iOS et iPadOS 26 vont simplifier la vie des baroudeurs. Max Weinbach a remarqué que les informations entrées sur les portails des Wi-Fi publics étaient désormais synchronisées entre les iPhone et les iPad. Une nouvelle suggestion apparaît sur le clavier, invitant à remplir automatiquement les formulaires en se basant sur les données de l’autre appareil.
Oh cool iOS and iPadOS 26 synced the WiFi details from my iPad to my iPhone to connect to the WiFi pic.twitter.com/eGxkPRlTMa
Ce type de portail se retrouve généralement dans les cafés, les aéroports ou les hôtels. Ici, Max Weinbach a vu son iPhone lui proposer de compléter les informations précédemment entrées sur son iPad alors qu’il était à l’hôtel. Mark Gurman avait prédit l’arrivée de cette fonction en mai dernier, mais elle n’avait pas été mentionnée lors de la WWDC. De ce que nous avons vu, la nouveauté n’était pas activée sur la première bêta publique. Notons qu’elle fonctionne également sur les Mac tournant sous macOS 26.
iOS 26 sera disponible pour tous en septembre prochain. La mise à jour apporte principalement l’interface Liquid Glass, mais aussi une app Téléphone revue ou une nouvelle app Jeux. Le système est actuellement en bêta pour les développeurs, mais la première bêta publique ne devrait plus trop tarder de pointer le bout de son nez.
Alors qu’Apple semble bien en difficulté pour imposer CarPlay Ultra, on se demande si elle n’aurait pas dû se pencher sur les vélos et proposer BikePlay lorsque l’on voit ce produit. Présenté en début d’année et remis en avant à l’occasion du salon Eurobike qui avait lieu à Frankfort la semaine dernière, Flitedeck est un cockpit aux allures futuristes, dont l’ambition est de réinventer le guidon d’un vélo de route.
Vous l’aurez compris, ses deux cofondateurs ne sont pas fans des guidons actuels qui sont bardés d’objets à commencer par un ordinateur de vélo, une sonnette et un feu avant. L’écran tactile de Flitedeck occupe presque toute la surface du cintre. Il fait tout cela, et bien plus encore.
Image : Flite
Sur son écran, Flitdeck affiche à la fois la navigation, les statistiques en temps réel que l’on trouve sur un ordinateur de vélo, comme les watts, votre cadence de pédalage, la distance parcourue ou votre fréquence cardiaque ainsi qu’un widget affichant la musique ou le podcast que vous écoutez. Le cintre intègre un feu avant et embarque un haut-parleur suffisant puissant pour faire office entre autres de sonnette. Flitdeck dispose également d’une fonction antivol.
Image : Flite
Ce qui est intéressant dans ce projet, c’est que toute cette technologie n’a qu’un impact relativement limité sur le poids du guidon. Il pèse environ 800 grammes. L’autonomie annoncée est de 30 heures.
Ce projet, en gestation depuis 2019, est quasiment achevé.Les précommandes ont eu lieu cet hiver et les livraisons sont prévues pour le début de l’année prochaine. Toutefois, Ray Maker qui a pu approcher le prototype la semaine dernière, doute de la capacité de la société allemande à tenir les délais tant le prototype présenté semble en chantier. A noter qu’il a pu constater que l’ensemble est composé de trois écrans distincts.
Ce projet très prometteur sur le papier soulève également plusieurs questions. Les appareils tactiles peuvent être très pratiques, mais leur utilisation est souvent moins agréable sous la pluie. Et puis, surtout, au lieu de contempler le paysage qui s’offre à nous, il est possible que l’on soit un peu trop attiré par ce si grand écran. Si tout ceci est alléchant, cela a également un prix : 2249 €. Il est disponible dans 24 tailles différentes. À noter que le financement de cette société au moins dans ses débuts est pour le moins assez original. Sa cofondatrice dispose d’un compte OnlyFans où elle publie des photos et des vidéos avec sa monture…
Le problème des switchs Ethernet, c’est que cela prend de la place et, esthétiquement, dans un salon… Ugreen propose aujourd’hui en promotion un switch très compact avec seulement deux ports Ethernet Gigabit. L’UGREEN Switch Ethernet 2 Port 1000 Mbps RJ45 est proposé aujourd’hui avec une ristourne de 20% à 14,40 €.
Il n’aura pas sa place dans une baie, mais peut être intéressant dans un endroit où l’on a juste besoin de doubler les connexions Ethernet sans que cela se voie trop, dans un salon, par exemple. Cela peut aussi être intéressant pour les utilisateurs nomades.
Le switch dispose d’une coque en aluminium, de trois voyants réseau et d’un voyant d’alimentation. Au passage, et c’est une bonne chose, l’appareil possède un port USB-C pour son alimentation.
FaceTime sous iOS 26 est capable d’identifier de la nudité et d’interrompre automatiquement le flux vidéo. Cela fait partie des nouveautés annoncées par Apple afin de protéger les mineurs, une précision que la bêta actuelle semble avoir oublié. Comme l’a noté @idevicehelpus@x (via 9To5 Mac), le message peut s’afficher sur un appareil, même si la conversation vidéo s’effectue entre adultes consentants.
Le message occupe tout l’écran sur l’appareil de la personne qui affiche son corps de manière prononcée. Il indique que la diffusion de la vidéo et de l’audio a été mise en pause parce du contenu « sensible » est montré. Un message conseille ensuite d’interrompre l’appel si l’utilisateur ne se sent pas confortable de le poursuivre et on a deux gros boutons, un pour reprendre la conversation normalement, l’autre pour mettre fin à l’appel.
Apple précise bien que l’analyse des images est entièrement réalisée en local, sans intervention d’un serveur distant. Ces premiers retours montrent que la fonctionnalité est en place, même si elle intervient sur des comptes Apple qui ne sont pas configurés comme des enfants, ce qui est probablement un bug de la bêta. On imagine que ce sera corrigé dans une future bêta d’iOS 26.
Notons qu’une option est proposée dans les réglages de FaceTime pour retirer l’affichage des « avertissements de contenu sensible ». Elle n’est pas nouvelle, puisqu’on la trouvait déjà sous iOS 18, et n’a peut-être aucune incidence sur la nouvelle fonctionnalité évoquée ici. Quoi qu’il en soit, elle n’était pas activée sur mon iPhone avec la bêta et on ne sait pas ce qu’il en est pour l’utilisateur qui a publié la capture d’écran. Je n’avais pas d’aubergine sous la main pour vérifier si l’option change quoi que ce soit à l’identification de contenus sensibles par FaceTime.
Cette option dans les réglages de FaceTime pourrait désactiver la nouveauté d’iOS 26, même si elle était déjà présente sous iOS 18. Image iGeneration.
Apple travaille de manière à ce que ses logiciels systèmes surveillent davantage l’évolution de l’autonomie de ses appareils. Avec iOS 26, les iPhone compatibles avec Apple Intelligence, disposent d’un nouveau système de gestion « adaptative ». Si votre consommation est plus élevée qu’à l’accoutumée, cette fonctionnalité de gestion adaptative diminue « légèrement » les performances et la luminosité de l’écran pour préserver l’autonomie.
watchOS 26 est doté d’une fonctionnalité relativement similaire, mais plus minimaliste, sans doute liée au fait que les montres d’Apple ne sont pas équipées d’Apple Intelligence. Quoi qu’il en soit, comme le note 9to5Mac, si la batterie de votre Apple Watch diminue de manière excessive, vous en serez informés par un message d’alerte vous incitant à passer sur le mode économie d’énergie.
Benjamin Mayo explique que sa montre s’est retrouvée récemment avec 50 % d’autonomie restante à 19 heures. Habituellement, à cette heure de la journée, s’il n’a pas fait de sport, sa montre est plus proche des 75 %. Dans son cas, l’apparition de ce message n’est pas liée à une utilisation particulière de sa montre, mais à la bêta elle-même de watchOS.
Dans la vie de tous les jours, d’autres facteurs peuvent jouer sur l’autonomie de l’Apple Watch, comme une utilisation prolongée de son GPS, de sa puce cellulaire, de son haut-parleur ou encore d’un programme trop gourmand.
Ce qui est intéressant dans son cas, c’est que l’Apple Watch est pro active. Avec 50 % d’autonomie restante, on n’est pas devant le fait accompli et il est encore possible d’adapter son usage en conséquence.
Si toutes les rumeurs se matérialisent, l’année scolaire qui s’ouvre en septembre promet d’être incroyablement riche en nouveautés. Apple semble déterminée à accroître considérablement son portefeuille de produits afin d’initier un nouveau cycle de croissance.
En 2026, Apple devrait céder aux sirènes des écrans pliables avec un iPhone qui promet d’être vendu à un prix particulièrement salé. Initialement, la firme de Cupertino avait prévu de recourir d’abord à cette technologie pour ses tablettes et ses ordinateurs, mais il semble qu’elle ait changé son fusil d’épaule.
