toutefois adressé une injonction à Shein, lui interdisant de remettre en vente des « produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique » sans mise en place préalable de dispositifs de vérification de l’âge.

L’État demandait que Shein soit contraint de maintenir la suspension de sa marketplace et plus largement l’arrêt de toutes les ventes ne relevant pas de l’habillement. Depuis le 5 novembre, Shein limite en effet son activité à la vente de vêtements issus de ses collections, le temps de corriger les « failles » identifiées sur son site.

La marketplace de Shein n’était toutefois pas la seule concernée par la présence de produits interdits. Le gouvernement s’est ensuite rendu compte que celles de Temu, AliExpress, Wish, eBay et Joom proposaient également des articles prohibés. Amazon a aussi été pointé du doigt, aux côtés de Wish et Temu, pour ne pas avoir « respecté [ses] obligations de filtrage des mineurs face aux images à caractère pornographique ». De là à considérer qu'il y a un problème généralisé de contrôle sur les marketplaces, il n’y a qu’un pas.

« Toute plateforme qui aura commercialisé des articles illicites aura le même traitement [que Shein] », avait assuré en novembre le ministre des PME, Serge Papin. Au vu de l’issue de la procédure visant Shein, les autres acteurs du secteur ne doivent pas être particulièrement inquiets.

Mise à jour à 18 h 49 : le gouvernement annonce qu'il fera appel de la décision du tribunal judiciaire dans les prochains jours.

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Dans les aéroports, les AirTags font chuter drastiquement le nombre de bagages définitivement perdus

En décembre 2024, iOS 18.2 inaugurait le partage de la position des AirTags avec les compagnies aériennes afin de faciliter la localisation des bagages égarés. Un an plus tard, SITA, société spécialisée dans les solutions de communication pour le transport aérien et partenaire d’Apple sur cette fonctionnalité, dresse un premier bilan.

Un AirTag accroché à une valise. Image iGeneration

D’après les statistiques de SITA, si la majorité des bagages perdus finissent par être restitués à leurs propriétaires, un « petit pourcentage » d’entre eux ne sont toutefois jamais retrouvés et sont alors considérés comme définitivement perdus. Pour les bagages équipés d'un AirTag ou d'un autre traceur compatible avec le réseau Localiser d’Apple, le nombre de pertes définitives a chuté de 90 % lorsque le partage de localisation est activé via WorldTracer, le système de gestion de l’entreprise.

De plus, les compagnies aériennes qui exploitent le réseau Localiser d’Apple ont observé une réduction de 26 % du temps nécessaire à la récupération des bagages retardés. « Lorsque les technologies grand public et les infrastructures aéronautiques sont connectées de manière optimale, les résultats peuvent être révolutionnaires », souligne Nicole Hogg, directrice du portefeuille Bagages chez SITA, dans un communiqué.

Partage de la position d’un AirTag avec une compagnie aérienne. Image Apple.

À ce jour, 29 compagnies aériennes tirent parti de l’intégration du réseau Localiser dans WorldTracer. C’est notamment le cas d’Aer Lingus, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, United, Virgin Atlantic ou encore Vueling. D’autres transporteurs devraient suivre dans les mois à venir. Selon nos informations, Air France expérimente actuellement ce dispositif et prévoit un déploiement en 2026.

À l’échelle mondiale, le taux de bagages égarés est de 6,3 pour 1 000 passagers. Parmi eux, 66 % sont restitués à leurs propriétaires dans un délai de 48 heures, précise la société spécialisée.

Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

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Bloom, un gestionnaire de fichiers alternatif pour les insatisfaits du Finder

Bloom (16,4 €) est un gestionnaire de fichiers pour le Mac qui est sorti au printemps dernier. Il s’agit d’une alternative au Finder, une catégorie qui n’attire sans doute plus autant de développeurs qu’à une époque, mais qui reste attrayante pour tous ceux qui sont insatisfaits de l’interface intégrée à macOS. Bloom vient ainsi concurrencer de nombreux noms bien ancrés dans le domaine, à commencer par Path Finder, qui reste sûrement la référence. Son positionnement est d’ailleurs similaire, en pariant sur de multiples fonctions avancées pour mieux se distinguer du gestionnaire de fichiers d’Apple.

Bloom en action avec ici trois panneaux dans une seule fenêtre, plus la petite fenêtre « Portal » en bas. Image MacGeneration.

L’app a beau être relativement jeune, la liste de fonctionnalités qu’elle propose est déjà impressionnante. Bloom permet de découper ses fenêtres en panneaux, deux à la verticale par défaut, jusqu’à quatre si vous le souhaitez. Chaque panneau affiche le contenu d’un dossier, indépendamment de tous les autres, ce qui facilite le travail sur plusieurs emplacements en parallèle. On peut par ailleurs sauvegarder des espaces de travail, qui combinent l’organisation en panneaux et les emplacements de chaque élément. Par défaut, l’app ouvrira le dossier du bureau à gauche et celui des téléchargements à droite et vous pourrez créer des combinaisons en fonction de vos besoins.

En plus de tous ces panneaux, le « Portal » est une petite fenêtre flottante qui affiche le contenu du dossier de votre choix. Elle peut servir d’espace temporaire qui se fermera automatiquement dès que vous changez de contexte, ou bien d’espace permanent épinglé, qui restera alors au-dessus de l’interface de Bloom et même des fenêtres des autres apps. Le gestionnaire de fichiers propose aussi un puissant outil qui permet d’ouvrir rapidement un dossier et qui fait office de moteur de recherche. C’est un peu l’équivalent d’un lanceur similaire à Spotlight ou Raycast à cet égard, sauf qu’il ne gère que les fichiers. Tout peut être géré au clavier et la fonctionnalité est associée par défaut au raccourci clavier ⇧⌘↩︎.

La fonction qui permet à la fois d’ouvrir un dossier et de rechercher un fichier dans Bloom. Image MacGeneration.

Je suis loin d’avoir couvert toute la liste de fonctions et les réglages intégrés à Bloom sont d’une densité rare de nos jours. Vous pouvez ajuster la présentation et le fonctionnement très précisément et il y a de nombreuses idées à découvrir. Par exemple, il est possible de synchroniser deux panneaux, pour que la sélection d’un dossier dans l’un affiche son contenu dans l’autre. Les colonnes peuvent aussi être automatiquement redimensionnées selon de multiples critères. Côté interface, l’app propose de changer la couleur de fond de chaque fenêtre ou encore de modifier l’icône associée à chaque favori dans la barre latérale.

