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Incogni : vos données protégées avec cette offre Cyber Monday immanquable

Avec l’explosion des cybermenaces et le poids croissant des collecteurs de données personnelles, Incogni s’impose comme une solution presque indispensable pour regagner le contrôle sur nos informations privées. Et à l’occasion du Cyber Monday, l’entreprise propose une promotion exceptionnelle qui en fait une opportunité à ne pas manquer.

Incogni simplifie un problème complexe : la suppression de vos données personnelles des bases de données de tiers. Vous le savez bien, ces dernières sont souvent partagées ou vendues sans votre consentement. Avec Incogni, cette tâche fastidieuse est automatisée, vous épargnant un temps précieux.

Pourquoi choisir Incogni maintenant ?

Cette promotion Cyber Monday permet de profiter du service à un tarif exceptionnel : moins de 6 € par mois pour une protection renforcée. Ce tarif rend le service très attractif, que ce soit pour ceux souhaitant protéger leurs données personnelles ou pour des petites familles (avec plusieurs comptes e-mail par exemple).

En activant le code promo MBFCM24 vous accédez à une année complète de services pour un coût réduit. La possibilité d’annuler à tout moment et la garantie de remboursement de 30 jours offrent une flexibilité supplémentaire.

Des défis de taille pour la vie numérique

Picard, Molotov TV, SFR, Auchan... L'importance de protéger ses données personnelles est devenue évidente dans un moment où les atteintes à la vie privée se multiplient. Les cybercriminels et les courtiers en données collectent, utilisent et revendent des informations sensibles comme des adresses e-mail, des numéros de téléphone et même des coordonnées bancaires. Cela peut entraîner une exposition à des campagnes de spam, des tentatives de phishing et, dans les cas les plus graves, des vols d’identité.

La suppression manuelle de ces données auprès de centaines de courtiers est une tâche titanesque qui décourage même les plus motivés. C’est précisément là qu’Incogni intervient. Grâce à des algorithmes avancés et une approche proactive, le service identifie les bases de données tierces qui détiennent vos informations et gère directement les demandes de suppression. Vous n’avez qu’à configurer votre compte et laisser Incogni s’occuper du reste.

Comment profiter de l’offre ?

Pour bénéficier de cette réduction de 58 %, le processus est simple :

En quelques clics, vous activez un service qui vous accompagnera toute l’année, avec une gestion entièrement automatisée et des résultats mesurables dès les premières semaines.

Comment suivre l’avancée du travail d’Incogni ?

L’un des atouts majeurs d’Incogni réside dans la transparence de son fonctionnement. Une fois votre abonnement activé, vous avez accès à un tableau de bord minimaliste qui vous permet de suivre chaque étape du processus.

Le tableau de bord liste toutes les demandes de suppression de données en cours. Vous pouvez voir quelles entreprises ont été contactées et lesquelles ont confirmé la suppression de vos informations.

Incogni vous informe en temps réel de l’état d’avancement de chaque demande. Vous êtes averti lorsque vos données ont été supprimées ou si des démarches supplémentaires sont nécessaires. Vous recevez aussi des e-mails mensuels pour vous résumer l'avancée, comme ici que nous avons reçu début décembre :

Pour les plus soucieux des résultats, le tableau de bord fournit des statistiques claire sur chaque courtier contacté.

En cas de question ou de problème, vous pouvez facilement contacter le support depuis votre espace client. Les équipes d’Incogni sont là pour vous guider et vous assurer une expérience sans accroc.

L'offre Cyber Monday, c'est maintenant !

La protection des données personnelles n’est pas un luxe, mais une nécessité : avec Incogni, vous bénéficiez d’un outil puissant pour contrer tous ces collecteurs en données et retrouver une tranquillité d’esprit en ligne. N'oubliez pas le code promo MBFCM24 !

Cette offre Cyber Monday est limitée dans le temps. Ne laissez pas passer cette opportunité !

OpenAI envisage d’ajouter des pubs à ChatGPT

ChatGPT est pour le moment accessible gratuitement et sans publicités, mais cela pourrait changer : la CTO d’OpenAI Sarah Friar a confirmé au Financial Times qu’elle n’écartait pas la possibilité d’ajouter des réclames ici ou là. Cette stratégie pourrait permettre de rentabiliser le service, dont les serveurs sont très coûteux à faire tourner. Sarah Friar a toutefois garanti que l’intégration se ferait de manière « réfléchie », au niveau du timing comme sur la forme.

Image OpenAI / MacGeneration

OpenAI compte quelques profils spécialisés sur la publicité dans ses rangs. Le Chief Product Officer Kevin Weil s’est occupé de la mise en place des pubs dans de grandes plateformes comme Instagram ou Twitter. L’entreprise a également recruté Shivakumar Venkataraman, l’ancien vice-président de l’équipe gérant la réclame dans les outils de recherche de Google. Les pubs ne devraient toutefois pas être en ligne demain : Sarah Friar a déclaré ne pas avoir « de projet actif » en matière de publicité.

Par le passé, Sam Altman avait expliqué ne pas être un fan de ce modèle économique. « Je déteste les publicités », avait-t-il déclaré lors d’une rencontre à Harvard. S’il y voyait à l’époque une solution de dernier recours, les sources du Financial Times affirment que le CEO serait de plus en plus ouvert à l’idée.