De tels projets continuaient à être développés en parallèle, mais ils auraient été mis en pause si l’on en croit DigiTimes. Le site asiatique affirme qu’Apple retarde le lancement de l’iPad pliable en raison de difficultés de fabrication, de coûts de production élevés pour la technologie d’écran pliable, et d’une demande relativement faible des consommateurs pour les appareils pliables de grande taille.
Concept réalisé à l’aide d’une IA
Ce n’est sans doute que partie remise. Apple pourrait revoir sa décision, notamment si le prix des technologies des écrans pliables venait à baisser. Un iPhone doté d’une telle technologie pourrait y contribuer.
Reste que les rumeurs sur un tel appareil étaient plutôt vagues. Certains évoquaient une tablette équipée d’un écran OLED avec une taille susceptible d’atteindre les 20”. On aimerait bien voir comment iPadOS 26 se comporte avec ses avancées sur un tel appareil. Il était question d’une date de commercialisation, au mieux en 2026, au pire en 2028, mais il va sans doute falloir patienter davantage pour voir un tel appareil arriver sur le marché.
Lorde est une artiste Néo-Zélandaise qui a bien réussi à faire son trou dans le milieu pop, depuis son premier album en 2013. Assez poussée sur l’esprit écologique, elle a ainsi décidé que son album Solar Power ne sortirait pas en CD, mais uniquement au format dématérialisé. Si cette promesse n’a pas été tenue jusqu’au bout (une version vinyle étant sortie), la chanteuse a cédé aux demandes des fans pour son dernier album, mais n’a pas voulu faire « comme les autres ».
Sort alors l’album Virgin, dans un plastique totalement recyclé et recyclable, et sans aluminium dans le « sandwich » qui compose le CD. Et c’est ainsi que commencent les problèmes...
Si les lecteurs optiques sont de plus en plus performants, et arrivent bien souvent à lire des galettes dans des états plus improbables les uns que les autres, il ne faut pas trop en demander non plus. Et Lorde est allée trop loin dans sa demande : de nombreux utilisateurs se plaignent sur Reddit et d’autres forums que le dernier album est impossible à lire dans leur autoradio, leur lecteur CD portable, lecteur de salon... si certains arrivent à lire la galette, ce n’est semble-t-il pas sans erreurs pour autant, l’un d’eux rapportant qu’il a pu ripper le CD, mais au prix de nombreuses erreurs et autres distorsions sonores.
Les presseurs de cette version CD n’ont d’ailleurs pas cherché à faire valider leur création selon le Red Book, le boîtier et le disque lui-même ne mentionnant nul part le réglementaire « Compact Disc Digital Audio ». On se rappellera d’ailleurs des fameux CD audio « anti-copie » qui pullulaient il y a quelques années, et qui eux non plus ne mentionnaient pas le fameux logo, leurs caractéristiques ne respectant pas le format original.
Les artistes cherchent toujours plus à se démarquer, afin de pousser à acheter la version physique de leur album plutôt que de l’écouter en streaming. Si l’innovation a du bon, il serait bien de se rappeler le but premier d’un support audio : être lu dans un maximum de lecteurs...
Généralement, sur les bureaux, deux écoles s’affrontent : ceux qui veulent un lieu de travail bien propre, et les fans du plat de spaghettis où la mama n’y retrouverait même pas une boulette.
L’autre souci, c’est l’encombrement des multiprises : entre l’écran, le Mac, le chargeur de piles pour la Magic Mouse (pour ceux qui n’aiment pas les tortues sur le dos), pour l’iPhone, pour le dernier accessoire USB à la mode, la montre, la tablette,... on n’en finit plus.
Heureusement, fini la multiprise aussi longue que le bureau. Vous pouvez trouver maintenant des concentrateurs bien plus agréables à l’œil et plus pratique, comme celui proposé sur Amazon par Kemelo (20,99€), qui combine sur une forme relativement compacte 8 prises 230 volts avec 4 ports USB (maximum 3.4A). Trois de ces ports sont au format USB-A, le dernier en USB-C. Le tout est protégé par un para-surtenseur intégré (ce qui ne sera pas du luxe en ce moment). Qui plus est, si la prise murale est un peu trop loin du bureau (un comble, mais ça arrive), le câble secteur fait 5 mètres, de quoi parcourir la pièce !
Alors au final, dans quelle équipe vous trouvez-vous ? Team maniaque du rangement, ou spaghettis à volonté ?
L’intelligence artificielle peut avoir du bon : trouver rapidement des informations sans avoir à parcourir un site complet, résumer un texte,... mais n’en étant qu’à ses balbutiements, elle nécessite d’être surveillée, et son utilisation par une entreprise doit se faire en toute transparence. Deux règles que Crunchyroll a visiblement oubliées.
Pour une boulette, c’est une boulette... Image Crunchyroll.
C’est The Verge qui rapporte le malaise dans lequel le distributeur d’animés en ligne s’est mis, après la diffusion des derniers épisodes de Necronomico et de Cosmic Horror Show : les sous-titres contenaient de nombreuses erreurs dans de multiples langues, que ce soit anglais, allemand ou autres. Jusque là, le souci aurait pu passer pour des traducteurs un peu trop « tête en l’air », le fameux « stagiaire du dimanche ».
Mais quand le texte comprend en ouverture de l’allemand « ChatGPT said: », ou que la fin de l’épisode contient « Translated by: Translator’s name », le doute n’est plus permis.
Que l’industrie du divertissement s’intéresse de plus en plus à l’intelligence artificielle pour ce type d’usage paraît logique : non seulement l’IA peut être bien plus rapide qu’un traducteur en chair et en os, mais en plus... coûtera moins cher (il ne faut pas se faire d’illusions). Reste que dans ce cas, si l’usage d’une IA pour la traduction n’est pas mentionné, le minimum serait au moins de ne pas jurer ses grands dieux qu’on ne l’utilisera pas, comme l’a pourtant fait le patron de Crunchyroll en avril durant une interview donnée à Forbes, indiquant que l’entreprise « ne considère pas utiliser l’IA dans son processus créatif », et insistant sur le fait que l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour des recommandations, la personnalisation, mais en aucun cas sur le contenu lui-même.
Les entreprises sont en pleine découverte des possibilités offertes par les IA, et bien entendu, tentent de nouvelles approches pour minimiser les coûts, et maximiser les profits. Mais l’IA n’a pas bonne presse dans certains milieux, et celui de l’animé japonais est sûrement de ceux où elle est la plus détestée. Crunchyroll le sait pertinemment, a communiqué qu’elle ne sera pas utilisée pour les contenus et l’a fait par derrière, allant même jusqu’à l’économie d’une relecture humaine. Ce qu’on appelle se faire prendre la main dans le pot de confiture.
Alors que les indices amenant à la vente à la découpe de SFR se font de plus en plus nombreux et insistants, l’opérateur amène une petite surprise, un petit bonus pour celui qui reprendra la partie réseau : une toute nouvelle box. Celle-ci n’a pas encore été présentée officiellement, mais le directeur Réseaux et Services de SFR, Olivier Tailfer, a « laissé fuiter » l’information dans un post sur LinkedIn.
Si peu de détails sont connus pour le moment, le visuel montre déjà une box qui a à quelque chose près le même format que celle de son concurrent Orange, avec un affichage qui semble tactile et reposer sur un écran e-ink, comme proposé depuis quelques générations chez l’agrume.
Le Wi-Fi devrait rejoindre la dernière norme en vigueur, en proposant du Wi-Fi 7, et le reste des caractéristiques ne devrait plus tarder à être connu : le visuel sur la photo annonce un « lancement imminent », et le directeur déclare noir sur blanc que le produit « sera lancé dans les prochains jours ».
Si le lancement d’une toute nouvelle box peut paraître étrange alors que l’opérateur doit être revendu, commercialement les choses peuvent s’entendre : la sortie d’une nouvelle box juste avant ou même pendant les négociations permettent de présenter le réseau sous son meilleur jour, faisant preuve d’innovations et ne se reposant pas, plutôt que de laisser l’idée d’une belle endormie n’attendant que d’être cueillie. Reste à savoir si le repreneur donnera sa chance à cette box, et pendant combien de temps, avant de faire passer les abonnés sur autre chose.
Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Deux fois par mois, nous approfondissons un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.
La WWDC, c’était il y a quasiment un mois ! Les développeurs se sont jetés sur les bêtas des nouveaux systèmes, qui apportent principalement la nouvelle interface Liquid Glass. Celle-ci fait la part belle aux effets de lumière et de transparence. Son arrivée divise, certains y voyant un joli renouvellement là où d’autres reprochent un manque de lisibilité.
Ce n’est pas tout, car ces nouveaux systèmes apportent également un paquet de fonctions. Plusieurs apps ont été portées d’une plateforme à l’autre, comme Téléphone qui est désormais disponible sur iPad et sur Mac. iOS a de son côté gagné une app Aperçu. Le Vision pro n’a pas été oublié avec l’arrivée de nouveaux widgets restant ancrés dans le monde réel, tandis que le design de l’app Exercice de watchOS a été repensé.