Possibilité de créer des fichiers, ajout d’actions pour manipuler des documents, ouverture d’une session de terminal pour un dossier… il y a encore plein de petites fonctionnalités à découvrir. Bloom nécessitera un temps de découverte pour en faire le tour, si bien que les sept jours de démonstration ne seront peut-être pas suffisants. Au-delà, il faudra payer une licence à environ 16,4 € au minimum (on peut donner plus). C’est une licence personnelle, mais elle peut servir sur trois Mac, ce qui est plutôt généreux.

L’interface de Bloom n’est pas traduite en français et l’app nécessite macOS 14 au minimum.

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Apple Pay ajouté à HelloAsso et Yurplan pour régler plus facilement les assos et les événements

Vous avez maintenant encore plus d’occasions de vous servir d’Apple Pay. Régulièrement, des plateformes en ligne ajoutent la technologie d’Apple à leurs options de règlement. Deux services particulièrement populaires ont sauté le pas ces dernières semaines.

Depuis une quinzaine de jours, HelloAsso prend en charge Apple Pay, ainsi que Google Pay. Au moment du paiement, vous pouvez maintenant choisir entre la saisie des infos de votre carte bancaire à l’ancienne ou bien Apple Pay. Une évolution qui facilitera un petit peu le règlement des inscriptions à une association ou à un club sportif, la plateforme étant largement utilisée par ce type d’organisations.

Le mois dernier, Yurplan a également intégré Apple Pay parmi ses moyens de paiement. Cette billetterie en ligne est utilisée pour de nombreux événements, qu’il s’agisse de compétitions sportives, de festivals ou de salons professionnels, comme le sympathique Marché de la Mode Vintage.

Les plateformes ont plutôt intérêt à adopter Apple Pay, car ce mode de paiement limite les abandons d’achat au dernier moment liés à des frictions ou des blocages. « En termes de transformation, si l’on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », expliquait récemment un responsable de Cdiscount à mind Retail. Sur ce créneau du paiement en ligne, Apple Pay va bientôt être concurrencé par Wero, qui va s’intégrer à des sites français à partir de 2026.

La carte bancaire cède toujours plus de terrain face à Apple Pay… lui même sous pression

La carte bancaire cède toujours plus de terrain face à Apple Pay… lui même sous pression

Wero sert à faire des paiements en ligne en Allemagne et bientôt en France

Wero sert à faire des paiements en ligne en Allemagne et bientôt en France

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Ressuscitez vos clichés flous : Aiarty transforme vos photos grâce à l'intelligence artificielle (coupon exclusif, offre de Noël)

L'hiver s'installe, et avec lui arrive ce moment de l'année où l'on replonge dans les albums, où l'on ressort ces souvenirs figés sur pellicule ou capteur. Mais voilà le drame : cette photo de famille si précieuse est floue. Ce portrait de vacances manque cruellement de netteté. Et ce cliché que vous comptiez agrandir pour l'accrocher au mur révèle, une fois zoomé, une pixellisation digne des premiers écrans cathodiques.

Bonne nouvelle : Aiarty Image Enhancer débarque avec des outils d'intelligence artificielle conçus pour redonner une seconde jeunesse à vos images. Que vous cherchiez à sublimer des clichés bruiteux d'un vieil appareil, à rehausser des photos basse résolution ou à peaufiner des visuels destinés à l'impression, aux réseaux sociaux ou comme fond d'écran, le logiciel promet une expérience fluide et des résultats bluffants.

Une offre de Noël qui casse les prix

Parlons immédiatement de ce qui devrait vous faire dresser l'oreille : jusqu'au 31 décembre, Aiarty propose une remise de 52 % sur la licence à vie. Mieux encore, le code promo XMASSAVE vous octroie 5 € supplémentaires de réduction, ramenant le prix final à seulement 64 €. C'est, selon l'éditeur, le tarif le plus bas jamais pratiqué.

Cette licence à vie, c'est du sérieux. Vous obtenez l'accès perpétuel aux futures mises à jour, sans frais cachés ni abonnement récurrent. Le logiciel s'installe sur trois machines maximum, qu'il s'agisse de Mac ou de PC. Cerise sur le gâteau : le traitement s'effectue entièrement hors ligne, gage de confidentialité absolue puisque vos images ne transitent jamais par le cloud. Et si jamais vous n'êtes pas convaincu, une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours vous couvre.

D'après Aiarty, les prochaines versions intégreront la restauration des couleurs, une gomme intelligente pour effacer les éléments indésirables, davantage de formats d'export, et d'autres améliorations pensées autant pour le grand public que pour les professionnels.

Toutes les photos n'ont pas besoin de restauration de visage par IA, mais quand c'est le cas…

Améliorer un portrait peut prendre du temps. La fonction AI Face Restoration d'Aiarty vous permet d'améliorer facilement les détails du visage pour un rendu plus net et agréable à regarder.

Deux modes vous permettent d'affiner le rendu. Le Gradient Overlay offre une amélioration progressive et subtile, idéale si vous souhaitez conserver l'aspect naturel du cliché. Le Routine Overlay, quant à lui, pousse l'amélioration plus loin, révélant des détails que l'on croyait perdus à jamais. C'est vous qui choisissez le degré d'intervention, du coup de pouce discret à la transformation manifeste.

Lors de tests sur un portrait de famille légèrement flouté par des conditions de prise de vue difficiles, l'application du Gradient Overlay a restitué les contours des visages avec une délicatesse remarquable. En basculant sur le Routine Overlay, les textures de peau et les cheveux ont gagné en définition, offrant un résultat quasi professionnel.

Curseur d'intensité : la précision au bout des doigts

Nouveauté bienvenue, le Strength Slider permet d'ajuster manuellement le niveau de netteté et de réduction du bruit. Fini le temps où il fallait choisir entre une image trop adoucie ou une suraccentuation désagréable. Désormais, vous modulez l'intensité selon vos préférences et le type de photo.

Glissez le curseur vers le bas pour obtenir un aspect plus doux et naturel, parfait pour les portraits intimistes où vous voulez éviter l'effet « trop retouché ». Poussez-le vers le haut pour récupérer les détails les plus fins, ce qui se révèle particulièrement utile sur les clichés animaliers, où chaque plume, chaque poil compte. Sur un gros plan de rapace, par exemple, l'ajustement à haute intensité a fait ressortir la structure même des plumes avec une précision stupéfiante.

Correction colorimétrique express

Les couleurs qui tirent sur le vert sous un éclairage néon, les clichés jaunis d'un coucher de soleil surexposé, les ambiances ternes d'une photo prise en intérieur : autant de situations que l'on connaît tous. Aiarty intègre des outils de correction chromatique qui permettent d'ajuster la balance des blancs, l'exposition, le contraste, la saturation et la teinte en quelques clics.