OpenAI doit trouver un moyen de mettre du beurre dans les épinards. Son produit phare ChatGPT est disponible gratuitement et sans inscription. L’entreprise propose bien un abonnement ChatGPT+ à 20 $ par mois et vend un accès à ses API aux développeurs, mais cela ne compense pas les frais. OpenAI affiche des revenus d’environ 4 milliards de dollars sur une base annuelle, mais en aurait dépensé 5 pour l’entraînement de nouveaux modèles.

iOS 18.2 va laisser une partie des utilisateurs d’iPhone accéder à ChatGPT via Siri, ici aussi sans créer de compte. Un lien permettant de s’abonner à ChatGPT+ sera proposé directement depuis les Réglages de l’iPhone, ce qui devrait donner une belle visibilité à l’abonnement. La mise à jour est actuellement en bêta et sortira dans le courant du mois.

MAX ouvre la chasse aux comptes partagés

Warner Bros Discovery va démarrer doucement sa chasse aux comptes partagés de son service de streaming MAX. Les premiers messages apparaîtront à partir de la semaine prochaine chez des abonnés dont l'utilisation du service paraît anormalement élevée. Il s'agira de notifications « très gentilles » pour cette première vague. Car il est compliqué de déterminer avec certitude si un usage est dans les clous (l'abonné peut voyager beaucoup, par exemple) ou si le compte est partagé, a souligné Jean-Briac Perrette, le responsable de la plateforme.

Image MAX.

À partir du prochain trimestre, MAX proposera une option d'ajout d'un abonné extérieur à un compte, comme le font déjà Netflix ou Disney+. Cela revient à 5,99 € chez Netflix pour rejoindre l'une des formules payantes et 4,99 € ou 5,99 € chez Disney selon qu'on ajoute la personne à la formule avec pub ou sans.

MAX diffuse en France à partir de 5,99 €

MAX diffuse en France à partir de 5,99 €

Disney+ a mis en place cette possibilité de créer un compte supplémentaire pour un abonné hors du foyer depuis la fin septembre. Plusieurs pays européens ont désormais cette option dans leur grille tarifaire, mais la France fait toujours exception.

Max s’attaque à son tour au partage de mots de passe

Max s’attaque à son tour au partage de mots de passe

Les Google Pixel peuvent désormais vous donner leur température exacte

Cela fait maintenant deux générations que les téléphones Pixel embarquent un thermomètre permettant de prendre la température d’un objet ou d’une personne (aux États-Unis tout du moins). Google ne compte pas s’arrêter la et veut également vous permettre de rapidement connaître la température de votre téléphone. 9to5Google a remarqué une mise à jour récente des services « Pixel Troubleshooting » ajoutant cette donnée dans les paramètres des différents Pixel à partir du 6.

Image 9to5Google

L’information est à aller chercher dans la rubrique « Batterie » - « Diagnostic de batterie », où il faudra appuyer sur « Mon téléphone est très chaud ». Une petite courbe indique ensuite la température du téléphone, allant du bleu au rouge. Android indique qu’un smartphone légèrement chaud peut bloquer la charge et limiter la luminosité de l’écran ou les performances réseau. Un appareil trop chaud pourra voir ses performances bridées, tandis que certaines fonctions seront inaccessibles.

Google indique que la température est mesurée à l'aide de différents capteurs. Plusieurs astuces sont données pour l’aider à refroidir, par exemple en assurant une bonne circulation de l’air ou en fermant les applications intensives. Le système rappelle qu’un téléphone trop froid peut s’éteindre inopinément. La Pixel Tablet n’est pas compatible avec cette nouveauté.

Apple ne propose aucun réglage de la sorte sur ses iPhone. Elle affiche cependant un avertissement lorsque les iPhone deviennent trop chauds. Cela a pour conséquence de brider certains paramètres, voire de bloquer temporairement le smartphone.

Google est-il en train de devenir le Facebook des moteurs de recherche ?

« Si Google était un bateau, il serait le Titanic quelques heures avant de heurter un iceberg ». Voilà comment débute un récent article publié par le Wall Street Journal ayant pour titre : « Googler est pour les personnes âgées. C’est un problème pour Google ».

La comparaison avec le Titanic n’est pas mauvaise tant Google parait insubmersible. Pourtant, depuis quelque temps, les nuages s’amoncellent pour le géant de l’Internet. Si Sundar Pichai, agacé par les bisbilles juridiques que connait son groupe, cherche à se rassurer, il doit sans doute se répéter cette maxime — quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me console — tant les problèmes d’Alphabet sont grands. En effet, depuis quelques mois, le département de la Justice des États-Unis (DoJ) milite pour qu’Alphabet se débarrasse de Chrome et éventuellement d’Android. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg…

Image conçue par une intelligence artificielle

Mais le temps judiciaire est extrêmement long. Avant qu’une décision soit prise, il se pourrait bien que les problèmes pointés par les autorités de la concurrence puissent être réglés par le déclin du moteur de recherche d’Alphabet acculé de toute part.

Google n’est plus un réflexe

Voilà plusieurs années que Google n’est plus forcément le réflexe unique quand un internaute se décide à faire une recherche sur Internet. Par la force des choses, de plus en plus de gens font des requêtes sur Amazon lorsqu’ils sont à la recherche d’un produit. Résultat, le groupe de Jeff Bezos s’octroie aux États-Unis une part de marché toujours plus importante du gâteau publicitaire des recherches en ligne. Amazon a plus que doublé sa part en quelques années, alors que Google devrait passer pour la première fois sous les 50 % en 2025. Ce serait tout simplement une première. Aux États-Unis, un autre acteur émerge et pourrait bel et bien lui tailler des croupières : il s’agit de TikTok. Selon une étude, 23 % des utilisateurs de ce réseau social font une recherche dans les 30 secondes après avoir lancé l’application.