Alors que la première bêta publique ne devrait plus tarder de pointer le bout de son nez, vous vous demandez sans doute ce que valent ces nouveaux systèmes. Cet épisode est l’occasion de tirer un premier bilan en compagnie de Florian et de Baptiste Dajon, développeur de l’app iOS Bandbreite travaillant pour la branche tech de Décathlon.
Polysoft a mis à jour le Studio Drive, son kit permettant d’augmenter la capacité de stockage du Mac Studio pour bien moins cher que ce qu’en demande Apple. Si la première version était réservée aux modèles M1 et M2, Gilles Aurejac proposera bientôt une déclinaison pour les plus récentes versions M3 Ultra et M4 Max. Le matériel est disponible sur la boutique de Polysoft. Les kits sont pour le moment indiqués comme en rupture de stock.
Studio Drive. Image MacGeneration.
Les prix ne changent quasiment pas par rapport aux versions précédentes : comptez donc 399 € pour 2 To, 799 € pour 4 To ou 1 049 € pour 8 To. Seule cette dernière déclinaison est 100 € plus chère que sur les modèles M1 et M2. Cela reste une affaire face aux tarifs pratiqués par Apple, qui demande 750 € pour 2 To ou 3 000 € pour 8 To. On notera que Polysoft a ajouté une option 16 To (2 499 €), exclusive aux machines M3.
Nous avions eu l’occasion d’essayer le Studio Drive en 2024 et multiplié par 16 (!) le stockage d’une de nos machines. La démarche nous avait pris une heure, et nous n’avons pas eu de problème depuis. Chaque achat est lié à une garantie de 5 ans, tandis que les outils et manuels imprimés sont inclus. Les précommandes ne sont pas encore ouvertes suite à des incidents de livraison sur certains lots précédents, mais le site affirme que tout sera rentré dans l’ordre d’ici le mois d’août. Tout étant géré par une petite équipe, il faudra faire preuve de patience.
L'Apple Store a rempli dernièrement ses rayons en écrans Apple Studio Display reconditionnés. Les réductions par rapport au neuf, assez peu en promo, voire tout simplement en stock, sont de quelques centaines d'euros. Les quatre variantes sont disponibles :
Studio Display, verre standard, support à inclinaison réglable à 1 489 € (-260 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison réglable à 1 699 € (-300 €)
Studio Display, verre standard, support à inclinaison et hauteur réglables à 1 879 € (-330 €)
Studio Display, verre nano-texturé, support à inclinaison et hauteur réglables à 2 089 € (-370 €)
Verre standard et verre nanotexturé. Images MacGeneration.
Si le budget est disponible, on peut préférer les modèles avec le verre nano-texturé pour son action sur les reflets. Mais cela vaut d'abord pour ceux dont l'environnement de travail est surplombé de néons ou d'éclairages directs. De même, si c'est dans vos moyens, préférez le pied avec l'inclinaison et la hauteur réglables pour ajuster la dalle au plus près.
La vente de SFR et son partage entre ses concurrents ou des investisseurs est bien sur les rails mais le trajet reste sinueux. Depuis la mi-juin, Patrick Drahi a fait transmettre les informations financières de son opérateur aux parties intéressées relate BFM Business.
Image SFR
D'emblée, Orange est dans une situation différente de Bouygues et Free puisque sa place de leader sur le marché hexagonal l'empêche d'être trop gourmand. Pour les deux autres, il y a à boire et à manger chez SFR. Les abonnés SFR RED seraient ainsi moins courus que les clients fixe et mobile de SFR car moins rentables.
Ce parc de 20 millions d'abonnés mobile de SFR aiguise la convoitise de Bouygues et Free mais il y a un nœud dans l'affaire. Depuis 10 ans, SFR et Bouygues se partagent 15 000 antennes, explique BFM. Bouygues pourrait reprendre 50 % du capital du réseau pour un coût de 200 à 300 millions d'euros, cependant il exigerait en retour d'obtenir une plus grosse part des abonnés SFR.
Quant aux clients sur le fixe, ils sont 6,1 millions, et c'est Bouygues qui aurait la meilleure position pour en récupérer la plupart puisqu'il est derrière Orange et Free sur ce segment.
Le réseau de fibre optique est un autre entremêlement à dénouer. Free et Bouygues se le répartiraient par zones géographiques. Ou SFR ferait entrer un fonds d'investissement qui achèterait le lot entier ou ce fonds pourrait s'adosser aux offres des deux opérateurs.
La partie entreprise de SFR est également un fromage guetté par Free qui y verrait un moyen de faire croitre son activité professionnelle. Orange aussi serait intéressé par les abonnés mobiles pro afin de consolider sa première place dans le secteur.
Et puis il y a 300 boutiques appartenant à SFR et leurs 2 000 salariés en plus de 300 autres magasins en franchise. Les trois concurrents seraient partants pour se répartir les parts de cet autre gâteau, sachant qu'il y aura inévitablement des doublons avec des magasins voisins.
Les patrons de chacun des opérateurs ne se sont pas encore rencontrés, ajoute BFM, les négociations sont menées pour le moment par leurs proches lieutenants assistés des banques d'affaire et avocats.
Après les écouteurs, Nothing s’attaque au domaine des casques audio et vient de présenter le Headphone (1). Ce modèle se démarque par son design original doté d’éléments transparents caractéristiques de la marque. Créé en collaboration avec KEF, on nous promet donc un son « riche et naturel » avec des basses profondes, des médiums détaillés et des aigus nets.
Images Nothing
Ce gros casque de 329g mélangeant plastique et aluminium a l’avantage d’être un peu plus léger que les AirPods Max (387g). Il fait l’impasse sur les commandes tactiles pour mettre l’accent sur les boutons physiques, présentés comme plus fiables et plus précis. On y retrouve du classique, mais aussi une touche personnalisable via l’app sur laquelle on pourra configurer différentes actions (désactiver les micros, activer l’audio spatial…).
Le Headphone (1) est un casque audio sans-fil prenant en charge la lecture Lossless en USB-C ainsi que la norme Hi-Res Audio et le codec LDAC. L’annulation du bruit est évidemment au rendez-vous, tout comme la spatialisation du son et le suivi de la tête. Nothing vante également une bonne qualité d’appels grâce aux 4 micros dédiés et un algorithme adapté même aux environnements les plus bruyants.
Un coloris noir est aussi proposé. Image Nothing
Le fabricant affirme avoir mis le paquet sur l’autonomie, avec un casque tenant 35 heures avec l’ANC ou 80 sans. Une charge rapide de 5 minutes permet de récupérer plus de 2 heures de batterie. Deux coloris sont disponibles pour un tarif de 299 €. Les précommandes ouvriront le 4 juillet sur le site de Nothing et chez certains revendeurs. L’accessoire sera ensuite lancé officiellement le 15 juillet.
Orange lance un forfait pour les moins de 18 ans assorti de fonctions de filtrage et de blocage de contenus indésirables ou menaçants. L'offre SaferPhone consiste d'abord en un forfait bloqué, sans engagement, de 5 Go avec les SMS et MMS illimités. Cette formule est vendue 9,99 € par mois (ou 5,99 € lorsqu'un parent est déjà abonné à l'internet fixe chez Orange). En ajoutant 4 € par mois on grimpe à 35 Go.
Cela fait (très) cher le giga-octet — pour 10 €, Sosh et ses concurrents proposent des formules avec 200 Go — mais l'opérateur se rattrape par des fonctions de contrôle parental proposées, sans frais immédiats, dans un Pack Protection Enfant :
gestion du temps d'écran par jour et par plage horaire (ce sera actif fin 2025, ndlr), coupure complète de l'internet en Wi-Fi et en 4G/5G à la demande, blocage des contenus inappropriés, géolocalisation en temps réel ;
filtrage des appels de spam et démarchage ;
abonnement d'un an au service SafeBear qui analyse les contenus échangés par l'enfant (à hauteur de 3 000 envoyés et reçus par mois) sur Instagram, X, Snapchat et TikTok (les autres sont promis à une date indéterminée). Le système avertit les parents en cas de détection de propos assimilables à du harcèlement. Au bout d'un an il faudra choisir l'une des formules payantes de SaferBear pour continuer de profiter de son service.
Image SaferBear.
Pour faire fonctionner cet ensemble de services et de logiciels, Orange rembourse 50 € sur 6 modèles de smartphones lorsqu'on n'est pas déjà équipé. Il y a 3 appareils Android qui coûteront, déduction faite de la remise, de 59 à 149 €. Et trois iPhone dont le 16e qui revient à 599 €. Mais au vu de son tarif élevé, l'opérateur a glissé deux iPhone SE et 12 reconditionnés, vendus 169 et 299 €.