Lors d'un test sur une photo de paysage crépusculaire aux tons déséquilibrés, la manipulation des curseurs a restitué les nuances orangées du ciel et les tons bleutés de l'eau, transformant un cliché fade en une image vibrante. Aucun besoin de maîtriser Photoshop ou Lightroom : l'interface reste intuitive, même pour ceux qui débutent dans la retouche.

Des modèles IA taillés pour chaque situation

Aiarty ne se contente pas d'un seul algorithme. Le logiciel propose plusieurs modèles d'intelligence artificielle, chacun optimisé pour un type d'image spécifique.

More Detail GAN v3 constitue le modèle par défaut, conçu pour ajouter des détails complexes et améliorer la clarté globale. Il excelle sur la plupart des photos du quotidien.

AIGC Smooth v3 cible les créations générées par IA, les illustrations animées et les textures lisses. Si vous travaillez sur de l'art numérique ou des visuels stylisés, ce modèle préserve l'esthétique tout en rehaussant la qualité.

Real-Photo v3 se concentre sur les images réalistes. Il maintient un aspect naturel tout en améliorant la définition, sans tomber dans l'hyperréalisme artificiel.

Smooth Diff v2 se spécialise dans le lissage et l'élimination des imperfections, rendant les images plus nettes et fidèles à l'intention initiale du photographe.

Mieux encore, Aiarty permet d'upscaler vos photos jusqu'à huit fois leur taille d'origine, atteignant une résolution de 32K. Que vous prépariez une impression grand format, un fond d'écran haute résolution ou un visuel destiné à un écran 8K, vos images conservent leur piqué même en zoomant à outrance. Un test sur une photo de faune sauvage traitée avec le modèle More Detail GAN v3 a produit un résultat saisissant, révélant des textures que l'œil nu peinait à distinguer sur le fichier d'origine.

Retours du terrain : l'avis des pros

Les photographes professionnels commencent à adopter Aiarty, et leurs retours sont éloquents. L'un d'eux souligne que « l'approche combinant GAN et diffusion fonctionne remarquablement bien pour améliorer les images, y compris les paysages et les scènes urbaines ».

Un autre témoignage évoque une photo de la tour Taipei 101, dont les détails récupérés après traitement se sont révélés « remarquables, bien plus nets une fois zoomés ». Un photographe animalier s'est montré impressionné par la version 3.5, louant la réduction du bruit et la simplicité d'utilisation. Le résultat de son test, visible sur la capture d'écran ci-dessus, illustre parfaitement la qualité d'amélioration obtenue sur un cliché de faune sauvage.

Ces retours ne sont pas anodins : ils attestent que le logiciel dépasse le simple gadget grand public pour s'imposer comme un outil sérieux dans l'univers de la retouche photographique.

Pourquoi choisir Aiarty maintenant ?

Si vous cherchez une solution accessible pour améliorer vos images sans vous perdre dans des tutoriels interminables, Aiarty coche toutes les cases. L'outil combine qualité, rapidité et facilité d'emploi, que vous souhaitiez upscaler, débruiter ou restaurer les détails d'une photo.

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Samsung devance Apple en annonçant la première puce mobile gravée à 2 nm

Samsung est de nouveau le premier acteur à battre un record de finesse sur les puces mobiles. Cette fois, c’est l’Exynos 2600 qui a les honneurs d’être la première puce gravée à 2 nm, devançant TSMC qui devrait déployer une gravure équivalente l’an prochain, notamment pour les puces A20 d’Apple qui équiperont les futurs iPhone 18 Pro. Ce n’est pas vraiment un nouvel échec pour TSMC ou Apple toutefois, l’entreprise sud-coréenne avait déjà été la première sur le 3 nm, en lançant la production à ce niveau de gravure mi-2022, plus d’un an avant l’arrivée de cette gravure chez Apple, à l’automne 2023.

Image Samsung/iGeneration.

En réalité, l’avance de Samsung n’est pas aussi grande qu’on pourrait le croire et l’entreprise n’hésite pas à communiquer au plus vite, sans nécessairement avoir de produit à commercialiser derrière. L’exemple de la gravure à 3 nm est à cet égard frappant : après l’annonce initiale en juin 2022, la première puce pour smartphone conçue par Samsung qui exploite cette gravure est l’Exynos 2500 sortie… cette année. Il a fallu près de trois ans entre l’annonce initiale et la sortie d’un produit, si bien que dans les faits, c’est bien TSMC et Apple qui ont gardé leur avance en sortant la puce A17 Pro gravée à 3 nm dès septembre 2023.

Samsung grille la priorité à TSMC sur la gravure à 3 nm

Samsung grille la priorité à TSMC sur la gravure à 3 nm

Est-ce que l’histoire se répétera avec le passage au 2 nm ? En théorie non, puisque Samsung a cette fois présenté une puce de smartphone et pas seulement un procédé de gravure. L’Exynos 2600 devrait rapidement trouver place dans des téléphones, probablement dans la gamme Galaxy S26 attendue en début d’année prochaine. Si tout se passe comme prévu, Apple sera cette fois bien battu de plusieurs mois sur le terrain de la gravure. Reste à savoir si cela apportera un avantage décisif à son concurrent asiatique en matière de performances, car jusque-là, les puces pommées ont gardé une belle avance technologique.

Image Samsung.

Samsung met en avant plusieurs innovations sur la page dédiée à l’Exynos 2600, dont un tout nouveau système de gestion thermique, inédit dans une puce pour smartphone d’après le fabricant. Le Heat Path Block (HPB) « optimise le chemin de transfert thermique afin de disperser la chaleur plus efficacement », ce qui permet « à la chaleur interne d’être évacuée plus rapidement et de maintenir une température interne stable du SoC, même sous forte charge ». Par rapport à la génération précédente, Samsung met en avant des gains à hauteur de 16 %, sachant que l’on parle ici d’optimisations internes, pas du refroidissement de la puce prévu par le smartphone.

Samsung a par ailleurs prévu d’intégrer dix cœurs ARM de dernière génération pour former un processeur 39 % plus rapide que son prédécesseur. Ce sera sans doute encore plus inévitable en 2026, l’intelligence artificielle sera centrale et le constructeur promet des gains à hauteur de 119 % pour le moteur neuronal inclus, par rapport à celui de l’Exynos 2500. L’IA est partout et même dans le GPU, qui devrait doubler les performances notamment grâce à la génération d’images intermédiaires et à l’agrandissement des images de base, deux techniques désormais courantes.