Image : MacGeneration

La qualité du moteur de recherche de Google est en baisse

La situation est déjà préoccupante pour Alphabet, mais il manque peut-être le principal. L’iceberg de Google pourrait bel et bien être l’intelligence artificielle générative, qui a relancé l’intérêt et les investissements dans les moteurs de recherche. ChatGPT incorpore depuis peu un moteur de recherche. Mais le pire est à venir pour Alphabet, OpenAI étudie la possibilité de lancer une version gratuite de son service financé par la publicité. La concurrence promet d’être intense. Meta travaille également sur le sujet depuis des mois tandis que Microsoft et Apple cherchent à intégrer ces technologies au plus profond de leurs systèmes d’exploitation.

Tout ceci en toute logique pourrait aboutir à moins de recherche sur Google et donc moins de revenus. Or, Google Search est à Alphabet ce que l’iPhone est à Apple. Cette activité génère encore la moitié du chiffre d’affaires d’Alphabet. Enfin, Google doit faire face à un dernier problème à savoir la baisse de qualité de son moteur de recherche : résultats de moins en moins précis, publicités en hausse, mise en avant d'articles générés par l’IA…

Google remplace le responsable de son moteur de recherche

Google remplace le responsable de son moteur de recherche

Ce n’est sans doute pas une coïncidence si Prabhakar Raghavan, vice-président en charge de la recherche et des pubs, a été invité à prendre un autre poste au sein d’Alphabet tout récemment. La partie est cependant loin d’être perdue pour Google. Elle n’est pas en reste dans le domaine de l’intelligence artificielle, mais pour surmonter ces obstacles, le géant de l’internet devra avoir l’intelligence de se réinventer.

Hyundai ne compte pas abandonner CarPlay et Android Auto… pour le moment

Contrairement à Tesla, Rivian et surtout à GM qui a fait beaucoup parler à ce sujet l’an dernier, Hyundai entend bien intégrer les interfaces des smartphones de ses clients dans ses voitures. Le constructeur sud-coréen compte ainsi conserver son intégration actuelle de CarPlay et Android Auto jusqu’à nouvel ordre… même si cela pourrait changer à l’avenir. Pas de panique toutefois, l’entreprise adopte une stratégie prudente et cherche à éviter au maximum de froisser ses clients.

La toute nouvelle Ioniq 9, gros SUV entièrement électrique qui vise avant tout le marché américain, conserve CarPlay et Android Auto sur l’écran principal de son tableau de bord. Image Hyundai.

C’est en tout cas ce qu’a promis Olabisi Boyle, senior vice-présidente en charge du développement produit et de la stratégie mobile pour Hyundai en Amérique du Nord, dans une interview accordée au site InsideEVs. « Pour le moment, nous comptons conserver Android Auto et CarPlay. C’est un petit peu comme sur la charge des voitures électriques. En avançant sur cette voie, nous voulons laisser toutes les options. », a-t-elle expliqué, en faisant référence à l’adoption du connecteur NACS créé par Tesla et qui s’impose comme standard en Amérique du Nord. Hyundai offre ce que le client attend que ce soit en matière de charge pour les clients nord-américains, de motorisation1 ou encore d’infodivertissement.

C’est une distinction bien nette avec le groupe GM qui s’est mis à dos une partie de sa clientèle en abandonnant CarPlay et Android Auto. S’il est plus facile pour un constructeur automobile de ne jamais adopter les interfaces projetées par les smartphones, comme Tesla et dans une moindre mesure Rivian ont pu le prouver, c’est plus compliqué pour un acteur bien établi de retirer une fonctionnalité aussi populaire. Hyundai compte sur cet argument pour vendre ses voitures, une stratégie assez évidente suivie également par Ford, entre autres. Ce qui ne veut pas dire que le constructeur compte reposer exclusivement et perpétuellement sur les fonctions proposées par Apple et Google.

Au contraire, la responsable explique bien que son entreprise développe des fonctions plus avancées pour ses voitures. À terme, il pourrait y avoir des fonctionnalités encore meilleures que ce que CarPlay et Android Auto peuvent offrir, auquel cas un abandon pourrait être envisagé. Il devra toutefois se faire de manière naturelle, sans froisser les clients et leurs demandes. En clair, même si Hyundai pourrait finir par abandonner ces fonctions, ce n’est pas au programme à court terme et il n’y a pas de raison que cela change avant un long moment.


  1. Comme bon nombre de constructeurs, ses plans pour passer exclusivement à l’électrique ont été retardés suite au contexte actuel, surtout aux États-Unis et au Canada, où le thermique pur et l’hybride devraient rester populaires un bon moment.  ↩︎

Kuo : l'écran connecté d'Apple attendrait le second semestre 2025

La mise en production d'un HomePod à écran serait finalement déplacée à bien plus tard dans l'année prochaine. Deux dates sont en concurrence dans les rumeurs pour ce produit qui tournerait autour d'un écran attaché à un haut-parleur avec comme rôle principal de servir de tour de contrôle des fonctions domotique de la maison.

Dans un billet aujourd'hui, l'analyste Ming-Chi Kuo explique que la production en volume de cet « HomePod équipé d'un écran » a été repoussée à de multiples occasions. Prévue initialement pour cette année, elle a été déplacée au premier trimestre 2025 et, tout récemment, programmée pour le troisième trimestre 2025, après la WWDC.

Le plus petit des Nest Hub de Google avec son écran de 7". Image Google.

Kuo parle d'un écran de 6,7" avec un processeur A18 et d'une compatibilité avec Apple Intelligence. Ces reports successifs seraient liés principalement au développement de la partie logicielle. 500 000 unités de ce produit inédit pour Apple seraient prévues pour cette période de la fin 2025 avec l'option de doubler ce volume annuellement si l'accueil commercial est positif.