La Switch 2 se porte bien, merci pour elle. Nintendo a récemment tenu sa grande rencontre annuelle avec les investisseurs, pendant laquelle le président Shuntaro Furukawa a rappelé s’être excusé de ne pas pouvoir produire suffisamment de consoles pour tout le monde. « Actuellement, dans de nombreux pays, la demande de Switch 2 est supérieure à l'offre et nous ne sommes pas en mesure de la satisfaire », a-t-il déclaré avant de reconnaître que quelques actionnaires n’avaient pas encore pu mettre la main sur la machine. Un indice de plus (s’il en fallait) que la console cartonne.
La présentation de la Switch 2 avait pourtant été mouvementée. Beaucoup de joueurs ont été surpris par le prix de la machine (470 €) tandis que d’autres ont regretté un catalogue de lancement assez faiblard principalement constitué de Mario Kart World et d’une poignée de portages. Cependant, les grognons ne sont guère nombreux face aux fans de la marque : Nintendo a enregistré 2,2 millions de précommandes au Japon, puis annoncé 3,5 millions de ventes à travers le monde en l'espace de 4 jours. Les chaînes de production peinent à suivre, ce qui a forcé Shuntaro Furukawa à s’excuser une nouvelle fois :
En tant qu'entreprise, nous nous efforçons d'améliorer notre système de production afin de livrer le plus grand nombre d'unités possible. Nous nous excusons pour les désagréments causés par cette demande initiale, qui a largement dépassé nos attentes.
Bien qu’elle soit sortie il y a quasiment un mois, la console est toujours difficile à trouver sur certains marchés, comme aux États-Unis ou au Japon. Sur l’archipel, les revendeurs et Nintendo sont obligés d’organiser des loteries pour répondre à la demande. Ce problème ne concerne heureusement pas la France, où les revendeurs ont plutôt cherché à casser les prix sur les jeux pour attirer le chaland. La console seule est toujours en stock à la Fnac sans délai particulier, tandis que le pack avec Mario Kart World peut être livré sous une semaine par Amazon.
Liés à iOS 26, les AirPods disposent d’une nouvelle fonctionnalité pratique si vous avez l’habitude d’écouter de la musique ou un podcast dans le lit. Une option (désactivée par défaut) permet de mettre automatiquement en pause la lecture quand les écouteurs détectent que vous vous êtes endormis.
Apple ne précise pas comment cette fonctionnalité opère, mais il y a tout lieu de penser qu’elle se base sur l’accéléromètre compris dans les écouteurs, voire le capteur de détection de la peau. En tout cas, plus besoin de configurer le minuteur d’iOS ou de votre application audio pour que la lecture s’arrête toute seule quand vous êtes dans les bras de Morphée.
La nouvelle option pour. Image WatchGeneration.
Pour l’instant, cette nouveauté est réservée au firmware en bêta distribué en parallèle d’iOS 26. Elle est présente sur les AirPods Pro 2 et les AirPods 4, qui ont en commun la puce H2. On ne sait pas encore si elle sera disponible sur des modèles plus anciens équipés de la puce H1. D’après du code déniché par MacRumors, cette mise en pause automatique sera aussi proposée sur des écouteurs Beats (seuls les Powerbeats Pro 2 ont une puce H2).
La mise à jour sera disponible pour tous à la rentrée, au moment du lancement officiel d’iOS 26.
La Freebox Revolution ne veut pas mourir. Lancée en 2010, la box de Free dans son édition Light fait l’objet d’une offre intéressante pour tous ceux qui sont intéressés par une connexion à Internet via la fibre optique sans se ruiner.
Cette promotion réservée aux nouveaux clients permet d’avoir jusqu’à 1 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en téléversement pour 19,99 € par mois. Il s’agit d’une offre sans engagement. Notez cependant que l’offre passe à 29,99 € par mois au bout d’un an. Pour ceux qui l’avaient oublié, cette box, dessinée par Starck, intègre un lecteur Blu-Ray et un disque de 250 Go de stockage. Elle comprend également l’app TV OQEE de Free.
L’un des défauts de cette offre est sans doute le Wi-Fi. La box accuse son âge et n’offre pas de Wi-Fi 6. Notez toutefois que l’on trouve en ce moment même des routeurs Wi-Fi à très bon prix.
Si Free lance cette offre, c’est sans doute lié au fait que les promotions sur l’internet fixe sont assez nombreuses. SFR Red propose également une offre à 19,99 € par mois, mais sans décodeur télévision. Les débits proposés sont proches (1 Gbit/s dans les deux sens) et là aussi, on peut également regretter l’absence de Wi-Fi 6.
Mais à la fin des fins, l’offre la plus intéressante, c’est peut-être bien celle de Bouygues Telecom. Vous pouvez obtenir pour 23,99 € par mois son offre Pure Fibre qui propose jusqu’à 8 Gbit/s de débit dans le sens des téléchargements et un routeur Wi-Fi 7. Il ne reste plus qu’à financer éventuellement une Apple TV pour pallier l’absence d’un module pour la télévision.
Et si les nouveautés Apple de la rentrée étaient accompagnées par une baisse de prix ? Cela parait contre-intuitif tant il a été question de guerre commerciale au mois de mars, mais ce scénario n’est pas à exclure. En effet, la politique de Donald Trump a eu pour conséquence d’affaiblir le dollar ces derniers mois.
En début d’année, un euro s’échangeait environ 1,03 $. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le billet vert s’échange désormais à 1,18 $. Autrement dit, l’euro s’est apprécié de plus de 13 % en l’espace de quelques mois. Or, si le bitcoin peut connaître une hausse de cette ampleur en une seule journée, dans le domaine des devises, une telle évolution dans un tel laps de temps est tout sauf anecdotique.
Bien qu’il soit toujours très difficile d’anticiper les évolutions à venir du marché des changes, les observateurs estiment qu’il est assez probable que l’euro dépasse la barre des 1,2 $ prochainement. Certains estiment même que ce n’est qu’une étape et que le phénomène est appelé à se prolonger dans les mois à venir.
Apple a pour habitude de suivre d’assez près l’évolution des taux de change, surtout quand ils évoluent en sa défaveur. Quoi qu’il en soit, la firme de Cupertino fait régulièrement évoluer la tarification de l’App Store en cas de fluctuation importante. D’autre part, elle tend à ajuster ses tarifs lorsqu’elle commercialise de nouveaux produits.
Autrement dit, si la tendance persiste, on pourrait observer des baisses de prix à la rentrée lors de la présentation de la nouvelle gamme d’iPhone. Il y a cependant deux facteurs qui pourraient annihiler ce mouvement de fond chez Apple.
À l’été dernier, sans doute au moment où sont fixés les prix chez Apple, l’euro s’échangeait dans une fourchette oscillant entre 1,08 $ et 1,12 $. D’autre part, toujours dans ce contexte incertain de guerre commerciale, Apple pourrait être tentée d’accroitre ses marges dans le Vieux Continent en ne faisant que peu évoluer ses prix, de manière à financer en partie la hausse des droits de douane aux États-Unis.
Nothing a dévoilé un casque mais aussi et surtout le Phone (3) un modèle voulu plus haut de gamme que le Phone (2) lancé il y a deux ans mais qui conserve l'esthétique singulière de la marque britannique. Avec deux versions prévues à 849 et 949 € (256 et 512 Go) le Phone (3) se positionne clairement dans le haut de gamme.
Phone (3). Image Nothing.
Pour autant, là où Apple et Samsung, ses plus proches rivaux sur le papier, s'inscrivent dans une relative prudence en termes de design, Nothing joue clairement une autre partition pour se démarquer. Avec toujours ce recours à un look d'allure industriel, conçu en collaboration avec l'équipe suédoise de Teenage Engineering dont les produits ont eux-mêmes une forte personnalité.
Le Phone (3) est un grand téléphone de 6,67" (un poil en dessous d'un iPhone 16 Plus avec ses 6,7"), d'une grosse batterie de 5 150 mAh (4 685 mAh pour celle de l'iPhone 16 Pro Max) et d'un processeur Snapdragon 8s Gen 4 qui n'est pas le plus puissant du moment, mais il est sorti en avril et il met l'accent sur les tâches d'IA.
Image Nothing.
Les produits de Nothing se reconnaissent maintenant aisément, la marque s'est trouvé un style et elle s'y tient, ce modèle n'en dévie pas. Puisque tous les téléphones sont inévitablement assez identiques sur leur face avant, c'est la partie arrière qui devient le terrain d'expérimentations. Le dessin du Phone (3) suit le principe d'une division en 3 colonnes verticales dont la géométrie des lignes a été pensée pour s'inscrire dans le prolongement de celles du Phone (2) (voir l'explication des designers dans la vidéo ci-après). Plutôt qu'une face lisse sans motifs, l'arrière du Phone (3) semble tiré d'un dessin industriel que l'on n'aurait pas achevé pour laisser deviner les grandes masses internes.
Phone (2) et Phone (3). Image Nothing.