Pour en revenir à Apple, TSMC promet que la gravure à 2 nm permettra d’augmenter les performances de 15 % en gardant la même consommation, de baisser la consommation de 25 à 30 % à performances égales ou un mix des deux, ce qui est le plus courant. La densité des transistors devrait augmenter de 15 % environ, ce qui permettra soit de réduire la superficie de la puce, soit d’inclure davantage de composants à taille égale. Cette nouvelle gravure devrait toutefois avoir un coût, d’autant que le contexte n’est plus aussi favorable à Apple.

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Le 2 nm s’annonce salé : Apple pourrait payer (beaucoup) plus cher ses puces A20 pour l'iPhone 18 Pro

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OpenAI lance la formule ChatGPT Go en France : 8 € par mois pour un usage plus généreux

Quelques mois après son lancement, OpenAI propose depuis peu ChatGPT Go en France. Cet abonnement facturé 8 € par mois pour les nouveaux abonnés (et peut-être moins si vous êtes déjà abonné) est une formule d’entrée de gamme qui intègre les mêmes fonctionnalités que la version gratuite, mais avec des limites supérieures. ChatGPT Plus, l’offre payante la plus abordable jusque-là, est quasiment trois fois plus chère, même si elle ajoute quelques fonctions supplémentaires et encore plus d’usage des modèles de base.

La nouvelle grille tarifaire de ChatGPT pour les particuliers en France. Image MacGeneration.

ChatGPT reste gratuit à la base et on peut même l’utiliser de manière très légère sans compte. Se connecter avec un compte OpenAI permet une utilisation plus intensive des fonctionnalités de base : discussions avec les variantes allégées du grand modèle de langage du moment et créations de textes et images. Il y a toutefois des limites quotidiennes suffisamment basses pour gêner un usage même modéré, en particulier si on veut utiliser des fonctionnalités comme une réflexion prolongée avec les modèles plus avancés.

Jusque-là, il fallait débourser pas moins de 23 € par mois pour lever ces limites, alors l’introduction de la formule ChatGPT Go est une bonne nouvelle à cet égard. Pour 8 € par mois, on a un accès plus large à GPT-5.2 et ses futures mises à jour, on peut créer plus d’images au quotidien, importer des fichiers en plus grand nombre et plus lourds, ou encore utiliser plus souvent le modèle « Thinking », qui offre des réponses plus complexes. Comme toutes les entreprises du secteur, OpenAI se garde bien de définir clairement les limites qui subsistent et son site se contente d’indiquer :

ChatGPT Go inclut des limites d’utilisation plus élevées que l’offre gratuite pour le chat principal et les outils. Ces limites peuvent varier en fonction des conditions du système afin de garantir une expérience fluide pour l’ensemble des utilisateurs.

Seul l’usage permet de déterminer si l’option Go pourrait suffire ou si la formule Plus reste nécessaire. La réponse dépendra sûrement du nombre de requêtes approfondies utilisées chaque jour ainsi que de la taille du contexte, c’est-à-dire du nombre d’informations associées à une demande. Si vous comptez souvent sur ChatGPT pour lire de longs documents ou pour analyser de grandes quantités de code source, vous aurez probablement besoin de monter votre abonnement d’un cran. ChatGPT Plus a d’autres arguments à faire valoir, avec la possibilité d’organiser les échanges en projets thématiques, l’accès à Codex qui sert à générer du code ou à Sora pour créer des vidéos.

Cela dit, si vous vous étiez abonné à ChatGPT Plus et que vous n’utilisez pas ces avantages ou tout simplement que vous souhaitez économiser un peu sur votre facture mensuelle, sachez qu’il est possible de descendre sur la formule Go. Dans mon cas, OpenAI me propose même un tarif réduit, puisque je ne paierais que 4 € par mois, soit quasiment six fois moins ! Voilà qui est tentant, sachant que je n’utilise jamais Sora et rarement Codex et même si j’ai commencé récemment à exploiter les projets, je pourrais m’en passer pour faire de belles économies.

Étant actuellement abonné à ChatGPT Plus, OpenAI me propose une réduction sur le forfait Go. Image MacGeneration.

Tous ces forfaits étant sans engagement, rien n’empêche de les tester pendant un mois avant de changer d’avis. C’est vrai pour la formule Go comme pour la Pro, vendue à 229 € par mois pour un usage illimité de ChatGPT (avec tout de même quelques garde-fous techniques) et un accès aux nouveautés en avant-première. C’est sans doute bien trop élevé hors d’un contexte professionnel, mais rien ne vous interdit d’essayer un mois pour trancher.

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Fortnite ne reviendra finalement pas sur l’iPhone au Japon, malgré les promesses de Tim Sweeney

Tim Sweeney avait promis un retour de Fortnite sur l’iPhone au Japon quand le pays avait annoncé son intention de forcer Apple à ouvrir son smartphone. Maintenant que la loi MSCA a été votée et que l’iPhone va effectivement s’ouvrir aux boutiques alternatives, on apprend finalement qu’il n’en sera rien. Le patron d’Epic Games a détaillé ses raisons sur X et la plus importante est financière : il n’apprécie pas les 5 % qu’Apple peut exiger sur chaque transaction effectuée hors de l’App Store.

Image Epic/iGeneration.

La réglementation japonaise permettrait à Epic Games de proposer son jeu phare sans utiliser le système de paiement de l’App Store et donc sans reverser la commission de 15 ou 30 % exigée par Apple. On peut rappeler que c’était en effet le point de conflit entre le créateur de Fortnite et le concepteur de l’iPhone et ce qui avait poussé Tim Sweeney à affronter directement Apple en 2020. À l’époque, une mise à jour avec une boutique qui proposait des achats en direct avait été distribuée, entraînant la suppression de l’app sur la boutique et un long procès qui n’est toujours pas terminé cinq ans plus tard.

Epic Games défie Apple avec des achats directs dans Fortnite

Epic Games défie Apple avec des achats directs dans Fortnite

Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes

Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes

Depuis, Apple a été contrainte d’assouplir ses règles, en particulier en Europe dans le cadre du DMA. Cela a permis à Fortnite de revenir grâce à des boutiques d’apps alternatives, puis même sur l’App Store, où il est désormais possible de proposer des méthodes alternatives de paiement.