Kuo : Apple lancerait en 2026 une caméra domestique et des AirPods musclés sur la santé

Kuo : Apple lancerait en 2026 une caméra domestique et des AirPods musclés sur la santé

Au milieu du mois de novembre, Mark Gurman avait donné plusieurs informations techniques sur les atours de ce produit qu'il décrivait comme muni d'un petit écran carré de 6". Le journaliste de Bloomberg tablait lui sur une commercialisation en mars prochain, ce qui implique une mise en branle de la production quelques mois plus tôt. Peut-être cette période évoquée par Ming-Chi Kuo et qu'Apple aurait finalement écartée.

Apple lancerait en mars 2025 son premier écran connecté pour la maison

Apple lancerait en mars 2025 son premier écran connecté pour la maison

Dans un second billet, Kuo précise que l'assemblage de cet accessoire a été confié exclusivement à BYD Electronic qui s'occupe déjà d'une bonne part des iPad, tandis qu'un nouveau venu dans la chaine d'Apple, Tianma, fournirait l'écran. Et l'analyste de glisser au passage que l'iPad Pro M5 entrerait en production au second semestre 2025 aussi.

Apple utilise des puces Amazon pour préentraîner Apple Intelligence

C'est le français Benoit Dupin, un des responsables d'Apple dans le domaine de l'intelligence artificielle, qui l'a annoncé dans une conférence Amazon dédiée à AWS (son service de cloud) : Apple emploie les puces Trainium et Trainium2 pour préentraîner ses services liés à l'intelligence artificielle.

Une puce Amazon Trainium2. Image Amazon.

Le fait d'utiliser les services d'Amazon n'est pas une nouveauté : les puces ARM Graviton animent de nombreux services Apple (Apple Music, Plans, Siri, etc.). Mais passer par les puces spécialisées Trainium est plus étonnant : une bonne partie du marché repose sur les cartes de Nvidia et Apple avait déjà annoncé employer des puces Google pour l'entraînement initial de ses modèles.

Apple a utilisé des puces conçues par Google pour entraîner les modèles destinés à Apple Intelligence

Apple a utilisé des puces conçues par Google pour entraîner les modèles destinés à Apple Intelligence

Les puces Trainium2, qui sont disponibles à la location pour les clients AWS, peuvent être vues comme de (très) gros NPU, les unités dédiées à l'IA présentes dans les systèmes sur puce. La différence par rapport à un NPU vient évidemment de la puissance, même si les valeurs communiquées ne sont pas nécessairement comparables. Le point le plus important des puces dédiées comme les Trainium2 vient de la mémoire : Amazon a choisi d'intégrer 96 Go de mémoire HBM avec une bande passante de 2,9 To/s, des valeurs très élevées. Selon Dupin, les cartes Trainium2 permettent un gain de 50 % en efficacité.

Rappelons une chose : Apple utilise des puces venues de différents fabricants pour le préentraînement, une des premières phases de la mise en place des intelligences artificielles génératives, mais la partie qui traite les données de ses clients, elle, repose sur des serveurs Apple équipés de puces Apple M2 Ultra.

Private Cloud Compute : comment Apple veut faire rimer « intelligence » et « confidentialité »

Private Cloud Compute : comment Apple veut faire rimer « intelligence » et « confidentialité »

L'iPhone SE (2022) est en vente depuis plus de 1 000 jours

Dans la gamme Apple, deux appareils se tapent la bourre pour battre des records de longévité1 : le Mac mini et l'iPhone SE. Apple ne met pas souvent à jour les deux gammes et si le Mac mini a eu l'honneur récemment d'une version M4 de très belle facture, ce n'est pas encore le cas de l'iPhone SE. Le dernier modèle est même sorti il y a plus de 1 000 jours, le 8 mars 2022.

L'iPhone SE 2022. Image iGeneration.

Vous pouvez certes encore en acheter un, mais il est singulièrement daté, avec un rapport qualité/prix plutôt mauvais : il est officiellement proposé pour 530 € (475 € en pratique). Pour ce prix, vous aurez un design déjà daté à son lancement (dérivé de l'iPhone 8, lui-même issu de l'iPhone 6), une dalle LCD avec de grosses bordures qui dépasse à peine le 720p et un capteur biométrique Touch ID un peu anachronique dans un iPhone. Le seul point qui était vraiment un avantage commence d'ailleurs aussi à être daté : si l'Apple A15 lui permettait d'être aussi performant que l'iPhone 13 à sa sortie (et ne démérite pas), il a largement été dépassé depuis et son système sur puce ne peut plus réellement être mis en avant. Et ce constat, 1 001 jours après sa sortie, n'est même pas nouveau : nous trouvions déjà l'iPhone SE 3 daté au moment de sa sortie, car il reprenait en fait essentiellement le format de l'iPhone SE précédent.

Test de l

Test de l'iPhone SE 2022 : un iPhone déjà à moitié fané

Toute la question va être de savoir ce qu'Apple va faire avec le successeur de cet iPhone SE. Les rumeurs bruissent toujours sur la sortie d'un iPhone SE 4 (probablement en 2025) qui reprendraient le design des iPhone modernes avec une puce Apple A18 de dernière génération.

Un iPhone SE 4 trop beau pour être vrai ?

Un iPhone SE 4 trop beau pour être vrai ?


  1. Le Mac Pro de 2013 et ses 2 182 jours est hors-concours.  ↩︎

Nostalgique de la Touch Bar ? Voici la Flexbar, une copie vendue sur Kickstarter

Il y a une petite dizaine d'années, Apple sortait ses MacBook Pro avec une Touch Bar, une technologie aussi mémorable que 3D Touch sur les iPhone ou l'AirPower. Plus sérieusement, la Touch Bar a ses rares aficionados, et c'est probablement ce qui a poussé la société Eniac vers son nouveau projet participatif : la Flexbar.

Une pseudo Touch Bar pour les joueurs. Image Eniac.