Aux trois objectifs photographiques, répond un nouvel arrivant, le Glyph Matrix. C'est un écran rond, micro-LED, associé à un bouton placé en dessous. Cet écran peut afficher un grand nombre de choses avec un style très typé fait de petits carrés : l'heure, des indicateurs de progression, la batterie, mais aussi une représentation très pixelisée de l'utilisateur qui voudra faire un selfie avec l'appareil photo arrière.
Le Glyph Matrix en haut à droite. Image Nothing.
Ce petit écran peut aussi générer des animations correspondant à un contact lors d'un appel. Et puisque les téléphones sont souvent sur vibreur, il a été conçu un moteur audio qui génère des séquences de sons très électroniques en fonction du nom de l'appelant. Les utilisateurs pourront par ailleurs créer des choses pour cet écran qui sert aussi à s'amuser. Par exemple avec un Pierre-feuille-ciseaux ou le jeu de la bouteille : elle tourne et c'est celui en face de qui elle s'arrête qui paye l'addition.
Le dos de ce téléphone est aussi pourvu d'un petit indicateur rouge qui peut s'allumer lorsqu'une vidéo est en cours d'enregistrement. Autre idée, après avoir posé le Phone (3) face contre table, un appui long sur l'Essential Key (l'équivalent du bouton Action) va automatiquement lancer la fonction dictaphone avec l'enregistrement de la conversation.
Image Nothing.
On aime ou on n’aime pas l'allure de ce téléphone, mais Nothing a le mérite de tenter quelque chose, et de s'y tenir, dans un domaine où les smartphones, en dépit de leurs différences, sont à peu près tous empreints d'un certain conservatisme dans leurs lignes.
Le Phone (3) sera en vente chez Amazon ou à la Fnac le 15 juillet, mais les précommandes débuteront le 4.
L’offre de crédit à 0 % se poursuit sur l’Apple Store. Apple n’a donné aucune date de fin pour cette opération lancée au début de l’année, mais son partenaire en mentionne une sur son propre site. Cetelem avait indiqué au départ que l’offre devait se terminer le 31 mars, puis le 30 juin. Voilà maintenant l’échéance repoussée au 20 août.
Ce crédit à 0 % permet d’étaler sans frais le paiement d’un iPhone, d’un Mac, d’un iPad, d’une Apple Watch, d’un Vision Pro ou d’un accessoire sur 24 mois maximum. L’offre est soumise à l’examen du dossier, de la situation financière et de l’historique d’emprunt de l’acheteur. Les intérêts habituels sont en fait pris en charge par Apple, qui mise sur de bonnes ventes pour absorber le coût de la promotion.
Attention, Cetelem propose aussi un crédit plus long soumis à des frais de 14,01 %. Il ne faut pas se tromper d’offre. L’établissement compte sur cette opération pour attirer de nouveaux consommateurs.
Produit
Durée
Taux débiteur
iPhone
12 mois
0 %
24 mois
0 %
iPad Air, iPad, iPad mini
4 mois
0 %
12 mois
0 %
36 mois
14,01 %
iPad Pro
4 mois
0 %
20 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Apple Watch
4 mois
0 %
12 mois
0 %
24 mois
14,01 %
Apple Vision Pro
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
Accessoires
4 mois
0 %
MacBook Pro, Mac Studio
4 mois
0 %
24 mois
0 %
36 mois
14,01 %
MacBook Air, Mac mini, iMac
4 mois
0 %
18 mois
0 %
36 mois
14,01 %
« Une fois que [les clients] ont téléchargé notre application sur leur téléphone, il est ensuite possible de leur proposer d'autres produits comme des prêts personnels, des prêts à la rénovation énergétique, etc. », explique Franck Vignard, directeur général de BNP Paribas Personal Finance, la maison mère de Cetelem, aux Échos. Dans ce groupe, le montant moyen d'un crédit à la consommation pour un smartphone est de 700 € environ, contre 1 200 € pour un iPhone. On comprend l’appétit des organismes de crédit pour les clients d’Apple.
Si vous êtes étudiant, patientez un peu : l’offre Back to School devrait bientôt démarrer en France. Autrement, il y a de nombreuses bonnes affaires sur les Mac et les iPhone chez les revendeurs à l’occasion des soldes.
Si vous envisagez de changer de tablette pour profiter d’iPadOS 26 dans de bonnes conditions à la rentrée, voici une offre qui pourrait vous intéresser : un iPad Pro M4 de 11" survitaminé avec 2 To de stockage et l’option verre nano-texturé pour seulement 1 580,98 €. Cette remise de 38 % est proposée sur Amazon France et permet d’économiser 978 € sur le tarif de l’Apple Store. Ne traînez pas si vous êtes intéressé, la plateforme indiquant qu’il ne reste plus qu’un seul modèle en stock.
Image iGeneration
L’iPad Pro M4 a inauguré un nouvel écran OLED en plus d’un design plus fin de seulement 5,3 mm d’épaisseur. Sa puce M4 offre des performances de pointe qui vous permettront de jouer ou de vous en servir comme alternative au Mac dans d’excellentes conditions. Son intérêt sera décuplé en septembre avec la sortie d’iPadOS 26, qui apporte un nouveau système de fenêtre plus proche du Mac.
L’option verre nano-texturé donne une meilleure lisibilité en réduisant les reflets. C’est un bonus appréciable à ce prix, par exemple si vous travaillez dans un environnement avec des néons ou à proximité d’une fenêtre. On notera également une promo sur l’Apple Pencil Pro chez Amazon qui pourra intéresser les créatifs. Le Magic Keyboard est de son côté facturé 349 €.
Pour la Fête Nationale, pCloud lance une opération inédite : du stockage cloud à vie et un gestionnaire de mots de passe inclus, à un tarif très bas. Une bonne fois pour toutes.
Entre un barbecue entre amis et les feux d’artifice, une autre liberté mérite d’être célébrée : celle de ne plus dépendre des abonnements mensuels pour protéger ses données. Le service suisse pCloud frappe fort avec une promotion limitée du 2 au 15 juillet 2025, proposant ses plans à vie avec pCloud Pass Premium offert. Une initiative qui sent bon l’indépendance — et les économies.
Promo pCloud Fête Nationale : les détails d’une offre qui change la donne
Ce n’est pas tous les jours qu’un acteur cloud propose un stockage à vie. Et encore moins avec un gestionnaire de mots de passe offert. Voici ce que propose pCloud jusqu’au 15 juillet :
Tous ces plans sont proposés en paiement unique. Pas d’engagement, pas de frais cachés. Vous achetez, vous gardez, point barre.
Un cloud qui se tient droit dans ses bottes
pCloud, c’est le sérieux suisse allié à la souplesse numérique. Là où d’autres multiplient les offres obscures, les limites mensuelles et les hausses tarifaires surprises, le service basé à Lausanne joue carte sur table : vous payez une seule fois pour un espace qui vous appartient, à vie.
Et vos fichiers ne sont pas envoyés n’importe où : ils sont stockés dans l’Union européenne, dans des data centers au Luxembourg. De quoi concilier performance, souveraineté numérique et confidentialité, avec le respect strict du RGPD à la clé.
Un outil taillé pour les familles, les pros… et ceux qui veulent dormir tranquille
Au-delà de la sécurité, pCloud se distingue par sa polyvalence. Que vous soyez photographe, parent soucieux de sauvegarder les archives familiales, ou freelance en quête d’un espace fiable pour vos livrables, pCloud s’adapte.
Sauvegarde automatique de vos dossiers importants (y compris ceux de votre ordinateur)
Accès à distance depuis tous vos appareils (ordinateur, téléphone, tablette)
Streaming de vidéos et de musiques directement depuis l’espace de stockage
Interface claire, application sobre, synchronisation rapide : rien de superflu
Et pour les utilisateurs avancés, une fonction de chiffrement côté client est disponible (en option payante). Elle permet que même pCloud ne puisse accéder au contenu.
Le gestionnaire de mots de passe pCloud Pass : votre cerveau de secours
Plus besoin de jongler entre une feuille Excel, le trousseau du téléphone et les onglets de navigateur ouverts à la va-vite. Avec pCloud Pass Premium, vous centralisez tous vos mots de passe, notes sécurisées, cartes bancaires et identifiants en un seul lieu, accessible uniquement via votre mot de passe maître.
Tout est chiffré de bout en bout. Le remplissage automatique fonctionne sur tous les navigateurs majeurs, et la synchronisation se fait sur l’ensemble de vos appareils.
Le plus ? L’outil propose aussi un générateur de mots de passe robustes et uniques. De quoi abandonner vos vieux “Motdepasse123” sans crainte d’oublier vos nouveaux sésames.
Pourquoi cette offre a du sens en 2025
Nous sommes cernés : notifications de piratage, fuites massives de données, fermetures de services, abonnements à rallonge… Le modèle pCloud tranche avec cet environnement anxiogène. Il propose une réponse claire, durable, souveraine : vous gardez le contrôle.