Fortnite est de retour sur iPhone en Europe avec l

Fortnite est de retour sur iPhone en Europe avec l'Epic Games Store

Après 5 ans d

Après 5 ans d'absence, Fortnite revient sur l'App Store américain

Retour au Japon : pourquoi est-ce que Tim Sweeney refuse finalement d’y lancer Fortnite, s’il peut à la fois compter sur des boutiques tierces et sur des moyens de paiement alternatifs dans l’App Store ? Contrairement aux règles actuellement en vigueur en Europe, les législateurs japonais ont permis à Apple de prélever un pourcentage sur chaque transaction effectuée dans une app installée sur l’iPhone, peu importe son origine. Un développeur devra ainsi reverser 5 % pour les apps distribuées sur une boutique tierce et 15 % s’il veut utiliser un moyen de paiement externe sur l’App Store.

Néanmoins, comme le rappelle MacRumors, la situation va bientôt changer en Europe, où Apple va imposer la même commission de 5 % à partir du 1er janvier 2026. Jusque-là, les développeurs pouvaient opter pour un prélèvement unique de 50 centimes, ce qui était certainement plus intéressant pour une app comme Fortnite, où les joueurs peuvent dépenser régulièrement des sommes parfois importantes. Cet avantage va disparaître en Europe, alors est-ce que le jeu d’Epic Games disparaîtra lui aussi ?

DMA : Apple simplifie l

DMA : Apple simplifie l'ajout de liens d’achat externes en Europe et introduit une nouvelle commission 

Outre les questions financières, Tim Sweeney critique aussi les écrans systématiquement affichés par iOS lorsque l’on veut sortir du cadre de l’App Store et qui vont sans doute dissuader une partie des utilisateurs. Selon lui, Apple respecte la loi japonaise avec mauvaise foi et n’essaie pas vraiment d’ouvrir son iPhone à la concurrence, en faisant tout pour empêcher l’émergence d’une alternative populaire.

Tim Sweeney n’hésite jamais à utiliser Fortnite comme moyen de pression sur Apple et Google et c’est encore une fois le cas au Japon. Pour autant, le législateur semble satisfait de l’implémentation d’Apple, alors on ne sait pas trop quelle marge de manœuvre il pourrait avoir. Peut-être que ses arguments feront mouche et que le MSCA sera à son tour ajusté en sa faveur…

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Bon plan : le MacBook Air M2 à 749 € avec en plus 50 € offerts en carte cadeau chez Fnac-Darty

À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.

Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.

À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.

Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.

Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

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Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël

Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.

Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.

Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?

Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.

L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.

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ChatGPT permet d’épingler les conversations importantes partout… sauf sur Mac

ChatGPT reçoit une petite fonctionnalité bien pratique, avec la possibilité d’épingler des conversations que l’on juge importantes. Quand on commence à utiliser le chatbot d’OpenAI de manière intensive, on peut effectivement finir avec une longue liste d’échanges. Même si le système tente de nommer chaque chat de manière intelligente, on se retrouve vite noyé par le volume et incapable de retrouver rapidement un élément. Les chats épinglés resteront en tête de la liste, une bonne manière de garder sous la main l’essentiel.

L’option pour épingler un chat dans le menu contextuel de la version web de ChatGPT. Image MacGeneration.

La fonctionnalité a été annoncée sur X, où OpenAI précise qu’elle est déployée sur iOS, Android, le web… mais pas le Mac. Bizarrement, alors que ChatGPT avait certainement la meilleure app macOS de la catégorie, l’application semble un peu à l’abandon ces derniers temps ou en pleine phase de transition si l’on veut être optimiste. Quoi qu’il en soit, il ne sera pas possible d’épingler un chat sur le Mac, ni même de voir les chats épinglés sur d’autres appareils en tête de liste, ce qui est plus gênant si on compte utiliser la nouveauté.

ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS

Sur le web, on épingle un chat en cliquant sur les trois points qui s’affichent à son niveau lors d’un survol du curseur, puis en choisissant la nouvelle option dans le menu contextuel. Sur les appareils mobiles, un tap prolongé sur une conversation affiche également un menu contextuel, où se trouve l’option. S’il n’est pas nécessaire de mettre à jour l’app, il m’a fallu la redémarrer pour que l’option apparaisse sur mon iPhone.

Le menu contextuel qui permet d’épingler un chat à gauche, la liste d’échanges avec deux épingles à droite. Image iGeneration.

On peut épingler les chats dans la liste globale ainsi qu’à l’intérieur d’un projet. Les données sont logiquement synchronisées entre les différentes apps (sauf sous macOS) et le web. En revanche, on est limité à trois épingles seulement, ce qui semble bien peu. Si on a déjà trois conversations en tête de liste, un message d’erreur suggère ainsi de retirer une épingle pour pouvoir en ajouter une autre.

ChatGPT enchaîne les nouveautés en ce moment. Hier, c’est sa boutique d’apps qui est sortie, avec notamment son intégration à Apple Music. En début de semaine, OpenAI présentait un nouveau générateur d’images amélioré pour répondre à la pression de Google. La semaine dernière, c’était la sortie de la version 5.2 de sa famille de grands modèles de langage, une sortie précipitée pour réagir à la concurrence.

GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité

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GPT Image 1.5 : ChatGPT rattrape enfin Nano Banana sur la retouche d’images

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OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs

OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs

On peut d’ailleurs ajouter à cette liste la sortie aujourd’hui de ChatGPT-5.2-Codex, la dernière version du modèle optimisé pour le développement. D’après les chiffres fournis par OpenAI, ce modèle surpasse tous ses prédécesseurs et serait même « le modèle de programmation agentique le plus avancé à ce jour ».

OpenAI a lancé au début du mois une « alerte rouge » pour reprendre l’avantage technologique, en particulier face à un Google particulièrement agressif. On en voit les fruits, avec de multiples évolutions rapides. Reste à savoir si ce sera suffisant pour revenir à la première place…

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine

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Santé : Bevel fait sa révolution et devient (presque) gratuit

Dans l’écosystème de l’Apple Watch, c’est un petit événement. Bevel, l'une des applications de suivi de santé les plus complètes du moment, change radicalement de modèle économique. La quasi-totalité de ses fonctions est désormais gratuite.

Image : Bevel

Bevel fait partie de ces applications qui vont plus loin que l’app Santé d'Apple. Elle comble ce qui manque cruellement à la solution native : une véritable analyse des données pour offrir une batterie d’indicateurs quotidiens. Au-delà du simple tableau de bord, Bevel se comporte comme un journal de bord où l’on consigne son activité et ses repas. Entre le coach sportif et le nutritionniste de poche, l'app tente de couvrir tous les angles de la forme physique.

Le « Whoop » de l'Apple Watch

Son interface et sa philosophie s’inspirent ouvertement de Whoop, ce bracelet sans écran qui mise tout sur la récupération et la charge cardiaque. Sur le plan matériel, une Apple Watch dispose pourtant de capteurs similaires. La différence se joue sur le traitement logiciel, et c'est précisément là que Bevel intervient pour transformer la montre d'Apple en un véritable outil de santé et de coaching.