Disponible sur Kickstarter pour 120 $ (115 €) en prix de lancement, cette pseudo Touch Bar externe devrait être vendu à terme pour 180 $. Elle reprend un écran OLED équivalent à celui d'Apple mais se branche simplement en USB-C avec le sacro-saint (et un peu idiot) câble USB-C vers USB-A. La Flexbar n'est pas vraiment une Touch Bar : pas de raccourcis pensés pour macOS, pas de choix rapide pour les emojis, pas de Doom. La Flexbar est en fait un écran tactile dans un format atypique qui n'affiche pour le moment que des raccourcis pour Windows (la version macOS est prévue). Dans un sens, ce point précis montre peut-être l'inanité de ce projet selon nous : la Flexbar cible pour le moment des personnes qui n'ont pas eu de Touch Bar et n'ont donc pas pu se rendre compte qu'il ne s'agit pas nécessairement d'une bonne idée.

Une pseudo Touch Bar, ici à gauche de l'image. Image Eniac.

Elle devrait aussi être compatible avec Android et iPadOS (mais pas iOS) dans le futur, et les développeurs promettent de nombreux outils.

Une quatrième bêta pour visionOS 2.2 et son écran large virtuel

Nous attendions une release candidate, mais ce n'est pas le cas : Apple vient de mettre en ligne une nouvelle version bêta pour visionOS 2.2 (vous vous souvenez du Vision Pro ?). Cette quatrième version améliore encore un peu la principale nouveauté de cette version mineure, la prise en charge d'un écran virtuel (très) large pour les Mac.

Un écran virtuel très large. Image WatchGeneration.
Avec visionOS 2.2, le Vision Pro devient un meilleur écran externe pour les Mac

Avec visionOS 2.2, le Vision Pro devient un meilleur écran externe pour les Mac

App Store : la validation des apps va ralentir pendant les fêtes

L’équipe de validation de l’App Store prépare les vacances de fin d’année. Si elle ne va pas totalement baisser le rideau, elle vient de prévenir les développeurs que les demandes de vérification pourraient prendre un peu plus de temps que prévu. « Veuillez prévoir de soumettre les demandes urgentes le plus tôt possible, car nous attendons un volume élevé et les examens pourraient prendre plus de temps du 20 au 26 décembre », indique le communiqué.

Pendant de nombreuses années, les équipes de validation étaient en congé du 23 au 27 décembre : aucune app n’était vérifiée pendant cette période. Les choses ont changé en 2021, Apple gardant du monde sur le pont tout en prévenant que les vérifications pourraient toutefois prendre plus de temps. Une telle organisation donne une chance de voir validé un correctif envoyé en urgence, par exemple.

Apple déclare que la période de fin d’année est la saison « la plus chargée sur l'App Store ». Cela se comprend : beaucoup de nouveaux clients trouvent un Mac, un iPhone ou un iPad sous le sapin, qu’ils vont rapidement remplir d’applications.

Samsung pourrait dévoiler une paire de lunettes connectées dès le mois prochain

Samsung compte bien se lancer dans le secteur des lunettes augmentées. Selon l’agence de presse sud-coréenne Yonhap (repéré par TechRadar), sa première paire de lunettes pourrait être dévoilée lors de son prochain évènement « Unpacked », qui devrait avoir lieu courant janvier. Il s’agirait de « lunettes ordinaires ou des lunettes de soleil pesant environ 50 g », soit plus ou moins le même poids que les Meta Ray-Ban.

Meta Ray-Ban. Image WatchGeneration

Difficile de prédire ce que fera exactement ce nouveau produit, mais on sait qu’il sera le fruit d’une collaboration avec Google et Qualcomm. Le site estime que l’appareil embarquera des fonctions pour payer, un système de reconnaissance du visage et qu’il pourra détecter des gestes. Aucun écran ne serait intégré : on serait donc plus proche de simples lunettes augmentées que d’un vrai produit AR comme le projet Orion de Meta.

Meta présente Orion, son prototype de lunettes de réalité augmentée

Meta présente Orion, son prototype de lunettes de réalité augmentée

Si Samsung voulait initialement préparer un casque VR/XR, l’idée a été repoussée suite à la sortie du Vision Pro. Il semblerait que le coréen se soit rabattu sur des lunettes, un format qui a le vent en poupe depuis la sortie des Meta Ray-Ban. La théorie a été confirmée par le patron de Qualcomm en septembre.

Les rumeurs voudraient que le produit ait des caractéristiques techniques identiques aux lunettes de Meta, avec des caméras 12 Mpx et un processeur Qualcomm AR 1. Son assistant reposerait sur le Gemini de Google, qui servira sans doute à répondre à des questions ou à analyser ce qui est vu. Si rien n’a été confirmé, on s’attend à ce que le prochain Galaxy Unpacked ait lieu le 23 janvier. Yonhap estime cependant qu’il ne s’agira que d’une présentation et que le produit ne sera pas disponible avant le troisième trimestre 2025.

Promo : iPhone 14 Plus à 679 €, coque Apple à 20 €

Le tarif de l'iPhone 14 Plus reste très attractif à la Fnac pour peu que l'on jette son dévolu sur le modèle mauve de 128 Go. Il est vendu 679 € au lieu de 869 €, un prix d'Apple encore largement pratiqué. C'est un excellent téléphone avec un écran de belle taille (même diagonale de 6,7" que le 14 Pro Max) mais l'appareil est plus fin, plus léger, son autonomie très satisfaisante et, parmi les originalités de cette génération de 2022, il y a eu la fonction de SOS par satellite ainsi que la détection d'un accident.

iPhone 12 mini (5,4"), XS Max (6,5") et 14 Plus (6,7"). Image iGeneration.