L'idée d’un cloud personnel, chiffré, basé en Europe, sans abonnement et sans espionnage, ça devient rare. Encore plus à ce prix-là.
Ajoutez à cela un gestionnaire de mots de passe robuste, inclus sans surcoût, et vous obtenez un vrai kit de survie numérique. Le tout, en une seule fois. Pas besoin d’attendre le Black Friday.
Mais attention : cette promotion n’est valable que jusqu’au 15 juillet 2025.
Apple doit s'acquitter de 110,7 millions de dollars (93 millions d'euros) de dommages et intérêts auprès d'un détenteur de brevets espagnol. TOT Power Control avait porté plainte en 2021 en affirmant que son invention était utilisée sans licence dans les transceivers (émetteur-récepteur) des appareils compatibles 3G d'Apple.
Image Apple.
Alvaro Lopez-Medrano, ingénieur et patron de cette société qui n'a d'autre activité que la défense de cette propriété intellectuelle, a mis au point un moyen de réguler la puissance utilisée en fonction des aléas du signal radio, résume Reuters.
Pour Apple, ces brevets n'ont pas de validité, mais le tribunal de l'État du Delaware en a décidé autrement, considérant qu'un des deux brevets revendiqués par le plaignant avait bien été enfreint. Apple a déclaré vouloir faire appel. LG et Samsung font face aux mêmes accusations et leurs procès sont toujours en cours.
Pour les amateurs du plus compact des iPad, CDiscount poursuit ses bonnes promos sur l'iPad mini A17 Pro. Le modèle Wi-Fi de 256 Go est vendu 599 € sur deux coloris au lieu de 739 € (-140 €). Pour qui a vraiment besoin de stockage, la déclinaison de 512 Go est à 699 € au lieu de 989 € (-290 €) sur le coloris bleu.
iPad mini 7. Image iGeneration.
Si on préfère la variante cellulaire pour ne pas dépendre du partage de connexion de l'iPhone, il y a la version 128 Go en mauve à 599 € au lieu de 779 € (-180 €) et la 256 Go en bleu que le vendeur met à 699 € au lieu de 909 € (-210 €).
iPad mini 7. Image iGeneration.
L'iPad mini 7 (ou A17 Pro du nom de son processeur) est sorti à l'autonome dernier. Il a conservé son format compact qui facilite son transport en toute occasion, il est monté en puissance avec le processeur repris des iPhone 15 Pro qui lui ouvre les fonctions d'Apple Intelligence, il a modernisé sa partie Wi-Fi et Bluetooth, il est compatible avec l'Apple Pencil Pro et il a gommé un effet disgracieux du précédent modèle avec le rafraîchissement de l'écran lorsqu'on faisait défiler des pages. Ses prix de base sont plutôt élevés, mais ces promos atténuent fortement ce défaut.
Apple distribue une mise jour pour XProtect, son système de détection et suppression de malware. C'est une opération de routine qui est effectuée automatiquement lorsque de nouvelles signatures de malwares sont repérées.
XProtect vérifie quotidiennement la disponibilité de ce type d'informations et, lorsque c'est le cas, il télécharge et installe automatiquement ces nouvelles références qui lui permettront le cas échéant de supprimer un malware qui aura trouvé son chemin sur votre Mac (détails du fonctionnement). La version la plus à jour d'XProtect est numérotée 5303, elle se destine à tous les macOS et couvre des variantes de malwares baptisés MACOS_SOMA_JUEN et MACOS_SOMA_LLJU.
Il y a plusieurs moyens de vérifier le numéro de version d'XProtect. Par le Terminal en tapant sudo xprotect check puis en saisissant son mot de passe de session. Ou en lançant l'utilitaire Informations système de son Mac, rubrique Logiciels puis Installation et en faisant défiler la liste tout en bas.
macOS 26 ne voit pour le moment que la précédente version 5302. Image MacGeneration.
Pour forcer la récupération d'une mise à jour, retour dans le Terminal en tapant sudo xprotect update et à nouveau son mot de passe de session. Il est possible cependant que cette version 5303 ne soit pas encore prête à la distribution sur iCloud. Dans ce cas, il suffit d'attendre un jour ou deux, l'installation se sera peut-être faite entre temps. Vérifiez tout de même que vous avez laissé active la récupération des mises à jour de sécurité.
Air France se prépare à utiliser les AirTags de ses passagers pour localiser un bagage égaré et rejoindre ainsi d'autres compagnies aériennes.
Le service est encore en test, nous a indiqué un contact, mais une page de formulaire pour soumettre la position de son AirTag est déjà visible. Avec elle on renseignera la référence de son dossier bagage et on collera un lien généré par Localiser qui permettra aux personnels d'Air France d'avoir un accès temporaire à la position de votre balise.
Image Lufthansa.
Cette possibilité est apparue avec iOS 18.2 à la fin de l'année dernière. Apple a travaillé avec une quinzaine de compagnies aériennes1 pour intégrer le suivi d'un AirTag (ou autre balise compatible Localiser) placé dans un bagage. Localiser permet de partager un lien de suivi de la balise située dans un bagage que l'on aura préalablement déclaré comme perdu. Le lien est valable une semaine et peut être révoqué à tout moment ou dès que le bagage est récupéré.
La compagnie peut exploiter cette géolocalisation et, si nécessaire, s'en servir avec la plateforme WorldTracer utilisée par les compagnies à travers le monde pour mettre en commun leurs efforts de recherche.
Partage temporaire d'une position depuis Localiser. Image iGeneration.
Apple avait publié une liste de ses premiers partenaires où Air France était absente, mais il y avait KLM Royal Dutch Airlines avec qui elle forme un même groupe, ce qui laissait espérer que la compagnie française allait suivre. Son site indique toujours que les AirTags ne sont pas pris en charge. Cela devrait donc changer et, dans le courant 2026, la fonction devrait être intégrée dans les outils des équipes responsables des bagages.
Aer Lingus, Air Canada, Air New Zealand, Austrian Airlines, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Singapore Airlines, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, Virgin Atlantic et Vueling. ↩︎
Depuis des dizaines d'années, Apple tente de supprimer les ventilateurs de ses ordinateurs. Si cette solution n'est pas toujours gage d'efficacité — ceux qui ont utilisé un MacBook en 2015 comprendront —, elle a pourtant un mérite : elle protège l'ordinateur de certains malwares.
La raison n'est pas réellement liée directement à l'absence de ventilateurs, il s'agit d'un effet secondaire du fonctionnement de certains malwares. Les malandrins qui développent les logiciels malveillants veulent en effet généralement éviter que les experts en sécurité analysent ces derniers, et tentent donc régulièrement de vérifier si leur création tourne dans une machine virtuelle. En effet, les experts emploient fréquemment cette solution pour déterminer comment fonctionne un malware en toute sécurité. Dans la pratique, de nombreux malwares se désactivent s'ils détectent qu'ils fonctionnent dans une machine virtuelle, et deviennent donc inoffensifs.
Il n'y a pas de ventilateur dans le MacBook Retina de 2015. Image iFixit.
Le rapport avec la présence d'un ventilateur est donc indirect. Pour détecter une machine virtuelle, il est possible de vérifier la présence de certains fichiers ou de certains noms standardisés (par exemple celui du volume de stockage) ou la présence de pilotes associés à une machine virtuelle. Comme les experts en sécurité s'adaptent et tentent aussi de se cacher, une des voies choisies consiste à vérifier la présence de composants matériels qui devraient être présents mais ne le sont pas, comme un ventilateur pour le processeur. Les logiciels de virtualisation vont en effet souvent à l'essentiel, et ne renvoient donc pas les données liées aux composants matériels, comme la température du processeur ou la vitesse de rotation du ventilateur, ni même sa présence.
Le refroidissement passif étant une exception plutôt que la norme dans les PC, un ordinateur sans ventilateur peut être vu comme une machine virtuelle. Petr Beneš, un développeur, a récemment expliqué comment il a ajouté un ventilateur virtuel dans Xen, un hyperviseur. Cette solution permet en pratique de contourner une protection interne d'un malware pour qu'il s'exécute dans une machine virtuelle sans qu'il s'en rende compte. Mais sa solution montre aussi qu'un ordinateur sans ventilateur pourrait être protégé dans certains cas… de quoi favoriser ceux qui utilisent un ordinateur Apple passif. C'est le cas des MacBook sortis entre 2015 et 2017 mais aussi des MacBook Air depuis le modèle M1. Bien évidemment, il faut rester méfiant : les malwares peuvent intégrer d'autres solutions pour déterminer la présence d'une machine virtuelle, et le code peut avoir été adapté pour prendre en compte les exceptions, comme les ordinateurs d'Apple.
Le nouveau film produit par Apple, F1 le film, a trouvé sa place dans les salles obscures (et climatisées), avec un bon démarrage à l'international, mais aussi en France ou aux États-Unis. Porté par Brad Pitt et réalisé par Joseph Kosinski — Tron : L'Héritage ou Top Gun: Maverick —, il est bien évidemment destiné à terminer sa vie sur les « petits » écrans, ceux d'Apple TV+. Mais quand pourra-t-il sortir sur le service d'Apple ?