Jusqu’à présent, cette expertise se payait au prix fort : 59,99 € par an. Mais l’éditeur a décidé de changer son fusil d’épaule. Désormais, l’immense majorité des fonctionnalités sont gratuites.

L’IA comme seule frontière payante

Dans la vidéo d’annonce, Bevel insiste lourdement sur un point : si le service devient gratuit, ce n’est pas vous le produit. L’éditeur martèle qu’il n’a aucune intention de vendre vos données de santé à des tiers. Alors, comment l'entreprise compte-t-elle se rémunérer ?

La réponse tient en deux lettres : IA. Les seules fonctions qui restent payantes sont regroupées sous le label Bevel Intelligence. C'est elle qui génère des plans d’entraînement personnalisés ou des analyses prédictives. Ce choix est pragmatique : l'exécution des modèles d'IA coûte cher en serveurs, contrairement au traitement local des données de santé qui, lui, devient gratuit.

Depuis son lancement fin 2023, Bevel a énormément évolué, mais l'ambition ne s'arrête pas là. L’éditeur travaille activement sur une version 3.0 prévue pour 2026, qui promet de « bousculer à nouveau l'industrie ».

En devenant en grande partie gratuite aujourd'hui, Bevel veut s’imposer comme la référence absolue sur un marché de la santé ultra-dynamique. C'est aussi une manière d’étoffer considérablement sa base d'utilisateurs avant l'arrivée programmée pour l’année prochaine de Health+, le service d’Apple qui pourrait rebattre les cartes.

Health+ : le service de santé d

Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026

Bon à savoir : Si vous êtes déjà abonné, ne résiliez pas forcément tout de suite. L'éditeur a précisé que les abonnés actuels bénéficieront d'un statut privilégié.

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Un tout nouveau Raycast prévu pour 2026

En l’espace de quelques années, Raycast est devenu l'un des utilitaires les plus populaires sur Mac. Il s’agit d’un lanceur dans la lignée d’Alfred, de LaunchBar ou encore de Quicksilver. Mais par rapport à ses concurrents historiques, Raycast se distingue par son ouverture vers les services tiers et mise énormément sur l’intelligence artificielle.

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac

Pour les aficionados du logiciel, la courte vidéo mise en ligne par l’éditeur a suscité une certaine effervescence. Si le teaser reste mystérieux, il laisse entrevoir une interface repensée pour se fondre encore davantage dans macOS. L'éditeur semble avoir concocté un mode compact encore plus minimaliste. L’esthétique, plus fine et épurée, adopte les codes visuels récents d'Apple : l'objectif est clairement de proposer un outil qui sait se faire oublier visuellement tout en restant immédiatement accessible sous les doigts.

Mais la véritable "killer feature" suggérée par ces quelques secondes concerne l'audio. Raycast semble prêt à intégrer la dictée vocale avancée directement au cœur du lanceur. Il ne s'agirait plus seulement de lancer des commandes à la voix, mais bien de dicter du texte avec la puissance de l'IA, à la manière de ce que proposent aujourd'hui des utilitaires spécialisés comme MacWhisper ou Wispr Flow. En intégrant nativement une telle fonction, Raycast pourrait bien "sherlocker" quelques applications tierces et s'imposer définitivement comme le centre névralgique de la productivité sur Mac.

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AirPods Pro 3 : les grésillements font de la résistance

Lancés il y a quelques mois, les AirPods Pro 3 figurent sans doute parmi les meilleurs produits lancés par Apple cette année. Toutefois, tout n'est pas parfait pour autant : depuis leur commercialisation, plusieurs dysfonctionnements persistent et n'ont toujours pas été corrigés malgré l'enchaînement des mises à jour.

Comme nous le notions déjà fin octobre, un problème de grésillement — s'apparentant à de l’électricité statique — vient régulièrement perturber l’écoute. Le phénomène est particulièrement audible lorsque la réduction active du bruit (ANC) est activée, mais qu'aucun contenu n’est diffusé. Plus irritant encore, certains utilisateurs rapportent des sifflements aigus intermittents. En ce qui nous concerne, nous avons expérimenté ce bug à deux reprises le même jour ; il ne s'est fort heureusement plus manifesté depuis.

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant

Des mises à jour sans grand effet

Apple est pourtant au travail, du moins sur le papier. Depuis l'émergence des premiers témoignages, deux mises à jour ont été déployées. La dernière en date, la B30 sortie il y a une semaine, permet notamment d’accéder à la traduction en direct en Europe.

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3

Pourtant, le constat reste le même : les retours sur les forums d’assistance indiquent que ces nouveaux micrologiciels n’ont pas corrigé le tir. Les bruits de friture persistent, avec ou sans musique, et de nouveaux griefs font leur apparition, notamment concernant la latence et des problèmes de synchronisation audio lors de la lecture de vidéos.

Un défaut d'ordre logiciel ?

C’est toute la question qui anime la communauté. Certains clients ont tenté le passage en Apple Store pour un échange standard, mais la déception est souvent au rendez-vous : les écouteurs de remplacement présentent parfois les mêmes symptômes. Cela laisse planer un doute sur la nature du problème : s'agit-il d'un bug profond dans le traitement du signal ou d'un défaut de conception matérielle ?

Fidèle à ses habitudes, Apple reste peu loquace. Les notes de version se contentent de vagues « corrections de bugs et autres améliorations », sans jamais nommer précisément le problème de l'ANC. Pour une paire d'écouteurs vendue à ce prix, le silence de Cupertino finit par devenir aussi assourdissant que les grésillements qu'ils sont censés corriger.

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur

Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à nous faire part de vos témoignages dans les commentaires si vous rencontrez également ces problèmes !

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Apple Plans : fin de voyage pour les visites guidées Flyover

Début septembre, nous nous étonnions de la disparition soudaine des visites guidées Flyover dans de très nombreuses villes. Ces survols automatisés n’étaient plus au programme, que ce soit sous iOS 18 ou sous les bêtas de son successeur.

Image : iGeneration
Image : iGeneration

Trois mois plus tard, comme le souligne MacRumors, cette fonction est toujours aux abonnés absents. On peut désormais acter la décision d’Apple : la firme a discrètement débranché une fonctionnalité qui, si elle n'était sans doute pas la plus utilisée, restait l'un des fleurons visuels de son application de cartographie.