Chez Amazon, les coques Apple pour ce modèle sont toujours disponibles mais à des prix beaucoup plus abordables qu'à leur sortie. La coque en silicone démarre à 19,50 € (au lieu de 59 €) et d'autres couleurs restent en deçà des 30 ou 40 €. On conseille cependant la version en cuir, plus résistante sur la durée, comme celle en coloris minuit à 29,90 € ou violet à 35,52 € au lieu de 69 € à l'origine.

Test de l

Test de l'iPhone 14 Plus : l'iPhone qui se prend pour un grand

Indonésie : Apple propose un investissement d’un milliard de dollars pour débloquer les ventes d’iPhone 16

Apple n’est toujours pas sortie des ronces en Indonésie. Fin octobre, le gouvernement a décidé de bloquer les ventes de la dernière cuvée d’iPhone sous prétexte que moins de 40 % de leurs composants sont fabriqués dans le pays. Apple a bien proposé un investissement de 10 millions de dollars avant de soumettre une offre de 100 millions, mais la proposition n’a pas convaincu. Aux dernières nouvelles, l’Indonésie aurait reçu une nouvelle offre grimpant cette fois-ci à un milliard de dollars.

Image MacG/Pixabay

Le gouvernement indonésien et Apple seraient tombés d’accord sur ce chiffre en tant que « première phase » des dépenses selon le ministre de l'investissement Rosan Roeslani. « Nous voulons de l'équité », a-t-il déclaré. « Vous bénéficiez d'avantages ici. Vous investissez ici et vous créez des emplois ». L’homme a réitéré une demande selon laquelle Apple devrait proposer à l'Indonésie un meilleur contrat qu'au Vietnam, où elle a déjà investi environ 15 milliards de dollars.

Le mois dernier, le ministre de l’Industrie avait déclaré que sa priorité était d’inciter Apple à ouvrir une usine locale. Le gouvernement estime que le fait de fabriquer ses produits sur place devrait faire un effet boule de neige, attirant les investisseurs et créant de l’emploi. Si Apple dispose d’académies de développeurs dans le pays depuis 2018, elle n’a en revanche aucune usine indonésienne.

Cupertino ne peut pas se permettre de tourner le dos au marché indonésien et ses 275 millions d’habitants, un pays dans lequel elle est devancée par plusieurs concurrents (Oppo, Xiaomi, Vivo…). L’Indonésie a déjà mis de tels coups de pression aux géants de la tech par le passé, bloquant par exemple TikTok ou les téléphones Pixel pour obtenir ce qu’elle voulait. Le gouvernement s’attend à recevoir une lettre d'engagement de la part d’Apple dans les jours qui viennent.

Beats lance une édition (PRODUCT)RED de son Solo 4 qui ne sera pas vendue au grand public

Apple a récemment relancé sa traditionnelle opération spéciale dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre le sida. Si cela se traduit principalement par un don au Fonds mondial, l’entreprise a également dévoilé une paire de Beats Solo 4 en édition (PRODUCT)RED livrée dans un packaging spécial.

Ce casque arrive dans un coffret aux motifs rouge créé en partenariat avec le styliste britannique Yinka Ilori, qui le décrit comme un hommage à la « résilience, à la communauté et à l'espoir ». L’artiste a expliqué à WWD s’inspirer du sens métaphorique de planter des graines et de les voir devenir quelque chose de beau, célébrant ainsi l'importance de « l'effort collectif de l'éducation ». Il a également lancé une playlist spéciale pour l’occasion, disponible sur Apple Music.

Malheureusement ce coffret spécial et son casque rouge vif ne seront pas commercialisés pour tous : il s’agit d’une édition limitée produite pour mettre en lumière les initiatives de (RED). L’accessoire n’est proposé au grand public qu’en noir, rose pâle et bleu ardoise pour 140 € chez les revendeurs.

Depuis quelques années, Apple a levé le pied sur les déclinaisons (PRODUCT)RED de ses produits. Les iPhone 15 et 16 n’ont pas eu droit à un coloris rouge, tout comme l’Apple Watch Series 10. Les deux derniers produits au catalogue sont l’iPhone 14 et l’iPhone SE, qui va bientôt être remplacé par une nouvelle version. Apple n’a pas non plus sorti de coques rouges pour ses derniers smartphones, tandis que les produits Beats rouges comme la Beats Pill ou les Solo Buds ne sont plus estampillés (PRODUCT)RED.

Type : un utilitaire de notes rapide, ouvert et discret

Pourquoi vouloir une autre app de prise de notes que celle d'Apple qui a l'avantage d'être assez riche et présente sur toutes ses plateformes ? Déjà, parce qu'on n'est pas nécessairement client de Notes ou parce que d'autres outils peuvent avoir un fonctionnement plus en phase avec ses habitudes ou son mode de travail.

Type. Image Papercones.

L'utilitaire Type peut être de ceux-là avec son fonctionnement qui privilégie la rapidité et l'indépendance vis-à-vis des formats de fichiers propriétaires. Son interface évoque les lanceurs d'apps, avec une fenêtre que l'on convoque d'un coup de raccourci clavier et qui s'affiche en plein milieu de l'écran (on peut la disposer ailleurs par défaut). Les raccourcis-clavier sont partout présents dans le logiciel si on préfère cette interaction à celle de la souris ou du trackpad.

On tape rapidement ce que l'on a en tête et le texte est ajouté à la note sélectionnée, en fait un simple fichier texte. Images MacGeneration.
Le contenu d'une note est complété des informations de date et d'heure, c'est complètement personnalisable.

On saisit alors rapidement le contenu de sa note puis celle-ci est enregistrée là où on le souhaite sur son Mac, dans un format .txt très standard. La fenêtre de Type permet de revenir sur une précédente note pour la compléter de nouvelles idées ou de les manipuler : comme de les envoyer à la corbeille, les retirer de la liste de Type ou les exporter dans une autre app de son choix (qui pourra être Notes ou quantité d'autres). La saisie d'une note peut se faire en Markdown pour ajouter une mise en forme et l'app s'interfacer avec Obsidian.