« Il faut vraiment attendre si longtemps ? ». Image Apple.
Aux États-Unis, comme l'explique 9to5 Mac, c'est assez simple : rapidement. Il devrait être proposé à l'achat ou en location environ 45 jours après la sortie en salle. Comme il est sorti le 27 juin dans le pays, il sera donc disponible en théorie dès le 11 août 2025. C'est une estimation, pour une raison simple : il n'y a pas réellement de règles. L'accord tacite est d'attendre 45 jours si le film fonctionne bien dans les salles, sans qu'il soit imposé par les studios dans tous les cas. En pratique, c'est généralement un peu moins : Dark Horizonsdonne 27 jours en 2021, 38 jours en 2022, 39 en 2023 et 37 en 2024, en moyenne.
La sortie sur les plateformes de streaming, elle, est plus tardive… mais là encore, il n'y a pas de règles imposées. Le même site donne 128 jours après la sortie en salle en moyenne en 2021, 110 jours en 2022, 104 en 2023 et 99 jours en 2024. 9to5 Mac annonce entre et un et deux mois entre la sortie en location et la disponibilité en streaming, ce que la moyenne confirme à peu près. L'estimation d'une sortie durant le mois d'octobre 2025 est donc assez plausible : le film a du succès, donc il ne devrait pas arriver (trop) rapidement sur le service Apple TV+.
Des règles plus rigides en France
Dans notre pays, le film devrait être disponible dès le 25 octobre à la location, quand il sera probablement disponible sur Apple TV+ dans d'autres pays1. Vous pourrez aussi l'acheter sur iTunes (par exemple) et peut-être même en Blu-ray. Canal+ pourra ensuite le diffuser dès le 25 décembre pour ses abonnés et il faudra ensuite attendre fin novembre 2026 (soit 17 mois après la sortie en salle) pour le voir sur Apple TV+, sauf si Apple trouve un accord avec les autorités. Si F1 le film était un film Disney, il serait par exemple disponible à partir du 25 mars 2026.
Nous pourrions vous parler d'un éventuel VPN qui sponsorise cette actualité pour vous localiser aux États-Unis… mais ce n'est pas le cas. ↩︎
Mactracker, véritable encyclopédie des produits Apple, gagne une fonctionnalité qui ravira les collectionneurs acharnés. L’application permet maintenant de synchroniser sur plusieurs Mac sa liste personnelle d’appareils. Ainsi, si vous avez méticuleusement consigné vos achats Apple dans Mactracker au fil des ans, cette longue liste sera accessible sur tous vos Mac.
Considérée pour le moment comme étant en bêta, la synchronisation repose sur iCloud Drive. Elle doit être activée dans les réglages de l’application. Si vous avez des collections personnelles différentes sur plusieurs Mac, le développeur Ian Page recommande de les exporter en premier lieu, puis d’activer la synchronisation et enfin de les importer. Cela aura pour effet de consolider toutes les entrées qui étaient stockées localement précédemment.
Mactracker 8. Image MacGeneration.
Mactracker 8 comprend d’autres améliorations dédiées à l’onglet My Models. On peut archiver des produits plutôt que les supprimer (il faut ouvrir leur fiche et cliquer sur l’icône de carton en haut à droite), les sections Recents et Categories ont été ajoutées dans la barre latérale, et on peut préciser la couleur du produit possédé le cas échéant.
Au passage, cette mise à jour actualise des informations et enrichit la base de données d’appareils supplémentaires. Sont ajoutés des produits récents (MacBook Air M4, iPad Air M3, iPad A16…) ainsi que d’autres plus anciens (batterie MagSafe), voire antiques (Apple Graphics Tablet).
Mactracker 8 demande macOS 10.14 Mojave au minimum. L’application est entièrement gratuite. Vous pouvez soutenir Ian Page en lui faisant un don. Mactracker dispose aussi d’une version iOS, mais celle-ci n’intègre pas encore l’option de synchronisation.
De nombreux fabricants de casques Bluetooth ne développent pas leurs propres composants et se basent sur du matériel — et parfois du logiciel — fourni par une société tierce. Des failles dans ceux qui utilisent l'implémentation d'Airoha ont été montrées récemment par les chercheurs d'ERNW, et elle implique de gros risques : il est possible d'activer le microphone à distance ou de récupérer des informations personnelles, comme le contenu du carnet d'adresses d'un smartphone.
Certaines enceintes portables sont touchées. Image Marshall.
Elles se basent sur l'absence d'authentification dans un protocole de la marque, pour les marques qui emploient le SDK (le kit de développement) d'Airoha. De nombreux appareils sont vulnérables, et il n'y a qu'une condition selon les chercheurs : être à portée d'un périphérique Bluetooth (casque ou enceinte portable). Les modèles touchés, selon eux, proviennent de nombreux fabricants : Sony (CH-720N, Link Buds S, ULT Wear, WF-1000XM3, XM4, XM5, WF-C500, C510, WH-1000XM4, XM5, XM6, WH-C520, WH-XB910N, WI-C100), Beyerdynamic (Amiron 300), Bose (QuietComfort Earbuds), Jabra (Elite 8 Active), JBL (Endurance Race 2, Live Buds 3) ou Marshall (Acton III, Major V, Minor IV, Motif II, Stanmore III, Woburn III). D'autres marques moins populaires sont aussi de la partie, et probablement de nombreux autres modèles qui emploient les composants d'Airoha.
Des risques importants
La faille permet notamment de lire le contenu de la mémoire du contrôleur, qui peut contenir des informations sur ce que vous écoutez. Les chercheurs évoquent aussi la possibilité d'activer le microphone ou même d'effectuer des appels depuis un casque attaqué, s'il est relié à un smartphone. L'activation elle-même n'est heureusement pas discrète : si de la musique est en cours de lecture, l'activation du microphone devrait la couper. Mais si le casque est inactif et allumé (par exemple posé sur une table), le microphone peut être activé.
Des écouteurs Jabra touchés. Image Jabra.
Une autre attaque possible est la possibilité de récupérer des informations, comme le numéro de téléphone du smartphone ou le contenu du carnet d'adresses. Les casques demandent rarement l'accès à ces informations (c'est plutôt réservé aux autoradios) et les systèmes d'exploitation devraient vous demander l'autorisation de le faire, mais si vous ne faites pas attention ou si l'autorisation a déjà été donnée, les informations peuvent être exfiltrées. De plus, les chercheurs expliquent qu'il est possible de modifier le contenu du logiciel du casque pour que le malware se réplique.
Actuellement, la faille a été corrigée dans le SDK d'Airoha début juin, mais les constructeurs doivent mettre à jour le firmware de leurs appareils, et le distribuer massivement. Les chercheurs recommandent aux personnes qui peuvent être ciblées par une attaque de ce type (journalistes, hommes politiques, etc.) d'éviter d'utiliser un casque Bluetooth en public.
Apple accuse un de ses anciens ingénieurs haut placés d’avoir volé des secrets industriels sur le Vision Pro, et ce en vue de s’en servir chez son nouvel employeur, Snap, rapporte SiliconValley.com.
Di Liu a participé à la R&D sur le casque de réalité virtuelle en tant qu’ingénieur senior. Après sept années passées à Cupertino, il a remis sa démission en arguant qu’il voulait passer plus de temps avec sa famille et prendre soin de sa santé. D’après la plainte d’Apple déposée contre lui, il a en fait dissimulé la signature d’un contrat d’embauche chez Snap, le créateur de Snapchat mais aussi des lunettes Spectacles, à un poste très similaire.
Trois jours avant son départ de Cupertino, Di Liu a téléchargé des milliers de documents internes comprenant des secrets industriels sur le Vision Pro (informations sur le contrôle qualité, les coûts de fabrication, la chaîne d’approvisionnement…) et les a transférés sur un espace de stockage en ligne personnel, selon Apple. De son côté, le fabricant des Spectacles, qui n’est pas incriminé dans ce dossier, affirme que ces allégations n’ont pas de lien avec son activité.
La firme de Cupertino accuse donc Di Liu d’avoir violé son accord de confidentialité. Elle réclame des dommages et intérêts ainsi que la restitution des documents volés. Ce genre d’affaires n’est pas une première. En 2021, par exemple, Apple avait poursuivi un de ses designers pour des fuites dans la presse. Le démêlé s’était soldé par un accord financier (confidentiel, lui) entre les deux parties.
Google Keep a perdu son compagnon watchOS avec sa dernière mise à jour sur iPhone. L'app reste proposée sur iPad mais la version pour la montre qui était apparue en 2019 a été retirée. Google Keep sert à prendre des notes qui peuvent contenir du texte, des images ou pourquoi pas des tâches.
Google Keep en 2019. Image Watch Generation.