Un vestige de l'ère iOS 8

Il ne faut pas confondre la technologie Flyover (la vue 3D), lancée en grande pompe en 2012 avec iOS 6, et les City Tours (les visites guidées). Ces derniers ne sont arrivés qu'en 2014, avec iOS 8 et OS X Yosemite. L'idée était séduisante : utiliser la richesse de l'imagerie aérienne pour proposer une découverte scénarisée des grandes métropoles.

Pendant une décennie, il suffisait de tapoter sur l'icône Flyover lors de la recherche d'une ville pour lancer le guide. Aujourd'hui, l'option a tout simplement été rayée de la carte. Un ménage de printemps avant l'heure, probablement justifié par des statistiques d'utilisation proches du néant.

La 3D reste, le pilote automatique s'en va

Que les amateurs de tourisme virtuel se rassurent : seule la visite automatisée disparaît. L’imagerie Flyover reste disponible dans plus de 350 villes à travers le monde. Vous pouvez toujours admirer les monuments, les parcs et les gratte-ciel avec cette vue plongeante si particulière.

Pour rappel, Apple utilise des clichés capturés par de petits avions pour modéliser ces environnements avec une précision chirurgicale. Une technologie impressionnante qui explique aussi pourquoi certaines zones restent désespérément "plates" pour des raisons de sécurité nationale ou de confidentialité.

En somme, Apple fait table rase pour laisser toute la place à l'expérience « Détails de la ville » (Detailed City Experience). Lancée avec iOS 15, cette cartographie « nouvelle génération » est autrement plus ambitieuse qu'une simple vidéo en boucle : elle propose une modélisation chirurgicale du relief, des marquages au sol précis, des passages piétons en 3D et des monuments dessinés à la main qui s'illuminent délicatement une fois la nuit tombée.

Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après
Au printemps, Apple a pris en charge Monaco. Avant / Après

Il serait toutefois de bon ton qu’Apple mette maintenant un sérieux coup d'accélérateur sur le déploiement de cette fonctionnalité. Si le résultat est bluffant, il reste encore trop souvent l'apanage de quelques métropoles triées sur le volet. En France, Paris fait toujours cavalier seul et reste la seule ville à offrir cette expérience complète.

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macOS Tahoe : un bug agaçant fait clignoter le Studio Display

C’est une vieille connaissance que l’on aurait préféré ne pas revoir. Depuis le lancement de macOS Tahoe en septembre dernier, le Studio Display semble pris d’une soudaine passion pour le stroboscope. Un bug agaçant qui, loin de se résorber avec les dernières mises à jour, semble au contraire gagner du terrain.

Un bug qui joue les prolongations

Le problème n'est pas totalement inédit. Comme le rapporte MacRumors, les témoignages d'utilisateurs excédés s'accumulent sur les forums de support. Si des phénomènes de scintillement avaient déjà pointé le bout de leur nez sur de précédentes versions du système, macOS Tahoe semble avoir définitivement ouvert la boîte de Pandore : ce qui n'était qu'un incident isolé par le passé devient, avec cette mouture, un défaut récurrent.

Nous avons d'ailleurs pu constater le phénomène directement à la rédaction : l'un de nos Studio Display est touché par ces clignotements intempestifs. Et le constat est sans appel : les versions 26.1 et 26.2 de Tahoe n'ont absolument rien réglé à l'affaire. Il est à noter que, selon certains témoignages, ce bogue frapperait également des moniteurs d’autre marque.

Photos et Vidéos dans le viseur

Si le bug peut frapper de manière aléatoire, il semble avoir une prédilection pour les contenus multimédias. Le scintillement se manifeste plus souvent lorsque de la photo ou de la vidéo est en jeu. De mon côté, le déclencheur est presque systématique : il suffit de lancer l'application Photos pour que l'écran se mette à vaciller, surtout lors du passage entre des interfaces sombres et des fonds très clairs.

Une piste pour calmer le jeu

En attendant qu'Apple se décide à publier un correctif — probablement via une mise à jour du firmware de l'écran — une solution de fortune semble porter ses fruits. Chez moi, le problème a été en grande partie résolu par une manipulation simple dans les Réglages Système : décocher l'option « Régler la luminosité automatiquement ».

Il semblerait que le capteur de luminosité ambiante et la gestion logicielle de Tahoe ne fassent plus bon ménage, provoquant ces ajustements brutaux qui ressemblent à des flashs. Ce n'est certes pas une solution idéale pour un écran de ce prix, mais cela permet au moins de retrouver un confort de travail acceptable en attendant des jours meilleurs.

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Les ventes de consoles s’effondrent suite aux nombreuses hausses de prix

Pendant longtemps, la guerre des consoles était... le nerf de la guerre pour le trio Sony/Microsoft/Nintendo. Pour vendre des jeux et accessoires en masse, les trois constructeurs n’hésitaient pas à brader leurs consoles, quitte à y être de leur poche (comme ce fut le cas pour Sony et ses PlayStation 2, PSP, PS Vita et même PS5 à leurs débuts). Cependant, les choses semblent changer et les ventes s’en ressentent, tout particulièrement aux USA, comme le remarque IGN.

Image créée par intelligence artificielle.

Ainsi, les prix ont déjà pris une claque mi-2025 suite aux atermoiements de l’administration américaine, avec une PlayStation 5 dont tous les tarifs montent de 50 dollars. La Xbox, de son côté, a fait encore plus fort : la Xbox S a pris 80 dollars, quand la Series X est montée de 100 à 130 dollars suivant les éditions ! De son côté, Nintendo a profité de la sortie de sa Switch 2 pour afficher d’emblée un tarif élevé, lui évitant la grogne à chaque hausse.

Mais ce n’était pas fini pour autant pour Microsoft : fin septembre, nouvelle hausse. Au final, la Xbox Series X qui s’affichait à 499 dollars au début de l’année est maintenant vendue 649 dollars ! Résultat ? Des ventes qui s’effondrent.

Plus dure sera la chute

Celui qui s’en sort le mieux, sans surprise, c’est Nintendo : avec 10 % de baisse des ventes d’une année sur l’autre au mois de novembre, l’entreprise de Mario tire les marrons du feu. Mais ce n’est cependant qu’une façade : la Switch 2 est toute récente, et les ventes cumulent à la fois celles de la nouveauté, mais aussi de la vénérable Switch première génération.

Sony, de son côté, accuse le coup avec 40 % de baisse de ventes d’une année à l’autre pour le mois de novembre. La chute est sévère, mais logique : la PlayStation 5 est (re)devenue une console chère, avec des prix commençant à 499 dollars pour une version Digital. La PlayStation 5 Pro, n’en parlons même pas : à 749 dollars, seuls quelques hardcore gamers s’y intéressent... quand ils ne sont pas sur PC.