Les notes sont des fichiers texte utilisables n'importe où et synchronisés tout seuls via iCloud. Image MacGeneration.

Notes d'Apple a déjà une fonction de prise rapide de note, en touchant le bord inférieur droit de l'écran. Mais encore une fois, on est tributaire de cette application. Type est intéressant par la rapidité avec laquelle on le sollicite et l'utilise : on interrompt brièvement ce que l'on est en train de faire pour créer une note ou en compléter puis on reprend tout aussi prestement le fil de son activité, sans avoir touché la souris. Rien n'empêche de se servir de Type pour la saisie rapide d'idées puis, lorsqu'on a bien avancé dans sa réflexion, lorsqu'on veut structurer tout cela et ajouter des images, ou mettre en forme, d'envoyer ces notes vers une autre application. C'est l'intérêt de se reposer sur un format de fichier très simple. Tout dépend de sa façon de travailler.

Type n'a pas de capacité de synchronisation en tant que telle puisque les fichiers se synchronisent d'eux-mêmes avec iCloud si vous les stockez dans un dossier sur le bureau, par exemple, ou dans votre dossier Documents.

Les réglages de Type. Il manque une option pour disposer d'une interface en mode Clair ou au minimum calée automatiquement sur l'apparence de macOS. Image MacGeneration.

Le logiciel passe aujourd'hui en version 1.4 avec quelques-unes des fonctions décrites plus haut et la traduction en français. Conçu et développé par Nicolas Bichon, dessinée par Denis Moulin, Type peut être essayé gratuitement pendant une semaine. Après quoi on peut décider de passer sur la version payante pour continuer de l'utiliser. Elle est facturée actuellement 8,99 € (50 % de réduction) avec une licence perpétuelle. Il n'y a pas de version iPhone prévue.

Apple Music : la rétrospective musicale de 2024 est disponible directement dans l'app

C’est la saison : Apple vient d’ouvrir le bal des rétrospectives de l’année des différentes plateformes de streaming. Les abonnés à Apple Music peuvent donc dès à présent se rendre à ce lien pour jeter un œil sur une vidéo faisant le point sur leurs statistiques de l’année. Le lien ne peut pour le moment être trouvé qu'en tapant « Replay » dans la barre de recherche, mais il sera sans doute mis en valeur prochainement.

Le Replay prend la forme d’une série de cartes mettant en valeur différents aspects, comme le nombre de minutes d’écoute, les artistes ou les morceaux les plus entendus, etc. Plusieurs statistiques amusantes sont proposées tandis que certains éléments sont comparés avec le récap’ de l’année dernière. Notons qu’il faut avoir un compte Apple Music actif pour pouvoir le consulter.

Comme les années précédentes, ce Replay n’est pas disponible directement dans l’application Apple Music. Il est nécessaire d’ouvrir un lien spécifique dans son navigateur, ce qui n’est pas très naturel. On peut imaginer que Deezer, Spotify et consorts lanceront leurs propres rétrospectives dans les jours qui viennent.

Mise à jour le 04/12 à 10 h : Apple a mis à jour son Replay depuis hier : il est désormais disponible directement dans l’app Musique, sans forcément passer par son navigateur. C'est la première fois qu'il est directement intégré, bien qu'il ne s'agisse que d'une vue web. Il est nécessaire d'avoir iOS 18.1.1 pour le voir apparaître.

Image Apple

2024 : l'annus horribilis de Sonos

2024 aurait dû être l’année du renouveau pour Sonos. Après une année difficile, l’entreprise basée à Santa Monica comptait sur son casque - attendu de très (trop ?) longue date - pour repartir de l’avant.

Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Test du casque Sonos Ace : tout vient à point à qui sait entendre

Malgré des qualités techniques réelles, le Sonos Ace a fait un flop et est très loin des objectifs affichés en interne : 200 000 exemplaires vendus sur les premiers mois de vente… On est loin du million d’unités par an espéré initialement.

Le Sonos Ace ferait un flop

Le Sonos Ace ferait un flop

Résultat, Sonos a bouclé son exercice 2024 avec un chiffre d’affaires en baisse pour la deuxième année consécutive à 1,5 milliard de dollars. Le marché des enceintes apparait de plus en plus saturé. Résultat, la base d’utilisateurs Sonos n’a gagné qu’un million d’utilisateurs. Si ce chiffre peut sembler impressionnant de prime abord, il s’agit de la croissance la plus faible de ces 5/10 dernières années.

Pour ne rien arranger, Sonos a souffert toute l’année du lancement catastrophique de sa nouvelle app. Lancée dans la précipitation début mai, l’application qui est au cœur de son écosystème souffrait de nombreux bogues et lacunes, au point qu’un retour à l’ancienne app avait été un temps envisagé. On peut très certainement arguer que l’on peut vivre sans celle-ci, mais c’est un peu comme si on louait les qualités du HomePod en faisant totalement l’impasse sur Siri.

Image : Sonos

Interrogé par Wired, Andy Pennell a publié sur LinkedIn un billet très complet sur le fonctionnement de l’ancienne app et de la nouvelle, qu’il s’est amusé à désosser. Ce développeur, qui travaille dans la division Xbox, se décrit comme un « Sonos fanboy / hacker ». Pour lui, c’est simple : Sonos a eu les yeux plus gros que le ventre. Dans la nouvelle application, Sonos a tout changé : l’interface qui est le changement le plus perceptible pour l’utilisateur, mais également toute la machinerie que ce soit la manière dont l’app détecte et gère les différents appareils Sonos sur votre réseau local, les API ou la façon dont elle communique avec les différents services de streaming. Andy Pennell a notamment remarqué que le contrôle des appareils ne se faisait plus via le réseau local, mais s’effectuait via les serveurs de l’entreprise.