Le retrait de cette version se produit à un moment où Apple a justement créé une version watchOS de Notes qui fera partie des quelques nouveautés de watchOS 26 à la rentrée. L'un part quand l'autre arrive, peut-être est-ce une simple coïncidence ? Dans le même temps, Google a lancé hier sa première mouture watchOS de Google Agenda.
Après avoir installé iOS 26, vous ne pourrez plus dire à vos collègues « oups, désolé, j’ai oublié de te rappeler ». L’application Téléphone comprend une nouvelle fonctionnalité pour ne pas oublier de rappeler un correspondant.
Dans la liste des appels, il faut faire glisser vers la gauche l’appel manqué, puis appuyer sur l’icône d’horloge et choisir l’heure du rappel (dans une heure, ce soir, demain ou personnalisé). Au moment voulu, une notification vous remettra en tête de rappeler votre correspondant.
Création d’un rappel téléphonique. Image iGeneration.
Si vous avez activé la nouvelle interface unifiée de Téléphone, le rappel apparaitra en haut de la liste, dans une nouvelle section nommée « Rappels ». Si vous êtes resté sur l’interface classique, le rappel remontera aussi en haut de la liste, mais il ne sera pas bien démarqué des appels récents. Cela évoluera peut-être avec les prochaines bêtas d’iOS 26.
Cette fonction ne concerne pas seulement les appels manqués, vous pouvez très bien définir un rappel pour une conversation téléphonique que vous avez tenue et qui mérite une suite.
Le rappel est visible dans l’app Rappels. Image iGeneration.
En plus de l’application Téléphone, le rappel créé est visible dans l’application Rappels. La notification reçue vient d’ailleurs de l’app Rappels, et non de Téléphone. Si vous fermez un rappel téléphonique dans une app, il est fermé automatiquement dans l’autre.
L’application Téléphone d’iOS 26 comprend d’autres nouveautés que nous avons présentées dans l’article suivant :
Les chercheurs de chez Rapid7, spécialisés dans la sécurité, viennent de publier un article qui montre que de très nombreuses imprimantes Brother sont touchées par des failles de sécurité. Certaines sont très importantes et une des failles ne peut même pas être corrigée chez les clients, nous allons le voir. Les huit failles touchent 689 modèles de chez Brother, de l'imprimante classique aux modèles multifonctions en passant par les imprimantes à étiquettes de la marque, populaires. Ils indiquent par ailleurs que 46 modèles Fujifilm, 5 imprimantes Ricoh, 2 appareils de chez Toshiba et 6 de chez Konica Minolta sont aussi touchés, ce qui monte le total à 748. Les marques en question utilisent a priori du matériel Brother sous licence, une méthode courante dans les imprimantes.
Une imprimante à étiquettes Brother. Image Brother.
La faille CVE-2024-51979 permet un dépassement de tampon, qui peut amener une compromission du logiciel de l'imprimante, par exemple pour lui faire exécuter du code malveillant. La CVE-2024-51980, elle, permet à un malandrin de lancer des attaques sur le réseau local auquel est connectée l'imprimante, comme la CVE-2024-51981 (en simplifiant, dans les deux cas). La CVE-2024-51982 permet de planter l'imprimante, comme la CVE-2024-51983. Enfin, la CVE-2024-51984 permet à un attaquant authentifié d'obtenir un mot de passe enregistré pour un des services de l'imprimante (par exemple, celui d'un partage sur un NAS).
La page de configuration d'une imprimante Brother. Image MacGeneration.
Une double faille impossible à corriger
La faille la plus dangereuse est la CVE-2024-51978. Elle permet à un attaquant de récupérer le mot de passe administrateur par défaut de l'imprimante. Si Brother a la bonne idée de ne plus employer le couple admin/admin ou un équivalent basique, la société a choisi de générer le mot de passe en fonction du numéro de série, avec un algorithme qui a été découvert. Cette faille ne peut pas être corrigée directement, et Brother a dû modifier la méthode dans ses usines. Pour les clients, la seule solution consiste à modifier le mot de passe de connexion (ce que certains ont probablement déjà fait). Elle est dangereuse car la 8e faille, la CVE-2024-51977, permet justement de récupérer le numéro de série sans être authentifié…
Une imprimante multifonctions de la marque. Image Brother.
Brother a corrigé les failles
Si vous avez une imprimante Brother, la marque a communiqué sur les failles et propose des correctifs. La page de Rapid7 liste par ailleurs les liens vers les informations des autres fabricants touchés. Nous vous conseillons de changer le mot de passe administrateur de l'imprimante, en plus d'appliquer les éventuelles mises à jour. Les failles ont été découvertes en mai 2024, et la marque a commencé à corriger les failles après quelques mois. La date de divulgation a été fixée assez rapidement pour juin 2025, et les failles sont normalement comblées si vous avez du matériel à jour.
En deux ans et demi, le prix de l’iPad de 10e génération a été quasiment divisé par deux. Cette tablette est désormais vendue 299 € sur Amazon ainsi que chez Fnac - Darty. La version de base dispose de 64 Go de stockage. Ce n’est pas énorme, mais ça peut faire suffire si vous n’installez pas beaucoup d’applications.
iPad 10. Image iGeneration.
Autrement, la version 256 Go est en promotion à 379 € sur Amazon en coloris jaune. Avec cette capacité, il n’y a plus tellement de soucis à se faire sur l’espace disponible. L’iPad 10 embarque une puce A14 et 4 Go de RAM. Ce n’est pas suffisant pour faire tourner Apple Intelligence, mais ça l’est encore pour les usages les plus courants sur une tablette : Netflix, navigation web, email… Cet iPad a une webcam bien positionnée pour les visios et se recharge en USB-C.
Il y a une chose à prendre en compte : à 379 €, on entre dans la zone tarifaire de l’iPad A16, le modèle d’entrée de gamme de dernière génération. Celui-ci est vendu 389 € avec 128 Go de stockage. Il se distingue uniquement de l’iPad 10 par sa puce plus récente. L’A16 devrait offrir quelques années supplémentaires de mises à jour à l’appareil, mais il ne lui offre pas Apple Intelligence.
En matière d’équipement Wi-Fi, si les performances du système de votre box ne vous conviennent pas, vous avez deux options : soit vous optez pour le dernier système du marché, qui est compatible avec la technologie Wi-Fi 7, mais qui coûte une petite fortune, soit vous misez sur un modèle plus ancien, mais moins cher.
Si vous appartenez à cette deuxième catégorie, sachez qu’Amazon brade actuellement son système de routeur Wi-Fi 6 maillé. Son système Eero 6 est proposé actuellement au prix de 129,99 €, alors qu’il est proposé en temps normal au prix de 259,99 €. Cette offre est proposée uniquement aux membres Prime.
Concrètement, eero 6 comprend trois modules qui permettent d’étendre votre Wi-Fi sur une surface allant jusqu’à 420 mètres carrés et peut gérer plus de 75 appareils connectés. Le constructeur annonce des débits pouvant monter jusqu’à 500 Mb/s, c’est moins que le tout dernier Wi-Fi 7, mais dans le cadre d’une utilisation normale, c’est largement suffisant.
L’offre d’Amazon se distingue à travers deux avantages. L’interface d’administration est plutôt simple et intuitive par rapport à ce que propose la concurrence. Ces appareils sont dotés d’un hub connecté Zigbee, qui peut être intéressant dans le cadre d’une installation domotique. Pour ceux qui veulent absolument du Wi-Fi 7, sachez qu’Amazon propose un module eero 7 à 199,99 € et un pack avec trois modules à 399,99 €.
Enfin, pour ceux qui n’aiment pas l’offre d’Amazon, sachez qu’Asus organise une promotion similaire. L’ASUS ZenWiFi XD4 Plus est également un système Wi-Fi 6 comprenant trois boitiers permettant de couvrir une surface de 600 mètres carrés. Son prix est légèrement plus élevé (160 €), mais la promotion n’est pas réservée aux membres Prime.
En plus de la fonction télécommande de l’appareil photo de l’iPhone, les AirPods liés à iOS 26 semblent avoir un nouveau comportement lors de la recharge. Jusque-là, lorsque l’on posait le boîtier sur un chargeur sans fil ou qu’on le branchait à un câble, son voyant s’allumait en orange pendant quelques secondes, puis s’éteignait.
Ancien signal pour la recharge : le voyant est orange fixe. Vidéo WatchGeneration.
Avec les firmwares en bêta liés à iOS 26, nous avons remarqué un petit changement : le témoin lumineux clignote désormais en orange pendant une dizaine de secondes avant de s’éteindre. Nous avons noté ce changement sur des AirPods 4 et des AirPods Pro 2 dotés des firmwares 8A5279d et 8A293c.
Nouveau signal pour la recharge : le voyant clignote en orange. Vidéo WatchGeneration.
Apple n’a pas communiqué sur cette modification, qui vise peut-être à indiquer plus clairement que la recharge a bien démarré. Ce n’est pas révolutionnaire, mais vous êtes au courant.