Mais pour Microsoft, ce n’est plus une chute, c’est une catastrophe : avec 70 % de baisse des ventes, la Xbox réalise son pire mois de novembre depuis son lancement !

Et les choses ne sont pas près de s’arranger niveau tarifs, que ce soit pour n’importe lequel des trois gros bonnets : la crise de la mémoire et des SSD va les toucher de plein fouet, et les tarifs des consoles étant déjà tirés au maximum, aucun ne pourra faire comme si de rien n’était. Les tarifs monteront, encore une fois, et mondialement cette fois.

Une crise ? Quelle crise ?

Cependant, Microsoft ne semble pas s’affoler outre mesure. L'entreprise de Redmond semble déjà être passée à autre chose, bien qu’elle continue encore de produire du matériel. Satya Nadella l’a bien fait comprendre, en cassant le principe des exclusivités de la plateforme Xbox : la lutte n’est plus sur le matériel, mais sur les grandes plateformes de téléchargement. La console Xbox coule ? Et alors ? L’important, c’est que les ventes restent stables voire montent au niveau des licences, et encore plus au niveau des abonnements.

Xbox est présent sur de nombreuses plateformes, y compris concurrentes : si seules les licences sont disponibles sur PlayStation 5, le Xbox Cloud Gaming, lui, est bien plus étendu : smartphones Android et iOS, iPad, PC Windows, Mac, casques VR comme le Meta Quest, Steam Deck, et même quelques smart tv comme celles de Samsung ou LG ! Le principe du Xbox Cloud Gaming, renforcé par toutes les licences acquises ces dernières années par Microsoft, commence à montrer son vrai visage : étouffer la concurrence en l’encerclant, rendant par la même occasion la console caduque.

Les TV LG 2022 et ultérieures transformées en Xbox

Les TV LG 2022 et ultérieures transformées en Xbox

Au final, ces hausses de prix pourraient bien être bénéfiques pour Microsoft, enterrant encore plus vite les consoles pour passer à l’étape suivante : le jeu directement sur cloud, permettant de passer d’une plateforme à l’autre sans y réfléchir... et ramenant espèces sonnantes et trébuchantes à Redmond, pour chaque utilisateur. Bonus, le piratage se voit éliminé d’un coup, tout passant par le cloud.

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Ce VPN taillé pour Mac qui offre 500 Go de stockage cloud fait le plein de promos avant Noël

Les fêtes approchent à grands pas, et avec elles l'éternelle quête du cadeau parfait. Cette année, pourquoi ne pas miser sur la sécurité numérique ?

CyberGhost propose une offre particulièrement alléchante qui devrait séduire tous les aficionados de l'écosystème Apple : un VPN performant, pensé spécifiquement pour Mac, assorti d'un généreux bonus de 500 Go de stockage sécurisé dans le cloud. Le tout à un tarif dérisoire qui défie toute concurrence.

Un VPN qui parle couramment Safari

Naviguer sur Safari devrait rester une affaire privée. C'est précisément ce que garantit CyberGhost, qui s'intègre naturellement à l'environnement macOS pour chiffrer l'intégralité du trafic web. Fini les regards indiscrets sur vos habitudes de navigation, vos recherches ou vos données bancaires. L'interface épouse parfaitement l'esthétique minimaliste chère à Apple, transformant la protection de votre vie privée en un geste aussi simple qu'un clic.

Le service fonctionne indifféremment sur iMac, MacBook Pro, MacBook Air ou Mac mini. Peu importe la machine que vous possédez dans la gamme Apple, l'expérience reste fluide et intuitive. On apprécie particulièrement cette absence de friction technique qui transforme la sécurité en réflexe plutôt qu'en contrainte.

Une infrastructure planétaire qui change la donne

Avec pas moins de 11 000 serveurs disséminés dans plus de 100 pays, CyberGhost dispose d'une infrastructure colossale qui garantit des connexions rapides où que vous soyez. Besoin d'accéder à du contenu géolocalisé en streaming ? Envie de contourner les restrictions imposées par certains gouvernements lors de vos pérégrinations à l'étranger ? Cette armada de serveurs répond à toutes ces problématiques avec une désinvolture déconcertante.

Cette couverture géographique pléthorique permet également d'optimiser les vitesses de connexion en sélectionnant automatiquement le serveur le plus proche et le moins congestionné. Résultat : on ne ressent pratiquement aucune latence, même en visioconférence ou lors du téléchargement de fichiers volumineux.

La confiance des pairs comme caution

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 4,7 étoiles sur 5 sur Trustpilot, calculées sur la base de plus de 14 800 avis vérifiés. Cette notation élogieuse témoigne d'une satisfaction client qui ne se dément pas. Les commentaires soulignent régulièrement la stabilité du service, la clarté de l'interface et la réactivité du support technique, trois piliers essentiels pour un VPN digne de ce nom.

Cette plébiscitation massive n'est pas le fruit du hasard. Elle reflète des années d'investissement continu dans l'amélioration du produit et l'écoute attentive des retours terrain. Quand des milliers de personnes valident leur choix publiquement, cela forge une réputation difficile à égaler.

500 Go de stockage cloud qui tombent à pic

Au-delà de la dimension VPN, CyberGhost ajoute une cerise substantielle sur le gâteau : 500 Go de stockage cloud sécurisé offerts. De quoi archiver photos de famille, documents importants, sauvegardes système ou projets créatifs sans avoir à jongler entre différents services. Tout reste centralisé, chiffré de bout en bout, accessible depuis n'importe quel appareil.

Cette générosité transforme l'abonnement en solution globale de protection numérique puisqu'on ne parle plus seulement de masquer son adresse IP, mais d'un véritable écosystème qui prend soin de l'ensemble de votre empreinte digitale. C'est cette approche holistique qui fait toute la différence.

Une offre de Noël qui ne reviendra pas de sitôt

Actuellement, l'abonnement de deux ans bénéficie d'une réduction vertigineuse de 83%, accompagnée de quatre mois supplémentaires offerts. Le calcul est vite fait : 2,03 euros par mois pour sécuriser l'intégralité de votre vie numérique sur Mac, et 68,33 € TTC pour l'intégralité de l'abonnement. Difficile de trouver meilleur rapport qualité-prix dans l'univers des VPN premium.

Si vous cherchiez le moment opportun pour franchir le pas, cette fenêtre temporelle représente une aubaine qu'il serait dommage de laisser passer !

Profitez de l'offre CyberGhost à -83% avec 4 mois offerts et transformez votre Mac en forteresse numérique inviolable tout en bénéficiant d'un espace de stockage conséquent !

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