Bref, pour lui, cette décision de tout changer d’un coup était tout simplement folle. Rien ne semble l’expliquer selon lui : ni une dette technique trop importante ni l’arrivée du Sonos Ace qui avait été l'argument avancé par le fabricant pour lancer sa nouvelle application.

Autrement dit, pour Andy Pennell, Sonos a quelque chose derrière la tête avec sa nouvelle app. Un ancien développeur de Sonos, qui a quitté l’entreprise suite à la dernière vague de licenciements, explique qu’il a été surpris de voir son entreprise mettre autant de moyens financiers et humains dans un projet qui ne rapporte pas d’argent. On lui a répondu que cela était nécessaire et que « la proposition de valeur [de la nouvelle app], était la flexibilité qu'elle offrait, et qu'elle ouvrait la porte à des choses que nous ne pouvions pas faire auparavant ».

Image : Sonos

Comme de nombreuses sociétés qui ne parviennent plus à croitre en vendant du matériel, Sonos serait-elle tentée de proposer des fonctionnalités payantes dans son app sous forme d’abonnement ? Cet ancien de Sonos ne semble pas l’exclure, et cette hypothèse est régulièrement évoquée et crainte dans les communautés d’utilisateurs Sonos. Mais suite à la publication de l’article, la direction de Sonos a tenu à apporter un démenti à Wired et dire qu’un abonnement n’était pas dans les tuyaux. Tout est une question de timing. Alors qu’elle ne s’est pas encore remise du lancement de sa nouvelle app, on imagine mal Sonos remettre une pièce dans la machine en annonçant à court ou moyen terme une telle nouveauté. Quoi qu’il en soit, abonnement ou pas, il reste à Sonos à trouver les moyens pour retrouver le chemin de la croissance.

Il est désormais plus facile de transférer ses Live Photos vers un téléphone Pixel

Si vous envisagiez d’abandonner votre iPhone pour passer sur un Pixel, sachez que vous ne perdrez pas vos Live Photos en route. Jusqu’à présent, la migration via l’outil intégré avait pour effet de supprimer la petite vidéo enregistrée juste avant la capture d’une photo sur iPhone, ce qui est un problème pour les clients de longue date ayant accumulé plusieurs milliers de Live Photos. Le nouvel outil de migration de Google corrige le tir et prend désormais en charge cette fonctionnalité.

Activation du mode Live Photos sur iOS.

Les Pixel 9 embarquent un assistant de migration revu qui simplifie le passage d’iOS à Android avec une nouvelle option « Express » ou une fonction pour transférer ses données via USB et Wi-Fi. Paul Dunlop, en charge de tout ce qui touche au passage vers Android chez Google, a confirmé que la migration des Live Photos était active sur les Pixel 9. Cette nouveauté a également été déployée sur les téléphones Pixel plus anciens et arrivera sur d’autres appareils « au cours des prochaines semaines ».

Google dispose d’un équivalent aux Live Photos portant le nom de « Motion Photos ». On peut imaginer que l’outil de Google se contente de convertir les fichiers d’Apple en ce format lisible nativement sur Android. Rappelons qu’il est possible de récupérer ses Live Photos en les envoyant dans l’app Google Photos, qui les convertit automatiquement. Il faudra éventuellement investir dans un peu de stockage, Google n’offrant que 15 Go sur sa formule de base.

Free lance une édition spéciale de sa Freebox Ultra, avec du plastique translucide dans l'esprit de l’iMac

Free annonce une édition spéciale de sa Freebox Ultra à l’occasion des 25 ans de l’entreprise. Cette version se distingue surtout par le design, avec une coque rouge translucide qui a été inspirée par l’iMac G3 et la Game Boy Color, indique le FAI. Elle intègre aussi un ruban de LED qui évoque les ordinateurs et accessoires des gamers et qui peut être contrôlé depuis l’app Freebox Connect, avec non pas un réglage de couleur (ce sera rouge ou rien), mais des ajustement sur la luminosité et son animation. Pour le reste, c’est une Freebox Ultra comme les autres, intégrée aux mêmes offres.

Image Free.

Cette nouvelle box en édition limitée est accessible pour les nouveaux abonnés aux tarifs habituels : 40 € par mois pendant un an puis 50 € par mois sans engagement pour la Freebox Ultra Essentiel, 10 € mensuels de plus pour l’offre complète avec toutes les chaînes de télévision et services de streaming en plus. Les abonnés actuels peuvent aussi opter pour cette nouvelle box à la place de celles qu’ils ont actuellement, soit en changeant d’offre, soit en remplaçant leur Freebox Ultra sur demande et en payant 49 € une fois. La demande devrait être proposée dès maintenant sur l’espace abonné.

Free prévient que les quantités sont limitées et que l’offre restera disponible jusqu’à épuisement des stocks. On ne sait pas si le FAI a prévu de gros stocks ou si tout partira rapidement, mais si vous êtes intéressé, mieux vaut sans doute ne pas trop attendre. L’entreprise a aussi prévu un packaging spécifique et elle prend la peine de communiquer sur la consommation réduite : par défaut, le ruban de LED n’ajoute que 0,5 W à la consommation de la box. On pourra aussi l’éteindre, naturellement.

La translucidité permet d’apercevoir les composants à l’intérieur, surtout si les LED sont allumées. Image Free.

Précisons que seul le module serveur a été personnalisé de la sorte pour cette édition spéciale. Le module dédié au téléviseur sera identique quelle que soit la version choisie.

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